Tu sais que... non rien. •
Jax & Lisis

Avant de partir du bar nous avons rapidement parlé de la soirée, c’était vrai que dans le fond, sans l’autre cinglé c’était une bonne soirée. Soirée comme il se passer régulièrement ici. Malgré que ça soit un pub les gens sont plus raisonnables quand ses des soirées musicales que quand ses des soirées sport. Le foot comme le rugby sa échauffe rapidement les esprits et c’est là qu’il faut régulièrement sortir les gens. Mais fallait avouer que ce soir c’était une bonne soirée. Lorsqu’on est dehors et que tu me donne ton casque je le dépose alors sur ma tête puis l’attache. Je te laisse monter en premier puis je monte après toi. Je n’avais pas peur de ça, du moins je le pense. Je n’étais jamais monté sur une moto c’était la première fois j’ai envie de dire c’était aussi pour ça qu’à ta question j’ai doucement osé les épaules. Je dépose mes pieds à l’endroit ou il faut puis j’entour ta taille de mes bras. Je dépose alors ma tête sur le haut de ton dos en fermant doucement les yeux. Le trajet était assez calme, c’est quand tu me poses la question que je me redresse rapidement puis je souris amusé. « Hein ? » Je relève la tête en ouvrant les yeux puis je te regarde. « Et bien a moins que ton cinglé de frère m’attende chez moi non personne. Scarlett est partie pour quelques jours aussi donc je suis toute seule. » Je rie doucement, c’est vrai que ça peut être possible que son frère soit là juste par envie pour me faire comprendre que… bah il s’ennuie et qu’il veut passer le temps. Je te laisse arriver devant chez moi, puis je lève mon visage vers mon appartement. « Non personne, c’est bon pas de cinglé qui va te sauté dessus ! » je rigole doucement puis je descends de ta moto une fois que tu es garé. C’est vrai que mon frère aurait pu être là, et jaloux et possessif comme il est, il aurait été capable de se battre avec toi. Mais je pense que la dernière fois qu’on c’est vue il a compris que je n’étais pas d’accord avec les actes qu’il a envers moi et ceux que je fréquente…

Une fois sur mes jambes je te regarde puis je te fais un signe de la tête de me suivre. « Tu viens. » après ses quelques mots je tourne des talons pour entré dans l’immeuble je te tiens la porte pour que tu ne te trouve pas bloquer a l’extérieur. Une fois que tu es dans l’immeuble avec moi je prends les escaliers, même si j’étais au troisième je prends rarement l’ascenseur c’était plus pour les courses et encore. Une fois arriver sur mon palier, la vieille dame d’en face ouvre sa porte comme pour voir qui arrive c’était une personne qui ne dormait jamais ou presque pas. « Bon soir madame Morris. » je dis poliment en la regardant puis je sors mes clefs de ma poche. Bien évidement elle te regarde en plissant doucement les yeux puis me regarde en souriant « Bon soir petite Lahela, mais cet homme était là il y a une heure. » je rigole doucement et fronce doucement les sourcils en te regardant « Madame Morris, c’était son frère ne vous en faite pas. Puis aller vous coucher votre fille arrive demain. » J’ai un sourire au lèvres, elle vient clairement te confondre avec son frère et en rentrant elle marmonne « Oui oui ma petite fille arrive demain aussi, je vais leur faire un méga gros repas.... Bonne nuit vous deux ! » « Bonne nuit madame Morris. ». Je suis peut-être une fille assez franche et directe mais se qui était bien avec cette vieille dame c’est que elle aussi mais aussi je me suis bien entendu avec elle des le début. Je secoue doucement la tête en riant puis j’ouvre la porte et te laisse entré « Entre vas y. Puis elle t’a confondu avec ton frangin. Pauvre madame Morris elle a du mal en ce moment. » quand je dépose mon regard sur ta personne après être rentré après toi puis je plisse doucement les yeux « Je sais comment je vais emmerdé ton frère maintenant, lui dire que vous vous ressembler et que t’es bien plus mignon tiens ! » je dis ça par amusement puis je retire ma veste et la dépose sur le canapé avant d’attrapé l’un de mes furets qui a l’habitude d’être ici. Je lui offre quelques caresses puis je le dépose sur l’un des tabourets du bar qui rejoint la cuisine. Une cuisine américaine en faite. « Fait comme chez toi, installe toi. » je m’avance vers le frigo puis je l’ouvre et attrape deux bières les décapsule et m’avance vers toi « Je ne sais pas si t’as vraiment le droit a ça toi. » je souris amuser en te regardant.

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Que Bryan soit chez Lisis, sincèrement cette idée ne m’étonnerais pas. Je sais qu’ils ont une relation assez particulière tout les deux et mon frangin doit sûrement passer pas mal de temps chez elle ou inversement. J’avoue que l’idée de le voir là devant l’immeuble en train d’attendre me fait bien rire mais ça n’arrivera malheureusement pas. Puisqu’en arrivant, la jeune femme m’indique rapidement qu’il y a personne, je lui offre alors un signe de la tête en guise de réponse et descend à mon tour de la moto, pour suivre la brunette jusqu’à l’intérieur du bâtiment où se trouve l’appartement de la barmaid. Celle-ci n’a d’ailleurs pas envie de prendre l’ascenseur, puisqu’elle rejoint directement les escaliers. « Tu as la chance d’avoir un ascenseur qui fonctionne et tu préfères te fatiguer avec les escaliers ? » Oui c’est une petit critique gratuite qui a simplement pour but de taquiner la jeune femme. Parce que dans le fond ça ne me dérange pas de prendre les escaliers, je peux même dire que je préfère, non pas parce que c’est mieux pour la forme. Mais surtout parce que je déteste les ascenseurs ! Je déteste cette sensation lorsque l’appareil est en fonction et si je peux éviter de l’utiliser alors c’est avec grand plaisir que je le fais. Un peu comme ce soir quoi, puisque j’accompagne la jeune femme jusqu’au troisième étage où je fais la rencontre d’une vieille dame qui ne peux s’empêcher d’informer sa voisine qu’un homme était là quelques heures plus tôt. Encore mieux, c’est moi qui était dans le coin si j’en crois les propos de cette personne qui semble perdre la tête. Lisis elle comprend bien les paroles de sa voisine puisqu’elle lui répond rapidement avant d’ouvrir la porte de l’appartement et se glisser dans celui-ci. Mon frangin était donc ici il y a quelques heures ? Quand je dis qu’il a une relation particulière avec la barmaid. « Je vois que tu as réussi à te faire une copine. Le dimanche vous faites du tricot ensemble ? » Lâchai-je avec un petit sourire accroché aux coins des lèvres, alors que je fais déjà quelques pas dans l’appartement.

Pendant ce temps, la danseuse disparaît dans sa cuisine, lançant une nouvelle remarque au sujet de mon frangin qui me fait doucement sourire. Pourtant je ne réponds pas tout de suite, préférant faire demi-tour et rejoindre la jeune femme qui a la tête plongée dans son frigo. « Plus mignon que mon frangin ? C’est une surprise pour personne tu sais. A ton avis pourquoi il a quitté le pays aussi rapidement ? Parce qu’il savait qu’il ne faisait pas le poids. » Répondis-je pour plaisanter alors que je jette un coup d’œil au furet qui se trouve sur le tabouret. « Je vois que tu as un beau chien de garde. » Ça doit faire fuir pas mal de cambrioleur ce genre de bestiole non ? Oui j’ai du mal avec ce genre d’animal j’ai le droit non ? Je n’ai rien contre les chats ou les chiens, mais les furets ou les hamsters… Mon dieu que je déteste ça ! C’est juste bon à faire chier en pleine nuit… Ouais ok ce n’est peut-être pas totalement vrai mais ça reste ma façon de voir la chose.

