ÂGE : 24 ans (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix STATUT : Célibataire, pourquoi perdre son temps à se poser quand on peut papillonner à sa guise ? MÉTIER : Elle a obtenu son Bachelor’s Degree en Biologie fin 2022, mais qu'est-ce que vous voulez qu'elle fasse de ça maintenant ? Toujours pas foutue de dire à sa famille qu'il n'y a que le maquillage qui la passionne, et qu'elle ne compte absolument pas reprendre ses études. Toujours employée au Twelve Happy Spectators (Fortitude Valley) depuis septembre 2021, c'est au moins ça qui tient la route. LOGEMENT : Depuis janvier 2022, #32 Parkland Boulevard, Spring Hill, dans une belle maison où ils ne sont plus que quatre (sa mère, Cesar, Alejandro et elle), Maria les ayant quitté le 1er octobre POSTS : 2851 POINTS : 1570
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Quatrième d'une fratrie de 7 : la famille avant tout, même quand ils lui donnent envie de s'arracher les cheveux • Incapable de faire le deuil de sa petite sœur partie en octobre, ne se le permet pas non plus • Les soirées comme échappatoires, avec tous les vices qui vont avec • 3 réorientations et un Bachelor de biologie arraché aux rattrapages pour finalement ne pas vouloir s'en servir • Voudrait faire du maquillage son métier mais ment par peur de décevoir ses parentsCODE COULEUR : Sara gaffe en DD33AA RPs EN COURS : (23/∞)
(#) Sujet: Time to sing ♦ Bilara Ven 12 Aoû 2022 - 7:21
Time to sing
@Billie Redfield & Sara Gutiérrez Fin août 2022, karaoké de Fortitude Valley
Assise seule à une table, sirotant son cocktail tout en matant presque – comprendre : elle le mate mais elle essaye d'être discrète – un charmant brun installé un peu plus loin dans la salle, Sara jette un coup d'œil à son téléphone posé à côté de son verre. 22h27. Plus que trois minutes. Comme si la Gutiérrez pouvait se permettre de jouer les horloges parlantes alors qu'elle est la reine du retard en toute circonstance. Quelle idée elle a eu aussi de venir en avance ? Maintenant elle a envie d'aller taper la discut' au beau gosse au lieu d'attendre sagement l'arrivée de son amie. La vérité c'est que s'il n'était pas accompagné d'un groupe de personnes qu'elle suppose être sa famille – ou alors il a des potes de trente ans de plus que lui, et grand bien lui fasse –, elle aurait déjà débarqué à sa table le temps que Billie pointe le bout de son nez.
Et en parlant du loup, qui voilà ? « Billie ! » s'écrit la Gutiérrez lorsqu'elle reconnaît la tignasse rousse qui vient d'entrer dans le karaoké. Un grand sourire aux lèvres, elle se lève et vient l'enlacer pour la saluer. « J'ai l'impression que ça fait un bail putain ! » Cela dit, avec son rythme de vie très bordélique partagé entre cours de biologie, boulot au cinéma et soirées jusqu'au bout de la nuit, Sara n'est clairement pas une référence en terme de perception du temps qui passe. Récupérant son téléphone sur la table, elle le glisse dans son sac à main puis relève la tête vers Billie. « Tu sais ce que tu veux prendre ? Moi j'suis sur un tequila sunrise, » ajoute-t-elle en récupérant justement sa boisson pour la porter à ses lèvres. C'est son deuxième verre, en réalité. Elle s'en lassera jamais, de ce cocktail – elle ne se lasse pas des cocktails en général, Sara, voire de l'alcool tout court, au grand dam de sa fratrie qui a peur qu'elle finisse alcoolique avant ses vingt-cinq ans. « T'as envie de chanter quoi ce soir ? » Quoi que la Redfield propose, la brune sera partante, après tout tant qu'elle peut chanter elle kiffe. Même si ce n'est un kiff pour les oreilles de personne, qu'importe, après tout c'est le but d'un karaoké de s'éclater même si on chante mal – comme sous la douche.
