« bowling en famille »    ava sanders & elias sanders

---

---

La journée allait être longue, il s’en est rendu compte au moment même, où il s’est renversé du café sur son tee-shirt, à peine arrivé au travail. Et clairement le brun ne pouvait pas rester comme ça, Serinda allait passer sa journée à se foutre de lui et de sa tâche ! Il avait donc opté pour un petit détour dans le vestiaire, où il s’était rapidement changé en foutant son tee-shirt taché dans le sac à linge sale qu’il récupère le soir pour laver ses fringues si il y a besoin. Faut pas croire mais il est plutôt ordonné et surtout Erin lui tombe dessus si il ramène tout d’un coup, elle déteste les choses qui vont pas comme elle veut. Finalement il retrouve son bureau rapidement, et il n’a guère le temps de s’asseoir longtemps, qu’il doit déjà partir vers fortitude valley. Ce coin, il le connaît bien parce qu’il a grandi au côté de sa jeune sœur dans ce quartier, il y a rencontré celle qui ne l’est plus vraiment aujourd’hui, mais qui l’a été toute son enfance et adolescence : sa meilleure amie, et surtout c’est là-bas qu’il parvenait à se hisser au bras de pouff (comme elle disait) pour la voir rager. De bons moments pour lui mais qu’il a décidé de laisser de côté, de ne plus penser… Plus facile à dire qu’à faire n’est-ce pas ? C’est aussi dans cet endroit, que son père a quitté leur famille et que sa mère a dû se démener pour pouvoir garder le miteux appartement qui été sur le tête. Mais valait mieux ça que d’être à la rue ! Il ne s’est jamais plain mais c’est toujours promis de faire en sorte de réussir dans sa vie, de ne pas autant galérer dans sa vie, et les courses ça aide bien… Une passion débordante, un besoin vital pour ce brun trentenaire qui n’en parle pourtant à personne, cachant bien ce côté obscure de lui… Qu’importe la journée passe pas trop mal, ils doivent intervenir à plusieurs reprises dans la ville, et c’est ce qu’il aime Elias, c’est ce pourquoi il a fait ce job ! Seulement il ne voit pas l’heure passer et il n’a pas le temps de revenir chez lui pour prendre une douche que déjà sa cousine lui envoie un message. Il n’a même pas le temps de le lire entièrement qu’il râle, il marmonne. Finalement, il envoie un ‘J’arrive !’ montrant qu’au fond de lui, ça le fait râler, mais elle le connait assez bien pour le deviner aisément. Il prend rapidement une douche, s’enfermant dans celle du vestiaire au commissariat, heureusement il a tout l’équipement, ça lui est arrivé mainte et mainte fois, quand il n’a guère le temps pour aller voir une de ses nombreuses (mais sans importance) conquête ! Et elles sont plus nombreuses qu’elle n’y paraisse ! Finalement au bout d’une dizaine de minutes qu’il a enfin quitté le commissariat, il arrive enfin avec sa voiture au bowling. « Ha bah c'est pas trop tôt. » Qu’elle dit quand il foule le sol du bâtiment, il lève les yeux au ciel, elle fait que râler ! « T’es impatiente ! » Comme lui quand il s’y met ! Mais ça, il passera ce léger détail avec conviction. Il n’allait pas lui trouver l’excuse du boulot (bien que ça soit la vérité) elle ne le croirait pas. Elle ne le croyait jamais quand il dit qu’il a du mal à partir à l’heure. Pourtant les missions ça ne préviens jamais ! « Prêt à réellement perdre ? » Elle ajoute, voulant alors lui filer le dernier coup avant de se lever l’air de rien. Il n’allait sûrement pas se laisser faire aussi facilement ! « T’en fais pas, je crois en moi ! » Il est volontaire Elias, il y croit dur comme fer même quand la réalité le rattrape. Et surtout il déteste perdre ! « Je vois qu’on m’a pas attendu ! » Qu’il dit en montrant son verre d’un signe de tête, avant d'aller s'en chercher un lui-même en la plantant bien sagement à table. Pour finalement revenir vers elle, et s’installer sur le banc en face des caisses pour mettre des chaussures immondes. « C'est vraiment le truc que j'aime pas ici » Ca l’fait rire le flic, « on est tous au même niveau au moins, on a tous l’air ridicule ! » Et il se moque volontiers de sa cousine Ava quand elle attache enfin le dernier lacet de ses chaussures. Et alors qu’il sifflote, voulant faire son beau avant d’arriver sur la piste (pas de danse) mais du bowling, il récupère entre ses doigts la plus grosse boule. « Qui se ressemble, s’assemble… » Qu’il dit d’un air taquin en jouant de ses sourcils en sa direction, elle allait lui gueuler dessus c’est surtout ou le taper dans le bras parce que ce genre de détail c’est pas pour elle, mais il ne peut jamais s’en empêcher Elias ! « Ouais bon je suis pas monsieur muscle moi. (…) Celle-là devrait le faire… » Et elle prend en se retournant vers lui, une toute petite boule de rien du tout. « Tu vas arriver à la porter, ou tu veux que je t’aide ? » Il lui jette un regard amusé, se moquant d'elle ouvertement et sans ménagement, avant d’ajouter, « honneur au perdant ! » Un sourire apparaît au coin de ses lèvres avant qu'il se doit de préciser : « je te laisse commencer du coup ! » Un cousin ingrat !

