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 ∆ emergency exit (groupe 05)

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LE DESTIN
LE DESTIN
l'être suprême
l'être suprême
∆ emergency exit (groupe 05) HlIQNBi Présent
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé.
STATUT : marié au hasard.
MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a).
LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines.
∆ emergency exit (groupe 05) 6uxnfoq
POSTS : 29426 POINTS : 3580

TW IN RP : nc
PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.
AVATAR : je suis tout le monde.
CRÉDITS : loonywaltz
DC : nope.
PSEUDO : le destin.
INSCRIT LE : 15/12/2014

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Message(#) Sujet: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptySam 1 Oct 2016 - 18:17



Emergency exit
sujet commun du groupe 05
Ils se pensaient probablement à l'abri à l'hôpital, et définitivement en sécurité en attendant que la tempête se calme. C'était sans compter l'arbre centenaire qui, là depuis bien avant la construction de l'hôpital, vient de s'abattre sur l'entrée des urgences, piégeant momentanément les habitants venus s'y réfugier à l'intérieur, et blessant quelques uns d'entre eux au passage. @Ellie Wheeler ne s'attendait sans doute pas à une soirée aussi mouvementée en prenant son service, et légèrement sonnée par la chute de l'arbre elle prend conscience qu'elle et un petit groupe de personnes se retrouvent pris au piège dans un coin des urgences, coupés du reste par l'immense tronc d'arbre et les débris qui l'entourent. Autour d'elle on compte ses blessures, @Charlie Hazard-Perry reprend difficilement ses esprits après qu'un morceau de plafond lui soit tombé dessus et l'ait momentanément assommé, avant de venir prendre au piège la jambe de @Berlioz Dunham désormais coincée. @Madison MacAllister et @Valentin Mordakhs s'en sortent avec une grosse frayeur, ayant manqué de peu se faire écraser pour le distributeur de friandises et tentent de se relever en évitant les bris de verre autour d'eux. @Kim Fisher, quelques bleus au compteur, vole au secours de @Theodore Laurens blessé par un morceau de branche d'arbre venu se ficher dans sa cuisse, tandis que @Joanne Prescott tente de ne pas céder à la crise d'angoisse non loin d'eux, tenant fermement son bébé contre elle pour empêcher qu'il ne lui arrive quelque chose.

nb. privilégiez les rp courts, et rendez-vous dans votre mini-flood pour vous organiser ∆ emergency exit (groupe 05) 873483867

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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyDim 2 Oct 2016 - 17:43


emergency exit
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive

Daniel avait un peu de fièvre. Et ce n'était pas le genre de fièvre qu'il avait lorsque l'une de ses petites dents lui causait des soucis. Elle avait pu envoyer un message rapidement à Jamie avant que le réseau ne soit totalement saturé. La tempête commençait sérieusement à se lever, et elle ne se sentait plus véritablement sécurité à la maison. Le bébé de huit mois continuait de pleurer montrant ainsi son inconfort. Joanne n'hésita pas bien longtemps avant de se décider d'aller à l'hôpital et de voir le pédiatre de Daniel. Il n'y avait plus grand monde dehors, mais tout était bondé aux alentours des urgences. Joanne garait sa voiture le plus près qu'elle pouvait et entra dans l'hôpital par la porte des urgences. Elle constata que beaucoup était venu ici en se disant que c'était le meilleur endroit où rester le temps que la tempête. Elle gardait son bébé bien contre elle, et se fraya un chemin dans les couloirs pour retrouver le pédiatre. Mais l'on entendit soudaine un gros craquement, comme un éclair qui était tombé tout près. Joanne se retourna, remarquant que tout le monde tentait de voir d'où venait ce bruit. Elle vit alors le plafond s'affaisser et finalement se scinder en deux dans un grondement assourdissant. Joanne recula de quelques pas en voyant le tronc de l'arbre embarquer avec lui tous les câbles, canalisations et faux plafond dans sa chute. Tout le monde se mit à hurler. Daniel, terrifié par le bruit, pleurait à n'en plus finir. La jeune femme vit qu'il y avait de nombreux blessés, certaines plaies béantes saignaient abondément. Elle fut prise dans une sorte de dilemme entre aider ou rester dans un coin à s'occuper de Daniel. Elle ne le laisserait certainement pas seul quelque part, elle aurait bien trop peur qu'on le kidnappe. Pétrifiée, elle resta pétrifiée pendant de longues minutes. Elle ne savait pas quoi faire, ni où aller. Ce fut un cri de Daniel qui la sortit de sa latence. Alors elle le berça, l'embrassa, le consola du mieux qu'elle le pouvait alors qu'elle était elle-même terrifiée par tout ce qui était en train de se passer. Elle sentait son coeur battre si vite dans sa poitrine que ça en devenait oppressant, presque douloureux. Préférant fuir de cette réalité, elle recula de quelques pas et finit coller contre le mur, où elle se glissa contre. Elle sentait tout son corps trembler. Elle voyait des visages familiers, elle avait cru même voir Madison, et le stagiaire qu'elle avait croisé dans l'ascenseur au studio ABC. Mais elle ne les entendait pas. Tout était comme un écho assourdissant. La panique finit peu à peu par envahir Joanne, et l'air lui semblait particulièrement étouffant. Daniel restait bien blottit contre elle, elle tenait bien. Ses bras les seules parties de son corps qui répondaient encore à sa volonté. Elle sentit qu'il avait encore de la fièvre, il était toujours assez chaud. Elle tentait d'appeler à l'iade, mais aucun son ne parvenait à sortir de sa bouche lorsqu'elle voyait tous les blessés. Elle était terrifiée, et n'arrivait plus à bouger. Non, elle ne pouvait plus rien faire, ni même demander de l'aide pour que quelqu'un soit plus apte à prendre soin de Daniel sur le moment.


crackle bones
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyDim 2 Oct 2016 - 17:46



Emergency exit.
Lorsque je referme la porte du salon, je me rends compte que la pluie est de plus en plus abondante et le vent de plus en plus fort. Je suis surprise, car en écoutant les informations et les ragots rapportaient par mes clientes, la tempête ne devait pas arriver avant quelques jours. Je n’ai même pas eu le temps de bâcher les fenêtres du salon pour être de ne rien retrouver casser, mais je me dis qu’avec un temps pareil, je ferais mieux de me mettre à l’abri. Mon premier réflexe est d’envoyer un message à mes sœurs pour savoir si elles sont à l’abris, après avoir reçu leur réponse, je remarque que le vent est de plus en plus fort. L’endroit le plus sûr ouvert à cet heure-ci est certainement l’hôpital, car le temps que je marche jusqu’à la maison, je me serais certainement envolé vers d’autres villes d’Australie. Sur place, je remarque que je ne suis pas la seule ayant eu l’idée de me mettre à l’abri ici. Je patiente dans un coin, sans trop me faire remarquer. J’espère intérieurement que la tempête se calme, pour que je puisse rentrer d’une journée déjà assez intense au travail. Je regarde le flot de personne qui rentre et qui sort de l’hôpital et d’un air pensif, je me demande si j’aurais pu devenir infirmière dans une autre vie.

