« make me feel like somebody, even if it's just tonight... »    mia mckullan &  @Mason Bradford .

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Le personnage interprété ici n’est pas celui d’Iris mais celui de Mia McKullan, sous les traits de Claire Holt

Se retrouver dans la ville de son enfance lui procure une sensation nouvelle. Celle qu’elle n’avait jamais ressenti encore car elle n’avait jamais réellement quitté Brisbane, si ce n’est pour ses études et un petit tour du monde. Et même si elle a toujours apprécié y revenir, aujourd’hui c’est un véritable réconfort et un vrai apaisement qu’elle y trouve quand ces derniers mois ont été rythmés par une ribambelle de doutes et de remises en question pour elle. Suivre celui qu’elle aime à l’autre bout du monde, laisser derrière elle tout ce pour quoi elle s’est battue pendant des années durant lui paraissaient être indispensable pour l’amoureuse intrépide qu’elle est. Mais il semblerait que l’amour qu’elle portait pour Alec n’était toutefois pas suffisant pour la rendre heureuse, un qualificatif qu’elle aurait aimé pouvoir attribuer à leur relation enfin apaisée, loin de tous les démons de l’américain. Rien n’a été aussi facile une fois installé en Europe et le couple n’a pas trouvé la quiétude qu’ils étaient pourtant venus chercher. C’est donc une Mia en quête de réponses qui est de retour dans sa ville natale, installée chez son père le temps de son séjour, avec lequel elle a longuement parlé de sa situation. Les conseils prodigués par son paternel lui ont fait le plus grand bien, même si elle a encore besoin de temps avant de prendre une réelle décision. C’est aussi pour cette raison qu’elle a prolongé son séjour enfin de se laisser ce temps nécessaire à cette réflexion indispensable…

Son programme du jour a été de revoir ses anciens collègues du Brisbane Times qui lui manque indéniablement. Et la réciproque semble vraie, quand beaucoup lui ont demandé si son retour était synonyme également de retour parmi eux. Même si un sourire léger a pris place sur ses lèvres, le cœur de Mia, face à cette demande, s’est aussitôt serré. Une part d’elle aimerait revenir, retrouver ce cocon qu’était les bureaux de ce journal pour lequel elle a travaillé pendant des années, les collègues toujours présents ayant été comme une seconde famille. Mais, comme elle leur a expliqué, ce retour n'était pas aux programmes et sa présence sur Brisbane temporaire. Quitter les lieux a été tout aussi difficile, voire plus, que lorsqu’elle leur a dit adieu un an plus tôt et, dans un besoin de prendre une grande bouffée d’air frais après tant de nouveaux chamboulements dans son esprit déjà bien préoccupé, la blonde a finalement décidé d’aller le trouver au bord de l’eau. Sa planche de surf à ses côtés, elle, assisse dans le sable, l’étendue bleuté et les vagues n’attendent qu’elle. Pourtant, la jeune femme ne bouge pas d’un iota et lorsque les pas de la personne qu’elle a appelé pour la rejoindre se font entendre, Mia la laisse prendre place à ses côtés, sa tête pivotant l’instant suivant vers elle : « Merci d’être venue, Mason ». Ils ont formulé le souhait de se revoir à Brisbane et la jeune femme lui avait en quelque sorte promis qu’elle l’appellerait pour se faire. Elle ignore pourquoi aujourd’hui tout particulièrement elle a décidé de l’appeler lui, et personne d’autres, alors que son moral est sûrement bien plus bas que jamais et que la peur s’est à nouveau emparée d’elle face à un océan qu’elle connait pourtant comme le fond de sa poche « Comment tu vas ? » demande-t-elle sur un ton bas, ses traits trahissant son tracas et son inquiétude face à cette situation qu’elle ne parvient plus à contrôler.

 « make me feel like somebody »    mia mckullan &  mason bradford .

