ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : elle s'est envolée à vegas avec spencer et est revenue mariée. sa famille lui en veut, ses potes font la tronche, mais 10/10 quand même. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1315 POINTS : 270
TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : relation majeur/mineur romancée, grooming, et globalement tous sujets un peu graves romancés.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS : SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
NAT ça vieng
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
GWEN
IAN
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
J’aurais dû me taire, arriver à me retenir, laisser mon côté mélo à distance pour une situation qui aurait dû me faire sauter de joie, ou tout du moins me rendre heureuse pour toi. Parce que j’ai foutrement envie de l’être : tu mérites mieux que tout ça, tu mérites mieux qu’ici qui t’enferme sans te laisser te relever, tu mérites de l’oxygène que t’auras jamais dans notre bocal et je veux te voir heureuse, l’esprit libre et la tête focalisée sur le futur. Ca fait un moment, je pense, que je comprends en filigrane et sans vouloir donner à la pensée trop d’importance que tu as besoin de décoller, d’aller voir ailleurs, et que je sens que sans t’éloigner de tout ça, tu n’y arriveras jamais complètement. Je suis incroyablement égoïste, de te mettre mes états d’âme sur le dos : j’aurais voulu être capable de tenir ma langue, de faire la chose noble en te laissant partir, et d’aller noyer ma tristesse chez Tara en me persuadant que peut-être que je pourrais l’aimer, un jour. Jamais comme toi, mais autrement, et ce sera bien aussi. Je me justifie comme je peux : j’ai pas réussi à me retenir, j’ai ni cette grandeur d’âme ni cette abnégation, et j’ai envie que tu comprennes que je dis pas ça comme ultime tentative pour te retenir. Je le dis parce que sinon je m’en voudrais toute ma vie, que t’as le droit de savoir, et j’essaie de dédramatiser, consciente que je peux en faire des caisses et aussi pour ne pas trop te faire flipper d’un coup. C’est énorme, ce que je te dis : en des années d’amitié, on n’a jamais parlé de ça ou même de cette possibilité. En plusieurs mois à coucher ensemble, le sujet ne nous a jamais frôlées – ou alors, on faisait super bien semblant. Je finis par ponctuer mes aveux d’un j’aurais rien dû dire à moitié convaincu, qui cherche à être rassuré : mais si, j’ai bien fait, et ça brisera pas ce qu’on a ; c’est bizarre, comme situation, mais on passera au-dessus, on l’a toujours fait. Au lieu de ça, tu me prends dans tes bras, et tu t’excuses. « Je sais que t’attendais sûrement autre chose comme réaction mais je- » Je secoue la tête, alors que si, je m’attendais à autre chose, peut-être à tout sauf ça, « J’crois que je vais avoir besoin d’un peu de temps pour faire le point. » C’est un nouveau coup de massue, l’énième de la soirée, celui qui finit de me convaincre que j’aurais dû te laisser partir en silence alors même que je sais que j’en aurais été incapable dans tous les cas. Tous les chemins menaient à cette conclusion, à moi qui reste contre toi dans une espèce de torpeur et à toi qui propose de rentrer. Je sais pas si tu dis ça pour m’épargner, ou si tu te sens trop mal à l’aise pour rester, mais c’est ce qui me pousse à me redresser, à enfiler le premier t-shirt que je trouve, toujours trop nue pour mon confort, et à glisser à voix trop basse, trop terne, trop morne, me frottant le nez d’une main : « Je comprends. » Qu’est-ce que je pourrais dire d’autre ? « Désolée. » Je rallume la lumière dans la chambre qui ne laisse filtrer que celle de la cuisine et du salon : clap de fin, on peut s’arrêter là. « Je te fous pas dehors, hein », mon ton se radoucit un peu, parce que je ne sais pas comment te faire comprendre que je ne t’en veux pas, c’est à moi-même que j’en veux, « mais je pense que c’est mieux. » Je me vois pas passer la nuit avec toi à côté, à devoir garder mes mains pour moi et lutter avec mes pensées alors que je t’ai mise dans une situation trop inconfortable et bloquante pour que tu saches comment t’en extraire seule. Je te l’offre, ta porte de sortie, cadeau de la maison. « Je te prends un Uber ? » Tu pourras même faire ta sortie en Tesla, celles avec le toit transparent. Il faut prendre les bons côté là où on les trouve.
don't you wanna take time and get to love me? we could build a perfect world, i got tricks i really want to show you. i could be your perfect girl, and when we grow older we'll still be friends, we'll still be lovers and won't fear the end. (c)flotsam.