Puis, tout se passe très vite. Un gros bruit se fait entendre à l’extérieur de l’hôpital, mais personne n’a le temps de se poser de question, la lumière s’éteint et j’ai l’impression que c’est l’hôpital entier qui s’effondre. Je n’ai le temps de voir que le plafond qui tombe sur nos têtes, assommant au passage un garçon juste à côté de moi. Sauf que je n’ai aucun temps de réaction et je me retrouve sur le sol, une douleur vive dans la jambe gauche. Mon cri de douleur se mêle aux autres cris de frayeur, une ambiance de fin du monde à faire froid dans le dos. J’essaye de me relever, mais rien à faire, je ne sens plus ma jambe complètement coincée par le morceau de plafond qui a décidé de céder au-dessus de notre tête. « Bordel de merde. » Je ne peux pas m’empêcher de pousser un juron, plus parce que je ne sais pas quoi faire d’autres à ce moment précis. Je décide de sortir mon téléphone de ma poche, lui est sûrement le seul indemne et je mets la lampe torche pour pouvoir constater des dégâts. Un arbre. Tout ceci a été causé par le gigantesque arbre que j’ai toujours connu à côté de l’hôpital. Il a probablement cédé au vent qui souffle. Je tourne la lampe de l’autre côté et remarque que le garçon sonné par le plafond est encore au sol. Est-ce qu’il est mort ? Un petit garçon a l’air terrifié juste à côté de l’homme qu’il appelle. Je n’aime pas les gosses habituellement, mais faut dire que dans un tel moment et ne pouvant pas trop faire quoi que ce soit, je vais essayer de l’aider. « Viens … N'aie pas peur. » Le petit hésite, mais il finit quand même par me rejoindre. « Ne t’inquiète pas, ton papa va se réveiller. Comment tu t’appelles ? » Le gosse a l’air réceptif, ce qui est plutôt bon signe. Je lui demande s’il n’a rien, il semblerait que non. Et me voilà à parler des dessins animés qu’il regarde afin d’occuper son esprit le temps que l’homme se réveille. Enfin, j’espère.

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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyLun 3 Oct 2016 - 0:52




Emergency exit

Oliver, mon neveu âgé de 4 ans, avait lourdement insisté pour que je l’emmène faire un tour en ville pour qu’il puisse récolter quelques bonbons en ce soir d’Halloween. Théodora, ma sœur et sa mère, lui avait dégoté pour l’occasion un super costume de Batman dont il était on ne pouvait plus fier et ce n’était pas la pluie qui l’empêcherait de profiter d’Halloween. Alors, quelque peu résigné, j’avais enfilé une parka pour me protéger de la pluie et l’avait emmené faire un tour dans le quartier. Pour lui faire plaisir, j’avais dû me déguiser moi aussi et j’avais donc laissé Ollie s’amuser à me dessiner la grande bouche rouge du Joker avec l’un des rouges à lèvres de sa mère. Pendant la récolte de bonbons cependant, le temps ne s’était pas amélioré d’un poil et rapidement le vent et la pluie étaient tombés si fort que j’avais eu l’impression qu’Oliver pouvait s’envoler à tout instant. Alors que nous courrions pour nous mettre à l’abris le temps que le gros de la tempête passe, Oliver s’était emmêlé les pinceaux et avait fini par tomber par terre. Evidemment, avec le panier plein de bonbons qu’il tenait, il n’avait pas pu amortir sa chute et j’avais eu le malheur de voir sa mâchoire heurter violemment le sol. Alors que je me précipitais pour le relever, Oliver ne pleurait pas encore, trop occupé à vérifier que toutes ses sucreries étaient toujours bien dans son panier. Ce ne fut que lorsqu’il apercevait le sang qui s’échappait de son menton écorché qu’il se mit à pleurer. Ni une ni deux, je le prenais dans mes bras et fronçais en direction de la maison. Une fois à l’abris, j’avais pris le temps de désinfecter la plaie de mon neveu, constatant néanmoins qu’il ne s’était pas loupé et sans plus tarder, j’avais choisir de l’emmener à l’hôpital puisque ni Gauthier, ni Théodora, mon frère et ma sœur, n’étaient là pour m’aider à soigner le garçon. Etant donné le côté assez mère poule de ma sœur, je préférais ne prendre aucun risque et demander l’avis d’un professionnel de santé. Après un rude trajet en voiture (conduire avec un temps pareil et un enfant blessé sur la banquette arrière n’avait rien d’une partie de plaisir), nous étions enfin arrivés à l’hôpital.

Oliver dans mes bras, j’avais rapidement fait la queue du côté des urgences, qui étaient bondées. Cela n’avait rien d’étonnant puisqu’une véritable tempête était en train de s’abattre sur la ville. Les médecins et les infirmières semblaient totalement débordés et je n’avais jamais vu autant de monde dans la salle d’attente de l’hôpital. Néanmoins, je me rassurais un peu en me disant qu’au moins ici nous ne risquions rien, j’espérais seulement que Gauthier et Théodora allaient bien de leur côté. Alors que nous étions assis dans la salle d’attente, une aide-soignante était passée devant nous et s’était attardée sur Oliver. Je lui avais alors mentionné l’égratignure au niveau du menton. « Ne vous en faites pas ça n’a rien de trop grave. Il n’y a même pas besoin de suturer. Si vous voulez je peux désinfecter ça et faire un pansement rapidement » avait-elle proposé et j’avais aussitôt accepté. Je l’avais suivi jusqu’à une petite salle de consultation où elle s’était occupée d’Oliver. Cinq minutes plus tard, Oliver et moi sortions de la pièce, prêts à rentrer à la maison. « Tu es prêt à te goinfrer de bonbons ? » lui demandais-je avec un grand sourire. « Oui surtout que maman est pas là » répondait-il en retrouvant le sourire qui le caractérisait. « Ca sera notre petit secr… » Je m’interrompais net dans ma phrase alors qu’un bruit assourdissant retentissait dans le hall des urgences. Le sol se mit à trembler un peu et instinctivement, je protégeais Oliver. Alors que je comprenais qu’un arbre venait de tomber sur l’entrée des urgences, un autre bruit attirait mon attention. J’eu à peine le temps de lever les yeux vers le plafond et de repousser mon neveu loin de moi pour le mettre en sécurité qu’un morceau du plafond s’abattait sur moi.

