Money is power; I am the power. [Archie]

(#) Sujet: Money is power; I am the power. [Archie] Dim 22 Nov 2020 - 23:08

Archie Kwanteen

Money is power; I am the power.

Pièce d'identité

NOM ≈ Kwanteen. PRÉNOM(S) ≈ Archie. ÂGE ≈ Vingt-neuf années à tourner en rond les mains dans les poches. Il attend peut-être que sa vie change mais il ne fait pas le moindre effort pour sortir de sa routine. LIEU DE NAISSANCE ≈ Sydney, un premier déménagement à Melbourne à trois ans, un second déménagement à Goulburn à dix ans, un troisième à Brisbane à onze ans. Il perd de vue un ami à la fois et commence à se dire que ça ne sert à rien de créer des liens s'ils seront toujours brisés. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire qui abuse de son autorité. Il récupère les femmes les plus matérialistes et fait semblant de s'en contenter. MÉTIER ≈ Actionnaire. Il pose son argent dans une boîte, part faire une balade en ville et revient plus tard pour retrouver le double de la somme. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Il vous dira qu'il aime les femmes parce que c'est ce qu'il a appris. Un garçon, une fille. Des cheveux courts, une longue tignasse. Des lèvres nues, des yeux maquillés. GROUPE ≈ Au secours, j'ai trente ans. AVATAR CHOISI ≈ Jack O'Connel.

Les informations en vrac

Il a toujours été un intimidateur, Archie. Gamin, il était celui qui fixe trop longtemps les plus timides avec un énorme sourire arrogant et des yeux brillants de malice. Il a été un des premiers à apprendre à lever son majeur – sa main était probablement coincée dans cette position tout au long de sa croissance dans le ventre de sa mère. ≈ Il a toujours su qu’il était destiné à devenir le meilleur. Ses résultats scolaires allaient de pair avec les encouragements de ses parents mais, lorsqu’il rentrait chez lui avec son bulletin rempli de A, il recevait une tape sur l’épaule, pas une accolade. Le genre de tape qui te décolle les pieds du sol. ≈ Une fois, à Noël, il a osé demander une Barbie. Il a reçu un robot cracheur de flammes. ≈ Il entretient une assez bonne relation avec ses parents parce qu'ils l'ont éduqué comme le parfait petit garçon. Ils l'ont initié au football américain, à la boxe et à la course à pieds, ont peint sa chambre en bleu et lui ont fait regarder tous les films de de Terminator ainsi que les Rambo. Seulement, et c'est quelque chose qu'il n'a jamais dit à voix haute, son tempérament n'était pas iné. Avant qu'on ne lui mette une épée en plastique dans les mains, il souhaitait jouer avec les jeux de sa sœurs. Avec le temps, il a simplement accepté de devenir ce que ses parents voulaient qu'il devienne. ≈ Très jeune, il trouve un intérêt pour la vente et la revente d’objets de tout genre. Dans la cours de récréation, il échange une pièce contre une barre chocolatée et la revend pour deux. Il apprend rapidement qu’il suffit de savoir bien parler pour gagner la confiance du plus méfiant. ≈ Il est très intelligent mais il ne sait pas utiliser son cerveau correctement. Lorsqu’il s’agit de chiffres et de nombres, il devient une vraie calculatrice. Toutefois, quand il se retrouve devant des yeux en larmes, c’est un rire nerveux qui fait vibrer sa gorge et il fuit sans se retourner. ≈ La raison de son succès, c’est son charme. Ses discours se forment avec aisance et ses réparties sont toujours sans fautes. Il pourrait te faire croire que les chats avaient la capacité de voler avant qu’ils ne soit domestiqués. ≈ C'est un manipulateur. Il arrive à obtenir tout ce qu'il désire. C'est seulement trop tard que ses proies se rendent compte du piège dans lequel elles sont tombées ; ses relations sont de plus en plus mauvaises pour cette raison. ≈ Il est le deuxième enfant d'une famille de six. Il est né deux ans après sa sœur ainée, trois ans avant sa sœur cadette et cinq ans avant la dernière. Malheureusement, la plus vieille, atteinte d'un cancer des os, décède à l'âge de seize ans, laissant son frère et ses sœurs dans le deuil. À partir de ce moment, Archie hérite du rôle du gardien. Il devient le protecteur assidu de ses petites sœurs et leur promet que rien ni personne ne leur fera de mal. Il respecte son rôle depuis tout ce temps et, si d'apparence il est un humain exécrable, au fond il est un frère formidable. ≈ Il termine ses études en comptabilités et devient un pro dans son domaine. Seulement en regardant un rapport comptable, il sait distinguer les entreprises qui ont de l'avenir et celles qui vont sombrer. ≈ Il a atteint le premier million de dollars à l'âge de vingt-six ans. Il avait bien parié en posant un énorme chèque dans les mains d'un jeune entrepreneur rêveur qui lui remet le quart de son revenu depuis ce jour. L'entreprise ne fait que fleurir depuis. Ce qu'il ne faut pas dire c'est que, cette part d'actions, il l'a en partie achetée avec l'argent de son père. Sa famille n'a jamais été pauvre et il fait perdurer la tradition. ≈ Son chien Bucky, un grand barzoï élégant, est le seul indice qui témoigne de la sensation de solitude qui le bouleverse tous les jours. Il tente de remédier à ses maux en côtoyant le plus de femmes possible mais il le sait, parce qu'il n'est pas con, il n'attire que celles qui rêvent d'avoir son compte en banque.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle MAPARTCHE, mais appelez-moi Gabi. J'ai PLUS QUE LA VINGTAINE, et je viens de QUÉBEC. J'ai découvert 30YSY grâce à JOSEPH ET RAPH, ILS M'EN ONT PARLÉ, et j'ai cédé à m'inscrire parce que J'AI DISCUTÉ CINQ MINUTES D'UNE IDÉE DE TC ET POUF. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) TOUT LE TEMPS, VOUS LE SAVEZ DÉJÀ, JE SUIS UNE SANGSUE SOUS VOS PIEDS. Mon personnage est un INVENTÉ. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et JE VIENS VOUS LIRE EN MANGEANT.