Spencer Blackwell
l'hymne à la nuit
ÂGE : a passé le délai pour adhérer au club des 27 et c'est pas plus mal. (05.04.96) SURNOM : spence, c'est suffisant. STATUT : être adulte c'est partir à vegas et épouser sa meilleure pote là-bas (et c'est même pas une vanne) MÉTIER : d'abord serveuse à l'octopus, elle y est aujourd'hui croupière. (rien d'autre à signaler, monsieur l'agent) LOGEMENT : depuis peu, elle partage un appart avec mac à logan city. (+ marlon brando le corgi et charlie swan le chat des rues) POSTS : 3961 POINTS : 370
TW IN RP : consommation de drogues et d'alcool, overdose, anxiété, langage vulgaire, violence physique, comportement autodestructeur, abandon familial (liste non exhaustive) TW IRL : ràs.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : enfant du système › véritable désastre social › réfractaire au changement › autocritique acerbe › 0% self esteem › ancienne consommatrice régulière de stupéfiants (a fait une overdose en mai 2022, suivie d'une désintox) › tente de faire au mieux pour reprendre sa vie en main › clean depuis juin 2022CODE COULEUR : spencer hésite en olivedrab (ou darkolivegreen) RPs EN COURS :
(raelyn#15)nobody really cared, so it never really mattered. it never really mattered, so it never really happened. what's the point in fighting for a happy ever after? the past keeps haunting the future, i imagine.
(mac#22 & #23 (2018))i know i went and left you all alone, please don't think that i let you go. 'cause i could touch a hundred thousand souls but none of them would ever feel like home.
(+ ua slasher + ua trophy wives + ua fwb + ua gothique)
(malone#3)step one, gotta find a way to get the fuck outta bed. step two, gotta find a way to get the fuck out my head. step three, gotta wake up, do this all over again.
(kieran#5) › bad things come in threes. bad luck always seems to find me, black cat walkin' right beside me. knock on wood but i'm still jinxed.
RPs EN ATTENTE : (eli (scénario libre))you're a lone wolf in the wild, there's a fire burning underneath the starlight and you're still in this heart of mine, you're pretty when you're high boy.
little death but i want another Spencer Blackwell & @Mac Sutherland
“Je te fous pas dehors mais c’est mieux” c’est à peu près tout ce que tu retiens. T’es trop conne, putain, pourquoi t’as rien dit ? Pourquoi tu continues de garder le silence au lieu de la rassurer, de laisser sous-entendre que c’est réciproque ? Le coeur au bord des lèvres, tu te contentes d’acquiescer et de rajouter un « ouais… T’as sans doute raison. » Oui, c’est mieux comme ça, surtout maintenant que t’as tout gâché avec tes doutes et tes hésitations. A ton tour, tu te relèves, tu vas récupérer tes vêtements pour les enfiler rapidement, trop pour te rendre compte que ton sweat est resté sur son canapé. « Non, je… J’ai envie de marcher un peu, » et tant pis pour l’heure tardive ou l’heure à laquelle ça va te faire rentrer chez toi, c’est bien le dernier de tes soucis, là, tout de suite. Décidément, cette soirée aura été foireuse de bout en bout… T’es même pas capable de la regarder plus de cinq secondes ou de la rassurer un tout petit peu sur le fait que c’est rien, ce qui s’est passé. C’est pas grave, vous vous en remettrez, comme toujours, et les choses n’auront pas à changer tant que ça. « Je- » Légère hésitation avant de sortir de l’appartement, « on se voit bientôt ? » Quand elle sera prête à passer outre tout ça, de préférence avant que tu ne partes à Perth mais c’est même pas obligé. T’as rien d’autre à offrir si ce n’est un pauvre sourire un peu triste et désolé puis tu l’enlaces tout de même brièvement, juste une dernière fois, murmurant un petit « merci » un poil misérable et elle est libre de le prendre pour ce qu’elle veut. Pour la soirée, pour ses encouragements, pour sa patience, pour tout ce qu’elle t’a apporté ces dernières années, peu importe.