« Quoi de neuf ? » demande finalement Sara, une fois les formalités liées au karaoké réglées. Comme d'habitude, elles iront faire vibrer leurs cordes vocales en rythme lorsqu'elles auront après un verre ou deux. Ça fera trois ou quatre pour Sara, du fait de son avance, mais qu'importe, la brune tient bien l'alcool. Elle ne serait pas arrivée si tôt si elle n'avait pas fini de bosser au cinéma plus tard que prévu, l'empêchant de faire un crochet par chez elle avant de venir ici. Mais bon Rosemary est tellement sympa en ce qui concerne tout le reste qu'elle pouvait bien lui rendre service ce soir et s'occuper du bar et de la caisse un peu plus longtemps.
(c) Miss Pie Haut : childrenoflight-darkness-nothing & inmyheadlayouts Bas : femaleheroes & c4bellos
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Billie Redfield
la justicière solitaire
ÂGE : 29 ans (09.08.1994) SURNOM : The Kid (comme Billy, voyez) STATUT : En couple. Avec le grand mec là, qui me trouve pas reloue : O.D. MÉTIER : Enquêtrice à la criminelle + quelques petites notions de 'profilage' LOGEMENT : Une maison avec Olly' au #122 Third Avenue, Logan City POSTS : 395 POINTS : 60
TW IN RP : alcool - blessure par balle - scènes érotiques - cigarette - mots crus TW IRL : scènes trop graphiques - violences animalesGENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : fille unique du défunt Christopher Redfield ; sait poser des bombes et les faire exploser avec art (c'est une image, hein.) ; une mère aux abonnées absentes ; spécialiste de malbouffe et du gras ; intérêt (certain et futur) pour la culture MaoriCODE COULEUR : Je vous engueule souvent en #7FC6BC RPs EN COURS : BOLLY.I think it was obvious. A cruel fact. I don't know what I can mean to you, but there's one thing I'm sure of. It's you I want and no one else.
(bolly#8) ;
Les abysses : (alia) ; (diego) ; (mara) ; (muhan) ; (lexie) ; (eiji)AVATAR : Morgan Crabtree DC : Faust Wheeler INSCRIT LE : 05/06/2022
(#) Sujet: Re: Time to sing ♦ Bilara Mer 7 Sep 2022 - 20:30
Time to sing
Ça fait un petit temps que je suis sortie de mon apathie, maintenant. Que j’ai réussi à m’extirper du coma et que j’ai retrouvé Oliver Dawson. Depuis, je crois qu’on se lâche plus. Que même, on veut plus se lâcher. Parce que ça nous a fait un bien fou de nous retrouver et que pendant mon long sommeil, bah j’ai su qu’il était là. À mon chevet. Et, je me doute que ça a pas du être la meilleure des choses pour lui. Que moi, si j’avais été à sa place, c’est bien simple, j’aurais pété carrément les plombs. Parce que plus voir mon binôme, hors de question d’en arriver à cette extrême-là. Du coup, bah il m’est difficile, -c’est indépendant de ma volonté hein-, de le lâcher.
Mais, je dois me resociabiliser. Depuis l’accident. Depuis la balle. Ces belles paroles, je les dois à ma psy, même si je suis hyper fatiguée quand je vais la voir. Mais, l’admettre, j’aime pas. Parce que, c’est avouer ma faiblesse : celle d’attendre de me requinquer pleinement pour retourner sur le terrain. Et que, tourner comme une lionne en cage dans mon appart’, c’est plus possible. Je possède la crinière, mais je veux pas être assimilée à plus. Alors, pour renouer avec mes racines, j’ai décidé d’aller pousser la chansonnette. De donner de ma voix. Avec une nana brune et pétillante, que j’adore. Car on a la même passion. Et, c’est d’ailleurs là qu’on s’est trouvées : le KARAOKÉ. J’ai bien voulu y trimballer Olly’, mais il rechigne toujours à me suivre. Peut-être qu’il a peur, -et il devrait-, que je lui mette entre les mains, le précieux graal.
