ÂGE : 30 ans, née le 26 mai 1990 SURNOM : Mia c'est suffisamment court non? STATUT : You're the only one in my mind... I want to be close to you even if everything is against us MÉTIER : Journaliste pour le Brisbane Times mais aussi auteur, ayant sorti son premier roman en juillet 2020. LOGEMENT : SPRING HILL, #97 St Pauls Terrace, en colocation avec Knox Baxton, son meilleur ami POSTS : 2052 POINTS : 2385
GENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née & a grandi à Brisbane ∆ Son père est parti lorsqu'elle avait 15 ans ∆ A étudié à Melbourne ∆ A voyagé pendant deux ans ∆ Journaliste, son but ultime est de devenir écrivain & illustratrice ∆ Passionée de surf depuis petite, elle est incapable de remonter sur une planche depuis son accident ∆ UN RP ? : Pas dispo pour le moment. RPs EN COURS :
∆ HE MIGHT BE THE ONE MIALEC #13  + Mitch ≈ Maybe i'm just a fool, i still belong with you, anywhere you are. These minefields that i walk through what i risk to be close to you...
∆ FAMILY JAXIA #8 & DAD #5 & ZOEY #1 ≈ There’s a river full of memory, sleep, my darling, safe and sound, for in this river, all is found , in her waters, deep and true, lie the answers and a path for you.
∆ CLOSEST FRIENDS DANIA #4≈ If you ever find yourself stuck in the middle of the sea, I'll sail the world to find you, If you ever find yourself lost in the dark and you can't see, I'll be the light to guide you
∆ GEOMIA #4 ≈ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side, You will never be alone"
∆ MIASON #2 ≈ This new you, this new dude, don't know him, don't want to, i wish that i still knew, the old him, the old you.
19 février. Je serai celle qui fera ce pas en avant. Celle qui va se battre pour nous deux. Quand j’ai pourtant prétendu l’inverse lors de notre dernière rencontre, je vais être celle qui va tenter de recoller les morceaux. Parce que ce mois de février m’a montré bien souvent que la vie pouvait être trop courte, et qu’il n’était pas toujours bon de vouloir rester sur ses positions. Peter, Knox, Lou… Trois de mes proches qui ont terminé dans un lit d’hôpital, les deux derniers s’y trouvant toujours, le premier ayant décidé de se faire aider pour sortir de ce gouffre dans lequel il s’était progressivement enfoncé et qui a failli lui coûter la vie. Cette peur que j’ai pu avoir pour eux, que je peux encore ressentir quand je ne suis pas sûre qu’ils iront mieux… Je n’ai plus envie de perdre du temps avec cette rancœur qui m’habite depuis trop longtemps, et qui finira par me porter préjudice. Alors, j’en tire progressivement des leçons, notamment celle que je dois parvenir à pardonner à mon père, à laisser cette histoire derrière nous, à profiter de l’instant présent à ses côtés. Celle aussi où je dois arrêter de me voiler la face en tentant de refouler mes sentiments pour Alec, surtout après avoir eu peur de le perdre lui aussi en entendant parler de cette perquisition au Club à la télé et que j’ai cru ne jamais avoir la possibilité de le revoir. Trois jours plus tard, lorsqu’il est venu sonner à ma porte pour m’avouer mes sentiments, je n’ai plus eu la force de le repousser. Plus l’envie quand je suis incapable de ne pas penser à lui chaque jour, que je veux être à ses côtés et que chaque rencontre et chaque aurevoir est encore plus une déchirure que le précédent. On s’accorde alors cette chance. Cette chance d’être ensemble, de former un couple, d’être heureux l’un avec l’autre…
C’est la fin de la journée. Et en sortant des locaux du Brisbane times je pense à cette personne. Cette personne à qui je n’ai pas redonné sa chance. C’est donc en direction de Bayside où Geo habite que je me dirige. Parce qu’il est temps, depuis plus de deux mois, date de notre dernière rencontre, que nous ayons cette discussion. Celle qui, je l’espère, nous aidera à renouer, à retrouver ce lien que nous avons construit pendant ces cinq dernières années. Parce que je ne veux pas tirer un trait sur Geo quand il a su se montrer présent même à des milliers de kilomètres. Qu’il représente bien plus qu’une simple connaissance, qu’un ami rencontré au Mexique. Qu’il représente bien plus que le meilleur ami à mon père… Il a été là, remplaçant mon père, involontairement, pendant toutes ces années. Parce que c’est lui que j’ai appelé à chaque fois que j’avais besoin de parler, à chaque fois que j’avais besoin de conseils. A chaque fois aussi que j’avais besoin d’une oreille attentive pour me réconforter. Je ne peux pas tirer un trait sur tout ce qu’il a pu faire pour moi. Pas quand j’ai su pardonner le même mensonge à quelqu’un d’autre. Pas quand ce lien est bien trop important à mes yeux et que je suis incapable de le laisser derrière moi.
