ÂGE : trente ans (21/06/1992). SURNOM : grizz(ly). STATUT : célibataire. MÉTIER : barman. LOGEMENT : sur le canapé de hugo, le temps de se retrouver un appartement. POSTS : 688 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme, mort/deuil. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est né et a toujours vécu à brisbane • fumeur par intermittence, actuellement en plein dedans • titulaire d’un diplôme en droit qui ne lui sert strictement à rien • il a une soeur de trente-deux ans, et un demi-frère de huit ans dont il s’occupe à temps partiel • il a des tendances alcooliques non-assumées • allergique à l’engagement • il a quitté brisbane durant plus de trois mois, du jour au lendemain, et n’est revenu que début juillet • il met un temps fou à répondre à ses sms (quand il y répond) • son père est décédé en juin 2022.CODE COULEUR : #899f5f RPs EN COURS : autumn, noor, albane #2 & leo #3 & winston #4, madison, lena, winston #5, siham, hayden.
wiselé — when we were young we were the ones, the kings and queens, we ruled the world. we smoked cigarettes, no regrets. wish i could relive every single word. we’ve taken different paths and travelled different roads, but i know we'll always end up on the same one when we're old.
wizz — a place to crash, i got you. no need to ask, just get on the phone, i got you. come and pick you up if i have to. what's weird about it is we're right at the end and mad about it, just figured it out in my head. go ahead and say goodbye, i’ll be all right. and when you need a place to run to, for better or worse i got you. and if it don't feel right you're not losing me by letting me know.
leo — fifteen years old and smoking hand-rolled cigarettes, running from the law through the backfields and getting drunk. take me back to when we found weekend jobs, when we got paid we’d buy cheap spirits and drink them straight. and i’m on my way, i still remember these old country lanes when we did not know the answers. i miss the way you make me feel, and it's real.
RPs EN ATTENTE : dani, asher #2, naomi #2, leo #4.
grigson (scénario) — lately, i’ve been thinking. i want you to be happier. when the morning comes, when we see what we've become in the cold light of day, we're a flame in the wind, not the fire that we've begun. every argument, every word we can't take back ‘cause with the all that has happened i think that we both know the way that this story ends.
Son service s’est achevé depuis déjà près d’une demi-heure lorsque Reese embrase sa seconde clope, adossé contre la devanture du bar. Contrairement à ce dont il avait voulu se persuader, ses habitudes de fumeur ne tarissent pas avec les mois — sa consommation n’a de cesse d’augmenter, et pourtant, il se dit encore que c’est la dernière fois. La fumée s’échappe de ses lèvres, s’échoue sur le simple t-shirt blanc qu’il a enfilé. Il n’est pas pressé, confortable dans l’obscurité de la nuit entamée. Il a repris ses marques dans les rues si familières de Brisbane, ces derniers mois. Plus difficilement dans son entourage, ceci dit. Ses relations viennent et s’en vont, sont pour certaines encore assez incertaines. Les mois s’enchaînent, et les non-dits s’accumulent, notamment entre lui et Winston. Ils n’avaient jamais connu un passage à vide si étendu sur la durée, auparavant, et le vide que laisse son meilleur ami est plus pesant qu’il ne l’avouera jamais. Il a pris l’habitude depuis plus de quinze ans de le fréquenter pratiquement quotidiennement, de quoi rendre la cassure brutale. Depuis cette fameuse nuit d’octobre, il a tenté de revenir vers le chirurgien. Une fois, en venant directement toquer à sa porte. Seulement, il s’est heurté à un mur. Pas à une pluie de reproches, comme il aurait finalement préféré — à la place, Winston a nié. Il a prétendu ne pas l’éviter, être simplement occupé, comme s’il ne s’était rien passé. Qu’importe s’il voyait très bien que le Grigson n’y croyait pas une seconde. Ça l’a blessé, de se sentir rejeté de cette façon. Il s’est vexé, et s’est mis à en vouloir au Ackerman autant qu’à lui-même. Alors, emporté par sa fierté, il n’est pas revenu. Du moins, pas de cette façon. C’est l’overdose d’Albane qui a tristement renoué un contact entre eux, bien qu’encore fragile. Ils se sont échangés quelques messages depuis, mais pas plus. Et il déteste cette sensation, mais Winston lui manque — un peu. Dans un soupir, il recrache une dernière fois la fumée de sa cigarette, avant de finalement se diriger vers sa voiture. Mais alors qu’il s’apprête à ouvrir la portière, son portable se met à sonner. Il fronce les sourcils, glisse ses doigts dans sa poche pour l’en extraire. Le prénom de Winston s’affiche sur l’écran, et il reste dubitatif de longues secondes, Reese. Il sait très bien que cet appel ne peut pas être pour simplement prendre de ses nouvelles — à moins qu’il ne soit lourdement alcoolisé, au point d'oublier qu'ils sont encore en froid. Il décroche donc, avec une pointe d’appréhension. Une inquiétude justifiée, lorsque Winston lui avoue le motif de cet appel.
