ÂGE : 29 ans (19/01) SURNOM : el, lena, "l'autre trouduc à la machine à café" STATUT : refait ses armes sur les apps, c'est pas joyeux. MÉTIER : agente spécialisée en psyops pour l'ASIO : c'est 90% de temps dans un bureau à pas savoir de quoi on parle, et c'est beaucoup moins fun qu'elle ne l'aurait pensé, mais au moins ça paie. LOGEMENT : à west end, avec mateo et maisie. sa maison lui sert de gros garage à souvenirs qu'elle n'a pas envie de vendre. POSTS : 401 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme parental, forces de l'ordre, violence, ancienne relation toxique TW IRL : age gaps majeur/mineur romancésGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : culmine à 1m84, il fait beau là-haut merci | porte des appareils auditifs, baisse le son à 0 si vous la faites chier | sa couverture civile, c'est gratte-papier d'un tribunal de proximité | gym-bro-himbo-wholesome | énorme nerd.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : DINA › what a beautiful night, i wish you were here to see it, we'd sit on the porch and laugh about the things we said wrong, and i would forgive you for all the tears and the years we missed out on as we count all the leaves of autumn as they fall.
CAMERON › i just keep on proving nothing is quite true when everything is fluid. i'm treading muddy waters, i'm not what you wanted, but i've been through this before.
AKIRA › the brother of my heart lives in you, i know; as long as they beat, i will always have a safe retreat.
ARSINOE › when the ocean drinks the sky and the city winks its eye, when the night is done, you'll vanish in the sun, will I hold you when the night is over?
DANAE ›
8/5 - full archi full (mais bon proposez quand même)
maxine#1 ; andy#1, dina#2 ; nathan ; mateo ; aubrey ; arsinoé ; danaë#2. RPs EN ATTENTE : izan ; RPs TERMINÉS : jiyeon ; dina#1 ; simon#1 ; arsinoé#1 ; danaë ; AVATAR : laysla de oliveira CRÉDITS : ava (c) harleystuff, crack (c) harleystuff aussi, gif (c) ca vient. DC : mac sutherland, sloane jarecki, eden veliz. PSEUDO : princesse mononoprix INSCRIT LE : 18/07/2023
Des grandes vacances : voilà comment Elena essayait de formuler les choses pour que la pilule passe mieux. La dissolution de la cellule PSI n'était pas la fin d'une aventure, ou un licenciement, encore moins le retour à une vie plus ou moins pathétique dans laquelle elle risquait de se noyer : non, c'était juste des belles et longues vacances pour mieux rebondir, le genre où elle aurait le temps de penser à elle, de faire autant de sport que voulu, et de profiter de ses proches sans avoir à compter les minutes avant de repartir. Surtout, c’était l'occasion de reprendre plus sérieusement leur rituel hebdomadaire instauré il y a quelques mois, avec Aubrey. Pour une fois, elle pouvait prendre le temps qu'elle voulait pour se préparer chez elle sans avoir à courir, et elle n'avait nulle part où être le lendemain : elle pouvait ne pas dormir, ou rester jusqu'au lendemain sans culpabiliser du manque de sommeil. Elle pouvait enfin être une bonne pote, ne pas arriver en retard (Aubrey lui en aurait voulu) et ne pas rester le temps d'un film avant de filer en prétextant une urgence à la con au tribunal. C'était l'occasion de se recentrer, de se ressaisir, d'être une amie bien, une femme nouvelle et tous ces trucs de résolution de Nouvel An, à son échelle un peu moins palpitante. Elle essaie de forcer un sourire dans le miroir qu'elle fixe depuis dix minutes entre deux ruminations : que dalle. Tant de tentatives pour finir sur ce même constat d'un désespoir criant qu’elle a du mal à ne pas prendre pour elle.