Je me gare devant sa maison. Sa moto est dans l’allée, me signifiant ainsi qu’il est bien chez lui. Je prends une profonde inspiration, sentant mon cœur s’accélérer par l’appréhension de ces retrouvailles. Je finis par sortir de ma voiture, et avance doucement jusqu’au perron. Je frappe alors trois coups et la porte s’ouvre quelques secondes après. Je lis bien sa surprise dans ses yeux, je sais qu’il ne s’attendait certainement pas à me voir là, pas quand je ne lui ai pas donné de nouvelles depuis plusieurs semaines. Je souris timidement alors qu’il apparait dans l’embrassure de la porte et qu’il me laisse entrer en l’ouvrant plus grandement. Je m’engouffre alors dans cette maison que je connais bien pour y être venu plusieurs fois déjà. Rien n’a changé, ce vieux bibelot dont je ne cesse de me moquer à chacune de mes visites trône toujours fièrement sur ce meuble tout aussi vieux, me demandant bien comment il peut encore tenir debout. Je pourrais briser la glace en faisant référence à ces deux objets, mais ce n’est pas ce que je décide de faire en me retournant pour lui faire face « Comment tu vas ? ». C’est la seule chose que je trouve à dire, une question banale quand il y a bien des choses que l’on a à se dire. Je daigne croiser son regard et ma gorge se serre, me rappelant le dernier échange de regard que nous avons pu avoir… « Je me suis inquiété… » je lance alors « quand j’ai vu les nouvelles aux infos… » Pourtant, je n’ai pas eu le courage de lui envoyer un message. Parce que, finalement, j’ignore tout de son rôle dans cette organisation. Et peut-être était-il préférable que je n’en sache pas plus… Je me retourne alors pour me diriger vers cette vieille babiole, incapable de rester plus longtemps face à lui, comme pour fuir le moment où il faudra parler plus sérieusement « Tu ne t’en ai pas débarrassé encore ? » je fais en attrapant le bibelot, l’examinant de plus près, même si je le connais par cœur. Et puis, dans un soupir alors que je le repose délicatement « je suis désolé… ». Ca finit par sortir malgré tout, sans pour autant me retourner vers lui.
electric bird.
Would you let me see beneath your beautiful, would you let me see beneath your perfect, take it off now boy, i wanna see inside ♛ by wiise
ÂGE : 48 SURNOM : Geo est déjà son pseudonyme. STATUT : Célibataire dur en affaires, bien qu'une jolie blonde occupe une grande partie de son esprit. MÉTIER : Voiturier à l'Emporium Hotel et chauffeur pour le Club. LOGEMENT : Une maison proche de la mer, au 61 Agnes Street. POSTS : 574 POINTS : 30
ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Américain ≈ son vrai prénom est Nel ≈ Cicatrice d’une brûlure au bras droit ≈ Génie rebelle qui a déserté les bancs de l'école ≈ Bosse pour des gangs depuis ses 18 ans ≈ Pilote et voleur de voitures hors pair ≈ A voyagé partout dans le monde ≈ Les quelques personnes à ne pas le vouloir mort recommandent ses services, qui se paient cher ≈ A une mémoire eidétique ≈ A quelques milliers de côté ≈ Chauffeur du Club ≈ Impassible ≈ Éternel célibataire ≈ Réfléchi ≈ Secret ≈ Discret ≈ Observateur ≈ Solitaire, il rêve d'une retraite dorée dans un coin paumé ≈ Arrivé à Brisbane en Juillet 2020.UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : Aᥒdrᥱᥕ ○ Friendship never die. #3 ○ #4
Mιᥲ ○ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side. You will never be alone" ? #2 ○ #4
Erinel ○ Don't kiss me right now, don't tell me that you need me. Don't show up at my house, all caught up in your feelings. Don't run me round and round. Don't build me up just to let me down, just to let me down, down, down. #4
ÂGE : 30 ans, née le 26 mai 1990 SURNOM : Mia c'est suffisamment court non? STATUT : You're the only one in my mind... I want to be close to you even if everything is against us MÉTIER : Journaliste pour le Brisbane Times mais aussi auteur, ayant sorti son premier roman en juillet 2020. LOGEMENT : SPRING HILL, #97 St Pauls Terrace, en colocation avec Knox Baxton, son meilleur ami POSTS : 2052 POINTS : 2385
GENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née & a grandi à Brisbane ∆ Son père est parti lorsqu'elle avait 15 ans ∆ A étudié à Melbourne ∆ A voyagé pendant deux ans ∆ Journaliste, son but ultime est de devenir écrivain & illustratrice ∆ Passionée de surf depuis petite, elle est incapable de remonter sur une planche depuis son accident ∆ UN RP ? : Pas dispo pour le moment. RPs EN COURS :
∆ HE MIGHT BE THE ONE MIALEC #13  + Mitch ≈ Maybe i'm just a fool, i still belong with you, anywhere you are. These minefields that i walk through what i risk to be close to you...
∆ FAMILY JAXIA #8 & DAD #5 & ZOEY #1 ≈ There’s a river full of memory, sleep, my darling, safe and sound, for in this river, all is found , in her waters, deep and true, lie the answers and a path for you.
∆ CLOSEST FRIENDS DANIA #4≈ If you ever find yourself stuck in the middle of the sea, I'll sail the world to find you, If you ever find yourself lost in the dark and you can't see, I'll be the light to guide you
∆ GEOMIA #4 ≈ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side, You will never be alone"
∆ MIASON #2 ≈ This new you, this new dude, don't know him, don't want to, i wish that i still knew, the old him, the old you.
