| Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal (Charlie) | |
| Auteur | Message |
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 ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 70 POINTS : 380 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal (Charlie) Lun 11 Sep 2023 - 19:20 | |
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Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal. @Charlie Fawcett - septembre 2023
Pour une fois, il n’est pas question de musique, l’escapade du jour n’a aucune vocation professionnelle alors que les dernières semaines ont vu les choses s’accélérer de manière concrète sur ce domaine, principalement à la suite des voyages à Londres et Sidney. Les réflexions, l’écriture, la communication, le tout est laissé de côté le temps de quelques heures, libérant l’esprit des contraintes imposées par ces éléments. Déposée à quelques rues de sa destination, elle en profite pour flâner, plus ou moins volontairement, à mesure qu’elle s’égare du chemin entre deux coups d’œil au GPS de son téléphone. Un jour, son sens de l’orientation dépassera celui d’un gamin de cinq ans, en attendant, elle se repose entièrement sur la technologie. L’identité dissimulée sous la capuche d’un pull un peu trop large et une paire de solaire, la vitesse de la marche est rendue erratique par les divers sauts d’attention de Moka, tantôt ralenti afin que le chien renifle elle ne sait quoi, tantôt accéléré sans la moindre raison. Par moments, la scène donne plus l’impression que l’animal est aux commandes que l’inverse, ce qui est généralement le cas. Malgré ces aléas de moindres conséquences, autres que les minutes perdues à se remettre sur le bon chemin, l’expédition fini tout de même par atteindre son objectif, arrivant au pied d’un immeuble. Le regard se balade sur l’interphone, balayant les noms ornés sur l’appareil jusqu’à trouver celui de Charlie, cible de sa recherche. Pression sur le bouton afin de déclencher la mélodie d’appel et de s’annoncer au moment où elle entend une voix sortir de l’engin. L’entrée se déverrouille dans un bruit caractéristique et elle s’y engouffre, avant de prendre l’ascenseur pour rejoindre le dernier étage. Coups rapides sur la porte de l’habitation à la suite desquels elle se recule de quelques pas, connaissant pertinemment la suite des événements. Dès que la blonde fait son apparition, la bête aux côtés de June s’élance dans sa direction avec tout le naturel et l’innocence du monde, ne s’arrêtant qu’au moment où il sent la laisse tirer sur son harnais et rendre son déplacement plus difficile, non sans mal, reconnaissant le signal pour revenir à sa place initiale. « Hey. » Elle adresse un sourire légèrement amusé à Charlie. « Désolé, il est pas méchant. Juste un peu brut et beaucoup trop amical. » La carrure d’un chien de garde à faire détaler les plus téméraires, le comportement totalement inverse. « Il est sûrement content de voir une autre tête que la mienne. » Lui aussi doit commencer à se lasser de la routine de l’hôtel et ses alentours. La solitude initialement recherchée par l’artiste en allant se cacher à l’autre bout du monde pèse sur le moral, encore plus quand on a l’habitude d’être entouré en permanence comme elle l’a été ces dernières années. « Comment ça va depuis la dernière fois ? » Qu’elle s’enquiert avant de s’accroupir au niveau de Moka, détachant sa laisse et lui caressant le crâne. « Calme. » L’animal s’approche à nouveau de Charlie, mais cette fois, d’une manière plus canalisée.
