ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : tu préfères qu'on t'appelle Wells à Sam, mais tu te retournes dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer ton quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur que tu refuses de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel tu refuses d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de ton groupe Broken Strings t'emmène une notoriété à laquelle tu te fais difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir ta fille, là où tu n'as pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 264 POINTS : 1120
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you're my sweetest melody @Anna Constantine + Samuel Wellington lieu: résidences bayside
Tu avais compté les jours, les heures, les minutes, même les secondes jusqu’à ce que tu ne reviennes à Brisbane. Depuis que tu fréquentais Anna, cette tournée européenne avait été la durée de temps la plus longue que tu avais passé sans la voir. Tu n’aimais pas être loin d’elle si longtemps, et si tu avais largement profité de cette tournée et de cette vague de notoriété dont avais joui ton groupe, tu ne voulais qu’une seule chose désormais : rentrer à la maison et retrouver les tiens. Anna, Delilah et Oscar, c’est avec eux que tu voulais être et tu n’avais pas l’intention de bouger de votre maison pour les prochains jours, voulant profiter pleinement de leur présence. Mais tes plans pour le reste de l’après-midi n’impliquaient ni Delilah, ni Oscar. Si tu avais très hâte de les voir eux aussi, ce n’était en rien comparable avec le besoin que tu avais pour celle que tu aimes. Tu avais envie d’elle, besoin d’elle. Besoin d’entendre sa voix, son rire qui te chatouille les oreilles, besoin de sentir ses mains sur ta peau et de poser tes lèvres contre la sienne. Sur ton chemin de retour de l’aéroport jusqu’à ta maison à Bayside, tu avais fait un arrêt furtif chez un fleuriste dans le but d’acheter un bouquet à offrir à ta douce. Les couleurs étaient vives et éclatantes, exactement comme l’effet qu’elle avait sur ta vie depuis qu’elle en faisait partie. Quelque chose que tu refusais de prendre pour acquis, un rappel que tu voulais lui faire encore et encore, surtout maintenant, après de longues semaines passées sans la voir. Si elle savait que tu revenais aujourd’hui, tu lui avais faire croire que ton vol arrivait quelques heures plus tard, avec l’espoir de la surprendre chez vous. Izan t’avait assuré qu’elle y était et seule, et c’est carrément l’impatience qui te conduit jusqu’à ta demeure. Tu ne vois pas les kilomètres qui s’effacent sous ton véhicule, la seule chose que tu vois, c’est ta maison qui n’apparaît pas assez rapidement à ton goût. Quand tu gares finalement ta voiture dans l’entrée, c’est d’un bond que tu sors de cette dernière, tes valises oubliées dans le coffre alors que tu t’empresses de te rendre à la porte. Tes clés tremblent pratiquement entre tes doigts, la simple action de débarrer la porte soudainement compliquée. Chaque seconde qui te sépare de la Constantine te fait légèrement grogner d’impatience, et quand tu parviens à enfin à ouvrir la porte, tu ne perds pas une seule seconde avant de partir à la recherche de la brune. Tu la trouves dans la cuisine, le nez dans de la paperasse, et déjà, tes lèvres viennent se poser contre son cou, là où tu ne résistes pas à la tentation de sentir son odeur, là où tu déposes une traînée de baisers jusqu’à son oreille, là où tu viens murmurer dans cette dernière. « Tu m’as tellement manqué, plus jamais je passe autant de temps sans toi. » que tu l’avertis avec humour, bien que tu sois complètement sincère. Ta vie n’a tout simplement pas le même goût, pas la même douceur sans elle. « Si je repars en tournée, tu viens avec moi, c’est non-négociable. » que tu enchaînes, retournant sa chaise pour la forcer à la lever de cette dernière, venant plutôt la déposer à même la table, te foutant complètement de ses papiers et de ce qu’elle pouvait bien être en train de faire. Tu t’installes entre ses jambes, incapable de rester loin d’elle, avant de venir lui prendre ses lèvres dans un baiser qui veut dire bien plus que tous les mots qui te manquent, que toutes les mélodies que tu pourrais écrire, inspirées par elle.