Et pendant que je pense des conneries, voilà que Lisis fait son retour, déposant deux bière sur le comptoir en se demandant si j’ai vraiment le droit à ça. Je regarde alors la boisson avant de relever les yeux vers elle et hausser les épaules. « Tu m’en veux peut-être d’avoir cogné ce type qui voulais te tripoter ? » J’esquisse finalement un sourire et récupère ma bière que je fais cogner contre celle de la jeune femme, avant de prendre place sur un tabouret fixant un instant la maison, puis le furet. « Il a un nom ? » J’avale finalement une gorgée de ma boisson et relève la tête en direction de la barmaid. Oui j’ai toujours du mal avec cette histoire, je ne comprends pas pourquoi cet allemand a pris autant de risques pour venir jusqu’ici… Je suis presque certain qu’il y a autre chose mais je sais aussi que Lisis n’a pas envie de m’en dire plus ou qu’elle trouvera simplement une parade qui je recommence à la questionner sur cette histoire. Bref c’est pas très clair mais je dois malheureusement faire avec.

« Au fait comment ça va avec Angie ? J’ai entendu dire que tu as eu un petit tête à tête avec elle. » Non ce n’est pas un sujet tabou, disons juste que ça peut devenir un sujet sensible quand on sait que les deux filles ne s’entendent pas très bien. Enfin aux dernières nouvelles mais ça fait un bon moment que je n’ai pas abordé le sujet, que ce soit avec Angie ou avec Lisis, et même si je doute que les choses aillent mieux entre elles, j’ai tout de même envie d’en savoir plus. Après tout il s’agit d’une très bonne amie d’un côté et de l’autre d’une fille avec qui ma relation semble devenir de plus en plus sérieuse. Et si c’est vraiment le cas, alors les deux vont devoir apprendre à se supporter. Oui je l’avoue ça risque de faire des étincelles…

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Quand tu me parles de l’ascenseur je me mets doucement a rire puis je me retourne face a toi en te regardant dans les yeux « Même a des paquets d’eaux je prends les escaliers. Je sens la sportive en moi là ? » Ouais je me vente un peut de mes exploits sportif, faut bien des fois ! Mais c’est vrai que je pourrais le prendre mais ce n’était pas vraiment mon truc en faite, j’ai tellement pris l’habitude de les montés quand je m’étais faite opéré du genou pour le garde en forme et ne pas rester bloquer maintenant je ne les quitte plus. Une fois sur le palier une petite conversation s’engage avec la vieille dame d’en face qui plus ais est à moitié sourde donc je n’avais pas de réelle problème avec elle. Je comprends que si je serais rentré il y a moins d’une heure surtout en ta compagnie j’allais bien rire et je ne sais pas si j’allais vous garder l’un comme l’autre. J’ai peut-être une relation particulière avec Bryan mais ce n’était pas pour autant que je lui cède tout. Quand tu me parle de la vieille dame, une fois a l’intérieur je te pousse gentillement et je te regarde en riant doucement « Ouaaais, c’est méga cool j’vais t’faire un pull tien ! » moi et ce truc c’était pas possible, je n’avais pas la patiente pour. Mais je rentre bien évidemment dans ton jeu en venant alors me mettre en fin à l’aise chez moi. Plus de veste sur les dos, les chaussures débarrassées. Je navigue alors sur le carrelage en chaussette se qui m’amuse car je me mets doucement à glisser en arrivant dans la cuisine. Et oui comme une gamine…

J’ouvre alors le frigo puis je fais une remarque sur ton frère puis je relève le nez avant de prendre les bières à ta réplique. Ou j’allais dans ton sens ou je le contourne et puis ouais j’allais le contourné ça pouvait être drôle quand même ! « Après il a peut-être fuis le pays pour te faire croire qu’il faisait pas le poids, mais en réfléchissant bien … Tu ne dois pas faire le poids en faite ! » Je viens alors afficher un sourire sur mes lèvres assez pervers puis je te regarde de la même façon. Ayant vue ton frère plus d’une fois se baladé nue ou, dans d’autre circonstance je viens te dire ses paroles en me l’imaginant ainsi. Mais je replonge mon nez dans le frigo, je te laisse faire des remarques sur mes bébés, ouais j’en suis fan limite gaga d’eux ! Je les trouve enfin et je reviens, je les ouvre et les déposes sur le comptoir puis j’en garde une en main. « T’en vouloir ? Bien sur que non. Il l’a bien mérité ! » je fronce doucement les sourcils en disant ça, de toute façon tu n’as pas a en savoir plus sur ce qui c’est passer. Tu as su le principale, après c’était vrai que ce n’est pas la première fois qu’il me retrouve. Je secoue doucement la tête et prends ma bière une fois que t’as cogné dedans. Je dépose le goulot a mes lèvres et en bois une longue gorgé. Mais tu reporte ton attention sur mon furet « Fiche leur la paix a mes chiens de gardes ! » je dis en riant doucement puis je dépose alors ma bière pour m’approche de toi du moins de lui « Ouais, lui c’est Sethi, et j’en ais deux autres Jacki Chan & Bruce Willis ! » Je leur avais des noms d’acteurs au deux autres car c’est des frères qui se battent souvent. Je l’attrape doucement entre mes mains, le pauvre il ne bougeait même pas. Je te regarde, puis je vais rapidement l’emmener dans la pièce d’accoter hors de ta vue. Je reviens en parlant mais surtout en faisant la con comme toujours, je glisse sur mon carrelage comme si j’étais sur un surf manquant de tomber « Ce n’est pas ça qui vont te manger tu sais ? C’est même les meilleurs animaux de compagnie, les animaux les moins chiants ! Tu mets un chien a coter ils sont bien plus calme ! » je te souris en te taquinant. Je comprends bien que tu n’aimes pas trop ça.

Je reprends alors ma place derrière le comptoir en attrapant ma bière j’allais pour en boire une gorgé que tu me pose la question. Je hausse doucement les épaules, je bois ma gorgé puis dépose a nouveau ma bière. « Ouais il y a quelques semaines déjà. Je te rassure on ne c’est pas foutu sur la gueule. J’peux être méchante mais, je n’sais pas j’ai eu un élan de gentillesse donc bon. On verra bien. » Je hausse a nouveau mes épaules, puis attrape ma bière en main pour aller m’assoir sur le plan de travaille derrière moi qui est face a toi. C’est vrai qu’elle a voulu qu’on se voie. Je lui avais fait comprendre que, s’ils venaient à être ensemble pour de bien fallait qu’on trouve un terrain d’entente puis que, tu faisais ta vie. Mais tout a coup je lève le regard en ta direction « Et ne dis pas ou n’insinue même pas le fait que je puisse être jalouse d’elle d’accord ? » on me l’avais souvent fait insinué en ta personne ou celle de Bryan qu’en réalité je ne le suis pas. Je n’ai juste pas envie de vous perdre. Ouais Bryan est dans ce sac aussi mais après avoir passé et vécu se qu’on a vécu c’était un peut normal. Puis je n’avais pas à l’être jalouse ça ne sert qu’à créer des embrouilles. Je t’ai alors dis ses paroles sur un ton légèrement en colère, parce que j’en avais un peut marre qu’on dise des choses sur se que je ressens alors qu’on ne me connaît pas mais aussi je n’étais pas du genre a montré mes émotions. Je secoue doucement la tête, puis je tourne la bouteille entre mes doigts. Tu devais aussi savoir comme ça se passe entre elle et moi, nous sommes toutes les deux dans ta vie donc c’était logique mais je n’avais surement pas spécialement envie de parler de ça.

