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6 résultats trouvés pour Vittorio

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Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: TEAMBURGER - BURGER KILL
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: TEAMBURGER - BURGER KILL    Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyDim 4 Juin 2017 - 14:19
C’était trop, l’angoisse et le dégoût mélangés avaient raison de mon estomac qui renvoyait frénétiquement toute trace des burger Hungry Jack’s de mon organisme. Pour sûr, jamais plus de ma vie je ne mangerai un burger de la chaîne australienne. {#}Elio{/#} s’était aussitôt approché de moi, une fois que je m’étais laissée aller contre le sol, à bout de force et en proie à une crise de panique. « Respire Heidi… C’est qu’un mauvais cauchemar, on va sortir de là toi et moi, je te le promets. » tentait-il de me rassurer sans grand succès. « Si seulement ce n’était qu’un cauchemar » répondis-je, la voix rauque. Je fermais les yeux, posant la tête contre la paroi du bateau pour tenter de faire passer les hauts le cœur qui me secouaient encore, l’image de ce pied tranché me hantant encore. « Ca va mieux ? Lève-toi et regarde l’océan. On peut déjà voir les lumières de la côte, ils vont venir nous chercher » Je décidais de l’écouter, me relevant sur mes jambes flageolantes pour observer l’horizon, comme il me l’avait suggéré, tentant de me calmer et de prendre le contrôle. Ce n’était pas le moment de craquer. Elio s’assurait que je parvenais à me relever et que je tenais bien sur mes jambes, embrassant ma tempe. Geste que j’appréciais, mais pas à sa juste valeur, l’état d’Edward, l’absence de Douglas et la présence du tueur continuant de me ronger les sangs. « On va aller prévenir la sécurité qu’il y a un blessé ici, et retrouver Douglas, il doit être en train de te chercher lui aussi. » suggérait-il finalement, parvenant à ranimer quelque chose en moi. L’action, partir chez Douglas, servir à quelque chose, c’était autant de choses qui me parlaient. « Mais Edward… » commençais-je me tournant aussitôt vers lui. « Edward est entre de bonnes mains maintenant. » En effet, le staff médical s’occupait déjà de lui, tâchant de lui sauver la vie, sous la surveillance de {#}Kane{/#} et de {#}Vittorio{/#}. C’est alors que je remarquais la main de l’italien qui continuait de saigner malgré le bandage. « Vitto, tu saignes encore. Tu devrais peut-être leur faire examiner ta main ? » lui suggérais-je, en désignant un secouriste qui se trouvait dans l’infirmerie. A côté de l’état d’Edward ce n’était peut-être pas le plus urgent, mais c’était quand même suffisamment grave. « Vous restez ici ? » demandais-je finalement à {#}Vittorio{/#} et {#}Kane{/#} alors qu’{#}Elio{/#} s’inquiétait des plans d’{#}Aaron{/#}. « Soyez prudents surtout. » les avertissais-je, laissant mon regard s’attarder plus longtemps sur {#}Vittorio{/#} qui n’était déjà pas au top de sa forme. Pour sûr, je ne voulais pas avoir à déplorer un seul blessé de plus. Et {#}Elio{/#} attrapait ma main pour m’entraîner avec {#}Aaron{/#} plus loin, à la recherche de Douglas et de ses amis à lui. Alors que nous avancions, le bateau se mettait à trembler sous la violence d’une explosion. Sous la violence du choc, je tombais, me retrouvant projetée contre un mur, me cognant un peu la tête au passage. « C’était quoi ça ? » m’exclamais-je aussitôt.