Anna Constantine
la mélodie des regrets
ÂGE : 34 ans (21/05/1990) STATUT : Séparée de Malone, depuis quatre ans, avec qui elle s'est mariée et a eu Oscar âgé de neuf ans. Depuis, elle a refait sa vie avec Samuel qu'elle a rencontré à son lieu de travail. Il a su ramasser les morceaux éparpillés de son coeur brisé, acceptant ses traumatismes et ses silences. MÉTIER : Professeur de piano à la northlight theater company depuis trois ans maintenant, donnant parfois des cours particuliers quand la demande est là. LOGEMENT : #88 Agnès street dans le quartier de Bayside. Elle a emménagé chez Samuel avec son fils Oscar. POSTS : 641 POINTS : 0
TW IN RP : Deuil. Abandon. Addiction aux médicaments. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Adepte de sport, Anna est très à cheval sur un mode de vie sain ; Elle fume occasionnellement et en cachette de son fils ; Malone aura été l'amour de sa vie mais il a été remplacé par leur fils : Oscar ; Déterminée, il est très difficile de lui faire entendre raison.... Même quand Anna a tort ; Elle est cette personne simple au coeur grand à condition de ne pas briser sa confiance. Elle est persévérante, pas du genre à lâcher même quand ça lui est difficile.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : red. RPs EN COURS : Samuel] ; Ginny ; Malone#2(fb) ; Malone#4 ;; Autumn #2 & Nicholas
Son doigt vient se poser sur l’écran de son téléphone qui s’allume aussitôt, vierge de notifications et laissant apparaître l’heure. Elle pousse un soupir en se disant qu’il ne reste plus que quelques heures. Le temps semble s’écouler si lentement que ça la frustre profondément. Et pour autant, la pianiste sait que l’attente sera bientôt finie. Les draps ne seront plus défaits que d’un côté. Ses épaules retrouveront la chaleur de ses bras enroulés autour d’elle. Et sa voix embaumera les murs trop vides quand il n’est pas là. Dire qu’elle a hâte est un euphémisme : Anna trépigne d’impatience de pouvoir retrouver Samuel après de longues semaines passées loin de lui. Elle a si hâte qu’il puisse lui raconter sa tournée, lui partager les émotions, son vécu et tout ce qu’elle aurait aimé vivre si elle avait eu cette chance de vivre ce genre d’expérience. De pouvoir se produire devant du public, pouvoir vibrer au son de la musique . Pouvoir se sentir vivant et tellement libre. Peut-être quand Oscar sera plus grand ? C’est une idée qui s’est installée dans un coin de sa tête bien qu’Anna se sente pas à la hauteur d’un tel exploit. Et en cela, elle admire tant Samuel. Elle le trouve incroyable et tellement fort pour ça. L’admiration s’est encore plus amplifiée avec le manque de l’être aimé. Mais elle prend son mal en patience, ce n’est qu’une question de temps. Elle a même posé sa journée pour l’accueillir chez eux. Oscar est à l’école et Anna s’occupe comme elle peut, se lancer dans les papiers administratifs. Ce n’est pas ce qu’elle préfère le plus mais c’est aussi ça d’être adulte. Être confrontée aux responsabilités. En attendant, elle a mis de la musique sur son enceinte bluetooth et la musique du Lac des Cygnes résonne dans la pièce lumineuse. Extirpant un sourire en entendant un de ses morceaux favoris, Anna continue sa tâche ardue. Elle est tellement concentrée qu’elle n’entend même pas la porte d’entrée qui s’ouvre. Ni même les bruits de pas qui arrivent droit vers elle. Et puis quand elle sent les lèvres se poser sur son cou, la pianiste émet un tel sursaut qu’elle manque de faire un arrêt cardiaque.Et puis, il y a les baisers, il y a le parfum qu’elle reconnaît d’entre mille. Et puis la voix aimée. « Tu m’as tellement manqué, plus jamais je passe autant de temps sans toi. » Elle lâche un petit rire amusé, ne pouvant s’empêcher de tourner aussitôt la tête pour retrouver ses yeux clairs, son regard empli de ce même bonheur de se retrouver. « Et toi, plus jamais tu me fais peur comme ça ! » Mais comment lui en vouloir quand elle attend son retour depuis bien trop longtemps. « Si je repars en tournée, tu viens avec moi, c’est