Il ne lui faut pas plus de dix minutes pour engager sa voiture dans la station essence que lui a indiqué le chirurgien, après avoir raccroché. Il aperçoit rapidement celle de ce dernier, garée près d’une pompe, sous les néons blancs grésillant à intervalles irréguliers. Ses phalanges se nouent au volant, qu’il fait rouler doucement sur la droite pour se garer à sa suite. Il n’y a qu’eux, à cette heure-ci. Que le silence interrompu par les voitures passantes, sur la route longeant la station-service. Quelques secondes, il garde ses yeux rivés sur son ami, resté debout à côté de la pompe, à travers le pare-brise. Il le dévisage, s'attarde sur l’expression qu’il arbore, et qui n’est pas pour le rassurer. Alors dans un soupir, il finit par sortir de sa voiture, après avoir coupé le contact, claquant la portière derrière lui. « Salut. » qu’il lance simplement, en s’approchant. Winston l’a appelé pour un refus de paiement. Ce ne serait pas si alarmant, s’il ne s’agissait pas de lui, et s’il n’y avait pas un éclat coupable dans le regard qu’il lui adresse. Un constat qui rend le Grigson méfiant, laissant ses opales traîner lourdement sur le minois déconfit du brun. « Il est à combien, ton plein ? » C’est pour ça qu’il a fait appel à lui, non ? Pour payer l’essence qu’il ne peut visiblement pas s’offrir. Il a beau lui avoir simplement expliqué sa situation avant que Reese ne lui demande sa position, il l’a très bien compris. Ce n’est pas la première fois qu’il sort son portefeuille pour lui. Pour les bouteilles qu'il a explosé dans le bar où il travaille, notamment, ou pour ses dettes, plus récemment. Mais cette fois-ci semble différente, sans qu’il ne sache encore pourquoi. « Pourquoi t’es à sec au milieu du mois, Win ? » qu’il soupire finalement, ses mains venant glisser dans les poches de son jeans. Il n'a pas le ton accusateur pour autant — parce qu'il préfère ne faire aucune supposition, ignorant plutôt son instinct qui lui hurle que quelque chose ne va pas.
(C) PATR.ONUS
cut throat --
first things first i'ma say all the words inside my head, i'm fired up and tired of the way that things have been. second thing second, don't you tell me what you think that i could be, i'm the one at the sail, i'm the master of my sea.
Winston Ackerman
le coup de poker
ÂGE : 29 .☽* {25.07.93} SURNOM : Winnie STATUT : Célibataire particulier MÉTIER : Dans un an, il sera officiellement chirurgien orthopédique LOGEMENT : Dans un appartement au 323 doggett street, Fortitude Valley POSTS : 1389 POINTS : 0
TW IN RP : handicap physique . violence verbale . alcool . drogues . addiction (jeux d'argent) TW IRL : cruauté animale . sexe détailléGENRE : Je suis un homme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Amputation transtibial de la jambe droite ☽ + ☽ accro aux jeux ☽ + ☽ endetté jusqu'au cou ☽ + ☽ connait le langage des signes CODE COULEUR : DarkCyan RPs EN COURS : .
Then you're left in the dust unless I stuck by ya.
You're the sunflower, I think your love would be too much
✵ . Wizz . ✵ * · . . In all of my lonely nights, when I was a ghost inside, you were there for me. Whenever I drank too much, whenever my eyes cried floods, you were there for me. ϟ . ϟ . ϟ . ϟ . ϟ
✵ . Wine . ✵ * · . . I got addicted to a losing game. All I know, all I know, loving you is a losing game. I don't need your games, game over. Get me off this rollercoaster. ϟ . ϟ . ϟ . ϟ . ϟ . ϟ . ϟ . ϟ . ϟ
✵ . Chaton . ✵ * · . .
