Demeure d’Ulysse Norington
400, Beachcrest Road – Bayside.

Véritable bijou immobilier payé à grands frais – et avec l’aide de la fortune familiale dont il dispose – cette villa est surnommée « the white wall villa » à cause de ses murs entièrement blancs. Résolument moderne dans son architecture épurée et assumée par l’architecte qui l’aura construite, il en est le premier propriétaire et l’adore, tout simplement. Il n’aura presque rien changé à son organisation et son architecture intérieure, n’achetant que quelques fournitures supplémentaires uniquement, satisfait par ce que l’architecte aura lui-même produit avant de la vendre « dans son jus » comme diraient certains. Il l’aime, et il l’entretient très consciencieusement grâce, notamment, à plusieurs robots ménagers qui tournent en permanence et à une femme de ménage embauchée pour 5 heures de ménages par semaine. Elle est également protégée par des haies hautes, et quelques accessoires supplémentaires, ainsi que des détecteurs d’intrus, et un contrat avec une société de surveillance. S’il n’est pas un matérialiste à proprement parler, sa maison reste, toutefois, sa plus grande fierté. Bien plus que sa voiture – pourtant chère elle aussi – qu’il considère davantage comme un bien de consommation et un moyen de locomotion qu’un véritable bien duquel on pourrait tomber amoureux, par exemple.

Elle est construite sur un petit promontoire rocailleux juste devant les plages du quartier, et donc, de l’océan qui prédomine à l’horizon. Amoureux de l’océan – bien qu’il l’effraie tout autant – il aime s’endormir et se réveiller au son des vagues, voir le soleil se lever et se coucher derrière ces immenses étendues bleutées. Ce bijou immobilier est… Un bijou, véritablement. Et s’il ne le porte point à son annulaire comme le ferait un amoureux transit avec une belle bague de fiançailles, il est heureux dans cette demeure, bien que, parfois, il se trouve seule dans cet immense endroit. Elle est faite de trois étages : un sous-sol, un rez-de-jardin et un premier étage.

Au sous-sol, la majorité de la surface est occupée par un grand garage de 3 places ouvert sur un espace d’entretiens, lavage et mécanique. S’il n’est absolument pas mécanicien lui-même, il essaie d’y porter un peu d’intérêt. Certains pourraient y voir là, une sorte d’égo-trip, ou de caprice de riche, capable d’investir dans des outils, des chariots flambants neufs et du matériel de mécanique, alors que les voitures récentes, bourrées d’électroniques, demandent de plus en plus d’expertises pour pouvoir seulement changer une ampoule. Allez savoir… L’avantage, dans ce monde capitaliste, c’est qu’en payant le juste prix, il est possible de faire venir un garagiste chez soi pour réaliser de menues réparations qui ne nécessitent pour les ponts élévateurs d’un véritable garage. Par exemple.

La partie restante est une salle insonorisée et aux murs épais, dédiée toute entière à l’art du cinéma. Un sol en moquette, des fauteuils et canapés ultra confortables, chauffants, massant et ventilés, aux pieds se levant à la commande pour prendre une position allongée qui offre une immersion totale dans les films qui sont présentés sur une télévision de 4 mètres de longueur et 2,10 mètres de hauteur, faite, en réalité, de l’assemblage d’une dizaine d’écrans plus petits issus des dernières technologies LED et autres super-résolutions. Des baffles et un caisson de basse, transforment la pièce en véritable salle de cinéma. Dans un coin de la pièce se trouvent également un minibar, un mini-frigo et une machine à pop-corn. C’est une des pièces préférées d’Ulysse, qui apprécie y passer du temps pour profiter des films mythiques, anciens ou récents, se refaisant même, lorsqu’il le peut, quelques marathons de séries cultissimes qu’il apprécie… La plus… Mythique, selon lui, reste la série « The Office », allez savoir pourquoi. Mais il l’adore.

