| (maiden) you know me, i'm sad happy | |
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 ÂGE : vingt-deux ans (10.02.2001). STATUT : plus intéressée (elle ment). MÉTIER : employée polyvalente dans un cinéma de quartier, arrondi les fins de mois avec son compte onlyfans (@onlyfeet) où elle vend ses sous-vêtements sales et envoie des photos de ses pieds. LOGEMENT : #421 carmody road auprès de jo et sa grand-mère, ava, pour veiller sur celle-ci. troisième colocation en un an, il faut que ça marche. POSTS : 721 POINTS : 920 TW IN RP : troubles alimentaires, mention de nourriture, perception erronnée du corps, parentification, langage cru (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION SEXUELLE : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : un frère, trois demi-frères et sœurs, les relations ne sont idéales qu’avec le plus jeune d’entre eux (llewyn, 10 ans) ≈ mouton noir de la famille qui est tombée dans les troubles du comportement alimentaire à l’adolescence et ne s’en est jamais sortie ≈ vierge et peu intéressée à ce que cela change, peu intéressée tout court par l’idée d’être en couple ≈ mère démissionnaire, elle prend de plus en plus en charge son jeune frère ≈ impulsive, immature, elle vit sa crise d’adolescence avec un peu de retard ≈ arrogante, peste, bourrée d’insécurités, douce : un vrai paradoxe. CODE COULEUR : maisie nargue le monde en tomato. RPs EN COURS :
llewyn ⊹ there’s no other love like the love for a brother. there’s no other love like the love from a brother.
seth #5 ⊹ there is a little boy inside the man who is my brother. oh, how i hated that little boy. and how i loved him too.
angus #5 & #7 ⊹ they may not know each other to say it, but it was never hidden. how much ever they hated each other, fate ties them together.
carl #4 ⊹ friendship must be built on a solid foundation of alcohol, sarcasm, inappropriateness and shenanigans.
aiden #1 (fb) & #2 (fb) ⊹ there comes a time when you have to stop crossing oceans for people who wouldn’t even jump puddles for you.
(14/06 - c'est l'hiver, ça glisse, c'est normal) › megan › raphael #1 › murphy › muiredach #2 › sara › damon › jo › cesar RPs EN ATTENTE : theo #2 › raphael #3 › angus #9 RPs TERMINÉS : jake #1 (fb 2016) › angus #2 (fb) › swann #1 › angus #1 › seth #1 › mila › rory #1 › swann #2 › angus #3 › carl #1 › nino #1 › theo #1 › raphael #2 › amaya › muiredach › seth #3 › arthur › angus #4 & seth #2 › angus #6 › carl #2 › laila #1 › angus #8 › vivian › carl #3 › seth #4 › swann #3
(ab.) nicky (2019) › quincy (2019) › red › kyle › tobias › aiden › sofia› rudy › halston (fb) › oxtorm › clément (db) AVATAR : daisy edgar-jones. CRÉDITS : (ava) @ecstaticruby (gifs) @noahjupelove, @hawkinsindiana, @alicemxkesthings @edwige, @nairobigifs, @kiernwalker (ub) @loonywaltz. DC : finnley coverdale, alfie maslow & kieran halstead. PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/07/2021   | (#) Sujet: (maiden) you know me, i'm sad happy Mar 28 Fév - 22:50 | |
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@AIDEN TURNER & MAISIE MORIARTY ⊹⊹⊹ i was waiting so sad happy thought i lost you in a nightmare dream. you were too high to hold on i was losing all track of time. (c) tedlass
Je peux dormir chez toi ce soir ?
Je ferai pas de remarques, promis.