Un sifflement, c’était tout ce que j’entendais à cet instant précis. Puis venait le goût de sang dans la bouche, cette impression d’avoir un étau invisible qui me serrait la tête. Je reprenais difficilement conscience. Je peinais à ouvrir les yeux et le monde se mettait à tourner autour de moi. Au loin, des bruits me parvenaient, des voix, des cris, les pleurs d’un bébé. Ollie ! C’est alors que je reprenais réellement contenance et je me souvenais ce qu’il venait de se passer, le plafond qui avait cédé. Je m’accrochais à la voix d’Oliver pour essayer de reprendre conscience et peu à peu j’arrivais à me mouvoir. « C’est pas mon papa, c’est mon tonton Je m’appelle Oliver, mais on m’appelle Ollie aussi. »  l’entendais-je parler. Quelques éclats de plafond restaient sur moi mais j’arrivais à m’en dégager, peu à peu à m’en dégager. La voix d’Oliver provenait de quelques mètres à côté de moi. La lumière aveuglante d’un téléphone dans l’obscurité attirait mon regard mais m’empêchait de distinguer clairement qui se trouvait là. Est-ce qu’Oliver allait bien ? Je l’entendais parler de dessins-animés avec quelqu’un dont la voix ne me disait rien. Rapidement je m’approchais de lui « Ollie ! Tu n’as rien ? Tout va bien ? » Je n’avais même pas conscience du mal de tête qui me sciait le crâne en deux, ni même de toutes les autres douleurs qui devaient découler. Trop inquiet et concerné par la santé de mon neveu, alors que je le serrais fort contre moi, je ne remarquais pas de suite que la personne qui discutait avec lui n’était pas dans une posture normale. Une fois assuré du bien-être de mon neveu, je me tournais vers elle (#Berlioz). « Tout va bien ? » demandais-je et c’est alors qu’elleme parlait de sa jambe qui était coincée sur la plaque de plâtre qui m’avait assommé. « Je vais essayer de vous dégager. Oliver recule-toi d’accord ? » Et j’attrapais le morceau de plafond en essayant de le soulever mais j’avais l’impression de ne rien faire du tout. C’était tellement lourd ! « De l’aide ! J’ai besoin d’aide, son pied est coincé ! » lançais-je à la cantonade, dans l’espoir de voir quelqu’un venir en renfort.
©BESIDETHECROCODILE


Dernière édition par Charlie Hazard-Perry le Mer 5 Oct 2016 - 18:02, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyLun 3 Oct 2016 - 10:36



Emergency exit.
« Flash info » : une violente tempête menace de … » je change de canal, préférant plutôt écouter quelque chose de plus dansant. Je finis par laisser un son des PussyCat, au volant de ma cabriolet je commence à recevoir quelques gouttes d’eau sur la tête tandis que le temps commence à se couvrir. Je soupire, retirant mes lunettes de soleils et fermant mon toit pour ne pas que ma voiture ne ressemble à une piscine gonflable. J’ai le temps de faire quelques courses personnels. Rien de bien fou, juste de quoi boire et manger ce soir entre copines. C’est au chemin du retour que le temps commence à réellement se dégrader. Je pense d’abord foncer droit à la maison, sauf qu’un accident bloque un peu toute la circulation. La pluie bas son plein, j’ai du mal à distinguer la route face à moi. Je klaxonne et commence à m’impatienter. Je ne capte plus la radio et je commence à flipper que la foudre ne prenne sur moi. Je finis par emprunter la bande d’urgence pour doubler un peu tout le monde. Sauf que je me retrouve de nouveau bloquer en bout de fil. Pas de police pour venir régler le problème? Les chauffards des véhicules accidentés se prennent violemment le chou. De nouveau, je me met à klaxonner et je remarque que je dois vraiment m’abriter. L’hôpital n’est qu’à deux rues de là où je me trouve et ma voiture sera en sécurité dans leur parking souterrain. Je fais demi tour, emprunte de trois ruelles, voyant quelques passants courir pour se cacher. Les gardiens se sont également mis à l’abri, l’entrée de l’hôpital est quasiment désert.

Je descend au parking. Il n’y a plus de lumière et j’utilise la lampe torche de mon téléphone pour pouvoir m’éclairer lâchant quelques jurons au passage. J’emprunte un escalier de secours, n’osant pas prendre l’ascenseur par le temps qui cour. Le hall est déjà plein. Je ne sais pas trop s’il s’agit de malade, de familles de personne hospitaliser ou seulement des personnes qui ont eu la même idée que moi. Je m’approche du petit groupe qui s’est crée au centre du hall. C’est à ce moment là qu’un énorme bruit se fait entendre, par réflexe je me protége la tête et ferme les yeux. J’ai du mal à les réouvrir à cause de la poussière autour, mes oreilles sifflent un peu et je me sens un peu sonnée. Je me retrouve éjecté à quelques mètres de l’endroit auquel j’étais. J’ai du mal à vraiment analyser la situation mais l’appel au secours d’un homme m’oblige à réagir. Je me précipite vers lui. Sa jambe est en sang. Je ne suis pas médecin à mon tour je cris : « À l’aide, par ici, par ici. » Sauf que personne ne semble nous entendre. Lorsque je lève la tête, je vois l’immense trou formé par l’arbre sur le plafond. «  Doux Jésus. lançais-je bloquer entre le fait de devoir sauver ce pauvre monsieur et l’accident qui vient de se passer sous mes yeux.