Elle fait quand même au mieux, à défaut d’arriver à convoquer tout l’engouement qu’elle ressent pourtant, sans arriver à le montrer vraiment. C’est le temps qu'elle passe sur son maquillage et à choisir sa tenue, qui parlent pour elle ; elle a envie de se sentir belle, ce soir, de profiter d'avoir autre chose qu'un bleu sur la gueule ou une luxation du coude, et tant pis si ce n'est pas tout à fait anodin que ce soit pour voir Aubrey qu'elle s'applique. C'est aussi le soin qu’elle met à choisir la recette et les produits à ramener pour ce soir, par volonté un peu de plaire, un peu d'impressionner ; c'est dans le fait qu’elle arrive dix minutes à l'avance, ce qui est proche de l'impossible. Et le temps qu’elle soit devant la porte, le sourire est revenu, un peu plus ténu que ce qu’elle aurait voulu renvoyer, mais un peu plus large que ce dont elle se sentait capable. « J’suis en avance, t’as vu ? » salue-t-elle, sa meilleure bouteille de vin tendue dans une main tandis que l’autre porte un sac de courses relativement imposant. Elle le pose dans l’entrée pour gratifier son amie d’une accolade, qui justifie un mélange de tu m’as manquée, ça fait longtemps, désolée de pas avoir souvent été là qu’elle serait infoutue de lâcher à voix haute. Son langage d’amour, à elle, c’est le contact, et les cadeaux, qu’elle reprend bien vite en main une fois l’étreinte relâchée : « T’as rien à préparer, ce soir : je te fais une feijoada. Tu peux aider en buvant un verre et en me regardant faire, si tu veux. » Elle doute qu’Aubrey s’y tienne vraiment, mais elle reste ferme dans son intention : elle veut cuisiner pour elle, pour une fois. « Et j’ai ramené le douzième opus de Vendredi 13, je crois qu’il est nul et que ça parle de weed et je me disais que c’était approprié. » Coup de menton vers le sac, qui contient de quoi faire deux ou trois joints, si jamais.
who are you to ask for anything else? the thing you should be asking is for help. you'd like a light to shine on you, and every book you take and you dust off from the shelf has lines between lines between lines that you read about yourself -- but does a light shine on you? (c)flotsam.
Grosse journée de travail aujourd'hui, beaucoup de rendez-vous qui s'enchaînent, ne te laissant que très peu de temps pour ce qui te passionne vraiment dans ton métier, la peinture. Parfois tu te dis que tu n'aurais jamais dû ouvrir ta propre galerie mais la raison te ramène rapidement. Même si cela te demande beaucoup plus de travail au niveau administratif, c'est toujours un pur bonheur de pouvoir trouver de nouveaux artistes et de les aider à se faire connaître du public, comme ça a pu être le cas pour toi dans le passé.
Contente de rentrer chez toi, tu retires tes chaussures en t'aidant uniquement de tes pieds, bien trop flemmarde pour utiliser tes mains. T'avances vers le canapé avant de te laisser tomber dedans. Regard qui se pose sur la vaisselle qui trône dans l'évier de ta cuisine, grimace en préférant tourner le regard. Hors de question de t'y mettre tout de suite, le besoin de procrastiner est beaucoup trop présent en ce moment, le ménage peut attendre un peu. T'attrapes la télécommande, allume la télévision, lance un épisode de la série que t'écoutes en ce moment. Le temps passe à une vitesse folle, lorsque tu entends la sonnette de ton appartement retentir. Oups, t'en aurais presque oublié la visite d'Elena, que t'es pourtant très heureuse de voir ce soir.
Télévision éteinte, tu t'empresses d'aller lui ouvrir la porte. « J’suis en avance, t’as vu ? » Petit rire qui s'échappe de tes lèvres. " J'me sens grave honorée que tu sois en avance, c'est vrai " Tu t'éloignes un peu de la porte afin de la laisser entrer, un peu choquée par tout ce qu'elle apporte avec elle. Contact que se fait rapidement, tes bras qui entourent sa taille, le mieux que tu puisses faire dans ce genre de moment pour démontrer ton affection pour elle. T'es pas très tactile comme nana, ce qui a causé une séparation la seule et unique fois ou tu as tenté de te mettre en couple avec quelqu'un. Raison pour laquelle tu te tentes désormais de changer un peu ta façon d'être, de te montrer beaucoup plus démonstrative