Depuis que je suis partie voir ma mère je n'arrête pas de penser à toi. Je n'arrêter pas de repenser a notre conversation que nous avions eu juste avant mon départ. Est-ce que j'ai bien fait ? Je ne sais pas, mais au moins des mots on éclater, mais des blessures se sont réouvertes tel en gouffre qu'il peut avoir. Partir a New-York sous la demande de ma mère car elle avait réellement besoin de moi, mais j'ai, oui préféré venir te prévenir. Pourquoi ? Je ne sais pas, c'est venu comme ça. Je me suis sûrement imaginer les pires scénarios. Un appel, un message pour qu'on se voit et moi dans l’impossibilité de te rejoindre car je suis a l'autre bout de la terre ? Comment tu l'aurais pris, mal, sûrement oui. Que tu ne me reproche pas de nouveau d'être parti sans rien dire. Je n'avais pas ton numéro sinon je t'aurais envoie un message pour te le dire et voir avec toi se que tu voulais faire. Mais j'étais venu, comme un con a ton appartement. Mais aujourd'hui je pense qu'à mon dossier. Un dossier d'une jeune éditrice qui est venu me voir avant que je prenne mes congés. Une jeune femme totalement perdu et a ne pas savoir quoi faire sur le fait que son patron est entrain de se faire bouffer par une personne. Cette jeune femme est venu me voir stresse mais surtout angoisser par le fait de ne pas savoir quoi faire. C'est pour ça qu'aujourd'hui je la rejoins dans l'immeuble des avocats ou Julian travaille. Il est alors son avocat, enfin l'avocat de son patron pour qu'il puisse garder son entreprise d'éditerie mais aussi ne pas finir au font du gouffre. J'entre alors dans les locaux, mallette en main, costard sur le dos. Un noir de préférence. Puis je me dirige vers l’ascenseur en appuyant sur le bouton qu'il débarque devant moi. Je passe doucement une main dans mes cheveux en soupirant doucement. Je ferme un instant les yeux, je dois rester assez calme. C'était une affaire qui me stresse assez mais surtout, je ne dois pas faire de faux pas la dedans car la vie, professionnelle, de cette jeune femme et de son patron son en jeu. Si je prends la mauvaise décision c'est foutu pour eux, mais si j'en prends une autre, que va faire cet homme qui est avide d'une certaine vengeance. Je souffle doucement puis je sors mon téléphone de ma poche pour regarder qui était entrain de m'appeler. Quand je vois le numéro du bureau je décroche rapidement et tombe sur ma secrétaire embarrasser. « Jessica calme toi ce n'est pas grave. Tout le monde peut faire une erreur, rappelle le et dit lui que le rendez-vous et repousser. Tu n'as pas a paniquer comme ça t'en fait pas pour ça d'accord. » J'entends un petit bruit qui m'annonce l'arriver de l'ascenseur et la voix paniquer de Jessica m'annoncer un petit « Oui Sean, merci. » je raccroche et replace mon téléphone dans ma poche en entrant dans la machine et j'appuie sur le bouton de l'étage prévu mais aussi pour que les portes se ferme. C'était un peut trop rapide à mon goût, mais, j'entends une personne personne courir jusqu'au celui-ci et bloquer les portes pour qu'elle s'ouvre de nouveau. Un homme qui montait aussi. Je le salue puis le laisse appuyer sur le bouton. Deux étages plus haut il s'arrête et une seconde personne entre a l'intérieur. J'ai la tête baisser sur mon téléphone, captiver par mes mails, c'est au moment ou je la relève et que les portes se ferme que je te vois. Mon souffle se coupe un instant, ne m'attendait pas a te voir ici, mais surtout pas dans cette immeuble. Je déglutis doucement puis espère que le « voyage » de l'ascenseur ne sera pas trop loin. Je me permets alors de m'avancer un peut vers toi. « Bonjour Shelby... » Est-ce que je fais bien de venir ? Est-ce que j'aurais du attendre que ça soit toi qui arrive a mes coter en premier ? Je ne sais pas. Au moins tu pouvais voir que je fais a nouveau le premier pas vers toi.

