the art of the toilet power meeting (albane & cody)
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Cody Shephard
l'amour du silence
ÂGE : 35 ans (5 août 1988) SURNOM : difficile de faire plus court que cody, il se faisait peut être appelé coco ou dydy étant enfant mais refusera catégoriquement d'entendre un tel surnom aujourd'hui STATUT : il répondra célibataire, mais son coeur bat férocement pour une jolie demoiselle MÉTIER : propriétaire et coach d'une école de boxe, son bébé à lui LOGEMENT : il vit seul depuis janvier, la maison un peu trop grande pour lui seul lui rappelle l'absence de son frère, la distance de sa soeur, l'ombre de ses parents et le manque d'elles POSTS : 6783 POINTS : 160
TW IN RP : décès, deuil, rupture, mise en adoption d'un enfant, accident de voiture, maladie TW IRL : scènes nsfw trop explicitesGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est fou amoureux de la même femme depuis plus de dix longues annéesCODE COULEUR : 0b4c5f RPs EN COURS : #7 adèle#1 tessa#1 ethel#1 albane#2 lucy#1 asher#1 birdie#2 olivia#2 caelan#1 sienna#2 cami#1 lexie(12/10)
∆ adèle ∆ 1 - 2 - 3 - 4 (ua) - 5 - 6 (ua) - 7 - 8 (ua) - 9 ∆ we shared parents, home, pets, celebrations, catastrophes, secrets. and the threads of our experience became so interwoven that we are linked. i can never be utterly lonely, knowing you share the planet.
Spoiler:
∆ sibel ∆ 1 - 2 ∆ i never fall in love with you. falling is an accident. no, i walked aggressively towards love for you. it was on purpose and with purpose. and now, i can't forget you.
AVATAR : james lafferty CRÉDITS : ranochja (av.) ; jen / adèle (crackship) ; looneywaltz pour les ubs DC : Eli Grayson PSEUDO : ranochja INSCRIT LE : 11/08/2023
(#) Sujet: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Dim 17 Sep 2023 - 10:14
:: fortitude valley :: canvas
La soirée bat son plein et Cody remplit son quota de sorties pour le mois avec sa venue dans ce bar ce soir. Il se lâche Cody, profitant de chaque événement qui peut le sortir de chez lui, lui évitant ainsi de penser à tout ce qui l’attend le soir quand le silence est trop pesant et que ses pensées prennent trop de place. Depuis qu’il l’a revue, sa voix hante bien trop son cerveau; lui empêchant de trouver le repos. Alors il sort, se délectant des basses assourdissantes qu’il peut trouver, des voix qui s’entremêlent, chacune plus haute que sa voisine. Il oublie, car il n’a plus le temps d’y penser et le soir quand il rentre, il tombe et le lendemain recommence : métro, boulot, soirée, dodo et ainsi de suite.
Ce soir ne fait pas exception mais, bien vite, la migraine le prend. C’est trop pour lui qui n’a jamais eu l’habitude de tant de fantaisies. Il ne connaît que trop bien le confort de son canapé, mais les tabourets du bar sont bien différents, plus durs, plus inconfortables. Le bruit bourdonne dans ses oreilles et il s’accorde quelques minutes de retard, fonçant tête baissée vers les toilettes, poussant la porte et se dirigeant d’un pas vif mais les deux lavabos. Il ouvre, se sert de l’eau qu’il tapote sur son visage ; ses mains agrippent le rebord de la vasque alors qu’il se détaille dans le miroir qui lui renvoie un reflet fatigué ; il paraît plus vieux qu’il n’est vraiment.
Quelques minutes passent sans un bruit ; jusqu’à ce qu’il entend un petit raclement de gorge - trois fois rien - mais dans le silence environnant, le son se réverbère sur les parois et résonne jusqu’aux oreilles de Cody. Il ignore la personne, se moquant bien que quiconque soit en train de faire son affaire pendant qu’il se permet un petit rafraichissement. Quelques secondes supplémentaires et le voilà qui ressort et retourne à sa soirée. Une musique, deux musiques, la tête lui tourne : il est peut-être allé trop loin pour ce soir.
On le retrouve bien vite au même endroit qu’une dizaine de minutes plus tôt, à se passer de l’eau sur le visage pour tenter de calmer la chaleur sur ses joues, et le tourbillon dans ses yeux. Un petit bruit de gorge se fait entendre - tiens, une impression de déjà-vu. Cody se retourne vers la porte fermée, surpris de remarquer que le son semble être bien identique à celui entendu plus tôt. Quelques secondes, puis il ose lever la voix. « Vous êtes coincé.e ou c’est juste votre façon de passer une bonne soirée ? » qu’il demande, faisant porter sa voix vers la porte fermée, pleinement intrigué désormais, la couleur sur ses joues toujours bien présente.
ÂGE : vingt-neuf ans (27.03) SURNOM : bane, babe pour les intimes, banane pour les affectueux STATUT : ils tentent quelque chose avec kieran, même si elle ne sait pas trop ce que c'est MÉTIER : après six ans à travailler en tant qu'infirmière à l'hôpital saint vincent (2016-2022), elle vient d'entrer en école de médecine en septembre 2022. accessoirement, numéro qu'on appelle à la ruche (ou autres lieux pas très légaux) pour soigner les bobos LOGEMENT : #49 james street, fortitude valley. une colocation avec einstein le chat et depuis peu, eleonora. le chaos, donc. POSTS : 1433 POINTS : 0
TW IN RP : addiction, drogues, alcool, violence, dépression, deuil, ts, nunuche GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Boule de gentillesse, trop naïve et trop sensible ≈ A pour vices secrets la cigarette, l'alcool en trop grande quantité et la morphine ≈ Pourtant intègre et remplie de valeurs, elle a un passif de trafic d'ordonnances médicales et vols des stocks de médicaments durant son temps à l'hôpital ≈ Bisexuelle à fortes tendances homo planquée dans son placard ≈ Passionnée de plongée ≈ Française à l'accent bien prononcé ≈ En roue libre depuis le décès de sa petite soeur en 2019 ≈ A fait une overdose de morphine en novembre 2022 ≈ En tentative de sevrage (méthadone) depuis juin 2023CODE COULEUR : #006666 RPs EN COURS :
(abandonnés): Dani & Melchior + Reese + Ciarán + Jake #3 + Solas + Wine #9 + Lou #2 + AVATAR : victoria pedretti CRÉDITS : (avatar) nedoramoteris (gifs) thiskryptonite DC : sergio aka papa gugu, emery le céleri et garrett (un jour il aura un surnom) PSEUDO : tiphaine INSCRIT LE : 09/10/2021
(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Jeu 21 Sep 2023 - 23:17
toilet power meeting
I think I'll dye my hair and I'll move to Alaska, grab all of my money, guitar, and a jacket. Drivin' out of town, maybe wave if I pass ya'. Sorry I had to move to Alaska
Assise en tailleur sur les toilettes, le dos appuyé contre le mur -l’unique avantage des toilettes étroits-, Albane fixait distraitement le plafond. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était enfermée ici, la porte étouffant un peu trop les musiques du bar pour qu’elle ne puisse les reconnaître. Elle n’avait pas son téléphone non plus ; dans la précipitation, elle avait laissé son sac à main à table. Cela signifiait qu’à un moment, il faudrait qu’elle y retourne. Elle avait pourtant fait un effort monumental à sortir de sa zone de confort ; elle avait accepté de sortir boire un verre avec ses camarades de classe, tous plus jeunes. Ils s’appelaient les rigolos de service, à s’estimer capable de réussir l’école de médecine tout en ayant une vie sociale. La française ne savait pas trop quoi en penser, elle les avait juste suivis en pensant que cela lui ferait du bien. Au début, elle avait eu raison. Ils étaient de bonne compagnie, ne jugeaient absolument pas le nombre de verres qui s’enquillaient à une vitesse vertigineuse. Elle avait commencé à froncer les sourcils en voyant des cachets circuler mais n’avait pas moufté, pas quand elle savait qu’elle avait eu un certain rôle à jouer sur le sujet pendant de longs mois. Elle ne vendait pas à proprement parler, elle mettait en contact avec les revendeurs de la Ruche. C’était une sombre connerie et elle était contente de ne pas s’être fait prendre, mais depuis, elle avait tout intérêt à courber l’échine. Puis, la cerise sur le gâteau, Joanna s’était mise à flirter avec elle. Le temps que la française comprenne de quoi il s’agissait et que son cerveau alcoolisé commence à paniquer, elle s’était retrouvée avec une tentative de baiser volé de la part de sa camarade. L’alerte rouge s’était déclenché dans son cerveau et plutôt que de la rejeter gentiment, de lui expliquer qu’elle avait un copain, Albane et sa volonté de ne jamais blesser qui que ce soit avait souri et s’était excusé en disant qu’elle revenait. Elle avait disparu dans la foule et voilà l’histoire de comment elle s’était retrouvée sur ce trône, trop mortifiée pour sortir d’ici. La voix qui résonna dans la pièce la fit sursauter. Il lui fallut un instant avant de réaliser que c’était à elle qu’on s’adressait. Ce qui faisait sens ; selon ses calculs, il n’y avait plus personne dans les autres cabines. « J’attends que l’univers ouvre un trou noir dans lequel je pourrai disparaître. Il se fait un peu désirer. » Elle opta pour le ton de l’humour, s’arrachant même un sourire avant de soupirer. « Je me cache. Il faudra bien que je ressorte d’ici mais… le bar ferme dans combien de temps ? » Elle n’avait ni son téléphone, ni sa montre. Avait-elle vraiment besoin de son sac après tout ? Elle pourrait juste attendre la fermeture, se barrer en douce et récupérer ses affaires le lendemain en mettant tout sur le compte de l’alcool. « Qu’est-ce qui m’a vendue ? »
Cause it's so hard for me to be honest these days, I tell myself I'm doing okay. I don't want the world to think I'm weak, and so i repeat it 'til I believe it. Everything's going great! Just don't ask me how I really feel. • sheepirl.