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Me faire un pull ? Ouais cette fille en serait bien capable et c’est bien ça le problème ! Oh non elle se débrouille peut-être très bien je ne dis pas le contraire. Non, ce qui me fait peur c’est que je connais ses goûts… Oui justement je connais tout ça et ça ne m’étonnerais même pas qu’elle me sorte un pull d’une couleur bien dégueulasse ! Le genre de fringue que même un SDF ne voudrait pas avoir sur le dos ! Bon d’accord j’arrête de dire n’importe quoi puisque de toute façon ce pull ne verra jamais le jour et heureusement d’ailleurs ! Je me vois mal débarquer au clubhouse avec un haut à la con ! J’aurais sûrement le droit aux moqueries de quelques collègues et encore ça c’est s’ils ne cherchent pas à foutre le feu au pull. Bon d’accord cette fois j’arrête vraiment mes conneries et de toute façon je n’ai pas le choix, puisque la brunette m’attaque maintenant sur un autre sujet. Ouais, elle me parle de ma ressemblance avec mon frangin et bien sûr j’en profite pour taquiner ce dernier. Mais ce n’est pas du goût de mon interlocutrice qui prend rapidement sa défense, m’arrachant un petit rire au passage. C’est mignon de voir a quel point elle souhaite protéger celui qui partage son lit. Mais je vais garder cette remarque pour moi, parce que je sais très bien que la barmaid pourrait mal le pendre et chercher à me tuer en me balançant son furet dessus ! « Je comprends ton envie de vouloir défendre celui qui se glisse dans ton lit ne t’inquiète pas. » Oui bon d’accord je n’ai finalement pas réussi à me retenir. Mais l’occasion était bien trop bonne pour ne pas me jeter dessus et provoquer la jeune femme non ? Après tout de son côté elle ne s’embête pas, quand elle a l’occasion elle en profite alors pourquoi ne pas faire la même chose ?

Bière en main, j’ai même le droit à une nouvelle remarque de la brunette qui me confirme que j’ai bien fait de m’en prendre à cet homme. Et même si je n’avais pas besoin de sa confirmation, celle-ci reste agréable à entendre. De toute façon je n’avais pas d’autres solutions si ? Ce cinglé voulait utiliser une arme, je n’allais tout de même pas me laisser faire ou pire l’aider à me planter si ? En tout cas pour moi il n’y avais pas d’autres choses à faire et je ne regrette pas du tout mon geste. Encore moins quand je sais que ce malade était venu ici pour s’en prendre à mon amie. Amie qui me fait d’ailleurs découvrir ses chiens de gardes puisqu’elle m’apprend qu’elle n’a pas un mais trois furets ! Ouais trois bestioles comme ça qui se balade dans l’appartement ! Et lorsque j’entends les noms, je pense que l’on peut lire la surprise sur mon visage. « Bruce Willis et Jackie Chan ? » Je fronce un instant les sourcils en fixant la jeune femme avant de rire et secouer la tête de gauche à droite. « Tu es complètement cinglé tu sais ? » Ouais elle doit le savoir puisque je ne dois pas être le premier à lui dire. Mais dans le fond c’est aussi pour ça que tout le monde l’aime non ? Parce qu’elle est complètement folle ! Et sa folie elle me la prouve une nouvelle fois quelques instants plus tard quand elle disparaît avec le furet pour revenir seule et glisser sur le carrelage, manquant de se casser la figure en arrivant à mon niveau. « Je veux bien te croire, mais je préfère quand même le chien. » Lâchai-je en avalant une nouvelle gorgée de ma bière.

Les noms des furets en tête, j'aborde maintenant un sujet un peu plus délicat, puisque je parle de Angelina et du récent tête à tête que Lisis a eu avec elle. La barmaid me confirme alors que celui-ci s'est bien passé. Elle pourrait alors s'arrêter là mais non, elle enchaîne ensuite en haussant légèrement le ton pour me faire comprendre qu'elle n'est pas jalouse. Jalouse de qui ? Encore une fois je ne comprends pas ce qu'elle me raconte, je suis juste là, à la regarder s'énerver toute seule à propos d'une chose que je n'ai même pas dit. « Et pourquoi j'irais raconter ça ? Au contraire c'est justement en me balançant ce genre de truc que je peux commencer à me poser des questions. » Oui d'accord j'en rajoute un peu pour l'énerver mais c'est de bonne guerre non ? Après tout c'est elle qui vient de s'énerver toute seule en me parlant de Angelina. « De toute façon tu vas devoir la supporter si cette histoire devient sérieuse. Alors évite de jouer au chien de garde avec elle, parce qu'elle n'est pas ici pour me faire du mal. » Je termine ma phrase par un clin d'œil pour bien faire comprendre à mon interlocutrice que tout est cool, avant d'avaler une gorgée de ma boisson et reposer celle-ci sur le comptoir. « Et sinon qu'est-ce que tu penses d'elle ? Parce que c'est bien beau de vouloir montrer les dents, mais au final on a jamais vraiment eu l'occasion d'en parler. » Oui son avis est tout de même important. Bien sûr le fait qu'elle ne l'apprécie pas ne m'empêchera pas de voir Angelina, mais je souhaite tout de même savoir ce que mon amie en pense vraiment. Dans un sens elle fait un peu partie de ma famille non ? Alors elle a aussi le droit de me dire ce qu'elle a en tête.

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Cette histoire de pull est assez comique, c’est vrai que j’en serais capable mais pour ton image et pour ton bien être je ne le ferais pas. Il ne serait surtout pas droit, avec plein de trous et aussi. Ca n’aurait pas été très esthétique en faite. Enfin bon, j’aimais bien avoir ses petits moments comme ça, amusant avec toi. C’est pour ça aussi qu’on part sur le sujet de ton grand frère. Bizarrement, je prends instinctivement ça défense. Pourquoi ? Je ne le sais pas vraiment mais bon, c’est comme ça. Je sais que ton frère t’as déjà parlé de moi, qu’il n’hésite pas à en parler. Mais je ne sais pas si tu connais réellement la nature de notre relation en y repensant bien je dois avouer que par moment avec lui je suis un peut perdu, comme déboussoler a ne plus trop savoir qui il représente pour moi. Mais a t’es paroles je comprends bien que tu es entrain de me chercher, tu avais le choix a se que je te balance quelques choses a la figure pour rire ou tout simplement te répondre dans la subtilité fine que je détiens.  « Ne soit pas jaloux mon chou. Faut que tu arrives à te faire à l’idée que ton grand frère a des pouvoirs sur moi que tu n’auras jamais. Lui au moins il sait comment me faire taire ! » Je te fais un petit clin d’œil puis je reprends se que j’étais entrain de faire. Parler de ça avec toi me fait très bizarre. Je n’ai pas l’habitude de parler de mes relations comme celle-ci avec toi. Encore avec mon frère je sais qu’il me tire les verres du nez, mais là toi. Je ne sais pas, après tout je sais que je peux avoir confiance en toi.

Cette histoire là se clôt sur le fait que tu as bien eu raison de t’en prendre à lui. Car oui, je ne parle pas de mon passer et ce n’est pas plus mal comme ça. Je me porte tellement mieux sans que tout le monde le sache. Je pense que je les caches a … tout le monde. Ou certaines personnes connaissent de simple passage comme ça. Je ne vois pas a quoi ça serre de le connaitre en détails en réalité. La personne que j’étais il y a des années en arrière a totalement disparus et ça, beaucoup s’en ai rendus compte. Mais bon après c’est un choix que j’ai fais pour devenir qui je suis. Bref, ce n’est pas le moment de penser à ça ni même a quoi que ce soit qui me rappelle a nouveau se que j’ai vécu. Entre le dégoût et la surprise des expression de visage sont nettes et précisent ce soir. Car oui, je leurs aient donnés des noms d’acteurs et ça, ça j’adore. Quand je t’entends répéter leur nom mais surtout me dire que je suis cinglé un rire m’échappe de l’entre de mes lèvres. « Je le sais, je l’avoue et je l’assume. Je t’es pas dis mais tout les soirs j’ai une palette de petits cachets a prendre avant de m’endormir pour ne pas trop sombré dans la folie ! » Même dans mes propos on pourrait me trouver totalement folle si on ne me connait pas. Après l’avoir emmener ailleurs mais surtout en revenant comme une enfant j’entends tes propos. « Tu serais venus il y a une semaine, je gardais le chien de mon frère. Les quatre c’était course poursuite dans l’appartement. » je ris doucement en te disant ça. Moi aussi j’adore les chiens mais je ne suis pas normal tu me la fais comprendre il y a quelques instants et je l’assume.