19 février« Disons que je travaille à aller bien ». Son regard est fuyant. C’est la première fois que Geo m’avoue ne pas aller bien. Cela n’est jamais arrivé auparavant et je me rends compte que je suis restée éloignée trop longtemps de lui. La culpabilité me gagne un peu plus, accompagnant les remords que je peux avoir au fond de moi du fait de la virulence de mes paroles lors de notre dernière rencontre. Evidemment, je me dis que j’en suis la cause, du moins en partie. Car je n’ai pas été tendre avec lui et que je sais à quel point cette relation est importante à ses yeux, tout comme elle l’est pour moi. Je me souviens très bien encore de ses paroles, lors de notre dernier échange, où il a dit vouloir se battre pour qu’on ne perde pas ce qu’on avait. Je ne lui ai laissé finalement aucune chance de le faire… Mais en même temps, son mal être est peut-être dû à d’autres raisons que j’ignore totalement… Et, fait rare, je ne sais quoi dire ni comment m’y prendre… pour lui demander pardon… Alors, à la place, je lui avoue m’être inquiétée quand j’ai vu les informations à la télé, la perquisition du Club étant largement relayée par les médias ces derniers jours. Un premier pas en abordant ce sujet délicat, sujet de notre discorde, sujet qui a fait que, lui et moi, nous sommes éloignés. Un premier pas pour lui dire que, même si je ne tolérais pas cette activité dans laquelle il était mêlée, je n’en étais pas venu à le haïr et donc à être totalement indifférente. « Mia… ». Mon prénom sort d’entre ses lèvres, mais aucun autre mot ne vient à la suite. Peut-être n’arrive-t-il pas lui aussi à aborder le sujet. Parce qu’il a certainement peur de ma réaction, peur que je n’explose à nouveau, telle une cocotte-minute en ébullition. Il fait quelques pas et, comme si je n’étais pas prête encore, je me retourne pour observer ses vieux bibelots. Dont un qui a toujours retenu mon attention. A chaque visite, je ne peux m’empêcher de faire un commentaire à son propos. Ce bibelot représentant un cheval dont les couleurs étaient ternes et qui avait cette expression… surprenante. C’est limite si le machin ne me fichait pas les jetons. Je l’analyse, comme si je le découvrais pour la première fois alors qu’il attirait mon attention à chacun de mes passages. Et il y en avait eu. Mon doigt vient caresser l’endroit où la jambe est cassée… Je lui demande alors s’il ne s’en est pas débarrassé encore et il ne me répond pas. Disons, que cette observation n’est en fait qu’un moyen détourné pour ne pas lui faire face quand les mots sont enfin prononcés. Ceux qui peinent à sortir depuis deux mois, ceux que je n’ai pas réussi à prononcer immédiatement en passant le pas de la porte. Je lui dis enfin que je suis désolé, et je ne suis pas certaine que mes mots suffisent pour effacer les blessures certaines que j’ai pu lui causer « C’est moi, qui suis désolé ». Je relève mon regard du bibelot, mais pour autant, je suis incapable de me retourner. Parce que je sens les premières larmes qui veulent remonter à la surface. J’entends qu’il approche davantage, un silence s’installant quelque peu, avant que je ne sente sa main se déposer sur mon épaule. Un frisson parcourt mon dos, surprise par ce geste. Et pourtant, il a le don de me rassurer aussi. Alors, délicatement, je viens déposer le drôle d’objet « Je suis désolé de te causer tant de soucis. De ne pas être celui que tu voudrais que je sois ». Et je me rends compte que mes mots ont bien eu trop de répercussions au point qu’il doute de la personne qu’il est. Alors, enfin j’ai le courage de lui faire face. « Je ne le suis pas encore… Mais j’y travaille. Vraiment. ». Je reste muette, dans l’incapacité de dire quoi que ce soit alors qu’il se met à rire « Tu vas finir par me prendre pour un vieux vinyle rayé … ». Je ris alors doucement à mon tour, baissant mon regard vers le sol puis reprenant le courage d’affronter le sien à nouveau « C’est déjà le cas, depuis longtemps », je réponds alors en souriant. L’humour était plus facile à utiliser, pour détendre un peu l’atmosphère qui était pesante. Je retrouve cependant mon sérieux, mon sourire s’estompant progressivement « Ne dis pas ça… » Et je ne parle pas du fait qu’il soit un vieux vinyle rayé. « Tu as été bien plus que je n’aurai pu imaginer pendant ces cinq dernières années. Jamais je n’aurai pensé, en te rencontrant, que tu aurais une place aussi… importante dans ma vie ». Pas n’importe laquelle, et il le savait « Tu as toujours été là pour moi, même à des milliers de kilomètres. J’ai toujours pu compter sur toi, tu n’as jamais rechigné à m’écouter parler encore et encore, tu n’as jamais rechigné quand je te racontais mes peines de cœur, quand je te faisais part de mes doutes ». La machine est lancée, celle où je lui dis tout ce que j’ai sur le cœur… Tout ce que je n’ai jamais eu le courage de lui dire. Je tends alors une de mes mains pour attraper une des siennes « Tu es bien plus que ce que je voudrais que tu sois. Je ne veux pas que tu changes. Pas pour moi ». Une larme perle alors sur ma joue, mon regard plongé dans le sien « Je suis … désolé » je lance alors une nouvelle fois, ravalant difficilement « Jamais je n’aurai dû avoir de tels mots à ton égard… ».
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ÂGE : 48 SURNOM : Geo est déjà son pseudonyme. STATUT : Célibataire dur en affaires, bien qu'une jolie blonde occupe une grande partie de son esprit. MÉTIER : Voiturier à l'Emporium Hotel et chauffeur pour le Club. LOGEMENT : Une maison proche de la mer, au 61 Agnes Street. POSTS : 574 POINTS : 30
ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Américain ≈ son vrai prénom est Nel ≈ Cicatrice d’une brûlure au bras droit ≈ Génie rebelle qui a déserté les bancs de l'école ≈ Bosse pour des gangs depuis ses 18 ans ≈ Pilote et voleur de voitures hors pair ≈ A voyagé partout dans le monde ≈ Les quelques personnes à ne pas le vouloir mort recommandent ses services, qui se paient cher ≈ A une mémoire eidétique ≈ A quelques milliers de côté ≈ Chauffeur du Club ≈ Impassible ≈ Éternel célibataire ≈ Réfléchi ≈ Secret ≈ Discret ≈ Observateur ≈ Solitaire, il rêve d'une retraite dorée dans un coin paumé ≈ Arrivé à Brisbane en Juillet 2020.UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : Aᥒdrᥱᥕ ○ Friendship never die. #3 ○ #4
Mιᥲ ○ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side. You will never be alone" ? #2 ○ #4
Erinel ○ Don't kiss me right now, don't tell me that you need me. Don't show up at my house, all caught up in your feelings. Don't run me round and round. Don't build me up just to let me down, just to let me down, down, down. #4
ÂGE : 30 ans, née le 26 mai 1990 SURNOM : Mia c'est suffisamment court non? STATUT : You're the only one in my mind... I want to be close to you even if everything is against us MÉTIER : Journaliste pour le Brisbane Times mais aussi auteur, ayant sorti son premier roman en juillet 2020. LOGEMENT : SPRING HILL, #97 St Pauls Terrace, en colocation avec Knox Baxton, son meilleur ami POSTS : 2052 POINTS : 2385
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∆ FAMILY JAXIA #8 & DAD #5 & ZOEY #1 ≈ There’s a river full of memory, sleep, my darling, safe and sound, for in this river, all is found , in her waters, deep and true, lie the answers and a path for you.