De ma bouche, les promesses perdent toujours en valeur. J’ai envie de croire que ce soir sera une exception à la règle et que je saurai respecter celle-ci. J’ai promis à Aiden que je ne pointerai pas du doigt ses erreurs, que la soirée ne virera pas au pugilat ; que je saurai me tenir. Et j’aurais dû m’abstenir. Parce que je ne suis sûre de rien ce soir, si ce n’est de ne pas être raisonnable et d’être très loin de pouvoir me comporter décemment alors que j’ai plus que jamais envie de tout envoyer balader autour de moi. C’est peut-être la raison pour laquelle c’est lui que j’ai contacté et pas un autre ; parce que je sais qu’il sera en mesure d’assumer ma mauvaise humeur et mes peines, et les dérives que cela peut engendrer. Notre amitié est mise à l’épreuve depuis des mois ; alors qu’est-ce qu’un obstacle supplémentaire ? Je sais que mon raisonnement n’a pas de sens. Je le sais, mais j’arrive pas pour autant à me montrer plus rationnelle. Je suis en colère, je suis triste, je suis paumée, je suis fatiguée ; je ne sais pas exactement comment je me sens, mais je sais que je ressens tout à la fois et que la frontière qui délimite ce que je peux gérer de ce qui ne peut pas l’être devient dangereusement floue. En réalité, je crois que je l’ai déjà franchie ; parce que j’y arrive plus. J’ai aucune foutue idée de la manière dont je peux remettre ma vie sur les bon rails et au fond, je crois que je n’en ai même pas envie. Parce que ça m’épuise ; parce que j’en ai marre. Parce que j’ai l’impression d’avoir passé les derniers mois à épauler la majorité de mon entourage et que je ne peux même pas leur en vouloir ; c’est bien moi qui me suis engagée auprès d’eux pour les aider à dénouer leurs problèmes plutôt que d’affronter les miens. J’ai toujours fonctionné ainsi et j’imagine qu’on peut au moins m’octroyer le mérite d’en avoir conscience, mais ce n’est pas pour autant que j’ai envie de prendre le temps de m’occuper de mes propres préoccupations. Pourtant, elles sont omniprésentes. J’ai rayé mon frère aîné de ma vie et je ne ressens pas la culpabilité qui devrait aller avec une décision aussi radicale, je m’éloigne du plus jeune sans même regretter de prendre mes distances avec lui, j’exècre ma propre mère malgré tout ce qu’elle a fait pour moi, j’accélère mon business sur OnlyFans en dépassant des limites que je m’étais moi-même fixée, je donne des nouvelles de plus en plus ponctuellement à ceux qui composent encore mon entourage, j’ai quitté mon appartement sans même avoir trouvé une solution, je vois l’aiguille sur la balance qui penche de plus en plus à gauche, j’enchaîne les heures passées à brainstormer pour trouver des soirées qui permettraient d’augmenter la fréquentation dangereusement basse du Twelve ; et j’en ai marre. J’en ai marre et j’aimerais juste que ce sentiment anxiogène qui me poursuit depuis des semaines me foute la paix. Parce qu’il n’annonce jamais rien de bon ; pas alors que j’ai de plus en plus l’impression de retomber dans mes vieux travers et que chaque geste du quotidien, chaque pensée, chaque action de ma part vise de plus en plus à regagner un contrôle qui finit trop souvent par virer à l’obsession.
Alors j’anticipe. J’anticipe, parce que ce soir j’ai envie de le perdre, ce putain de contrôle, juste pour lui montrer qu’il n’a pas d’importance pour moi, juste pour me prouver, que j’y arrive, que ça va pas si mal, que je suis capable de lâcher la rampe. C’est le cas. Je sais que c’est le cas ; je sais que tout ceci n’est que passager. J’ai repris ma vie en main, je suis pas stupide au point de gâcher tous mes efforts, Pas alors que je suis moi-même consciente de l’état actuel de la situation. J’en suis consciente. J’en suis consciente alors il n’a pas à s’alerter ; j’en suis consciente. Et je suis consciente que j’ai besoin d’Aiden. Qu’il est la personne la plus indiquée, non pas pour me tendre la main puisqu’elle n’a pas besoin de l’être, mais parce qu’il est celui le plus à même de cacher les sujets sous le tapis pour qu’on ne s’y confronte pas. Il me l’a prouvé lors de mon anniversaire, et si j’ai quitté son appart en le détestant de ne pas vouloir se confronter à la réalité, à cet instant je ne demande qu’à en être éloignée. Ça a toujours été lui, le mieux placé pour ce rôle. Ça a toujours été lui qui m’aidait à garder en vie cette bulle dans laquelle on se réfugiait quand on était ados, alors même que le monde autour de nous changeait et nous demandait de le faire avec lui. Mais dans ce système que l’on avait créé nous-même, on pouvait toujours s’autoriser à être qui on voulait. Qui on avait besoin d’être à ce moment précis ; et ce soir, j’ai besoin d’être irresponsable. Ce n’est même pas question d’être imprudente ou immature, c’est au sens premier du terme ; j’ai besoin d’oublier toutes ces responsabilités que j’ai moi-même décidé d’assumer. Le logement pourra attendre demain, ou la semaine prochaine si j’arrive à gratter quelques jours supplémentaires d’ignorance du monde réel – à condition qu’Aiden ne me vire pas avant, ce qui est l’hypothèse la plus probable en réalité.
