ÂGE : quarante-quatre ans (11/11/1976) SURNOM : jamais enclin aux surnoms, ton prénom est rarement écorché. STATUT : en couple mais s'est éloigné momentanément pour lui laisser une chance de retisser des liens avec sa fille. une chose est sûre, elle lui manque terriblement ... MÉTIER : professeur d'histoire de l'art à l'University of Queensland depuis 2005. nouveau doyen de la School of Communication and Arts tu prendras tes fonctions en février 2021. LOGEMENT : loft numéro 613 sur water street (spring hill). POSTS : 1701 POINTS : 50
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : aîné et fils adoré d'une fratrie de quatre enfants, un rôle qui te pèse toujours aujourd'hui ● tu détestes le sport à l'exception du surf, tu es un citadin élitiste et tu le revendiques ● tu dessines et peins depuis ta plus tendre enfance, ta spécialité réside dans les aquarelles ● tu as étudié à Paris en 2002 pendant un an, ville où tu es revenu t'exiler en 2016 ● tu as une nièce de onze ans pour qui tu déplacerais des montages, elle est le trait d'union entre ton frère et toi. ● de retour à Brisbane en janvier 2018 ● ta loyauté est sans faille, la trahir ne rend ta rancoeur que plus tenace.UN RP ? : Seulement si nous avons un lien. RPs EN COURS : malleen ❥ Now I'm standing alone in a crowded room and we're not speaking. And I'm dying to know is it killing you like it's killing me? Yeah. I don't know what to say since a twist of fate, when it all broke down. Cause the story of us looks a lot like a tragedy now.
(#) Sujet: role reversal (keith) Mer 11 Nov - 23:51
C’est Colleen qui t’avait sorti du lit ce matin aux aurores. Son travail de sage-femme faisait qu’elle avait des horaires beaucoup plus irréguliers et chaotiques que les tiens. Mais cela ne te dérangeait pas, tu savais t’adapter, en particulier quand cela voulait dire passer la nuit avec Colleen dans tes bras. C’était une forme d’intimité que tu apprenais à connaître toi qui avais dormi seul pendant de très nombreuses années. Ce qui te rassurait avec la jeune femme c’était que rien n’était forcé. Il y avait des soirs où vous étiez tous les deux chez vous, en particulier quand Lou se trouvait dans les parages mais la plupart du temps vous étiez l’un chez l’autre une fois que votre journée de travail se terminait. Tu avais bien vu que tes collègues avaient remarqué que tu ne t’enfermais plus dans ton bureau pendant des heures comme tu le faisais avant mais pour l’instant aucun d’eux n’avait osé te faire une remarque. Tu te contentais donc de surprendre leurs petits sourires entendus quand tu les croisais dans les couloirs en partant à une heure tout à fait correcte. En vérité, tes horaires dépendaient largement de Colleen car tu t’arrangeais pour aller tes grosses journées de travail sur les siennes vu qu’en dehors de tes cours, tu t’organisais comme tu le voulais pour travailler. Voilà pourquoi tu te retrouvais à sept heures du matin sur le campus universitaire. Premier stop dans ces cas-là, c’était le petit café qui avait ouvert lui depuis quelques heures et qui servent les plus déterminés d’entre vous. Alors que tu faisais la queue, tu repensais à ta première rencontre avec Keith devant ce même café et cela te fit te souvenir que ton collègue n’avait répondu à aucun de tes messages dernièrement. Ce n’était pas des messages urgents, tu cherchais juste à prendre de ces nouvelles car tu avais entendu de la bouche de collègues qu’il faisait de gros horaires en ce moment. Quand vint ton tour de commander, tu commandais deux cafés et tu pris un petit assortiment de pâtisseries. Si jamais Keith n’était pas dans son bureau, tu les distribuerais à tes collègues, un signe de plus que tu étais une autre personne et que l’apocalypse était proche. Tu profitais de l’attente pour envoyer un dernier texto à Colleen et lui souhaiter une bonne journée alors qu’elle devait se préparer à ranger son téléphone dans son casier. C’était une petite habitude que tu avais prise, quand tu le pouvais. C’était peut-être ridicule mais tu y tenais. Quand ton prénom fut appelé, tu récupérais la commande avant de prendre la direction du bâtiment où se trouvait le bureau de Keith. Finalement, il avait pris ses marques plus facilement qu’il n’avait semblé le penser possible lors de votre première rencontre. Tu devais avouer que cette mission d’intégration s’était avérée bien moins pénible que ce que tu prévoyais et tu étais prêt à le refaire si besoin mais pas tout de suite non plus.