∆ CLOSEST FRIENDS DANIA #4≈ If you ever find yourself stuck in the middle of the sea, I'll sail the world to find you, If you ever find yourself lost in the dark and you can't see, I'll be the light to guide you
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∆ MIASON #2 ≈ This new you, this new dude, don't know him, don't want to, i wish that i still knew, the old him, the old you.
Ce moment que j’ai longuement repoussé ces derniers jours, quand j’ai enfin eu le courage de dire à mon père que je l’aimais. Quand j’ai enfin eu le courage de lui dire que je voulais qu’on retrouve ce qu’on avait, cette relation si fusionnelle que nous avions avant son départ. Quand j’ai réussi à laisser ma rancœur de côté et que j’ai enfin accepté qu’il revienne complètement dans ma vie. Parce que les événements des dernières semaines ont été bien trop lourds et qu’il est temps de se rendre à l’évidence avant qu’il ne soit trop tard. Et à quoi bon poursuivre sur le chemin de la rancœur avec Geo quand j’ai décidé aussi d’écouter mon cœur avec Alec. Les deux ont été dans le même bateau, même si la déception est sûrement plus grande pour Geo que je connais depuis cinq ans, quant en contrepartie, je ne connais Alec que depuis quelques mois. Et pourtant, la douleur a été la même quand j’ai découvert qu’ils gardaient tous les deux le même secret. Quand j’ai appris qu’ils étaient liés du fait de leur appartenance commune à ce gang. Et lorsque je les ai vu en venir aux mains, quand leurs mots étaient tout aussi virulents que leurs gestes, ça en avait été trop. Trop, quand deux personnes qui comptent pour vous dévoile un visage tellement différent de celui qu’ils ont choisi de me montrer durant tout ce temps. Trop au point que j’ai décidé de les rayer définitivement de ma vie… en vain.
Pourtant la raison a voulu qu’Alec et moi gardions nos distances… en vain. La raison a voulu que lui et moi nous ne nous donnions jamais la chance de nous retrouver… en vain. La raison a voulu que je n’accepte jamais d’être à ses côtés quand je ne pouvais accepter la personne qu’il était… en vain. Impossible. Impossible de résister quand il est venu quelques jours plus tôt frapper à ma porte, que j’ai pu voir son soulagement lorsque j’ai ouvert cette porte et que ses premiers mots ont été un je t’aime qu’il retenait depuis longtemps. Un je t’aime libérateur autant pour lui que pour moi. Impossible. Impossible de ne pas lui dire en retour quand mon cœur bat bien trop vite en sa présence. Quand je me suis fait autant de souci pour lui après les informations qui tournaient en boucle quelques jours auparavant à propos du Club. J’ai finalement décidé d’accepter cette vie qu’il mène, parce que je ne peux pas me résigner à refuser cette vie à deux.
Alors Geo, celui qui a su être présent pour moi pendant cinq ans, celui qui a toujours su m’écouter, celui qui a toujours tout fait pour me conseiller au mieux malgré la distance. Celui qui n’est pas reparti de Brisbane depuis qu’il s’y est installé, dont la présence me rassure, quand je sais que je peux aller me réfugier chez lui lorsque j’en ai besoin. Geo Caulfield, mon vieux vinyle rayé comme il se surnomme, ne peut pas ne plus faire partie de ma vie. J’ai besoin de lui. Et c’est pour ça que, ce soir, j’ai pris le courage d’aller lui parler. Et voilà pourquoi je me retrouve à lui dire tout ce que j’ai sur le cœur, tout comme j’ai le courage de m’excuser quand je sais que mes mots l’ont blessé… « Ce n’est pas de ta faute ». Je relève le regard sur lui quand il estime que je n’ai rien à me reprocher. Pourtant, je m’en veux d’avoir eu de tels mots à son égard « C’est terminé ». Aussi simple que ça, il est catégorique. Il semble ne plus vouloir en entendre parler, comme il ne semble plus vouloir revenir dessus. « Je t’ai fais vivre quelque chose d’horrible. Je m’en veux énormément. Parce que… ». Là encore, mon regard vient à chercher le sien, comme je cherche la fin de cette phrase qui peine à sortir « Peut-être que rien ne sera plus comme avant ». Mes épaules tombent légèrement quand ses mots me rappellent les miens à l’égard de mon père quelques jours plus tôt. Quand je lui ai fait part de ma crainte que plus rien ne redeviendra comme avant, brisé par les années et ce départ qui m’avait détruite. Pourtant, devant Geo, ma tête se tourne de gauche à droite doucement, ne voulant pas y croire, refusant que les choses puissent changer entre nous « Rien ne changera, Geo…». J’ai espoir que notre lien reste inchangé malgré cette vérité, malgré cette dispute, malgré ces mots dits bien trop rapidement. « Mais du moment que tu es à mes côtés, cette vie me convient ». Cela me touche, je n’arrive pas à capter son regard derrière ses mèches de cheveux. Alors, à défaut, ma main serre davantage la sienne « Et du moment que tu reste à mes côtés aussi, c’est tout ce qui compte ». Parce que je ne veux pas le voir partir, je ne veux pas qui lui arrive quelque chose quand je sais aussi que la vie qu’il mène est dangereuse. Tout comme elle l’est pour Alec. J’essuie une larme qui s’écoule encore le long de ma joue alors qu’un silence s’installe. Celui-ci sera interrompu par les bruits de pas de Geo qui me contourne pour se rendre dans la cuisine. Les excuses sont passées, l’explication aussi, et visiblement, il veut passer vite à autre chose. Pour ne pas affronter davantage cette vérité, pour éviter de dévoiler ce qu’il ressent. Parce que c’est ainsi qu’il est…