Vient ensuite le rez-de-jardin. L’étage principal de la demeure. Là se trouvent toutes les grandes pièces principales, à vivre et à amusements. Une seconde porte d’entrée, menant au-dehors depuis la rue, débouche sur la principale pièce de cet étage : l’immense salon ouvert sur la terrasse et la piscine. Dotée de grandes baies vitrées, la pièce est plutôt immense, richement décorée de tapisseries, canapés, fauteuils et meubles bas sur lesquels trônent photos, diffuseurs de parfums et autres luminaires et décorations diverses. La salle est ouverte sur le côté, sur une grande salle de réception – ou salle à manger, plus communément. Là, une grande table faite en bois d’acajou peut accueillir une douzaine de convives, éclairés par une dalle lumineuse suspendue au plafond fait d’une centaine de petites LED offrant un éclairage très doux pour les yeux.  Pour en revenir au salon, celui-ci est également ouvert sur l’étage, ce dernier se découpant en une forme de « U » pour accueillir les pièces dortoirs. Une très petite bibliothèque se trouve contre l’un des uniques murs porteurs qui soutiennent le premier étage et l’escalier, et des tableaux et petites sculptures simples, trônent sur les murs, de petites étagères murales et le haut de meubles d’appoints ou de rangements. La pièce centrale est éclairée par un très grand chandelier, fait, là aussi, de petites lampes à LED qui procurent un doux éclairage non violent, en plus d’un rétroéclairage de plafond qui s’allume au rythme du coucher du soleil. La pièce invite à la détente et à la méditation, et s’ouvre, au dehors, sur le jardin avec la piscine et un salon extérieur. Enfin, le salon se termine, sur sa droite – lorsque l’on se place face à l’océan – par une salle de jeu composée d’une table de billard, d’une roulette, d’une table de poker, de ping-pong et un jeu de fléchettes. Un véritable bar, cette-fois, vient incrémenter cette partie de la maison dédiée à l’amusement et ouverte, sur le dehors, sur le salon de jardin.

De l’autre côté du salon, du côté de la salle à manger, s’ouvre une cuisine digne d’un restaurant étoilé. Rétroéclairée depuis un plafond de blanc immaculé, elle est faite dans une immense dalle de marbre blanc importé d’Italie. Un grand ilot central renferme une douzaine de casseroliers et tiroirs à vaisselier, une hotte dernier cri et des plaques à inductions. Amoureux de la cuisine et de la haute gastronomie, la cuisine sera l’unique pièce qu’Ulysse aura fait retravailler pour correspondre aux attentes de chefs étoilés qu’il pourrait privatiser lors de soirées et de repas gouteux. Elle est donc parfaitement fonctionnelle et possède tous les ustensiles, l’électroménager et les robots cuisiniers, pour pouvoir réaliser tous les plats qu’un restaurant étoilé pourrait offrir. Ulysse passe du temps dans cette pièce, car, s’il n’est pas contre le fait de commander une pizza de temps à autres – quand il ne les fait pas lui-même dans son four à pizza sur sa terrasse – il aime cuisiner pour lui. Conscient que ce qui rend un plat parfois exceptionnel réside dans le fait de dresser une tablée, il possède plusieurs jeux de vaisselles : en ardoises plates, des saladiers en terres-cuites, des assiettes circulaires, rectangulaires, creusées ou plates, petites ou grandes, des saucières, carafes à vins en cristal et les verres adaptés pour toutes les liqueurs et autres élixirs. Il possède, d’ailleurs, sur le mur opposé, une cave à vins et à liqueurs à l’humidité et aux températures régulées, proposant 240 références de vins rouges, blancs et rosés, et 42 références de liqueurs, parmi certains des meilleurs bourbons, whiskys Ecossais et Japonais, gins, cognacs et autres liqueurs spéciales, comme, par exemple, de la Grappa Italienne, et même une Mirabelle Française.

Au-dehors, donc, existe un salon-de-jardin des plus cosy et du meilleur goût. Disposé sur la droite de la piscine – lorsque l’on est dans le salon et que l’on regarde l’océan – il est nettement plus petit que le véritable salon d’intérieur, mais n’en demeure pas moins très confortable et protégé par un petit plafond. Outre une table et des canapés confortables, la zone est aussi dédiée à la nourriture extérieure avec un four à pizza et un barbecue dernier cri, ainsi qu’un minibar à peine plus grand que celui présent dans la salle de cinéma. La présence non lointaine de la cuisine suffit à faire les allés et retours pour pouvoir se fournir en alcools et autres petits plats cuisinés, apéritifs et desserts inclus. Le petit salon de jardin est ouvert sur le salon d’intérieur, mais aussi sur la petite salle de jeu qui y est adjointe et décrite plus haut. L’ensemble créant une atmosphère à la fois chaleureuse et amusante, dédiée à la détente et la réflexion et aux jeux entre amis. Lorsqu’il invite son groupe de copains, ils passent un temps considérable dans cette partie de la maison.