{@=532}Elio Harrington{/@}, {@=2529}Edward Fitzgerald{/@} {@=2035}Vittorio Giovinazzo{/@}, {@=2136}Kane Williamson{/@} & {@=2577}Aaron Kennedy{/@}

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Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: TEAMBURGER - BURGER KILL
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: TEAMBURGER - BURGER KILL    Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyDim 4 Juin 2017 - 9:44
J’étais à fleur de peau, obligée de me concentrer et de me faire violence pour ne pas céder à la panique. L’état d’{#}Edward{/#} ne s’améliorait pas et son teint blafard n’annonçait rien qui vaille. Pour la toute première fois de ma vie, je regrettais amèrement de ne pas avoir choisi une autre voie que celle de la mode pour ma carrière professionnelle, me sentant terriblement inutile dans un instant comme celui-ci. Le bateau était de nouveau en marche et avançait en direction du port comme l’avait indiqué le personnel : « Mesdames et Messieurs les passagers. Les services de secours ayant pu être joints par radio, le bateau va à présent amorcer un retour au port. Pour des raisons de sécurité les passagers seront évacués par petits groupes à bord de zodiacs dépêchés par les garde-côtes. » C’était surréaliste d’entendre l’équipage s’adresser à nouveau de cette façon alors que quelques instants plus tôt un psychopathe menaçait de nous tuer tous. « Le retour va être long … » murmurait {#}Vittorio{/#}, faisait écho à mes propres pensées. « Si le staff a repris le contrôle de la cabine du pilote, c’est que l’assassin n’y est plus … » L’annonce au haut-parleur avait provoqué une vive réaction de la part des autres occupants, certains paniquaient à l’idée de savoir que le tueur était de nouveau en cavale, quand d’autres commençaient déjà à essayer de s’approcher du bastingage, dans l’espoir d’être évacués plus rapidement par les garde-côtes. « Ca va être la guerre » songeais-je, remarquant à quel point l’homme pouvait agir de façon assez cruelle et égoïste quand sa sécurité personnelle était menacée. « Il faudrait que l’équipage essaye de contenir un peu tout le monde, ça va mal finir sinon. L’idéal serait d’évacuer les blessés en premier » ajoutais-je, lançant un regard à la silhouette d’{#}Edward{/#} toujours dans les vapes. « Je crois que rester statique ici va me rendre fou… » soupirait {#}Elio{/#}, et je ne pouvais que le comprendre, caressant doucement le dos de sa main de mon pouce, pour l’apaiser un peu. « On devrait aller à l’infirmerie, il sera tranquille là-bas. C’est par là ? C’est au même niveau ? » suggérait finalement {#}Kane{/#} et j’hochais la tête, n’ayant pas de meilleure idée à proposer dans l’immédiat. « J’y suis allé avant, je crois que je vois plus ou moins par où c’est de ce côté-là. » indiquait {#}Elio{/#}, entrainant à sa suite le reste de notre petit groupe et du blessé que nous poussions sur le lit. « Elio ! » Je me retournais à la recherche de celui qui interpellait {#}Elio{/#} pour découvrir le visage du jeune homme que j’avais aperçu avec lui plus tôt. Et si en temps normal savoir {#}Elio{/#} en compagnie de quelqu’un d’autre m’aurait piqué à vif, je n’en avais que faire à cet instant précis. Tant qu’il était en sécurité et en pleine forme, le reste m’importait peu. « C’est une bonne amie à moi Heidi, elle était aussi sur le bateau. Et Heidi, Aaron j’imagine que c’est lui que tu as vu de loin. » {#}Elio{/#} faisait les présentations, et bien que j’avais l’esprit totalement ailleurs, j’adressais au fameux jeune homme un petit sourire contrit « Désolée de te rencontrer dans pareil merdier ». Mais déjà, j’avais reporté mon attention sur {#}Edward{/#} qui n’avait plus parlé depuis un moment, jetant un coup d’œil interrogatif à {#}Kane{/#} en quête de réponses. « Il faudra absolument qu’on prévienne l’équipage de l’état d’Ed. Pour qu’ils puissent le faire évacuer plus vite. » J’étais parfaitement volontaire pour y aller une fois le brancard à l'infirmerie et {#}Edward{/#} en sécurité, mais pas assez courageuse et inconsciente pour être déterminée à y aller seule. Il fallait cependant que ceux qui restent auprès d’{#}Edward{/#} soient assez nombreux pour se défendre, au cas où. « Et lui c’est qui ? » demandait {#}Aaron{/#}. « Une des victimes… » répondait {#}Elio{/#}. « Edward Fitzgerald, un de mes clients » lui expliquais-je, pas réellement concentrée sur ce que je racontais. « C’est quoi ce truc ? C’est un pied… » Elio s'était approché de la porte de l'infirmerie, découvrant alors un pied humain. Ce fut la goutte d'eau qui faisait déborder le vase, sans même que je ne puisse me retenir, je sentais un haut le coeur me saisir. Je m'écartais vivement du groupe, pour rendre mon repas dans une poubelle qui se trouvait là, tremblante comme une feuille. J'avais du mal à respirer, à calmer mon coeur qui battait la chamade. C'était un cauchemar. Je me laissais tomber au sol, tentant de reprendre contenance, sans grand succès. Il fallait surtout que je parvienne à retenir la crise de panique et de larmes qui semblaient sur le point de se saisir de moi.