Or, c’est bien seule que je me rends au karaoké. Il est pas loin de chez moi, il est dans mon quartier et ça m’arrange. Je vais être bien moins crevée et sur les rotules et comme ça, je vais pas trop inquiéter mon partenaire. Mais, faut bien que je prenne l’air. Sinon, je me connais : je vais étouffer ou imploser et ça, ça va pas être très beau à voir. Vêtue d’une robe vert kaki et de hauts talons noirs, -seuls artifices que je me permets lors de mes soirées placées sous le signe de la chanson-, c’est comme ça que je me permets de faire mon apparition. Avec aucune idée de l’heure. Car, en plein après-midi, comme si j’ai pas dormi assez de toute la journée, -la vieille larve ici-, j’ai fait une sieste. Et, c’est sûrement en retard que je me suis préparée. J’en suis sûre et certaine. Surtout quand je vois la brune déjà attablée, avec un verre devant elle.
La brune en question, c’est Sara Gutiérrez. Et, elle m’attend. Oupsie.
- Pardon pour le retard. Que je m’excuse en prenant place en face d’elle, accrochant la lanière de mon sac doré, à ma chaise. Sara, ouais, ça fait un bail. J’ai répondu à son étreinte de salut, par une puissante. Malgré la petite grimace imperceptible que j’ai pu avoir. Parce que ça a appuyé manifestement sur ma blessure et que j’en ai rien à foutre, là. Sa présence, elle me met du baume au cœur. Je vais partir sur la même chose que toi, avec un verre d’eau.
Les anti-douleurs avec l’alcool, ça a jamais fait bon ménage. Mais aujourd’hui, ça va. Et puis de toute façon, j’aime pas tout ça. Tout ce qui endort le cerveau. C’est pas ma came. Même si j’ai mal, je préfère douiller plutôt que d’oublier que je douille. C’est con hein ? Mais, c’est comme ça. Et, la brune qui me demande ce que j’ai envie de chanter ce soir ? Avec un rire et un secouage massif de mes boucles rousses, moi, j’opte toujours pour le catalogue des eighties. Ou de bons vieux groupes de rock, que parfois, le public il connait même pas. J’ai mes classiques. Avec la déesse Pat Benatar en tête. Et ma chanson préférée d’elle, bah je l’ai entonnée devant celui qui a le statut de petit ami, maintenant.
- Moi ? Je change clairement pas une équipe qui gagne. Soit, un vieux tube des eighties. Soit un tube de rock. Ou un mix des deux ? Que je lui demande avec un large sourire entendu alors que le serveur glisse devant moi, les deux verres que j’ai demandés. Buvant une gorgée, je m’attends à sa question. Parce qu’avec toute cette merde, ça fait un petit moment qu’on s’est pas vues. Eh bien. Ça doit faire genre même pas cinq jours, que je suis sortie du coma. Cash pistache, ici. On se refait pas. Et toi ? Après avoir lâché ma bombe, j’attends que la sienne soit un peu moins fat.
C’est tout moi ça : de lancer les pires des nouvelles avec toute ma désinvolture.
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Dernière édition par Billie Redfield le Ven 10 Mar 2023 - 14:48, édité 1 fois
Sara Gutiérrez
le cœur de la fête
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TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Quatrième d'une fratrie de 7 : la famille avant tout, même quand ils lui donnent envie de s'arracher les cheveux • Incapable de faire le deuil de sa petite sœur partie en octobre, ne se le permet pas non plus • Les soirées comme échappatoires, avec tous les vices qui vont avec • 3 réorientations et un Bachelor de biologie arraché aux rattrapages pour finalement ne pas vouloir s'en servir • Voudrait faire du maquillage son métier mais ment par peur de décevoir ses parentsCODE COULEUR : Sara gaffe en DD33AA RPs EN COURS : (23/∞)
(#) Sujet: Re: Time to sing ♦ Bilara Sam 24 Sep 2022 - 1:10
Time to sing
@Billie Redfield & Sara Gutiérrez Fin août 2022, karaoké de Fortitude Valley
Connue pour être une grande retardataire – paraît qu'ils devraient lui donner un diplôme à force, enfin c'est ce que lui a sorti Cesar elle-ne-sait-plus-quand –, Sara serait bien mal placée pour reprocher à son amie de l'être ce soir. La vérité, c'est qu'elle se fout bien que Billie arrive dix minutes après l'heure convenue. Elle voudrait juste qu'elle ne lui foute pas un lapin, sous peine de quoi la brune finira son verre d'une traitre et ira se saouler dans le premier bar qu'elle croise en flirtant avec un inconnu à belle gueule – et qui s'avèrera être un connard, sans doute. Elle a vraiment besoin de se détendre, et cette soirée est là pour ça. Pour qu'elle ne pense pas à ses relations fraternelles qui explosent les une après les autres, et à tout le reste – la thune qui manque, le traitement arrêté de Maria, la fatigue de Maritza, les cris à la maison. Ouais, ce soir elle veut juste oublier et ne plus se prendre la tête avec tout ça, comme souvent. Le déni c'est tellement plus simple.