Vient ensuite l’étage. Ce dernier est entièrement dédié aux pièces à couchées. Il existe 3 chambres d’amis, qui suivent toutes le même schéma que celle présentée ci-dessus. De grands lits confortables, des dressings, un parquet chauffant couvert par quelques tapis doux, et des plafonds et murs couverts de fines planches de bois vernies afin d’offrir une immersion caraïbéenne, en mimant une chambre que l’on pourrait trouver dans des hôtels sur ces îles. Certes, c’est un peu un cliché et Ulysse en est conscient, mais, comme le dit l’architecte au moment de l’achat : « nous avons voulu recréer l’ambiance d’une chambre flottant au-dessus de l’océan sur ces îles de l’autre bout du monde, qui font rêver et que le commun des mortels s’imaginent comme baignées de bois exotiques et d’une atmosphère surréaliste et douce. » N’y connaissant rien en architecture d’intérieur et… Dans ces volontés de faire voyager tout en restant confortablement chez soi, Ulysse ne pu qu’accepter et feinter la compréhension de cette démarche un peu… Spéciale.

Chaque chambre d’ami dispose d’une salle de bain mitoyenne, simple, mais efficace. Dotées de baignoires et de douches à l’Italienne, elles forment ce qu’Ulysse appelle « un appartement bien à soi. » Hôte prévenant, le fait d’avoir ce confort pour chaque invité potentiel est un des critères qui aura convaincu Ulysse d’acheter ce bien. Désireux de prendre soin de son groupe d’amis, il voulait pouvoir les accueillir à tout moment, sans prise de tête ni inquiétudes. Il est donc très fier de posséder cet atout dans sa demeure et, au pire, s’il devait devenir père un jour, ses propres enfants pourraient profiter d’espaces privés rien qu’à eux et s’éviter la peine de partager une salle de bain commune. Oh, il est conscient que cela relève là encore d’un caprice de riche… Mais puisqu’il peut se le permettre… Autant se l’offrir et l’utiliser à son gré.

Vient ensuite la chambre de maître. Grande, confortable et dotée d’une petite terrasse donnant sur un des côtés de la demeure, entre terre et mer, elle est agréable, cosy et confortable. Ouverte sur un dressing qui ferait la taille d’une pièce normale d’un côté, elle est ouverte, de l’autre côté, sur une salle de bain luxueuse. Le maître mot de cette pièce est : cocon. Un petit cocon de douceur, de bien être, loin des stress d’une vie de médecin surbooké et des vicissitudes de la planète, entre guerres, famines et autres horreurs pour lesquelles il ne peut rien faire. Lorsqu’il ne peut, il mange son petit déjeuner sur cette terrasse… Mais cela reste plutôt rare, car s’il apprécie faire son propre petit déjeuner, remonter les escaliers, se placer sur la terrasse et en profiter, semblent être des efforts trop importants alors qu’il dispose de tout le confort nécessaire au rez-de-jardin, pour pouvoir profiter de l’océan en se réveillant et en mangeant des œufs brouillés avec du bacon.

La salle de bain, donc, est dotée de tous les luxes. Un jacuzzi pour trois ou quatre personnes, une douche à l’Italienne carrelée, un espace lavabos et mobilier au parquet flottant chauffant, et de quoi accueillir les produits de beautés, les soins du corps et autres produits de consommation de parapharmacie pour deux personnes. Bel endroit que celui-ci, si vous voulez mon avis ; et cela aide Ulysse après une journée angoissante et transpirante, ou le matin, pour bien se réveiller. Car la douche est devenue un rituel, c’est certain. Peut-être pourrait-il le partager un jour avec une heureuse jeune femme qui acceptera de partager ce luxe trop opulent pour un être seul.

Enfin, dernière pièce importante de cette maison : le bureau. Il n’y en a qu’un seul, et c’est celui d’Ulysse. En tant que médecin hospitalier, il a la chance de ne pas s’encombrer de dossiers de patients qu’il aurait à gérer s’il était médecin traitant, mais il reste un médecin et un scientifique : documentations scientifiques, revues médicales et de recherches, dictionnaires, abaques d’anatomies, protocoles et dernières trouvailles, lui demandent plusieurs heures de travail hebdomadaire à domicile pour rester au top de sa profession et au courant des dernières avancées. Aussi, il possède certaines responsabilités au sein du service des urgences, qui lui demandent un peu de travail d’organisation depuis chez lui, qu’il est normalement censé faire depuis son bureau professionnel. Mais cela lui demanderait d’être tous les jours à l’hôpital, même lors de ses repos de gardes. Et avoir une vie personnelle reste importante tout de même, aussi préfère-t-il faire son travail obligatoire en distanciel, à la maison.

Pour terminer, d’autres pièces existent dans cette demeure : une buanderie, un local de rangement pour les appareils ménagers, mais, surtout : un hammam et un sauna personnel, dans le couloir du premier étage. Voilà la demeure d’Ulysse, qu’il partage allégrement avec ses amis – même les profiteurs – et qu’il aimerait partager avec une épouse pour fonder un foyer un jour.