{@=532}Elio Harrington{/@}, {@=2529}Edward Fitzgerald{/@} {@=2035}Vittorio Giovinazzo{/@}, {@=2136}Kane Williamson{/@} & {@=2577}Aaron Kennedy{/@}

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Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: TEAMBURGER - BURGER KILL
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: TEAMBURGER - BURGER KILL    Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyMer 31 Mai 2017 - 6:06
{#}Vittorio{/#} étant blessé, l’infirmière ({#}Yasmine{/#}) se proposait pour l’accompagner à l’infirmerie, nous laissant seuls avec {#}Kane{/#} autour d’{#}Edward{/#}. « Prends ma place Kane, on sera vite revenu. » disait la jeune femme et j’espérais qu’elle avait raison car j’étais tout sauf sereine à l’idée de rester comme ça, à tenter de maintenir {#}Edward{/#} éveillé sans sa présence rassurante à mes côtés. « Je… Je ne sais pas. J’ai peur qu’il se mette à saigner plus encore… Peut-être qu’on peut essayer de ramener quelque chose pour le transporter. » répondait-elle quand je demandais s’il n’était pas possible de le déplacer pour aller dans un coin moins exposé. J’hochais alors la tête en signe d’approbation avant de les regarder s’éloigner avec {#}Vittorio{/#} qui lançait : « Je te suis. Plus vite on sera partis plus vite on sera revenus … avant qu’il reprenne ses esprits, de préférence. Soyez prudents. » et je ne pouvais m’empêcher de leur dire : « Revenez hein », la voix un peu tremblante, bien que j’étais consciente que ça ne changerait rien. « Tu le connais d’où Edward ? » me demandait alors {#}Kane{/#}. « C’est un de mes clients les plus fidèles. Je suis créatrice de vêtements et il apprécie visiblement mon travail » lâchais-je, avec un petit sourire en y songeant. Je continuais ensuite de parler à {#}Edward{/#}, espérant déclencher chez lui une nouvelle réaction, le pousser à se réveiller pour de bon quand j’entendais mon prénom : « Heidi ? HEIDI ! » La voix d’{#}Elio{/#} me parvenait alors clairement et je me tournais, limitée dans mes mouvements pour le voir s’approcher de moi avant de s’agenouiller à mes côtés. Le voir me soulageait tellement que je sentais les larmes me monter aux yeux de nouveau. « Elio ! » Contrainte de ne pas trop bouger pour maintenir {#}Edward{/#} en place, je me contenais de poser une main sur sa joue. « Qu… Qu’est ce que tu fais là ? Tu n’as rien ? » s’inquiétait-il et je secouais la tête pour lui dire que tout allait bien pour moi. « Mon Dieu, tu vas bien toi aussi. J’avais tellement peur de ne pas te revoir. » Parce que moi, tout le long, j’avais su qu’Elio était sur ce maudit bateau. Du coin de l’œil, je voyais {#}Vittorio{/#} et {#}Kane{/#} s’affairer pour tenter d’immobiliser convenablement le type qui était venu nous trouver un peu plus tôt avec un couteau mais celui-ci finissait par passer par-dessus le bastingage pour finir à l’eau où une bouée lui fut rapidement envoyée. Pour ma part, j’étais concentrée sur le sort d’{#}Edward{/#}. « Pourquoi cette tenue ? » demandais-je à Elio, curieuse de savoir pourquoi il ne portait plus le tee-shirt que je l’avais vu porter plus tôt. « Vitto, vient m’aider. On va le déplacer lentement pour le mettre là dessus. Yasmine, tout le monde… Mettons nous de part et d’autres de son corps pour pouvoir le soulever tous en même temps. Prêt ? A trois. Un… Deux. Trois ! » avait suggéré {#}Kane{/#} et nous nous étions tous exécutés, déposant {#}Edward{/#} sur le lit d’appoint, me libérant aussitôt. Une fois la liberté de mouvement retrouvée, je m’étais aussitôt jetée au cou d’Elio, m’accrochant à lui comme pour m’assurer qu’il était en vie, comme si cela n’avait de réalité que si je sentais la chaleur de son corps contre le mien « Ne me laisse plus, jamais » lui dis-je, les yeux toujours humides. Mais un cri d’effroi résonnait à mes oreilles, me poussant à lâcher Elio pour lui lancer un regard peu rassuré. Passant ma main dans la sienne, je reportais mon attention sur Edward. « Il ne faut pas qu’on reste ici, on est beaucoup trop exposés. » songeais-je et tout à coup, ça me frappait avec une violence sans pareille, j'avais perdu Douglas et je ne l'avais pas revu depuis l'extinction des lumières. « Pitié, dis-moi que tu as aperçu Douglas sur ce bateau » demandais-je à Elio, de nouveau en proie à la panique.