non-négociable. » Poussant un gloussement digne d’une ado, elle se retrouve assise sur ses fastidieux papiers qu’elle a déjà oublié parce qu’alors, il n’y a plus que Samuel qui compte. Il n’y a plus que la chaleur qui émane de son être et qui ravit tant Anna. Elle lui rend son baiser avec force, parce qu’elle y exprime tant par les gestes et bien plus que par les mots tenus sous sa réserve naturelle. « De toute façon, c’est non négociable que tu sois éloigné de moi trop longtemps, maintenant. » Finit-elle par dire en le serrant fort contre elle. « Tu m’as tellement manqué, toi aussi. T’as pas idée. » Il y.a plus de deux ans qu’il a redonné du sens à sa vie, qu’il a su la réconcilier avec l’amour. Plus de deux ans qu’il lui offre une existence paisible où il n’y a pas besoin de lutter pour exister, dans un douce sensation d’amour dans laquelle il a cette manière, bien à lui, de la regarder. « Et je t’attendais pour plus tard en plus. Et je trouvais que l’attente était si longue, le temps passait si lentement. Ça me rendait folle. Tu imagines que je faisais de la paperasse pour passer le temps ?! » Elle pose ses mains sur le visage du musicien, le dévorant du regard, imprégnant dans son esprit l’image de ce bonheur qu’il lui procure. « T’aurais pas pu me faire de plus belle surprise que celle-là »
« Autumn carnival on the edge of town We walk down the midway arm-in-arm One minute you're here Next minute you're gone »
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : tu préfères qu'on t'appelle Wells à Sam, mais tu te retournes dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer ton quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur que tu refuses de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel tu refuses d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de ton groupe Broken Strings t'emmène une notoriété à laquelle tu te fais difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir ta fille, là où tu n'as pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 264 POINTS : 1120
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you're my sweetest melody @Anna Constantine + Samuel Wellington lieu: résidences bayside
Un sourire s’installe sur ton visage dès que tu reconnais quelques notes de la musique du Lac des Cygnes jouant dans l’enceinte Bluetooth de la maison. Tu suis les notes que tu reconnais par cœur, familier avec le fait que ce soit l’une des mélodies favorites de ta belle. Il n’y a pas plus grande satisfaction que d’entendre le cri de surprise qui s’échappe d’Anna lorsque tu arrives derrière elle, que tu délectes de son parfum, de la saveur de sa peau contre tes lèvres. Son rire est un baume sur toutes tes plaies, les plus récentes comme les anciennes. Un effet apaisant sur toutes tes sources de stress, toutes tes anxiétés, et tu ne sais même pas comment tu as pu survivre aux derniers mois sans sa présence dans ton quotidien. « Et toi, plus jamais tu me fais peur comme ça. » « Mais t’es tellement belle quand t’es énervée comme ça, avec le rouge sur les joues et ton cœur qui bat la chamade. » Une de tes mains glisse le long de son cou, s’arrête furtivement contre sa poitrine, là où tu peux sentir le déchaînement de son cœur contre sa cage thoracique. Tu ne t’attardes pas aussi longtemps que tu le voudrais, trop préoccupé à voir l’avoir près de toi, toujours plus près. Un nouveau cri de surprise se mêle à la musique lorsque tu la soulèves de sa chaise pour venir la porter sur la table, la paperasse qui vole d’un bord et l’autre de la table, mais ta concentration complètement portée sur Anna, sur la manière dont sa chaleur se mêle à la tienne, sur la manière dont chaque point de contact entre vos deux êtres crée une envie et un besoin auxquels tu as besoin de répondre ici, maintenant, tout de suite. Et cette envie ne fait qu’augmenter en intensité quand elle répond à ton baiser avec tout autant de ferveur et de vigueur, tes mains s’agrippant à elle, à ses hanches comme si elle était une bouée de sauvetage, ta bouée de sauvetage.
