ÂGE : 28 ans (24.04.95) SURNOM : “Wonderley”, c'est ce surnom que scande la foule en liesse lorsqu'il se rapproche de la victoire. En effet, il se trouve “wonder”, mais surtout “fabulous” STATUT : Il se reconstruit d'une relation difficile avec la mannequin Jordan Blamer. Reconnaître les violences est difficile, accepter d'être victime l'est encore plus MÉTIER : Pilote de Formule 1 (McLaren) LOGEMENT : Au #499 Beachcrest Road, Bayside avec son bobtail, Smoothie et ses rêves qui deviennent réalité POSTS : 605 POINTS : 240
TW IN RP : Homophobie, grossièreté, violences, conflits familiaux, relations toxiques GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. AVATAR : Cody Christian CRÉDITS : Avatar : smmg DC : R.A.S. PSEUDO : Euthénie INSCRIT LE : 23/09/2023
(#) Sujet: They flung their red rag to the wind (Arthur) Dim 1 Oct 2023 - 11:22
their red rag
to the wind
En Europe, il est tôt lorsque les fans se réveillent pour suivre le Grand Prix. Il paraît qu’il débute à sept heures, juste avant le petit-déjeuner, ou alors on mange devant l’écran car tous ne peuvent faire le déplacement vers les prairies dorées du Japon, sous les cerisiers qui perdent leurs feuilles à défaut d’être en fleur, parce que ce maudit Grand Prix ne se déroulera jamais sous les pétales roses. Déçu est Farley qui pourtant a déjà visité le pays juste pour assister à ce doux spectacle, laissant ses doigts glisser contre l’écorce des arbres, un sourire fleurir sur ses lèvres. C’est reposant, le Japon, lorsqu’il y fait bon. Mais aujourd’hui, 24 septembre 2023, il n’est pas là pour s’asseoir contre un tronc, fermer les yeux, une musique relaxante en tête, s’imaginant dans ses rêves débiles comme un samouraï sauvant la veuve et l’orphelin. Lui, il va sauver son cul, l’honneur de son équipe et le sien au passage, parce que rien n’est plus important que son arrogance crasse et ses désirs toujours plus puissants, profonds. La victoire sera-t-elle sienne cette fois ? Il part deuxième sur la grille de départ. C’est inespéré, c’est plaisant. Devant lui, l’inarrêtable Max Verstappen aux multiples victoires rien que cette saison. Une personnalité agaçante, il viendrait le presque le supplier de lui offrir la consécration. Allons, il sera certainement champion du monde, a-t-il vraiment besoin de lui ravir un prix ? Cela fait longtemps qu’il n’a plus retrouvé la douce première place, tous les regards tournés vers lui et la joie de soulever ce foutu trophée. Lando Norris, ce divin homme lui a déjà cassé un trophée. Bien fait ! Il sera refait, bien entendu, ce serait trop dommage sinon, mais Farley a ramassé les morceaux et les a rassemblés pour reconstruire son rêve le plus fou. Une petite idée pour toucher du bout des doigts lui aussi la victoire. Il espère que lorsqu’un jour, il espère peu lointain, il portera au-dessus de sa tête l’objet tant convoité, son coéquipier ne sera pas dans les parages. Il risquerait de s’énerver s’il avait un geste maladroit. Pilote de Formule 1 et deux mains gauches. Allons, il exagère. Il l’aime bien, au fond, Norris. Ils forment une équipe, ils doivent se serrer les coudes. Pourtant, Farley préfère le chacun pour soi.