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Quand je suis arriver dans cette immeuble je n'aurai jamais cru tomber sur toi mais bon après tout le destin fait bien les choses, ou non. Je ne serais pas dire. Quand j'entends t'es paroles je hausse doucement un sourcils en hochant la tête de haut en bas. Puis recule a nouveau pour venir me coller contre la paroi de celle-ci levant doucement les yeux au plafond un instant, voit les lumières qui commence a déconner. Je secoue doucement la tête a nouveau en redéposant mon regard sur ta personne. « Je t'es dis que j'allais revenir. Tu ne m'as pas cru, tu en a la preuve. » je suis tout aussi froid et sec que toi. Puis de toute façon mes benjamins ne cessaient de me demander quand est-ce que j'allais revenir a Brisbane. Je ne savais pas trop, en réalité je n'ai pas hésiter du tout a revenir. Plusieurs raisons maintenant me retient ici. Le boulot, mes benjamins, Lito qui a débarqué puis toi. C'est bête mais oui toi même si on se bouffe au fond, on veut tout les deux une vérité. Certes ça ne te fait pas plaisir de me voir mais fait au moins semblant mais non. Je m'étais mis en retrais derrière toi quand tu as montre la joie de me voir. Ca faisait toujours plaisir, mais bon, est-ce que je dois le prendre mal ? Non je ne pense pas. Je serais à ta place je penserais la même chose. La dernière personne sort de l'ascenseur puis les portes se referment a nouveau devant nous. Il redémarre mais avec un drôle de bruit. Je fronce doucement les sourcils mais j'essaye de ne pas y penser. C'est quand j'ouvre la bouche pour te poser une question que l'ascenseur se stop nette dans une drôle de mouvement mais surtout de bruit. Je soupire doucement, puis par réflexe je viens appuyer si le bouton de l'appelle d'urgence de l’ascenseur mais rien, personne au bout. « Et merde... » je le murmure doucement puis moi aussi ça m'arrive d'être grossier. Surtout dans des situations comme celle-ci. Je passe doucement ma main dans mes cheveux, je n'étais déjà pas très a l'aise dans les ascenseurs, il fallait qu'il s'arrête surtout en ta présence. Que va t'il se passer ? On va se regarder dans le blanc des yeux a ne rien dire ou on va s'engueuler ? Je ne sais pas moi-même. Je m'arrête de bouger en collant a nouveau mon dos contre la paroi d'où j'étais quand tu es entré. Posant ma mallette au sol. Je prends mon téléphone pour regarde s'il y a du réseau mais en faite non, rien du tout. Je passe mes mains dans mes cheveux doucement, stresser ? Pas du tout, ce n'est qu'un impression, ou pas. J'inspire doucement pour me calme, quand on était ensemble tu savais mes faiblesses et rester bloquer dans un ascenseur était sûrement un peur pour moi et fallait que sa arrive aujourd'hui. Je déglutis doucement, puis je dépose mon regard sur ta personne. « Que fait tu ici ? » je reste assez calme sans m'énerver. De toute façon c'est une question comme les autres et puis fallait bien que l'on oublie un instant qu'on est bloquer dans le même ascenseur pour combien de temps ? C'est une bonne question. « Oublie. » je rétorque juste derrière. Ou je prends en premier la parole, par moment j'ai l'impression que je devrais mieux me taire que dire quelques choses. Je croise mes bras sur ma poitrine observant le plafond comme pour me persuadé que ce n'est rien mais surtout que ça va vite passer.