C'est la voix de son amie qui la sort de sa contemplation d'une table non loin – comprendre : du jeune homme qui y est installé –, lui faisant relever la tête. À la vue de cette crinière rousse si reconnaissable, aussitôt elle affiche un sourire. « Pardon pour le retard. » La Gutiérrez secoue légèrement la tête de gauche à droite, l'air de dire que ce n'est rien. « T'inquiète. » Ce qu'elle ne précise pas car ce serait trop beauf, c'est qu'elle en a profité pour bien se rincer l'œil. Elle a bien choisi leur table, la Gutiérrez : y a une super vue – oh bordel, ça c'était super beauf. « Sara, ouais, ça fait un bail. » Sara l'enlace rapidement, sentant que son amie y met plus de force qu'elle en réponse. C'est pas la première fois. Elle s'est toujours dit que c'était un truc de flic, ça : le besoin de prouver qu'on a plus de muscles, plus de puissance que les autres. Les mecs qui vont à la salle font sans doute ça aussi, et grand bien leur fasse tant qu'ils ne lui pètent pas un os pour une simple accolade.
À peine son amie l'a rejointe que Sara lui demande ce qu'elle veut boire. C'est important de s'hydrater, surtout en cet... hiver, merde ça marche pas. Cela dit, le tequila sunrise qu'elle a pris fait très estival, c'est donc un parfait prétexte pour en boire deux. « Je vais partir sur la même chose que toi, avec un verre d’eau. » Léger froncement de sourcils de Sara. Un verre d'eau ? Ça se demande ça, dans un bar ? Quelle blague ! « T'anticipes déjà le mal de tête de demain ? » qu'elle l'interroge avec un sourire amusé, un peu taquin aussi. Elle la charrie, comme pour sous-entendre qu'elle s'affaiblit face à l'alcool depuis qu'elles se connaissent – sans avoir la moindre idée des vraies raisons qui expliquent que Billie devrait être raisonnable. « Moi ? Je change clairement pas une équipe qui gagne. Soit, un vieux tube des eighties. Soit un tube de rock. Ou un mix des deux ? » La brune hoche la tête avec enthousiasme. « Franchement tout me va. » Une chose est sûre : elles vont s'éclater. « Si tu veux mixer les deux, j'vote pour Back in Black. » Elle est pas très originale, Sara, mais AC/DC c'est quand même un groupe incroyable avec des musiques de dingue.