Après c’être attardé sur mes furets ou même les animaux de compagnie tu me demande comme c’est passer le tête à tête avec Angelina. Mais j’avoue avec une certaine certitude de ne pas me balancer des choses que je ne pense tel que je suis jalouse. Bien trop de personne me l’on balancer récemment surtout parce que je suis proche de toi. Je baisse un instant la tête, étant toujours assise sur le plant de travaille en secouant la tête. Ouais je prends un peut trop la mouche mais bon… Je relève rapidement le regard sur ta personne « Simplement parce que j’en ai marre qu’on le pense, qu’on le dise ! » tu as le chic aussi pour m’énerver au reste. Ont a tous les deux plusieurs connaissances ou amis qui nous connaissent ou qui penses cette chose. Je sais que tu ne la jamais entendus, mais moi derrière un bar ont entend bien trop de chose qui ne nous plaisent pas surtout quand c’est sur moi ou sur d’autre personne. Je me retiens alors de répondre a ta phrase suivante, après tout je n’ai jamais dis que notre tête à tête c’est mal passer au contraire. A ton clin d’œil qui veut tout dire je hausse doucement les épaules et laisse un petit « hum » sortir de ma bouche. Je viens rapidement finir ma bière que j’ai entre mes mains, passer une main dans mes cheveux puis relever mon regard sur toi. Toi, me demander comment je la trouve. « Vrai. Et bien, j’ai envie de te dire que je ne suis pas la seule a être sur la défensive mais elle a quand même l’air sympa. » Sympa, un mot qui résonne pas très bien dans ma bouche. C’est tellement rare que je dise ça que, par moment on pourrait penser que je ne le pense pas. Mais a ce moment présent, je le pense vraiment. Après tout, on essaye de repartir toute les deux sur de bonne base pour que ça ne te touche pas trop. « Après je ne la connais pas t’en que ça donc je ne peux pas vraiment jugé. » C’est vrai que je pourrais te dire des choses qui me sont de suite venu en tête quand je l’ai vue mais après tout je ne le fais pas ça serait de trop mais surtout ça sera chercher l’engueulade pour rien. « Après si t’es bien avec elle et que vous vous entendez bien c’est l’essentiel non ? » Après tout c’est la vérité si t’es bien avec elle c’est le principale. T’es mon ami, mon frère et j’ai envie que, malgré que je sois un peut trop impulsive la dessus, j’ai envie que tu sois heureux avec la personne qui te convint… J’ai alors déposé mes mains sur le rebord pour m’appuyer tout en te regardant. Parler de couple, j’ai du mal mais après tout je ne vais pas abréger cette conversation je suis aussi là pour que tu puisses en parler.

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Jaloux de Bryan ? Naaaah c'est pas mon genre mais il faut croire que Lisis aime mettre ça sur la table dans l'histoire de me provoquer. Est-ce que ça marche ? Pour le coup pas du tout mais ça à au moins le mérite de me faire rire et c'est bien ça le principal non ? Dans le fond nous sommes ici pour se marrer un peu avant de nous séparer et nous retrouver demain au boulot. Donc non la danseuse ne m'énerve pas mais elle est tout de même sur le point de me faire vomir quand elle commence à parler de ce que Bryan est capable de faire pour la faire taire. Oui bon d'accord je vais peut-être un peu loin puisque je ne vais pas vomir pour ça mais, je ne cache pas une légère grimace quand elle termine sa phrase, signe que je n'ai vraiment pas envie d'en savoir plus. C'est vrai merde, Lisis c'est comme ma petite sœur et je n'ai pas franchement envie de savoir ce qu'elle peut faire avec mon frangin ! C'est des coups à faire des cauchemars toute la nuit et déjà que je ne dors pas beaucoup... Non, non, je n'ai pas de soucis avec l'insomnie ou les trucs du genre, c'est juste que je rentre souvent très tard et que je dois me lever tôt. Et automatiquement avec un train de vie comme celui-ci, il est difficile de dormir huit heures par nuit comme les spécialistes aiment le conseiller. Enfin bon, ne pas écouter les pro du sommeil n'est pas très grave, après tout il y a des tas de conseils bien être à la con que je n'écoute pas et heureusement d'ailleurs, sinon j'aurais juste à me foutre une balle dans la tête. Non mais c'est vrai, entre les choses qu'il faut bouffer en grandes quantités et les trucs qu'il faut éviter, c'est des coups à perdre la tête et puis franchement, je ne m'imagine pas passer une soirée sans descendre quelques bières ou quelques verres de whisky. Alors ouais je ne vais sûrement pas vivre jusqu'à cent ans et je m'en balance, au moins j'aurais bien profité de la vie contrairement à certaines personnes ! Et en parlant de personne qui profite de la vie, Lisis est pas mal dans son genre, ouais elle prend toujours la vie du bon côté, peut-être même un peu trop oui, parce que par moment même moi je ne suis pas capable de la suivre. Mais du moment qu'elle s'amuse, ou est le problème ? Moi j'en vois aucun, sauf si bien sûr elle recommence à me parler de sa relation avec mon grand frère... « Au pire tu peux garder ces explications pour un psy, moi j'ai pas franchement envie de savoir ce que vous pouvez faire ensemble. » Et il faut d'ailleurs que je trouve rapidement un autre sujet de conversation, parce que entre les folies qu'elle fait avec Bryan et ses furets qui ont des noms d'acteurs, ça ne m'étonnerais pas que le prochain truc qu'elle me balance soit en rapport avec les extra-terrestres ! Et peut-être que Lisis vient d'une autre planète, ça expliquerait beaucoup de choses... Ouais bon d'accord là c'est moi qui suis en train de perdre la tête. « Tous les soirs ? Et ça fait combien de temps que tu as oublié de les prendre ? » Bien décidé à embêter mon interlocutrice, je lui offre un petit sourire histoire d'en rajouter une couche, avant de finir ma bière et jeter un coup d'oeil vers la pièce où les furets sont maintenant enfermés. « C'est les voisins qui doivent être contents quand tu récupère le chien du frangin. » Cette fille a quand même beaucoup de chance d'avoir des voisins plutôt cool, c'est en tout cas l'impression que j'ai eu en voyant cette petite vieille en entrant dans l'appartement. Dans un autre coin de la ville je suis certain qu'elle aurait déjà contacté Bryan ou peut-être même moi pour venir jouer des poings contre des casses-couilles qui ne supportent pas le bruit.