[Berlioz, j'ai repris ta présentation. ∆ emergency exit (groupe 05) 1095553706 Tu ne m'en voudras pas trop?]
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyLun 3 Oct 2016 - 22:31


emergency exit
sujet commun

Il devait être question d’une simple prise de sang, d’un simple contrôle pour s’assurer qu’il savait se tenir. Si son avocat avait réussi à lui éviter les tests sanguins pour le dossier du juge, son psychologue lui avait demandé de s’y conformer pour son bien, pour s’assurer des progrès de son patient. Un patient qui avait la tête enfuie dans le col de sa veste, les épaules remontées au plus haut afin de ressentir le moins possible les balafres de vent qui s’abattaient depuis la matinée. C’était au moment de sortir qu’il avait entendu des avis de tempêtes, qu’il fallait rester vigilant et éviter de sortir de chez soi. Des avis dont il n’avait pas tenu compte comme bon nombre de personne à voir les gens qu’il avait croisé en chemin. C’est d’ailleurs en voyant l’hôpital au loin qu’il entendit une détonation derrière lui, un coup de tonnerre qui fit vibrer le bitume sur lequel les pas de Theo accélérèrent. Quelques secondes plus tard, la pluie fit son apparition, le vent s’était intensifié et il se sentit presque poussé vers le centre hospitalier. Son pas avait fini par ressembler à un pas de course soutenu, se précipitant pour atteindre sa destination qui était cachée par un épais rideau de pluie. Complètement trempé et transporté par les rafales de vent, Theo s’était rabattu sur l’entrée des urgences comme bon nombre de personnes. Retirant sa veste, il vit le hall des urgences être plongé dans l’obscurité, des gens se mirent à râler au loin jusqu’à ce qu’une détonations ne se fasse entendre, plus forte que celle de tout à l’heure, allant jusqu’à faire trembler le sol et faire crier certaines personnes. Il fallut qu’il aperçoive le plafond s’effondrer quelques mètres devant lui pour qu’il ait comme unique réflexe de se retourner pour courir. Dans sa précipitation, il percuta une personne et se retrouva au sol en voyant par-dessus son épaule un tronc d’arbre prêt à s’abattre sur lui. Il se recroquevilla alors sur lui en recouvrant son visage de ses bras avant que quelque chose ne vienne percer la chair de sa jambe, lui tirant un cri de douleur qui allait se mêler à celui d’autres blessés. La nausée lui monta, sa vue se troubla, l’empêchant de voir l’état de sa jambe. La mâchoire serrée, il tentait d’étouffer les cris qui ne cherchaient qu’à sortir. Il resta allongé pendant quelques secondes jusqu’à trouver la lucidité d’attraper son téléphone et d’y allumer la lampe de poche, posant le faisceau lumineux au niveau de sa cuisse où une branche d'arbre y était enfoncée. Ses yeux s’ouvrirent en grand, il reposa son téléphone tout en oubliant l’espace de quelques instants la douleur qui transperçait son corps, touchant du bout des doigts la flaque de sang au niveau de sa jambe. «C’est pas vrai… C’est une… putain d’blague» Son regard resta figé sur le bout de bois, complètement tétanisé par l’image qui était sous ses yeux. Des cris le firent revenir à lui, réveillant au passage les lancées qu’il avait su oublier l’espace de quelques secondes. Des gens demandaient de l’aide et il se mit à en faire de même. Il était incapable de savoir si c’était des cris qu’il poussait ou des murmures, mais c’eut le don d’alerter une personne qui vint à sa hauteur et de demander de l’aide à son tour. Complètement désorienté et pris de douleurs, il chercha le bras de la personne à ses côtés et l’agrippa afin d'attirer son attention «C'est… C'est superficiel… Hein?» Il se mit à sourire légèrement en essayant d’oublier à nouveau l’espace de quelques secondes sa jambe. Il avait l’impression que la douleur s’atténuait, il pouvait même sentir son pouls dans sa jambe. Il était presque rassuré, lui permettant alors de décrocher une phrase pour tenter de minimiser la situation, pour tenter de faire durer l’absence de douleurs dans sa jambe. «Car ça pique juste un…» avait-il tenté de dire avant même qu'une douleur vive ne parcourt à nouveau sa jambe, le poussant à la replier, ce qui eut le don de lui arracher un cri de douleur en sentant la branche travailler dans sa chair. Une chose était certaine, il n’y avait pas intérêt à ce que l’on touche à sa cuisse et encore moins que l’on retire ce qui y était planté. «… ça pique énormément en fait.» souffla-t-il, laissant sa tête retrouver le contact du sol pendant qu'il refermait les yeux afin de tenter de faire le vide parmi tous les cris qu'il entendait autour de lui et de ce tambour qui ne cessait de taper dans sa jambe à un rythme endiablé, mettant littéralement le feu au niveau de sa cuisse.
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyMer 5 Oct 2016 - 11:01


~ Faut sérieusement que je me trouve un autre travail. Ca commence à me peser sérieusement. Surtout aujourd’hui. J’avais passé presque toute la journée à l’hôpital à essayer de trouver des réponses aux questions de ma cliente. Elle est persuadée que c’est son père. Ou au moins quelqu’un de sa famille. Ca aurait été bien plus simple s’il avait été gentiment chez lui. Quand sa voisine m’avait appris qu’il avait subi un accident grave de moto, j’ai eu comme un désespoir. Il n’était pas mort sur le coup non, mais il était à l’hôpital depuis des mois. Il ne se remet pas de son accident. Il est à peine conscient et est par conséquent très vite fatigué. Ca me brise le cœur de voir une personne dans cet état. J’avais réussi à lire son dossier médical dans le dos d’une charmante infirmière. Paralysé des jambes. Cela se voyait sur son visage que la déprime était bien plus présente que n’importe quel autre type de souffrance. Je méditais, bien trop perdu dans mes pensées, à l recherche d’une friandise devant cette machine, alors que toute cette journée m’avait coupé l’appétit. Je n’avais même pas entendu la tempête qui faisait rage à l’extérieur. Jusqu’à ce que les murs se mettent à trembler ainsi que le plafond, tellement que le distributeur fit une chute assez impressionnante. J’avais tout de même pu pousser les deux jeunes femmes (dont @Madison MacAllister) qui n’étaient non loin de moi pour leur éviter le pire. J’étais mal tombé, je sentais ma vue se troubler ainsi qu’un sacré mal de crâne débarquer. J’étais sur le dos, juste à côté des demoiselles et me redressais tant bien que mal. Vous allez bien ? Leur demandais-je en apportant ma main à mon visage.
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyJeu 6 Oct 2016 - 23:13



