ÂGE : 29 ans STATUT : célibataire MÉTIER : Surfeuse pro en crise existentielle LOGEMENT : Redcliffe, 02 victoria avenue POSTS : 112 POINTS : 140
TW IN RP : Alcoolisme, abandon, maltraitance, abus GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Arrivée à Brisbane à l'âge de 8 ans elle y est restée jusqu'en 2017 où elle est partie vivre aux USA + Adore l'océan + Voudrait vivre entourée d'animaux + A caché longtemps son homosexualité + Est un petit rayon de soleil DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #F88E55 RPs EN COURS :
Finnley#1 | You are my familly, my comfort zone, my man above all men
Bryave#1 | I've lost you many moons ago, I wish I hadn't
Izan |
Mokare |
Jayden | My personnal superhero AVATAR : Luca Hollestelle CRÉDITS : hypnotic PSEUDO : PolarCookie INSCRIT LE : 14/08/2024
Arrivée à l'aéroport réussie. Le vol était long il faut plus d'une journée, correspondances incluses pour arriver à la maison. Heureusement j'ai voyagé léger, le reste de mes affaires suit par transporteur et devrait arriver d'ici 2 ou 3 jours.
Adieu Amérique, bonjour Australie.
J'ai la boule au ventre, cette fois-ci ce ne sont pas de courtes vacances. Un retour définitif, changement radical ? Un petit goût de retour en arrière me fait dire que ce n'est pas tant un changement. Les années passées démontrent que ce n'est pas un retour à la case départ. Je ne suis pas la même que quand je suis partie. J'ai peur de ce que je vais trouver, de ce que sera le quotidien, se faire une place n'est pas toujours aisé. Je ne connais que trop bien la compétition des clubs, j'éviterais peut-être les pièges ?
Le taxi m'attend comme prévu. Pas de comité d'accueil, c'est ce qui arrive quand on fait des surprises. Finn croit que j'arrive la semaine prochaine. Est ce que c'est vraiment une surprise ou un contrôle de police ? Cette idée me réveille la nuit parfois. Mon sommeil non réparateur dans la voiture est d'ailleurs saupoudré de pensées parasites et de visions noires. Il était temps que je revienne. J'ai repoussé ce moment trop longtemps. La culpabilité alimente volontiers les doutes et épuisée de me réveiller en sursaut je décide de garder les yeux ouverts pour le reste du trajet.
Mon nouvel appartement donne sur la mer. Une promesse vieille de plus de 20 ans. Cependant je ne voulais pas renoncer à cette vision que j'avais à Huntington. C'est aussi un autre changement à prévoir, je vais habiter ici seule et surtout sans Finn. C'est la nouveauté qui ne me plaît qu'à moitié, un peu comme si revenir me faisait redevenir une fillette qui a besoin de la seule figure paternelle qu'elle n'a jamais connu. Le taxi fini par me conduire à cette nouvelle résidence et une fois mon dû payé, je me retrouve face à la porte dont un double des clefs m'a été délivré par courrier quelques jours avant mon départ. J'ai visité par visio, les joies de la modernité. Pourtant tout semble conforme. Il faudra peut être un peu de temps, et plus d'affaires personnelles avant de m'y sentir chez moi.
une heure plus tard
Luttant désespérément contre le décalage horaire, je suis à nouveau dans un taxi. Les rues de la ville me sont familières et j'ai l'impression de jouer aux 7 erreurs en notant mentalement ce qui a changé depuis ma dernière visite. Les yeux grands ouverts, rouges et pleurant de sommeil, je me sens à nouveau humaine grâce à la douche que j'ai prise. Sûr que revoir mon frère va me faire l'effet d'une piqûre d'adrénaline. J'ai hâte d'arriver. Il me manque, il est la seule famille que j'ai connu, que j'ai et mon vrai chez moi.
Une fois dans la rue, ayant à nouveau payé le taxi, tu te retrouves à sonner à l'interphone. J' attends quelques secondes avant de reconnaître la voix de mon frère étouffée par le grésillement usuel.