Pour recenser votre avatar

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Venomous bite

Une couche de pierre sur un coeur de verre ☽ Je vois là un homme qui se brûle sans feu, qui se noie sans eau et qui se pend sans corde.

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(#) Sujet: Re: Money is power; I am the power. [Archie] Dim 22 Nov 2020 - 23:08

Il était une fois, mon histoire

Élevé pour devenir fort

« Maman, pourquoi on part encore ? » Demande le petit Archie, dix ans, debout sur son lit, les bras tendus vers le plafond pour décrocher l’avion en plastique qui y est suspendu. « Papa a eu une promotion, comme la dernière fois. Tu sais que tu es chanceux, Archie ? Est-ce que tu te rends compte que tu auras toujours tous les cadeaux que tu veux sous le sapin de Noël ? » Sa maman demande, le ton interrogateur. « Maintenant, arrête de poser des questions et range tous tes jouets. Les boîtes doivent être prêtes, demain matin. N’oublie pas ton équipement de boxe sous ton bureau. » Gentiment, la clope au bec, elle passe sa main dans les cheveux de son fils pour défaire la séparation au milieu de son crâne. « Oui maman. » Il répond, obéissant, se glissant sous son bureau et au milieu de la poussière pour récupérer ses gants de boxe en cuir. La journée d’après, il laisse tous ses amis derrière lui en direction de Goulburn, là où son père pourra faire encore plus d’argent.