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|  | |  ÂGE : 29 ans. (09.08.1994) SURNOM : Charles est le prénom qu'elle donne parfois, par habitude. STATUT : Cameron a rompu avec elle à la sortie de sa cure de désintox. Elle a envie de le tuer, et elle saurait parfaitement comment s'y prendre pour cacher le corps. MÉTIER : Inspectrice dans la brigade des homicides et binôme d'Anwar. C'est un "pour le meilleur et pour le pire" sans baiser sur l'autel. LOGEMENT : #10 Spring Hill, un loft luxueux acheté par ses parents. Un petit cadeau de rien du tout. POSTS : 37452 POINTS : 610 TW IN RP : Évocation de consommation de drogue. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Gamine devenue adulte par la force des choses, habituée à ce que tout lui soit dû › Peur panique de l’abandon › S’attache trop vite, trop fort › A arrêté les drogues depuis qu’elle a mis un pied dans la police › Oiseau libre, s’en va où le vent la mène › Rêve grand, le quotidien et ses habitudes l’ennuient › Ressent le besoin de sauver le monde entier › Abandonnée à la naissance, elle a été élevée dans la culture australienne aborigène et en a fait son devoir que de la préserver CODE COULEUR : crimson RPs EN COURS : (06) › cameron #5 › anwar #5 › anwar #6 (event) › zoya #2 › madison #5 › june
chaddie #10 › comin' on to the light of day, we got many moons that are deep at play so i keep an eye on the shadow smile to see what it has to say. you and i both know, everything must go away. spinnin' knot that is on my heart is like a bit of light in a touch of dark. do you want this love of mine? darkness helps us all to shine.
barbie&ken (scena) › there'd be no summer, there'd be no spring. thorns without flowers, bars with no drinks if not for this love of mine. if not for you, i couldn't get off this floor. no more Nirvana, no Billie Jean, no dancin' if you were gone. and how could i wake up? how could i sleep? how could i be someone?
madlie #5 › call out in the middle of the night, for when else would i hear you? fall out in the cold starlight, i can save you if you do. you will never walk alone, you can always reach me. call me Little Sunshine, call me when you feel all alone. just call me Little Sunshine.
chanwar #5 › i must not fear. fear is the mind-killer. fear is the little-death that brings total obliteration. i will face my fear. i will permit it to pass over me and through me. and when it has gone past, I will turn the inner eye to see its path. where the fear has gone there will be nothing. only I will remain.
jolie #11 › see, the thing about these days is you meet someone, then you tear it up in the back of the vintage store. they hurt you, they desert you in apathetic intervals. see, the thing about these days is i need someone one who reminds me of sweet heroine pulsin' through my veins like it ain't a sin.
RPs EN ATTENTE : jo #11 › eddie #10
cole (scena) › don't ever say it's over if i'm breathin', racin' to the moonlight and i'm speedin'. i'm headed to the stars, ready to go far, star walkin'. on a mission to get high up, i know that i'ma die reachin' for a life that i don't really need at all.
stella #2[ › would i sell my soul for a little bit? at least i'm honest, cuz i been thinking about the cosmics. could i make a little difference before i waste away? nothing really changes more than yesterday, it's like i'm tryna save the world with a live grenade.
RPs TERMINÉS : (beaucoup)
cf. fiche de liens
AVATAR : Sophie Turner CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar) › zvldagifs (gif) › antsvault (gif jeremy a. white) › harley (gif madison) › fleetwoodmar (gif cole) › jofridapettersen (gif stella) › zvldagifs (gif signature) › loonywaltz (userbars) DC : Auden, Lily, Swann, Rhett & Ambrose PSEUDO : Kaelice INSCRIT LE : 30/03/2019   | (#) Sujet: Re: Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal (Charlie) Jeu 14 Sep 2023 - 22:11 | |
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| (logements, spring hill) Charlie sourit dès l’instant où elle reconnaît la silhouette de son amie sur la caméra brouillée de la porte d’entrée de l’immeuble. June est impossible à reconnaître sous sa large capuche et elle ne devine son identité que parce que son arrivée était attendue et connue. Elle a tout de même pris le temps de vérifier avant d’ouvrir la porte, habitude prise à force de côtoyer des personnes parfois peu recommandables. Son taux de confiance en l’Humanité est en chute libre mais puisqu’il était bien trop élevé pour être raisonnable, il n’y a rien dont elle devrait s’inquiéter. Preuve en est: elle a ouvert à June sans être certaine qu’il s’agissait d’elle, mais à en juger par les coups portés contre sa seule porte, le doute n’est pas le bienvenue.