Les furets dans une autre pièce, la danseuse visiblement bien installée sur son plan de travail, il est maintenant temps de passer à un sujet beaucoup plus sensible. Et comme je pouvais m'y attendre, il ne faut que quelques secondes pour que mon amie s'énerve pour une raison qui m'échappe puisqu'elle n'a aucun rapport avec ce que j'ai pu lui balancer comme bêtises. C'est vrai, je n'ai jamais parlé de jalousie, alors pourquoi est-ce qu'elle réagit de cette façon ? Bon bien sûr maintenant qu'elle a fait cette erreur je vais en profiter pour appuyer dessus mais au départ ce n'était vraiment pas mon objectif ! Comme quoi, même quand j'ai envie d'être sympa et sérieux, la petite brune m'incite à devenir chiant... « Parce que certaines personnes dont déjà venues te voir pour te dire que tu étais jalouse de Angie ? Les personnes qui sont au courant de cette histoire sont aussi nombreuses que ça ? » Ouais pour le coup je suis assez étonné, je ne m'attendais pas à une explication de ce style. Mais je fais avec et reprend ma concentration après avoir avalé une gorgée de ma boisson. « En même temps il n'y a aucune raison pour faire la guerre si ? » Et heureusement d'ailleurs, sinon les soirées risquent d'être de plus en plus mouvementées... « Les choses se passent très bien oui et contrairement à ce que tu pourrais penser, elle n'est pas là pour me planter un couteau dans le dos. » Du moins je ne l'espère pas... Non vraiment les choses se passent bien avec Angelina et ça fait maintenant deux ans que ça dure, alors c'est plutôt bon signe non ? Enfin je crois mais c'est aussi la première fois que je me retrouve dans une relation comme celle-ci, alors ouais c'est pas facile de se faire un avis puisque je n'ai aucune comparaison. Bref je verrais bien ce que l'avenir me réserve tout simplement ! En attendant je continue de siroter ma bière bien tranquillement. « Et toi ça donne quoi ? Tu cherches un truc sérieux avec mon frangin ? Ou tu as quelqu'un d'autre en vue ? » En voilà une question intéressante, qui pourrait ne pas plaire à Bryan et qui dans le fond pourrait me faire marrer...

Tu sais que... non rien. •
Jax & Lisis

En voyant ta grimace je comprends très bien que tu ne veux pas en savoir plus et je me tais. Je n’insiste pas plus la dessus, c’est ton frère et je te considère comme un frère aussi donc c’est vrai que c’est assez délicat pour toi de savoir tout ça. C’est a se moment là que je me rends compte que Bryan est totalement différent de toi. Est-ce que j’aurais eu la même relation que j’ai avec lui si je t’avais rencontré plutôt ou dans les mêmes circonstances que lui ? Je n’ose même pas imaginé en réalité. Chose qui met impensable. C’est comme si je m’imaginais au lit avec l’un de mes frères… Non mais non, faut que je m’enlève cette image de la tête c’est assez affreux et dégoûtant à la fois. Même si en vrai ça arrive. Des frères et sœurs, ensembles, qui couchent et qui…Eurk ! Non stop. C’est quelques choses qui me faire sortir de mes gonds a chaque fois. Mais bon, je suis peut-être une fille complètement folle qui ne regarde pas conséquences qui peut arriver, malgré que je n’ai pas toujours été comme ça, je suis capable d’enchaîner une soirée puis une journée de boulot. Mais soirée bien mouvementé qui peut avoir des conséquences mais bon voilà je profite de ma vie, une vie que je n’ai mas toujours eux et qui, ma soudainement éclaté au visage quand j’étais en Irlande. Tout se qui a pu se passer là-bas ma rapidement fait ouvrir les yeux peut-être pas dans le bon sens mais, ça la fait… Quand tu me parles d’aller voir un psy pour en parler, je prends un air réfléchis puis rapidement je souris et secoue la tête de gauche à droite bien trop amusé par la situation. « Tu sais, chez moi les psys sont nos dieux Égyptiens, c’est eux qui nous écoutent le plus et qui nous conseillent ! Essaye un jour, tu verras ! » bien évidemment j’en rajoute, puis pour montré le fait que mes soit disant cachets je ne les prends plus. C’est pour ça qu’à ta question je hausse les épaules, puis je viens compter sur mes doigts, 1, 2, 3 … jusqu’à 5 voir 7 comme pour te montré les jours, ou bien des mois. Je laisse un petit rire m’échapper après ça. Ca fait du bien. Quand tu me parles parle du chien je fais un signe positif de la tête « Tellement, la vieille dame adore les chiens, c’est le voisin du dessus qui est … chiant. C’est un flic j’ai envie de dire ! » Je ris doucement en t’expliquant ça. Plus d’une fois j’ai eu une altercation avec lui. Bien sur sans conséquences derrières mais j’ai a la limite des choses.

Je souffle un peut puis une fois installer face à toi malgré tout, le sujet change et mon humeur lui aussi. C’est vrai que je montre certaines émotions assez bizarrement, je n’avais pas, du moins plus cette habitude d’avoir la délicatesse d’expliquer se que je ressens. Quand tu poursuit sur le fait que certaines personnes sont venus me parler par rapport à vous c’était pas exactement ça. « Pas spécialement avec Angelina, mais tu m’connais Jax ! Tu sais très bien que je dis tout haut se que je devrais penser tout bas. Que je m’exprimes comme si j’étais seule. » Je soupire doucement, c’est vrai que derrière mon bar je me permets de dire des choses tel que « Quelle grâce j’y crois pas ! » , « d’où elle s’approche. » bien évidemment je ne le fais pas spécialement exprès. Je sais que tu allais pousser la dessus jusqu’au moment ou j’allais clairement te dire que tu me fais chier puis ça sera passé. Le tact, je ne l’ai plus en effet. Puis ça devait être une habitude chez moi. Une habitude de pousser les gens à bout et qu’ils soient chiant avec moi. C’est surement une sorte de protection que je me suis fait en faisant ça, m’interdire d’exprimer mes émotions, sentiments. Non il n’y a pas de raison, je viens doucement inspirer mais je ne réponds, tu connaissais déjà la réponse de toute manière. Je hausse doucement les sourcils, te planter un couteau dans le dos, ça arrive tellement vite malheureusement. « Ouais. » voilà ma seule réponse à ça. Je n’allais pas en dire plus de toute façon sur cette relation. Tout se passe bien t’en mieux. Bon j’étais passé a de l’amusement a une espèce de sentiment désagréable a présent, colère non quand même pas mais un mélange d’énervement à un sentiment que je n’arrive pas décrire. Quelques choses qui t’énerve mais au point d’en devenir triste car ça pèse. Mais cette sensation allait s’accentué quand tu commence à me parler de relation sérieuse. Surtout avec ton frère. Tu savais très bien que le sérieux je n’en voulais plus du moins plus. J’avais trop souffert et je n’avais pas envie que sa recommence. Donc sur un ton légèrement énerver et amusé dans la façon la plus ironique du monde. « Ton frangin et moi du sérieux ? T’as cru quoi. Ne faut pas rêver là sur ce point. Surtout pas avec lui. » Je secoue la tête et descend du plan de travaille pour me dirigé vers le frigo et prendre une seconde bière. « De toute façon qu’est-ce que j’en a foutre d’avoir une relation sérieuse. Ca n’apporte que des emmerdes plus grosses qu’on ne le pense mais surtout je n’ai pas envie. Demande a ton frère tu vas voir s’qu’il va te répondre ! » J’essaye de retenir mes propos les plus possibles. Je n’avais pas envie de dérapé. Même si tu n’allais rien dire, Bryan ne serait pas du même avis que moi et encore moins apte a parler normalement. Ont serait plus entrain de se bouffé la tronche et de s’envoyer des pires insultes qui nous passent par la tête que de parler de chose comme ça. Est-ce qu’un jour je vais m’avouer que je tiens a cet imbécile ? Je ne sais pas, surement pas. Se que je ne me rends pas compte c’est que sur mon visage on pouvait voir comme une petite de jalousie, jalousie du au comportement qu’il opte en vers d’autre. Des préférences qu’il puisse avoir. Bref, puis depuis Cassidy je n’ai jamais eu envie d’avoir quelques choses de sérieux. Je secoue la tête en soupirant doucement, j’apporte ma bière à mes lèvres. Par moment j’aimerais tellement être normal et redevenir celle que j’étais.

