ÂGE : 28 ans (24.04.95) SURNOM : “Wonderley”, c'est ce surnom que scande la foule en liesse lorsqu'il se rapproche de la victoire. En effet, il se trouve “wonder”, mais surtout “fabulous” STATUT : Il se reconstruit d'une relation difficile avec la mannequin Jordan Blamer. Reconnaître les violences est difficile, accepter d'être victime l'est encore plus MÉTIER : Pilote de Formule 1 (McLaren) LOGEMENT : Au #499 Beachcrest Road, Bayside avec son bobtail, Smoothie et ses rêves qui deviennent réalité POSTS : 608 POINTS : 310
TW IN RP : Homophobie, grossièreté, violences, conflits familiaux, relations toxiques GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. AVATAR : Cody Christian CRÉDITS : Avatar : smmg DC : R.A.S. PSEUDO : Euthénie INSCRIT LE : 23/09/2023
(#) Sujet: Oh will they say we've failed (Logan) Sam 30 Sep 2023 - 16:22
oh will they say
we've failed
Grand Prix fini, Grand Prix foiré. Pour l’intraitable Farley, ne pas être premier est un échec cuisant, car l’histoire ne retient que les vainqueurs. Le vainqueur ? Toujours le même, malgré son accroc il y a quelques semaines – ouf de soulagement. Et le vainqueur l’agace. Son comportement, son visage, rien ne va. Farley doit être fair-play, il l’a félicité plus ou moins chaudement, ils se sont installés ensemble pour visionner la course et commenter. Il l’a complimenté, et il n’a pu répondre que par un léger rire. Le grand champion de Formule 1 charmant vis-à-vis de lui, il notera soigneusement cette date dans son calendrier. Il lui a rendu, mielleux, ses douces paroles avec un peu d’hypocrisie qui n’a pas été remarquée, mais lorsqu’on connaît le personnage, est-on vraiment étonné ? Il a vadrouillé quelques heures pour se remettre de ses négatives émotions, s’est laissé entraîner dans quelques beuveries encore raisonnables, et personne ne l’a reconnu – fait assez rare, mais il connaît assez peu le monde de la F1 au Japon. Est-ce populaire ? Il n’en sait rien. Mais peu déçu d’être traité comme un être humain normal, il a dansé avec quelques jeunes femmes et moins jeunes et a défié d’indétrônables buveurs. Il a perdu, là aussi, mais la déception a un goût moins amer que l’énième victoire de Max Verstappen. Il ne l’aime pas. Vraiment pas.
De retour en Australie, il a repris ses marques, a repris ses petites habitudes. Entraînement le matin et le début d’après-midi, discussions avec l’équipe en vue du prochain Grand Prix, répondre aux messages de son coéquipier – il n’est pas désagréable le garçon, juste un peu… bref. Farley n’aime pas grand monde dans le monde de l’automobile. Il n’aime que sa supérieure petite personne désagréable. Il se donne à fond, et les critiques pleuvent. Qu’on ne l’apprécie pas, il n’en a rien à foutre. Les critiques coulent sur la carapace sacrée de son indifférence. Ce soir, il a des projets. Pas d’alcool, ou en très petite quantité. De la solitude, parce que ses amis ne sont pas disponibles, pas intéressés, car tout ne tourne pas autour de lui et de ses passions. Le karting, c’est sympa mais ça coûte vite cher. Il se propose de payer, mais ils ne sont pas convaincus. Ils lui devront des sous, et c’est hors de question. « Mais non ! » affirme Farley qui pourtant ira seul en voiture vers le karting en dehors de la ville car il n’est pas trop mal. Il y a mieux, c’est certain, il a fait le tour du monde de ces activités rigolotes et formatrices, mais il prend ce qu’il y a. Il ne va pas changer de pays une fois de plus pour un centre de petites voitures. Ridicule et grotesque. Il connaît le gérant, il vient pourtant rarement. Ils se saluent et le jeune homme voit ses yeux briller. Oui, sa tête lui dit quelque chose, définitivement. Il est passé à la télé il y a une semaine, il a fini troisième, youpi tralala. Farley ignore ce regard amoureux et paie pour une demi-heure.
Il s’est bien amusé, il les a tous explosés. Oui, il a signé quelques autographes et n’a pas été des plus gentils sur la piste. Oui, il y a des gamins, ce serait cool de les laisser gagner au moins un tour mais le pilote est trop compétiteur pour ça. Puis, que penseraient-ils du graaaand Farley Cafferty s’il se faisait lâchement battre sur une piste de karting ? Il aurait l’air ridicule. En fait, sa défaite aurait ravi les petits et grands et ils ne lui en auraient pas tenu rigueur, mais l’esprit étriqué ne pense pas à cela. Le temps avance et les lieux se vident peu à peu. Il se dirige vers le bar, commande un jus de fruit terriblement transformé et plein de sucre. Eurk. A la maison, il presse ses oranges lui-même et s’autoproclame champion du monde des smoothies – car faut bien être doué dans quelque chose, et son chien s’appelle Smoothie. C’est mieux, mais ça suffira. Y’a une table vide pas loin, deux chaises, l’une qu’on lui réclamera sans doute, un petit groupe qui vient d’arriver, qui lui sourit, qui ne le reconnaît. Oui, ils peuvent prendre la chaise, mais ses pieds étaient posés dessus, alors finalement… non. Lunettes de soleil sur le nez pour plus d’intimité malgré le soleil qui a disparu, Farley tète sa paille et la mordille. Le bruit ne le dérange pas. Pas encore.
