ÂGE : 38 ans (30.07.1985) SURNOM : Ses proches la surnomme Gaby ou Gab'. STATUT : Elle a bien d'autres préoccupations en tête. MÉTIER : Avocate pénaliste, travaille pour le cabinet Sherman & Mancini LOGEMENT : #521 wellington street, bayside. POSTS : 1613 POINTS : 860
TW IN RP : accident - coma - violence - alcoolisme - suicide TW IRL : /GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née à Las Vegas ☽ Etudes à LA pour devenir avocate où elle s'est établie ensuite ☽ Départ pour l'Australie sans en avoir le choix en août 2020 ☽ Végétarienne ☽ Amoureuse de la nature, sa bouffée d'oxygène étant les randonnées ☽ Aime le vin ☽ Suit les tendances en matière de mode ☽ Photographe à ses heures perdues, une passion qu'elle a depuis petite. CODE COULEUR : #cc3399 RPs EN COURS :
strange family ☽ Everything will change, nothin' stays the same and nobody here's perfect, oh but everyone's to blame, all that you rely on and all that you can save will leave you in the morning and find you in the day.
luby ☽ light pink sky up on the roof, sun sinks down, no curfew, twenty questions, we tell the truth, you've been stressed out lately? yeah, me too, something gave you the nerve to touch my hand, it's nice to have a friend ☽ 1 ☽ 2
ebby ☽ So no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's DOA, it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month, or even your year, but I'll be there for you. ☽ 1 ☽ 2 ☽ 3 ☽ 4 ☽ 5.
gabson ☽ u.c. ☽ 1 ☽ 2 ☽ 3 ☽ 4. RPs EN ATTENTE : Merielle 4 ☽ Vittorio 1 ☽ Eddie 4
RPs TERMINÉS : chanelle ☽ You know it's never one or the other, i'm never feeling fine while you suffer, we were never built to forget doesn't mean you still can resent me, always on a course of collision, the road between relapse and remission, something we can't comprehend, we still both care, but we're bending ☽ 1 ☽ 2 ☽ 3 ☽ 4 ☽ 5 ☽ 6 ☽ 7 ☽ 8 ☽ 9 ☽ 10 ☽ 11 ☽ 12 ☽ 13 ☽ 14 ☽ 15 ☽ 16 ☽ 17 ☽ 18 ☽ 19 ☽ 20 ☽ 21 ☽ 22 ☽ 23 ☽ 24 ☽ 25 ☽ 26 ☽ 27 ☽ 28 ☽ 29 ☽ 30 ☽ 31 ☽ 32 ☽ 33 ☽ 34 ☽ 35.
Los Angeles, septembre 2023. Il est temps. Il est temps de retourner dans cette ville qui a toujours été sienne, celle qui a vu naître la Gabrielle Strange qu’elle est aujourd’hui. Celle qui a pu prendre une revanche sur cette enfance et cette adolescence chaotique, sur cet avenir tout tracé qui aurait pu être le sien, celui que son père lui a longuement associé, en estimant qu’elle finirait serveuse dans un bar miteux et ne parviendrait jamais à faire carrière comme lui. Une carrière qu’il s’attribuait à un moment de sa vie où il n’était plus que la triste ombre de lui-même, déchu de son rôle d’avocat depuis des lustres et n’étant en rien un modèle pour sa fille, des mots prononcés alors qu’il était alcoolisé et dans une énième phase de violence verbale – si ce n’est physique. Les blessures restent, les souvenirs et la résonnance de certains mots aussi mais cela n’a en rien empêché Gabrielle de suivre son chemin et de réussir haut la main à devenir la personne qu’elle est aujourd’hui et l’avocate dont la réputation n’était plus à faire dans la ville californienne. Une phrase accordée au passé parce qu’elle a toutefois dû abandonner aussi cette vie qui était la sienne suite à cette fusillade survenue devant le tribunal trois ans plus tôt et l’obligeant donc à prendre un nouveau départ à Brisbane. Et c’est cette même fusillade qui l’emmène à prendre le chemin inverse aujourd’hui car s’ouvre dans quelques jours le procès d’un des tireurs, celui qui auraient pu lui ôter la vie si Jackson ne s’était pas jeté sur elle pour la protéger.