{@=532}Elio Harrington{/@}, {@=1093}Yasmine Khadji{/@}, {@=2529}Edward Fitzgerald{/@} {@=2035}Vittorio Giovinazzo{/@}
& {@=2136}Kane Williamson{/@}

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Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: TEAMBURGER - BURGER KILL
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: TEAMBURGER - BURGER KILL    Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyMer 31 Mai 2017 - 5:32
Voir cette pauvre femme se faire écraser et manquer de perdre Sofia dans la foule de nouveau, m’avait coupé toute envie de rire et de détendre l’atmosphère. Plus vite j’aurais reposé mes deux pieds sur le sol, mieux je me sentirais. Pour sûr, je n’étais pas prêt d’embarquer de sitôt de nouveau sur un bateau. Maintenant fermement {#}Sofia{/#} qui tenait {#}Elio{/#}, je menais la marche, passant à travers la porte qui s’était faite dégonder un peu plus tôt par la foule en panique. « On devrait essayer de trouver un endroit ou se planquer. » suggérait {#}Elio{/#} mais je n’étais pas de cet avis. « Se trouver un coin pour se planquer sur un bateau bondé, je pense que ça sera difficile. Et se planquer sans moyen de se défendre, c’est quand même hyper risqué. » avais-je soulevé. J’étais persuadé en effet que si nous nous cachions quelque part, il était primordial d’avoir avec nous un moyen de mettre hors d’état de nuire le psychopathe au cas où celui-ci se décidait à s’aventurer de notre côté. « On ne sait même pas à quoi il ressemble… Ca pourrait être n’importe lequel d’entre eux. » soupirait {#}Elio{/#}, disant à voix haute ce que je pensais tout bas et me tirant par la même occasion un frisson d’effroi. Pour sûr, à tout instant, même au milieu de la foule, ce type pouvait surgir de nulle part pour venir nous attaquer. Néanmoins, je décidais de ne pas céder à la panique et de garder en tête mon objectif de l’instant : avancer jusqu’à trouver une solution pour nous sortir de ce pétrin. Nous passions alors devant un groupe de personnes regroupées autour d’un nouveau corps. Le cœur au bord des lèvres et peu désireux de m’infliger la vue d’un second cadavre, j’avais entrepris de poursuivre ma course sans m’arrêter mais {#}Elio{/#} en décidait autrement. « Heidi ? » s’écriait-il alors en nous tirant avec {#}Sofia{/#} dans ce sens. « HEIDI ! » Et je l’avais alors remarquée, cette fille dont Elio m’avait parlé plus d’une fois mais que je n’avais jamais réellement rencontré, une amie d’enfance avec qui il avait une histoire assez compliquée. Songeant en mon for intérieur qu’il n’était pas venu le moment de jouer les Don Juan, je ne disais rien à voix haute, sachant pertinemment par exemple que si Janis avait été là, j’aurai couru dans sa direction pour m’assurer qu’elle allait bien. {#}Elio{/#} avait finalement lâché la main de {#}Sofia{/#} pour s’agenouiller près de la fameuse {#}Heidi{/#}. Pour ma part, j’avais gardé ma main fermement dans celle de {#}Sofia{/#}, observant la scène de loin, perdu dans mes pensées, toujours à la recherche d’une idée miraculeuse. Je sentais {#}Sofia{/#} alors qui venait se blottir dans mes bras et je ne tardais pas à la serrer contre moi, caressant son dos du bout de mes doigts fins. « C'est un cauchemar » murmurait-elle alors que je posais doucement mon menton sur son crâne, les lèvres pincées plus frustré que jamais de ne pas savoir quoi faire pour nous venir en aide. « J'vais bientôt me réveiller dans mon lit. J'aurai un énorme mal de crâne. Et si j'sens si bien ton odeur, c'est parce que t'es sûrement allongé à côté de moi. » Je ne comprenais pas tout de suite où la jeune femme voulait en venir, restant interdit un instant avant de rire un peu. « C’est quand même triste que tu sois obligée d’être alcoolisée pour céder à mes avances. » Peut-être aurais-je dû être vexé par cette réflexion mais sachant pertinemment qu’il n’y avait pas de réelle ambiguïté entre la jeune femme et moi et ce depuis qu’elle était venue me trouver pour me passer un savon, je ne m’en formalisais pas. C’est alors que je remarquais deux types ({#}Vittorio{/#} et {#}Kane{/#}) qui s’étaient approchés d’un deuxième corps inanimé (une part de moi espérait qu’il ne soit pas mort mais seulement inconscient). « Suis-moi » avais intimé à {#}Sofia{/#} alors que je me dirigeais droit