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Mar 26 Sep 2023 - 9:56
N’importe qui prendrait Cody pour un fou, lui qui se met à parler à une porte close, renfermant une personne qui semble ne pas avoir trouvé la sortie - ou qui ne souhaite pas la trouver, c’est encore à définir. Sûrement qu’il devrait exaucer le souhait de cette personne à rester tranquille, mais il s’en sent bien incapable, sa curiosité piquée à vif. Alors il se lance, et ose lancer une bouteille à la mer de l’autre côté de la porte. Il s’attend à tout, même à être rejeté, insulté ou à devoir supporter un silence de plomb - et s’imaginer qu’il a tout fabulé. « J’attends que l’univers ouvre un trou noir dans lequel je pourrai disparaître. Il se fait un peu désirer. » C’est la voix d’une jeune femme qu’il entend lui répondre et qui ne peut que lui provoquer un rire compte tenu de la situation, et de sa réponse. Bien rapidement, elle lui explique réellement ce qu’elle fait toujours enfermée dans sa cabine. « Je me cache. Il faudra bien que je ressorte d’ici mais… le bar ferme dans combien de temps ? » Sortant son téléphone, Cody regarde l’heure pour lui apporter une réponse fiable. « Deux heures. ça risque de faire encore long à rester cachée sur un siège pas si confortable. » A son tour, il entre dans la cabine d’à côté, ferme le battant des toilettes et s’y installe, comme pour tester la marchandise. « Ouaip, pas confortable du tout. » qu’il avoue alors, se tortillant sur le siège pour trouver une façon de s’y installer qui ne lui fera pas regretter le lendemain - il n’y en a pas, il regrettera d’avoir lancé cette conversation et d’avoir voulu accompagner la jeune femme en s’installant lui aussi. « Qu’est-ce qui m’a vendue ? » Il sait pertinemment que sa réponse est étrange, que peu de gens auraient accordé d’attention à cette porte fermée et cette respiration ; peut-être qu’il s’ennuyait suffisamment pour en arriver là, à discuter via un mur avec une parfaite inconnue qui semble assez perturbée pour se cacher dans des toilettes jusqu’à la fermeture du bar - comme quoi, on rencontre toutes sortes de gens au bar, et aux toilettes. « Porte fermée, quelques bruits de respiration, et visiblement, je me suis transformé en enquêteur pendant la soirée. Super escape game, j’ai gagné. » Il lâche un petit rire, mi-rieur, mi-nerveux ; il se trouve un peu ridicule, il faut dire. Mais heureusement, le ridicule ne tue pas, la curiosité non plus. « Alors, vous vous cachez de quoi, de qui ? » qu’il demande sans demander son reste avant d’enchaîner avec les théories les plus folles qui lui viennent à l'esprit. L’imagination ne tue pas non plus, fort heureusement. « Laissez-moi deviner… » il réfléchit quelques secondes avant de faire sa première proposition, celle qu’il appellerait la basique. « Vous avez trouvé ce mec sur Tinder, beau gosse bien fringué et en fait il fait 1m12 et perd ses dents ? » Les proportions sont peut-être un peu exagérées mais il a suffisamment entendu d’histoires de Tinder ratés pour savoir qu’il peut y avoir une certaine part de vérité. « Votre méchante belle-mère a essayé d’empoisonner votre verre alors vous tentez de lui échapper ? » Cette proposition-là est légèrement inspirée d’un certain film, il est vrai. « Vous essayez d’aller au ministère de la magie mais la chasse d’eau est cassée ? » Voilà qui pourrait l’intéresser. « Alors, c’est laquelle ? » qu’il demande, petite pointe d’espoir qu’une de ces idées soit la bonne ; et qu’il arrive à faire sourire l’inconnue de l’autre côté.
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Jeu 12 Oct 2023 - 0:02
toilet power meeting
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Se retrouver à discuter avec un total inconnu dans les toilettes, bien soigneusement cachée sur son trône, était la dernière chose à laquelle Albane se serait attendue pour ce soir. Malgré tout, l’absurdité de la situation avait quelque chose de réconfortant, au moins tout autant que le rire de l’homme. Elle soupira bruyamment pour bien faire comprendre sa lassitude. Deux heures. Elle n’allait pas rester plantée ici pendant deux heures. Et en même temps… elle en serait capable. « Je bossais à l’hôpital, j’ai été au service anesthésie. Si je peux tenir six heures immobile sur mes deux jambes, je pense que deux heures les fesses sur un toilette est totalement faisable. » Elle releva la tête en fronçant les sourcils en entendant le bruit se déplacer dans la cabine d’à côté. Est-ce qu’il essayait vraiment de se mettre dans sa position, littéralement ? « Fessier sensible. » souffla-t-elle, doucement amusée. Ça aurait pu être ridicule et un peu humiliant mais il était exactement la distraction dont la française avait besoin, là tout de suite. Qui plus est, rien ne la forçait à montrer son visage plus tard. C’était en parfait anonymat, un peu comme si elle allait se confesser dans un confessionnal. Le côté sacré en moins. Et elle était en sécurité, heureusement, car il fallait être un peu bizarre pour remarquer une personne enfermée dans les toilettes depuis aussi longtemps. « Je respire pas SI fort. Et si ça se trouve, j’aurais pu être quelqu’un d’autre. C’est un lieu public après tout. » Qu’elle réquisitionnait sans le moindre état d’âme pour se sauver t s’acheter un peu de tranquillité. Elle soupira à nouveau, quoique plus discrètement. Elle n’était pas sûre de savoir exactement de quoi elle se cachait. De sa culpabilité trop pesante, des choix douteux, d’une main au cul à laquelle elle ne saurait pas comment réagir. Ça l’arrangeait que l’inconnu se lance plutôt dans ses théories foireuses. Malgré son dépit, les lèvres de la brune s’étirèrent dans un rictus amusé. L’histoire tinder désastreuse était une option plausible. Le verre empoisonné aussi -il faudrait qu’elle songe à ne pas finir le sien, juste au cas où-. Mais l’option du ministère de la magie eut raison de son mutisme, elle n’eut d’autre choix que de rire. « Je me suis toujours demandé comment ça se passait en cas de toilettes sales. Mais non, malheureusement, j’ai jamais reçu ma lettre pour aller à Poudlard. Ça aurait été plus simple si j’avais pu transplaner. » Quand bien même, le problème serait resté le même : sa baguette aurait été dans son sac à main, qu’elle n’avait pas sur elle. « C’est pas un date tinder mais mes collègues. Surtout une. Et y a définitivement du poison qui tourne à la table. Juste pas mortel, tant que les doses sont respectées. Ce sont des étudiants en médecine, ça devrait aller. En théorie. » L’overdose d’un étudiant l’année passée avait bien prouvé que les calculs n’étaient pas toujours bons. « J’ai pas envie de ruiner mon intégration au groupe mais j’ai pas d’idée sur comment faire une sortie de bar cool. » Elle savait que ça devait avoir l’air décousu, mais elle n’avait pas vraiment le cœur à expliquer pourquoi la situation était si compliquée. « Une idée de prétexte pour fausser compagnie à un groupe sans que la sangsue obsessive ne décide de te suivre ? »
Cause it's so hard for me to be honest these days, I tell myself I'm doing okay. I don't want the world to think I'm weak, and so i repeat it 'til I believe it. Everything's going great! Just don't ask me how I really feel. • sheepirl.
