ÂGE : 34 ans (16.03.1986) SURNOM : "Maman" est celui dont elle rêve. Les enfants à l'hôpital l'appellent Blanche Neige. STATUT : Mariée depuis février 2020, à nouveau fiancée depuis novembre. Toujours le même homme, mais cette fois-ci ils avancent à leur rythme et sans caméras. MÉTIER : Infirmière en pédiatrie à l’hôpital Saint Vincent. Bénévole à l'Association Beauregard et au Royaume Enchanté. LOGEMENT : Recherche un appartement à Logan City pour tout recommencer à zéro avec son mari. POSTS : 1794 POINTS : 400
ORIENTATION SEXUELLE : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Sœur cadette de Joseph mais se prétend fille unique ☼ Se rend à l’église chaque dimanche ☼ Mère poule par excellence ☼ A connu un petit ami violent de 2008 à 2010 suite à quoi elle a fait une fausse couche ☼ Passion débordante pour la pâtisserie et les plats bizarres ☼ Se reconstruit émotionnellement auprès de Matt depuis début 2020 ☼ Rejette les fautes sur les figures de son passé, parce que c’est plus facile que d’y faire face ☼ Elle a toujours raison et quiconque affirme le contraire a tort ☼ Rêveuse pourtant très attachée à ses principes du siècle dernierUN RP ? : Seulement si nous avons un lien. RPs EN COURS : (08/05) : sid & joseph ☼ alfie #3 (fb 2001) ☼ ezra #3 (fb 2010) ☼ lily&nono ☼ joy ☼ colleen ☼ alfie #4 ☼ joseph #8
LILYMATT. Qu'est-ce que j'irais faire au paradis quand tu t'endors près de moi ? Qu'il le donne à d'autres, le paradis. Je n'en voudrais pas. Ils disent que, pour tenir un couple, faut l'entretenir tous les jours. Ces connards n'y connaissent rien en amour. Comme si j'devais faire un effort pour t'écouter, comme si j'avais déjà douté. J'aimerais tes défauts si jamais j'arrive à en trouver. Rien n'a bougé depuis nos premiers "je t'aime".
KEEGANs. Running out of time. I really thought you were on my side but now there's nobody by my side. I need you right now, don't let me down.
MCREGARD. I'll be there for you when the rain starts to pour. I'll be there for you like I've been there before. I'll be there for you 'cause you're there for me too. Even at my worst, I'm best with you.
ALFLY. When I was six years old, I broke my leg. I was running from my brother and his friends and tasted the sweet perfume of the mountain grass I rolled down. I was younger then, take me back to when I found my heart and broke it here, made friends and lost them through the years.
“Arrête, c’est mal de parler des gens comme ça.” Puisque Lily est placée mieux que personne pour savoir ce qui est bien et ce qui ne l’est pas, elle reprend doucement Alfie sur ses paroles et ce qu’il peut bien dire de ses collègues de travail. Après tout, ils ont sûrement de bonnes raisons qui pourraient expliquer de tels comportements et ils ne sont personne pour juger, surtout pas Dieu. Sous ses doigts glisse la lame aiguisée de son couteau japonais ; contre ses lèvres ne se trouvent que celles d’Alfie qu’elle vient empêcher d’avoir le dernier mot. Il a toujours le dernier mot sur tous les sujets et c’est une raison de plus pour elle de souvent le détester, lorsqu’elle en oublie parfois pourquoi elle l’aime au point d’avoir décidé de faire sa vie à ses côtés.
Littéralement à ses côtés, à en juger par leur maison nouvellement acquise et encore plus nouvellement réaménagée selon leurs goûts. Personne n’a été autorisé à entrer avant que tout ait été terminé. Ils voulaient attendre que tout soit parfait et qu’ils aient terminé de trouver un nouveau sujet de dispute à chaque nouvel objet à placer, à chaque nouveau mur à peindre. Tout ceci explique pourquoi ils ont passé les dernières semaines à se crier dessus lorsqu’ils n’étaient pas occupés à ne plus s’échanger le moindre mot. Aujourd’hui enfin, tout est rentré dans l’ordre et ce n’est pas leur chien qui pourrait s’en plaindre. Il est le plus heureux du monde, lui qui aime tant ramener la boue du jardin jusque dans le salon et la cuisine, les deux pièces immaculées de carreaux blancs comme neige. Étrangement, Lily est celle qui a insisté pour le blanc et pour le chien, cela va donc s’en dire qu’elle n’avait pas prévu que les deux seraient tant liés l’un à l’autre.