“I am no bird; and no net ensnares me: I am a free human being with an independent will, which I now exert to leave you.”
Pando
Who bore the fight that freedom's light Might shine through the foggy dew
Logan Novak
le fils de trop
ÂGE : vingt-deux ans (depuis le 08/11) SURNOM : lolo ou le morveux STATUT : j'étouffe pour que le nous l'emporte MÉTIER : assistant de sergio depuis octobre 2022, et bosse depuis récemment en tant que livreur chez platemate. LOGEMENT : dans un petit appart qu'il loue avec Léo à fortitude valley quand il cherche pas à fuire son cocon pour squatter le divan de Chel. POSTS : 1269 POINTS : 0
TW IN RP : course de voiture (illégale), falsification de données (sur papier), abandon (du père) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : pilote de course illégale de voiture . élevé par sa mère, car son géniteur est parti avant sa naissance . vient de retrouver son père et bosse pour lui sans que ce dernier ne connaisse son identité . travailleur acharné, solitaire et têtu comme une mule.CODE COULEUR : logan fait ronronner sa voiture en #5EACA2 RPs EN COURS :
(#) Sujet: Re: Oh will they say we've failed (Logan) Lun 23 Oct 2023 - 11:03
« oh will they say we've failed » farley cafferty & logan novak.
Logan est à deux doigts de se faire piéger dans son propre jeu – celui qui l’a instauré en allant travailler pour son propre père sans que ce dernier ne sache qu’il possède de fils suffisamment stupide pour en être le larbin. Il a mis des années avant de retrouver sa trace et se mettant à dos surtout son propre cousin, il a finis par retrouver l’année dernière la trace de son existence. Lorsqu’il a su que le Gutiérrez recherchait un assistant, il n’a pas hésité à appeler son amie de presque toujours, Cassie pour qu’elle l’aide à compléter son CV vide afin d’être l’employé idéal pour cette homme d’affaire, et depuis Logan erre entre mensonge et sortie de prestige. Lui, qui n’appartient pas à ce monde, lui qui se fiche des gens célèbrent, de ses stars de demain qui ne le resteront selon lui, pas longtemps, il doit bien avouer qu’il se prend au jeu. Ce soir comme presque tous les soirs, pour fuir l’appartement où il vit avec sa charmante copine qui attend leur enfant, il compte bien sortir, boire ou conduire. Le choix est vaste, parfois il lui arrive de faire les deux, avant qu’une dispute éclate entre eux, mais ce soir, il est fatigué de ce manège et n’a plus envie de faire des efforts. Il est censé se rendre à une course illégale quand il reçoit un message de l’un de ses meilleurs potes pour se faire une partie de karting. En temps normal, Logan aurait été censé refuser. Boire ou conduire, le choix n’est pas toujours aussi simple. Et pourtant, il se retrouve à présent à envier ce circuit qui se trouve devant lui. Son bolide garé à l’extérieur qui attire comme à chaque fois le regard, un sourire amusé se dessine sur ses lèvres quand il rejoint son pote. Il sait qu’il ne rentrera pas tard, juste un tour, et puis il pourra très bien se rendre à une autre de ses courses, paradé devant ses gens qu’il ne connaît pas, et qu’il ne connaîtra jamais. On lui file une voiture, à son pote aussi. Ils ont trente minutes pour faire des tours, et finir premier. C’est le but du jeu, et il accepte le deal Logan. Le risque surtout c’est quand on se retrouve devant plus fort que soi sans le savoir. Et voilà que depuis plusieurs minutes il accélère, ralentissant juste avant le virage tout en accélérant pendant pour garder la cohésion et qu’il y a une voiture toujours collée devant lui. Il rage Logan, il peste. Si seulement, il savait qui est le gars en question. Il ne sera pas parvenu à reprendre la main sur lui, le gars finit premier, lui second et devant ce maudit écran, il serre les dents. Devant son pote qui rigole – il connaît suffisamment quel genre de pilote sommeil en Logan Novak. Il sait qu’il est le genre à refuser de perdre, que quoi que ça lui en coûte, il doit la remporter la victoire. Il veut la première place et ça, dans tous les domaines qu’il entreprend mais plus encore quand ça touche les courses. Son collègue qui repart, Logan lui décide d’aller boire un verre ou deux avant peut-être de repartir, ou de rentrer. Qui sait. Il passe devant la table du type à lunette – le même que lors de sa course et un sourire en coin se dessine bien l’intention d’aller le faire chier à celui-là pour la peine. Il file pourtant se commander un verre d’alcool avant de revenir vers le gars. Est-ce qu’il y voit au moins quelque chose avec ses lunettes ? Logan se le demande bien. « C’était moi le deuxième… » Le gars s’en fiche peut-être, mais il a cette rage Logan quand il n’a pas sa première place. Et il compte bien le défier, d’une quelconque façon, « tu t’es sacrément bien démerdé sur le circuit. » Et sans demander son reste, il pose sa main sur le dossier de la chaise, pose son verre en face de Farley sans même totalement le reconnaître pour l’heure, faudrait-il encore qu’il retire ses lunettes de soleil ! « Je peux ? » Pas comme si le Novak lui laissait vraiment le choix de toute évidence : il avait besoin de tirer cette histoire au clair : on ne double pas Logan Novak, il avait clairement autant de prétention que ce pilote de course.
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Oh will they say we've failed (Logan)
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