vers les deux types qui s’affairaient autour du corps, ma main toujours dans celle de la jeune femme. « Qu’est-ce que vous faites ? Il est mort ? » ne pouvais-je m’empêcher de demander, une part de moi espérant sûrement au fond que ce type soit en réalité le tueur. « Il faut qu'on l’attache, on ne peut pas risquer qu'il se réveille et blesse quelqu’un d'autre … » entendais-je l’un des deux types dire avec un accent italien fortement prononcé ({#}Vittorio{/#}). C’était alors que le type se réveillait, se débattant pour finir par passer par-dessus bord. Horrifié, entraînant {#}Sofia{/#} avec moi, je m’étais précipité pour voir si je ne le voyais pas dans les eaux. « Un homme à la mer ! » s’écriait aussitôt le second type ({#}Kane{/#}) et rapidement une boue lui était lancée. Tout le monde présent sur le pont s’était arrêté, comme figé, dans l’attente de savoir s’il allait s’en sortir et plissant les yeux je parvenais finalement à distinguer la silhouette de l’homme parmi les vagues et non loin de la bouée. « Je le vois ! Il est là ! Il a la bouée ! » m’écriais-je finalement alors que celui qui avait lancé la bouée se chargeait de ramener le type sur le bateau. J’avais reporté mon attention sur {#}Sofia{/#}. « Ca va princesse ? » lui demandais-je alors, mais un cri d’horreur avait résonné dans tout le bateau, nous glaçant le sang et me ramenant soudainement à la triste réalité : nous étions coincés sur foutu bateau sans moyen de nous défendre. « C’était quoi ça ? » ne pouvais-je m’empêcher de demander, presque sûr que personne sur le pont ne saurait me répondre. « Dis-moi, il y a forcément une radio sur ce bateau, quelque chose pour contacter d’urgence les gardes côtes non ? Est-ce que quelqu’un ici sait si seulement le personnel a pris la peine d’avertir les autorités ? » Je ne comprenais pas qu’on soit encore condamnés à errer sur un bateau avec un meurtrier qui rôdait, faisant un peu plus de victimes à chaque instant. Mon esprit de journaliste et d’investigateur refaisait surface et j’avais de plus en plus l’envie d’aller trouver le personnel pour obtenir des réponses à mes questions, ne pouvant plus supporter d’être maintenu dans l’ignorance. La seule chose qui me faisait encore hésiter : la présence de {#}Sofia{/#} à mes côtés.


{@=532}Elio Harrington{/@}, {@=2596}Sofia Axworthy{/@} {@=2035}Vittorio Giovinazzo{/@}
& {@=2136}Kane Williamson{/@}

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Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: TEAMBURGER - BURGER KILL
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: TEAMBURGER - BURGER KILL    Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyLun 29 Mai 2017 - 19:09
Si j’avais été plus que soulagée de croiser la route de {#}Vittorio{/#}, j’étais profondément attristée que mes retrouvailles avec {#}Edward{/#} ait lieues de cette façon. Me ressaisissant, je m’agenouillais à ses côtés, prête à prêter main forte à l’infirmière qui tâchait de le maintenir en vie. « Vous le connaissez ? » me demandait-elle aussitôt et j’hochais la tête en signe d’approbation, laissant échapper un petit « Oui je le connais » du bout des lèvres sans rentrer dans les détails pour autant. De toute façon, elle ne m’en laissait pas le temps : « Tenez-lui la main… Je vais comprimer un peu plus la plaie et… Ça risque de lui faire très mal. » Je m’exécutais, sans broncher, attrapant la main glacée d’{#}Edward{/#}, la serrant avec délicatesse mais fermeté, espérant déclencher chez lui un semblant de réaction. Pendant ce temps, un jeune blond ({#}Kane{/#}) disait tout haut ce que tout le monde pensait tout bas : il ne fallait vraiment pas que le tueur décide de nous rendre une petite visite. C’est alors que l’infirmière déclarait : « Peut-être qu’on devrait trouver de quoi se protéger… Je veux dire… au cas où… Un.. couteau ou je… J’ai des ciseaux dans ma poche. » Ses paroles faisant parfaitement écho en chacun de nous. [color:d0b9=#lightseagreen]« Heidi ? Viens prendre ma place. » m’interpellait alors {#}Vitto{/#}, soulevant la tête de l’inconscient pour que je puisse placer mes genoux dessous et le maintenant par les épaules pour éviter tout sursaut. L’italien se redressait une fois ledit ciseau récupéré dans la poche de la jeune femme, quand un boucan pas possible se faisait