 « bowling en famille »    ava sanders & elias sanders

---

---

Il aime ses moments simples Elias, ses moments en famille qui lui rappelle inlassablement pourquoi il se bat avec tant de ferveur depuis son enfance. Sa vie aurait pu être différente, il aurait pu être un gosse aimant et protecteur, bienveillant sur la gente masculine. Il ne sait pas pourquoi il n’a pas plongé dans la force obscure, qu’est-ce qui a fait, qu’il est resté cet homme trouble, au trait parfois angélique. Il n’a jamais été tout blanc Elias et fréquente le monde de la nuit depuis son jeune âge, ça l’aide parfois pour son boulot, on ne va pas se mentir qu’il sait bien que rien ne vient gratuitement et qu’il faut parfois se mouiller un peu, prendre des risques. Il est téméraire et fougueux, quelque chose qui ne convient pas à la Woodsen, elle qui veut n’être que dans la lumière, que dans les choses simples. Sanders est un serpent qui avance en eau trouble, tel un caméléon, il se fond avec facilité dans la masse, et ça ne le dérange pas de se faire passer pour un dealer, ou un homme malhonnête si le besoin est flagrant. Si il est sûr de s’en sortir indemne, mais il se prend trop vite au jeu, ce fougueux et ce passionné n’a pas peur du regard des autres sur lui. Moins sur sa sœur ou sur Ava, sa cousine. Et quiconque les regarde de trop prêt aura directement le droit à faire à lui, il ne supporte aucun mot déplacé, aucun regard dérangeant. Elles sont ce qu’il ne sera jamais, et il a perdu toute sa naïveté, à croire qu’il n’en a jamais eu, la vie lui a reflété depuis son jeune âge, un regard différent des hommes, malsain et dérangeant. Et il est en colère, contre ce père, cet homme qui n’appartient plus à sa famille depuis bien longtemps, un géniteur qui n’a même pas ce monopole-là. Il ignore que Erin a gardé contact avec lui depuis son adolescence, qui lui arrive encore de le voir. Il a rendez-vous avec Ava, pour une soirée comme il les aime : un bowling, très cher à son cœur. Mais parce qu’il ne sait pas arriver à l’heure, Ava a l’habitude d’attendre et de devoir faire avec les exigences de monsieur. « J'aime pas attendre, tu devrais le savoir » Elias se marre bien, en la regardant avec son verre, quelle impatiente ! « Un beau gosse comme moi c’est normal qu’il fasse prolonger le suspense… » Clairement, il se la pète, et elle lève les yeux au ciel, qu’est-ce qu’il peut parfois être lourd son cousin, il en rigole comme toujours, ne manquant jamais de l’entendre râler.. « Il