Ce n’était pas trop mal. Il est grimpé sur le podium, la première fois depuis longtemps. Le goût n’est pas amer dans sa bouche même si le coéquipier a, une fois de plus, fait mieux que lui. Bon, voyons le bon côté des choses, ça donne plus de points à l’équipe et les fans semblent fous dans les tribunes. Des marées orange qui s’agitent et hurlent leurs deux noms. Inutile de donner celui qui a décroché une nouvelle victoire, on commence à avoir l’habitude et il connaît bien les rouages de ce sport qu’il suit assidûment depuis l’enfance. Ça n’a aucune importance. Mais il est compétiteur, Farley, goûter au succès une fois, deux fois et on ne peut plus s’arrêter. C’est comme une drogue, et le garçon, le mauvais garçon ne connaît pas l’effet de celles-ci. Il a toujours été clean, car y’a des limites à ne pas dépasser. Accolades chaleureuses entre les trois concurrents, Verstappen embrasse son trophée qui prend de jolies couleurs. Les deuxième et troisième font de même, mais rien ne se passe. Attaque trempette assurée. Quelle arnaque. Le champagne les arrose bientôt, et Cafferty rigole enfin. Il retrouve de vieilles sensations, grisantes, comme conduire une monoplace. Enfin, ce n’est pas pareil. Laquelle préfère-t-il ? Les fans sont en furie. « Bien joué » sourit Norris, et Farley ferme sa bouche parce qu’il était sur le point de lancer les mêmes mots « Toi aussi, beau gosse » et les voilà complices comme des amis de longue date.
La tension est un peu retombée après les émotions procurées par la course phénoménale qu’ils viennent de vivre. Cachés dans leur stand, les deux hommes échangent parfois quelques mots mais leurs regards sont ailleurs. Ils ne sont pas vraiment potes, et l’équipe ne cesse de babiller. Oui, ils sont fiers, et il y a de quoi ! Deux génies, et un futur champion du monde. Les compliments toutefois, Farley en a vite marre, parce que ça lui rappelle que non, la première place n’était pas sienne. Qu’à cela ne tienne, le goulot près de sa bouche et l’eau qui désaltère la gorge en feu malgré le système de rafraîchissement dans son casque. Il est silencieux maintenant, Farley, la course est terminée, ils se retrouveront dans deux semaines pour de nouveaux exploits.
Il est crevé. Définitivement. Alors c'est d'un pas lent qu'il rejoint les bureaux de son équipe. Lando est devant, il parle plus que lui. Ils sont entourés, comme toujours, mais Farley n'y prête guère attention. La tension est retombée et il rêve du lit moelleux dans lequel il s'allongera bientôt. Bientôt ? Rien n'est moins sûr. Une douche, une vraie, un bain peut-être, une bouteille de vin, il n'a pas vraiment envie de célébrer avec les autres, et ça parle toujours autour de lui, ça papillonne et il est fatigué. Il ne dit rien, les yeux sont ailleurs, y'a l'écran de son téléphone. Un nom le fait grimacer. Les pensées aussi son ailleurs, il ne prend plus attention à ce qui l'entoure. D'un coup, ça fait mal à son épaule, les lèvres s'étirent douloureusement, dangereusement. Une bouffée de colère le prend tout entier et le propulse, ou plutôt son téléphone, qui lui glisse hors des mains. L'écran se fissure, et il n'y a plus que ça qui compte soudain. S'est-il pris un poteau, ou pire, un râteau ?
“I am no bird; and no net ensnares me: I am a free human being with an independent will, which I now exert to leave you.”
Pando
Who bore the fight that freedom's light Might shine through the foggy dew
Arthur Coventry
l'aigle de sang
ÂGE : trente-deux ans - (23.08.1991) SURNOM : arthur pour tout le monde. STATUT : elle est revenue dans sa vie sans prévenir, bouleversant son image de coureur de jupon et ses certitudes. est-ce qu'il serait prêt à se ranger à nouveau ? MÉTIER : grand enfant qui ne sait pas réellement quoi faire de sa vie, actuellement promoteur immobilier dans l'entreprise de papa, un projet d'urbanisme et de développement immobilier à tout de même su retenir toute son attention. il veut en être, il se voit déjà remporter le contrat et prouver à son père qu'il n'est pas un incapable LOGEMENT : au #333 water street (sping hill) avec sa nouvelle colocataire, eleonora POSTS : 5718 POINTS : 0
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (14)emery #1 › malone #2 › cameron #1 › greta #4 (fb) › farley › cristina #1 › greta #9 › eleonora #4 › greta #10 (ua slasher) › london gang › mickey › greta #12
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12
swann #14 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
eleonora #4 › it was just like magic. when your hips came crashing there were fires burning, and my hands learning to paint with passion. it was planets meeting, it was synced up breathing. there were angels calling and more free falling than i believed in. we were chasing stars, across the county lines. two imperfect pieces
La course avait pris fin après une longue bataille qui l’avait laissé suspendu à chaque virage. La grille s’était retrouvée chamboulée, les règles de la vitesse s’appliquant à la loi du plus fort. Comme à chaque événement du genre, Arthur s’était laissé porter par l’adrénaline du moment. Fervent supporter de la Scuderia, cela ne l’empêchait pas de garder un œil sur les autres pilotes. Notamment les deux jeunes poulains de chez McLaren. Tout deux promis à un avenir brillant tant que leur voiture semblait suivre le mouvement. Ils s’étaient dépassés durant ce week-end, enchaînant les stratégies payantes et les tours de conduite exemplaire. Arthur s’était laissé hypnotiser, se souvenant encore de l’époque où il lui arrivait d’échanger avec le rookie de la saison. Il était satisfait de le voir atteindre le podium, conscient de tous les sacrifices que Farley avait dû faire pour en arriver là. Au final, la course avait été une belle surprise, un de ces moments de sport qu’il n’était pas prêt d’oublier.
