ÂGE : 31 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans une série Netflix. Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : Amoureuse de la première qui passe et championne du surinvestissement et du cœur chamallow en mille morceaux, elle s'est faite publiquement trompée par Jiyeon, un nouveau désastre amoureux qui s'ajoute à une liste déjà trop longue. MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la dernière série Netflix à succès. Gagnante du Golden Globe de la meilleure actrice dans une mini-série. Elle est l'héroïne du film "meet me at midnight" actuellement en salle, et commence le tournage de Roaring, un spin-off sur les Lannisters, aux côtés de ses cousines Maddy et Mabel. LOGEMENT : Une maison au 512 Daisy Hill Road, dans le quartier de Logan City. POSTS : 344 POINTS : 350
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool GENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | actrice connue à qui l'anonymat manque | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | lesbienne au cœur trop souvent brisé | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : Griffiths "I didn't have it in myself to go with grace, and you're the hero flying around, saving face, and if I'm dead to you, why are you at the wake?" // #01#02#03
Andrea "I could see this view a hundred times, pale blue sky reflected in your eyes, so give me a reason and don't say no, no. And the note from the locket, you keep it in your pocket, since I gave it to you, there's a heart on your sleeve, I'll take it when I leave and hold it for you." // #01#02#03
Jiyeon "You are an expert at sorry a nd keeping the lines blurry, never impressed by me acing your tests / All the girls that you've run dry have tired, lifeless eyes 'cause you burned them out" //#01#02#03#04#05#06
Hayden "And if you're ever tired of being known for who you know, you know, you'll always know me."
Mac "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night." // #01#02#03
Maddy "Don't you smile at me and ask me how I've been, Don't you say you've missed me if you don't want me again." // #01#02#03#04
Mabel "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones" // #01#02#03#04
Muiredach "The bottom's gonna drop out from under our feet, I'll catch you, I'll catch you, When people say things that bring you to your knees, I'll catch you" // #01#02
Carl "I knew you were trouble when you walked in, so shame on me now" //#01#02#03
RP abandonnés : Clara | AlbaAVATAR : Taylor Swift CRÉDITS : tumblr & pinterest DC : Madison Kwanteen INSCRIT LE : 15/01/2022
(#) Sujet: when there's something really wrong (hayden) Dim 26 Fév 2023 - 19:37
when there's something really wrong
and the hours pass by now I just wanna be alone but your close friends always seem to know when there's something really wrong so they follow me down the hall and there in the bathroom i try not to fall apart and the sinking feeling starts
Les messages s’empilaient dans mes boite de réception. Un mail de mon agente, des textos mes amis, des messages privés des gens qui me suivaient sur les réseaux sociaux. La terre entière semblait au courant de ce que j’étais en train de vivre avant même que je puisse processer l’information. Je n’avais pas le temps, ce n’était pas en mes termes, tout se précipitait.
Je pleurais à l’arrière du taxi qui me ramenait chez moi, comme une gamine, comme une fille trop ivre qui rentre de soirée et qui s’est disputé quelqu’un. Mais non, on était dimanche, c’était le début d’après-midi, le soleil au zénith projetait des ombres sur les trottoirs. Brisbane riait pendant que j’avais l’impression qu’on m’arrachait des morceaux de cœur un à un. J’ouvris les messages d’Hayden. J’inspirai. Il y avait quelque chose d’affreusement réel maintenant que j’étais devant l’évidence. Le reste du monde pouvait bien attendre, me dis-je, mais j’avais besoin de quelqu’un, de ne pas être seule chez moi, et il n’y avait qu’une seule personne dont je pouvais tolérer la compagnie quand j’étais dans un tel état - et qui pouvait me tolérer en retour. Au fil des années, Hayden m’avait vue heureuse, euphorique, dévastée, colérique, impatiente, en gueule de bois, amoureuse, fatiguée, excitée. Il n’y avait presque plus grand chose qui pouvait la surprendre.
J’avais une vie sociale remplie, j’avais toujours considéré mes amis comme ma famille choisie - surtout vu l’état de ma famille “imposée” - et je savais qu’ils seraient là pour moi, que dans quelques jours je pourrais organiser un repas avec mon groupe d’amis et qu’ils me laisseraient pleurer sur Jiyeon sans me dire qu’ils me l’avaient bien dit parce qu’elle était un affreux red flag, qu’on se ferait des cocktails, qu’on irait au karaoké pour se changer les idées. Mais en cet instant, dans la vulnérabilité absolue que je ressentais, c’était vers Hayden que je me tournais en premier.
De tous les gens autour de moi, c’était celle qui avait réussi à gagner ma confiance absolue pour une simple bonne raison : tout comme Mabel, Hayden était partie à Londres après le lycée, mais à la différence de ma cousine, elle était restée en contact avec moi, faisant preuve d’une loyauté absolue. C’était la seule personne qui m’avait montré que l’éloignement physique ne signifiait pas un abandon. Même encore aujourd’hui, avec mes amis d’université que je connaissais depuis dix ans, une part de moi craignait toujours qu’ils me laissent pour partir à l’autre bout de la terre.
“Je sors de chez elle”, tapai-je sur mon téléphone à l’attention d’Hayden, les doigts tremblants. Pas besoin de préciser qui était ce mystérieux elle. Hayden savait. “C’était horrible. Tu peux passer chez moi ?”
Arrivée chez moi, je m’écroulai sur le canapé, continuant de pleurer jusqu’à que je me sente complétement vidée de mes émotions et que je reste simplement là, amorphe, un peu dissocée, attendant l’arrivée d’Hayden. Elle avait le double de mes clefs et n’avait pas besoin de sonner au portail, elle se contenta donc de toquer directement à ma porte d’entrée. Je me pressai pour aller lui ouvrir, tombant dans ses bras et la serrant fort contre moi, inspirant son parfum familier, remerciant le ciel qu’elle habite à présent à Brisbane et qu’elle puisse être là.
« J’espère que mon prochain rôle ça sera être une meuf qui se fait tromper, » reniflai-je en essuyant mon nez, relâchant mon étreinte, « comme ça je pourrais dire que je faisais simplement du method acting pendant un an. » Je tentais de plaisanter, la dernière armure qui me restait pour protéger le trou béant dans mon cœur. Mac, Jiyeon, ce n’était que des prénoms qui s’ajoutaient à une longue liste, et ce n’était pas la première fois que je me faisais tromper, mais l’enchaînement de ces derniers mois étaient particulièrement violent. « Merci d’être venue si vite, » dis-je à Hayden en lui faisant signe de me suivre à l’intérieur - elle faisait de toute façon comme chez elle ici, elle le savait.
On s’installa dans le salon. J’avais mis un vinyle de Joni Mitchell sur ma platine, en bonne drama queen que j’étais, mais je savais que ma meilleure amie ne m’en tiendrait pas rigueur. Elle comprenait plus que quiconque le pouvoir cathartique de la musique (et du théâtrale). J’avais déjà sortie une bouteille de vin blanc et deux verres, posés sur la table basse, et les pointai du doigt : « Je sais qu’il est un peu tôt, mais aux grands maux les grands moyens. Tu veux un verre ? » Proposai-je alors que je m’en servais un, m’affalant sur le canapé en poussant un énorme soupir.
from sprinkler splashes to fireplace ashes, i gave my blood, sweat, and tears for this, i hosted parties and starved my body, like I'd be saved by a perfect kiss, the jokes weren't funny, i took the money, my friends from home don't know what to say, i looked around in a blood-soaked gown and i saw something they can't take away, 'cause there were pages turned with the bridges burned, everything you lose is a step you take.
when there's something really wrong (hayden)
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