- On m'a dit que t'attendais la meilleure des sœurs du monde... elle est là !
Parce que c'est le cas non ?
Finnley Coverdale
le roux de secours
ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à une illustre inconnue suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10125 POINTS : 30
TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres.CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS : coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
sinn #1 ⊹ and there's no remedy for memory, your face is like a melody, it won't leave my head, your soul is haunting me and telling me that everything is fine.
(03/06 - whoops, il a VRAIMENT besoin d'amis) › cecilia #2
Le retour de Bryn s’approche et avec lui, l’impatience se transforme en angoisse. Ce n’est pourtant pas un sentiment familier pour Finnley, lui qui tend à être quelque peu détaché de tout ce qui l’entoure, ce qui à au moins l’avantage de ne jamais le paralyser par la peur. Mais depuis quelques jours, il ressent une nervosité inhabituelle, une appréhension liée à l’arrivée de sa cadette alors même qu’il s’agit d’un jour attendu depuis des années. Évidemment qu’il s’impatiente, aussi, mais il ne peut s’empêcher de craindre que les retrouvailles ne se passent pas comme elles le devraient. Pourtant, ils sont loin d’avoir perdu contact au fil des années, même lors des périodes plus difficiles traversées par Finnley durant lesquelles il tendait à limiter la prise de nouvelles. Il n’y a pas d’éléments qui puissent parfaitement justifier cette inquiétude de sa part, hormis un constat sans appel : ils ont évolué depuis tant d’années chacun de leur côté, qu’il se demande si leurs chemins peuvent réellement être à nouveau parallèles. Bryn n’est revenue qu’occasionnellement au fil du temps, faisant réaliser à Finn qu’elle n’a plus grand-chose de la gamine qu’il a élevée. Et c’est tant mieux ; il n’est pas de ces gens mélancoliques qui regrettent les époques que l’on ne retrouvera jamais, d’autant que sa sœur est désormais une jeune femme épanouie, lui faisant croire qu’il y a au moins un domaine où il ne s’est pas montré trop misérable. Mais lorsque Bryn est partie, elle avait la tête pleine de rêves et une spontanéité qui lui était encore propre – aujourd’hui c’est une professionnelle accomplie qui ne peut sans doute plus laisser placer au moindre imprévu. À commencer par la rechute d’un frère qu’elle n’a soutenu qu’à distance, permettant à Finnley de ne pas ressentir le poids de la culpabilité – c’est ce dont il veut se persuader. En réalité, il n’ignore pas que son appréhension va de pair avec un certain ressentiment, autant destiné à sa sœur jumelle qu’à la plus jeune de la fratrie, quant à la manière dont elles sont restées à distance durant ces moments-là. Elles se sont cachées, volontairement ou non, derrière le fait de ne pas lui forcer la main même si Finn se doute qu’il y avait un certain soulagement de ne pas avoir à mettre sa vie entre parenthèses pour s’occuper de mettre de l’ordre dans celle de l’aîné. Il a toujours dû tout gérer seul, de la maladie de leur père à l’éducation de sa sœur, de leur déménagement à l’autre bout du pays jusqu’aux funérailles du paternel ; il aurait aimé, juste une fois, être celui qui se repose sur les autres.