Emergency exit.
Je vis une scène surréaliste, pourtant, je reste parfaitement calme. Ce qui est assez surprenant me concernant, puisque j’ai tendance à m’énerver à la moindre contradiction. Et faut dire que ma jambe coincée sous le morceau de plafond a tendance à vraiment me contrarier. Mais si je garde mon calme, c’est parce que j’ai remarqué ce gamin inquiet pour l’homme allongé sur le sol ; j’ai beau dire que les gosses ne sont pas ma tasse de thé, on est dans un contexte où je dois essayer de le distraire pour ne pas le voir pleurer. Je lui demande dans un premier temps s’il n’a rien, il me répond d’un mouvement de tête. Apparemment, c’est un petit miraculé, vu qu’il n’était qu’à quelques centimètres de l’homme toujours au sol. « C’est pas mon papa, c’est mon tonton Je m’appelle Oliver, mais on m’appelle Ollie aussi. » Je souris au gamin qu’on doit donc appeler Ollie, il a l’air bavard et je pense que c’est donc une bonne nouvelle bien que je ne sois pas pédiatre. Je ne remarque pas que l’individu au sol est de nouveau sur pied et qu’il s’est rapproché très rapidement du petit garçon. Je sursaute lorsqu’il prononce son nom et je les regarde se retrouver tendrement. L’oncle de Ollie n’est pas mort et s’inquiète pour le petit. Je reste spectatrice, silencieusement. Sauf qu’il m’interpelle pour me demander si je vais bien. J’essaye de sourire, mais faut dire que ce n’est pas trop le moment et que la douleur me donne plutôt envie de pleurer. « J’ai la jambe coincée sous … » Et sans terminer ma phrase, je lui montre du bout du doigt ma jambe coincé sous les gravats. Il essaye de me dégager, mais il n’y a rien à faire, ça semble bien trop lourd pour lui. Je continue de sourire au môme pour ne pas le voir s’inquiéter, même s’il ne me connait pas, je vois à sa petite tête qu’il semble vouloir m’aider également. L’oncle de Ollie crie après de l’aide, mais en regardant autour de moi je me rends compte que je ne suis pas la seule dans un sale état. Certaines personnes ont visiblement été grièvement blessé par l’arbre, il y a même un type qui a un bout de l’arbre coincé dans sa jambe et je tourne précipitamment la tête pour ne pas voir cette scène d’horreur. « Attendez, je vais vous aider. » Je tourne la tête vers la voix qui s’adresse à l’oncle de Ollie et je remarque un vieil homme d’une soixantaine d’années. Il a l’air d’être blessé au niveau du front, mais rien d’autres à signaler. « Vous êtes sûr que … » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il m’offre un sourire bienveillant. « Je suis bien plus costaud que j’en ai l’air. Jeune homme, aidez-moi. » Ils s’y mettent du coup à deux et je sens que le morceau de plafond se soulève de quelques centimètres. De quoi me dégager, mais la douleur s’accentue maintenant que j’ai la jambe libre. Je me retiens de ne pas dire de gros mot, mais on peut lire sur mon visage la douleur que je ressens. Je tourne la tête vers l’oncle d’Ollie alors que le vieil homme est déjà reparti aider les autres personnes. « S’il te plaît trouve un médecin, qu’il me donne de la morphine ou ce qui veux, j’ai beaucoup trop mal. » Je suis pas du genre douillette, mais là, c’est à la limite du supportable.
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyVen 7 Oct 2016 - 18:53


emergency exit
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive

Toute recroquevillée sur elle-même, Joanne voyait ce qu'il se passait. Elle le voyait très bien. Mais l'information n'activait les zones nécessaires de son cerveau pour qu'elle puisse réagir. Emmurée dans son angoisse, chacun de ses muscles étaient crispés et pétrifiés. C'était une vision d'horreur pour tout le monde. Les câbles électriques traînaient de partout, il faisait horriblement sombre. Et il y avait des personnes partout qui demandaient de l'aide pour des blessures qui saignaient abondamment et qui étaient très douloureuses. Daniel était toujours fiévreux, il sanglotait par moment, mais Joanne essayait de le bercer pour le calmer un peu. Un médecin apparut alors dans son champ de vision, un visage familier. C'était le médecin qui s'occupait habituelle de la jeune femme, le Dr. Winters. Il avait été un peu sonné, mais il avait vite retrouvé ses esprits. Désormais, le médecin pouvait faire ce qu'il savait faire de mieux. "Joanne, êtes-vous blessée ?" demanda-t-il rapidement. Il constata qu'elle était incapable de parler, et inspecta lui-même le corps de la jeune femme. "Votre enfant a un peu de fièvre. Je reviendrai pour vous deux, d'accord ?" Voyant qu'il ne tirerait aucune réponse de sa patiente, le médecin se leva et évalua la situation afin de prioriser les blessés grave. Il s'approcha alors dans un premier temps d'un jeune homme, en constatant de loin que sa jambe était en san [@Theodore Laurens). Il s'approcha de lui, en le secouant un peu. "Monsieur, il faut que vous gardiez les yeux bien ouverts." dit-il, afin de ne pas risquer une perte de conscience. "Votre plaie est bien profonde." Il essayait d'essuyer la grande quantité de sang avec les morceaux de draps qu'il pouvait trouver - difficile de rester stérile dans ces conditions. "Il faudra certainement que vous passiez au bloc, monsieur." Par chance, l'artère fémorale, la plus grosse de la jambe, n'était pas touché. A défaut de trouver une infirmière dans les parages pour l'aider un minimum, il invita le patient à se défaire de sa ceinture afin de pouvoir l'utiliser comme garrot et limiter l'hémorragie. Après quoi il se leva et vit deux personnes surélever le plafond pour libérer la jambe d'une jeune femme(@Berlioz Dunham). "Je suis médecin, madame, laissez-moi regarder votre jambe." Il l'ausculta rapidement, pris de pression par toutes les personnes qui criaient à l'aide. "Il faut que vous la gardiez le plus immobile possible, n'essayez surtout pas de la bouger ou de la plier. Il se peut que ce soit cassé. Je vais vous faire une injection de morphine pour soulager la douleur." dit-il en se levant ensuite pour aller fouiller dans les tiroirs pour prendre tout ce dont il avait besoin pour faire l'injection, qu'il fit dans la jambe non blessée de la patiente. "Ca devrait faire effet d'ici quelques secondes, c'est de la morphine." expliqua-t-il. Une fois qu'elle était soulagée, le Dr. Winters, cherchant du regard quel patient était prioritaire désormais en matière de prise en charge.