✵ . Eleonora . ✵ * · . . Some stories never get told, this one it feels like a movie. A movie that I can't control. So far I've been tempted by silver plated dreams, i've been such a fool for colours, now I can't see a thing. ϟ . ϟ . ϟ
AVATAR : noah centineo CRÉDITS : endlesslovexstuff (avatar) ice and fire. (signa). Liste des crédits des gifs dans le moodboard. DC : . PSEUDO : Syno INSCRIT LE : 04/10/2021
mars 2023. ft. @Reese GrigsonTu l’identifies rapidement sa voiture, au loin. Tu la connaissais par coeur, elle et ses moindres rayures. Tu connaissais autant ta plaque que celle de Reese, à force de chercher sa bagnole dans les rues, complètement bourré. Alors lorsqu’il s’insère dans la voie menant à la station service, tu te contentes de lui faire un léger signe de la main, au cas où. Ce n’était pas nécessaire vu que tu étais le seul gland en train de patienter à coté des pistolets, adossé contre ton coffre, la trape ouverte. Il n’y avait que toi, au milieu de cette station déserte. Alors c’était assez évident. Sa voiture se gare non loin de la tienne, le moteur se coupe quelques instants après et pourtant, il ne sort pas. Il se contente de t’observer à travers le pare brise, sans broncher, figé. Tes yeux soutiennent son regard, et un certain malaise vient marquer les traits de ton visage stressé. Tu regrettais déjà ton appel. Mais tu ne savais plus à qui t’adresser. Seul Reese connaissait tes problèmes d’argent. C’était aussi le seul qui t’avait prêté de l’argent en connaissance de cause. Bon ami ou trop naïf, la réalité avait rapidement rattrapé les choses. L’argent qu’il t’avait laissé pour que tu puisses rembourser ton père n’avait été utilisé qu’en partie à bon escient, et l’autre avait finalement été brulé lors de parties de poker. A force de pousser le profit, tu finissais toujours par tout perdre. Et tu ne te rendais pas compte que tu faisais la même chose avec Reese.
Après des longues secondes interminables, il ouvre enfin sa portière qu’il claque derrière lui. Tendis que ses pas lents résonnent jusqu’à toi, tu ne bouges pas, observateur. « Salut. » Tu prends quelques secondes avant de l’imiter. « Salut. » Le silence reprend lentement ses droits alors que ses opales trainent longuement dans tes yeux, comme s’il cherchait à décrypter un secret que tu gardais jalousement. « Il est à combien, ton plein ? » Par automatisme, sans réfléchir, tu te tournes vers le prix du carburant affiché sur l’écran numérique, les lèvres entrouvertes. « Hum... Je sais pas. Environ 100 dollars. Mais il m’en reste encore un peu, donc sans doute moins. » Même lorsque tu étais dans la merde financièrement, tu n’avais toujours pas appris à connaitre la valeur des choses, à te rendre compte de la réalité des prix. T’étais trop dépensier et tu persistais à croire que ta situation et ton boulot suffiraient à couvrir tes dépenses. Sauf que tu ne te rendais pas compte des sommes que tu dépensais dans les jeux. « Pourquoi t’es à sec au milieu du mois, Win ? » Tes lèvres se pincent dans une grimace et tes yeux fuient soudainement son regard insistant. Bien sûr, qu’il allait finir par te poser des questions. Et bien sur que tu n’avais aucune idée de quoi lui répondre. Tu ne pouvais pas juste lui dire que tu avais tout dépensé dans les jeux, en pleine crise. « J’sais pas, une histoire de plafond je suppose, j’ai du trop dépenser cette semaine. » Menteur. Tu sais qu’il se doute que ton excuse n’est qu’à moitié vraie, que tu minimises les dégâts pour te sauver la face. Mais t’espères qu’il te laissera le bénéfice du doute, et qu’il ne creusera pas plus. T’as l’espoir qu’il ait simplement envie de rester loin de tes histoires d’argent, et moins il en sait, moins il s’en mêle, mieux il se portera. « Je te le concède, j’ai surement pas assez surveillé mon compte dernièrement. J’me suis pas rendu compte que le plafond était si bas. » Tu n’y arrives pas. Tu ne sais pas lui avouer que t’avais tout claqué dans les jeux, autant que tu ne parviens pas à soutenir son regard, comme un gamin coupable. Tes iris croisent les siennes avant de s’accrocher à n’importe quel autre point du décor après quelques secondes. Et le pire, c’est que tu penses être discret, malmené par les regrets et rongé par les remords. « J’te rembourserai. » Que tu lâches avec un certain détachement qui n’avait rien d'honnête. Il n’était plus à cent dollars près, non? Vu la somme que tu lui devais actuellement, il pouvait te faire crédit de quelques billets de plus. C’est ce que tu crois naïvement, comme si Reese était devenu Cresus depuis qu’il t’avait prêté de l’argent. Argent qui sortait d’ailleurs toujours de nul part, mais il n’avait qu’à faire comme toi: se voiler la face. S’il t’a assuré que ça ne craignait rien et qu’il gérait, il gèrera. S’il pouvait simplement adopter la même façon de penser, ça t’arrangeait bien. gif (c) tenor
My habits, they hold me like a grudge I promise I won't budge
BUT I'M WEAK, I love it when I fall for that
.☽*:
share of troubles -- wizz
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