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1 résultat trouvé pour fatalité

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Tag fatalité sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: clandestino (tafie#2)
Invité

Réponses: 11
Vues: 774

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag fatalité sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: clandestino (tafie#2)    Tag fatalité sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyDim 9 Juin 2019 - 4:25
Parce qu’Alfie a bien d’autres raisons de paniquer en temps normal, il essaie de ne pas se formaliser quant au sale coup que vient de leur faire Stevie. Premièrement parce que ce n’est absolument pas surprenant et que ce qui l’est vraiment, c’est qu’ils aient cru que le van arriverait à destination sans le moindre caprice – parce que dans le milieu des véhicules utilitaires, on ne le surnomme pas Mariah Carey pour rien. Deuxièmement, parce qu’ils ne peuvent rien faire si le van a décidé de ne pas poursuivre son chemin, et que s’agacer ne serait profitable à personne et encore moins à la syncope qui les guette. Il en va de même pour l’autre partie des Street qui est sûrement déjà sur les lieux, ils peuvent hurler autant qu’ils veulent, tenter de les appeler encore et encore pour quémander des explications, lancer Anwar et ses coéquipiers à leur recherche (ou poursuite, dépend du niveau d’agacement de la bande), il n’en demeure pas moins que Stevie. Ne. Veut. Pas. Avancer. Point final, et sans la bonne volonté du véhicule, pas d’instruments, pas de concert. Alfie ne cherche pas plus loin même si évidemment le fait de ne peut-être pas être en mesure de tenir ses engagements l’énerve, mais ce sentiment ne les mènera à rien si ce n’est une dispute parce que la frustration mettra à mal leur raison. Alors il prend la situation comme elle est, même si une petite lueur d’espoir naît dans ses yeux lorsque Tad parvient à identifier le problème. Bien, parce que même s’il se la joue chill pour le principe, il a clairement peur de la furie de Lou et s’il peut s’abstenir d’y goûter, c’est bien volontiers. Mais puisque Tad semble être plus sadique qu’il ne l’a jamais présumé, ce dernier s’est juste fait un petit kiff, à savoir lui provoquer un ascenseur émotionnel digne de celui d’avoir les numéros du Powerball avant de réaliser qu’il s’agit d’un ticket daté d’il y a plusieurs années et non-encaissable. Il est presque tenté d’ajouter un « connard » pour ponctuer ses propos, mais pas de ça entre eux. Et Tad se heurte au scepticisme (et à la difficulté de rester calme) d’Alfie quand celui-ci tente presque de noyer le poisson et de mettre en évidence le manque de compétences d’Alfie dans le domaine ALORS QUE BORDEL C’EST SON VAN ET C’EST LUI QUI IDENTIFIE LE PROBLÈME. Respire, Alfie, n’oublie pas que ça ne sert à rien de s’énerver. Alors non, Alfie ne sait pas s’occuper des vieilles voitures, tout comme il n’a malheureusement pas embarqué sa boîte à outils avec lui en se disant « tiens, pourquoi pas, je sens qu’elle me couve une petite déprime et ça lui fera du bien de voir du pays ». Ce que l’anthropologue note, c’est d’embarquer un manuel avec eux en plus d’une boîte à outils, parce que la seconde est d’une utilité toute relative s’ils ne savent pas où se situe le problème, à part quand il sera question de s’entretuer parce qu’ils n’auront plus la patience de supporter les caprices de Stevie et qu’il faudra passer ses nerfs sur quelqu’un (et Alfie sait très bien que Tad ne s’attaquera jamais au véhicule de sa chère mère et que le coup de clé à molette sera pour sa pomme {#}fatalité{/#}). Dans l’immédiat, ce qu’Alfie peut faire et qui soit à la portée de ses compétences, c’est d’appeler un dépanneur. Toutefois, cela reste de l’ordre du rêve puisque le réseau doit sûrement être une vieille connaissance de Stevie, ce qui justifie qu’il décide à son tour de les mener en bourrique. « Fantastique. » Qu’il rétorque alors qu’il finit par laisser échapper un rire nerveux, ce qui lui permet de se détendre à nouveau. Ça ne peut de toute façon pas être pire. Un sourire réapparaît sur ses lèvres, ce qui lui permet de ne pas se vexer à la réflexion d’un Tad qui rejoint la longue liste de ceux qui ne comprennent rien à son métier et qui ne manquent ainsi pas de le bafouer. La routine. « Ouais, carrément, je l’ai appris durant mon stage avec Bear Grylls, Leonardo, c’est pour toi, mais est-ce que quelqu’un arrivera à décrypter ce que je dis, hm hm, c’est la question. » Faire du feu n’est pas le souci – sur ce point Tad marque un point, il saurait se débrouiller sans difficulté, mais dans le cadre de son travail, il a surtout mis celui-ci à contribution pour manger, ou pour des rituels, mais la communication par fumée, c’est niet, parce que ça n’existe quasiment plus, il faudrait que les gens le comprennent mais Alfie n’a pas la foi de se lancer dans un débat passionné pour expliquer les raisons pour lesquelles ça n’a plus lieu d’être et il sait que Tad n’aura pas la patience de l’écouter. « On va faire ça, plutôt, hein. Qu’Alfie confirme avant de rapidement reprendre. Que tu tentes ta vidange. Hm ? Enfin, celle de la voiture. Et histoire de joindre la parole au geste, Alfie affiche fièrement ses doigts croisés devant lui. Et si vraiment, alors on se mettra en marche. Quoi que, j’ai la dalle, donc à choisir, hein. Il se mettrait en marche tout de suite, jusqu’à la première station-service où il pourrait faire le plein de snacks au quinoa. Du coup, t’as la responsabilité du concert, mais aussi de mon estomac, ça va, tu peux gérer ? » Qu’il demande tandis qu’il s’appuie à côté du capot, bras croisés, attendant que Tad fasse appel à la magie dans ses doigts pour autre chose que d’écrire des lettres d’amour à Céline.

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