qu'autrefois. « T’as rien à préparer, ce soir : je te fais une feijoada. Tu peux aider en buvant un verre et en me regardant faire, si tu veux. » en temps normal, t'aurais certainement protestée mais vu ton état de fatigue, tu hausses les épaules, avant de répondre. " Ça risque de t'étonner mais ce sera avec grand plaisir, vraiment. J'ai eu une grosse journée à la galerie, j'suis juste trop fatiguée en ce moment. " Tu t'étires les bras, ton nez se retroussant dans une grimace. « Et j’ai ramené le douzième opus de Vendredi 13, je crois qu’il est nul et que ça parle de weed et je me disais que c’était approprié. » Elle sait comment te donner envie, c'est dingue. " C'est juste parfait comme soirée, pile ce dont j'avais besoin. " Tu te mets à sourire, fusillant ensuite du regard la vaisselle dans l'évier, comme si elle était en train de te narguer. " Je m'occupe au moins de la vaisselle par contre. " C'est une affaire personnelle entre toi et ces quelques ustensiles sales qui attendent que tu t'occupes d'eux. " Mais avant.. " Tu te diriges vers ton réfrigérateur en sors une bouteille de vin blanc. " On se boit un verre, c'est non négociable. "
Elena Esteves
le cygne noir
ÂGE : 29 ans (19/01) SURNOM : el, lena, "l'autre trouduc à la machine à café" STATUT : refait ses armes sur les apps, c'est pas joyeux. MÉTIER : agente spécialisée en psyops pour l'ASIO : c'est 90% de temps dans un bureau à pas savoir de quoi on parle, et c'est beaucoup moins fun qu'elle ne l'aurait pensé, mais au moins ça paie. LOGEMENT : à west end, avec mateo et maisie. sa maison lui sert de gros garage à souvenirs qu'elle n'a pas envie de vendre. POSTS : 401 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme parental, forces de l'ordre, violence, ancienne relation toxique TW IRL : age gaps majeur/mineur romancésGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : culmine à 1m84, il fait beau là-haut merci | porte des appareils auditifs, baisse le son à 0 si vous la faites chier | sa couverture civile, c'est gratte-papier d'un tribunal de proximité | gym-bro-himbo-wholesome | énorme nerd.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : DINA › what a beautiful night, i wish you were here to see it, we'd sit on the porch and laugh about the things we said wrong, and i would forgive you for all the tears and the years we missed out on as we count all the leaves of autumn as they fall.
CAMERON › i just keep on proving nothing is quite true when everything is fluid. i'm treading muddy waters, i'm not what you wanted, but i've been through this before.
AKIRA › the brother of my heart lives in you, i know; as long as they beat, i will always have a safe retreat.
ARSINOE › when the ocean drinks the sky and the city winks its eye, when the night is done, you'll vanish in the sun, will I hold you when the night is over?
DANAE ›
8/5 - full archi full (mais bon proposez quand même)
maxine#1 ; andy#1, dina#2 ; nathan ; mateo ; aubrey ; arsinoé ; danaë#2. RPs EN ATTENTE : izan ; RPs TERMINÉS : jiyeon ; dina#1 ; simon#1 ; arsinoé#1 ; danaë ; AVATAR : laysla de oliveira CRÉDITS : ava (c) harleystuff, crack (c) harleystuff aussi, gif (c) ca vient. DC : mac sutherland, sloane jarecki, eden veliz. PSEUDO : princesse mononoprix INSCRIT LE : 18/07/2023
Il y a toujours une sérénité certaine qui vient avec le fait de passer du temps avec Aubrey – peut-être que c’est le calme et le confort de leurs soirées passées ensemble, en opposition avec le chaos complet de sa vie sociale habituelle. C’est un cocon hors de leurs obligations et du reste de leurs vies, et c’est aussi la première fois depuis quelques jours qu’Elena refait surface hors de sa tanière – être de nature grégaire, elle n’est pas habituée à s’isoler pour autant de temps, avec uniquement sa télé en fond sonore et ses colocataires plus absents qu’ils ne l’avaient jamais été. Troisième jour de congés forcés et déjà marre d’être inactive, l’impression d’être seule au monde : la soirée était tombée à pic pour la sauver du désespoir existentiel, et elle avait passé l’essentiel de son après-midi à faire les courses pour préparer la soirée, avant d’utiliser le reste pour se préparer elle-même.