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Cody Shephard
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ÂGE : 35 ans (5 août 1988) SURNOM : difficile de faire plus court que cody, il se faisait peut être appelé coco ou dydy étant enfant mais refusera catégoriquement d'entendre un tel surnom aujourd'hui STATUT : il répondra célibataire, mais son coeur bat férocement pour une jolie demoiselle MÉTIER : propriétaire et coach d'une école de boxe, son bébé à lui LOGEMENT : il vit seul depuis janvier, la maison un peu trop grande pour lui seul lui rappelle l'absence de son frère, la distance de sa soeur, l'ombre de ses parents et le manque d'elles POSTS : 6783 POINTS : 160
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Dim 15 Oct 2023 - 10:09
La situation est des plus étranges et pourtant, Cody y voit une tournure plutôt drôle et pas désagréable de sa soirée. Il se doute bien qu’il doit passer un peu pour un fou, tout autant que le jeune femme enfermée mais il a l’habitude de sortir un peu du rang et ça ne le dérange pas le moins du monde ; tant que la jeune femme n’exprime pas un inconfort, il estime la situation plus drôle qu’autre chose. Et un peu impressionnante ; il ne s’imagine pas rester trop longtemps installé sur des toilettes - publiques qui plus est. A l’inverse, l’inconnue enfermée semble trouver que cette proposition est la meilleure et il comprend de par ses mots qu’elle est de toute façon bien capable de supporter sa position pendant quelques heures encore - Cody s’en trouve très impressionné. « Je bossais à l’hôpital, j’ai été au service anesthésie. Si je peux tenir six heures immobile sur mes deux jambes, je pense que deux heures les fesses sur un toilette est totalement faisable. » Impossible pour lui d’imaginer une telle journée de travail, il bouge dans tous les sens, ne s’arrête que pour mieux repartir. Il est au four et au moulin sur son temps de travail, courant à droite à gauche pour accompagner un gamin sur le ring, puis suivre un entraînement, aider un adulte. Il ne s’arrête pas et est bien incapable de rester immobile trop longtemps. Quand il rentre le soir, le voilà reparti en vadrouille pour promener le chien ; il se détend le soir sur le canapé uniquement si la journée a été suffisamment productive ; quand il n’est pas à une soirée dansante le soir ou à faire des heures supplémentaires au club. « L’enfer sur Terre pour moi. » qu’il lui avoue alors, sincère. Alors qu’il s’assied pour lui tenir compagnie - et partager ce qu’elle vit assise sur son toilette, il regrette presque instantanément. Quelle idée de tenir des heures sur cette chose ! « Fessier sensible ? Nan mais obligé ! On se rend pas compte d’à quel point c’est inconfortable. J’ai l’impression de revivre une punition de gosse. ça me donnerait presque des idées. T’es pas sage ? Va t’asseoir sur les toilettes ! La torture. » ça aurait peut-être fonctionné sur son frère quand ils étaient plus jeunes, dommage qu’il n’ait pas pensé à le mettre en pratique à l’époque.
Il ne peut que reconnaître qu’il doit passer pour quelqu’un de bizarre quand il explique à la jeune femme comment il l’a reconnue - pire encore, il doit passer pour un dingue, un fou à lier, à enfermer peut-être même. « Je suis observateur. » qu’il donne alors comme excuse et explication. « Et peut-être que je m’ennuyais un peu trop. » Quelle idée de venir seul aussi, que pensait-il trouver ici, du réconfort ? Il n’en est rien. Il court certainement après quelque chose qui n’existe pas, ou du moins qu’il ne pourra pas trouver en ces lieux, tout ça pour oublier l’espace d’un instant. Cody est observateur, oui, et plein d’imagination alors qu’il déblatère tout un tas de possibilités et de raisons pour lesquelles la jeune femme se trouverait ici, enfermée dans les toilettes de son propre chef. Disney, Harry Potter, tout y passe ! Et il faut dire qu’il serait presque déçu d’apprendre que non, elle n’a pas reçu sa lettre. Comme elle semble réceptive à ses références, il se lâche. « Si vous êtes née entre 1985 et 1998, c’est normal que vous ayez pas reçu la lettre, tous les registres des sorciers nés moldus ont été détruits par Voldemort. » Il a vu cette information circuler un jour sur le net et s’est décidé à la conserver dans un coin de sa tête, en bon fan d’Harry Potter qu’il est - bien qu’il ne le hurle pas sur tous les toits. « C’est mon cas. » qu’il ajoute, petit sourire aux lèvres. Bien sûr qu’il n’y croit pas réellement mais ça fait pas de mal de le penser.
L’explication vient et Cody ne peut que comprendre que la jeune femme se retrouve à tenter d’échapper à cette soirée. Alors qu’il accompagne tous les jours des jeunes dans un sport plus que compétitif, il connaît les drogues, les voit régulièrement passer et travaille d’arrache-pied pour éviter que ses jeunes ne tombent là-dedans. Peu importe laquelle, les dures et les moins dures, Cody ne fait aucune exception et travaille au quotidien auprès des jeunes pour leur en faire la prévention ; il ne peut donc que partager l’avis de l’inconnu des toilettes ; il serait également allé s’enfermer dans un cabinet. « Ah merde… » qu’il compatis. « Je comprends, je trainais avec quelques étudiants de médecine quand j’étais à la fac. » Il y a une décennie. « Faut faire gaffe, ça tourne vite. » Il s’en souvient bien et a toujours fui ce milieu-là, préférant se perdre dans le sport que dans des substances. « Une idée de prétexte pour fausser compagnie à un groupe sans que la sangsue obsessive ne décide de te suivre ? » Lui-même n’a jamais été le plus cool de la bande, mais à deux, peut-être qu’ils trouveront une solution à ce dilemme. « Une sortie cool… Vous avez qu’à dire que votre voisin super canon est enfermé sur le palier et demande votre aide. » ça pourrait également l’aider avec la collègue déplacée, mais il doit reconnaître que l’idée n’est pas terrible. « Oh je sais je sais ! On a qu’à dire que je suis votre frère revenu d’un long voyage, genre 2 ans que vous l’avez pas vu alors forcément, vous pouvez pas rester. » Quelques secondes. « Ou rentré de l’armée ! Vous aussi vous avez les vidéos de retour de l’armée sur vos réseaux ? » Il est persuadé d’avoir déjà vu ces vidéos-là, il n’a pas versé de larmes devant, mais il n’a pas non plus scrollé pour ignorer le contenu. Sortant son téléphone, il décide de demander son aide à Google en tapant tout en le prononçant à voix haute. « Excuses… cool… pour… partir d’une soirée ! » Il tape sur l’écran, valide, et étudie les propositions, lisant à voix haute. Il survole. « “Le classique : je suis invité à un anniversaire après.” Ah pas mal ! » Son oeil descend et il lâche un petit rire. « “La très weird : "Mon grand-père a subi une lobotomie du cerveau après avoir regardé l'intégralité des émissions de Question pour un champion"” Bon, Google va pas nous aider. » Qu’il avoue, vaincu.