y en a à qui c'est pire que d'autres. Tu sais que la lessive a été faite hier au moins ? T'aurais pu faire un effort. » Il lève les yeux au ciel, en lui tirant la langue, « personne ne le constatera… » C’est tout son charme à ses yeux, et puis elles ont qu’à lui plier ensembles, lui il n’y est pour rien dans l’histoire. C’est pas un truc pour lui le repassage, de laver les fringues, de les ranger dans l’armoire. Ca le gonfle ce genre de truc. Il finit par mettre ses chaussures qui sont loin d’être classe, heureusement que tout le monde a les même. « Petit conseil, lâche pas ça pour emballer une fille, tu la ferais fuir à toute jambes, » jalouse va ! « C'est peut-être pour ça d'ailleurs que tu revois jamais deux fois la même fille. » Elle le cherche la petite ! Et elle finira par le trouver. « Je suis pas sûr que tu veuilles réellement savoir comment j’emballe … » Il s’amuse, il sait la mettre mal à l’aise, avec ses sous-entendu, elle le sait qu’avec Elias le sujet peut vite devenir délicat si elle le cherche trop, et qu’il ne rate pas un instant de rentrer dans les détails (même si c’est faux) juste pour titiller si besoin. Et c’est en arrivant devant leur couloir, qu’il sourit plus aisément, il est prêt à la faire tourner en bourrique – tout autant qu’elle, d’ailleurs. C’est d’ailleurs à elle de commencer, l’écran l’a décidé, et ça l’arrange bien, bien qu’il soit assez confiant – sûrement trop confiant. « Viens pas pleurer si je te bats. » Il lève les yeux au ciel, absolument pas concerné par ça, « je te laisse le croire alors… » Elle s’avance, en lui tirant la langue jusqu’au point pour tirer sa boule qu’elle porte avec ses deux mains, prête à voler avec la boule. Faites que la chance soit avec moi ce soir qu’elle souffle sans qu’il l’entende. Se concentrant. « Que c’est dommage, la gouttière. » Il fait mine d’être désolé pour elle, bien qu’en vrai il jubile intérieurement, il déteste perdre Elias, c’est dans sa nature. Il se lève alors, récupérant la quille, il ne peut pas s’empêcher de se la raconter. « Je vais te montrer comment faire. » Il prend de l’élan, et lance la boule noire en direction des quilles sans les quitter du regard.

WIN : STRIIIIKE, on peut entendre le flic crier en se retournant en direction de Ava qui semble bouder !
SO CLOSE : la moitié des quilles qui tombent, c'est mieux que rien mais il n'est pas satisfait.
FAIL : QU-QUOI ?! Impossible ! Il est énervé Elias et retourne à sa place priant pour qu'elle rate la sienne !