Sans doute que la pression qu’il ressent est surtout induite par lui-même, une peur d’échouer qu’il masque derrière une nonchalance presque insultante, pour autant Finn n’arrive pas à se raisonner quant à la prochaine arrivée de Bryn. Et s’ils découvrent qu’ils n’ont plus grand-chose en commun ? Est-ce que les longues discussions qu’ils pouvaient avoir tous les deux s’apprêtent à être remplacées par d’interminables silences qui en sont gênants ? Est-ce que le passage de Bryn ne sera qu’un moyen de lui rappeler tout ce qu’était sa vie à l’époque, et le rendre effectivement mélancolique ? Il s’interroge beaucoup, Finn, ne trouve pas de réponses à ses questions, abdique et s’impatiente du départ de sa colocataire pour sortir de sa chambre, alors qu’il fait de son mieux pour éviter Cecilia (et qu’elle le lui rend bien). Et lorsque l’interphone se manifeste, il faut quelques minutes à Finn avant qu’il ne se décide à aller aux renseignements, traînant sa carcasse avec la fatigue d’une nuit de travail qui s’est éternisée. « Oui ? » Il interroge, presque agacé d’être dérangé. On m'a dit que t'attendais la meilleure des sœurs du monde... elle est là ! Il lui faut quelques longues secondes pour parvenir à remettre ses idées en place et comprendre qu’il ne s’agit pas d’une blague. « Bryn ?! » Malgré le grésillement, il s’agit bien de la voix si reconnaissable de sa sœur. « Attends, j’arrive. » Il rétorque, déverrouillant la porte d’entrée tout en claquant la porte de l’appartement pour descendre les escaliers deux par deux jusqu’à rejoindre la jeune femme dans le hall, et ainsi confirmer de ses propres yeux qu’il ne s’y est pas trompé ; c’est bel et bien Bryn qui se trouve face à lui. Il reste interdit une seconde supplémentaire, autant par surprise que par regain d’anxiété, avant de réduire la distance entre eux pour la prendre dans ses bras sans une once d’hésitation. Il profite de cette étreinte durant de longues secondes, comme pour se persuader qu’il n’imagine pas la présence de sa sœur qui lui a tant manqué, avant d’enfin s’oser à lui rendre sa liberté. « Tout va bien ? C’est un plan de ta part ou il s’est passé quelque chose ? » Il l’interroge, soudainement soucieux de cette arrivée avancée.
ÂGE : 29 ans STATUT : célibataire MÉTIER : Surfeuse pro en crise existentielle LOGEMENT : Redcliffe, 02 victoria avenue POSTS : 112 POINTS : 140
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La pression monte en moi. Je suis nerveuse à l’idée de le revoir, je ne devrais pas, mais j’ai des pressentiments et cette culpabilité qui est toujours présente quelque part dans ton esprit. C’est justifié, et parfois je ne serais même pas étonnée si Finn refusait de me parler, ou me disait qu’il me déteste pour avoir décidé de vivre ma vie, et de l’avoir abandonné. Je l’ai abandonné.
Pourtant, quand il ouvre ses bras, malgré l’inquiétude qui passe sur mes traits pendant un instant de le voir ainsi, visage émacié, et l’air fatigué, je m’y réfugie comme si j’avais 3 ans encore. J’ai à nouveau 3 ans et il est la seule personne sur cette terre qui arrive à me consoler, la seule qui peut me protéger. Il m’a toujours protégée, même à l’autre bout du monde c’était le cas. Je retrouve l’odeur familière de mon frère, ma famille, et je serre plus fort.
Je ne lâche que quand il le fait en retour. La fatigue n’aide pas à me faire enchaîner les idées de manières claires, ni logiques, j’ai l’impression que je pourrais m’effondrer en pleur à cet instant submergée à la fois par mes sentiments et surtout la fatigue. Je tiendrais bon, pas décidée à verser une larme là où il ne devrait avoir que des sourires. Sourire qui se dessine sur mes lèvres alors qu’il ne peut s’empêcher de jouer les rabats joie.
- Est ce que j’ai besoin d’un motif précis pour rentrer à la maison ?
Il était temps.
- Je voulais juste te faire la surprise…
Sourire angélique, ça marche à tous les coups.
- Qu’est ce que tu dirais de m’offrir un repas ? Petit déjeuner, gouter… dîner ? Je sais même pas qu’elle heure il est… Non tu sais quoi ? Je t’invite ! Et on embarque Werwer avec nous, je suis sûre qu’il a besoin de prendre l’air lui aussi.