entendre dans la salle de réception, signe qu’une fois de plus la panique avait gagné les participants. Et je ne pouvais que les comprendre, si je n’avais pas croisé Vitto et si je n’avais pas remarqué ce petit groupe en détresse je serai sûrement en train de paniquer moi aussi. Un élan de peur me tordait le ventre lorsque je songeais à Douglas et Elio qui se trouvaient, quelque part sur ce maudit bateau, en vie avec de la chance. Mais heureusement la jeune infirmière me sortait de mes pensées, tâchant de me rassurer. « Vous pouvez lui parler… On s’occupe de votre ami Heidi… » disait-elle d’une voix calme. J’hochais la tête, ouvrant la bouche en cherchant quoi dire. « Edward, c’est Heidi. Si tu m’entends, je t’en serai vraiment reconnaissante de bien vouloir reprendre connaissance » finis-je par lâcher d’une voix tremblante mais calme, les larmes aux yeux malgré tout. D’un coup, le bateau s’arrêtait, nous prenant tous par surprise et voilà qu’{#}Edward{/#} se mettait à s’agiter. Avec toute ma force, je tâchais de le pousser à rester immobile, le maintenant en place. « Ed, c’est moi, du calme. On s’occupe de toi d’accord ? Mais il faut que tu arrêtes de bouger. » lui intimais-je, tentant de le calmer avec l’aide de {#}Yasmine{/#}. Concentrée sur l’état du mal en point, n’avait pas remarqué le jeune homme qui était arrivé derrière {#}Vittorio{/#}, armé d’un couteau de cuisine, l’air effrayé. Ce fut le cri de l’infirmière qui me faisait sursauter moi aussi, me mettant en fait de la situation. « On a rien fait… Laissez-nous tranquille. » s’écriait-elle alors que dans un réflexe un peu vain, je me recroquevillais autour du corps de mon ami pour tenter de la préserver. « Je veux pas mourir ! Vous êtes les tueurs ? » s’exclamait l’inconnu, le regard un peu fou. « On ne vous veut aucun mal ! Regardez, on essaye simplement de sauver la vie de cette homme » Evidemment dans ce genre de situation, il y a avait de quoi se méfier de tout et de tout le monde, mais quelque chose au fond du regard de l’individu me laissait penser qu’il était simplement aussi effrayé que je l’étais. Mais la voix fébrile d’{#}Edward{/#} reprenant ses esprits détournait mon attention : « Hei… Heidi ? » Je souriais, malgré mes yeux légèrement embués de larmes. « Oui c’est moi, bouge pas. » Je serrais sa main un peu plus fort pour lui faire savoir que j’étais là et que je ne comptais pas disparaître, qu’il était entre de bonnes mains. Dans mon dos, j’entendais {#}Vittorio{/#} qui tentait de raisonner le désespéré au couteau, en vain. Lorsque je reportais mon attention sur la scène c’était pour voir le couteau de cuisine entailler la main de l’italien et un petit cri m’échappait avant même que je n’ai pu le retenir. Vittorio finissait par reprendre l’avantage désarmant le type avant de lui asséner un coup sur la nuque. « Je l’ai juste assommé … Je crois, je … » Les lèvres pincées, incapable du moindre mouvement, j’observais le corps du type gisant à même le sol. « C’était de la légitime défense. Il est simplement dans les vapes oui » murmurais-je, comme pour essayer de m’en persuader. Et voilà que le tueur venait de nouveau nous glacer le sang : « Vous n’êtes plus en sécurité nulle part … Les mangeurs de cadavres mourront. » Cette fois-ci, je perdais mon sang froid. « Mais c’est un putain de malade ! » Mélange d’angoisse et de colère, j’étais d’une humeur explosive. « Ca va Vitto ? » ne pouvais-je m’empêcher de m’inquiéter alors que le jeune homme avec nous ({#}Kane{/#}) prenait la décision de s’occuper de sa plaie et de s’inquiéter du cas de notre nouvel agresseur : « J’ai un pouls. » lâchait-il finalement, m’enlevant un poids des épaules. Si Vittorio me devait un repas, je ne comptais pas le partager avec lui à la cantine de la prison du coin. « Bon Edward, tu m’entends ? Il faut que tu t’accroches d’accord ? C’est pas le moment de nous laisser. Alors si tu as le courage, c’est le moment de te ressaisir » le houspillais-je un peu, de moins en moins rassurée d’être ainsi exposée, sur le pont principal. « D’ailleurs, il n’y a pas moyen qu’on puisse le déplacer dans un endroit moins exposé ? » demandais-je à l’attention du reste du groupe, pas rassurée à l’idée d’avoir autant d’angles morts dans ma vision par lesquels pouvait surgir le malfrat.