« Pas de questions. » Que j’annonce quand il m’ouvre la porte. « Tu m’en poses pas et je t’en poserai pas. » Je précise, les petits caractères qui suivent un contrat que j’ai établi sans lui demander son avis ; parce que je sais qu’il ne s’y opposera pas. Pourtant, je meurs d’envie de lui demander s’il consomme toujours des pilules par dizaines, s’il a réfléchi à notre conversation, s’il se sent prêt à être aidé, si je lui ai manqué, aussi, un peu, durant ces derniers mois où les tensions prenaient toute la place entre nous. J’ai envie de lui assurer que ce soir elles n’existent plus, que je garderai mes craintes et mes interrogations pour moi-même s’il ne me demande pas de partager les miennes ; et pourtant, j’ai envie plus que jamais de me confier à lui, de lui demander son opinion, son aide, d’avoir un moyen de supplier pour qu’il m’offre à nouveau sa présence dans ma vie. Et je supplie silencieusement, je ne lui laisse pas le choix quand je fais quelques pas en sa direction pour l’entourer de mes bras, me penchant légèrement sur la pointe des pieds pour atteindre son cou que j’encercle, pour mieux poser ma tête contre son torse, pour mieux le rapprocher de moi, pour mieux sentir sa présence et réaliser que malgré toutes les tempêtes que j’ai l’impression de traverser, il reste une constante dans mon quotidien, un point d’ancrage que je regrette d’avoir éloigné dans ma volonté de lui faire comprendre que je ne veux pas le perdre. Pas lui aussi.
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|  | |  ÂGE : vingt-trois ans (18/11/1999) SURNOM : pas assez de proches autours de lui pour en avoir un STATUT : pantin aux bras d'une blonde sympathique MÉTIER : acteur, branle couilles, soumis au métier LOGEMENT : Srping Hill, aux abords du monde dans un appart trop grand POSTS : 439 POINTS : 120 TW IN RP : drogues - violence verbale - pensées noires - alcool GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : ambidextre - allergique à la banane - ce genre de comportement silencieux qui fait toujours penser qu'il est en colère contre le monde - sourire faux 20/24h - adepte des questionnement sous la douche et des argumentaires devant le miroir - si vous ne trouvez plus de noix de pécan dans les épiceries c'est qu'il a tout dévalisé - un léger cheveu sur la langue quand il est énervé - portefeuille fendu en deux, souvenir de son grand-père dont il ne se sépare pas CODE COULEUR : Aiden vous casse les oreilles en darkseagreen RPs EN COURS : RPs EN ATTENTE : MILLIE ☽ everybody saw you smiling, yeah, you were always good at hiding. you were always asking questions so you wouldn't draw attention, everyone who used you, they never really knew you. you're always showing up for everybody but yourself.
MAIDEN ☽ They say bad things happen for a reason. But no wise words gonna stop the bleeding 'cause she's moved on while I'm still grieving, and when a heart breaks no it don't break even.
MEGAN ☽ You were good to me. Leavin' isn't better than tryin', growin', but I'm just growin' tired. Now I'm worried for my soul and I'm still scared of growin' old. You were good to me.
MABEL ☽ I've been down so long it look like up to me, they look up to me. I got fake people showin' fake love to me, straight up to my face, straight up to my face. RPs TERMINÉS : SUJET ABANDONNES
SUJET TERMINES AVATAR : Paul Mescal CRÉDITS : dovakhiin (avatar) DC : harry, l'oublié PSEUDO : Schopenhoeur INSCRIT LE : 18/03/2022   | (#) Sujet: Re: (maiden) you know me, i'm sad happy Aujourd'hui à 12:28 | |
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|  @Maisie Moriarty & Aiden Turner ⊹ Some days I feel somewhere else or somewhere in between, some days I don't feel a thing at all. Now I'm pulling back the screen to let the future in, the light comes flooding in
Je peux dormir chez toi ce soir ?
Je ferai pas de remarques, promis.