Tu sais que... non rien. •
Jax & Lisis

Non vraiment je ne pourrais pas tenir une conversation avec Lisis, durant laquelle la jeune femme s'amuse à me parler de ses histoires de cul avec mon frangin. Habituellement je m'en moque complètement, si une connaissance vient me raconter une connerie ou un problème en rapport avec ça je vais écouter voir même ne pas y faire attention. Mais quand il s'agit de Lisis et Bryan c'est différent ! D'ailleurs ce n'est pas qu'en rapport à mon frangin, non c'est aussi en rapport avec mon interlocutrice et je pense qu'elle peut me comprendre, parce qu'elle aussi n'aurait pas vraiment envie que je lui raconte ce que je fais au lit lorsque je suis avec Angelina. Du moins je l'espère sinon je risquerais de paniquer... Non pour redevenir un peu plus sérieux, je n'ai franchement pas envie de l'entendre me parler de choses aussi perso, je suis prêt à lui donner des conseils et lui venir en aide quand elle a des soucis mais il y a quand même des limites ! Et celles-ci je ne suis pas prêt à les franchir. Non mais c'est vrai, imaginer la fille qui je considère comme ma sœur faire des choses au lit... Non vraiment c'est des coups à devenir insomniaque ! Heureusement pour moi, la brunette comprend bien le message puisqu'elle accepte de changer de sujet. De toute façon je ne lui laisse pas vraiment le choix puisque c'est moi qui qui incruste le psychologue dans la conversation. Mais la jeune danseuse ne se fait pas prier pour rebondir sur cette taquinerie et faire une remarque qui arrive à m'arracher un mince sourire. Je ne connais pas franchement la culture Égyptienne et je n'ai pas envie d'en parler pendant des heures, mais la réponse de la jeune femme qui se trouve devant moi semble assez sincère. Alors oui, soit elle est sérieuse et me raconte la vérité, soit elle prend un malin plaisir à se foutre de ma tronche ce qui est bien possible aussi ! « Je préfère te laisser tous les psy du pays, je suis certain que tu as beaucoup de chose à leur raconter. » Bon c'est pas totalement vrai, puisque par moment je suis sûrement aussi dingue qu'elle mais pas question de mettre les pieds chez un type qui prend beaucoup trop d'argent par séance pour faire du coloriage sur son putain de carnet. « Avoir un flic comme voisin c'est franchement pas terrible, surtout pour une fille comme toi... » Mes lèvres s'étirent une nouvelle fois avant de prendre la forme du goulot de la bouteille quand j'approche celle-ci de mes lèvres pour avaler la dernière gorgée qui s'y trouve. « Un flic, une vieille qui perd la tête... Franchement tu es dans ton élément ici ! Manque plus qu'un travelo dans l'appartement du dessous et c'est parfait. » Non c'est vrai, Lisis semble aussi folle que ses voisins alors c'est parfait, même si je suis assez étonné de voir que la petite n'a pas encore eu de soucis avec le flic... Ouais avec son caractère elle aurait facilement pu le provoquer ou l'envoyer chier, enfin c'est peut-être déjà le cas mais je ne suis pas au courant de l'histoire.

« Je te connais oui et c'est une bonne chose de ne pas avoir la langue dans sa poche. Enfin c'est une bonne chose pour moi. Mais je ne suis pas en train de dire que tu es jalouse, je dis simplement que tu vas devoir apprendre à connaître Angie, parce que si notre relation continue sur cette voie, tu risques de la voir de plus en plus souvent débarquer au pub. » Et bizarrement, je n'ai pas envie de devoir gérer les prises de têtes entre ses deux filles, en plus de devoir gérer les ivrognes qui viennent se foutre sur la gueule dans le bar... Mais je me rassure en me disant que ce sont toutes les deux des grandes filles et que ça devrait bien se passer, enfin je crois. Ouais si c'est pas le cas je suis vraiment mal et j'ai pas fini de rentrer chez moi le soir avec un affreux mal de crâne. Heureusement, je me rassure en me disant que je ne suis pas le seul à finir avec ce fameux mal de tête. Non, Lisis aussi semble le récupérer quand je dirige la conversation vers sa relation avec Bryan. A l'entendre, on pourrait croire qu'elle n'en a rien à faire de mon grand frère et je pourrais la croire si elle n'était pas en train de s'énerver en me racontant tout ça. C'est vrai, généralement si on se moque de quelqu'un on ne fait pas attention à lui et on ne se prend pas la tête quand on doit en parler si ? Ouais je sais pas, je suis peut-être à côté de la plaque avec ma façon de faire, mais je continue de penser que cette relation n'est pas très clair. « Je parle de mon frangin parce que c'est le seul que j'ai la chance de connaître. Tu pourrais très bien craquer pour une autre de tes fréquentations, ce que j'essaie de te dire, c'est simplement que tu as aussi le droit à une relation sérieuse. » Je l'observe récupérer une bière dans le frigo avant de hausser lentement les épaules et attendre qu'elle se retourne pour reprendre la parole. « Certaines relations sont bonnes à prendre et a faire durer. Je suis d'accord ça peut causer pas mal de soucis, mais les coups d'un soir aussi. Ça te fait pas chier de te retrouver ici seule tous les soirs ? Ou pire encore de débarquer avec un nouveau mec chaque nuit qui a juste pour objectif de te sauter ? » Bon j'y vais peut-être un peu fort mais au final j'ai pas vraiment tort si ? C'est bien ce qui se passe et je ne peux pas lui jeter la pierre, je comprends qu'elle puisse aimer ce genre de relations, mais penser qu'une relation plus sérieuse peut apporter encore plus de problèmes, pour moi c'est une belle connerie. « Enfin tu fais ce que tu veux, je suis pas ici pour te faire la morale tu le sais bien. Mais si un jour tu penses avoir des sentiments pour quelqu'un, prend le risque de lui avouer même si tu peux t'en mordre les doigts après. Parce que si tu ne le fais pas et que cette personne s'éloigne, tu vas sûrement t'en vouloir toute ta vie. Et finir seule dans ton appartement avec une trentaine de furets ! » J'affiche finalement un large sourire et fait un clin d’œil à mon interlocutrice avant de jeter un regard à mon téléphone portable.