« Est-ce que je peux te servir quelque chose ? J’ai un excellent Coca-Cola de 2020. Excellente cuvée ». Un sourire apparait à nouveau sur mes lèvres alors que je le rejoins d’un pas lent et léger. « Ça ira très bien ». Je le regarde s’afférer alors qu’il nous sert deux verres, posant mes avant-bras sur le comptoir, en les croisant pour prendre légèrement appui. « Tu as quelque chose de prévu, ce soir ? ». Je dois retrouver Alec chez lui, mais ça, je me retiendrai de le lui dire. Car, même si les rapports entre les deux hommes se sont peut-être améliorés depuis ce soir-là dans cette ruelle, je ne sais pas qu’elle sera l’opinion de Geo sur cette relation avec Alec. « Non, je n’ai rien de prévu », fais-je alors, tentant de garder cet air crédible. Parce que je ne m’attendais pas à ce que cette question soit accompagnée des mots suivants « Je me disais que peut-être, on pourrait manger un morceau, tous les deux ». Je reste neutre, n’affichant ni mon accord ni mon désaccord à cette invitation. Et peut-être que c’est à cause de cela que Geo poursuit aussitôt « Enfin, si cela te dit. On peut aussi faire ça… Plus tard ». Un sourire commence à apparaitre sur mon visage, le genre amusé, peut-être un brin moqueur « Désolé, je… Je suis heureux, que tu sois là, petite ». Et ce mot me procure un petit pincement au cœur, ce qui fait que je reste, un petit moment, silencieuse, l’observant. Et puis, je daigne enfin lui répondre « J’ai faim, et j’ai cru que tu n’allais jamais me le proposer ». Parce que je ne vois pas pourquoi nous remettrions à plus tard la possibilité de passer du temps ensemble quand nous en avions déjà suffisamment perdu. J’attrape le verre qu’il me tend et vint trinquer dans le sien « Et je suis heureuse aussi de te retrouver. Tu m’as manqué » fais-je accompagné d’un sourire et d’un clin d’œil avant de porter le verre à mes lèvres pour en boire une gorgée.
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ÂGE : 48 SURNOM : Geo est déjà son pseudonyme. STATUT : Célibataire dur en affaires, bien qu'une jolie blonde occupe une grande partie de son esprit. MÉTIER : Voiturier à l'Emporium Hotel et chauffeur pour le Club. LOGEMENT : Une maison proche de la mer, au 61 Agnes Street. POSTS : 574 POINTS : 30
ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Américain ≈ son vrai prénom est Nel ≈ Cicatrice d’une brûlure au bras droit ≈ Génie rebelle qui a déserté les bancs de l'école ≈ Bosse pour des gangs depuis ses 18 ans ≈ Pilote et voleur de voitures hors pair ≈ A voyagé partout dans le monde ≈ Les quelques personnes à ne pas le vouloir mort recommandent ses services, qui se paient cher ≈ A une mémoire eidétique ≈ A quelques milliers de côté ≈ Chauffeur du Club ≈ Impassible ≈ Éternel célibataire ≈ Réfléchi ≈ Secret ≈ Discret ≈ Observateur ≈ Solitaire, il rêve d'une retraite dorée dans un coin paumé ≈ Arrivé à Brisbane en Juillet 2020.UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : Aᥒdrᥱᥕ ○ Friendship never die. #3 ○ #4
Mιᥲ ○ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side. You will never be alone" ? #2 ○ #4
Erinel ○ Don't kiss me right now, don't tell me that you need me. Don't show up at my house, all caught up in your feelings. Don't run me round and round. Don't build me up just to let me down, just to let me down, down, down. #4
ÂGE : 30 ans, née le 26 mai 1990 SURNOM : Mia c'est suffisamment court non? STATUT : You're the only one in my mind... I want to be close to you even if everything is against us MÉTIER : Journaliste pour le Brisbane Times mais aussi auteur, ayant sorti son premier roman en juillet 2020. LOGEMENT : SPRING HILL, #97 St Pauls Terrace, en colocation avec Knox Baxton, son meilleur ami POSTS : 2052 POINTS : 2385
GENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née & a grandi à Brisbane ∆ Son père est parti lorsqu'elle avait 15 ans ∆ A étudié à Melbourne ∆ A voyagé pendant deux ans ∆ Journaliste, son but ultime est de devenir écrivain & illustratrice ∆ Passionée de surf depuis petite, elle est incapable de remonter sur une planche depuis son accident ∆ UN RP ? : Pas dispo pour le moment. RPs EN COURS :
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∆ MIASON #2 ≈ This new you, this new dude, don't know him, don't want to, i wish that i still knew, the old him, the old you.