everybody make a scene
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Albane Dumas
les paradis artificiels
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Lun 30 Oct 2023 - 22:29
toilet power meeting
I think I'll dye my hair and I'll move to Alaska, grab all of my money, guitar, and a jacket. Drivin' out of town, maybe wave if I pass ya'. Sorry I had to move to Alaska
Il y avait pire endroit pour passer un bout de soirée que sur les toilettes à poireauter. Généralement, ce n’était jamais bon signe quand quiconque se mettait à passer des heures sur le trône. Dans le cas de la française, elle repoussait juste le moment où il faudrait affronter ses camarades et se dépêtrer d’une situation qu’elle n’appréciait pas. C’était se tirer une balle dans le pied compte-tenu du fait qu’elle aurait aussi à expliquer son absence, mais elle préférait rester dans le déni, toute son attention désormais portée sur la discussion avec cet inconnu. Il n’avait pas l’air aussi séduit par le confort des toilettes qu’elle, et l’emportement dans sa voix amusait clairement Albane. « Ce n’est pas pour narguer, mais je n’ai aucune idée de ce que ça fait. J’étais une gamine exemplaire. Et chez moi, il y avait des magazines aux toilettes, dont des Super Picsou Géant. J’aurais adoré devoir rester sur le trône pendant des heures. » Elle en était presque nostalgique. Malheureusement, les toilettes de ce bar ne s’accompagnaient pas de BD et d’un cadre particulièrement réconfortant. Le fait qu’elle ait été remarquée prouvait aussi qu’elle avait encore beaucoup d’efforts à faire pour disparaître sous terre et se faire oublier. Elle n’allait pas relever le fait que c’était particulièrement étrange de faire attention à des détails comme une porte de toilettes fermés. Elle appréciait bien trop cette distraction. « Qu’est-ce qu’il manque à cette soirée pour être amusante ? » En substance, il y avait tout ce qu’on pourrait espérer d’un lieu pareil. De la musique tolérable, de l’alcool à un prix raisonnable, du beau monde. Quand ceux-ci ne devenaient pas un pur cauchemar, du moins. Elle aurait donné n’importe quoi pour que ces toilettes l’emmènent effectivement ailleurs, ou soient un portoloin pour à peu près tous les endroits sur terre. Malheureusement, et comme depuis environ quinze ans, la beauté de la magie avait laissé place à une dure réalité. Elle avait fini par admettre qu’elle n’était qu’une moldue sans pouvoirs magiques, et la théorie de l’inconnu ne suffisait pas à raviver son espoir d’un jour avoir le droit de toucher à une baguette. « Et le Ministère de la Magie a accepté ça ? Soutenir cette forme de ségrégation dans le monde sorcier, c’est absolument honteux. » Elle eut un léger sourire qui allait pleinement contre son ton révolté. Cela devait sans doute s’entendre. « Mon cas aussi. » Ils devaient avoir à peu près le même âge donc, de la génération des oubliés de Poudlard par la faute de Voldemort. Elle, elle avait à gérer les camarades collants, les vices en tout genre, et la culpabilité de s’être retrouvé dans cette situation en premier lieu. Malheureusement, ils répondaient au cliché des étudiants de médecine. « Oui, ce sont les pires. J’ai vraiment passé l’âge pour ces bêtises. » Et c’était ironique compte tenu du fait qu’elle était probablement la plus addicte de la bande. Mais c’était justement parce qu’elle se débattait avec ces démons qu’elle ne trouvait plus du tout drôle le côté récréatif. Mieux valait s’en tenir à l’alcool et à la gueule de bois qui dissuadait. Tête contre la paroi, la jeune femme soupira doucement. L’idée de prétendre une urgence quelconque lui avait effleuré l’esprit mais dans chaque cas de figure, Joanna lui collait aux basques. « Elle serait fichue de le prendre comme une invitation à continuer chez moi. » Et Albane, trop gentille, serait incapable de lui fermer la porte au nez. C’était une recette pour une pure catastrophe. Même en admettant que l’inconnu joue son allié, la brune continuait de trouver des failles dans le plan. « Et j’aurais retrouvé mon frère dans les toilettes ? Mais oui, je vois. C’est une idée, à ce stade je suis prête à simuler n’importe quelle séquence émotions. » Ce n’était pas déconnant. Il faudrait qu’elle entretienne le mensonge sur ce frère militaire revenu de sa zone de guerre, qu’elle tienne en place tout un scénario. Elle devrait en être capable. Son esprit était déjà parti à la recherche d’un faux prénom et d’une jolie histoire, mais apparemment, son compagnon du soir avait opté pour la magie de Google. « Un anniversaire, à cette heure-ci ? » Cela ressemblait à une grosse fête, il faudrait qu’elle explique pourquoi elle n’invitait pas ses pseudos potes. Elle ne voulait pas d’ennuis. Quoique cela restait moins pire que la lobotomie du grand-père, qui étira ses traits dans un air horrifié. « Je ne veux pas rencontrer les gens qui ont eu cette idée. Jamais. » Ce monde était vraiment trop tordu. Qu’étaient devenues les vraies excuses ? Comme les urgences familiales, le fait de se sentir mal, les départs silencieux avec un visage perturbé ? S’il fallait faire un classement, le frère militaire était probablement la meilleure idée. « Mais sinon, blague à part… quelqu’un vous attend ? Et votre talent d’acteur, sur une échelle de 1 à 10 ? » Elle était assez désespérée pour lui demander ouvertement son aide, c’était acté. Et après une inspiration pour se donner du courage, elle osa le formuler. « Vous seriez prêt à me filer un coup de main ? Je vous en serais incroyablement reconnaissante. » Pitié pitié pitié pitié pitié. « Et il y a plein d’options possibles. On peut même rester dans le bar et je vous offre un verre. Bon, juste que sans savoir à quoi vous ressemblez, l’excuse du frère risque d’être un peu bancale. » La curiosité prit finalement le dessus. Elle se mit debout sur les toilettes pour timidement passer la tête par-dessus la paroi des toilettes et voir à quoi ressemblait l’inconnu. Dieu merci, il n’était pas en train de faire ce qu’on ferait normalement dans des toilettes. « Est-ce que c’est trop bizarre ? » Pour la bonne nouvelle, il pourrait parfaitement passer pour son frère. Pour la mauvaise, elle risquait probablement de décéder sous l’embarras ce soir, ce qui serait une issue comme une autre.
Cause it's so hard for me to be honest these days, I tell myself I'm doing okay. I don't want the world to think I'm weak, and so i repeat it 'til I believe it. Everything's going great! Just don't ask me how I really feel. • sheepirl.
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Cody Shephard
l'amour du silence
ÂGE : 35 ans (5 août 1988) SURNOM : difficile de faire plus court que cody, il se faisait peut être appelé coco ou dydy étant enfant mais refusera catégoriquement d'entendre un tel surnom aujourd'hui STATUT : il répondra célibataire, mais son coeur bat férocement pour une jolie demoiselle MÉTIER : propriétaire et coach d'une école de boxe, son bébé à lui LOGEMENT : il vit seul depuis janvier, la maison un peu trop grande pour lui seul lui rappelle l'absence de son frère, la distance de sa soeur, l'ombre de ses parents et le manque d'elles POSTS : 6783 POINTS : 160
TW IN RP : décès, deuil, rupture, mise en adoption d'un enfant, accident de voiture, maladie TW IRL : scènes nsfw trop explicitesGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est fou amoureux de la même femme depuis plus de dix longues annéesCODE COULEUR : 0b4c5f RPs EN COURS : #7 adèle#1 tessa#1 ethel#1 albane#2 lucy#1 asher#1 birdie#2 olivia#2 caelan#1 sienna#2 cami#1 lexie(12/10)
∆ adèle ∆ 1 - 2 - 3 - 4 (ua) - 5 - 6 (ua) - 7 - 8 (ua) - 9 ∆ we shared parents, home, pets, celebrations, catastrophes, secrets. and the threads of our experience became so interwoven that we are linked. i can never be utterly lonely, knowing you share the planet.
Spoiler:
∆ sibel ∆ 1 - 2 ∆ i never fall in love with you. falling is an accident. no, i walked aggressively towards love for you. it was on purpose and with purpose. and now, i can't forget you.