 « bowling en famille »    ava sanders & elias sanders

---

---

Elias adorait sa relation avec sa cousine, elle parvenait à le faire sortir de son sentier, à le rendre moins distant, et avec elle, il oubliait tout le reste. Il oubliait cette sensation qu’il avait parfois, d’être distant et en colère contre les autres. Il a toujours été cet homme un peu en retrait, et a toujours préféré observer de loin avant de se faire une idée – souvent négative des autres. Ca semble évident qu’il est dans son élément à présent, qu’il a parfaitement trouvé sa voie professionnelle, et qu’il ne recherche rien de meilleur pour lui. Il est en charmante compagnie dans sa coloc, on lui lave les caleçons, et on lui repasse ses affaires, et pour rendre la pareil, elles ont le droit d’être surveillés comme de l’huile sur le feu, et si elle dérive un peu trop, il n’est jamais loin pour les rattraper. Il continue ses courses mais est-ce qu’un jour il parviendra à arrêter ses conneries ? C’est moins sûr, c’est quelque chose qu’Ava ignore, Erin aussi. Est-ce que le fraternel modèle qu’il est, le resterait longtemps si elles venaient à le savoir ? Il ne compte pas leur dire pour le savoir, ça lui ferait mal de savoir qu’en réalité, cette vérité est loin de l’être. Mais il peut pas s’empêcher d’avoir ce rictus au coin des lèvres, et de la titiller, c’est ce qu’il sait faire de mieux, le flic. La pousser à bout, lui faire croire qu’elle peut remporter le gain, alors qu’il en est autrement, c’est la raison pour laquelle, il joue de son charme, il joue de cette arrogance qui le définit le mieux. Sa cousine le connaît mieux que personne, et elle sait où le toucher, et quoi dire pour qu’il ne lâche pas l’affaire. « Et les chevilles ça va ? » Qu’elle rétorque, sans doute moins amusée que lui de la situation parce qu’il s’y croit le petit. Il a toujours eu cette prétention, cette arrogance Sanders. « Tu veux constater par toi-même ? » Qu’il nargue, sans jamais perdre son sourire, la provoquant comme à son habitude devant le soupire d’Ava qui semble en avoir marre de lui. Et de ses idées à la con… « Et puis je suis pas une de tes conquêtes donc cette raison ne s'applique pas à moi je te signale… » Il hausse les épaules, ne pensant guère qu’elle obtiendra satisfaction avec lui. « Je te supporterai pas plus de quinze secondes… » A en croire leur conversation dans le bowling, ce serait réciproque. C’est surtout qu’il ne manque jamais une occasion pour vouloir la voir râler, ou bouder. Ca le fait rire. « Non en effet, je veux pas être traumatisée à vie… Bien que si ça se trouve tu n'emballes jamais vu qu'on ne te vois avec aucune fille… » Evidemment qu’il tombe dans le panneau, évidemment qu’il rétorque, acerbe qu’elle ose le penser, encore plus que le dire à haute voix. C’est qu’elle semble sérieuse la bougre, en prétendant qu’il chope finalement peut-être personne. Il se mord la lèvre pour ne rien dire, pour ne pas casser son jardin secret, parce qu’elle serait le genre à vouloir tout savoir, à vouloir connaître son identité, pire encore à vouloir être présenté. Adieu vie tranquille, adieu vie sereine, c’est impensable pour le flic qui n’ira de provocation qu’en provocation sans jamais heurter la réalité. Ne brisant pas l’identité de l’ambulancière pour son ego personnel. Et dieu sait que la fierté c’est pas ce qu’il manque chez lui… « On verra si tu fais mieux » Elle semble prendre un malin plaisir à lui faire renvoyer une éventuelle défaite, chose insupportable pour le flic qui ne compte pas se laisser dominer, si bien que la boule ne parvient à faire tomber que la moitié des quilles, il peste. C’est mieux que rien mais quand même, il est déçu, et ne fanfaronne comme il l’aurait souhaité, devant le regard amusé d’Ava, qui en rajoute une couche, tartine le pain avec ! « Il est où ton strike ? Je m'attendais à ça moi et pas juste la moitié des quilles » Gniagniagnia serait bien le seul mot qu’il saurait lui dire, un minimum de compassion pour lui merde ! Et quand elle s’élance et qu’elle fait aussi tombé quelques quilles, la même moitié que lui, il lève les yeux au ciel, « tu me recopies ! » Mais il n’attend pas que la boule noire s’élance déjà. Espérant faire mieux, cette fois, toucher le graal : le strike !