« De toute façon, c’est non négociable que tu sois éloigné de moi trop longtemps, maintenant. » Tu souris contre ses lèvres alors que ses mains se font aussi avides de contact que les tiennes. « Tu m’as tellement manqué, toi aussi. T’as pas idée. » Oh que oui, tu avais une bonne idée puisque tu étais persuadé que vous étiez sur la même longueur d’ondes à ce niveau, mais tu n’allais certainement pas tourner le tout en une compétition ridicule quand tu pouvais plutôt te délecter de ses lèvres, te perdre dans les sensations qu’elle seule savait te procurer. « Et je t’attendais pour plus tard en plus. Et je trouvais que l’attente était si longue, le temps passait si lentement. Ça me rendait folle. Tu imagines que je faisais de la paperasse pour passer le temps?! » « De la paperasse? Tu devais vraiment être à bout d’options. » que tu remarques d’un ton moqueur, alors que des frissons glissent sur ton échine au même parcours que les mains d’Anna sur ton visage. Elle te regarde avec une telle intensité, tu jurerais qu’elle peut voir dans le fond de ton être, qu’elle peut modifier la mécanique de ton âme, pour qu’elle se compose mieux avec la sienne. « T’aurais pas pu me faire de plus belle surprise que celle-là. » « T’as même pas vu les fleurs encore. » que tu susurres dans le creux de son oreille, tes lèvres se faisant de nouveau curieuses à la naissance de sa mâchoire, dans le creux de son cou, glissant tendrement le long de son épaule. « Et je t’ai même pas dit le meilleur encore : Delilah est en charge d’aller chercher Oscar à l’école et de l’emmener manger un morceau quelque part avant de rentrer. » Un sourire plein de malice vient prendre place sur tes lèvres, avant que tu ne viennes capturer celles de la brune une fois encore. « C’est que toi et moi pour quelques heures. On peut sortir, aller manger un truc et tu peux me dire tout ce que j’ai manqué dans les derniers mois. » Même si vous aviez été en contact constant pendant la totalité de la tournée, ce n’est jamais la même chose que de l’entendre te dire tout ce qu’elle a fait dans les dernières semaines, de la voir s’exclamer devant le progrès de ses élèves, de te détailler toutes les petites réussites d’Oscar. « Ou je peux te montrer à quel point tu m’as manqué. Ici. » que tu teases, tes lèvres descendant dans le creux de son décolleté. « Ou dans notre chambre. » N’importe où, tant qu’elle te laisse l’aimer à nouveau, comme tu n’as pas eu la chance de le faire depuis trop longtemps déjà.
Anna Constantine
la mélodie des regrets
ÂGE : 34 ans (21/05/1990) STATUT : Séparée de Malone, depuis quatre ans, avec qui elle s'est mariée et a eu Oscar âgé de neuf ans. Depuis, elle a refait sa vie avec Samuel qu'elle a rencontré à son lieu de travail. Il a su ramasser les morceaux éparpillés de son coeur brisé, acceptant ses traumatismes et ses silences. MÉTIER : Professeur de piano à la northlight theater company depuis trois ans maintenant, donnant parfois des cours particuliers quand la demande est là. LOGEMENT : #88 Agnès street dans le quartier de Bayside. Elle a emménagé chez Samuel avec son fils Oscar. POSTS : 641 POINTS : 0
TW IN RP : Deuil. Abandon. Addiction aux médicaments. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Adepte de sport, Anna est très à cheval sur un mode de vie sain ; Elle fume occasionnellement et en cachette de son fils ; Malone aura été l'amour de sa vie mais il a été remplacé par leur fils : Oscar ; Déterminée, il est très difficile de lui faire entendre raison.... Même quand Anna a tort ; Elle est cette personne simple au coeur grand à condition de ne pas briser sa confiance. Elle est persévérante, pas du genre à lâcher même quand ça lui est difficile.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : red. RPs EN COURS : Samuel] ; Ginny ; Malone#2(fb) ; Malone#4 ;; Autumn #2 & Nicholas