La blonde ne joue pas avec la patience de son amie, bien consciente qu’elle n’a pas à coeur d’être reconnue dans un couloir aussi peu que dans la rue, et c’est avec une bienveillance sincère qu’elle ouvre donc. En premier lieu, ce n’est que le chien qu’elle accueille à grands coups de caresses et de mots échangés (dans un sens unique) avec une voix particulièrement niaise, celle-là même destinée à tous les canidés. Son propre chien se mêle à la scène avec curiosité, à peine réveillé d’une sieste et pas encore d’attaque semble-t-il. « Hey. Désolé, il est pas méchant. Juste un peu brut et beaucoup trop amical. » Elle se doutait bien que June n’allait pas venir jusqu’à chez elle avec un chien enragé, raison pour laquelle elle n’a même pas pris la peine de se méfier un seul instant. « T’excuse pas. Ça fait plaisir à voir. Le mien est un caramel. » Qu’elle dénonce tout en déportant son regard sur le Labrador encaissant sans mal la balle perdue. « Il est sûrement content de voir une autre tête que la mienne. » Le regard de la blonde se reporte sur le chien de son amie, à qui elle offre une dernière caresse entre les oreilles avant de se relever et de fermer la porte pour leur offrir un espace privé digne de ce nom. « T’as pas de mal à t’occuper de lui en sortant aussi peu ? » Elle ne sera pas de ceux qui diront qu’avoir un animal sans le sortir dix heures par jour est une honte, mais le style de June est particulier et elle se demande sincèrement si elle arrive à s’en sortir à la hauteur de ce qu’elle aimerait.
« Comment ça va depuis la dernière fois ? » Le chien est libéré et Charlie se détourne de June, ses épaules nonchalamment haussées. « Les jours se ressemblent un peu trop, si tu veux mon avis. » Traduction: elle devient folle. Il manque ce quelque chose à son existence dont elle a cruellement besoin et cela la ronge de l’intérieur sans que cela ne puisse être réellement visible. Le travail la stress, les dernières affaires la hantent certaines nuits, et elle n’a rien pour décompresser. Eddie est un père occupé maintenant, il ne joue plus dans la cour de Charlie et de ses éternels problèmes d’adolescente. « T’as pas le temps d’avoir ce genre de conclusion, pas vrai ? » Le sourire est amical, sa question n’ayant pas à être associée à un quelconque reproche sous-jacent. June a une vie remplie et un succès grandissant qu’elle mérite sur toute la ligne. « Hormis l’hôtel, je veux dire. » L’éternelle même porte, l’éternel même code d’accès, l’éternel lit fait au carré chaque matin. Une routine à vomir, si jamais on demandait son avis à Charlie. « Je sais pas comment tu fais. » Elle avoue un ton plus bas, sa silhouette faisant le tour du bar central pour demander du regard à June si elle souhaite boire quelque chose. Du verre d’eau à celui de vodka, Charlie a évidemment de tout. |
|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 70 POINTS : 380 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal (Charlie) Mer 27 Sep 2023 - 23:47 | |
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Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal. @Charlie Fawcett - septembre 2023
« S’il pouvait déteindre un peu sur Moka, je dirais pas non. » Le rendre un peu moins brut et énergique ne serait pas un mal, au moins pour avoir l’impression de maîtriser la bête durant les rares moments de promenades. « J’essaye de faire le maximum, et de le prendre avec moi dès que c’est possible. » Opportunité qui ne se présente pas souvent, venir accompagnée d’une boule de nerfs n’est pas compatible avec le milieu dans lequel elle évolue. À l’exception des quelques jours passés dans la campagne d’Adélaïde, les conditions ne sont jamais réunies afin que l’animal reste constamment à ses côtés. « Pour le reste du temps, je me contente de payer des gens qui viennent s’en occuper. » Moyen le plus simple afin que l’animal puisse sortir à d’autres horaires que ceux totalement éclaté de June et ne pas se retrouver seul quand elle doit s’absenter plus ou moins longtemps. On est loin de la situation idéale, forcément qu’elle aimerait pouvoir s’en occuper sans requérir d’aide extérieure, mais dans la période actuelle, difficile de faire autrement. Pas de quoi la faire culpabiliser pour autant, tout est fait pour que le chien ne manque de rien.