Pénétrant à l’intérieur du bâtiment, tu ne fus pas surpris de trouver les couloirs vides. Pour certains, cela était effrayant et déprimant mais tu t’étais habitué à les voir vides et tu y trouvais un certain réconfort finalement. Tu gardais cette remarque pour toi cependant car cela ne ferait que rajouter une croix dans la colonne ‘Etre étrange’ que devaient tenir tes collègues. En t’approchant du bureau de Keith, tu fus à moitié surpris de voir de la lumière en sortir dans le couloir. Tu soupirais. Malheureusement, tu allais être bien mal placé pour lui faire des remarques sur des habitudes qui avaient longtemps été les tiennes. Mais c’était justement parce qu’elles n’avaient jamais été celles de Keith et parce qu’il t’avait juré que son job ce n’était pas si vie et qu’il y avait mieux à faire que se terrer dans un bureau que tu étais très inquiet. Alors que tu pénétrais dans le bureau, tu allais ouvrir la bouche pour le saluer mais tu te retins au dernier moment quand tu le vis, avachis sur son bureau en train de dormir. Génial … Posant les cafés et les pâtisseries sur une chaise devant ton bureau et ton sac aux pieds de cette dernière, tu te retournais et tu appuyais doucement sur l’épaule de ton ami pour le réveiller. « Keith ? Keith réveille-toi. » Il ne te fallut pas attendre très longtemps pour que le professeur se réveille en sursaut. Tu fis un pas en arrière, instinctivement en levant les mains de chaque côté de ta tête. « Du calme, c’est moi. Tu t’étais endormi sur ton bureau. » Lui dis-tu en lui désignant les feuilles précédemment sous sa joue et qui en gardaient une trace. Te retournant, tu attrapais un gobelet en plastique que tu déposais devant lui avant de dire : « Tiens, c’est cadeau. Et j’ai des petites choses à grignoter. Tu te sentiras bien assez mal d’avoir dormi le dos courbé dans l’après-midi. » Et tu parlais d’expérience. Tu n’attaquais pas de suite dans le vif du sujet, tu préférais attendre un peu, tu préférais le laisser se réveiller d’abord. Tu attrapais donc le deuxième gobelet et t’installais en face de lui. « Si tu comptes faire de ton bureau ton nouvel appartement, investit dans un canapé convertible, c’est un conseil ou alors va dormir dans mon bureau où il y en a un. » Ce n’était pas une solution à long terme mais si Keith devait fuir quelque chose, au moins qu’il dorme un peu mieux la nuit.
ÂGE : 80 ans mentalement, 50 ans physiquement, 35 ans en réalité SURNOM : Keithounet, imprononçable, on sait STATUT : Tellement sans famille et sans amis qu'il pionce sur son bureau en se faisant passer pour un workaholic alors que personne veut de lui en fait MÉTIER : flic raté reconverti en prof uniquement pour les vacances scolaires et reluquer les étudiantes LOGEMENT : dans une garçonnière avec zéro goût en déco juste à côté de l'université POSTS : 2594 POINTS : 710
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : KEYDENØ Saw you today after so much time it felt just like it used to be. Talking for hours 'bout a different life surrounded us in memories. We were close, never close enough, where are we now? 'Cause if it's torn, we can stitch it up, don't rule it out
KEIDREAØSaid I'm terrified but I'm not leaving I know that I must pass this test, So just pull the trigger
Les chasseurs de frimesØ So no one told you life was gonna be this way, Your job's a joke, you're broke Your love life's D.O.A. It's like you're always stuck in second gear, When it hasn't been your day, your week, your month or even your year.
ÂGE : quarante-quatre ans (11/11/1976) SURNOM : jamais enclin aux surnoms, ton prénom est rarement écorché. STATUT : en couple mais s'est éloigné momentanément pour lui laisser une chance de retisser des liens avec sa fille. une chose est sûre, elle lui manque terriblement ... MÉTIER : professeur d'histoire de l'art à l'University of Queensland depuis 2005. nouveau doyen de la School of Communication and Arts tu prendras tes fonctions en février 2021. LOGEMENT : loft numéro 613 sur water street (spring hill). POSTS : 1701 POINTS : 50
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : aîné et fils adoré d'une fratrie de quatre enfants, un rôle qui te pèse toujours aujourd'hui ● tu détestes le sport à l'exception du surf, tu es un citadin élitiste et tu le revendiques ● tu dessines et peins depuis ta plus tendre enfance, ta spécialité réside dans les aquarelles ● tu as étudié à Paris en 2002 pendant un an, ville où tu es revenu t'exiler en 2016 ● tu as une nièce de onze ans pour qui tu déplacerais des montages, elle est le trait d'union entre ton frère et toi. ● de retour à Brisbane en janvier 2018 ● ta loyauté est sans faille, la trahir ne rend ta rancoeur que plus tenace.UN RP ? : Seulement si nous avons un lien. RPs EN COURS : malleen ❥ Now I'm standing alone in a crowded room and we're not speaking. And I'm dying to know is it killing you like it's killing me? Yeah. I don't know what to say since a twist of fate, when it all broke down. Cause the story of us looks a lot like a tragedy now.