« Fantastique ». Un sourire amusé s’affiche sur mes lèvres quand j’entends et peut lire la réaction de Geo sur son visage, en acceptant de rester dîner avec lui ce soir. Une réaction à laquelle je ne suis pas habituée de sa part et d’ailleurs, ses joues finissent par rougir un peu quand il s’en rend compte. Je viens à le fixer, avec cet air légèrement moqueur, mais aussi une certaine bienveillance. Parce que je suis heureuse de le retrouver, heureuse de le voir sourire quand j’ai eu des mots virulents à son égard, ce que je regrette. Je l’observe se réfugier dans son frigo, comme pour dissimuler sa joie. Je n’ajoute rien, restant silencieuse, jusqu’à ce qu’il vienne trinquer avec moi et que je lui dise que je suis contente de le retrouver et surtout, lui dire qu’il m’a manqué. Depuis fin novembre, son absence dans ma vie n’a pas été des plus évidentes, bien que j’aie tenté de mettre ce manque de côté. Pas évidente quand j’aurai aimé venir lui rendre visite les soirs où je me suis retrouvée seule lorsque Knox avait quitté l’appartement, pas évidente lorsque que j’ai passé la nuit avec Alec, le soir du bal, et que j’ai fui le lendemain matin. J’aurai aimé avoir son avis à ce sujet, qu’il me guide, qu’il me dise quoi faire quand, malgré tout, les sentiments pour le jeune homme étaient bien trop fort. Tout comme j’aurai aimé l’appeler lorsque mon père a découvert la vérité à propos de Jax… Bref, mon téléphone a souvent valsé sur la table basse ou sur le canapé quand je me résignais à ne pas l’appeler, à ne pas céder. Parce que je me sentais trahi malgré tout, parce que j’avais suffisamment connu de déception et que la sienne était celle de trop. Mais, depuis novembre, les choses se sont tassées et surtout, je me sens prêtre à accepter qui il est quand, quelques jours plus tôt, j’ai accepté qui était Alec. « Toi aussi, tu m’as manquée ». Je souris, n’ajoute rien, mon regard pétillant de le retrouver, mon regard apaisé aussi quand les choses reprennent peu à peu leur place, s’apaisant enfin en ce mois de février…
« Je suis passé devant une librairie, cette semaine, en allant faire une course ». « Je suppose que tu n’y as pas mis les pieds pour autant ? » je le taquine alors qu’il se dirige vers son réfrigérateur à nouveau pour en sortir des légumes. Il y a un certain étonnement sur mon visage quand je le vois faire, ne m’imaginant pas vraiment Geo en chef cuisto. Il commence pourtant à découper ses légumes, je le regarde faire tout en l’écoutant « En vitrine, il y avait un nouveau livre pour enfant, avec un énorme lapin en couverture ». Une de mes mains vient d’ailleurs prendre un bout de carottes découpé que je mets immédiatement dans ma bouche, l’air innocent « Je l’ai trouvé horrible. Je suis persuadé que tu aurais fait quelque chose d’incroyable. Si tu veux mon avis, ce lapin va tout juste être bon à effrayer toute une génération ». Je laisse échapper un sourire franc avant de reprendre un deuxième bout de carottes « Avoue que tu en a fais des cauchemars depuis ? Je suis persuadée que ce lapin n’était pas si horrible que ça, les enfants doivent être moins froussards que toi, tu es le seul en avoir eu peur ». J’aime cette complicité immédiatement retrouvée, celle où je ne peux m’empêcher de le taquiner à tout bout de champ, celle que nous avons toujours eu, qui me rappelle de bons souvenirs, ceux que nous avions eu au bout du fil ou encore plus récent, notamment lors de notre virée en moto en juillet dernier. Je me lève alors pour aller récupérer mon carnet dans mon sac à dos, mon crayon et vient le rejoindre à nouveau dans la cuisine, m’asseyant sur un tabouret face à lui. « Je vais t’en faire un tout mignon pour apaiser tes nuits », je lance alors l’air rieur. Mon crayon vient alors caresser la feuille de papier blanche pour commencer à esquisser les formes d’un joli petit lapin. « Tu as trouvé un nom pour le bon petit plat que tu nous concoctes ? ». Pour être plusieurs fois venu chez lui, je me souviens très bien que nos repas se résumaient bien souvent à des pizzas, burgers ou sushis livrés par Uber Eat. Là encore, je ne peux m’empêcher de le taquiner « Tu fais de l’ombre à notre livreur attitré, je ne suis pas sûr qu’il soit ravi d’apprendre que tu t’es mis à cuisiner ». Je lève le nez de mon carnet pour lui lancer un clin d’œil avant de me reconcentrer sur mon croquis. Mon air revient un petit peu plus sérieux après un petit instant de silence… « Qu’est-ce qu’il va se passer pour toi maintenant ? » je demande alors, sans rien ajouter de plus. Je parle évidemment de son futur dans le gang, quand je sais que celui-ci n’est pas tombé, qu’il y a eu tout ce coup monté uniquement pour faire tomber le chef du Club, et que les clés de ce dernier revienne dans les mains d’une autre personne.
electric bird.