" J'me sens grave honorée que tu sois en avance, c'est vrai " Le sourire sur ses lèvres ne peut être qualifié que de fier – c’est donc ça, la sensation de ne pas être une déception ambulante en arrivant un peu plus tôt que d’habitude ? Elle s’accroche à l’idée que ce sera la seule fois qu’elle la connaîtra : les retards, chez elle, c’est chronique, et pas seulement à cause du boulot qui finit systématiquement plus tard (quoique ce soit une excellente excuse à sortir). C’est la première fois, aussi, qu’Aubrey signifie être trop fatiguée pour cuisiner, et ça tombe parfaitement : Elena, elle, n’est pas suffisamment fatiguée pour rester en place, et la partie weed et film qui suivra la partie cuisine devrait finir à complètement cuire les connexion restantes dans son corps inhabitué à la notion-même de repos. « T’es pas obligée, pour la vaisselle. Je risque de re-foutre le bordel par-dessus, autant que je fasse tout d’un coup », qu’elle signale en rangeant les courses près de la cuisine, organisant déjà les aliments selon l’ordre de préparation. Elle n’abandonne que lorsque son amie sort une bouteille de son frigo : « Un verre d’abord, deal. »
Elle sort d’office deux verres et laisse Aubrey les servir, quittant sa veste dans l’entrée. « Longues journées au boulot, du coup ? » Elle ne tenait pas à trop parler du travail alors qu’elles en sortaient juste et qu’elles préféraient systématiquement aborder d’autres sujets, mais c’était là qu’elles s’étaient rencontrées, et le quotidien de la galerie l’intéressait. « Tu devrais prendre des congés, aussi. Vivre en ermite pendant trois jours, rouler des tonj pendant que le linge sèche, puis ne pas ramasser le linge parce que tu restes en pyjama. Je recommande. » Elle n’a pas officiellement parlé de son licenciement à qui que ce soit, puisque de toute façon, il ne peut pas être officiel, pas concrètement – pour autant, l’idée d’inventer une semaine pendant laquelle elle aura bûché dans un job de merde l’ennuie encore plus, et sur ce point, elle n’a pas envie de mentir.
who are you to ask for anything else? the thing you should be asking is for help. you'd like a light to shine on you, and every book you take and you dust off from the shelf has lines between lines between lines that you read about yourself -- but does a light shine on you? (c)flotsam.
Après une semaine de dur labeur, tu savais pertinemment que cette soirée allait te faire le plus grand bien. Comme toujours en réalité. Alors forcément, lorsqu'Elena arrive les bras chargés, et qu'elle t'annonce que tu n'auras pas besoin de cuisiner ce soir car elle s'occupe de tout, t'es sur ton petit nuage. T'adores que l'on te dorlote de cette manière, faut dire que cela n'arrive que très rarement. « T’es pas obligée, pour la vaisselle. Je risque de re-foutre le bordel par-dessus, autant que je fasse tout d’un coup » Tu la regardes, bouche bée par ce qu'elle venait de te dire. " T'es en train de me dire que la seule chose que j'ai à faire, c'est poser mes fesses sur ce canapé et te taper la discussion ? Mon Dieu, t'as pas idée comme tu viens d'illuminer ma soirée. " Que tu réponds, avant de te mettre à rire. Un petit peu dans l'exagération mais peut-être pas tant. Tu n'as pas arrêté de la semaine, tu ne comptes même plus tes heures à la galerie, il faudrait vraiment que tu suives les conseils d'Izan et que tu embauches quelqu'un à temps pleins pour te filer un coup de main, tu commences à réellement être épuisée par le rythme de travail intense que tu as en ces derniers temps. « Un verre d’abord, deal. » Tu savais qu'elle ne pouvait refuser une telle proposition, c'est que tu commences à la connaître à force de la fréquenter quand même. Bouteille entre les mains, tu verses le liquide transparent dans les deux verres qu'Elena vient de poser sur le comptoir de la cuisine.
Longues journées au boulot, du coup ? » Long soupir qui s'échappe de tes lèvres à ses mots, avant d'acquiescer d'un mouvement de tête. " Ouais, et ça a été comme ça toute la semaine, j'suis exténuée, tu tombes vraiment à pic, j'te jure " Tu ne pouvais pas rêver mieux qu'une soirée de ce genre avec ton amie pour te donner un petit boost au moral. « Tu devrais prendre des congés, aussi. Vivre en ermite pendant trois jours, rouler des tonj pendant que le linge sèche, puis ne pas ramasser le linge parce que tu restes en pyjama. Je recommande. » Tu bois une gorgée de ton verre avant de te mettre à rire légèrement, il est vrai que de ne penser à rien d'autre qu'à toi-même te ferait le plus grand bien, mais tu ne sais même pas si tu en serais capable. Travailler à la galerie était devenu tellement habituel pour toi, ta petite routine. " Hm.. C'est vrai que ça a l'air pas mal tentant mais j'te signale que si j'vais pas bosser, la galerie reste fermée. " Ton nez qui se retrousse dans une petite grimace. " Mais j'garde ton idée dans un coin de ma tête, ça pourrait peut-être bien m'éviter le burn out un jour. " Parce que c'est clairement ce qui t'attends si tu continue à être trop investie comme maintenant. Tu passes quasiment tout ton temps à la galerie, faut que t'apprennes à relâcher un peu la pression aussi. Il paraît que ça fait du bien.