AVATAR : james lafferty CRÉDITS : ranochja (av.) ; jen / adèle (crackship) ; looneywaltz pour les ubs DC : Eli Grayson PSEUDO : ranochja INSCRIT LE : 11/08/2023
(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Mer 8 Nov 2023 - 9:43
Il s’agit probablement d’une des choses les plus étranges que Cody ait jamais faite - cette sorte d’investigation pour venir importuner une jeune femme enfermée dans les toilettes. Et pourtant, il ne peut que s’en amuser devant la tournure de la situation, elle ne l’a pas rejeté bien au contraire et depuis s’est engagée une folle discussion qui ne cesse pas et qui, contre toute attente, est plutôt très agréable. Cody en viendrait presque à oublier l’endroit où ils sont et l’objet sur lequel il s’est installé - presque. « Ce n’est pas pour narguer, mais je n’ai aucune idée de ce que ça fait. J’étais une gamine exemplaire. Et chez moi, il y avait des magazines aux toilettes, dont des Super Picsou Géant. J’aurais adoré devoir rester sur le trône pendant des heures. » La première chose qui lui vient à l’esprit en entendant ces mots, il ne peut pas s’empêcher de le lui dire immédiatement. « La chance ! » Il aurait bien aimé avoir des magazines Picsou dans ses toilettes mais ce n’était pas vraiment le genre de ses parents ; ils n’étaient pas méchants loin de là, Cody ne garde que de bons souvenirs de son enfance, mais ils aimaient bien que leur maison soit une maison d’adulte et non régie par les enfants de la famille ; et ils n’étaient pas contre les punitions. « Quelle enfance privilégiée ! » Il espère qu’elle entendra la taquinerie dans son ton, lui qui estime avoir également eu une enfance privilégiée, dans l’amour et la bienveillance, entouré de parents aimants et d’une fratrie soudée - jusqu’à un certain point bien sûr. « Qu’est-ce qu’il manque à cette soirée pour être amusante ? » Cody ne peut empêcher un rire alors qu’il imagine en effet tout un tas de choses qui pourraient rendre cette soirée bien plus agréable qu’elle ne l’est déjà ; peut-être pas plus amusante, certes, mais il est bien certain que cela contribuerait à une bonne soirée. « Un canapé par exemple. » Qu’il propose alors qu’il se tortille un peu sur le siège qui devient de plus en plus désagréable - serait-il en train de devenir de plus en plus dur ou est-ce son imagination qui travaille ? « Un chauffage aussi. » Alors que le printemps pointe doucement le bout de son nez et que les températures commencent à remonter, ce n’est pas non plus la canicule et ils n’ont visiblement pas imaginé que des clients décideraient de terminer la soirée dans les toilettes ; aussi ces derniers ne sont pas équipés d’un chauffage, voilà qui est bien dommage.
Même s’il ne la voit pas, il espère lui arracher quelques sourires en enchaînant ses bêtises qui prouvent son esprit légèrement geek - il aime Harry Potter, il est loin d’être le seul de sa génération, et des autres. « Et le Ministère de la Magie a accepté ça ? Soutenir cette forme de ségrégation dans le monde sorcier, c’est absolument honteux. » Soulagement ultime, elle connaît et n’est pas une simple moldue - ça lui aurait été insupportable c’est certain. Il n’aurait peut-être pas pris la décision drastique de s’en aller et de l’abandonner à son triste sort si elle s’était retrouvée à lui demander Volde-quoi ? qui sait quelle aurait été sa réaction ? Au-delà des plaisanteries, l’inconnue semble avoir vraiment besoin de sortir de la situation dans laquelle elle se trouve et Cody s’imagine mal la laisser plantée là après avoir compris qu’il lui fallait un peu d’aide ; pas sûr qu’il soit la meilleure personne pour ça mais présentement, il semble être la seule. Il tente alors de proposer quelques solutions, Internet n’est franchement pas d’une grande aide. Et visiblement, une idée attire un peu l’attention de l’inconnue. « Mais sinon, blague à part… quelqu’un vous attend ? Et votre talent d’acteur, sur une échelle de 1 à 10 ? » Il se rend compte que sa réponse est triste alors qu’il lui dit la vérité. « Non non, je suis venu seul. » Réponse triste ou réponse inquiétante ; l’un ou l’autre. Il se retient d’ajouter une explication pour assurer à la jeune femme qu’il n’est ni alcoolique ni bizarre mais il se rend bien vite compte que ça n’en serait que plus bizarre ; aussi, il préfère se taire et enchaîner sur sa deuxième question. « J’ai fait du théâtre à 8 ans. » Et c’est à peu près tout, une année scolaire de théâtre, une cassette vidéo filmée fièrement par deux parents un peu trop surexcités devant une prestation un peu trop médiocre et la scène n’a plus jamais eu l’occasion de sentir les pieds de Cody sur elle. « Vous seriez prêt à me filer un coup de main ? Je vous en serais incroyablement reconnaissante. » Évidemment qu’il ne peut pas refuser. « Oui bien sûr, comptez sur moi. » Voilà où ça mène de longues nuits d’ennui, il est grand temps qu’il se trouve une activité ou des colocataires - cette deuxième option est en cours. « Et il y a plein d’options possibles. On peut même rester dans le bar et je vous offre un verre. Bon, juste que sans savoir à quoi vous ressemblez, l’excuse du frère risque d’être un peu bancale. » Ce n’est pas faux ; ceci dit, il s’imagine déjà lancer une histoire de famille adoptante s’ils en venaient à être diamétralement opposés. Il n’a pas le temps de lui exposer la solution à un potentiel problème qu’il lève la tête et voit deux yeux l’observer sous toutes ses coutures. Une chance qu’il soit totalement habillé et pas en train d’en profiter pour utiliser ces lieux à bon escient ! « Est-ce que c’est trop bizarre ? » Cody ne perd pas une seconde pour lui répondre. « Oui, c’est bizarre. » Un sourire s’échappe. « Mais bon, toute cette soirée est bizarre alors un peu plus ou un peu moins… » On est plus à ça près, qu’il pourrait rajouter. Alors forcément, pour ajouter à l’absurdité de toute cette situation, il se lève et tend une main pour lui serrer la sienne. Il est grand temps de faire les présentations. « Je suis Cody, 35 ans, ton frère. » Sait-on jamais que l’âge ait son importance. « Hum, hum. » il se râcle la gorge. « Je me prépare pour ma prestation. Bon alors dis moi ce qu’on fait. » Montant à son tour sur les toilettes pour être à son niveau, il pose les mains sur la cloison pour se stabiliser. « Il faut qu’on prépare notre plan. » Il a l’impression d’être dans un film Marvel prêt à aller combattre de terribles méchants, il est prêt à enfiler son costume !