Tu sais que... non rien. • 
Jax & Lisis

Il est vrai que cette conversation est assez bizarre et pour toi et moi. C’est pour ça que je ne prends pas la peine de répondre. Je n’ai pas trop envie que tu t’imagines mes aventures avec ton grand frère. Sujet qui allait revenir un peut plus tard. Mais la taquinerie entre nous n’est qu’habituelle ont dirait bien, comme si ça faisait de nous se que l’on ais. Toujours à s’envoyer des vannes, vannes qui ne peuvent que nous faire rire. Par moment je me demande se que les autres peuvent bien penser de nous en nous entendant. Nous avons toujours quelques choses dire, a répliquer, comment je faire des films avec une simple phrase, rire de nos têtes que l’on peut faire en pensant à quelque chose. Rien de tout, je ne le vivrais avec personne d’autre. J’ai quand même une chance, une chance de t’avoir. Même si je ne te parle pas de tout, je sais qu’avec toi tu me changes totalement les idées. Les sortes d’idées qu’ont penses quand ça ne va pas, quand on est fatiguer ou bien même quand on a passé une salle journée. Des pensés qu’on a envie d’oublier et non de ressassé quand on est seul. On ne dirait pas comme ça, mais je ne l’avoue pas, à personne, si a mon frère, quand ça ne va pas. Quand je n’ai pas envie de m’amuser mais tout simplement de pleuré a chaude larme. Oui a moi aussi ça m’arrive, je suis humaine… Le coup du psychologue ne peut que me faire rire, je pense que toi comme moi nous n’iront jamais en voir un. J’ai pas envie de raconter ma vie à un homme qui ne t’écoutera pas du tout ou bien que te balancent des réponses qui ne sont pas celle que tu attends. Un simple haussement d’épaule te faire comprendre que non. Même un psy me prendrait pour une folle et me ferait enfermée. Puis comme ça nous parlons de mes voisins « En y réfléchissant bien mon voisin flic était un vrai casse cou au début mais a la longue ça va je me suis habitué et lui aussi j’ai limite envie de dire qu’il est cool ! Je pense que ça serait le mec casse cou sur les lois etc mais qui c’est faire la fête tu vois ? » Mais je ne t’en dis pas plus parce qu’il y en a pas a dire plus. C’est vrai que même s’il est flic je n’hésite pas à lui dire se que je pense. Enfin la conversation des voisins se termine sur le fait d’avoir un travelots serait assez drôle je te regarde en plissant les yeux et un sourire ironique aux lèvres. C’est vrai qu’on ferait un beau groupe mais, ce n’est pas le cas. J’ai jamais cherché à connaître qui vit au dessus de chez moi en faite.

Le fait que tu me parles d’Angelina est bien, je trouve ça très bien même. Je ne suis plus obliger de te tiré les vers du nez pour en savoir un peut plus. Mais quand tu me dis que je dois apprendre a connaître Angelina je te regarde et fait un geste des mains qui accompagne bien mes paroles « Doucement, doucement hein. Après elle vient t’en mieux, elle ne vient pas t’en pis. J’irais pas la voir comme si c’était ma meilleure amie. Maintenant je sais se qu’elle représente pour toi, donc laisse moi l’temps d’accord. J’ai d’jà fais un effort surhumain la dernière fois pour faire le premier pas et m’excusez donc m’en demande pas trop. » Après je sais que si j’ai clairement envie de lui qu’elle m’emmerde je n’hésiterais pas, même si ça va plus loin entre vous deux. Jamais je n’aurais ma langue dans ma poche, pour quiconque de toute façon, même si sa m’attire des problèmes, tu as déjà du remarquer ça. Mais en parlant de problème le sujet de ton frère doit en être un pour moi. Je me fou de lui mais, au fond de moi il y a quelques choses qui me retient, qui m’empêche de l’oublier surement. Pourquoi j’ai réussi la première mais plus maintenant ? Est-ce que la premier fois je l’ai vraiment oublié ? Mais tu me dis que je peux très bien craquer sur quelqu’un d’autre ou de me dire que c’est le seul que tu connais je secoue la tête en te regardant. « Arrête Jax, c’est pas le seul tu le sais très bien. C’est juste que rien c’est bon. » Puis j’apporte rapidement ma bière a mes lèvres t’es paroles « C’est simplement que tu as aussi le droit à une relation sérieuse » j’avais déjà donner et je n’en voulais plus. Mais je fronce rapidement les sourcils en venant doucement hausser la ton « Et alors ? Merde, si c’est mon choix d’avoir un mec ou même une nana chaque soir pour coucher avec c’est mon choix non ? J’ai pas envie de m’emmerder les soirs que je rentre ici, j’ai pas envie de m’emmerder avec quelqu’un qui, et tout gentil tout mielleux avec moi a chaque fois que je rentre. Ou bien qu’il me fasse un putain d’crise parce que je ne lui donne pas de nouvelle ou quoi que ce soit ! » Tu avais toujours un point assez sensible et oui tu es aller un peut fort mais c’est comme ça. J’écoute tes paroles suivante qui, a vrai dire ne me font pas spécialement rire. Je descends rapidement du plan de travaille, sur les nerfs c’est le mot. Je sors de la cuisine passe a tes coté d’un pas rapidement pour prendre mon paquet de cigarette sur la table de salon. Je sors alors une cigarette que je calle entre mes lèvres, je devais me calmer. D’une main un peut tremblante j’allume ma cigarette puis tire un longue taf sur celle-ci. Je recrache alors la fumer puis je prends le temps de te répondre « Je sais très bien Jax. Mais, je préfère me bouffé un mur qu’avoir des sentiments pour une personne. Je préfère me rongé les sangs que d’avouer ça. Je préfère souffrir et oublier rapidement cette personne que souffrir d’une autre façon. » Je viens rapidement te tourné le dos pour m’approcher de la fenêtre, une voix tremblante, triste sur la fin sur ma phrase. J’ouvre la fenêtre un peut puis je m’appuie sur le mur qui se trouve juste a coter. « souffrir d’une autre façon » je pense a Cassidy a se moment présent. La souffrance qu’elle ma fait subir quand elle ma quitté le mal que j’ai eu. Je ne voulais pas que ça recommence à présent. Passant mon bras libre sous ma poitrine tout en fumant, j’avais plus envie de parler à présent, du moins plus de ça.

Tu sais que... non rien. •
Jax & Lisis

Pendant un moment j'ai bien cru que cette fille allait s'installer sur un tabouret et me parler de sa vie intime avec mon frangin et avec je sais pas quel mec. Mais heureusement pour moi elle a réussi à comprendre que je ne voulais pas avoir ce genre de discussion. Oui heureusement parce qu'elle aurait pu mal le prendre et cette soirée aurait pu se terminer sur une prise de tête. Enfin ce n'est pas le cas alors c'est inutile de blablater là-dessus pendant des heures. Non je préfère largement en apprendre plus sur elle ou plutôt sur ses voisins qui ont l'air assez étrange. Non je ne critique pas, enfin pas vraiment puisque dans mon immeuble aussi j'ai des voisins comment dire... Hum... Bizarre... Ouais bizarre c'est le bon mot mais je pense qu'il doit y en avoir un peu partout non ? En tout cas ça ne m’empêche pas de dormir et à en juger par l'énergie de la personne qui se trouve devant moi, l'état mental de ses voisins ne la gêne pas non plus. Ce qui aurait pu la gêner par contre, c'est le fait d'avoir un policier dans l'immeuble mais elle m'explique que finalement ça se passe plutôt bien avec lui. C'est en tout cas ce que je comprends dans sa petite explication, mais je connais aussi très bien Lisis et je sais qu'elle pourrait facilement me dire le contraire dans trois jours. « Continue à me dire du bien de ton pote le flic et je vais finir par croire que tu veux l'attirer dans ton appart. » Non c'est sûrement faux mais tout les moyens sont bon pour embêter cette fille. Et puis je sais bien qu'il en faut plus pour la mettre en colère, comme par exemple le fait de lui parler de ma petite amie. Oui je vais lui donner ce nom même si officiellement Angie n'est pas encore ma compagne. Ouais il en faut pas beaucoup plus pour énerver la barmaid qui semble avoir déjà fait ps mal d'efforts pour accepter la gynécologue. Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que c'est faut ? J'en ai pas la moindre idée, généralement Angie ne me parle pas de Lisis quand elle est avec moi et c'est la même chose pour la danseuse, alors ouais j'en sais vraiment rien et je ne peux que faire confiance à la parole de mon amie. Celle-ci me demande d'ailleurs de ne pas trop en demander, ce que je n'ai pas l'impression de faire. C'est vrai, je ne suis pas en train de demander à mon interlocutrice de vivre en colocation avec Angie, je lui explique simplement qu'elle risque de la voir beaucoup plus souvent au pub si notre relation devient sérieuse, c'est aussi simple que ça. « Rassure toi, je ne m'attends pas à te voir lui sauter au cou quand vous allez être dans la même pièce. J'ai simplement pas envie de me faire chier à jouer au flic à chaque fois que vous avez le malheur de vous croiser. » C'est plutôt clair cette fois non ? Ouais je pense que mon explication n'est pas mauvaise du moins je l'espère...