Trop d’énergie ? J’ai presque envie de lui demander quand est ce qu’il a vu le soleil pour la dernière fois tant il a l’air pâlichon. Mais je ne vais pas l’agresser tout de suite avec mes inquiétudes, si ?
ÂGE : trente-sept ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis deux ans à une illustre inconnue suite à une soirée trop alcoolisée. pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #406 montague road (west end), en colocation avec cecilia. pour le meilleur, mais surtout pour le pire. POSTS : 10125 POINTS : 30
TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres.CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS : coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
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Si Finnley se veut peu favorable aux surprises, la seule personne qui puisse se vanter de changer la donne est sa petite sœur, qui semble être l’exception à de nombreuses règles. Il n’apprécie pas nécessairement les gens trop spontanés, les considérant comme imprévisibles ; il s’en amuse lorsqu’il s’agit de Bryn. Il se méfie des gens trop optimistes, qu’il juge souvent hypocrites dans leur vision trop enthousiaste de l’avenir ; pourtant, il apprécie la présence apaisante de Bryn quand son moral lui échappe. Finalement, c’en est presque étonnant que leur relation ait toujours été si fusionnelle en considérant leurs nombreuses différences ; mais c’est sans doute parce que Bryn peut se vanter d’être une privilégiée pour laquelle Finnley accepte de faire de nombreuses concessions qu’ils en sont là aujourd’hui – même si ces retrouvailles avancées sont assombries par un malaise qu’il essaie de contenir tant bien que mal. Il n’aime pas les surprises ; et il aurait préféré être tenu au courant de son arrivée afin de mieux s’y préparer – pas tant concernant l’aspect logistique que psychologique. Mais il aime Bryn plus que tout au monde ; alors évidemment que la présence de sa petite sœur lui réchauffe le cœur et qu’il oublie très vite de lui souligner le caractère désagréable de cette arrivée ; car dans le fond, ce qui compte, c’est qu’elle soit là, enfin. Et c’est sans doute pour cela qu’il a autant de peine à relâcher son étreinte, parce qu’il a besoin de s’assurer qu’il ne rêve pas, qu’elle est bien là, après tant d’années à souhaiter un retour qui n’a jamais été effectif. Est ce que j’ai besoin d’un motif précis pour rentrer à la maison ? Reprenant ses distances, Finn secoue doucement la tête par la négative, soulignant avec un sourire sincère : « non, bien sûr que non. » Parce qu’elle le dit, c’est sa maison ; et jamais elle n’aura besoin d’excuse pour y revenir. Je voulais juste te faire la surprise… - « Tu sais à quel point j’aime les surprises, il précise, ironique, avant de reprendre, plus amusé, c’est bon, enlève cet air de chat potté de ton visage, t’es déjà pardonnée et tu le sais très bien. » Sans quoi elle n’aurait pas exagérément fait la moue, mais il n’y peut rien, Finn, il s’agit de sa petite sœur et elle arrivera toujours à le faire plier, même quand elle se joue de lui. Qu’est ce que tu dirais de m’offrir un repas ? Petit déjeuner, gouter… dîner ? Je sais même pas qu’elle heure il est… Non tu sais quoi ? Je t’invite ! Et on embarque Werwer avec nous, je suis sûre qu’il a besoin de prendre l’air lui aussi. À ces mots, Finn ne peut s’empêcher de pincer les lèvres, désolé quant à ce qu’il s’apprête à lui annoncer : « On peut y aller, mais Wernicke ne se joindra pas à nous, j’ai dû… l’endormir, en début d’année. » Il n’avait pas jugé utile de le préciser au cours de leurs rares appels (rendus peu fréquents par sa faute à lui), parce qu’il savait que la perte de son plus fidèle ami serait susceptible de susciter l’inquiétude de Bryn et que ce n’est pas ce qu’il recherchait. « Mais il a bien vécu, c’est ce qu’il faut se dire. » Il rétorque aussitôt, ne voulant pas alourdir une ambiance qui ne s’y prête pas, encore moins en considérant que Wernicke, qui était déjà condamné quand il l’a adopté, a finalement surpassé tous les pronostics en vivant quelques années supplémentaires. « Laisse-moi prendre mes affaires, j’arrive tout de suite. » Il dit, disparaissant aussitôt pour monter les marches deux par deux, glissant sa veste sur ses épaules avant de verrouiller son appartement et réapparaître aussi vite qu’il n’a disparu. « T’as pensé à dormir un peu avant de débarquer, ou… ? » Il finit par l’interroger avec un sourire amusé une fois de retour face à elle, en constatant l’énergie débordante de sa sœur, pas du toute atteinte par le jet-lag, et qui est presque paradoxale avec son propre état.