C’est d’ailleurs lui qui l’accompagne aujourd’hui, les deux amis qu’ils sont devenus embarquant à bord, avec une Gabrielle qui, bien qu’elle ne tente de laisser rien paraitre, est anxieuse à l’idée de retourner à Los Angeles. Ce n’est pas tant pour sa sécurité qu’elle l’est, mais davantage pour tous les souvenirs que cela ravive et toutes les interrogations aussi qui peuvent la tarauder alors qu’elle va dans quelques jours se retrouver devant celui qu’elle espère voir pourrir en prison pour le restant de ses jours. Des mois qu’elle et Jax travaillent d’arrache bien pour peaufiner leurs témoignages qu’ils savent cruciaux pour parvenir à incriminer le tireur et que justice soit rendue pour celui qui était son client et cet agent de sécurité qui ont tous deux perdus tragiquement la vie devant ce tribunal ce jour-là. C’est tout ce qui lui importe, estimant avoir été chanceuse dans l’histoire et ne cherchant pas à récolter de quelconque dommages et intérêts pour le traumatisme subit. Elle va bien et est en vie mais ne supporterait pas de voir le tireur relâché sous aucun prétexte. « On y est… » Elle le dit sûrement aussi pour réaliser elle-même, souriant avec une assurance incertaine « Un de mes anciens collègues m’a appelé pour me dire que quelqu’un viendra nous récupérer dès la sortie de l’aéroport pour nous conduire directement à l’hôtel » sous-entendre donc que le danger n’est pas totalement écarté et que cette personne est sûrement un policier en civil avec un ou deux collègues en renfort qui les suivront sûrement de près.
***
Il n’est peut-être pas judicieux de leur part de se trouver là. Mais ils ont eu besoin d’y revenir alors que c’est ici même que tout a basculé. Gabrielle sent des frissons parcourir son échine alors qu’elle se retrouve devant ses escaliers qu’elle a monté et descendu un nombre indéfinissable de fois. Si cela était devenu son quotidien dans le passé, aujourd’hui, c’est sous un autre angle qu’elle les observe et bien malgré elle, son regard observe les environs, comme si elle s’attendait à ce qu’un véhicule finisse par débouler et que des coups de feu raisonnent à nouveau. Mais rien de tout ça ne se passera à nouveau et même si elle essaye de s’en convaincre, une part d’elle ne se sent pas totalement rassurée pour autant. S’approchant du bas des marches, elle observe l’imposant bâtiment au-dessus d’eux « C’est perturbant de se retrouver ici après tout ce temps » Les souvenirs de cette fusillade reviennent mais aussi ceux de ce quotidien qu’elle a dû laisser derrière elle, ajoutant à ses émotions déjà nombreuses celle de la nostalgie « Je venais ici tellement régulièrement que mes collègues s’amusaient à me dire que c’était ma deuxième maison. Ils n’avaient pas totalement tort » Ils plaisantaient même sur le fait qu’elle aurait dû négocier un bureau au sein même du tribunal, tant elle y passait plus de temps qu’au cabinet. « Ca va ? » qu’elle demande un peu soucieuse, au bout d’un moment à Jackson, alors qu’elle cherche à capter son regard.
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There must be peace and understanding sometime, strong winds of promise that will blow away the doubt and fear if i can dream of a warmer sun, where hope keeps shining on everyone, tell me why, oh why, oh why won't that sun appear. if i can dream, e.presley + @aeairiel.
Spoiler:
Jackson Mills
la tête brûlée
ÂGE : 36 ans (17.02.87). SURNOM : Jax ou Mills. Le staff des kinées du St Vincent le surnomme « Le cul de l’Australie » (quand il a le dos tourné, évidemment) et les San du désert du Kalahari « Batho ba Metsi » (l'homme de l'eau). STATUT : Futur père à moitié au courant de cet état de fait. Tente de recoller les morceaux d'une histoire en laquelle plus personne ne croit. MÉTIER : Agent fédéral à l'éthique professionnelle vacillante. Forme officiellement pour le MOSC (management of serious crime), traque officieusement les ennemis d'état avec le PSI (epsilon project). Préside l'association RUN FOR JUDY sur son temps personnel (se persuade que faire le bien équilibre la balance du mal qu'il planque sous le tapis). LOGEMENT : 321 carmody road ; Toowong. Un camion de déménagement se partage l'allée de garage avec une Jeep du côté passager de laquelle se trouve un siège bébé. Les mamans du voisinage s'interrogent : quel type de sauvage conduit ce genre de tank ? POSTS : 16634 POINTS : 310
TW IN RP : Violences (physique, verbale, psychologique). Armes (à feu, blanches). Complotisme. Corruption. Racisme. Hypersexualisation de la Femme. Masculinité toxique. Sexe. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Parle peu, frappe fort. Instinctif, impulsif et téméraire, il est aussi lunatique au possible, provoquant par nature et bagarreur dans l'âme ... S'entraîne quotidiennement (boxe, sprint, tire) pour canaliser ses humeurs. // Bon à savoir : Amnésie partielle (suite à un tir à la tête en nov. 2020 / black out de fév. à déc. 2020). Cicatrice sur le côté du crâne. Paranoïaque (qui le cache bien). Gachette facile.CODE COULEUR : [color=#A28453][b]« ... »[/b][/color] RPs EN COURS : .