« Maman, j’ai fait ma liste pour le père Noël ! » Excité, le gamin tend la lettre vers le haut. Il ne tient pas sur place. Ce matin, il s’est réveillé et le mois de décembre avait commencé. Il sait que le père Noël n'existe pas mais, devant ses cadettes, il doit faire perdurer le mythe. « MAMAN ! Moi aussi ! » Lance vivement sa petite sœur, sautillant à côté de son frère pour être plus grande que lui. « Arrête, j’ai terminé avant toi, je suis certain que tu as fait plein de fautes dans la tienne. Prends la mienne en premier ! » Parce que, lui, il ne fait jamais de fautes. Amusée, sa mère fait claquer sa langue contre son palet et récupère la lettre que lui tendait désespérément son fils. Un Ipod, une trottinette et… Une barbie ? « Archie, tu es certain du dernier objet que tu demandes ? » Une moue au visage, le petit garçon marmonne : « Quoi, je suis trop vieux pour jouer avec ça ? » Certes, il ne voit personne jouer avec des Barbie dans la cours de récréation. Seulement, c’est la première fois qu’il trouve le courage de demander ce cadeau pour Noël. « Non, non. Ce n’est pas ça… » Sa maman répond en se mordant la lèvre inférieure. L’air contrarié, elle roule le papier entre ses mains et souffle : « Allez. Va jouer. Ton père et moi allons te parler ce soir. »

« T’es une tapette ou quoi ? » Grogne Archie, onze ans, le premier jour dans sa nouvelle école à Brisbane. Il ne connait personne et personne ne le connait. Ses bras sont croisés sur sa poitrine alors qu’il toise un petit garçon vêtu de façon étrange. Ses pantalons sont collés à ses jambes et ses cheveux plus longs que ceux de certaines filles de sa classe. « Je te parle. » Il insiste, s’approchant du petit garçon assis près du sable. « Pourquoi tu portes les vêtements de ma sœur ? » Il ricane, passant sa main dans ses bouclettes pour le décoiffer. « T’es muet ou quoi ? Je te parle, j’ai dit. » « Je m'en fiche de ce que tu penses de mes fringues, je déteste les tiennes mais je viens pas te le dire pour autant. » Haussant un sourcil, Archie relâche ses cheveux dans un mouvement brusque et souffle tout son air par ses narines. À vrai dire, il ne pensait pas que sa victime prononcerait le moindre mot. « La ferme, pédé. » Il riposte, légèrement ébranlé, instaurant machinalement une distance entre eux. Cette journée-là, il n’a pas su quoi dire. Il a simplement tourné les talons en enfonçant ses mains dans ses poches, la queue entre les jambes.

« Ne pleure pas, Archie. » Dit doucement sa mère en séchant les larmes qui coulent sur ses joues. Il a treize ans et il vient de perdre sa sœur ainée d’un cancer des os. Elle a lutté pendant deux ans mais la maladie l’a vaincue. « Ne pleure pas. Sois fort. Tes sœurs auront besoin de leur frère. Tu es le plus vieux, maintenant, tu devras prendre soin d’elle, tu comprends ? Tu sais ce que ça veut dire ? » Il hoche doucement la tête en fixant le sol de l’hôpital. À droite, son père enlace ses deux filles en pleurs. Pourtant, Archie est le seul qui n’a pas le droit de laisser parler ses émotions. Sa gorge lui brûle mais il ne laisse pas un son s’en échapper. Sa famille compte sur lui, maintenant.

« Autumn, es-tu amoureuse ? » Demande Archie, vingt-trois ans, en jouant avec une mèche des cheveux blonds de la belle, les yeux fatigués rivés vers le fond de la chambre plongée dans l’obscurité. « Je ne sais pas, Archie. Mais je sais que t’es le meilleur mec que je connaisse. » Ses lèvres se pincent tandis qu’il retient un ricanement. Il ne pense pas être amoureux, lui non plus, mais la jeune femme compte pour lui. Cela fait bientôt un an qu’ils dînent ensemble tous les soirs et qu’ils partagent des séances de cinéma. Elle est la première personne avec laquelle il ne s’agissait pas que d’une aventure d’une nuit. « T’es pas mal non plus. Tu sais que t’as changé en un an ? » Il ajoute, glissant son pouce sur sa joue pour qu’elle redresse la tête vers lui. « Je te trouve plus forte, plus courageuse. » Elle rit doucement, se tournant sur le dos pour le regarder dans les yeux. L’arrière de son crâne est posé sur son torse. « Et tu vas prendre tout le mérite, encore une fois ? » Un sourire malin étire les lèvres du garçon. « Naaah. Jamais je ne ferais ça… Enfin… Si, un peu quand même. » Court silence contemplatif. « T’es vachement belle. Les cornes du diable te vont à ravir. » Elle éclate de rire en se redressant afin de mieux poser ses lèvres sur celles d’Archie. « T’es con. Je ne serai jamais aussi méchante que toi. » Ils échangent un baiser puis il se décolle doucement pour poser son index sur la bouche d’Autumn. « Tu penses vraiment que je suis méchant ? » Yeux brillants, pleins de malice, il souffle finalement : « Ça me fait mal, ce que tu dis, Autumn. » Il couine sur un ton sarcastique, faussement piteux, avant de coincer le menton de son amie entre son pouce et son index pour échanger une troisième caresse.