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Albane Dumas
les paradis artificiels
ÂGE : vingt-neuf ans (27.03) SURNOM : bane, babe pour les intimes, banane pour les affectueux STATUT : ils tentent quelque chose avec kieran, même si elle ne sait pas trop ce que c'est MÉTIER : après six ans à travailler en tant qu'infirmière à l'hôpital saint vincent (2016-2022), elle vient d'entrer en école de médecine en septembre 2022. accessoirement, numéro qu'on appelle à la ruche (ou autres lieux pas très légaux) pour soigner les bobos LOGEMENT : #49 james street, fortitude valley. une colocation avec einstein le chat et depuis peu, eleonora. le chaos, donc. POSTS : 1433 POINTS : 0
TW IN RP : addiction, drogues, alcool, violence, dépression, deuil, ts, nunuche GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Boule de gentillesse, trop naïve et trop sensible ≈ A pour vices secrets la cigarette, l'alcool en trop grande quantité et la morphine ≈ Pourtant intègre et remplie de valeurs, elle a un passif de trafic d'ordonnances médicales et vols des stocks de médicaments durant son temps à l'hôpital ≈ Bisexuelle à fortes tendances homo planquée dans son placard ≈ Passionnée de plongée ≈ Française à l'accent bien prononcé ≈ En roue libre depuis le décès de sa petite soeur en 2019 ≈ A fait une overdose de morphine en novembre 2022 ≈ En tentative de sevrage (méthadone) depuis juin 2023CODE COULEUR : #006666 RPs EN COURS :
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Mer 15 Nov 2023 - 14:18
toilet power meeting
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Jamais Albane n’aurait cru pouvoir se sentir nostalgique de moments passés sur des toilettes à lire une BD. Mais en même temps, elle ne se serait jamais imaginée non plus se mettre à discuter avec un parfait inconnu, coincée dans les toilettes d’un bar. Une chose en entraînant une autre, ce n’était probablement pas la pire finalité pour cette soirée. Elle aurait quelque chose pour la faire rire et la distraire de cette envie incroyable de disparaître dans le sol et de prétendre qu’elle n’avait jamais existé. Ça lui changeait bien les idées, aussi peu confortable que cela soit. Un canapé aurait été bien mieux, mais ils faisaient avec les moyens du bord. « Je serais curieuse d’entendre les discussions qu’il y aurait dans le canapé des toilettes… » Ce serait le repère des gens alcoolisés, des oppressés par la musique trop forte, des pauvres âmes cherchant à se planquer d’un rencard ou d’amis foireux. Bon sang ce que son canapé lui manquait, au calme, au chaud, bien loin de toute cette hérésie. Le chauffage aurait effectivement été bien accueilli. Elle ne savait pas pour l’homme mais la concernant, sa robe ne couvrait pas énormément de peau. Si ce n’était pas pour l’alcool déjà ingéré, elle serait déjà frigorifiée. Cela restait un sort bien plus désirable que de subir la compagnie qu’elle s’était imposé ce soir. « Non, ça c’est un stratagème pour pousser la consommation. » Ou pour faire en sorte que les toilettes ne soient pas squattées pour une durée indéterminée. Elle ne culpabilisait pas, il y avait d’autres stalles disponibles. Néanmoins, la française était reconnaissante que personne n’ait eu dans l’idée de venir interrompre leur discussion, encore moins une fois qu’ils se retrouvèrent à vraiment entrer dans le vif du sujet. Que l’inconnu soit venu seul ne lui inspirait pas de questions vu combien cela représentait une opportunité pour elle. « Beaucoup plus facile pour s’enfuir. » Ce n’était pas une réflexion innocente ; s’il était seul et que personne ne l’attendait, elle culpabiliserait beaucoup moins à réquisitionner son aide. Quitte à prendre le risque de tomber face à un weirdo. Elle n’était plus à une galère près. En fait, Albane était tellement désespérée que même un spectacle de théâtre datant de probablement deux décennies au bas mot suffisait à faire de l’homme un candidat idéal. « Sur le devant de la scène ou pour jouer le buisson du décor ? » Pas que ça change grand-chose au bout du compte. Elle aurait vraiment aimé être un buisson, là tout de suite. Ou n’importe quelle autre plante, en fait. A défaut de pouvoir se transformer en végétal, elle avait trouvé son héros de la soirée, le chevalier servant par excellence qui eut raison de sa volonté de se cacher dans des toilettes. Cela mena à l’une des choses les plus étranges qu’elle ait faites et alors qu’elle regardait le brun par-dessus la paroi des toilettes, ses lèvres se tordirent en un sourire aussi amusé que contrit. « Désolée. Promis, je suis une personne normale et saine d’esprit. » Juste désespérée et il devait le sentir et la prendre en pitié car il ne la fixa pas comme si elle était un alien à trois têtes. Bizarre pour bizarre, autant tirer profit de la situation. « Exactement, ce serait dommage que la soirée soit un échec. » Est-ce que ce n’était pas le but de rencontrer du monde quand on sortait seul ? C’était mission réussie. Elle tendit le bras pour lui serrer la main, incapable de retenir son rire face à la scène lunaire qui était en train de se dérouler. « Enchantée, Cody. Je suis Albane, 29 ans. On aurait pu se croiser très vite fait à Poudlard. » Ils avaient quoi, sept ans d’études ? Oui, ça passait. « Pour le souci du détail, tu peux prétendre t’appeler Eliot ? Comme ça, je mentirai pas vraiment, ça m’évitera de m’emmêler les pinceaux. » Elle n’avait aucune idée de l’âge d’Eliot, mais il était son demi-frère australien. Pas de risques de se tromper sur le nom ou sur l’accent si jamais le sujet devait revenir sur le tapis avec la fine équipe qu’elle se tapait ce soir. Mais maintenant, il leur fallait un plan. « Ok. Réfléchissons. » Elle posa son menton sur ses mains, son regard s’accrochant à Cody. Elle peinait à rester sérieuse maintenant, et elle en était reconnaissante. Il avait réussi à dédramatiser la situation et à la faire se sentir bien moins seule. « Déjà, je pense qu’on devrait éviter de sortir ensemble des toilettes. » Elle pouffa. Ils pouvaient trouver des explications pour presque tout mais ce sujet-là, Bane ne voulait juste pas le risquer. « Je pourrais prétendre te reconnaître au bar et venir te voir… mais j’ai peur que la sangsue rapplique et veuille que je la présente. » Qu’ils aient l’air d’être en pleines retrouvailles ou même l’air de se disputer n’arrêterait pas Joanna. Pire encore, elle risquait de se sentir obligée de se gluer à la conversation. « Ou alors, tu peux prétendre me reconnaître et venir me secourir. Tu peux même me sortir qu’il faut qu’on parle, personne n’ose intervenir face à ça. » Les prunelles de la française s’illuminèrent comme si elle venait de trouver l’idée du siècle. Elle en redressa la tête, subitement requinquée. « Et on va au bar, et je t’offre ce que tu veux pour te remercier vu que j’aurai récupéré mon sac ! » C’était le plan idéal. Une fois ses affaires récupérées et hors d’atteinte, elle pourrait partir en courant en dernier recours. « Ca nous laissera le temps de discuter de la deuxième partie du plan si on vient nous demander ce qui se passe. » Mais paradoxalement, elle semblait avoir pris la décision de rester et de profiter d’un verre. Par nécessité ou par volonté de remercier Cody, cela restait à voir. La seconde de silence lui fit réaliser ce qu’elle était en train de proposer. « T’es sûr que tu préférais pas être seul ? » En même temps, il était venu la chercher. Ce n’était pas vraiment de la faute de Bane si ses élans de preux chevalier pouvaient le conduire dans des traquenards étranges.
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Cody Shephard
l'amour du silence
ÂGE : 35 ans (5 août 1988) SURNOM : difficile de faire plus court que cody, il se faisait peut être appelé coco ou dydy étant enfant mais refusera catégoriquement d'entendre un tel surnom aujourd'hui STATUT : il répondra célibataire, mais son coeur bat férocement pour une jolie demoiselle MÉTIER : propriétaire et coach d'une école de boxe, son bébé à lui LOGEMENT : il vit seul depuis janvier, la maison un peu trop grande pour lui seul lui rappelle l'absence de son frère, la distance de sa soeur, l'ombre de ses parents et le manque d'elles POSTS : 6783 POINTS : 160
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∆ adèle ∆ 1 - 2 - 3 - 4 (ua) - 5 - 6 (ua) - 7 - 8 (ua) - 9 ∆ we shared parents, home, pets, celebrations, catastrophes, secrets. and the threads of our experience became so interwoven that we are linked. i can never be utterly lonely, knowing you share the planet.