Qu’importe. La viande est découpée et le sang de la planche de marbre se mêle au jet d’eau de l’évier pour mieux venir se noyer au fond du siphon. Ses mains deviennent propres en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, aussi. Après tout, jamais Lily ne pourrait avoir de sang sur les mains - ni au sens propre, ni au figuré. Ce serait bien mal la connaître. “On s’en tient au plan. Sois gentil avec lui.” Leur relation a toujours été aussi compliquée que celle qu’elle entretient avec son frère et à leur façon, chacun a beaucoup de choses à reprocher au brun qui s’apprête à venir leur rendre visite pour la soirée. Pourtant, le moment est justement idéal pour enterrer la hache de guerre et enfin repartir du bon pied : en commençant par laisser Joseph enfin accepter l’union de sa sœur et son meilleur ami. “Ce n’est que pour quelques heures.” Il ne faut pas faire paniquer la viande, le goût en serait altéré dans le mauvais sens. Au contraire, si elle se sent à l’aise et en sécurité, elle n’en sera que plus tendre et juteuse. Joseph, lui, n’aura rien vu venir alors qu’eux deux préparent cette idée depuis des semaines, si ce ne sont même des mois. Née d’un rien, elle allait enfin devenir réalité et être la consécration de tous leurs efforts pour qu’enfin justice soit rendue.
Ses doigts remettent délicatement en place le col de la chemise d'Alfie avant que le jeu ne puisse enfin démarrer, la sonnerie de départ ressemblant étrangement à celle de la porte d'entrée.
ÂGE : 37 ans. 26/04/1983 SURNOM : On m'appelle Jo, mais ça m'emmerde. J'aurais préféré avoir un autre prénom. STATUT : Célibataire qui n'arrive pas à en profiter. MÉTIER : Petite abeille butineuse de la Ruche. bzbz. LOGEMENT : Je possède les clefs de Deborah en ce moment (celles de son appartement, pas celles de son coeur, malheureusement). POSTS : 31849 POINTS : 320
ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Quand j'étais jeune, j'étais facilement manipulable. Beaucoup trop en ont profité. J'ai subi la ceinture de mon père et il m'arrive encore de sentir les mains du curé sur moi. Depuis, j'ai inversé les rôles. Je suis devenu le manipulateur en apprenant de mes erreurs. J'ai rejoint un gang à vingt ans, j'ai vendu de la drogue à ceux qui n'en demandaient même pas. La justice m'a rattrapé, j'ai été emprisonné pendant trois ans et j'ai pu m'en sortir plus tôt en usant de bonnes paroles religieuses, celles que j'avais apprises par cœur contre mon gré. J'erre, maintenant, à la recherche de stabilité.UN RP ? : Seulement si nous avons un lien. RPs EN COURS : LA CONFISERIE
Parce que je ne serais rien sans les mots de Deborah.
PSEUDO : Mapartche. AVATAR : Sebastian Stan. CRÉDITS : Jess pour le *pewpew* et l'avatar + google + greenhouselab DC : Raph le flamant et Archie le varan. INSCRIT LE : 25/09/2018
(#) Sujet: Re: cuisses de nymphes désossées (alfly #5) Jeu 14 Jan 2021 - 3:36
TW : je vous hais
Alfie et Lily. Lily et Alfie. Leurs noms riment et, pourtant, quelque chose d’autre ne rime pas. Ils n’ont jamais été complices. Alfie était le meilleur ami de Joseph et ça aurait dû rester ainsi. Lily était la soeur et détestait son frère ET son meilleur ami. Ça aurait dû rester ainsi.
Il ne sait pas exactement à quel moment tous les deux se sont liés. C’était peut-être durant son incarcération, quand il n’était pas là pour les déranger, ou alors c’était après, quand il s’était perdu pour la vingtième fois de sa vie pour finalement retrouver la mauvaise route. Dans tous les cas, l’union ne s’est pas faite devant ses yeux et il ose espérer que tout ça n’est qu’un hasard. Sa sœur ne lui aurait pas caché une telle chose, il a confiance en elle. Ils sont tous les deux des Keegan, ils se serrent les coudes à la vie à la mort.