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Je pouvais comprendre que de me voir ce n'est pas la meilleure des choses. Moi non plus je ne m'attendais pas a te voir ici, a me retrouver a nouveau ici dans cette ascenseur avec toi. Comment ça allait ce passer ? Je ne sais pas moi-même. Déjà avec mon traque invétéré des ascenseurs, de ma claustrophobie de celle-ci n'arrange pas vraiment les choses. Mais je souffle discrètement essayant de ne pas penser à ça mais c'était assez dure en vrai. Je me pose contre une paroi desserrant doucement ma cravate puis ma chemise pour mieux respirer. Quand tu es totalement honnête avec moi je dépose mon regard sur ta personne, au moins, c'était claire et je n'avais pas envie que tu passes par quatre chemins pour me dire ça. « Maintenant tu me crois quand je te dis que j'ai changer ou pas ? Après tout tu n'es pas obliger mais. Je t'es bien surprise en me voyant ici. » Je secoue doucement la tête puis détourne mon regard de ta personne. Je n'avais pas spécialement envie de me prendre la tête ici, dans cette ascenseur mais surtout je n'ai pas envie pas a nouveau. Se que je comprends bien c'est que toi aussi ça ne t'enchante pas d'être enfermé ici, d'être ici avec moi. Ton jurons me le fais clairement comprendre, me fait clairement comprendre que tu n'as pas envie d'être ici, que tu n'a pas envie d'être avec moi. C'est pour ça que j'ai oser poser une simplement petite question puis me rétracter rapidement. Mais a mon grand malheur, ma grande habitude mes petits soupirs se fait entendre. Non je ne change pas quand je suis enfermé la dedans. Je relève alors mon regard sur ta personne quand tu prends la parole. « Ce n'est pas de ma faute si je déteste ses machines et que je n'ai pas pu prendre les escaliers. » Je secoue doucement la tête. Une vieille blessure au genoux droit m'était revenu quand j'ai un peut trop forcé lors d'une course il y a deux ou trois jours avec mon meilleur ami. Mais c'est vrai que je ne suis pas agréable du tout quand je suis ainsi. Je secoue doucement la tête quand tu rajoutes t'es paroles. Je redépose mon regard sur ta personne. « Il arrive enfin a te faire quitter ton bureau a se que je vois. Après ce n'est pas la meilleur des courses mais bon. Au moins t'es bien moins entouré de tout ses hommes qui ne cesse de te reluquer. » Ok il ne dit plus rien après ça. Jaloux ? Peut-être pas. Après tout, la jalousie je n'ai jamais été sûrement parce qu'au moment ou nous étions ensemble j'avais une confiance aveugle en toi. Ou sûrement parce que j'ai changer et que je ne supporterais pas de voir quelqu'un d'autre a ton bras. Je secoue doucement la tête croisant mes bras sous ma poitrine puis je détourne mon regard. Je colle l'arrière de ma tête contre la paroi en levant le regard droit devant moi. En faite je ne préfère pas rajouter quelque chose après se que je viens de dire. C'est vrai, que t'imaginer toute une journée derrière un bureau je ne te vois pas faire ça toute ta vie mais après tout, s'il réussi a te faire bouger un peut c'est pas spécialement mal. Bon, coursier c'est pas super mais au moins tu quittes ton bureau.

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Changer, ça arrive. Je sais que j'ai mis plusieurs années pour le faire, mais au moins je viens de le faire. Je viens de changer, je viens de prendre plusieurs décision qui mon fait changer. Pourquoi pas je me confirais à toi, mais pas maintenant, pour le moment on est encore trop a cran l'un en vers l'autre pour que je puisse tout dire, a moins que ce petit moment entre nous dans cette boite en métal de passe bien je réfléchirais par la suite de comment ça pourra se passer. Quand tu avoues que tu me crois, enfin, que je suis enfin face à toi et c'est pour de vrai et je ne t'es pas laisser tomber cette fois ça me fait comme plaisir que tu l'avoue. Oui, tu pense toujours que je ne vais pas changer et c'est les premier détails que je te prouve a mon changement. « Je te l'ai dis. J'ai fais l'erreur une fois, pas deux. » Je soupire doucement en te regardant, oui j'avoue aussi d'avoir fait une erreur, l'erreur de t'avoir laisser, t'avoir laisser a Los Angeles sans rien d'avoir dit. Mais au fond je ne me crois pas vaincu ni même gagnant. Mais j'ai réussi a te surprendre alors je ne vais pas m'arrêter ici en si bon chemin. Un chemin qui est assez dur a construire mais surtout un chemin vers le pardon qui sera long et rude. Après qu'on soit a nouveau ensemble je ne sais pas, même si au fond de moi j'ai l'impression que je ne t'ai jamais réellement quitter, que je ne t'ai jamais oublier mais je garde ça pour moi. Sentimentaux oui je le suis mais je préfère le garder pour moi en ce moment. Je ne vois pas pourquoi je le dirais, pas maintenant. Je soupire doucement et me plain des ascenseurs, car oui, je n'ai