(#) Sujet: Re: role reversal (keith) Mer 18 Nov - 23:01
Trouver Keith endormi dans son bureau, c’était …. Tu ne saurais pas vraiment l’expliquer mais c’était comme vivre une scène que tu ne connaissais que trop bien d’un point de vue extérieur. Pour la première fois, tu te retrouvais dans la position de celui qui réveillait le collègue endormi et tu commençais à comprendre pourquoi ces collègues s’étaient toujours montrés assez inquiets. Au fil des années, tu avais appris à ne plus t’endormir dans ton bureau, qu’il valait mieux finir tard mais finir par rentrer plutôt que de rester sur place mais tu n’avais jamais compris l’inquiétude dans le regard de tes collègues. Après tout, si tu avais envie de dormir dans ton bureau de temps en temps c’était ton problème non ? Trouver Keith endormi dans le sien ce matin, te fit comprendre que ce n’était pas aussi simple que ça. Tes collègues avaient fini par abandonner le combat et te laisser faire ce qui te chantait, acceptant que tu n’en ferais qu’à ta tête. Mais toi, tu ne vivais que pour ton boulot à cette époque, tu n’avais pas grand chose qui t’attirait en dehors des murs de l’université. Pour Keith, cela avait toujours été le contraire, voilà pourquoi l’inquiétude était grande. Tu ne le jugeais pas cependant, tu seras la dernière personne à le faire mais ce n’est pas parce que tu peux le comprendre que tu ne vas pas le questionner un peu. Si Keith en vient à dormir dans son bureau, c’est forcément pour fuir quelque chose. Aux dernières nouvelles, il était en couple avec une jeune femme dont tu ne te souvenais même plus le prénom, trop de prénoms à retenir avec tes élèves déjà et tu ne l’avais jamais rencontrée. Mais il savait semblé heureux de cette relation la dernière fois qu’il t’en avait parlé. Peut-être que cela avait changé ? Tu n’allais pas commencer par là de toute manière, tu allais commencer par le réveiller. C’est sans surprise qu’il se réveilla brusque et en sursaut, légèrement paniqué de se retrouver là dans ce bureau. « Marius ? » Tu hoches la tête à sa question puis tu te rends compte que c’est ridicule car il n’a pas encore les yeux assez ouverts pour voir ton geste. « C’est bien moi. » Lui répondis-tu pour qu’il se calme et qu’il ne panique pas trop non plus. Tu le laissais se réveiller, revenant de l’autre côté du bureau. Il devait être dans un sommeil bien profond car il semblait mettre du temps à revenir dans le monde des vivants. « Quelle heure est-il ? » Tu regardais rapidement ta montre pour voir l’heure et oui, il était tôt. Tu n’avais pas cours avant de longues heures mais cela allait te laisser le temps de prendre des nouvelles de ton collègue et d’essayer de savoir pourquoi il avait pris toutes tes mauvaises habitudes, celles qu’il avait l’habitude de t’entendre lister en grimaçant. « Il est sept-heures trente. J’espère que tu n’as pas cours à huit heures parce que je doute que tu puisses réveiller des élèves si tu es aussi endormi qu’eux. » Lui dis-tu pour le taquiner. Les cours de huit heures sont ceux que tu détestes le plus. Tu essaies d’éviter ces créneaux pour tes cours quand vous devez choisir les horaires avant l’ouverture des inscriptions pédagogiques car tu sais que tes élèves ne seront pas vraiment présents psychologiquement. Déjà que tu avais du mal à les intéresser quand ils étaient réveillés, là ce serait une catastrophe.