{@=2035}Vittorio Giovinazzo{/@}, {@=1093}Yasmine Khadji{/@}, {@=2529}Edward Fitzgerald{/@} & {@=2136}Kane Williamson{/@}

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Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: TEAMBURGER - BURGER KILL
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: TEAMBURGER - BURGER KILL    Tag vittorio sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyDim 28 Mai 2017 - 18:00
Lorsqu’il était question de junk food, j’étais toujours la première à sauter sur l’occasion. Pour moi, rien ne valait mieux qu’un repas bien gras pour terminer une journée de dure labeur, affalé sur son canapé, le bouton du jean détaché pour libérer l’estomac. Et si je pouvais bien compter sur quelqu’un pour me suivre dans le moindre de mes déboires alimentaires, c’était sur Douglas, mon bras droit dans la vie comme au travail. Nous formions une équipe de choc. Aussi, lorsqu’un jour une cliente régulière de la maison de couture avait proposé de nous laisser des invitations pour profiter d’une soirée sur un bateau tout en dégustant des burgers de la chaîne Hungry Jack’s, aucun de nous deux n’avait trouvé la force de décliner l’offre alléchante. « Ça sera également l’occasion de distribuer quelques cartes de visites et de porter nos plus belles collections » s’était enthousiasmé Douglas, comme pour essayer de déculpabiliser de la tonne de lipide sous laquelle nous allions comater à l’issue de cette soirée de débauche en mer. Fin prêts, vêtus tous les deux des pièces de la dernière collection de la maison de couture, armés de cartes de visite spécialement imprimées pour l’occasion, nous n’avions pas tardé à embarquer sur le paquebot. Le moins que l’on pouvait dire, c’était que l’organisation n’y était pas allée de main morte. Pour sûr, le coup de communication allait être réussi, surtout si l’odeur de grillade et de friture était à la hauteur du goût des mets servis. Profitant de la soirée en compagnie de mon ami, je ne remarquais pas tout de suite que se trouvait sur le ponton du bateau des connaissances à moi. « C’est une tuerie Heidi ! » s’extasiait Douglas en mordant goulûment dans son burger, avec une moue d’exaltation à peine exagérée. Je riais un peu, à le voir s’en mettre plein les doigts alors que je grignotais quelques frites que j’avais récupérées et que je sirotais une bière qui n’était plus si fraîche que ça. C’est alors que mon regard se posait sur une silhouette familière, que j’aurai reconnu entre milles, une silhouette dont j’étais capable de reconnaître les contours même les yeux fermés. Que faisait {#}Elio{/#} par ici ? Avant même que je n’ai pu aller plus loin dans mes interrogations, je le voyais s’approcher d’un jeune homme ({#}Aaron{/#}), un air enjôleur sur le visage que je lui connaissais bien, pour l’avoir vu me regarder de la même façon plus d’une fois auparavant. Visiblement mon visage s’était quelque peu crispé alors que je fixais toujours Elio puisque Douglas cessait ses déclarations d’amour à son sandwich pour me demander : « Tout va bien ? On dirait que tu as vu un fantôme. » Joignant le geste à la parole, le jeune homme se tournait pour suivre mon regard mais déjà Elio et son acolyte avaient disparus. Je secouais brièvement la tête, m’enjoignant de ne pas me laisser déstabiliser par sa présence sur le bateau, avant d’adresser un petit sourire à Douglas : « Pourquoi voudrais-tu que ça n’aille pas ? Ce n’est pas le paradis sur terre ? » lui demandais-je, me fichant bien de passer pour la beauf moyenne. La soirée battait son plein et trop occupée à refaire le monde avec Douglas, je ne remarquais pas tout de suite l’agitation et l’étrange ambiance qui régnaient sur le bateau. Je ne m’étais même pas rendue compte de l’absence de secouristes, trop occupée à prévoir la prochaine campagne de publicité de ma maison de couture. J’avais tout juste commencé à remarquer un groupe d’individus dont je ne distinguais pas réellement les traits à cause de la pénombre ambiante, qui s’agitait lorsque les lumières de l’embarcation nous faisaient défaut, plongeant l’ensemble du bateau dans le noir le plus total. Prise un peu de court, je sursautais, cherchant machinalement à attraper le bras de Douglas mais ma main se refermait aussitôt sur le vide alors qu’un léger mouvement de panique me bousculait un peu. Dans le noir total sans aucun moyen de repère, je ne pouvais ignorer l’accélération de mon rythme cardiaque. Si c’était une plaisanterie de la part de l’équipage, elle avait assez duré. « Douglas ? » Pas de réponse, il fallait dire qu’avec