pas eu le choix. Quand tu me demandes pourquoi mais surtout que tu me dis que j'ai toujours eu l'habitude des escaliers. Je dépose mon regard sur ta personne, hausse doucement les épaules. « Tu te rappelle de ma vieille blessure au genou droit que je me suis faite quand j'étais plus jeune au football américain ? » Je t'en avais parler car plus d'une fois je me faisais mal quand je forçais un peut trop quand je faisais du sport a Los Angeles. Je passe alors mes mains dans mes poches et je poursuis. « Quand j'étais a New-York j'ai retrouver mon ancienne équipe et j'ai jouer avec eu. Lors du match il y en a eu qui ma littéralement brouiller le genou lors d'un attaque. Donc depuis une semaine je suis a nouveau a la kiné, j'ai pas réellement envie de me refaire opéré. » A Los Angeles ça m'étais déjà arriver, mais je ne sais pas si tu t'en rappelle, au pire ce n'était pas grave, mais au moins c'était dit. Je n'ai aucune hésitation en te disant ça. Mais on en vient au fait que tu sois ici, quand tu m'explique le rôle d'une secrétaire, je hausse doucement des sourcils, je ne le sais très bien mais je ne réponds à ça. Je n'ai pas envie qu'on se prenne la tête pour ça en réalité. Quand je te vois pencher la tête vers moi je secoue doucement la tête de gauche à droite comme pour te dire d'oublier ça. Mais tu réplique rapidement. Je soupire doucement. « Non. Tu fais se que tu veux. » Voilà une réponse qui est assez calme, mais au fond de moi, oui je n'aime pas spécialement ça. Ce n'est pas de ma faute. Ca nous êtes déjà arriver qu'on aient deux ou trois scènes quand un mec t'approchait un peut de trop près à la DEA mais là, je ne sais pas se qui ma pris. Mais je viens de te le dire, c'est sortie un peut tout seul. Mais ce n'est pas pour autant que ma voix, que je m'emporte et que je hausse le ton. « Oublie ça. » Je finis par ce deux mots.

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Par moment, si je mets en face de moi je me foutrais des claques. Oui oui je m'en foutrais et des bonnes. Car le faits d'avoir été quelqu'un de désagréable, de méchant mais surtout d'hypocrite envers toi n'étais pas quelque chose d'acceptable. Puis comment, comment je n'ai jamais pu te parler de se qui me tourmentait, enfin, se qui me tourmente encore car, malgré tout, ce qui c'est passer dans mon passer c'est pas quelque chose d’anodin et que l'on oublie. On vit tout simplement avec et c'est vrai que je ne veux absolument pas lui ressembler. Julian me soutient que ça n'arrivera jamais mais en réalité j'ai commencer a prendre son chemin. A être une personne froide a cacher se qu'il se passe dans ma vie, a cacher les raisons mais surtout a les cacher aux personnes que j'aime, que j'aimais. Et en faisant ça j'ai t'ai totalement perdu ce que je regrette réellement. Car je n'aurai pas été comme ça on ne serait pas ici a se parler comme si nous étions presque que des inconnus l'un pour l'autre, personne que des personnes qui ne se sont jamais vue mais qui ne peuvent pas ce supporter... J'essaye malgré moi de te montré que oui, oui j'y arrive. Doucement, mais sûrement. Après tout je te dis que je ne veux pas recommencer, je ne veux pas refaire les même erreur et tu comprends vite mais je pense que tu veux que je te dise de ma propre bouche que tu as raison. « Oui cette erreur là. L'erreur d'être parti tout simplement. Les erreurs que j'ai pu faire à Los Angeles, quand on était ensemble et après... Après s'être engueuler. » Je laisse un petit soupire m'échapper. Les révélations sont de plus en plus proche avec beaucoup de monde en ce moment. Je n'aurais pas cru ça de moi. Je n'aurais jamais imaginer que je pourrais le faire. Mais est-ce que c'est aussi mon état dans le quel je suis en ce moment qui me rends comme ça ? L'était d'être comme démunie mais aussi faible en étant enfermer dans une boite qui serre d'ascenseur. C'est complètement débile pourtant. Avoir peur de plusieurs chose, dont être enfermer dans un endroit bien trop petit et clos pour moi. La claustrophobie partira en grandissant. J'ai envie de frapper les médecins qui m'ont dit ça. Mais on en vient au raison de ma venir dans cette boite. Mais j'exprime aussi le fait que j'ai pas envie de me faire a nouveau opéré du genoux. Quand tu me dis que j'aurais sûrement pas le choix, je garde mon regard sur ta personne puis le baisse un peu en marmonnant. « Je sais mais... Voilà... » Et encore une peur, la peur de se faire opéré, de se faire endormir. Je suis peut-être un gros dur mais j'ai trois grandes peurs dans ma vie. Les clowns. Sa tout le monde le sait a force, car quand j'en vois un ou qu'un clowns est face à moi je suis complètement fixer au sol. Je ne peux plus parler, plus bouger mais surtout je transpire a grosse goûte. La claustrophobie & la peur de se faire opéré... C'est bête je sais. Mais quand tu enchaînes je relève le regard pour te regarder. Je me souviens que tu m'avais parler d'une certaine opération mais aussi de cette chute de cheval. Oui je t'écoutais tout le temps et je m'en souviens encore beaucoup. « C'est vrai tu m'en avais souvent parler... » Puis quand tu me parles de spécialiste je hoche positivement la tête. Tu as sûrement raison, mais ça, je suis capable de laisser un peu trop traîné jusqu'à temps se que j'ai vraiment mal et que je ne puisse pas déposer ma jambe par terre. C'est alors que j'espérais que la conversation était quand plus calme que je fais l'erreur de parler des mecs qui bosse avec toi. Mais je n'ai pas la force de me battre, je n'ai pas l'envie de hurler ni même crier. C'est vrai ça ne me regarde pas, mais, rien qu'en pensant a t'imaginer au bras d'un autre je ne le supporte pas. Je passe doucement une main dans mes cheveux puis je laisse glisser mon dos contre la paroi pour finir accroupie. Je n'en pouvais plus de rester debout a attendre, mais surtout a être enfermer la dedans. Je devais garder mon calmer, mon contrôle pour ne pas devenir l'ours fou furieux qu'on vient d'enfermer... Je veux aussi garder ce calme face à toi. Je me m'énerve tu vas aussi t'énerver et j'en ai pas envie.

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A chaque fois que l'on se voit, se rencontre quelque part le sujet de notre couple revient sur le tapis. Sûrement parce que l'un comme l'autre on a besoin d'en parler. On a besoin de dire se que l'on pense la dessus. Je ne sais même plus comment dire a quel point j'ai été con. Con d'avoir évité t'es appels, t'es mails mais surtout de ne t'avoir jamais répondus. J'ai été con a ce moment là. Mais est-ce que je le suis encore ? Je ne sais pas vraiment. Je ne sais plus trop quoi penser maintenant. Maintenant que ma vie a été chambouler par plusieurs choses. Chambouler par le fait que j'ai envie fais ses révélations a Julian, que je suis entrain de me lancer vers Milena mais surtout de te savoir ici. Oui ça a complètement chambouler ma vie. Au moment ou tu me de que je ne voulais sûrement pas de « nous » dans ma vie a ce moment la, je secoue doucement la tête de gauche à droite. Je ne m'énerve même pas, j'ai pas envie de m'énerver. Alors je te dis calmement mais sur un ton un peut triste. « J'ai toujours été sincère en vers toi, j'ai toujours été sincère quand je te disais que je t'aimais. Alors si je voulais de ce « nous » dans ma vie à ce moment là mais... Je ne voulais pas suivre le chemin de mon père mais je pense que je l'ai fais malheureusement et je le regrette. J'aurais du te parler je m'en rend compte maintenant et je sais que c'est trop tard... » Je baisse a nouveau le regard, oui je m'en rends compte que maintenant. Je sais que j'aurais du me bouger le cul plutôt surtout que tu voulais m'aider et que je n'aurais pas du repousser ton aide. Maintenant on ne sera pas se qu'il se serait passer. Enfin en parlant de passer j'en viens a mon genoux. Vieille blessure qui met revenu par un stupide jeu que j'ai refais à New-York. Mais aussi tu me fais rappeler la tienne. Tu as eu de la chance de d'être fait opéré. Je garde alors mon regard dans le tien quand tu m'explique tout ça, et oui ma manie avec mes « voilà quoi. » mais tu as toujours ses petites répliques derrière. « Non je n'ai pas vraiment envie d'être bloquer dans un fauteuil... J'irais consulté quelqu'un alors. Je le ferais ! » Je te dis ça avec sincérité. Même si je sais que c'est pas maintenant que je le ferais. La sagesse a toujours autant de mal a rentré, mais au moins je vais y penser. Je ne te le dis pas car je sais que tu vas monté dans les tours ou me lancer un « au pire c'est ta vie je m'en fou. » crédible ou pas ? Je ne serais pas. Puis mes pensées partent vite sur t'es relations amoureuses. Oui tu fais se que tu veux mais, j'ai encore bien trop de mal. Je préfère que l'on évite de parler de ça. Oui ça m'aurais énerver et non je n'ai pas envie que l'on s'engueule ici. Quand la lumière s'arrête une fraction de seconde et que l'ascenseur sursaut légèrement je grimace doucement puis je me redresse. Oui il repart. Je viens alors reprendre ma mallette en main et me mettre face à toi. « Est-ce que l'on va encore laisser ce hasard, ce destin nous faire rencontré dans des endroits que l'on ne s'attend pas ou, est-ce que l'on va être enfin des adultes responsables et se voir dans des conditions respectables sans se hurlé dessus ? » Je ne me sens pas près a tout t'avouer mais s'il le faut pour que tu comprennes mes raisons pour les quels je suis partie. Je suis près a faire le pas. Enfin de sauté le gouffre qui a entre nous deux. Nous avons aussi fait un grand pas, on ne sait pas disputé depuis que l'ascenseur et arrêter. C'est pour ça que je me permets de te poser cette question.  

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Le passé est peut-être une chose sur la quel on ne peut pas revenir. Le passé a été écrit comme ça et pas autrement. J'aurais aimer que ça soit possible que je puisse me faire pardonner mais est-ce que c'est encore trop tard ou non ? Est-ce que tu accepterais que je puisse me faire pardonner a ma façon, ma façon déplacer mais ma façon qui ne changera pas. La façon d'un ours mal lécher comme on le dit souvent. D'un ours qui veut quelque chose de concret mais qui n'est pas sur de se qu'il fait. D'un ours, qui ne veut pas perdre son domaine, les personnes qui l'entoure mais surtout avoir a nouveau, ou avoir tout simplement un cœur plus tendre et mielleux comme je n'ai jamais eu. Mais je me rend compte que tu n'as pas changer. Tu as toujours se petit caractère de cochon que j'ai toujours aimer, tu es toujours aussi franche mais surtout, surtout tu es encore toi même. Je ne sais pas se qui c'est passer après être partie, mais je compte bien le savoir un jour ou l'autre. Shelby Randall, tu m'as tellement hanter quand je suis partie, je me suis rendu compte trop tard que j'ai jouer au con, mais comment te le dire maintenant ? Je prends alors des dériver pour en parler et je t'avoue que maintenant c'est trop tard. T'approuve. Sa ne me fait pas du bien mais au moins c'est clair et c'est dit. C'est vrai que je ne dis rien d'autre, je n'ai pas envie d’aggraver la situation. Quand on en vient a mon genou et que tu me dis que je devrais consulté est-ce que je reprends vraiment raison ou non mais c'est vrai que je te dis que j'irais en voir un. « Et oui tu vois ? Ça m'arrive aussi de reprendre la raison. » je dis avec un petit sourire, non méchant, non mesquin. « Je le ferais, j'espère que la prochaine fois que l'on se verra je t'annoncerais que j'ai enfin vue quelqu'un et que je te dirais se que j'ai exactement. » Je reste là dessus, puis quand le sujet tourne sur tes collègues de boulot je ne veux pas en rajouter plus. J'ai toujours eu ce sentiment, cette sorte de jalousie en vers les hommes qui bossaient avec toi. Oui, on n'est plus ensemble, oui je supporterais pas de te voir au près d'un autre, oui je reste le même. Mais non, non je ne préfère pas rajouter quelque chose la dessus. Je n'ai plus envie de crier avec toi. Même si la première fois que je t'es vue j'avais envie de te prendre dans mes bras mais je me suis retenu. « Sûrement oui, mais tu as vu les deux caractères que l'on a tout les deux... Enfin, on est surement fait pour ça. » Je te regarde dans les yeux quand tu commences a sortir de l'ascenseur et je hoche doucement la tête. « Oui nous avons tout deux du travaille. Passe tout de même une bonne fin de journée Shelby. » Je te fais un léger sourire et un signe de la tête avant que tu me tourne le dos mais surtout que les portes ne se referme pour que je puisse a nouveau rejoindre l'étage que je devais rejoindre. M'expliquer au près de mon frère et ma cliente.


The End.  

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