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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyDim 9 Oct 2016 - 16:14


emergency exit
sujet commun

C’était plaisant de garder les yeux fermés, plaisant de ne plus rien voir, de ne plus devoir se rendre compte que sa vie avait complètement changé. C’était agréable de s’oublier, de se laisser porter par ce rythme qui battait dans sa jambe, lui permettant d’ignorer que sa vie n’avait plus du tout le même goût qu’avant. Tout avait changé, toute cette chance qui l’avait suivie jusqu’à l’an dernier se retournait désormais contre lui. Les événements depuis qu’il était de retour n’avaient pas joué en sa faveur et aujourd’hui était peut-être le signe le plus concret qu’il y ait eu. Il tenta de chasser cette image de son esprit mais il sentit quelqu’un le secouer et s’adresser à lui. Il rouvrit alors les yeux en posant son regard sur son interlocuteur. Il vit sa tenue, puis son badge et se sentit presque soulagé jusqu’à l’entendre parler de sa plaie. Il soupira, tenta de se redresser pour se retrouver assis avec l’aide du médecin. Ce dernier se mit à éponger le sang qui s’était répandu alors que Theo restait immobile, observant sa cuisse. La remarque du médecin au sujet du bloc eut le don de faire rire Theo, il regarda autour de lui et secoua la tête «Au bloc? Regardez autour de nous, vous devez être débordés, j’ose même pas imaginer ce que ça doit être dehors…» lâcha-t’il inquiet mais aussi désolé, cet homme se démenait pour apporter les premiers soins et il allait certainement passer les heures les plus difficiles de sa carrière de médecin. C’est pour cette raison qu’au conseil deux médecin, Theo acquiesça et le remercia d’un signe de la tête avant de défaire sa ceinture et de venir l’enrouler autour de sa cuisse, puis de se mettre à serrer de plus en plus, sentant la douleur revenir au moment où il boucla la lanière de cuire autour de sa jambe. Assis, il récupéra son téléphone et le glissa dans sa poche avant de regarder la jeune femme qui était à ses côtés (@Kim Fisher). «Merci d’avoir appelé, je crois qu’il ne m’aurait pas entendu» lâcha-t-il en voyant le médecin aider une jeune femme coincée sous un morceau de faux plafond avant de chercher vers qui se tourner. Il ne savait pas si le fait d’avoir fait ce garrot aidait en quelque chose, mais la douleur dans sa cuisse se faisait de moins en moins sentir, seul le morceau de branche lui rappelait que quelque chose était enfoncé dans ses chaires. Son regard passa les urgences en détails, il y avait un grand nombre de dégâts et les blessés étaient nombreux, certains n’avaient presque rien mais ça n’empêchait pas que le choc du en déboussoler un grand nombre. Lui se remettait gentiment ou du moins, la nausée qui l’avait habité suite à la douleur et au choc s’était dissipée, il sentait encore ses mains trembler face au choc mais son esprit était bien plus clair et il aurait presque voulu se lever pour apporter un minimum d’aide. Sachant pertinemment qu’il ne servirait à rien si ce n’est à aggraver sa situation, il regarda à nouveau celle qui avait attiré l’attention du médecin vers eux. «Et vous, vous n'avez rien? Il y a quelque chose que je peux faire peut-être?» demanda-t-il en laissant son regard se poser sur elle, ses bras, son buste puis son visage.
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyDim 9 Oct 2016 - 17:18




Emergency exit

Si j’avais su un jour que le ciel allait me tomber littéralement sur la tête… Le choc avait été terrible me plongeant tout de suite dans les vapes. C’était seulement la voix de mon neveu, celui que je considérais comme mon propre fils, celui avec qui je partageais ma vie depuis qu’il était venu au monde, qui avait parvenu à me sortir de mon inconscience, j’en étais certain. L’adrénaline était telle que j’étais parvenu à me redresser, toujours un peu sonné. Incapable de penser à autre chose qu’à Oliver et son état de santé, je m’étais précipité vers lui pour m’assurer que tout allait bien. Non seulement, si le petit garçon avait une seule égratignure de plus ma sœur allait me tuer et refuser de me le laisser, mais je m’en voudrais certainement toute ma vie. Quelle idée j’avais eu de le laisser aller à la chasse aux bonbons en pleine tempête ? Je l’avais finalement serré fort dans mes bras en constatant qu’il n’avait pas la moindre blessure. « Dieu soit loué » soupirais-je de soulagement avant de remarquer la jeune femme qui s’adressait à Ollie juste avant (#Berlioz). « J’ai la jambe coincée sous … » disait-elle en montrant du doigt son pied. Sans trop tarder, je demandais à Oliver de s’éloigner, histoire d’être sûr qu’il ne lui arrivait rien pendant que j’essayais de dégager son pied. Malgré tous mes efforts et l’adrénaline du moment qui continuait de parcourir mes veines, ma force ne suffisait pas à dégager la cheville de la demoiselle, je parvenais tout juste à soulager sa cheville du poids des gravats. J’appelais à l’aide alors, dans l’espoir que quelqu’un vienne rapidement en renfort. Ce n’était pas moi qui avait entreprit des études de médecine dans la famille mais j’étais certain que si la jeune femme restait coincée de la sorte trop longtemps, l’issue ne serait pas favorable pour sa cheville. « Attendez, je vais vous aider. » Sorti de nulle part un homme d’un certain âge s’était approché et avant même que je n’ai pu dire quoi que ce soit la demoiselle intervenait, sûrement interpellée par son âge : « Vous êtes sûr que … » Mais le vieillard balayait sa remarque d’un geste de la main en ajoutant : « Je suis bien plus costaud que j’en ai l’air. Jeune homme, aidez-moi. » J’hochais la tête, prenant fermement appui sur mes deux jambes, les mains toujours sous la plaque de plâtre. Je lançais alors un regard à Oliver qui nous observait l’air inquiet : « Regarde comme je suis un superhéros » plaisantais-je alors pour détourner son attention. Et à deux nous soulevions le plafond permettant à la jeune femme de dégager sa cheville.

Rapidement le vieil homme avait disparu, interpellé par un nouvel appel à l’aide et je me tournais vers la jeune femme pour observer sa cheville. « S’il te plaît trouve un médecin, qu’il me donne de la morphine ou ce qui veux, j’ai beaucoup trop mal. » J’hochais de nouveau la tête. « Je m’appelle Charlie et toi ? Je vais essayer de te trouver ça et puis faudrait de quoi nettoyer ta plaie aussi parce que le plafond a fait une entaille. » dis-je en observant la cheville de la demoiselle. « Puis il ne faut pas que tu restes ici, avec le plafond qui est tombé c’est dangereux, on sait jamais si ça recommence. Je vais te soulever pour te dégager t’es prête ? » lui demandais-je alors en plaçant un de mes bras sous ses cuisses et l’autre sous son dos. « Essaye de garder ta cheville stable d’accord. En douceur à 3. 1, 2, 3… » Je la soulevais alors d’un coup en veillant à ne pas être trop brusque et je la déposais un peu plus loin, contre un mur dans un endroit relativement dégagé, il n’y avait malheureusement par le moindre brancard à disposition pour l’y déposer. « Oliver, tu veux bien rester avec Berlioz ? Tu es sage et tu lui tiens compagnie le temps que je revienne. » m’adressais-je à mon neveu avant de me tourner vers la jeune femme. « Je vais aller vous chercher un médecin et de quoi s’occuper un peu de cette cheville, d’accord ? Je fais vite » Et je disparaissais aussitôt en trottinant à la recherche de compresses, d’antiseptique, d’une attelle et d’un docteur capable de lui donner de quoi calmer la douleur. C’est en me mettant à courir qu’une douleur se réveillait au niveau de mon flan gauche. « Purée » dis-je en soulevant aussitôt mon tee-shirt pour constater les dégâts. En tombant sur moi, le plafond avait causé une entaille sur mon flan, assez large pour laisser échapper pas mal de sang et jusqu’ici, trop pris dans le feu de l’action la douleur ne s’était pas manifestée.