La nonchalance l’interroge alors qu’elle suit son hôte. « Les criminels ne font pas preuve d’assez d’originalité pour te stimuler ? » Certains diraient qu’il ne s’agit pas vraiment d’un problème, bien au contraire, s’ils sont faciles à choper, la sécurité de la ville est d’autant plus garantie. Vision simpliste de la chose, pas comme si elle s’y connaissait suffisamment pour tenter une analyse plus en profondeur. « Tu le penses vraiment ? » Elle est loin d’avoir un emploi du temps débordant depuis plusieurs mois maintenant, passant le plus clair de son temps à naviguer entre l’angoisse de ne pas être capable de monter ce foutu album et la solitude inhérente à son isolement dans un pays dans lequel elle n’a aucune attache, l’ensemble entrecoupé par les prises de tête avec le label. « C’est simplement la magie de la communication pour donner l’illusion. Ça fait un bail que mes journées sont pas folles. » Des moments parfaitement choisis dans l’optique de faire croire que sa vie est en mouvement constant, alors qu’il en est tout autre. On a connu mieux que de fixer une page blanche pendant des heures incalculables sans vraiment réussir à la remplir autant qu’elle le voudrait. Certes, les choses vont légèrement mieux de ce côté ces dernières semaines, mais l’exercice reste insuffisant par rapport aux résultats attendus, et, en dehors des tentatives d’écriture, son temps n’est exploité que pour des réunions redondantes. « J’te concède que l’hôtel, niveau stimulation, on peut faire mieux. » Mais on peut aussi faire pire, après plusieurs semaines à être enfermée entre les murs du centre de désintox, où les habitudes millimétrées sont l’outil principal, tout semblait comme une alternative intéressante. « Tu veux connaître mon secret ? » Elle vient s’accouder au niveau du bar, le regard espiègle en laissant plusieurs secondes afin de construire un faux suspens, comme si elle s’apprêtait à faire une révélation majeure. « J’ai payé une blinde des experts qui m’ont dit que le meilleur moyen de pas retomber dans mes travers, c’est d’avoir une routine solide et de s’y coller du mieux possible. » En d’autres termes, se faire violence afin d’agir à l’inverse des tendances naturelles. Elle avait l’habitude de bouger en permanence, toujours accompagnée, enchaînant les événements et soirées dans un rythme pas loin d’être chaotique. Le changement est radical depuis son arrivée à Brisbane, comme en témoigne le verre d’eau qu’elle lui demande. Pour le moment, elle s’y astreint, aux conseils lui permettant de rester maître de son addiction, bien que l’illusion s’effrite à mesure que les efforts lui pèsent. « J’peux te coacher, si t’as besoin. » Comment survivre dans une vie sans folie, oui, on parle bien de survivre et non de vivre. « Ou sinon, si tu veux pas sombrer dans la dépression du train-train quotidien, tu peux toujours enfiler des collants, un masque et aller combattre le crime la nuit. Ça mettrait du piment. » Elle lâche un souffle rieur en imaginant Charlie dans un tel accoutrement.
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|  | |  ÂGE : 29 ans. (09.08.1994) SURNOM : Charles est le prénom qu'elle donne parfois, par habitude. STATUT : Cameron a rompu avec elle à la sortie de sa cure de désintox. Elle a envie de le tuer, et elle saurait parfaitement comment s'y prendre pour cacher le corps. MÉTIER : Inspectrice dans la brigade des homicides et binôme d'Anwar. C'est un "pour le meilleur et pour le pire" sans baiser sur l'autel. LOGEMENT : #10 Spring Hill, un loft luxueux acheté par ses parents. Un petit cadeau de rien du tout. POSTS : 37452 POINTS : 610 TW IN RP : Évocation de consommation de drogue. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Gamine devenue adulte par la force des choses, habituée à ce que tout lui soit dû › Peur panique de l’abandon › S’attache trop vite, trop fort › A arrêté les drogues depuis qu’elle a mis un pied dans la police › Oiseau libre, s’en va où le vent la mène › Rêve grand, le quotidien et ses habitudes l’ennuient › Ressent le besoin de sauver le monde entier › Abandonnée à la naissance, elle a été élevée dans la culture australienne aborigène et en a fait son devoir que de la préserver CODE COULEUR : crimson RPs EN COURS : (06) › cameron #5 › anwar #5 › anwar #6 (event) › zoya #2 › madison #5 › june
chaddie #10 › comin' on to the light of day, we got many moons that are deep at play so i keep an eye on the shadow smile to see what it has to say. you and i both know, everything must go away. spinnin' knot that is on my heart is like a bit of light in a touch of dark. do you want this love of mine? darkness helps us all to shine.