Plutôt que discuter trop longtemps musique – ça elles le feront une fois ivres, et Sara prendra des airs d'experte alors qu'elle n'y connaît foutrement rien, juste pour rire –, la Gutiérrez s'enquiert des dernières nouvelles de son amie. Ça fait un moment qu'elles ne se sont pas vues, et même si la brune ne s'inquiète pas vraiment pour son amie – qui a déjà une vie posée et tous ses trucs qu'elle n'a pas – elle est curieuse de savoir ce qu'elle a de neuf à raconter. « Eh bien. Ça doit faire genre même pas cinq jours, que je suis sortie du coma. » ATTENDS QUOI ?! « Hein ? » Les yeux ronds comme deux soucoupes volantes, Sara fixe son amie en attendant que la suite vienne. Que l'explication vienne, car la brune n'attend que ça à présent. « Et toi ? » Ah d'accord, donc Billie lui balance ça puis elle passe à autre chose. Et elle croit que ça va suffire à échapper à l'interrogatoire de la Gutiérrez ? C'est bien mal la connaître ça, vraiment. Une petite gorgée pour faire passer la sensation d'avoir avalé de travers au mot coma, puis la brune parle à son tour. « Moi ça va, j'ai validé mon semestre, c'est cool. » Sara est quand même une bonne pote, à répondre alors que sa langue la brûle à cause de toutes les questions qu'elle voudrait poser. Cela dit la brune abrège son discours, sautant l'étape de la soirée pour célébrer les examens réussis, les retrouvailles avec Diego alors qu'elle était encore ivre le lendemain, le départ de Rudy, l'engueulade avec Cesar et – le plus important – la rencontre avec l'adorable petite Paola. Néanmoins, elle se promet de lui parler de sa demi-sœur si mignonne dès qu'elles en auront fini avec cette histoire de coma. « Non mais attends attends, on va revenir à toi là. » Faut arrêter de déconner, on s'en fout des examens de Sara là tout de suite. Tout ce qu'elle pourrait raconter serait forcément moins intéressant que le récit que Billie, qu'importe qu'elle ne le connaisse pas encore. « Qu'est-ce qui s'est passé pour que tu finisses dans le coma ? » Elle boit un peu de son cocktail et affiche une mince pensive. Elle peut pas croire que ce soit juste une chute dans les escaliers, ce serait débile. Et puis est-ce qu'on peut finir dans le coma après s'être vautrée dans les escaliers ? Pas sûr. Peut-être que oui, mais s'ils sont super durs. Genre du marbre. Elle a des escaliers en marbre Billie ? « C'est à cause de ton boulot ? » Nouvelle gorgée, Sara attend des réponses, ne lâchant pas la rouquine des yeux. Elle sait que son amie bosse dans la police mais elle serait foutrement incapable de préciser le nom exacte de son poste. Elle a un uniforme, une arme et une plaque, et avec tout ça elle doit traquer les plus ou moins méchants – c'est déjà pas mal comme infos, ne lui en demandez pas trop.
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TW IN RP : alcool - blessure par balle - scènes érotiques - cigarette - mots crus TW IRL : scènes trop graphiques - violences animalesGENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : fille unique du défunt Christopher Redfield ; sait poser des bombes et les faire exploser avec art (c'est une image, hein.) ; une mère aux abonnées absentes ; spécialiste de malbouffe et du gras ; intérêt (certain et futur) pour la culture MaoriCODE COULEUR : Je vous engueule souvent en #7FC6BC RPs EN COURS : BOLLY.I think it was obvious. A cruel fact. I don't know what I can mean to you, but there's one thing I'm sure of. It's you I want and no one else.
(bolly#8) ;
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(#) Sujet: Re: Time to sing ♦ Bilara Ven 10 Mar 2023 - 15:15
Time to sing
Je peux pas dire que me retrouver en plein milieu des gens, ça me console d’être vivante. Pire, je peux même dire que ça m’effraie. J’ai plus vraiment l’habitude de côtoyer les êtres humains faut dire. Et ça fait même un petit mois que ça dure. Mais j’avoue que revoir Sara, va me faire du bien. Je l’aime bien la Mexicaine piquante et épicée et elle a un sacré don pour faire la fête. Sauf que pour la fête, je vais y aller mollo. Parce que je sens que le traitement va pas faire bon ménage avec l’alcool que j’ai l’habitude de boire en soirée. Faut croire que se prendre une balle dans l’abdomen, ça fait relativiser. Revoir certaines choses. Même si certaines se passent avec Oliver.
Le meilleur des meilleurs. Mais chut, j’ai pas envie de lui dire parce qu’il va risquer de prendre la grosse tête. Et ça le rendrait tout autant mignon, qu’énervant. Mais, c’est clair qu’un jour je vais m’y risquer à lui souffler ça dans le creux de l’oreille. Juste histoire de jauger certaines réactions de mon binôme. Qui j’en suis sûre et certaine, vont bien être plaisantes à contempler. Or ici, mon attention est focalisée sur la jolie brune, qui me stipule de pas m’en faire. Que je dois pas m’inquiéter d’être arrivée un peu en retard. J’avoue qu’étant (très) à fleur de peau ces temps-ci, je suis à la limite de la broyer dans une étreinte amicale et de verser des larmes. Or, c’est pas moi ça. C’est pas Billie Redfield. Je suis juste là pour passer une bonne soirée et pas pour chialer, parce que j’ai un coup de mou.