Garage d’Ulysse Norington
Lamborghini Urus SE – Super Sport Utility Vehicle

Tout premier SUV super-sportif, alimenté par un moteur thermique et un moteur électrique surpuissant, il passe de 0 à 100 km/h en 3,8 secondes grâce à ses 800 chevaux de puissance, pour une émission de dioxyde de carbone diminuée de 80% par rapport à un véhicule aux performances similaires roulant entièrement de façon thermique. Doté de cinq portes et de quatre roues motrices offre un confort de conduite révolutionnaire grâce à ses nouvelles technologies d’habitacles et ses suspensions révolutionnaires : intérieur cuir de haute qualité de couleur blanche avec sièges surpiqués et Bacqué, massant, chauffants et ventilés ; un volant sportif chauffant, surpiqué lui-aussi ; offrent une aisance de voyage et un confort qui vous ferait oublier que vous êtes dans une voiture.

Il est toutefois gigantesque : long de 5,11 mètres, large de 2 mètres et haut de 1,63m, il ressemble davantage à un blindé mais sa carrosserie mêlant feux de jour à LED, renforts carbones et lignes épurées, le placent définitivement parmi les super-sportives de ce monde. Sa motorisation automatique permet de coupler le moteur électrique au moteur thermique, le second entraidant le premier lors des accélérations violentes et une fois les 70 km/h dépassés, pour profiter de performances thermiques conservées, notamment sur circuits mais aussi sur autoroutes.

En ce qui concerne Ulysse, ce SUV est son véhicule préféré qu’il utilise absolument tous les jours. Pour se rendre au travail, réaliser ses courses, voyager ou sortir entre amis, c’est son véhicule de prédilection. Il aime l’entretenir et le bichonné, quitte, parfois, à faire penser qu’il préfère sa voiture à qui que ce soit d’autre. Ce qui, au fond, n’est pas le cas. Si vous croisez ce véhicule tape à l’œil dans les rues de Brisbane, aucun doute : Ulysse est au volant !

Chevrolet Corvette C8.

Evolution attendue des traditionnelles Corvettes de la marque Chevrolet, connue à travers le monde, le modèle C8 fait parler de lui de part sa volonté assumée de se placer parmi les super-sportives de luxe, à prix abordables. Autrement moins cher que le modèle Urus de la marque Lamborghini, elle offre toutefois toutes les caractéristiques extérieures, intérieures et techniques d’une voiture de luxe dopée aux chevaux. Dotée d’une boite automatique à 8 rapports, de deux portes et d’une puissance de 482 chevaux, elle permet d’atteindre les 100 km/h en 3,5 secondes pour une consommation raisonnable étant donné la puissance délivrée par son moteur V8. Elle existe également en version hybride, mais Ulysse l’aura prise en 100% thermique.

Résolument plus « tape-à-l’œil » que le premier modèle, Ulysse l’aura voulue criarde pour aller jusqu’au bout de l’expérience de super-sportive, peut-être clichée, avec son rouge piqué à Ferrari. Il ne la conduit pas souvent, car point aussi confortable que son modèle de prédilection, mais cela lui arrive, surtout durant les beaux jours. Son toit décapotable en fait un véhicule agréable par temps chaud et sec, le vent fouettant les cheveux avec ce je-ne-sais-quoi qui vous donne une sensation pleine et entière de liberté. Une liberté qui coûte cher… Car, pour de telles performances, le constructeur aura sacrifié la partie écologie pour une consommation haute en carburant. Un plein ne permettant pas de faire plus que quelques centaines de kilomètres, le moindre déplacement peut coûter très cher à UIysse au vu du prix du carburant dernièrement.

Harley Davidson Fat Bob 114

Dernier ajout à sa petite collection de véhicules sur roue, et pas des moindres : une moto, de la désormais ultra célèbre marque Américaine. Dotée d’un moteur 4 temps bicylindre en « V », elle développe 95 chevaux, ce qui en fait surtout une moto confortable pour les longues routes Américaines, et non une sportive avec laquelle rechercher la vitesse et la mobilité sur routes sinueuses. Alors pourquoi se doter d’un tel véhicule ? Pour la beauté, et le bruit, tout simplement. Car c’est sans équivoque le moteur le plus bruyant de tous ceux produits par Harley Davidson : assourdissant, mécanique et impressionnant, le son produit par la combustion et les pistons est enivrant pour quiconque aime les motos. Ulysse l’adore, et l’utilise régulièrement pour ses petits trajets, le jour – surtout – et lorsqu’il fait beau. Il adorerait toutefois intégrer l’un de ces groupes de bikers, associatifs – car il ne souhaite pas frayer avec les hors-la-loi – avec lesquels faire de grands runs au travers de la ville, et parfois, de la région.