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Mason avait fait le chemin arrière, celui de partir de Sydney, pour se retrouver à Brisbane. Il avait fait le même chemin que quand il avait vingt-et-un ans et qu’à l’époque encore, il avait cette arrogance et cette fougue absolue. S’imaginant au-dessus des autres, quand il a intégré le Brisbane Bullets, et qu’il est devenu peu de temps après le capitaine de l’équipe. C’était son époque, avant que toutes les cartes du château ne s’effondrent et ne le laisse seul. Il y a bien eu certains discours qui l’encourager à se reprendre, à arrêter de dépenser tout son fric, à cesser de boire à outrance, et à redevenir quelqu’un de simple. Le Mason Bradford du début, celui qui rigolait, celui qui croyait encore à ses rêves : mieux encore, qui avait des rêves par-dessus la tête. Avant que tout cet argent ne le rende dingue. Avant que cette popularité ne lui monte à la tête. Et Mia McKullan a longtemps fait partie de ce paysage. Elle a toujours été présente à ses côtés, pour l’épauler, pour l’écouter. Pour lui implorer d’arrêter. Elle se rêvait d’un monde à eux deux, où elle avait cette importance à ses yeux. Et elle ne le sait pas, évidemment, mais inconsciemment, elle avait cette place dans son cœur. Il était juste bien trop arrogant et fougueux pour l’avouer, lui laisser cette place qu’elle méritait tant, à ses côtés. Il l’avait aimé du plus profond de son cœur, mais il s’était détesté à la seconde même de paraître si naïf, que de s’imaginer avec une personne. Il ne voulait pas lui laisser cette chance, autant qu’il ne le désirerait pour aucune autre femme qu’elle. Parce que si il s’est toujours interdit ce bonheur, la journaliste a toujours fait partie de ses rêves, de son monde, et il aurait fallu juste de quelques mots pour la voir à ses côtés. Il a tout gâché, et si on lui offre une seconde chance, il n’est pas bien certain de comprendre pourquoi. Pourquoi devrait-il saisir cette chance aujourd’hui ? Pourquoi, lui ferait-elle de nouveau confiance quand son monde semble être incertain, poussé dans les abymes. Il a tout perdu, Mia avec et veut s’en convaincre, parce qu’il est plus facile que de se retrousser les manches et de partir au combat.

Elle est là, assise sur ce sable. Il l’observe d’abord de loin, puis finit par se rapprocher d’elle. Et il sait combien sa présence ne l’apaisera pas, mais il ne peut pas s’empêcher de tourner autour d’elle. D’être ce personnage important pour elle, d’être son ange et son diable à la fois. D’être cette lueur d’espoir même si ça ne durera jamais éternellement, parce que Mason aime la facilité, n’être qu’une lumière vive et temporaire. Elle ne devrait pas s’attacher à lui, cette fois. Elle ne devrait même pas vouloir lui parler, et passer du temps avec lui. Mais ses doutes se dissipent au fur et à mesure qu’il complète cette distance entre eux, et un sourire apaisé s’étire de ses lèvres, se laissant émouvoir quelques instants par ce lieu. Il n’était pas revenu ici, depuis bien longtemps, parce qu’ici tout lui rappelle les moments avec la journaliste. Tout lui rappelle leurs rires, leurs courses quand Mia le taquinait et qu’il l’attrapait par la taille pour la jeter à la flotte. Tout lui rappelle ses moments d’égarements, et ses instants fugaces. Parce qu’à l’époque, il avait l’impression que tout pouvait lui arriver, que rien ne serait bien grave tant qu’elle serait là. Et aujourd’hui, elle n’est plus là… « Merci d’être venue, Mason, » elle lui fait une petite place et l’invite à se joindre à elle. Perdue dans ses songes, elle contemple l’océan, le regard ailleurs et il la connaît si bien qu’il n’a pas besoin de trop la regarder pour s’en rendre compte. Elle est tiraillée, et elle ne mettra pas longtemps à tout lui avouer, c’est du moins ce qu’il cherchera à comprendre. « Je… » Il fronce les sourcils, cherchant à fuir son regard en le posant sur l’océan, à son tour, « j’étais pas sûr de pouvoir venir ici… » C’était ici, aussi, à quelques mètres près qu’ils se sont séparés. Une énième fois après avoir échangé leur dernier baiser. « Comment tu vas ? » Il hausse les épaules, « c’est plutôt à moi de te poser la question, non ? » Lui, il va pas si mal. Finalement, c’est pas si douloureux d’être à son contact, c’est même un sentiment plaisant et de quiétude. Ca fait bien longtemps qu’il recherche cette sensation, en s’imaginant le trouver dans d’autres bras. Quelle foutaise ! « Tu voudras aller surfer après ? » Qu’il demande, ça aussi, ça fait un bail.

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Le personnage interprété ici n’est pas celui d’Iris mais celui de Mia McKullan, sous les traits de Claire Holt