- Je voulais pas que tu croies que je t’ai fait faux bond. Je vais passer sous silence, le fait d’être asociale durant un petit temps. Le fait de juste vouloir la voir elle et Oli’. Le reste, je m’en fiche un peu. J’ai même pas mis Lincoln, mon meilleur ami, au courant de toute cette merde qui m’est tombée dessus. C’est dire comment je me sens. Pour le mal de tête, c’est un peu plus complexe que ça. Aha. J’ai un rire mal à l’aise, là. Parce que pour m’avoir vue m’enfiler des kilomètres de shots à certaines soirées et me voir rester sage ici, ensuite … ça doit la perturber un peu la Sara.
Et … heureusement que ça fait un virage tout schuss sur un autre sujet : celui que je maîtrise. Le karaoké. Puis merde, on est là pour ça non ? On est là pour chanter, même si parfois c’est faux, hein. Mais moi, je mets un point d’honneur à rester juste dans n’importe quelle chanson que je prétends entreprendre. C’est par pur respect pour l’artiste. Même si pour ma coéquipière de la soirée, on se tourne bien plus rapidement vers des standards du rock (je vous aime Pat Benatar), genre AC/DC. La Mexicaine, c’est carrément une vraie.
- Tu sais que tu me prends par les sentiments en me parlant d’AC/DC, là. Tu sais que je peux pas refuser hein ? Oui. Elle le sait. Et comme je sais si bien le faire : j’ai lâché ma bombe. En entrant pas dans les détails. Juste en disant que j’étais sortie du coma, y’a même pas cinq jours. Comme si c’était tout simplement banal et qu’on faisait ça tous les jours. Aaaaah ! Je suis contente pour toi ! Si t’as validé ton semestre ! Du coup, faut fêter ça ! Que je m’exclame en riant, mon regard gris qui pétille. Alors que je sais qu’elle va pas lâcher l’affaire. Que ça va me revenir en pleine gueule tout ça. Que je dois donner des explications.
Parce que la Gutiérrez, c’est une amie. Et que bon, j’en ai à la fois trop dit et pas assez. Comme d’hab’.
- Je m’en doutais bien que t’allais pas lâcher le morceau … Je laisse en suspens ma phrase, parce que je prends le temps de m’hydrater. Avant de continuer sur ma lancée, la regardant droit dans les yeux. Alors ouais. C’était dans le cadre de mon boulot. Avec Oliver, mon partenaire, on tenait une piste. Un truc à vérifier. Tu sais comme dans les films ? Quand t’as un type qui se déplace avec toute une cohorte de gardes du corps et que tout ça, ça te paraît bien louche ? … baaaah à nous, ça nous a paru louche. Alors, on a pas hésité une seule seconde. On a tenté. Un silence, parce que c’est toujours dur à se remémorer et à expliquer.
Parce que moi, à partir d’un moment : j’étais blackout.
- Pour faire simple : un gros vilain m’a tiré dessus. Oliver s’en est voulu et je me rappelle juste de son air inquiet au-dessus de moi, alors que je commençais à avoir froid et que j’avais mal. Un silence. La seule pensée que j’ai eu en cet instant, c’est que j’allais lui tâcher sa chemise. C’est con hein ?
Ouais, c’est totalement con. Mais je crois qu’on est jamais rationnel quand la grande Faucheuse a envie de venir nous cueillir, hein. C’est prouvé.
- Bon. Alors qu’on trinque à deux petits trucs joyeux ? Ta validation de semestre et moi, de pas être passée de l’autre côté ? J’ai jamais été douée dans les toasts à porter. Autant dans les dîners de famille, que les trucs entre potes. Mais, y’a un début à tout, non ?
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