Les messages étaient restées sans réponses, accrochés dans le vide d'une discussion qui n'avait pas été relancée depuis la dernière fois qu'ils s'étaient parlés, les trois petits points du message en attente ne s'étaient jamais glissés sur le portable de Maisie. Pourtant il avait voulu faire les choses bien, pour une fois, en s'accordant le temps pour lui répondre qu'elle n'avait pas besoin de lui demander pour que cet appartement soit toujours un refuge dès qu'elle en ressentait le besoin. Les mains tremblantes que l'acteur avait donné en paysage n'étaient plus qu'un souvenir, fébrile, sans doute, mais un souvenir tout de même maintenant qu'il avait considérablement diminué sa consommation d'anxiolytiques. Parce qu'il se le devait, à lui, mais aussi à tous ceux qui avaient supportés ses conneries assez longtemps pour en être dégoûté sans forcément l'abandonner. Alors il n'avait pas répondu mais aurait voulu crier de toutes ses forces qu'elle avait plus que le droit de trouver refuge dans son appartement. Ils ne parleraient sans doute de rien, peut-être même ne parleraient-ils pas du tout, apprivoisant tout deux les côtés sombres de leur relation, sans jugement, avec cette envie ancrée au corps de pouvoir faire table rase du passé. Aiden tâtonnerait, comme un enfant, pour comprendre les parties de la jeune femme qu'il avait encore le droit de voir, les miettes qu'elle lui laisserait pour s'en faire une peau de chagrin. Drapé dans les souvenirs et toutes ces choses qu'il aurait envie de lui dire, Turner aurait gardé le silence pour ne pas la gêner, pour que ce refuge imposé ne soit plus son appartement déserté, mais le havre de paix qu'elle méritait. A défaut de pouvoir lui offrir autre chose en échange qu'un silence gêné, il avait fait en sorte d'ouvrir en grand les volets pour que la lumière éclaire au moins autant que l'ambiance sera froide.
Ce n'était pas la première fois qu'il remettait un pieds dans sa cuisine depuis leur conversation, Mabel était déjà venu profiter d'un moment où ils ne prétendaient pas être fou amoureux pour s'offrir le calme d'un verre partagé entre deux nouveaux amis, et ce n'était rien comparé aux efforts que l'acteur avait fait pour sevré, pour devenir celui qu'il avait toujours rêvé d'être avant que la facilité ne tombe comme un couperet. Aiden avait besoin que ça se voit, égoïstement, il avait envie de profiter d'un instant de calme pour que les yeux de Maisie se posent sur ses mains qui ne tremblent plus, ou moins. Comme un enfant qui attend qu'on remarque sa bonne note alors que toutes celles d'avant n'étaient que de misérables tentatives, plus attentif à la vision des autre qu'à son propre reflet dans le miroir. Aiden le paniqué, le peureux, le lâche, celui qui mettait plus d'attention dans les présentations que dans les actes, mais celui qui essayait de faire mieux, de faire un peu plus, de rendre autre chose que la vision pathétique qu'il avait offert à sa meilleure amie ces derniers temps. Elle méritait mieux que ça, Maisie. Tout le monde. De Mabel à Millie en passant par la gamine qui tenait toujours le bout de son doigt avant de s'endormir et qui faisait de lui un homme bien meilleur sans s'en apercevoir. Bloqué dans cette idée de meilleur lui qui obstine, qui empêche de dormir, Aiden n'entend qu'à travers un voile le petit poing qui s'écrase contre sa porte, la cuisine comme témoin des efforts qu'il aurait voulu dissimuler mais qu'il ne peut pas s'empêcher d'afficher. Il faut qu'elle le remarque, sans quoi c'était tout un monde qui s'ébranlerait. « Pas de questions. » D'accord, pas de questions, simplement ce demi sourire qu'il fixe sur ses lèvres, cette porte qui s'ouvre un peu plus pour la laisser passer, l'odeur du chili de mamie qui s'évanouit dans la cuisine. « Tu m’en poses pas et je t’en poserai pas. » Maisie fixait les règles pour ne pas être de nouveau la proie des tourments de son meilleur ami, pour s'imposer des barricades qu'elle était en droit de monter, par protection, n'offrant qu'en retour le bruit du cœur brisé d'un Aiden qui se sait bourreau.
La discussion se fait attendre et se fera sûrement désirer pour une bonne partie de la soirée, mais les actes - eux - suffissent à raccrocher l'espoir alors que la brune s'avance pour l'encercler de ses bras. Trop longtemps, bien trop longtemps pour que l'acteur ne frémisse pas au contact brûlant de la jeune femme, les yeux bleus teintés d'un marée montante qu'il continent parce qu'elle a plus besoin de lui que le contraire. « Dolly m'a laissé sa recette de chili comme héritage, t'es la première à la tester… et ma tester la cuisine en elle-même.» Les bras de l'acteur avaient entourés la silhouette tremblante de Maisie pour s'assurer qu'elle ne vacillerait pas sous le poids de tout ce qu'elle taisait, mais aussi pour se convaincre qu'il avait encore le droit d'être cette constante dans sa vie. Malgré tout ce qu'il avait fait et dis. « Tu poses tes valises où tu veux et le temps que tu veux, y'a deux chambres d'amis au fond que j'ai fais nettoyer et préparer. » Avec l'espoir violement accroché qu'elle reste assez longtemps pour enfin daigner lui parler autrement que part des conditions, des obligations. Mais pour l'instant tout ce qui comptait c'était les bras serrés et les cœurs reposés.
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