Avant de t’asseoir en face de Keith, tu déposais devant lui un café chaud contrairement à celui qu’il avait fini quelques secondes plus tôt et qui l’avait fait grimacer. Tu mis également sur son bureau le sachet de pâtisseries pour qu’il puisse prendre des forces. « Comment as-tu su que je serais là ? » Tu t’installais dans la chaise qu’il te désignait en haussant les épaules. Tu ne savais pas s’il serait là ou pas, tu avais fait un pari et il s’était révélé gagnant. « Une intuition. Disons que j’ai entendu que tu faisais des gros horaires ces derniers temps et tu ne répondais pas à mes messages alors j’ai reconnu les signes. Je n’étais pas certain que tu serais là, je ne suis pas devin non plus. » Tu ne voulais pas que Keith croit que tu l’espionnais ou quoi que ce soit de ce genre. Tu n’étais pas assez intéressé par la vie de ton collègue, ni celle de n’importe quel de tes collègues pour faire une chose pareille. Et puis pour avoir suivi l’ascension de Colleen dans les médias et ce que cela voulait dire pour sa vie privée, tu seras le dernier à enfreindre cette ligne rouge avec qui que ce soit. « Tu parles en connaissance de cause n’est-ce pas ? Merci. » Tu laisses échapper un petit rire à ces paroles et tu hoches la tête sans rien répondre. En effet, tu parlais en connaissance de cause. Le mal de dos après avoir dormi avachi sur un bureau, c’est un classique. Une fois ça passe mais plus régulièrement, cela devient plus pénible à supporter. « Un canapé ? Vraiment ? Je pense que tôt ou tard, je finirais par emménager ici, si j’ai de quoi dormir convenablement… Je ne vais pas emprunter ton propre bureau Marius. Si jamais tu décides de dormir là-bas… ça va aller, je vais m’en remettre, je suis sûr que ce n’est pas si dramatique de dormir avachi sur une table. » Tu ne comptais nullement dormir dans ton bureau dans un avenir proche. Tu avais des perspectives bien plus intéressantes à ton loft ou à Logan City. Tu n’arrivais toujours pas à croire que tu aimais passer du temps dans ce quartier où tes parents dormaient à quelques rues de toi … A choisir tu aurais préféré rester à Spring Hill mais Colleen ayant sa maison à Logan City, tu redécouvrais ce quartier où tu avais grandi. « Quand tu te mettras à avoir des douleurs au dos insupportables, tu changeras peut-être d’avis ! Je te laisserai une clé si jamais. » Dis-tu car tu avais des doubles dans ton bureau. Keith sentant certainement que tu allais l’interroger sur le pourquoi il dormait dans son bureau te dit à son tour : « Tu es bien matinal… » Tu hoches la tête avant de lui répondre : « C’est l’inconvénient de passer la nuit avec une sage-femme, les journées commencent pour elle bien trop tôt. » Tu ne pensais pas avoir parlé de Colleen à Keith mais rien ne servait de cacher ta relation avec la jolie brune, de toute manière, vu le nombre de paparazzis qui semblaient intéressés par la vie de Colleen, ce n’était certainement qu’une question de temps avant que tout Brisbane ne soit au courant. Tu espérais que si cela arrivait, ce serait après que Colleen ait annoncé la nouvelle à sa fille, vous jouiez avec le feu … « Ça fait plaisir de te voir quand même. »Un sourire se dessina sur ton visage et tu pris une gorgée de ton café avant de répondre à Keith. Vous ne vous étiez pas vus depuis un moment c’est vrai. Vos bureaux n’étaient vraiment pas à côté et tu passais peu de temps sur le campus en ce moment. « Moi aussi ça me fait plaisir, j’ai toujours rêvé de réveiller un collègue de bon matin. » Dis-tu un sourire en coin sur les lèvres. « Pourquoi tu dors dans ton bureau Keith ? » Il ne pouvait pas te dire que c’était parce qu’il avait trop de travail. A n’importe qui d’autre, cela fonctionnerait mais pas à toi. Tu ne connaissais que trop bien ce cercle vicieux pour te faire avoir par de telles excuses. « Et n’essaie pas de me faire croire que c’est parce que tu as trop de boulot, j’ai été à ta place, je sais comment ça se passe. » Il pouvait te dire d’aller te faire foutre mais des fois, il suffisait qu’on laisse à l’autre la possibilité de parler pour qu’il le fasse.
ÂGE : 80 ans mentalement, 50 ans physiquement, 35 ans en réalité SURNOM : Keithounet, imprononçable, on sait STATUT : Tellement sans famille et sans amis qu'il pionce sur son bureau en se faisant passer pour un workaholic alors que personne veut de lui en fait MÉTIER : flic raté reconverti en prof uniquement pour les vacances scolaires et reluquer les étudiantes LOGEMENT : dans une garçonnière avec zéro goût en déco juste à côté de l'université POSTS : 2594 POINTS : 710
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : KEYDENØ Saw you today after so much time it felt just like it used to be. Talking for hours 'bout a different life surrounded us in memories. We were close, never close enough, where are we now? 'Cause if it's torn, we can stitch it up, don't rule it out
KEIDREAØSaid I'm terrified but I'm not leaving I know that I must pass this test, So just pull the trigger
Les chasseurs de frimesØ So no one told you life was gonna be this way, Your job's a joke, you're broke Your love life's D.O.A. It's like you're always stuck in second gear, When it hasn't been your day, your week, your month or even your year.