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Lun 20 Nov 2023 - 17:56
Cette soirée est devenue rapidement complètement dingue, il n’y a pas d’autre mot pour décrire la situation dans laquelle Cody se retrouve : il est installé sur des toilettes à discuter avec une pure inconnue et à lui proposer ses services d’acteur pour la sortir d’une situation délicate. C’est le genre de soirée qu’on ne voit que dans les films et pourtant, c’est bien la réalité. Il imagine déjà la tête de ses amis quand il racontera cette expérience à qui voudra bien l’entendre, certains le prendront sûrement pour un fou et ils n’auront pas tout à fait tort, bon nombre de gens n’auraient même pas remarqué cette porte fermée et encore moins auraient décidé de faire quelque chose à ce sujet. « Sur le devant de la scène ou pour jouer le buisson du décor ? » Cody lâche un rire devant cette question aussi surprenante et inattendue que tout le reste de la soirée dans les toilettes ; après tout l’une ou l’autre des propositions ne peut pas refléter son niveau d’acting actuel ; et il n’ira pas jusqu’à dire qu’il est haut, il n’a jamais eu vraiment besoin de s'exercer et ce soir sera une improvisation complète qui peut cacher des surprises. Espérons qu’il ne se mette pas à éclater de rire en plein milieu de la prestation. « Pire. Je jouais un caillou. » C’est faux, évidemment, il se permet de se moquer un peu de la jeune femme et de lui-même au passage. Il jouait un personnage tout à fait classique même s’il ne s’en souvient tout simplement pas plus, l’histoire remonte à désormais pas mal d’années et même s’il existe une cassette de ce moment, ce n’est pas le genre de sujet qu’il sort régulièrement à la table d’un repas de dimanche midi. « Désolée. Promis, je suis une personne normale et saine d’esprit. » Il la regarde ; elle se tient debout sur les toilettes miteuses d’un bar pour observer son voisin de cabine et élaborer ensemble un plan qui lui permettrait d’échapper à sa soirée. Alors forcément, il répond. « Je n’en crois pas un mot mais c’est pas grave. » Petit sourire aux lèvres pour lui montrer qu’il plaisante - à moitié - et le voilà prêt à la suivre, la saluant tout d’abord de la main après avoir répété son geste pour être au même niveau. Et maintenant ils ont l’air de deux idiots debouts sur des toilettes à papoter par cabine interposée comme s’il n’existait pas un millier d’autres façons de faire la conversation. « Enchantée, Cody. Je suis Albane, 29 ans. On aurait pu se croiser très vite fait à Poudlard. » La différence d’âge ne le surprend pas tant, un regard avait suffi pour qu’il devine qu’il lui tenait quelques années d’avance. « J’aurai pu être ton préfet, ça aurait filé droit, c’est moi qui te le dis ! » Il pense un instant à Birdie qui apprécierait certainement beaucoup toutes ces références à Harry Potter ; et lui, ça ne le déplaît pas le moins du monde. « Pour le souci du détail, tu peux prétendre t’appeler Eliot ? Comme ça, je mentirai pas vraiment, ça m’évitera de m’emmêler les pinceaux. » Cody ne peut pas s’empêcher de rigoler devant la demande ; décidément il va vraiment se lancer dans un rôle de A à Z ce soir ! « J’espère être nominé aux Oscars grâce à ma prestation sous le personnage d’Eliot. » Il espère surtout qu’il réussira à réagir comme s’il entendait son prénom en entendant celui du vrai frère d’Albane ; il n’a pas pour habitude de se faire appeler Eliot ou tout autre prénom qui ne lui a pas été donné à la naissance. Mais c’est là sa façon de dire à la jeune femme qu’il est en effet partant pour la folle aventure dans laquelle ils ont décidé de se lancer : Cody ne sait pas vraiment où tout ça va les mener mais ça lui change grandement de la soirée qu’il devait passer normalement ; dans un ennui certain et prêt à rentrer à la maison assez rapidement pour finir la soirée devant la télévision, Shadow à ses pieds. Toujours perchés sur les toilettes, le plan se met doucement en place entre nos deux compères des toilettes. « Déjà, je pense qu’on devrait éviter de sortir ensemble des toilettes » C’est en effet judicieux, ce serait assez bizarre. Il hoche la tête pour valider les propos de la jeune femme. « Je pourrais prétendre te reconnaître au bar et venir te voir… mais j’ai peur que la sangsue rapplique et veuille que je la présente. » Cette personne est donc insupportable à ce point ? Ce n’est pas surprenant qu’Albane se lance alors dans un plan monté de toutes pièces pour lui échapper ; Cody ferait sûrement la même chose. « Ou alors, tu peux prétendre me reconnaître et venir me secourir. Tu peux même me sortir qu’il faut qu’on parle, personne n’ose intervenir face à ça. » Il imagine d’ici la scène, il affichera la mine triste de ceux qui ont une mauvaise nouvelle à annoncer - ce n’est ni le bon moment, ni le bon lieu mais ça n’a pas vraiment d’importance, aux grands maux les grands moyens. « Oui c’est pas mal comme ça, j’arrive je fais la gueule, elle osera pas s’imposer si elle voit que c’est sérieux. Enfin… j’espère ? » Après tout, cette personne semble être une sangsue si on en croit les mots et les dires d’Albane ; et Cody préfère croire sa fausse sœur de la soirée. « Et on va au bar, et je t’offre ce que tu veux pour te remercier vu que j’aurai récupéré mon sac ! » En plus il y gagne quelque chose, décidément, avoir l'œil un peu trop aiguisé présente de sacrés avantages. « Ça nous laissera le temps de discuter de la deuxième partie du plan si on vient nous demander ce qui se passe. » Ils n’auront qu’à partir en courant, le voilà lancé dans un plan imaginaire digne des plus grands films d’action ; il sait pertinemment que ça ne se passera pas comme ça, mais on peut bien rêver, non ? Il n’a pas le temps de répondre que la jeune femme semble d’un seul coup s’inquiéter. « T’es sûr que tu préférais pas être seul ? » Elle lui laisse une porte de sortie qu’il décide de ne pas prendre. « Et laisser ma petite sœur dans ce pétrin ? Tu parles ! » Il sourit et se décide enfin à descendre des toilettes. Il ouvre la porte et vient toquer à la sienne. « Allez, je sors ! A dans quelques minutes, je serai au bar. » Et le voilà parti prêt à mettre à exécution le plan. S’installant au bar comme promis, il guette d’un oeil discret l’entrée des toilettes pour ne pas manquer Albane ; un oeil dans cette direction et de temps en temps, un petit scan de la salle pour tenter d’apercevoir le groupe qui a forcé la jeune française à s’enfermer dans un lieu pas très reluisant.
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les paradis artificiels
ÂGE : vingt-neuf ans (27.03) SURNOM : bane, babe pour les intimes, banane pour les affectueux STATUT : ils tentent quelque chose avec kieran, même si elle ne sait pas trop ce que c'est MÉTIER : après six ans à travailler en tant qu'infirmière à l'hôpital saint vincent (2016-2022), elle vient d'entrer en école de médecine en septembre 2022. accessoirement, numéro qu'on appelle à la ruche (ou autres lieux pas très légaux) pour soigner les bobos LOGEMENT : #49 james street, fortitude valley. une colocation avec einstein le chat et depuis peu, eleonora. le chaos, donc. POSTS : 1433 POINTS : 0
TW IN RP : addiction, drogues, alcool, violence, dépression, deuil, ts, nunuche GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Boule de gentillesse, trop naïve et trop sensible ≈ A pour vices secrets la cigarette, l'alcool en trop grande quantité et la morphine ≈ Pourtant intègre et remplie de valeurs, elle a un passif de trafic d'ordonnances médicales et vols des stocks de médicaments durant son temps à l'hôpital ≈ Bisexuelle à fortes tendances homo planquée dans son placard ≈ Passionnée de plongée ≈ Française à l'accent bien prononcé ≈ En roue libre depuis le décès de sa petite soeur en 2019 ≈ A fait une overdose de morphine en novembre 2022 ≈ En tentative de sevrage (méthadone) depuis juin 2023CODE COULEUR : #006666 RPs EN COURS :
(abandonnés): Dani & Melchior + Reese + Ciarán + Jake #3 + Solas + Wine #9 + Lou #2 + AVATAR : victoria pedretti CRÉDITS : (avatar) nedoramoteris (gifs) thiskryptonite DC : sergio aka papa gugu, emery le céleri et garrett (un jour il aura un surnom) PSEUDO : tiphaine INSCRIT LE : 09/10/2021
(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody) Mer 29 Nov 2023 - 15:32
toilet power meeting
I think I'll dye my hair and I'll move to Alaska, grab all of my money, guitar, and a jacket. Drivin' out of town, maybe wave if I pass ya'. Sorry I had to move to Alaska