L’étendue de plages est conséquente et pourtant, c’est toujours au même endroit que ses pas la portent. Comme un repère, une zone de confort même, elle y trouve une certaine quiétude, mêlée à des souvenirs tout aussi bons qu’ils peuvent être douloureux. Des éclats de rire, en passant par des éclats de joie tout comme des éclats de voix, toute cette nostalgie, bonne ou mauvaise, la frappe, visualisant presque les scènes, nombreuses, qui se sont jouées ici. L’insouciance de certaines illumine son visage dont les lèvres se fendent dans un sourire, quand, en revanche, la violence d’autres viennent happer celui-ci. Les pas qu’elle entend derrière elle la sortent de sa rêverie assez rapidement, celle qui d’ailleurs concernait la personne qui approche. Une de leur dernière entrevue s’était jouée ici même, Mia se remémorant cet instant où Mason l’avait retenue pour l’embrasser. Un baiser qu’elle lui avait autorisé parce qu’il représentait celui qu’ils n’avaient jamais échangé lors de leur adieu. Un adieu à leur couple, à cette relation qu’ils ont tenté de construire pendant des mois – et que Mia a tenté de garder à flot le plus longtemps possible, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus – et qui n’a été qu’un échec cuisant, obligeant la journaliste qu’elle était à mettre fin à leur relation. Une relation qui s’est terminée de la pire des façons, les deux se jetant des monstruosités au visage et mettant fin à la fois à leur couple mais aussi à leur amitié. Une fin abrupte, une déchirure, une de celle qui laisse bien des traces et des trous béants dans la poitrine. Il a fallu du temps à Mia pour s’en remettre et une part d’elle ne s’en est surement jamais remise.

Mais la hache de guerre semble enterrée quand, après des années de rupture, ils sont parvenus enfin à discuter de tout ça sans la moindre élévation de voix. C’est ce qui explique qu’aujourd’hui, alors que leurs chemins se croisent à nouveau, et ce volontairement, aucune amertume n’est présente dans la voix de l’un ou de l’autre. Mia remercie Mason d’être venue la rejoindre alors qu’il prend place à ses côtés « Je… (…) j’étais pas sûr de pouvoir venir ici… » Et si elle pourrait s’en offusquer, il n’en est rien, quand elle comprend pour quelle raison il lui fait cette confession « Je n’ai pas choisi le meilleur endroit, c’est vrai… » Elle s’excuse de ne pas avoir pensé à ça plus tôt mais ses pas l’ont emmené ici. Cet endroit même où elle a aussi eu son accident de surf deux ans plus tôt et qui explique qu’elle soit encore immobile, assisse sur le sable, le regard rivé sur l’océan, sa planche de surf inutile à ses côtés « c’est plutôt à moi de te poser la question, non ? » Il a remarqué. Il a remarqué qu’elle ne va pas et c’est peut-être la première fois en réalité qu’il remarque son état. Cela fait longtemps, bien trop longtemps, qu’elle n’avait plus retrouvé ce Mason là, les occasions rares quand cela se produisait. Même lorsqu’ils étaient en couple, il ne parvenait à se rendre compte du mal être dans lequel elle pouvait se trouver quand il rentrait bien trop tard d’un soir de match ou à moitié éméché, en pensant pouvoir coucher avec elle comme si de rien n’était. Mia trouve son regard et même si elle aimerait pouvoir prétendre le contraire, elle se doit d’être honnête, ses épaules s’haussant mollement « Ça peut aller… ». Elle cherche à minimiser la chose alors que ses yeux bleutés se perdent dans ceux similaire de son ex et qu’elle semble lui envoyer un appel à l’aide silencieux. Elle soupire, reporte son regard sur l’horizon « Je n’ai toujours pas pris ma décision… » quant à son retour en Europe, elle entend. Et sûrement que cela était une mauvaise idée mais c’est en partie pour cette raison qu’elle l’a appelé lui aussi. Peut-être pour chercher à se convaincre de partir ou au contraire, s’en dissuader « Tu voudras aller surfer après ? » « J’aimerai… Elle aimerait mais quelque chose la retient, cette peur qui n’a de cesse de l’habiter depuis l’accident, même si elle a pourtant remis les pieds dans l’eau et surtout sur une planche depuis. Mais cela fait aussi un an qu’elle n’a plus pratiqué le surf et l’agitation de l’eau cristalline face à eux n’aide en rien à la rassurer … si j’y parviens » avoue-t-elle alors avant qu’à nouveau, sa tête se pivote vers Mason, un sourire apparaissant en coin « Je peux compter sur toi… au cas où ? » Au cas où que quelque chose tourne mal ou qu’elle panique. Elle le dit sur un ton plaisantin mais n’en pense en réalité pas moins, attendant l’approbation du basketteur face à sa demande.

 « make me feel like somebody »    mia mckullan &  mason bradford .