barbie&ken (scena) › there'd be no summer, there'd be no spring. thorns without flowers, bars with no drinks if not for this love of mine. if not for you, i couldn't get off this floor. no more Nirvana, no Billie Jean, no dancin' if you were gone. and how could i wake up? how could i sleep? how could i be someone?
madlie #5 › call out in the middle of the night, for when else would i hear you? fall out in the cold starlight, i can save you if you do. you will never walk alone, you can always reach me. call me Little Sunshine, call me when you feel all alone. just call me Little Sunshine.
chanwar #5 › i must not fear. fear is the mind-killer. fear is the little-death that brings total obliteration. i will face my fear. i will permit it to pass over me and through me. and when it has gone past, I will turn the inner eye to see its path. where the fear has gone there will be nothing. only I will remain.
jolie #11 › see, the thing about these days is you meet someone, then you tear it up in the back of the vintage store. they hurt you, they desert you in apathetic intervals. see, the thing about these days is i need someone one who reminds me of sweet heroine pulsin' through my veins like it ain't a sin.
RPs EN ATTENTE : jo #11 › eddie #10
cole (scena) › don't ever say it's over if i'm breathin', racin' to the moonlight and i'm speedin'. i'm headed to the stars, ready to go far, star walkin'. on a mission to get high up, i know that i'ma die reachin' for a life that i don't really need at all.
stella #2[ › would i sell my soul for a little bit? at least i'm honest, cuz i been thinking about the cosmics. could i make a little difference before i waste away? nothing really changes more than yesterday, it's like i'm tryna save the world with a live grenade.
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AVATAR : Sophie Turner CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar) › zvldagifs (gif) › antsvault (gif jeremy a. white) › harley (gif madison) › fleetwoodmar (gif cole) › jofridapettersen (gif stella) › zvldagifs (gif signature) › loonywaltz (userbars) DC : Auden, Lily, Swann, Rhett & Ambrose PSEUDO : Kaelice INSCRIT LE : 30/03/2019   | (#) Sujet: Re: Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal (Charlie) Sam 30 Sep 2023 - 11:28 | |
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| Parler chien n’est pas la façon dont Charlie s’était imaginée approcher de la trentaine et pourtant la conversation vient naturellement, comme s’il n’y avait rien de mieux à se dire. C’est sûrement parce qu’aucun enfant n’est à prendre en compte dans le duo, sinon il aurait bien évidemment été question de purée et de marque de poussettes, n’est-ce pas ? Oh, le cauchemar de Charlie est encore pire au sujet de la progéniture. « Pour le reste du temps, je me contente de payer des gens qui viennent s’en occuper. » La conclusion est logique, lisse. Elle coule de source, assez pour que Charlie ne pense pas à revenir dessus. Si son amie a fait tout le chemin, ce n’est pas pour échanger le numéro de son dogsitter. Et puis, s’occuper de son chien est au moins une chose dont la blonde soit capable, alors elle ne voudrait pas se le retirer seule.