Mais au final ce qui fait vraiment perdre la tête à mon amie, c'est lorsque je fais l'erreur de poser une question sur sa relation avec Bryan, ou plutôt de poser une question sur les relations qu'elle peut entretenir avec les autres mecs. Non je ne suis pas son père et je ne cherche pas non plus à lui faire la morale mais si en lui parlant j'ai l'occasion de lui faire ouvrir les yeux sur certaines choses alors pourquoi ne pas en profiter ? Bon d'accord cette fois c'est raté et tout ce que je gagne c'est les hurlements de la danseuse mais au moins j'aurais essayé. « Je suis loin d'être un putain de psy, mais si tu prends la mouche de cette façon quand je fous ce sujet sur la table c'est bien qu'il y a un problème ! Alors va-y hurle comme une cinglé si tu penses que ça va faire arranger les choses c'est pas moi qui vais t'en empêcher. Mais si je me fais chier à être franc avec toi, essaie aussi de l'être un minimum avec moi. » C'est vrai quoi, je fais l'effort de lui dire quand une chose me trotte dans la tête et de son côté elle est juste bonne à s'exciter toute seule quand j'ai le malheur de l'ouvrir au sujet de ses relations. Oui elle fait ce qu'elle veut, elle peut même passer le reste de sa vie à enchaîner les coups d'un soir si c'est ce qu'elle souhaite. Mais si elle fait ça simplement pour ne pas avouer ses sentiments alors je trouve ça complètement naze. « Bien continue comme ça alors, mais dis-toi bien que dans trente ans les mecs ne voudront sûrement plus de toi et le mec avec qui tu aurais voulu faire ta vie sera sûrement avec une autre personne. » Je hausse finalement les épaules avant de laisser échapper un long soupir. « Enfin bon si cette vie te plaît alors oublie cette discussion. Mais si ce n'est pas le cas bouge avant qu'il ne soit trop tard. » Et pour le coup je suis plutôt bien placé pour en parler puisque je suis justement en train de prendre conscience de ce genre de chose.

Je jette rapidement un coup d'oeil à mon téléphone avant de mettre celui-ci dans ma poche et reporter mon attention sur la jeune femme qui se trouve un peu plus loin. « Il est tard, je vais y aller. Merci pour la bière. » Je lui lance quand même un dernier sourire avant de quitter le tabouret et me rapprocher de la porte d'entrée que j'ai franchi il y a de longues minutes déjà.

Tu sais que... non rien. • 
Jax & Lisis

Parler de mes voisins c’est bien amusant surtout quand tu me dis que je veux attiré le flic dans mon appartement, surement, mais je pense bien qu’il a autre chose a faire d’une pauvre fille comme moi qui, cherche juste  a foutre la merde partout ou elle passe mais surtout qui le cherche régulièrement. Enfin bon, nous sommes malgré tout en « bon » terme j’ai envie de dire. Ce n’est pas parce qu’il est flic et que je suis une fille qui fout la merde que je ne suis pas obliger de bien m’entendre avec lui. C’est comme beaucoup, à un moment donné nous avons besoin d’aide et, nous demandons régulièrement aux voisins. Donc, je ne m’inquiète pas sur ma relation avec lui. Nous concluons rapidement sur le sujet d’Angelina, tu vois très bien que je sais aussi m’abstenir et je te le fais comprendre que tu ne seras pas obliger de jouer au flic à chaque fois qu’on sera dans la même pièce. Je  sais me contrôler un minimum quand même, puis comme je dis, comme ont, Angelina et moi, dit on fera cette effort pour toi d’en un premier puis par respect l’une en vers l’autre. Oui, nous ne sommes pas des filles qui ce crêpe le chinon a chaque fois. Mais malheureusement le sujet qu’il ne fallait pas entamer c’était celui-là, les sentiments, la vie de couple, l’espoir d’être à nouveau faible. Je monte bien trop vite sur mes grands chevaux sur ce point car j’ai trop souffert mais aussi, les personnes en vers qui je pourrais avoir des sentiments se moque totalement de cette situation aussi. Puis t’avoue qui serait cette personne ne pourrait que te faire rire, un rire aux éclats qui pourrait totalement me vexer. Alors a quoi bon ? Je n’ai pas trop envie de me prendre plus la gueule la dessus. Bien sur j’écoute tes paroles, tout en fumant. « Je suis bien consciente qu’il y a un putain d’bordel avec ce sujet mais c’est tu au moins qu’elle est ce problème ? Sais-tu réellement pourquoi je m’énerve comme ça ? Non ! » Je sais très bien que tu fais cette effort mais je n’ai jamais réellement eu l’occasion ou, même l’envie de te parler de ma relation que j’avais avec Cassidy. J’enchaine juste derrière. « Je ne vais pas te balancer ça comme ça un jour entre deux verres ou bien même quand on parle de quelques choses qui a totalement aucun rapport ! » Je soupire a nouveau, reprenant rapidement ma cigarette que je fume rapidement. Je sais que tu fais un effort, mais de mon coter à présent je n’ai pas trop envie d’en faire. J’entends bien t’es parole, j’entends bien que malgré tout j’vais finir vieille et seule si je continue. Mais je continuerais le temps que j’aurais oubliée, l’aurait oublié. C’est pour ça que je réplique avec une voix plus calme et triste « Je le ferais quand je serais prête et ce n’est pas le cas… » Je déglutis doucement en venant alors finir ma cigarette et la jeter par la fenêtre. Je passe alors mes deux mains sur mon visage puis mes cheveux. Mais je ne m’attends pas a se que tu me dises qu’il soit tard, je ne vois jamais les nuits passés… Je me retourne rapidement vers ta personne, je hochant doucement la tête. Je pourrais te demander de rester mais non pour que ça repartes en engueulade je n’ai pas envie. Je m’approche doucement de ta personne, malgré tout, honteuse de mettre emporter comme ça avec toi. Je laisse un petit sourire s’afficher sur mes lèvres avant de relever doucement le regard vers ta personne. « Pas de soucis. Soit prudent sur la route s’il te plait. » Ouais malgré tout, j’ai pas envie qu’il t’arrive quoi que ce soit. Je t’accompagne jusqu’à la porte en ayant toujours mon regarde sur ta personne. Je ne suis malheureusement pas ce genre de fille qui enlace les personnes ou bien qui embrasse la personne pour lui dire au revoir. J’aimerais tellement être à nouveau comme ça, j’aimerais aussi, du moins au plus profond de moi le faire mais, par moment ça paraîtrais tellement bizarre de ma part. Comment ça serait si j’aurais garde se coter là de moi, se coter ou je prends les gens a tout vas dans les bras, les bisous, les papouilles sont merveilles… Maintenant quand on essaye de me prendre dans ses bras pour simplement me dire bonjour je repousse. Quand on veut me calmer je refuse aussi à moins qu’on utilise la force… J’ai perdus ça en moi et par moment je me perds a m’imagine que tu m’enlaces simplement en me disant que tout va bien, que tout va s’arranger. C’est bête mais j’aimerais. Mais je ne te le dirais jamais. Jamais je ne l’évoquerais. La pauvre Lisis à perdu une bonne partie d’elle… Enfin, quand tu as franchis le seuil de la porte et que tu m’as rassuré que tu feras gaffe sur la route, j’entends ta moto partir au loin. Je vogue dans mon appartement, jetant alors les bières puis je me décide à me cacher dans ma chambre avec mes furets. Les caressés jusqu’à m’endormir au près d’eux.

FIN DU SUJET