T’as regretté à l’instant où t’as quitté son appartement. Pourtant, y a cette espèce de fierté un peu mal placée qui t’a poussée à continuer et à aller jusqu'au bout de ta décision. La vie à Perth, c’est différent. Avec ton boulot et tes nouvelles responsabilités, t'arrives jamais à te poser, toujours sur la brèche prête à répondre présente et à faire des heures en plus. Ca t’épuise, bien sûr, mais c’est de la bonne fatigue, celle qui te fait te dire que t’as fait le bon choix et que tu regrettes pas. Pas vrai ? Perth, c’est tout ce que t’attendais, sinon plus, c’est ce que tu cherchais, ce que tu voulais et même tes collègues sont bien plus sympas qu’à Brisbane. Pourtant dans tout ça, t’arrives pas à être cent pour cent investie, y a toujours quelque chose qui te retient ailleurs, ou plutôt quelqu’un. Quand t’es arrivée dans ton nouvel appart, elle a été la première que t’as prévenue, bien sûr. Un message faussement enthousiaste presque ponctué d’un “tu me manques” que tu t’es empressée d’effacer avant de l’envoyer, trouvant finalement l’idée presque un peu cruelle à son encontre. La réponse sonnait au moins aussi fausse, mais t’as décidé de faire semblant de croire à son énième “je suis contente pour toi”. Bêtement, t’as essayé de te convaincre que quand la situation se serait un peu tassée, vous pourriez passer des heures au téléphone à parler de vos journées et de vos vies respectives, à réapprendre à être amies comme c’était le cas avant tout ça. Y a bien eu quelques appels, mais ils étaient toujours bien vite écourtés parce qu’il fallait sortir Marlon ou que ton patron appelait pour vérifier que tout se passait bien. Les jours ont passés, puis les semaines, puis les mois, et la distance a continué à se creuser. Quelque part, c’était prévisible, trop peut-être, mais t’as préféré rester dans le déni jusqu’à ce que ça soit trop évident pour continuer à ignorer. C’est un de ces soirs où tu fais semblant de t’occuper en swipant sur Tinder, sans but aucun ou sans envie particulière, et puis t’as matché avec cette meuf qui lui ressemble trop pour que ça soit une réelle coïncidence. Merde, elle avait aussi le même type d’humour dans ses messages et t’as finis par carrément arrêter de lui répondre, à la pauvre fille. Tu t’es redressée dans ton canapé et t’as commencé à regarder les prochains vols pour Brisbane, puis par carrément prendre un billet. Un arrêt maladie et un vol plus tard, t’es plantée devant sa porte, la main levée en attendant d’avoir le courage de frapper. Sa voisine octogénaire est passée en faisant une remarque que t’as même pas écoutée, et puis t’as enfin sauté le pas. Bam bam bam, tes phalanges cognent le bois et tu patientes, partagée entre la hâte de la revoir et une irrépressible envie de vomir. T’es à deux doigts de faire demi-tour et de fuir à nouveau quand la poignée bouge et qu’elle apparaît dans l'entrebâillement, l’air aussi surprise que toi. « Hey, » tu marmonnes derrière ton sourire gêné, reprenant dans la foulée, « je- On peut parler ? » Enfin toi, surtout, t’as tout un tas de trucs à dire sans savoir par où commencer, mais faut bien le faire alors tu te lances avant de te défiler pour de bon. « J'ai fais une connerie. » La plus grosse de ta vie, peut-être. « J'suis partie en pensant que c'était ce qu'il me fallait, en me disant que je trouverai c'que je voulais là-bas mais… » Faut se rendre à l'évidence, le résultat est plus que mitigé. « C'est con et injuste pour toi mais j'étais persuadée que t'étais amoureuse de Tara, que nous deux ça irait jamais plus loin que ce qu'on avait déjà et ce soir-là quand tu m'as dit que tu m'aimais je… j'ai eu peur. Pendant un moment j'ai même cru que tu l'avais dit parce que tu voulais pas que je parte mais que t'osais pas le dire et- » Et tu t'en es voulue de penser ça d'elle. « Le truc c'est que… Merde, moi aussi, en fait. » T’as juste jamais eu le courage de l’avouer. « Je t'aime, Mac, et je suis désolée de pas avoir su le dire avant et d’être partie comme ça, j'étais- » c'est une voix féminine à l'intérieur de son appart qui t'interrompt, quelqu'un qui l'appelle et lui demande si tout va bien et tu te sens stupide d'avoir imaginé un seul instant que juste peut-être elle attendrait après toi alors que vous parlez à peine depuis des mois. Légère inspiration et tu prends enfin le temps de la regarder, presque honteuse d’avoir tout déballé comme ça sans même avoir envisagé la possibilité qu’elle voyait quelqu’un. « Pardon, je tombe peut-être pas au meilleur moment… » Bref sourire d’excuse, t’es déjà en train de faire un pas en arrière pour lui laisser de l’espace mais surtout pour te préparer à repartir. « J’aurai dû prévenir, je- Je repasse une autre fois ? » Ou peut-être plus du tout, en fait.