ÂGE : quarante-quatre ans (11/11/1976) SURNOM : jamais enclin aux surnoms, ton prénom est rarement écorché. STATUT : en couple mais s'est éloigné momentanément pour lui laisser une chance de retisser des liens avec sa fille. une chose est sûre, elle lui manque terriblement ... MÉTIER : professeur d'histoire de l'art à l'University of Queensland depuis 2005. nouveau doyen de la School of Communication and Arts tu prendras tes fonctions en février 2021. LOGEMENT : loft numéro 613 sur water street (spring hill). POSTS : 1701 POINTS : 50
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : aîné et fils adoré d'une fratrie de quatre enfants, un rôle qui te pèse toujours aujourd'hui ● tu détestes le sport à l'exception du surf, tu es un citadin élitiste et tu le revendiques ● tu dessines et peins depuis ta plus tendre enfance, ta spécialité réside dans les aquarelles ● tu as étudié à Paris en 2002 pendant un an, ville où tu es revenu t'exiler en 2016 ● tu as une nièce de onze ans pour qui tu déplacerais des montages, elle est le trait d'union entre ton frère et toi. ● de retour à Brisbane en janvier 2018 ● ta loyauté est sans faille, la trahir ne rend ta rancoeur que plus tenace.UN RP ? : Seulement si nous avons un lien. RPs EN COURS : malleen ❥ Now I'm standing alone in a crowded room and we're not speaking. And I'm dying to know is it killing you like it's killing me? Yeah. I don't know what to say since a twist of fate, when it all broke down. Cause the story of us looks a lot like a tragedy now.
« Sept-heures trente ? Non je crois que mon premier cours n’est que dans deux heures… J’ai encore le temps d’émerger et de savourer ce café si gentiment offert » Tu laisses Keith absorber tes paroles, chercher son agenda et vérifier qu’il est bien libre encore quelques heures. Il va en avoir besoin s’il veut se montrer présentable pour ses élèves. Tu espères d’ailleurs qu’il a un t-shirt ou une chemise de rechange quelque part dans son bureau sinon il risque de se prendre quelques petites remarques taquines de ses collègues ou de ses élèves. Tu avais assez de fois passé la nuit dans ton bureau pour connaître tous les pièges dans lesquels il fallait éviter de tomber. Tu n’ajoutais rien à ce sujet préférant confier à Keith que si tu étais là aujourd’hui, c’était principalement parce que les rumeurs allaient bon train et aussi parce que tu n’avais pas eu de nouvelles de sa part. « Je vois que les rumeurs circulent vite… En revanche, je suis désolé pour les messages restaient sans réponses… J’ai dû penser que je t’avais répondu directement à réception, et j’ai oublié que ce n’était pas le cas… J’espère que ce n’était pas urgent ? » Non, ce n’était pas urgent sinon tu aurais débarqué bien plus tôt dans son bureau. C’était surprenant par contre parce que Keith répondait en général régulièrement à tes textos. Pas aussi rapidement que vos élèves qui ne semblaient pas capable d’attendre plus de deux heures pour répondre à leur entourage mais régulièrement quand même. « Non, rien d’urgent ne t’en fait pas pour ça. Et n’en veut pas à tes collègues ou au personnel de ménage, ils s’inquiètent voilà tout. » C’était quelque chose de difficilement entendable quand c’était pour vous un échappatoire, une évidence que de vous servir de votre bureau pour vous cacher du monde. Mais cela prouvait bien que la personne n’allait pas bien même si elle refusait de l’admettre. Tu avais longtemps été dans le déni toi aussi. Tu poussais alors Keith à utiliser le canapé-lit de ton bureau la prochaine fois plutôt que de s’endormir plié en deux sur son bureau. « Cela deviendrait presque une proposition officielle. Mais je te remercie, je tâcherais de m’en rappeler si cela se reproduit. Puis pour les douleurs au dos, dois-je te rappeler que je suis plus jeune que toi ? » Tu attrapais une mini-viennoiserie que tu lui jetais à la figure. Ton âge n’était vraiment pas un problème pour toi mais tes proches, souvent quelques années plus jeunes que toi semblaient prendre un plaisir à te le rappeler. « Et en étant le plus jeune, on ne t’a pas appris à respecter tes aînés ? » Ne pus-tu t’empêcher de lui demandé un sourire en coin sur les lèvres. Tant qu’à être désigné comme vieux, autant que cela serve à quelque chose. Tu étais toi-même plutôt matinal ce matin, quelque chose de plutôt rare ces derniers temps à part quand Colleen était dans ton lit et qu’elle se levait pour partir travailler. Tu ne cherchais donc pas à cacher la vérité à ton ami qui sembla surpris dans un premier temps. « Félicitations. Cela fait longtemps ? » Alors que tes yeux se posèrent sur son visage, tu ne pus t’empêcher d’y remarquer qu’il semblait s’y cacher un peu de tristesse. Ou du moins qu’il n’était pas aussi sincère que ce que Keith aimerait te faire croire. Tu ne pensais pas que c’était personnellement contre toi mais peut-être qu’une part des problèmes de Keith venaient de sa petite-amie ? Tu ne savais pas grand chose de cette dernière alors quand c’était le cas, tu te sentais peu à l’aise quand tu voulais l’interroger à ce sujet. « Quelques mois, depuis septembre. » C’était tout nouveau mais plus le temps passait, plus les personnes au courant étaient nombreuses. C’était d’ailleurs un miracle qu’avec l’attention dont bénéficiait Colleen depuis Race of Australia, vous réussissiez à passer sous les radars mais tu n’allais pas t’en plaindre, au contraire.