Mais peut-il réellement leur en vouloir de chercher le bonheur alors que c’est lui-même ce qu’il fait depuis toujours, fuyant ses démons et ses ennemis dans l’espoir de tomber sur la bonne personne qui l’aidera à se relever ? Non. Il ne devrait pas les détester de s’unir alors il ne les détestera pas. Il n’est ni jaloux, ni égoïste, Joseph, alors il affiche un ravissant sourire lorsqu’il appuie sur la sonnette de cette maison qu’il découvrira pour la première fois. La dernière fois qu’Alfie l’a invité à dîner, ça s’est terminé dans un bain de sang. Il a espoir que, cette fois, le seul sang qui soit versé sera celui au milieu de la viande rosée. Lily lui a bien dit qu’un plat de bon goût serait servi ce soir et, sans surprise, Joseph a plus hâte de déguster le plat que de voir les deux tourtereaux se caresser les jambes en dessous de la table.
Ce sont les aboiements d’un chien qui le surprennent. Son museau humide se colle à la fenêtre opaque de la porte alors que ses yeux tentent de scruter la forme de l’inconnu inaccessible. Encore une autre surprise : il ne savait pas que Lily aimait les chiens au point de faire de l’un d’eux son compagnon.
— Wanted —
he runs away from his demons without realizing that he has become one
ÂGE : trente-six ans (01.11). SURNOM : alfie en est déjà un. STATUT : en couple depuis quatre ans, l’évocation d’une future vie de famille laisse planer un nuage noir sur sa relation avec jules. MÉTIER : anthropologue de formation ; consultant pour la justice et dans la santé, lecturer à l'université. LOGEMENT : apt. #95 à toowong, qui devient trop petit pour lui, jules et (plus si) temporairement sa filleule de 7 ans, anabel. POSTS : 2188 POINTS : 270
ORIENTATION SEXUELLE : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant unique, parents très religieux ≈ rescapé d’un accident de voiture qui a tué son premier amour (toxique) ≈ passionné par son métier, le vrai (anthropologue) ≈ se déplace en skate ou vélo, rarement en voiture ≈ excellent pianiste ≈ trouble tdah jamais diagnostiqué ≈ cicatrices le long du dos, sur le torse et brûlure sur l’entier de la paume gauche ≈ de retour à brisbane depuis deux ans, il rêve de fuir à nouveau ≈ ancien addict en perpétuelle lutte pour ne pas replonger ≈ deux agressions en deux ans, et un ptsd qui prend de plus en plus de place au quotidien. UN RP ? : Pas dispo pour le moment. RPs EN COURS : alfiana #7 ⊹ i'm sliding into something you won't understand, but don't give up on me 'cause i'm just in a rut, i'm climbing but the walls keep stacking up.
anabel ⊹ no matter how big and bad you are, when a six year old hands you a toy phone, you answer it.
alfly #3 & alfly #4 ⊹ y'know, i always try to settle you when i'm away 'cause we struggle sometimes, if it means that we get through.
noralfie #5 ⊹ out of the blue, into the black. they give you this but you pay for that. once you're gone, you can never come back.
(abandonnés) romy (au) › james (1994) › calie (2006) › nadia › eleonora › lily › stephen #2 › leah › eirlys › tad #3 › leah #2PSEUDO : leave AVATAR : brandon cutie pie flowers CRÉDITS : homemade (ava), dxniel-sousa (gifs), loonywaltz (ub), jojo rabbit (dessin) DC : le roux de secours (finnley coverdale) et le paumé de service (kieran halstead) INSCRIT LE : 01/02/2019
(#) Sujet: Re: cuisses de nymphes désossées (alfly #5) Hier à 2:58
@LILY MCGRATH & @JOSEPH KEEGAN & ALFIE MASLOW ⊹⊹⊹ A Census Taker Once Tried To Test Me. I Ate His Liver With Some Fava Beans, And A Nice Chianti.