Après une petite dizaine de minutes, j’étais revenue auprès de #Berlioz qui discutait avec ce qui me semblait être un docteur et Oliver était toujours auprès d’eux. Le docteur administra à la jeune femme un peu de morphine pour calmer la douleur. Pour ma part, j’avais trouvé de quoi désinfecter sa cheville et une attelle. J’avais même pris le temps de me faire un pansement de fortune pour éviter que le sang n’alerte trop Oliver, je m’occuperai de tout ça plus sérieusement plus tard. « J’ai trouvé de quoi te mettre une attelle et de quoi nettoyer la plaie » lui expliquais-je. Je m’asseyais face à elle, en tailleur pour attraper tout doucement sa cheville et la poser sur ma jambe pour l’observer. « Tu me dis si je te fais mal » Heureusement pour moi la morphine ne devrait pas tarder à faire effet. Doucement j’entreprenais de nettoyer sa cheville avant de lui mettre l’attelle sous les yeux admiratifs d’Oliver qui lui posait des questions dignes de l’enfant de 4 ans qu’il était. « Dis tu fais quoi comme métier ? Moi je veux être pompier ! » disait-il alors avant d’imiter la sirène des pompiers. « Ollie, laisse-la tranquille, elle doit être fatiguée » lui dis-je alors ne pouvant réprimer un sourire attendri.
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LE DESTIN
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l'être suprême
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyMer 12 Oct 2016 - 14:11



Emergency exit
sujet commun du groupe 05
Malheureusement pour lui, @Zola St. John était pris au piège à l'intérieur des urgences avec plusieurs personnes. Lorsque le gigantesque arbre s'était effondré et les avait coincés, l'homme avait été surpris par des débris de verres qui l'avaient lacérés au niveau du visage et du torse. Heureusement, aucune blessure ne semble trop profonde... Joanne Prescott se trouve à quelques pas de lui. Recroquevillée sur elle-même et serrant son bébé dans ses bras, elle n'en mène pas large. Étant lui-même parent, il décide de lui prêter main forte.
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptySam 15 Oct 2016 - 23:04



Emergency exit.
En dégageant ma jambe des débris, je pensais que ça irait mieux, sauf que je ne m’attendais pas à ce qu’une douleur aussi vive se présente. La douleur est tellement forte que je retiens in extremis mes larmes qui veulent couler. Ce qui me retient de ne pas le faire, c’est surtout le visage du petit Oliver qui me fixe sans comprendre réellement la situation. Je demande alors discrètement à son oncle de me trouver un médecin qui pourrait intervenir. Il remarque que je suis un peu en détresse et il se présente, comme pour me faire oublier autre chose. « Je suis Berlioz … Merci pour ton aide. » C’est vrai après tout il n’était pas obligé de rester là avec moi, il en a déjà fait beaucoup, mais il reste quand même et je lui en suis redevable. Il m’explique qu’il va chercher de quoi désinfecter la plaie, mais avant il préfère me reculer de cet endroit, au cas où quelques choses tomberaient encore. Je passe mon bras derrière sa nuque afin d’être bien agrippé et il fait un décompte. Lorsqu’il me soulève, j’ai encore plus mal qu’en restant sur le sol. Je serre les dents, sous l’effet de la douleur et me laisse retomber très rapidement contre le mur. Je sens une goutte coulée le long de mon front, alors que Charlie demande à son neveu de rester avec moi. Je lui fais un faible sourire qui se veut rassurant. Lorsqu’il se tourne vers moi pour me dire qu’il revient, je secoue la tête, confiante.

Sauf qu’il n’a pas besoin d’aller bien loin puisqu’un médecin nous rejoins et regarde un instant ma jambe. J’ai peur qu’il m’annonce qu’elle soit cassée, mais il ne semble pas pouvoir me le dire pour l’instant. La seule chose qu’il peut faire actuellement est de me donner de la morphine. « Merci, ça suffira pour le moment. » La douleur est présente, mais je ne peux pas être égoïste, je me doute que le médecin doit aider ailleurs. Tant que la douleur se calme un peu, ça devrait aller. Je tourne la tête vers Oliver qui fixe pas très rassurer la piqure que vient de me faire le médecin. « Je t’assures que ça ne fait pas mal. » Il m’explique alors la dernière piqure qu’il a dû faire était pour un vaccin et qu’il n’a pas pleuré une seule fois. Je ris devant ses propos. Ce qu’il m’a dit n’est pas aussi drôle que je le voudrais, mais la morphine semble pas seulement agir sur la douleur, mais aussi sur mon comportement. J’ai l’impression de devenir hilare pour rien. Charlie est de retour avec le nécessaire pour nettoyer la plaie et maintenir ma cheville. Et alors qu’il s’applique à faire ça correctement, le petit garçon me demande alors qu’elle métier j’exerce et m’explique d’une traite qu’il souhaite lui devenir pompier. « Je suis coiffeuse et crois-moi, ça me ferait plaisir de m’occuper de cette touffe qui te sert de cheveux. » Je fixe son oncle ensuite. « D’ailleurs ça ne te ferait pas de mal à toi non plus. » Et je ris de plus belle, aux larmes cette fois. Je crois que la dose de morphine était peut-être un peu trop élevée, mais au moins je ne sens plus rien. Mes yeux se posent malencontreusement sur le t-shirt de Charlie remplit de sang. J’approche mon visage du sien pour éviter d’aller son neveu. « Tu es blessé ! Laisse-moi voir si c’est grave. » Je ne suis pas médecin, mais avec ce qu’il a trouvé un peu partout pour ma cheville, je pourrais au moins arrêter le saignement.