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Il aurait pu se douter de l’endroit exact où elle lui donnerait rendez-vous, il aurait pu le parier qu’il aurait aisément gagné. Parce que c’est ici que tout à commencer, et que tout à finit entre eux. C’est ici même qu’ils se sont embrassés avant de se déchirer. C’est ici même, qu’elle n’a jamais voulu lui pardonner, et dont il n’a jamais su trouver les mots adéquats pour arriver à cette paix entre eux. Alors c’est vrai que ca lui fait un peu bizarre d’être ici, devant elle, encore une fois. Et peut-être que ce n’est pas pour rien, si elle lui a donné rendez-vous ici, peut-être qu’inconsciemment, elle aimerait retrouver cet ancien Bradford, du tout début. Où ils se plaisaient à se taquiner, à s’aimer silencieusement, avant que leur amitié dérape et se transforme en vrai cauchemar. Mais Mason n’a jamais appris à aimer quiconque, et si elle, elle n’a pas réussi, il se dit que personne d’autre y parviendra. Parce que dans le fond, c’était elle et lui. Elle et lui et dans son monde, personne d’autre pouvait venir tacher le tableau. Personne d’autre que son Italien, que Mason déteste tant. Et surpris de constater qu’il n’y a plus l’amour du début entre eux, il ne sait pas bien ce qui l’a poussé à pas la repousser dans le cimetière, qu’est-ce qui a bien pu se passer pour qu’il se ramène ici. Ca n’aurait pas été la première fois qu’il ne tient pas sa promesse, alors pourquoi se devait-il cette fois-ci plus qu’une autre, de la respecter ? Avait-il envie de refaire surface dans son monde ? Celui-là même qu’il a détruit quelques années auparavant ? Il n’ose véritablement en avoir conscience alors que son regard balaye l’océan, devant lui. Tant que son regard ne heurte pas celui de la journaliste, ça lui va très bien. « Je n’ai pas choisi le meilleur endroit, c’est vrai… » Il hausse les épaules, il n’en sait rien, à vrai dire, il n’en garde pas que des mauvais ici. « T’inquiète pas, je suis un grand garçon… » Qu’il avoue, sur un ton léger, presque un peu trop blagueur comparé à ce qu’il ressent à l’intérieur. Mais Mason n’est pas du genre à laisser réellement ses sentiments se dévoiler, se mettre à nu. Pas même devant celle, qui a longtemps fait partie d’un quotidien qui le hante encore, aujourd’hui. Surtout, depuis qu’il l’a perdue, qu’elle a tourné cette page – quand lui, demeure dans ce passé qui lui va si bien. « C’est juste, que je ne suis jamais revenu sur cette plage… » Il fait un maigre sourire avant de poser délicatement, et surtout discrètement ses yeux sur elle, et de la contempler quelques instants, pendant que son regard est attiré par tout sauf par lui. Il est déjà installé au côté de la jeune femme, quand elle finit elle-même par répondre à sa question, « ça peut aller…  » Il soupire, en détournant son regard, dans ses pensées, tout s’agite. « Je n’ai toujours pas pris ma décision… » Une décision pas facile à prendre, il le comprend très bien. Lui-même n’a jamais eu besoin de le faire, parce qu’il savait très tôt, qu’il devait quitter Sydney. Qu’il ne pourrait pas rester dans les traces de son père, parce qu’il n’a jamais aimé qu’on lui dise quoi faire, quoi penser. Il n’a jamais aimé qu’on le considère comme le fils de son père et que grâce à ça, il avait toute sa place : parce qu’il a dû redoubler d’effort, et qu’être le fils d’un des plus grands basketteurs du pays, voir même bien plus, n’a jamais été un cadeau à ses yeux. Parce qu’il devait être au-dessus de ça, plus fort que ce que son père ne l’ai jamais été. « J’ai été si con que ça ? » Il ne sait pas bien si cette question mérite une réponse, et surtout, il ne sait pas bien si quel qu’en soit la réponse, il veut l’entendre de sa bouche. Parce qu’il a fait le con, il a joué, et il a perdu. Aujourd’hui, on pourrait bien penser que c’est tant pis pour lui, mais Mason reste cette personne qui ne s’attache que rarement sur le long terme, qui est plutôt du genre à être cette étoile filante, qui brille mais que pour une durée très limitée. Et il ne sait pas bien si un jour, il pourra offrir plus, quand même bien elle se nommerait Mia McKullan, et qu’elle aurait toute les qualités requises pour passer haut la main, son détecteur. « J’aimerai… si j’y parviens. » Elle pivote sa tête sur le côté, et il lui jette un bref coup d’œil avant de voir son sourire apparaître sur ses lèvres. « Je peux compter sur toi… au cas où ? » Il lui tend sa main après d’être relevé en l’espace de quelques secondes, fallait pas lui en demander plus. « T’as oublié que tu as le meilleur pompier de tous les temps devant toi ? » Si il y avait bien une chose qui n’avait pas changé chez le basketteur c’est bien sa modestie. « Promis, je sais faire le massage cardiaque et le bouche à bouche, au besoin. » Et assez étrangement, cette idée ne lui déplaisait pas, de s’entraîner sur elle. Mais c’était surtout pour lui montrer qu’il serait là, pour rattraper cet ancien bouffon qu’il a été, envers elle.