Tu n’eus pas le temps d’interroger Keith, la discussion dériva sur les raisons pour lesquelles il se retrouvait à dormir dans ce bureau. Elles étaient peut-être liées à son couple ou peut-être y avait-il autre chose, mieux valait rester large pour l’instant. Mais l’excuse du trop de travail, tu l’avais assez entendue : « Bon… Je vois que tu t’attendais à la réponse toute faite… Pour quelles raisons tu dormais ici toi ? » C’était une excellente question et certainement que la réponse serait bien plus proche de celle de Keith que vous ne le pensiez tous les deux. « Mon boulot a toujours été la seule partie de ma vie qui fonctionnait. Je voulais fuir tout le reste jusque’à ne plus y penser. » Tu n’avais confié cela à personne, vraiment personne avant aujourd’hui. Pourtant, tu savais que chaque mot était vrai. Tu ne savais pas pourquoi confier cela à Keith te semblait important mais cela l’était. « Dirons-nous que je cherche à fuir quelque chose qui ne peut pas me rattraper ici… Puis ce ne serait pas faux de dire que cela me permet de rattraper le retard sur mon boulot tu sais ? Tu as déjà été dans une situation où tu as l’impression que quoi que tu fasses, cela ne fera qu’empirer ? » Tu hoches la tête presque instinctivement car c’est exactement ce que tu ressens avec ton frère cadet. Tu es de plus en plus persuadé que quoi que vous fassiez tous les deux, cela ne fonctionnera jamais entre vous. « Tous les jours depuis la naissance de mon frère. Pourquoi ? » Lui demandes-tu à ton tour. Et ce n’était pas que ton frère, pas vraiment. Il y avait aussi ta plus petite soeur avec qui tu marchais sur des oeufs, une expression bien plus proche de la réalité que beaucoup le pensaient … « Cela existe pour toi l’amitié homme-femme ? » Cette fois, tu écarquillais les yeux à cette question parce que pour le coup elle semblait sortir de nulle part. Keith avait-il des sentiments pour une de ses amies ? Ce ne serait pas sa petite amie pour le coup ce qui compliquerait encore un peu plus l’équation. Tu ne réponds pas de suite, réfléchissant avant de dire : « Oui, dans mon cas cela existe. » Tu avais des amies avec qui il ne s’était jamais rien passé et avec qui il ne se passerait jamais rien. Comme May par exemple. Alors oui, toi tu y croyais mais cela ne voulait pas dire que c’était simple. « Tu as des sentiments pour une amie à toi ? » Demandas-tu, lançant cette hypothèse sur la table pour pousser Keith à se confier s’il le désirait.
ÂGE : 80 ans mentalement, 50 ans physiquement, 35 ans en réalité SURNOM : Keithounet, imprononçable, on sait STATUT : Tellement sans famille et sans amis qu'il pionce sur son bureau en se faisant passer pour un workaholic alors que personne veut de lui en fait MÉTIER : flic raté reconverti en prof uniquement pour les vacances scolaires et reluquer les étudiantes LOGEMENT : dans une garçonnière avec zéro goût en déco juste à côté de l'université POSTS : 2594 POINTS : 710
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : KEYDENØ Saw you today after so much time it felt just like it used to be. Talking for hours 'bout a different life surrounded us in memories. We were close, never close enough, where are we now? 'Cause if it's torn, we can stitch it up, don't rule it out
KEIDREAØSaid I'm terrified but I'm not leaving I know that I must pass this test, So just pull the trigger
Les chasseurs de frimesØ So no one told you life was gonna be this way, Your job's a joke, you're broke Your love life's D.O.A. It's like you're always stuck in second gear, When it hasn't been your day, your week, your month or even your year.