Would you let me see beneath your beautiful, would you let me see beneath your perfect, take it off now boy, i wanna see inside ♛ by wiise
ÂGE : 48 SURNOM : Geo est déjà son pseudonyme. STATUT : Célibataire dur en affaires, bien qu'une jolie blonde occupe une grande partie de son esprit. MÉTIER : Voiturier à l'Emporium Hotel et chauffeur pour le Club. LOGEMENT : Une maison proche de la mer, au 61 Agnes Street. POSTS : 574 POINTS : 30
ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Américain ≈ son vrai prénom est Nel ≈ Cicatrice d’une brûlure au bras droit ≈ Génie rebelle qui a déserté les bancs de l'école ≈ Bosse pour des gangs depuis ses 18 ans ≈ Pilote et voleur de voitures hors pair ≈ A voyagé partout dans le monde ≈ Les quelques personnes à ne pas le vouloir mort recommandent ses services, qui se paient cher ≈ A une mémoire eidétique ≈ A quelques milliers de côté ≈ Chauffeur du Club ≈ Impassible ≈ Éternel célibataire ≈ Réfléchi ≈ Secret ≈ Discret ≈ Observateur ≈ Solitaire, il rêve d'une retraite dorée dans un coin paumé ≈ Arrivé à Brisbane en Juillet 2020.UN RP ? : Où tu veux quand tu veux. RPs EN COURS : Aᥒdrᥱᥕ ○ Friendship never die. #3 ○ #4
Mιᥲ ○ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side. You will never be alone" ? #2 ○ #4
Erinel ○ Don't kiss me right now, don't tell me that you need me. Don't show up at my house, all caught up in your feelings. Don't run me round and round. Don't build me up just to let me down, just to let me down, down, down. #4
ÂGE : 30 ans, née le 26 mai 1990 SURNOM : Mia c'est suffisamment court non? STATUT : You're the only one in my mind... I want to be close to you even if everything is against us MÉTIER : Journaliste pour le Brisbane Times mais aussi auteur, ayant sorti son premier roman en juillet 2020. LOGEMENT : SPRING HILL, #97 St Pauls Terrace, en colocation avec Knox Baxton, son meilleur ami POSTS : 2052 POINTS : 2385
GENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née & a grandi à Brisbane ∆ Son père est parti lorsqu'elle avait 15 ans ∆ A étudié à Melbourne ∆ A voyagé pendant deux ans ∆ Journaliste, son but ultime est de devenir écrivain & illustratrice ∆ Passionée de surf depuis petite, elle est incapable de remonter sur une planche depuis son accident ∆ UN RP ? : Pas dispo pour le moment. RPs EN COURS :
∆ HE MIGHT BE THE ONE MIALEC #13  + Mitch ≈ Maybe i'm just a fool, i still belong with you, anywhere you are. These minefields that i walk through what i risk to be close to you...
∆ FAMILY JAXIA #8 & DAD #5 & ZOEY #1 ≈ There’s a river full of memory, sleep, my darling, safe and sound, for in this river, all is found , in her waters, deep and true, lie the answers and a path for you.
∆ CLOSEST FRIENDS DANIA #4≈ If you ever find yourself stuck in the middle of the sea, I'll sail the world to find you, If you ever find yourself lost in the dark and you can't see, I'll be the light to guide you
∆ GEOMIA #4 ≈ Remember when I told you "No matter where I go, I'll never leave your side, You will never be alone"
∆ MIASON #2 ≈ This new you, this new dude, don't know him, don't want to, i wish that i still knew, the old him, the old you.
La simplicité avec laquelle les éléments reprennent leur place est presque déconcertante. Une heure plus tôt, ce lien si particulier qui nous unissait, jusqu’à ce soir de novembre, Geo et moi, était réduit à néant. Lorsque sa porte s’est ouverte, c’est l’espoir que quelque chose puisse être sauvé qui s’est profilé. Lorsque j’ai finalement fait ce pas en avant, en passant le pas de la porte, il y a eu ces quelques mots échangés, ces regrets d’un côté comme de l’autre. Et puis, comme par enchantement, tout a fini par reprendre très vite sa place : une discussion banale, des plaisanteries et des vannes par ci par là. Comme si rien ne s’était passé. Déconcertant, certes, mais peut-être que cela peut s’expliquer parce que ce lien est ce qu’il est. Geo, malgré tout, a une place inestimable dans ma vie et mon cœur depuis plus de cinq ans. Rester éloignée de lui ces derniers mois n’a pas été facile. Et le fait de pouvoir renouer, de pouvoir être à ses côtés à nouveau, de passer un petit moment comme nombreux nous en avons passé déjà ensemble depuis son arrivée sur Brisbane, est rassurant. Et cette alchimie reprend toute sa place, tout ses droits quand je suis assise face à lui, sur ce tabouret.
Une alchimie qui me pousse à reprendre ce côté taquin que j’ai toujours eu avec lui, le vannant à la moindre occasion. Il me parle de cette librairie devant laquelle il est passé et dans laquelle je suppose qu’il n’a pas mis les pieds « Ha-ha ». Son sarcasme me fait sourire, quand j’ai cet air encore malicieux fièrement affiché. « Tu dis ça parce que tu ne l’as pas vu, j’en suis sûr ». « Pense à prendre une photo la prochaine fois. Ou alors, j’irai à la librairie demain matin pour constater ça par moi-même ». Je lui lance un clin d’œil alors que je me lève pour aller récupérer mon petit carnet dans mon sac resté à l’entrée. Au final, son commentaire sur ce lapin semble-t-il hideux qu’il a entrevue en vitrine était un moyen de me complimenter sur mes talents de dessinatrice. Tout ce que je trouve à faire au final, c’est de me moquer de lui au lieu d’être reconnaissante envers ce compliment quand il me juge plus apte que l’artiste qui avait dépeint ce lapin de l’horreur. Je poursuis sur ma lancée pourtant, lui proposant de lui dessiner l’animal pour lui éviter des cauchemars « Je reviens sur ce que j’ai dit… Je ne suis pas certain de vouloir un lapin sur ma table de chevet » « Tu vas l’adorer, je te le promets ». Je ris doucement sans quitter ma feuille des yeux alors qu’il s’active pour nous préparer le repas. « « Cuisses de poulet aux carottes et pommes de terre ». T’en penses quoi ? ». Je relève mon regard sur le plat en question, puis sur Geo « Le nom est très original, je n’y aurais pas du tout pensé ». Je lève les yeux au ciel, non sans sourire. Je me permets un commentaire sur cette nouvelle passion que semble être la cuisine, et reçoit pour la peine une petite tape sur le nez avec son torchon, ce qui me fait grimacer « T’es juste jalouse de pas savoir cuisiner comme ça, mais ne t’en fais pas, je pourrais t’apprendre » Je ris, me moquant encore et toujours « C’est sûrement ça oui ».