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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyLun 17 Oct 2016 - 20:48




emergency exit


L’esprit ailleurs, j’observe les gouttes de pluie se frayer un chemin sur la fenêtre de l’hôpital. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas vu pareille tempête. Les derniers caprices de mère nature – dans mes souvenirs – remontait au moins à mon adolescence lorsque j’étais un parfait petit français. Et même si les tempêtes n’étaient pas courantes à St-Raphaël, lorsque l’orage avait décidé de faire rage, mieux valait s’abstenir de sortir. Ma journée étant donc condamnée, j’avais décidé de me rendre à St Vincent’s hospital afin d’effectuer un don du sang, geste que j’ai toujours souhaité mener à bien le plus souvent possible. Assis dans un fauteuil, une aiguille plantée dans le bras, on a souvent la chance de rencontrer des personnes intéressantes, formidables, hors du commun, qui comme vous, donne de leur temps pour la survie des autres. Alors on apprend de leur parcours, de leurs rêves, de leurs regrets et cela nous enrichit.

Un craquement assourdissant me fait relever la tête vers le plafond. Je jette un coup d’œil à ma voisine de droite avant d’être projeté en avant.

Une explosion. Puis deux. J’ouvre les yeux, complètement désorienté avant de ressentir une douleur atroce au niveau de ma joue gauche, ainsi que sur mon torse. Sans que je m’en rende compte, un filet de sang vient s’écouler le long de mon menton puis le long de mon cou. L’homme qui se trouvait face à moi essaye de rassurer tout le monde jusqu’à ce que nous soyons plongé dans le noir. Des ombres effrayantes viennent se refléter sur le plafond, laissant penser qu’un arbre est venu s’abattre sur l’hôpital. Impossible. Je tourne la tête vers cette fenêtre tantôt entière puis aperçois une horde de personnes se ruer vers l’extérieur. Médecins, patients, ambulancier, visiteurs, tous hurlent d’effroi devant l’ampleur de la catastrophe.

« Il faut trouver une sortie, on ne peut rester ici. » dis-je en tentant de garder mon calme avant de retirer l’aiguille de mon bras. Je me dirige alors vers la sortie de la salle puis longe le couloir menant aux escaliers de service armé de la lampe torche de mon téléphone. Une voix lointaine nous annonce qu’il faut vider le bâtiment. Loin d’être gravement atteint, je décide d’aller porter secours aux victimes les plus meurtries. Plusieurs cris retentissent et résonnent dans le bâtiment. Je viens m’enfoncer dans un couloir inconnu avant de passer les portes de sécurité. Des pleurs d’enfants se font alors entendre. Je croise un médecin et quelques infirmières, trop débordés par la situation pour pouvoir répondre à mes questions. Les pleurs se rapprochent tandis que j’arpente ce couloir chaotique. Une silhouette sombre apparaît alors dans mon champ de vison et j’accélère la cadence de mes pas avant d’apercevoir une jeune femme (@Joanne Prescott) et son enfant, restés immobiles dans un coin du couloir. « Madame vous allez bien ? Il faut vous lever, c’est dangereux de rester ici. Il faut vous mettre à l’abri. » dis-je avec une certaine douceur tout en les désignant elle et son fils du doigt. « Vous pouvez vous lever ? » Sans savoir si cette jeune femme me répondra, je m’accroupie face à elle dans l’espoir de la faire réagir.
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Message(#) Sujet: Re: ∆ emergency exit (groupe 05) ∆ emergency exit (groupe 05) EmptyMar 18 Oct 2016 - 17:46


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Daniel restait étonnamment calme. Malgré les cris, les pleurs, le stress, il râlait un petit peu, mais n'avait pas de gros chagrin. Sa mère sentait qu'il était encore un peu fiévreux en gardant ses lèvres constamment posées sur sa tête, qu'elle embrassait de temps en temps. Le temps lui semblait incroyablement long, elle ne savait plus quoi faire d'elle-même. Il n'y avait nulle part où aller, pour aucune personne qui se retrouvait coincé ici. Elle avait reconnu son médecin, mais ce qu'il disait n'avait aucun sens. La jeune femme avait comme une boule au ventre, un quelque chose qui n'attendait qu'à exploser. Des cris, des larmes, n'importe quoi, mais il fallait que ça sorte d'une manière ou d'une autre. Elle voyait au loin quelqu'un qui avait la jambe ensanglanté, d'autres étaient encore coincé à cause de l'arbre ou des débris que ce dernier avait entraîné avec lui. Un homme s'accroupit devant elle. C'était donc lui qui venait tout juste de lui parler. Elle se disait bien qu'elle avait cru entendre une voix qui s'adressait à elle. Joanne fixa longuement les yeux de l'inconnu. Il semblait véritablement soucieux pour elle. Totalement perdue, et angoissée par tout ce qui lui était en train d'arriver. Elle bégaya longuement, bien incapable de prononcer le moindre mot. Des larmes finirent par couler le long de ses joues, avec cette subite impression de manquer d'air. "Je...Je peux pas." finit-elle par dire avec une voix on ne peut plus étouffée. Non pas qu'elle se sentait en sécurité, mais elle craignait que quelque chose d'autre ne s'effondra s'ils allaient ailleurs. Tout ce qu'elle voulait sur le moment, c'était que Jamie soit là. Il saurait certainement quoi faire, lui. Elle espérait tellement qu'il soit en sécurité, qu'il aille bien surtout. "Mon fils a de la fièvre. Je peux pas partir." Elle était initialement venu pour lui, pour qu'il soit vu par un médecin, étant donné que cette poussée de fièvre était inhabituelle. Même s'il semblait être moins chaud qu'avant. Néanmoins, Daniel était dans un certain inconfort. Joanne colla sa tête contre le mur, elle sentait son coeur battre à toute allure que ça en devenait douloureux. "Je ne me sens pas très bien non plus, à vrai dire." dit-elle en larmes. Elle n'était pas blessée, mais son angoisse ne cessait de rendre l'ampleur, c'en était insupportable. Il y avait un peu de poussière qui s'était levé avec tout ce remue-ménage qui fit vivement tousser Joanne. "Si vous pouviez trouver quelque chose pour la fièvre de Daniel." lui demanda-t-elle avant une nouvelle quinte de toux. L'inconnu finit par se lever pour trouver un médicament adéquat. Joanne commençait à être bien encombrée au niveau des bronches, elle n'arrêtait pas de tousser. Elle ouvrit le premier bouton de son chemisier, ayant l'impression de suffoquer. "J'arrive plus à... respirer." dit-elle, bien qu'elle n'ait pas d'espoir que quelqu'un puisse l'entendre.


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