ÂGE : Quarante-deux ans (20 Juin 1979) . SURNOM : Mitch. Diminutif de son faux non. Les plus intimes l'appel Alex, de son vrai nom. STATUT : Finalement destiné à être célibataire, il a pourtant essayé, mais il va se contenter d’histoire sans lendemain MÉTIER : Propriétaire du Moonshiner et criminel qui a tenté de prendre sa retraite LOGEMENT : Il s'est installé à Spring Hill dans l'appartement qui lui avait longtemps servit de planque pour les soirées poker, il a laissé son appartement à fortitude en plan. POSTS : 1063 POINTS : 50
TW IN RP : Alcoolisme, meurtre, drogue, violence, suicide TW IRL : Aucun GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. CODE COULEUR : #003366 RPs EN ATTENTE : River
Solas RPs TERMINÉS : Voir fiche de lien iciAVATAR : Tom Hardy CRÉDITS : (avatar) London (crackships) signature Cyndel icon signature : miserunt Userbar : Loonywaltz DC : Aucun PSEUDO : London INSCRIT LE : 09/01/2019
(#) Sujet: Family reunion (les Strange) Ven 17 Mar - 23:23
FAMILY REUNION
Gabrielle, Meryl & Mitchell Strange
MARS 2023 L’Europe. Mitchell l’avait quitté il y a tout juste deux jours pour rejoindre sa triste vie. Il avait laissé Sofia, amnésique dans les bras de son époux, il avait laissé sa petite sœur Meryl se remettre de ses émotions suite à l’événement dans la petite ruelle et il n’avait pas pris le temps de prévenir sa famille de son départ pour Budapest. Seul Solas était au courant au final, puisqu’ils avaient échangé et s'étaient même retrouvés dans l’obscurité. L’américain apprenait ce soir, la mort de Lou de la bouche de Solas. La nouvelle avait mis du temps à être acceptée par son esprit, comment pouvait-elle être morte s’était-il demandé sur le moment, alors qu’elle était une survivante depuis toutes ces années. Il en avait voulu à Solas de ne pas l’avoir protégé, il était triste d’apprendre cette nouvelle, lui qui avait eu l’opportunité de la tuer bien des fois et qu’il n’avait pas franchi le pas par affection pour elle. Il avait comblé la tristesse avec l’alcool, mais n’oubliait pas, ne réalisait pas. Son voyage avait eu son lot d’émotions en tout genre. Il y avait vécu de la joie, de la colère et de la tristesse, mais surtout il avait fait un gros bon dans le passé, revivant ses travers. Sergeï Kovacs, chef du gang le plus puissant de Budapest n’avait pas tardé à aller à sa rencontre lorsque l’américain se trouvait à Budapest. Les deux hommes avaient toujours entretenu une relation amicale et avaient fait de nombreuses affaires ensemble, malheureusement le dernier contrat n’avait pas pu être conclu puisque Mitchell avait tout perdu et était recherché, une histoire d’armes devant être vendu au marché noir. Mitchell lui devait une belle somme d’argent, argent qui s’était retrouvé bloqué suite à la saisie de ses comptes. De l’argent qu’il avait à présent, mais qu’il ne pouvait pas débloquer sans en justifier la raison. Sa force de persuasion avait pu apaiser les mœurs. Ils avaient trouvé un accord et bien plus encore. Il lui donnera son dû dans un délai d’un mois après son retour en Australie.. Sur place l'Américain n’avait pas hésité à prêter main-forte à son allié, faisant preuve de bonne-foie. Le suivant dans des règlements de compte, l’aidant à conclure des affaires allègent ainsi sa dette, il s’était à nouveau sali les mains, le sang coulant sur celle-ci, il avait renoué assez facilement avec l’homme qu’il avait tenté d’enterrer pour avoir une vie meilleure et il avait aimé ça. Il avait aimé cette puissance derrière son arme, l’adrénaline que ça apportait et surtout l’argent facile. Il avait hésité à rester à Budapest pour poursuivre cette vie sans but, mais ses ambitions se trouvaient à Brisbane, tout comme sa famille.
Le frigo rempli de bières, les mégots de cigarettes qui s'entassent dans le cendrier, il regrettait presque d’avoir convié ses deux sœurs pour le dîner ce soir-là, alors qu’il aurait pu passer sa soirée verre à la main en bonne compagnie, non pas que ses sœurs n’étaient pas de bonne compagnie, mais ce n’était pas le même type de soirée qui l’attendait, puis il tentait de se rassurer en se disant qu’après leur départ il pourrait très bien poursuivre. Alors qu’il préparait son fameux chili, prenant le soin de préparer une portion végétarienne pour Gabrielle tout en buvant un, puis deux, puis trois whisky. La bouteille était devenue sa plus fidèle alliée pour ce soir et ce qui devait être un verre lui permettant de se détendre était devenu plusieurs verres lui permettant d’oublier ses tracas. Il avait regardé son téléphone de nombreuses secondes, espérant au fond de lui des nouvelles de Sofia avant de réaliser une nouvelle fois, qu’elle n’avait aucun souvenir de lui et qu’elle vivait le parfait amour en compagnie de son époux violent qui profitait clairement de la situation. Il avait tenté de lui rappeler leur relation, en vain. Il était arrivé à l'échéance de ce qu’il pouvait faire et était finalement saturé par tout ça, préférant abandonner.
Ça sonnait enfin à la porte. Surpris par la sonnette il lâchait son verre qui ne manqua pas d’exploser sur le sol. « J’arrive ! » qu’il disait en se dépêchant de ramasser les bouts de verre au sol, se concentrant sur ça alors que l’appartement n’était pas dans de bonnes conditions et que quelques bouts de verre n’était pas flagrant à côté du désordre qui régnait dans l’appartement. L’appartement d’un célibataire qu’il dirait. « Fait chier » qu’il murmurait en jetant les bouts de verre à la poubelle. Il ouvrait (enfin) et tombait nez à nez avec ses deux sœurs. « Salut, vous êtes pile à l’heure ! » les accueillant avec un sourire malgré tout, il ne tardait pas à les faire entrer. « faites comme chez vous, je vous sers quoi ? » qu’il disait en prenant le chemin vers le bar où il s'empressa de se resservir un verre en attendant leur réponse. « Ne faites pas attention au désordre, je suis rentré il y a deux jours » qu’il ajoutait, en rangeant l’arme qui était resté en évidence sur le plan de travail du bar comme s’il s’agissait d’une quelconque babiole et surtout faisant comme si son absence ces quelques semaines était tout à fait normal. « Vous allez bien ?» demandait-il finalement, d’un ton presque enjoué.