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↦ TEMPS PRÉSENT :
MILOU #11 - One look at your kid, and your heart is no longer yours.
MICKSON #4 (soon) - Si y a une chose que tu dois pas remettre en question : t'es plus intelligent qu'avant, mais t'es toujours très con ! T'es trop sensible, tu vis tout comme une agression. Demande à un fou s'il est fou, et tu verras c'qu'il t'répond ....
DEBSON #5 - How does it feel walking fast asleep under the moonlight ? Don't know what's real or what's fantasy.
ANWAR #4 - Aux sombres héros de l'amer qui ont su traverser les océans du vide. Certains nageaient sous les lignes de flottaison intimes à l'intérieur des foules ...
EPSILON PROJECT - MAX #2 (soon), NEO #4 (soon), ASHLEY #3 (soon)
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↬ UA :
VICE ET VERSA#1, #2, #3, #4, #5, #6 - Won't somebody help me chase the shadows away ? Gimme, gimme, gimme a man after midnight. Take me through the darkness to the break of the day ...
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. RPs EN ATTENTE : JIYEON / ELENA / MICKEY / SOFIA / ASHLEY / FULL. RPs TERMINÉS : FICHE DE RPsAVATAR : Michael B Jordan. CRÉDITS : avatar : blaz / gifs : cocaine + menfrombp + sorayarose / icon sign : notalkingplz / texte : coolio and kylian mash DC : Carmine Sighbury INSCRIT LE : 22/01/2021
(#) Sujet: Re: (Gabson #5) Back to where it all began Sam 23 Sep - 5:20
L'aéroport de Brisbane. Jackson le connait comme sa poche. Debout face à l'urinoir, l'agent bascule la tête vers l'arrière, tâche de soulager sa nuque tendue par les enjeux de ce voyage. Deux mois et demi plus tôt, il embarquait en direction du Botswana ; aujourd'hui Los Angeles, le mois prochain Riyad ... Mills a assuré à Marley qu'il se rendrait plus disponible pour eux mais passe son temps à des milliers de mètres du sol, des milliers de kilomètres de l'Australie. Le remontage de braguette s'accompagne d'un soupire contrarié. Le report de cette audience tombe mal, mais Mills n'est pas le genre d'ami à faire faux bond. Il rejoint Gabrielle après s'être lavé les mains, un tantinet nerveux à l'idée de ne pas avoir son arme sur lui. Cette dernière, rangée dans la soute de l'appareil, s'accompagne d'un permis estampillé par le MOSC que l'agent garde dans la poche intérieure de sa veste, à côté de son badge fédéral. Jax ne s'affiche pas comme tel, il ne souhaite suiciter aucune curiosité mal placée, aucune suspicion et, surtout, aucun vent de panique. « On y est… » En effet : le personnel de bord invite les business classes à embarquer. Jackson sort son billet ainsi que son passeport. « Un de mes anciens collègues m’a appelé pour me dire que quelqu’un viendra nous récupérer dès la sortie de l’aéroport pour nous conduire directement à l’hôtel »« Quelle chance. » Sarcasme. Mills fait référence à l'efficacité discutable de la police de L.A dans le quadrillage de la zone entourant le tribunal après le procès de Berak. Il n'insiste toutefois pas, conscient que Strange est aussi stressée que lui. À bord, il offre à l'avocate son épaule en guise de coussin et lui presse silencieusement la main au moment du décollage. Lui aussi craint ce que L.A leur réserve. Les ennemis potentiels ne l'effraient pas autant que la perspective de retourner sur les lieux d'un crime dont il ne se souvient que partiellement. Vestiges d'une autre vie, d'un autre temps, d'une époque à laquelle Jackson Mills n'était pas encore cet agent de terrain retrouvé à moitié mort, une balle logée en pleine tête. L'amnésie, cette ville amie, le tire par la manche ...
* * *
Le soleil entame sa descente lorsqu'ils atterrissent dans la cité des anges. Gaby et lui sont tombés d'accord sur le fait qu'arriver deux jours avant le procès leur sera profitable, ne serait-ce que pour se remettre du décalage horaire avant de se faire cuisiner par la partie adverse. Ce soir-là, pourtant, Mills sait qu'il ne trouvera pas le sommeil tant qu'il n'aura pas passé le crash test auquel il songe depuis leur arrivée à l'hôtel ...