Il y a ce petit moment de silence qui s’installe, quand il glisse ce plat dans le four et que je continue à esquisser ce lapin dans mon carnet. Il m’observe faire un petit moment et je viens à interrompre ce silence pour lui demander ce qu’il aller se passer pour lui désormais « Je vais nous cuire un super dîner ». Je me stoppe dans mon geste, ne relevant pas totalement le regard, un sourire apparaissant tout de même sur mes lèvres. Il sait très bien de quoi je parle, je comprends qu’il dit ça sûrement parce qu’il ne doit pas être enchanté d’en parler. Mais j’ai besoin de savoir, si lui aussi compte poursuivre son chemin avec le Club ou a pris la décision de le quitter. De savoir quel rôle il peut avoir dans l’organisation quand, finalement, je ne l’ai jamais su. « Je n’en sais rien ». Je relève alors mon regard sur lui et n’ajoute rien. Je sais que les événements sont récents, que ce chamboulement l’est tout autant et que, pour le moment, le Club essaye de se reconstruire. J’acquiesce machinalement alors qu’il ferme la porte du four « Mia… J’aimerai te montrer quelque chose ». Il y a un petit moment d’hésitation, peut-être parce que je suis intriguée par ce qu’il a à me montrer, puis finit par déposer délicatement mon crayon sur mon carnet encore ouvert. Je le suis alors qu’il se dirige vers son salon, restant un peu distante quand lui vient à attraper ce cadre posé sur la bibliothèque. Je fais un pas de plus, regardant celui-ci, me rendant compte que sur cette photo, j’y étais. Elle me replonge dans ce souvenir de juillet, lors de son arrivée et qu’il m’a fait passer une journée juste merveilleuse. Une de celle où je me suis sentie toute la journée en présence d’un père, celui qui avait tout organisé avec minutie pour faire plaisir à sa fille. Celui qui avait tant de choses à lui montrer, à lui faire découvrir, que le temps avait paru insuffisamment long. Une journée où il m’a appris à conduire une moto et où il m’a aussi montré quelques talents cachés, comme celui de danseur. A son niveau, mais danseur quand même. Alors, en repensant à cette journée-là, un sourire se dessine sur mon visage. Mais la mine de Geo est tout autre, et la mienne redevient vite sérieuse, presque inquiète. « On sait tous les deux que je ne suis pas un exemple de droiture. Mais je n’ai qu’une parole ». Je vois qu’il sort quelque chose de sa poche après avoir reposé le cadre sur l’étagère. Je m’avance un peu plus pour le rejoindre « C’est un premier pas. Je ne pensais pas que ça serait si difficile. Mais ce jeton témoigne de ma sobriété depuis quatorze jours ». Mes yeux fixent alors ce jeton bleu qu’il tient dans sa main. Un long moment, comme dans un besoin de réaliser ce qu’il représente. Mon regard ne quitte celui-ci que lorsqu’il vient à refermer sa main dessus. « Je suis désolé de te l’avouer ainsi. Je ne veux pas que tu t’apitoies. Je vais bien, maintenant. Je vais mieux ». Il décèlera non sans mal de la culpabilité dans mon regard. Parce que, ce qu’il est entrain de m’avouer, me replonge quelques semaines en arrière quand je n’ai pas su déceler la détresse d’un ami qui avait le même problème. Quand je n’ai pas été suffisamment présente pour lui pour l’aider et qu’il a failli perdre la vie. Pire, je n’ai fait que l’enfoncer, lui disant des abominations… Les mêmes que j’ai pu dire au mois de décembre à Geo quand il a tenté de renouer contact, de venir demander pardon ou du moins, de m’expliquer son choix de vie. Je lui ai tourné le dos à lui aussi. Je m’en veux. A ce moment-là, j’ai l’impression de l’avoir laissé tomber lui aussi, ayant totalement ignoré à quel point il allait mal… Alors, des larmes viennent prendre place dans mes yeux, sans pour autant s’échapper. J’en reste muette. « Je ne sais pas encore de quoi demain sera fait. Je tâche d’avancer, un jour à la fois ». Ma main vient alors attraper celle qui serre encore ce jeton bleu dans son creux « Je suis désolé, Geo ». Je réhausse mon regard pour trouver le sien cette fois « Je suis contente de savoir que tu vas mieux… Que tu arrives petit à petit à t’en sortir… ». Je marque une pause, ravalant difficilement « Mais… je m’en veux de ne pas avoir été là pour toi. Je n’étais… même pas au courant que tu allais… mal ! ». Il y a une certaine colère dans ma voix, légère qu’il peut entendre, totalement dirigée contre moi-même. Je relâche sa main, lui tournant le dos pour essuyer les quelques larmes qui font leur petit bout de chemin sur mes joues. Je prends une inspiration et vient à lui refaire face « Maintenant que je suis là, je ne te laisserai pas Geo… Je t’aiderai à t’en sortir. Si tu veux que je sois à tes côtés… » Parce que j’ai de plus en plus la sensation de ne pas mériter ma place quand je sais, au fond, qu’il a surement sombré à partir du moment où j’ai décidé de lui tourner le dos…
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