« Papa, j’ai atteint le million. L’entreprise est un succès national, bientôt international. » Les doigts serrés autour de son téléphone, Archie, vingt-six ans, respire nerveusement. Ses talons tapent le sol dans sa grande maison bien trop calme et vide. « Je ne suis pas surpris. Je savais que j’y arriverais. Tu comptes me rembourser bientôt ? Avant Noël ce serait génial, ta mère et moi avons des projets. » Mâchoire serrée, il se retient de faire le moindre son pendant quelques secondes. Sa gorge lui brûle parce qu’il sait que son père a raison. Cet argent, il ne l’a pas gagné sans son aide. Et, pourtant, alors qu’il devrait sauter sur place comme un suricate excité, il se sent étrangement vide. « Oui, je te ferai un chèque. » Parce qu’il a l’impression de ne pas le mériter. Parce qu’il a l’impression de ne pas vivre sa vie comme il devrait. « On se voit bientôt. Salue maman de ma part. » Il ne dit pas qu’il l’aime, il ne montre pas d’affection, il a appris à ne pas le faire. Il est un homme, un vrai, et, maintenant, il doit célébrer la grosseur de son compte en banque comme le ferait n'importe quel gagnant.

« Tu vas choper un truc si tu continues. Une maladie d'en bas, tu sais ce que je veux dire. » Plaisante sa sœur avant d'avaler une gorgée de limonade. Archie, vingt-neuf ans, fronce les sourcils et fait claquer sa langue contre son palet, comme le fait maman. « Je suis prudent, petite souris. Et je pense que tu t'imagines des trucs. Je rencontre des meufs seulement... trois fois par mois. C'est pas un drame, je profite. » La jeune femme grimace. « Je ne veux pas entendre parler des partenaires sexuels de mon frère. Tu fais ce que tu veux, mais je t'aurai prévenu. Pourquoi tu ne trouves pas une copine ? Elle était marrante, Autumn. Je ne comprends toujours pas pourquoi tu l'as quittée. » Mordant doucement dans sa paille, Archie réfléchit en gardant un coup d'œil sur la caissière derrière le comptoir du café. « C'était un accord commun, ce n'est pas moi qui l'ai quittée. On ne s'aimait pas réellement. Je dois te le dire combien de fois petite souris ? » « Et moi, je dois te dire combien de fois d'arrêter de m'appeler comme ça ? » Amusé, le garçon repose ses yeux bleus sur sa cadette et ricane: « C'est moi qui te paye toujours tes limonades alors je ne pense pas que tu as le droit de te plaindre. Allez, termine ta boisson, je n'aime pas laisser Bucky dehors trop longtemps. » Il conclue, désignant le grand barzoï blanc qui attend sagement en laisse à la sortie du café.

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Une couche de pierre sur un coeur de verre ☽ Je vois là un homme qui se brûle sans feu, qui se noie sans eau et qui se pend sans corde.

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(#) Sujet: Re: Money is power; I am the power. [Archie] Dim 22 Nov 2020 - 23:12

je, je, je.
j’ai pas les mots en. Money is power; I am the power. [Archie] 2340009788

rebienvenue à la maison, j’ai tellement mais tellement hâte d’en apprendre plus sur ton nouveau monsieur Money is power; I am the power. [Archie] 3922047296