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Oui je sais. Je sais que je n'ai pas fait les choses comme il le pensait et que du coup j'ai perturbé toute son organisation. Ironiquement on pourrait dire que ça a toujours été le cas non ? Il ne s'était pas attendu, si jeune à devoir prendre en charge sa petite sœur, qu'il le veuille ou non, je suis un cheveux sur sa soupe tiède et je le serais toujours. Mais parfois ça a du bon non ? Ça nous oblige à manger autre chose. Heureusement il n'est pas trop en colère, c'est le bon côté de lui avoir au moins un peu manqué. Il peut difficilement m'en vouloir même si en quelques secondes j'ai sans doute changé tout ses plans pour la journée. Quand il m'aura vue tous les jours pendant un mois je jn'aurais plus droit à ce traitement de faveur exceptionnel.
Mais j'étais toute seule là bas et j'avais envie de te voir ...
La corde sensible. C'est pourtant vrai. Mais il m'a déjà pardonnée oui. Ton sourire se transforme de connivence avec le siens. Voilà qui me donne l'énergie dont j'ai besoin pour continuer à tenir le coup pour cette déjà trop longue journée. C'est comme le regain de celui qui va mourir, à la seule différence que moi je tomberais seulement de fatigue. L'enthousiasme est quelque peu ébréché quand il dit de manière peut être trop directe pour mon coeur en éponge que son chien n'est plus de ce monde. Le tact et Finnley, ça ne semble pas s'être amélioré malgré les années.
Il s'en va avant que je n'ai trouvé quoi lui rétorqué. Est ce qu'on exprime des condoléances à quelqu'un pour un chien ? Sans doute que oui. J'aurais dû être plus réactive, c'est peut être la fatigue qui prend le dessus même si je fais de mon mieux pour gérer toutes les humeurs et les courants qui passent en moi. J'essaie de faire de mon mieux pour compartimenter pour l'instant. Aussi je prends l'information de la mort du chien de mon frère pour quelque chose pour laquelle je vais devoir me faire du soucis rapidement même si il semble que j'ai 6 mois de retard.
J'entends déjà les pas se faire de plus en plus fort.
- Figure toi que non. Mais j'aurais le temps de dormir, je suis en vacances pour quelques semaines encore. J'étais trop pressée de voir ta tête de grognon pour ne pas venir tout de suite.
Passant un bras autour de sa taille, j'essaie de garder mon moral au beau fixe et aussi mon énergie.
J'ai envie de pancakes, et d'un steak. Tu crois qu'on peut me faire un sandwich avec des pancakes ?
Si quelqu'un peut résoudre ce problème c'est bien Finn non ? Le truc c'est que je ne saurais même pas où aller, j'ai souvent eu l'impression que la ville avait beaucoup changé lors de mes visites éparses. Il est clair que je n'ai plus les bonnes adresses et que j'ai besoin de me laisser guider.
- Alors dis moi, quels sont les autres secrets que tu m'as caché ?
Une lueur de malice dans le regard, je le guette à mesure qu'on marche dans la rue, moi toujours accrochée à lui. Il ne me dira rien sur une attaque frontale, mais je préfère jouer les naïves.