Spoiler:

 « bowling en famille »    ava sanders & elias sanders

---

---

Il avait beaucoup de difficulté ce soir Elias, lui qui a toujours été plutôt doué au bowling, en général, il ne parvenait pas à marquer de point, à prendre de l’avance, elle le suivait de loin, même si elle avait quand même eu la gouttière, il semblait le sentir mal sur ce coup-là, qui était parti plutôt confiant, plutôt en mode, qu’il allait tout démonter ! Evidemment ça l’énerve de pas y arriver Elias. Il aimerait y parvenir haut la main et ce n’est pas ses taquineries qui auront sa peau, enfin peut-être que si un peu… C’est la raison pour laquelle, il lui renvoie l’ascenseur, qu’il veut pas se laisser faire par elle, influencer. Il allait gagner, il n’avait pas le choix et sinon il prendra sa revanche, ils y passeront la nuit, et les suivantes. Il n’avait peut-être pas gagné race of Australia, mais il n’allait pas se démonter pour autant. « Tu sais qu'au Moyen-Âge montrer ses chevilles étaient un signe sexuel ? » Il lève les yeux au ciel, quelle mauvaise langue cette enfant. Les temps ont bien changés, et elle va devoir s’y faire, parce qu’il n’est pas prêt à renoncer, à la laisser gagner, à lui laisser entendre qu’elle a raison de le charrier, qu’il ne dira rien. « Je devrai les montrer plus souvent aux autres nanas… » Qu’il ajoute plus pour lui-même sans doute, un brin orgueilleux, tout en réfléchissant un instant. C’était grotesque, complètement absurde, comment pouvait-il draguer avec leurs chevilles, « et donc ma chère cousine à qui pourrait-elle montrer ses chevilles ? » Il cligne des yeux en partant en direction de la piste, avec elle, battant des cils un peu vulgairement, pour la charrier. Comme souvent, et parce qu’elle le voit arriver, à lui poser des questions sur ce qu’il fréquente ou pas. « Ce serait déjà trop long avec toi » A qui le dit-elle, il lui tire la langue, ils ne se supporteraient pas longtemps si ils n’étaient pas de la même famille, en même temps qui peut réellement le supporter ? « Hooo tu ne répliques pas. J'ai touché une corde sensible ? » Et la voilà qui arme à sa corde le fait que si il ne lui présente personne, c’est qu’il n’a peut-être personne. Et franchement ça ne l’atteint pas, enfin si peut-être mais il sait parfaitement gérer ses émotions, ceux-là en tout cas. Pas comme si il est du genre à se soucier de ce que les femmes pensent hein. Elle voulait réellement avoir les noms de toutes celles qui auraient pu porter plainte contre lui ? « Ah parce que t’es censé me faire craquer ? » Non mais franchement, lui en fallait davantage, « je me fiche bien d’être en couple tu l’sais bien ! » Bien sûr qu’elle le sait, mais ça l’empêche pas d’imaginer que dans le cœur vide de son cousin, se tient une âme errante qui serait prêt à le supporter. « Je pense pas que ça t’intéresserait de savoir avec combien de nanas j’ai couché cette semaine, » provocation quand tu nous tiens, parce qu’il a un peu arrêté ses connerie depuis quelques semaines. Mais qu’il fût un temps, c’était presque tous les soirs. Pour oublier, par distraction, par égoïsme. Elle allait sans doute vouloir lui filer un coup d’épaule ou s’offusquer. Elle la sentimentale, lui qui est tout son contraire… « Pas du tout, je veux juste t'épargner l'humiliation quand je te battrais » Il pouffe en levant les yeux au ciel. Qu’est-ce qu’il fallait pas entendre, « j’aime pas quand on m’donne la victoire… » Il souffle amusé. Avant de s’élancer et… de faire tomber que quelques quilles ! Bon sang, il rage ! C’est quand la victoire, il la mérite non ? « Et bah t'es pas en forme on dirait » Le grincheux, se réinstalle sur le banc, en pestant, « tu veux qu'on mette les trucs pour enfants, ça me dérange pas tu sais, » Non mais elle abuse oui ! « Qui sait si ça t’aiderait pas pour toi… » Il est ironique, alors qu’elle finit par faire tomber une quille, son regard est satisfait, et il ne perd pas une seconde de plus, avant de finir son verre et de se lever en posant son verre sur le rebord et de récupérer la boule noire. C’est quand que la chance allait tourner ? Il s’élance, lance et…

Spoiler: