❝Little Bad Girl❞
ALEJANDRO & ASHLEY    

Très clairement à ce moment la de la soirée je ne sais pas plus du tout comment elle a commencé. La seule chose que je sais et sur laquelle je me concentre c’est le plaisir que ce bel espagnol me donne que se soit par ses mains et ses caresses le long de mon corps, par ses lèvres qui me découvrent en me picorant à divers endroits bien ou bien sa langue qui cherche un peu plus à me gouter quelque soit l’endroit. Alors que nous sommes l’un au dessus de l’autre je sens bien que mes souvenirs sur comment satisfaire un homme reviennent bien vite et qu’ils sont toujours des plus efficaces. Alors qu’il s’active à me rendre un peu plus folle à chaque gout de langue savamment exécutée, je lui rends la pareille en faisant de même de ma bouche avec son membre et cela fonctionne on ne peut mieux quand je l’entends gémir avoir par moment le souffle coupé, intérieurement je souris car c’est toujours flatteur de savoir que l’on est capable de mettre un homme dans un tel état surtout quand on sait que cet homme est de base un homme à femme et que l’on est loin d’être la première et encore plus loin d’être la dernière.
Sauf que la les préliminaires font monter de plus en plus la température dans l’appartement d’Alejandro et je sens de plus en plus l’envie de l’avoir en moi, de fusionner avec lui. Pour cela je retourne la situation et joue de mes formes et de mon corps en me balandant nue devant lui en talon le temps de récupérer de quoi se protéger. On peut être dans le feu de l’action et pourtant penser à ne pas être imprudent. Une fois sure que nous ne risquons rien, je viens me coller à lui avant de m’empaler sur lui et de commencer à bouger sur lui tout en maintenant une importante proximité entre nos deux torses.Je sens son souffle chaud saccadé venir contre mon cou quand ce ne sont pas ses lèvres qui se mettent à me dévorer de plus en plus au rythme imposant que j’impregne. Je sens sa main sur sa hanche me maintenir surement pour profiter pleinement de ma chaleur ce qui me fait sourire alors que je ne perds pas mon objectif de prendre autant de plaisir que je lui en procure.Ce qui à l’air d’être le cas quand je l’entends gémir. Sauf que tel l’espagnol qu’il est je sens qu’il a envie de reprendre le dessus sur notre partie de jambes en l’air et encore plus sur moi.
Il me maintient par la taille avant de me faire basculer dos sur le lit pour me surplomber de toute sa taille. Je le fixe de mes iris essouflé par ce que nous avons déjà fait mais aussi en attente de plus de la délivrance qu’il devra m’accorder. Je passe ma main à l’arrière de sa nuque pour lui réclamer silencieusement un baiser passionné et alors que ce tango de langue ne se déroule Alejandro commence à me prendre au début par des mouvements lents et amples mais au fur et à mesure il accélère le rythme au point que je ne peux m’empêcher de pousser des soupirs d’extase, sans le vouloir à chaque coup de bassin qu’il me prodigue les sons que je sors sont de plus en plus volumineux et afin de me contenir encore un peu et de pouvoir profiter toujours plus du plaisir que je ressens je m’aggripe à lui ou plutot je plante mes mains dans ses fesses pour le faire venir toujours plus profondément, pour ne faire de nos deux corps plus qu’un seul brûlant de désir l’un pour l’autre. J’ouvre alors les yeux pour mieux visualiser mon amant et je le vois approcher son doigt de ma bouche et dans un sourire je le prends pour le sucer lascivement et rendre encore plus fou mon partenaire ce qui à l’air de lui faire encore un peu plus d’effet.
Une de mes mains quitte ses fesses pour venir caresser d’abord un de mes seins puis descendre la ou il a pris possession de moi et venir me jouer de lui en le caressant entre chaque coup qu’il me met.
“Tu n’es pas le seul à savoir jouer. “ Quoique pour moi les règles étaient assez ancienne et je n’étais pas sur de savoir correctement jouer le jeu. Cela ne m’empêchait pas de prendre autant de plaisir qu’il voulait bien me donner au point que je finis par bientôt ne plus pouvoir me retenir. “Oh Alejandro” Même prononcer son prénom à ce moment était un objet de torture et c’est dans un dernier coup de bassin que je me mis a exulter en hurlant de bonheur. Ma poitrine se soulevait difficilement pour reprendre mon souffle et surtout pour espérer retrouver un rythme cardiaque un peu plus normal que celui que je venais d’avoir pendant plusieurs minutes.

© LOYALS.

❝Little Bad Girl❞
ALEJANDRO & ASHLEY    

En quelques minutes Alejandro avait su me rappeler ce à côté de quoi j’étais passée depuis de si nombreux mois. Le contact avec un homme, les plaisirs charnels, ressentir le désir de l’autre et faire naitre le plaisir chez le partenaire, toutes ces petites choses qui rendait l’acte d’autant plus intéressant voir passionné.
Si ce soir elle avait voulu oublier, la elle se retrouvait à se souvenir et surtout ne plus vouloir oublier. Elle profita alors de leur corps à corps d’autant plus quand il se retrouva au dessus d’elle à la dominer à la prendre en y allant au début doucement par gestes précis et ample avant, sentant le désir de plus en plus pressant, d’augmenter le rythme en étant plus vif plus rapide ce qui me fit gémir de plus en plus fort et avec des sons de plus en plus rapproché. Je cherchais l’air, je cherchais une bouffée d’oxygène pour être capable de tenir la distance mais je sentais que je perdais pied jusqu’à ce que le doigt de l’espagnol s’approche de ma bouche et suavement ma langue s’occupa de lui ce qui à l’étincelle s’allumant dans ses yeux montrait à quel point il appréciait cela. N’y tenant plus je me mis à me caresser ce qui me fit décoller un peu plus vite et dans un dernier soupir je vins à subir les affres particulièrement douceureuse de l’orgasme alors qu’Alejandro me rejoignait dans un râle. Il se dégagea de moi et je me redressais, m’asseyant sur le rebord du lit. Je tentais tant bien que mal de reprendre mes esprits et de me rejouer le fil de la soirée pour essayer de comprendre comment nous en étions arrivés ici, la et maintenant. Je le vois déambuler nu dans son appartement et un sourire nait sur mon visage en admirant la plastique de mon amant.
Je commence enfin à ressentir la plénitude d’après l’acte sexuel et je me sens divinement bien, ce qui est d’autant plus étrange vu que c’est une relation comme ca non prévu et surement unique. Il revient vers moi une coupe à la main et me la tend tout en déposant un baiser sur mes lèvres. Je trempe mes lèvres dedans plus que je ne bois avant de la poser sur la table de chevet.
Il prend place à côté de moi ou plutôt il s’allonge de tout son long. Je viens le rejoindre me mettant de côté et posant ma tête sur son torse. Et je sens qu’il passe un bras dans mon dos qu’il se met à caresser tout en délicatesse.
Je sais bien qu’il n’y a pas plus qu’une envie partagé, mais j’ai toujours aimé le calin d’après l’amour, ce petit moment de tendresse qui me laisse planer encore un peu pour profiter des dernieres sensations du à l’acte. Aucun de nous deux n’a dit un mot depuis que j’ai prononcé son prénom pendant l’orgasme et je trouve ce silence apaisant. La phrase qu’il prononce à mon encontre me fait sourire. “Je sais mais j’ai besoin de ce contrôle pour maintenir ma vie à flot. Mais peut être qu’après cette soirée et cette nuit avec toi je serai capable si ce n’est de me lacher réellement de pouvoir profiter plus souvent de la vie.”
Je sens ses lèvres sur mon front et je me redresse pour venir l’embrasser passionément tout en lui passant ma main sur sa joue. Je mets fin au baiser et je plonge mon regard dans le sien. “Merci en tout cas pour cette agréable soirée.” Je reste ainsi ne sachant ce que les convenances voudraient quand on vient d’avoir un rapport sexuel avec un homme n’étant ni un ami, ni un compagnon. Ne voulant pas être intrusive je me redresse prend ma coupe de champagne et la bois. J’ai toujours mes chaussures au pied et devant ma dégaine je me mets à rire.
“Le coup des talons c’est peut être de trop.” Je les enlève enfin avant de me lever. “Je vais pas t’embêter plus longtemps." En fait j’étais vraiment dans le doute ne sachant pas si je devais y aller et passer pour une fuiarde, ou rester et passer alors pour quelqu’un cherchant à s’accrocher. Dans le doute je cherche au travers de l'appartement mes vêtements éparpillés avant de les rassembler pour pouvoir me rhabiller tout en cherchant du regard la salle de bain.

© LOYALS.