l’extinction des feux, les conversations de tous les occupants du bateau se faisaient de plus en plus bruyantes, comme pour évacuer une certaine appréhension. « Doug’ ? » insistais-je, pas réellement sereine. « Je suis là, t’en fais pas. » C’est alors que j’entendais le cri de quelqu’un ({#}Vittorio{/#}), dans l’accent italien ne m’échappait pas : « Cazzo ! » Sans comprendre ce qu’il se passait, je resais là, tendant l’oreille en attendant que la lumière revienne pour retrouver Douglas parmi la foule. C’était sans compter sur un type qui s’exclamait : « Mon dieu, mais c’est du sang ! » provoquant la panique générale. Je me retrouvais rapidement bousculée, sans autre moyen que de me laisser emporter par le mouvement de foule, priant juste pour ne pas me retrouver au sol comme à Halloween, je portais encore les cicatrices des éclats de verre qui avaient entaillé mon bras. Je parvenais à m’avancer à tâtons jusqu’à un mur, contre lequel je me collais dans l’espoir d’échapper à la panique et tâchant de reprendre mes esprits. Du sang ? Que s’était-il passé ? Et surtout à quel moment cette expédition culinaire sur les côtes avait pu se transformer en découverte sanguinolente ? Contre tout instinct de survie, je décidais de m’approcher, à tâtons, trébuchant çà et là sur quelques objets abandonnés, du groupe de personnes amassés. Des brides de conversation me parvenaient et si je ne comprenais pas un traître mot qui sortait de leurs lèvres, l’accent italien de l’un d’eux ne manquait pas de parvenir aux oreilles, me rappelant aussitôt une soirée passée dans un pub quelques temps plus tôt. Mais il n’était pas temps de se laisser aller à la nostalgie, je comprenais bien que quelque chose d’anormal se tramait. « Faut s’attendre à en retrouver d’autres sur le carreau. » entendais-je l’italien ({#}Vitto{/#}) pester alors qu’un petit groupe s’ajoutait déjà à celui déjà présent. Grâce à la lumière vacillante provenant du flash d’un téléphone, il me semblait distinguer un corps étendu à même le sol. Poussée par l’envie d’aider, je restais cependant en retrait, ayant déjà l’impression que trop de monde se pressait autour du corps inanimé. La lumière s’était finalement rallumée et je constatais avec effroi que mes craintes étaient réelles. Un homme ({#}Edward{/#}) dont je ne voyais pas la tête gisait dans son sang. Aussitôt prise de panique, je cherchais désespérément Douglas du regard, incapable de le voir, ni lui, ni {#}Elio{/#}. J'entendais vaguement un jeune homme ({#}Kane{/#}) s'adresser à une infirmière ({#}Yasmine{/#}), sans comprendre l'essentiel de la conversation. Je manquais de faire un bond de deux mètres lorsque la voix du personnel résonnait dans les hauts parleurs : « Mesdames et Messieurs, pour des raisons de sécurité nous demandons à tous les passagers de bien vouloir rejoindre la salle principale du bateau, dans le calme. En cas de besoin les agents de sécurité peuvent vous indiquer le chemin. » Dans quel enfer m’étais-je encore empêtrée ? Je reportais mon attention sur le groupe, une fois de plus interpelée par la voix de l’italien ({#}Vitto{/#}) et avec un soulagement extrême, mes yeux se posaient sur un visage familier. « Vitto ? » ne pouvais-je m’empêcher de m’exclamer, la voix plus aigüe qu’à l’accoutumée alors que je m’approchais définitivement du petit attroupement, décidée à prêter main forte et soulagée de connaître quelqu’un dans les environs. « Je peux faire quelque chose pour… » commençais-je, désireuse d’apporter mon aide. C’est alors qu’un deuxième visage connu me figeait dans mon mouvement, alors que je plaquais une main sur ma bouche pour retenir un cri d’effroi, les yeux rivés sur le visage inconscient d’{#}Edward{/#}. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? » Blanche comme un linge, le sang glacé par cette vision d’horreur en constatant l’ampleur des dégâts. Mais déjà une nouvelle annonce passait via les haut-parleurs, me glaçant un peu plus le sang : « Un, deux, trois. Jamais deux sans trois. Et le troisième ce sera … toi. » Je lançais un regard effrayé à la cantonade avant de m'agenouiller auprès d'{#}Edward{/#}. « Qu’est-ce que je peux faire ? » demandais-je, pâle comme un cachet d'aspirine, à deux doigts de rendre mon repas mais déterminée à ne pas laisser Ed dans cette situation sans tout tenter. Surtout si un fou devait se trimbaler parmi nous.


{@=532}Elio Harrington{/@}, {@=2035}Vittorio Giovinazzo{/@}, {@=2529}Edward Fitzgerald{/@}, {@=2136}Kane Williamson{/@} & {@=1093}Yasmine Khadji{/@}

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