ÂGE : quarante-quatre ans (11/11/1976) SURNOM : jamais enclin aux surnoms, ton prénom est rarement écorché. STATUT : en couple mais s'est éloigné momentanément pour lui laisser une chance de retisser des liens avec sa fille. une chose est sûre, elle lui manque terriblement ... MÉTIER : professeur d'histoire de l'art à l'University of Queensland depuis 2005. nouveau doyen de la School of Communication and Arts tu prendras tes fonctions en février 2021. LOGEMENT : loft numéro 613 sur water street (spring hill). POSTS : 1701 POINTS : 50
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : aîné et fils adoré d'une fratrie de quatre enfants, un rôle qui te pèse toujours aujourd'hui ● tu détestes le sport à l'exception du surf, tu es un citadin élitiste et tu le revendiques ● tu dessines et peins depuis ta plus tendre enfance, ta spécialité réside dans les aquarelles ● tu as étudié à Paris en 2002 pendant un an, ville où tu es revenu t'exiler en 2016 ● tu as une nièce de onze ans pour qui tu déplacerais des montages, elle est le trait d'union entre ton frère et toi. ● de retour à Brisbane en janvier 2018 ● ta loyauté est sans faille, la trahir ne rend ta rancoeur que plus tenace.UN RP ? : Seulement si nous avons un lien. RPs EN COURS : malleen ❥ Now I'm standing alone in a crowded room and we're not speaking. And I'm dying to know is it killing you like it's killing me? Yeah. I don't know what to say since a twist of fate, when it all broke down. Cause the story of us looks a lot like a tragedy now.
(#) Sujet: Re: role reversal (keith) Sam 13 Fév - 11:27
Keith était ton cadet d’une dizaines d’années, tu avais découvert ça lors de vos premiers échanges quand il était arrivé à l’université. Tu avais encore du mal à te dire que cela faisait bientôt deux ans que le jeune professeur avait pris ses fonctions à l’université. Le temps passait bien trop vite … Mais c’était parce qu’il avait dix ans de moins que toi et que tu le voyais reproduire un grand nombre de tes mauvaises habitudes que tu t’inquiétais. Tu n’avais pas envie qu’il se transforme en toi, en l’homme que tu avais été et que tu étais toujours un peu même si la présence de Colleen dans ta vie t’avait changé. Trouver Keith dans son bureau après une nuit passée sur le campus était u peu surprenant quand ce dernier n’avait pas arrêté de te taquiner à ce sujet quand vous vous étiez rencontrés. « Alors ne t’inquiètes pas toi non plus. Je tenterais de les rassurer. » C’était toujours plus facile à dire qu’à faire. Ne pas s’inquiéter … Tu allais un peu t’inquiéter forcément mais tu savais aussi qu’il faudra que tu fasses confiance à Keith pour faire ce qui était le mieux pour lui. Par contre, il était peu probable que le personnel de ménage soient rassurées s’ils continuaient à le voir régulièrement dormir dans son bureau. Les taquineries ne tardèrent pas à commencer entre vous et tu souris amusé quand Keith te dit : « On ne t’a jamais appris à ne pas gâcher la nourriture ? Tu as de la chance que j’ai le double de tes réflexes pour qu’elle ne finisse pas par terre ! » Tu te retins de faire remarquer à Keith qu’il n’était pas bien difficile d’avoir le double de tes réflexes quand tu n’en avais aucun. L’essentiel pour toi c’était qu’il mange et qu’il ne passe pas la journée sur un estomac vide. Cela ne te dérangeait pas de boire tranquillement ton café en le regardant manger.
Et parce que tu n’avais pas spécialement envie de lui cacher ta relation avec Colleen, tu lui annonçais que tu étais avec la jeune femme quand il fut curieux de savoir pourquoi tu étais debout de si bonne heure. Il fut surpris de ton annonce mais c’était une bonne surprise : « C’est tout frais donc… Tu es dans la phase de tout est beau tout est rose ? » Tu ne pus t’empêcher de lever un sourcil à cette question. Tu faisais partie des gens qui ne pensaient pas qu’il y avait vraiment des moments tout beau et tout rose dans une relation. Ce n’était jamais facile, il y avait toujours des doutes mais oui, pour l’instant Colleen et toi profitiez de cette nouvelle relation comme des adolescents. Il viendra bien assez tôt le moment où les choses deviendront plus sérieuses. « Désolé, c’est déplacé de ma part… Je suis vraiment heureux pour toi Marius, tu le mérites pleinement. » Tu souris à ton ami dans un premier temps. Il n’était pas le premier à t’affirmer que tu le méritais mais tu n’étais pas certain que ce soit vraiment le cas. Que tu le mérites ou pas, tu voulais profiter à fond de Colleen et de cette relation tant que tu pouvais avoir la jeune femme dans ta vie. « Merci. Et je suppose que l’on est dans cette phase, on apprend à se connaître, on se construit à deux, je pense que l’on a tous les deux besoin de prendre