TW/cannibalisme (c'est le but, après tout)
« C’est pas mal, c’est-. » La réalité. Un simple constat. Une affirmation. Les mots ne manquent pas, pourtant Alfie en est à court lorsque Lily pose habilement ses lèvres sur les siennes pour le réduire au silence, bien consciente qu’il s’agit de la seule manière pour elle de prendre l’avantage sur lui. Il aurait pu épiloguer pendant des heures durant sur le sujet, à quel point ses collègues sont des connards (pardonnez-moi mon père, j’ai péché), mais dès l’instant où elle réduit leur proximité, il en oublie jusqu’à l’existence même du reste du monde, autant qu’il ne peut s’empêcher de la détester pour cette raison. Elle le connaît mieux que personne, elle parvient à prendre le dessus alors qu’il devrait être celui qui en bénéficie toujours – il ne s’attendait jamais à avoir une rivale, encore moins du nom de Lily Keegan, devenue Lily Maslow par surprise, et pourtant il ne pouvait pas en être autrement.
Son épouse s’occupe de peaufiner les derniers détails du festin – bien que le plat principal ne soit pas encore arrivé. Alfie, de son côté, s’affaire à s’assurer que tout est en place autour d’eux, que l’ambiance est chaleureuse ; il allume même un bâton d’encens, lance une playlist apaisante en fond sonore et va parsemer les coussins du canapé de quelques gouttes d’huile essentielle de patchouli. Ils se sont mis d’accord, tout est supposé être propice à la détente, il y met du sien sur ordre de la maîtresse de maison bien que son état d’esprit soit très loin d’être à la relaxation. Pas qu’il soit tendu par l’exécution de ce plan minutieusement réfléchi depuis des semaines, des mois peut-être même. C’est bien de l’excitation qui coule dans ses veines en ce soir de fête – sauf pour l’un des protagonistes qui ignore encore tout de son sort.
« Toujours. » Son sourire de parfait emmerdeur sur les lèvres, Alfie provoque, mais demeure sincère alors qu’il sera le plus gentil des hommes avec Joseph, ce soir. Il lui prendra son manteau, il lui tirera sa chaise, lui offrira sa part de dessert au quinoa s’il le faut (ultime preuve de son amour à l’égard de son meilleur ami), il se permettra même une bénédiction avant de passer à table – comme quoi, il a conservé quelques principes de son éducation (et non parce que Lily lui tape sur les doigts lorsqu’il ne le fait pas, voyons). « Les meilleures heures de ma vie. » Il annonce, sons sourire qui s’élargit à mesure que ses yeux brillent. Quelques heures qu’il a attendu toute une vie, en réalité, un dessein qu’il n’avait jamais verbalisé jusqu’à ce soir où l’idée a été évoquée sous couvert d’humour, que leurs regards ne se croisent et suffisent pour acter le méfait.
Lily replace son col de chemise ; il glisse l’une de ses mèches derrière son oreille, vole ses lèvres en guise de bonne chance mutuelle tandis que la sonnerie retentit. Un dernier regard, le c’est parti résonne silencieusement entre eux tandis que leur chien s’avère tout aussi pressé que ses propriétaires. « Hannibal, doucement. » Il flatte le poil de l’animal, un rire aux lèvres : « Tu l’auras ton os et 205 autres en supplément. Sois un peu patient, veux-tu ? » Bien dressé, l’animal se réduit au silence tandis qu’Alfie ouvre la porte d’entrée. « Jo ! » Le sourire sur ses lèvres n’est pas feint, de même que l’empressement avec lequel il se jette dans les bras de son ami, tapotant fermement le dos de celui-ci ; c’est important d’attendrir la viande. Il libère à moitié son ami tandis que l’un de ses bras reste autour de ses épaules et qu’à ses côtés, il le fait avancer dans l’humble demeure. « Ça fait une éternité, je suis heureux que tu sois là ! » À la parole, il joint le geste, sa main tapotant amicalement son ventre. Une certitude : il n’a pas profité de la prison pour faire des haltères. Qu’importe, ne dit-on pas que le gras, c’est la vie ?
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(#) Sujet: Re: cuisses de nymphes désossées (alfly #5)
cuisses de nymphes désossées (alfly #5)
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