« Les criminels ne font pas preuve d’assez d’originalité pour te stimuler ? » Si elle était assez cynique, elle répondrait qu’un corps froid est un corps froid et qu’en plus de cela, il ne risque pas de bouger. Mais elle ne l’est pas et, surtout, elle pense davantage aux familles qui attendent des réponses ainsi que justice d’être faîte bien plus qu’à ceux qui sont déjà morts. Eux, c’est un fait: ils n’en ont plus rien à faire. « Ça m'occupe à peine sept heures par jour. » Elle rétorque néanmoins dans un vague sourire. Son métier n’est que son métier et, contrairement à June, il ne résume pas sa vie toute entière. Parfois, elle est soulagée de pouvoir compartimenter les deux et d’autres, quand sa vie privée n’est déjà plus assez stimulante selon elle, elle se dit qu’elle aurait peut-être dû trouver une autre voie. « Tu le penses vraiment ? C’est simplement la magie de la communication pour donner l’illusion. Ça fait un bail que mes journées sont pas folles. » Elle le pensait vraiment, oui, mais la réponse de June la remet sur le droit chemin. Son amie n’a aucune raison de lui mentir ou de modifier la réalité, alors Charlie accepte ses mots tels qu’ils viennent, sans fioritures. « Si on compare à une vie normale, ou de façon générale ? » A quel point ses journées ne sont pas folles, au juste ? Quand il est question de la vie d’artiste, la normalité est une idée bien difficile à cerner, et Charlie le sait alors qu’elle est pourtant bien loin d’avoir un tel train de vie au quotidien.
Dans un élan dramatique, June s’accoude au bar et Charlie recule d’un pas uniquement pour observer la scène avec un mince sourire, sans doute amusée par le jeu d’acteur qui est le sien. « Tu veux connaître mon secret ? » Elle s’appuie contre le plan de travail derrière elle, toute ouïe quant à la possible révélation s’apprêtant à être annoncée sous ses yeux ébahis - il s’agit au moins de ça, non ? « J’ai payé une blinde des experts qui m’ont dit que le meilleur moyen de pas retomber dans mes travers, c’est d’avoir une routine solide et de s’y coller du mieux possible. » La révélation n’en est pas une, et peut-être bien que Charlie est déçue. Non qu’elle attendait une annonce importante, mais peut-être bien qu’elle espérait au moins un brin de surprise. « J’aurais pu te le dire et t’aurais gardé ton argent. » Elle n’en manque pas, mais par principe elle aurait pu le garder pour autre chose plutôt que cette ribambelle d’experts qui font simplement preuve de bon sens. « J’peux te coacher, si t’as besoin. » - « Tu vas me dire de boire de l’eau et de bien dormir ? » Elle lui annonce sans doute avec un peu trop d’exaspération, en profitant néanmoins pour lui donner le verre qu’elle a demandé. June s’en sort particulièrement bien depuis sa cure de désintox, c’est un fait, mais du côté de Charlie ce n’est pas vraiment ce dont elle pourrait avoir besoin, en témoigne ses tests de drogue parfaitement clairs. « Ou sinon, si tu veux pas sombrer dans la dépression du train-train quotidien, tu peux toujours enfiler des collants, un masque et aller combattre le crime la nuit. Ça mettrait du piment. » Cette fois-ci, au moins, le rire est sincère et partagé. « Tu me proposes de passer Halloween avec toi, alors ? Mignon. » Non, évidemment elle ne risque pas d’enfiler ce genre de costume au quotidien, tout comme elle avait évidemment compris que la proposition de June n’en était pas une non plus. Mais à Halloween, qui sait. « Ton programme sera toujours le même pour la fin d’année ? » Et elle ne pose pas la question pour savoir si elle sera libre le soir d’Halloween, mais bien parce que sa curiosité cherche à avoir un bref aperçu du programme de son amie. « Tu sais que tu peux rester ici de temps en temps, hm ? J’ai pas les échantillons de gel douche comme à l’hôtel mais sinon ça devrait pas trop mal concurrencer ta chambre. » Oh, sans doute qu’elle ne fait pas tant que ça le poids contre l’Emerald Hotel, mais une partie d’elle veut croire que son charisme peut au moins aider à gommer les manques. |
|  | | | (#) Sujet: Re: Solitude causes more wounds than it was ever meant to heal (Charlie)  | |
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