Greta était partie en direction des toilettes depuis ce qui lui paraissait être une éternité. Arthur étant incapable de rester en place, il ne put s’empêcher de gambader dans les paddocks. Ce n’était pas une interdiction tant qu’il ne se retrouvait pas au milieu des journalistes. Il avait souvent eu l’occasion de pouvoir venir jeter un coup d’œil aux coulisses et il ne se lassait jamais de la sensation. Tout paraissait grouiller dans tous les sens, l’effervescence d’une fin de course où l’on pressait les pilotes de passer devant les caméras pour répondre à quelques questions. C’est en voulant éviter un attroupement de ces dernières qu’Arthur pris plusieurs pas vers l’arrière, entrant alors en collision avec quelqu’un qui avait échappé à son champ de vision. Ses épaules se tendirent au son distinct d’un téléphone portable qui heurte le sol. « Excusez-moi. » qu’il s’empressa de prononcer avant de relever les yeux vers le pauvre malheur qui était tombé sur son chemin. Restant un instant interdit, il ne put s’empêcher de sourire face au visage si familier. « Merde alors Farley ! » Tout ce qui se tenait face à lui était un visage presque colérique qui eut le don de le laisser sans voix quelques instants. Avant de se reprendre. « C’est Arthur. » Et pour ne rien laisser au hasard. « Coventry ? » Allait-il se souvenir de lui ?
Farley Cafferty
ÂGE : 28 ans (24.04.95) SURNOM : “Wonderley”, c'est ce surnom que scande la foule en liesse lorsqu'il se rapproche de la victoire. En effet, il se trouve “wonder”, mais surtout “fabulous” STATUT : Il se reconstruit d'une relation difficile avec la mannequin Jordan Blamer. Reconnaître les violences est difficile, accepter d'être victime l'est encore plus MÉTIER : Pilote de Formule 1 (McLaren) LOGEMENT : Au #499 Beachcrest Road, Bayside avec son bobtail, Smoothie et ses rêves qui deviennent réalité POSTS : 605 POINTS : 240
TW IN RP : Homophobie, grossièreté, violences, conflits familiaux, relations toxiques GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. AVATAR : Cody Christian CRÉDITS : Avatar : smmg DC : R.A.S. PSEUDO : Euthénie INSCRIT LE : 23/09/2023
(#) Sujet: Re: They flung their red rag to the wind (Arthur) Hier à 20:48
their red rag
to the wind
Vraiment, il a pas de chance. Quoique. Non, il devrait fermer sa grande gueule et arrêter de se lamenter sur son triste sort car il a fait un beau podium, quoique frustrant, car ne pas être dernier c’est se donner une occasion de gagner. Occasion qu’il n’a pas su saisir. Merde à la fin ! Lando lui semble tout à fait satisfait des résultats de l’équipe. Il a le sourire, ses yeux brillent et Farley est déçu de ne pas partager la joie commune. Il va finir par se faire virer à rager comme ça, comme s’il était face à un écran d’ordinateur et qu’il perdait pour la septième fois d’affilée sans avoir aperçu la victoire. Il doit être le pire pilote niveau caractère. Enfin il ne sait pas. Il ne parle que peu aux autres âmes sur la piste. Il ne s’intéresse pas à leurs passions, leur existence. Pour lui, ce ne sont que des adversaires à battre, des ennemis mortels. C’est pas trop l’esprit du sport et ses commentaires il les garde bien pour lui pour éviter d’être le grincheux de service et d’être mal catalogué. Lol. Non, sérieusement, il traîne une réputation peu glorieuse, avec des coups de sang qu’il canalise bien mieux qu’il y a quelques années. Quand on est pilote, quand on