Albane avait l’habitude de se débrouiller seule pour absolument tout dans sa vie. Mais jouer la jouvencelle en détresse enfermée dans ses toilettes payait, finalement. Aussi saugrenu que cela puisse paraître, c’était incroyable réconfortant de se faire qu’elle n’aurait pas à affronter la situation seule. C’était d’autant plus ironique qu’à en parler, ce n’était pas comme si elle était vraiment en danger ou quoique ce soit. C’était juste au-delà de ses capacités pour la personne bienveillante et timide qu’elle était. Elle ne voulait pas braquer Joanna ou se faire mal voir par ses collègues et plusieurs dizaines de minutes ne l’avaient pas aidé à trouver une solution digne de ce nom. Pire, elle se morfondait. Et voilà que subitement, elle se mettait à réfléchir à l’utilité qu’on aurait de demander un gamin à jouer un caillou sur scène. La vie était drôlement faite. Et la française doutait sincèrement de la sincérité de l’affirmation du jeune homme, même si sans voir sans visage, c’était difficile à confirmer. « C’est une heure de gloire comme une autre. » lâcha-t-elle juste avec un certain scepticisme toutefois. Elle était naïve et c’était une de ses grandes faiblesses, elle travaillait sur ce point. Mais à part cela, elle était plutôt réfléchie, promis juré. Cela lui fit se demander ce que Cody devait vraiment penser d’elle, maintenant qu’ils se faisaient face, perchés sur leurs toilettes respectives. « Je ne veux pas lancer d’accusations mais je pense que la personne qui parle à une porte de toilettes fermée est plus bizarre que celle qui s’y enferme. » Un léger sourire étirait ses lèvres alors que sa main se tendait pour officialiser ces présentations, tournant l’inconnu en une personne familière qu’elle était incroyablement heureuse de rencontrer. Il ne pouvait pas être si perturbé s’il était prêt à aider et en plus avait naturellement fait des références à Harry Potter. « De toute évidence, j’aurais été intimidée et je serais partie me cacher dans les toilettes de Mimi Geignarde pour pleurer. » La malice avait pris place sur son visage. Dans les faits, Albane avait toujours été une élève modèle dans ses jeunes années. Aucun préfet n’aurait retenu son nom tant il n’y aurait rien eu à dire sur son sujet. A la place, ils se rencontraient dans le monde moldu, à l’âge adulte, prêts à jouer la comédie de l’année. Elle n’était plus à une demande étrange près alors elle renonça à sauver sa fierté et poussa le vice jusqu’à introduire des détails artistiques. « N’hésite pas à prendre des libertés artistiques, le vrai Eliot est un trou du cul, t’as pas envie de lui ressembler. » Elle préférait de loin Cody, qu’elle connaissait depuis dix minutes, à son demi-frère qui semblait déterminé à faire savoir par tous les moyens à la jeune femme qu’il ne voulait pas d’elle dans sa vie. Elle avait envie de croire que c’était uniquement parce qu’elle avait eu le droit à une part d’héritage, et que ce n’était donc rien de vraiment personnel. Eliot ne l’aurait pas sortie du pétrin même si sa vie en dépendait. Avec Cody au moins, elle avait l’espoir de sortir d’ici indemne. Cela demandait un peu de fignolage mais lentement, le plan se mettait en place. Il l’écoutait sans broncher, seuls ses traits trahissant son écoute attentive. Son interprétation d’un air grave étira les lèvres de la française dans un sourire doucement hilare. Ce n’était pas ses talents d’acteur à lui qu’elle aurait dû questionner, mais les siens. Elle aurait l’air fine si elle riait au nez de son pseudo demi-frère qui viendrait lui annoncer une nouvelle tragique. « On pourra toujours hausser la voix. Tu gères bien, la voix grave et sévère ? » Elle le dévisagea un instant. Sans douter de sa capacité à se montrer autoritaire, elle culpabilisait un peu de lui en demander autant. « Non, bon. J’en fais mon affaire. » Il en ferait bien assez et elle était prête à lui offrir autant de verres qu’il voudrait ce soir pour le remercier de cette intervention salvatrice. Elle aurait pu opter pour juste partir du bar et enfin avoir le calme auquel elle aspirait tant, mais elle devait honteusement admettre prendre goût au tempérament du brun. Elle voulait voir où cela pouvait les mener. Le fait qu’il ne marque pas la moindre forme d’hésitation n’aidait pas à la dissuader de continuer dans cette direction. « Il faudra que tu me donnes ton numéro pour que je t’offre un mug avec écrit ‘best bro’ dessus. » Elle était parfaitement sérieuse. Ce serait comme un trophée pour le récompenser. Maintenant, c’était show time. « J’arrive ! » Elle sauta de son perchoir, inspira profondément et attendit quelques secondes avant de rouvrir la porte. Elle prit tout son temps pour se laver les mains, s’inspectant dans le miroir. Elle avait l’air incroyablement fatiguée. Dans un effort inutile, elle rectifia son mascara, remit ses cheveux en place, se passa même un peu d’eau sur la nuque. Elle travailla son sourire pour le rendre le plus crédible possible et osa enfin remettre les pieds dans le bar. Le bruit de la musique et des conversations la frappa de plein fouet, comme si subitement, la vie reprenait autour d’elle. Instinctivement, son regard glissa vers le bar où elle repéra Cody. Leurs yeux s’accrochèrent une seconde et elle lui sourit en faisait un signe discret de la main vers la table où elle était. Comme un condamné sur le point d’aller au pilori, elle traîna le pas jusqu’à retourner à sa table. Son retour fut accueilli par un « Albaaaaane ! Où est-ce que tu étais passée ? » d’une Joanna encore plus pompette qu’un peu plus tôt. La française tenta de ne pas se crisper au bras qui attrapa sa taille. « On commençait à se demander si t’avais pas été kidnappée ! » Elle fit mine de rire, mais ce bruit était tellement faux qu’il lui irrita les oreilles. « Désolée, j’avais besoin de prendre une pause. Vous parliez de quoi ? » Elle enchaîna rapidement pour éviter de devoir subir un nouvel interrogatoire. Elle eut le malheur de découvrir que son verre était vide et qu’elle n’aurait malheureusement pas d’échappatoire jusqu’à ce que Cody ne vienne la secourir. Elle se raccrocha au fait qu’elle avait enfin la main mise sur son sac à main et que si jamais les choses tournaient mal, la solution de partir en courant était à nouveau une option. Les minutes lui semblèrent durer des heures durant lesquelles la française s’efforça de ne pas lorgner sur le bar. A chaque silhouette qui passait dans son champ de vision, elle pensait enfin être délivrée. Il y eut trois faux espoirs avant qu’enfin, dieu merci, elle entende la voix de Cody. Enfin, Eliot. Elle mit toute sa concentration dans les expressions faciales, feintant la surprise en découvrant le visage de l’homme -qu’elle n’avait évidemment pas encore vu dans ce bar, quelle idée-. « Eliot ? Qu’est-ce que tu fais là ? Tout va bien ? » Son regard oscilla entre la table et entre le jeune homme. « C’est mon frère. Je reviens. » Elle attrapa son sac et sa veste pour se planter en face de son sauveur du jour. Il lui fallut une seconde pour réaliser que ce n’était pas exactement la manière dont ils avaient planifié l’interruption et elle paniqua. S’il y avait une chose pour laquelle la brune n’était pas douée, c’était bien l’improvisation. Et maintenant que c’était à son tour de jouer sa pièce, elle paniqua légèrement et termina par attraper son bras pour le traîner jusqu’au bar, assez loin pour que la marée humaine du bar puisse les dissimuler. Ils se retrouvèrent au niveau du comptoir et elle lui adressa un air embarrassé mais quelque peu amusé. « Ok. Je te dois des excuses pour avoir critiqué tes potentiels talents d’acteur. Je suis un désastre ambulant. Mais je peux encore faire des grimaces convaincantes s’il faut. » Elle était en médecine. Elle était habituée à grimacer et à faire des têtes horrifiées devant ses cours. « En tout cas, une chose est sûre, on n’a pas pris du même parent. Tu es vraiment grand. » Maintenant qu’ils étaient face en face, elle commençait à se dire qu’elle aurait dû préciser qu’il n’était qu’un demi-frère.
elle était pas supposée se vautrer mais j'avais besoin d'atteindre les 50k pour le nano alors merci pour cette opportunité
everything's great
Cause it's so hard for me to be honest these days, I tell myself I'm doing okay. I don't want the world to think I'm weak, and so i repeat it 'til I believe it. Everything's going great! Just don't ask me how I really feel. • sheepirl.
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(#) Sujet: Re: the art of the toilet power meeting (albane & cody)
the art of the toilet power meeting (albane & cody)
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