Convaincre Strange de se rendre sur les lieux ne s'avère pas complexe, à croire que la brune nourrit les mêmes besoins que lui concernant la charge émotionnelle associée à toute cette histoire. C'est donc en taxi qu'ils se rendent au tribunal et, tandis que défilent derrière la vitre les lumières de la ville, Jackson sent sa tension artérielle monter d'un cran. Son intuition l'avertit, il se demande s'il devrait prévenir sa voisine de ce qu'il risque de se passer une fois arrivés à bon port ... Gabrielle l'a accompagnée durant toute sa convalescence. Elle sait pour son amnésie, en a même fait les frais à son réveil, quand il n'était plus capable de la reconnaître. À force de persévérance, l'oubli a laissé place à de l'amitié franche sans que pour autant jamais Mills ne se souvienne clairement des détails que leur rencontre initiale. Il a lu les comptes rendus et les articles de presse ; a vu leurs noms cités dans les médias à l'époque du drame autant que leur face agrafée aux rapports d'enquête. Mais toute cette paperasse et tous ces récits venus attester de la véracité des faits ne remplaceront jamais le trou laissé par le souvenir rayé sa mémoire par l'accident de Sydney. Songeur, Jax se tait. La route menant au tribunal semble ne durer qu'une poignée de secondes. À peine le temps d'envisager un demi-tour que le chauffeur les dépose déjà à destination ...
« C’est perturbant de se retrouver ici après tout ce temps » Mills acquiesce en silence. Dents serrées, il tâche de contenir son hypervigilance ainsi que l'angoisse de plus en plus palpable au fond de ses tripes. Dans le sillage de Gaby qui lui raconte des anecdotes de son passé, Jax est aux prises d'injonctions contradictoires. Une partie de lui le pousse à observer chaque menu détail de la rue, à chercher les rappels, les impressions de déjà vue ... Une autre, plus instinctive, lui ordonne de reculer, de se préserver du choc qu'il sent pourtant arriver à vitesse grand V. « ... Ils n’avaient pas totalement tort. » L'agent a perdu le fil de la conversation dès lors que ses poumons se sont mis à jouer contre lui. Son visage ne trahit aucune émotion, mais la courbe de ses épaules se meut bien trop rapidement. Jax est sur le point d'hyperventiler. « Ca va ? » « Non. » Répondit-il honnêtement. Sa voix est tendue, mais pas autant que ses muscles bandés à l'extrême sous ses vêtements. Superposition de syndromes post-traumatiques : son corps revit le pic d'adrénaline engendré par la fusillade en même temps qu'il anticipe la douleur que Jackson ressent chaque fois qu'un souvenir refait surface dans sa mémoire. C'est tout son organisme qui se prépare et tente de se blinder, rendant sa carcasse plus raide qu'un rock pendant que ses organes sont pris en otage de cet état de sidération. Un lapin dans les phares d'un semi-remorque. 4, 3, 2, 1 ... « J'peux plus bouger. » Impact.
* * *
Il court à toute vitesse. Son champ de vision se réduit à la seule silhouette de Strange qu'il espère atteindre avant la berline qu'il entend accélérer dans son dos. Les semelles trop plates de ses chaussures de ville claquent sur le bitume du trottoir tandis qu'il accélère. « A TERRE ! » Il percute Gabrielle dans un concert de coups de feu et tombe avec elle dans une chute semblant durer des heures. L'odeur de son shampoing dans ses narines. La chaleur de son souffle contre sa joue. Puis le crissement de pneus caractéristique d'un demi-tour au frein à main et la peur qui l'incite à agir, tenter le tout pour le tout. Mills roule sur lui-même. L'arme du vigile est encore chaude lorsqu'il s'en saisit et vide le chargeur dans le pare-brise des assaillants. Ses tympans tremblent, mais pas ses mains. Il fait mouche.
Le reste est une succession de flashs matraquant son cerveau implacablement. L'arrivée de la police. Celle des secours. Le trajet jusqu'au commissariat. Le crayon avec lequel joue nerveusement Strange tandis qu'ils en arrivent à la conclusion que fuire est la seule solution ...
* * *
Jackson convulse. À demi-conscient, à demi-assommé, l'agent se retrouve genou à terre. Son ego lutte afin de lui éviter de finir une fois de plus allongé sur un trottoir, mais sa force mentale ne peut pas tout. Sourcils froncés, visage fermé, Mills fait ce qu'il peut dans le but de rester maître de la situation tandis que sa mémoire accouche du souvenir de la fusillade. Autour de lui, la réalité est aussi floue qu'abstraite. C'est pourquoi il tend aveuglément la main à la recherche de Gabrielle. Il a besoin d'une ancre à laquelle s'accrocher pour refaire surface.
(c) sweet.lips
« Been spendin' most their lives livin' in a gangsta's paradise » ▬ I ain't never crossed a man that didn't deserve it. Me be treated like a punk, you know that's unheard of. You better watch how you talkin' and where you walkin' or you and your homies might be lined in chalk ...
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(Gabson #5) Back to where it all began
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