notre temps. » Parce que vous n’aviez plus vingt ans, parce que vous aviez vécu tous les deux, chacun de votre côté des histoires et des expériences qui vous avaient marquées et vous aviez besoin de vous en détacher et de croire de nouveau en vous. Cela prendra du temps très certainement mais Colleen en valait la peine, tu en étais persuadé. Ta réponse à la question de Keith sur l’impossibilité de bien faire le laissa perplexe et il fronça les sourcils avant de te demander : « Tu as un frère ? Pourquoi tu ressens cela ? » Tu ne parlais pas souvent de ta famille, presque jamais en vérité alors tu n’étais pas étonné que Keith ne soit pas au courant. Poussant un soupir, tu passais une main sur ton visage avant de lui répondre : « J’ai frère et deux soeurs plus jeunes que moi, je suis l’aîné. » Dis-tu dans un premier temps. Tu ne savais pas vraiment comment expliquer à Keith pourquoi tu avais toujours l’impression de mal faire avec ton frère mais cela avait été vrai depuis le début. « On a jamais réussi à se comprendre. Chaque parole, chaque geste que j’avais envers lui était interprété comme une attaque. Et puis en grandissant les choses ne se sont pas arrangées. Et j’ignore aujourd’hui si on arrivera à arranger les choses, on s’est trop blessé à force de jouer aux cons. » Il y a des blessures qui sont indélébiles même avec le temps. Peut-être que si tu n’avais pas eu l’impression de si mal faire avec ton frère plus jeune, tu n’aurais pas agis comme tu l’avais fait plus tard mais il y avait eu Alice au milieu de tout ça et c’était un sujet que tu ne préférais pas aborder. Finalement, Keith finit par t’avouer pourquoi il était dans son bureau plus que d’habitude. Enfin, pourquoi était un grand mot mais en tout cas, il se confiait un peu. A travers des questions mais c’était un début. Tu lui en posais donc une toi aussi et il te répondit : « L’introspection et moi, ça fait deux. Dirons-nous que je cherche une explication rationnelle à un comportement qui lui ne l’est pas. Je sais ce que tu vas me dire, j’étais bien plus bavard à notre première rencontre » Un sourire amusé se dessina sur tes traits avant qu’il n’ajoute : « Je ne parlerais pas de sentiments, c’est juste que je ne sais plus où me placer vis-à-vis d’elle… Et qu’elle ne m’aide pas pour autant. Et comme je cogite, je préfère être ici, seul, je prends moins de risque de blesser une quelconque personne… c’est une façon de protéger ceux à qui je tiens de mes incertitudes, tu vois ce que je veux dire ? » Tu voyais tout à fait ce qu’il voulait dire. Mais ce n’était pas pour cela que tu comprenais qu’il agisse ainsi. Ce n’était pas une bonne idée de s’enfermer tout seul dans cette bulle où les questions étaient nombreuses mais les réponses ne viendraient pas. Des fois, il faut accepter que l’on ne peut pas trouver les réponses par soi-même, malgré le fait que cela soit frustrant. « Est-ce que rester dans ce bureau t’a aidé à trouver tes réponses ? » Tu savais déjà ce qu’il allait te dire alors tu ajoutais : « Ces quatre murs vont pas te donner les réponses que tu souhaites malheureusement. S’enfermer ici, c’est bien pour se cacher quelques temps mais on finit toujours par devoir affronter l’extérieur. » Tu en avais fait l’expérience, l’université était un refuge mais toujours temporaire. « Ce n’est pas facile de blesser les autres mais des fois, il faut le faire pour trouver des réponses et se libérer de chaines invisibles. » L’être humain a tendance à se mettre des contraintes qui n’existent que dans son esprit. Il ne fallait pas que Keith s’enferme là-dedans.
ÂGE : 80 ans mentalement, 50 ans physiquement, 35 ans en réalité SURNOM : Keithounet, imprononçable, on sait STATUT : Tellement sans famille et sans amis qu'il pionce sur son bureau en se faisant passer pour un workaholic alors que personne veut de lui en fait MÉTIER : flic raté reconverti en prof uniquement pour les vacances scolaires et reluquer les étudiantes LOGEMENT : dans une garçonnière avec zéro goût en déco juste à côté de l'université POSTS : 2594 POINTS : 710
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : KEYDENØ Saw you today after so much time it felt just like it used to be. Talking for hours 'bout a different life surrounded us in memories. We were close, never close enough, where are we now? 'Cause if it's torn, we can stitch it up, don't rule it out
KEIDREAØSaid I'm terrified but I'm not leaving I know that I must pass this test, So just pull the trigger
Les chasseurs de frimesØ So no one told you life was gonna be this way, Your job's a joke, you're broke Your love life's D.O.A. It's like you're always stuck in second gear, When it hasn't been your day, your week, your month or even your year.