est « célèbre » (et il met plein de guillemets moches autour de cette appellation), on se doit d’être irréprochable pour éviter le bad buzz. Les caméras ne sont jamais loin, les témoignages pleuvent et y’a déjà des types qui ont dit qu’il était vraiment méchant (pas bien !) alors que clairement, c’était eux qui l’avaient cherché. Oui, Farley, tu aurais dû te contrôler, ne pas te laisser dépasser par la situation à défaut de laisser Verstappen se moquer de toi à chaque Grand Prix. Ces cons cherchent à te pousser à bout, ils cherchent l’erreur qui te fera tomber. Le garçon hausse les épaules. Rien à foutre au fond de son image et les équipes s’arrachent les cheveux. Il est doué le bougre, il a sa place en Formule 1, mais qu’il est difficile !
Là, son téléphone tombe, son épaule fait mal, la colère l’étouffe parce qu’il aime pas qu’un bête humain ne le touche, Cafferty. Puis mince, ce téléphone, il est tout neuf ! Il a quoi ? Trois mois ? Il voulait un portable dernier cri, et le dernier a fini dans les vagues pendant un footing matinal. Non ce n’est pas une blague. Bel iPhone que voilà, et pourquoi pas un Samsung ? Oh, on s’en fiche après tout, l’Irlande un jour sortira un téléphone dernier cri et il se jettera dessus sans autre forme de procès. Nos moutons, Cafferty. Un mec, en face de lui, tout confus de l’avoir bousculé. Un mec, en face de lui, qui a pété l’écran tout triste de son téléphone où s’affiche une belle bagnole en fond d’écran. Ouais, la photo, il l’a prise lui-même, devant sa villa hors de prix. C’est SA voiture, son bébé, et ça, ça a pas intérêt à tomber comme le petit bijou technologique qui pleure sur le sol. Un visage qui s’éclaire, c’est pas vraiment réciproque. Il est reconnu, le contraire l’aurait étonné, c’est pas sur la piste qu’on va ignorer son visage. Lui par contre, c’est le néant. On dirait deux vieux potes, mais l’un a la mémoire qui flanche franchement. Lèvres pincées, il se penche pour ramasser ton iPhone qui n’aurait pas pu tomber plus bas, comme si ne pas se dépêcher lui ferait oublier son existence. « Arthur Coventry » il répète « Ouais, ça me dit quelque chose. Attends, tu serais pas le mec bizarre qui m’a suivi sur les réseaux pendant des mois en revenant avec plein de comptes différents ? T’es passé à la télé… » visiblement, son vis-à-vis n’est pas convaincu. Pourtant, il était sûr que ce petit con sans respect s’appelait Arthur. Enfin, le prénom commençait par un « A ». Ou alors, il y avait un « A » dans le nom. Peu importe. « Nan, en fait, je vois pas » et il est fatigué le pilote en carton, il est l’heure de se reposer mais comment dormir lorsqu’on pense à son bien pété par terre ? A ses voix qui fourmillent autour de lui, à Lando qui lui jette un coup d’œil en souriant et qui retourne discuter ? A cette presque victoire, raflée par la même personne ? Il veut dormir, mais c’est pas le moment, et il n’y arrivera pas. « T’as pété mon téléphone, il a coûté cher » il dit, sourcils froncés. Il devrait peut-être demander un remboursement. Si le gars est là, si proche, c’est qu’il a du pognon.
@Arthur Coventry Je m'excuse encore pour le retard ! En cas de souci, tu sais où me trouver. Merci à toi de ta patience
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(#) Sujet: Re: They flung their red rag to the wind (Arthur)
They flung their red rag to the wind (Arthur)
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