« De la paperasse? Tu devais vraiment être à bout d’options. » Elle ne peut s’empêcher de rire parce qu’il n’a pas tort sur ce point. L’administratif est une chose dont elle a en horreur et qu’elle se force à faire pour ne pas voir les factures s’empiler. Elle a ce besoin que tout soit ordonné, que tout brille, que tout soit en place et fonctionnel mais pour autant… Elle déteste ça. Aussi que Samuel vienne perturber ce hobby peu aimé est une aubaine pour elle. Son coeur émet tous les battements les plus fous du monde. Elle a l’impression de retrouver une partie d’elle-même. De même qu’elle réalise qu’il lui a manqué plus que de raisons, que le lit a été bien trop vide et trop froid durant ces longs moments loin de lui. Alors oui, Anna se sent comblée en cet instant, chanceuse d’être aimée de cet homme qui a su recoller les morceaux de son coeur brisé. « T’as même pas vu les fleurs encore. » Le sourire de la pianiste s’étire de plus belle. « oh comme je t’aime, toi. » Et plus que jamais elle a le sentiment d’être la reine dans le coeur du musicien. Et depuis deux ans, elle vit ce conte de fée, ayant parfois l’impression que ce n’est qu’un rêve après toutes les épreuves traversées avec Malone. Elle sait ses parts d’ombre, elle sait les moments où son esprit lui fait croire que Samuel est en train de se moquer d’elle. Mais à chaque fois qu’elle se sent se perdre dans les méandres de sa paranoïa, il est toujours là. Samuel et sa tendresse. Samuel et ses lèvres se posant sur sa peau de miel. Samuel et sa voix qui appelle à la volupté. « Et je t’ai même pas dit le meilleur encore : Delilah est en charge d’aller chercher Oscar à l’école et de l’emmener manger un morceau quelque part avant de rentrer. » - « Mince, j’avais cours d’Aqua Poney. » Lui répond Anna dans un souffle parsemé de son rire. Au contraire, elle accueille la nouvelle avec un intérêt manifeste, se disant que tout s’imbrique si bien. Elle n’est pas contre l’idée. « C’est que toi et moi pour quelques heures. On peut sortir, aller manger un truc et tu peux me dire tout ce que j’ai manqué dans les derniers mois. » Ce serait une bonne idée mais l’esprit de la brune est trop vite embrouillé par les gestes de Samuel détonnant de ses mots. Et puis, c’est même plus fort qu’elle. L’âme appelle sa jumelle. Le corps est parcouru de mille frissons au contact des lippes du musicien. « Ou je peux te montrer à quel point tu m’as manqué. Ici. » La prise d’Anna se raffermit autour du corps de Samuel, enroulant ses jambes pour ne pas le laisser s’en aller. Pas une nouvelle fois. Plus jamais sans elle, en tout cas. « On mangera un bout pour reprendre des forces sinon… » Lui dit-elle dans un souffle bien plus heurté. Parce que non, ce n’est pas possible de se claquer la bise maintenant et de se dire qu’ils vont manger dehors. Tout appelle aux retrouvailles les plus tendres. « Ou dans notre chambre. » Alors les lèvres d’Anna se rapproche de l’oreille de son musicien et elle murmure « Dans la chambre et je te montre combien tu m’as manqué. » Et elle se laisse être soulevée par les bras de son musicien, s’envolant dans la plus belle des mélodies de leurs coeurs battant à l’unisson. Dans ce royaume qui n’appartient qu’à eux où elle peut alors ressentir toutes les émotions découlant du manque crée par l’absence de l’être aimé. Elle se laisse alors happer par la peau de Samuel contre la sienne. Et elle se sent si bien, entière, et surtout, elle se sent aimée et désirée. Entre les draps froissés, il n’y a plus de distance. Rien d’autre que la joie d’être à nouveau réunis, seul au monde. Jusqu’à atteindre l’extase, à ne plus en avoir de souffle. Et de laisser lentement les coeurs récupérer, elle se sent si bien blottie dans ses bras, allongée dans leur lit, à écouter les battements de son palpitant. Et puis, Anna finit par se redresser et pose son menton sur le torse de Samuel pour le dévisager, les cheveux désordonnés et le regard brillant. « J’ai trop envie de te regarder me raconter comme était cette tournée. Ça devait être incroyable. »
« Autumn carnival on the edge of town We walk down the midway arm-in-arm One minute you're here Next minute you're gone »
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : tu préfères qu'on t'appelle Wells à Sam, mais tu te retournes dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer ton quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur que tu refuses de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel tu refuses d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de ton groupe Broken Strings t'emmène une notoriété à laquelle tu te fais difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir ta fille, là où tu n'as pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 264 POINTS : 1120
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you're my sweetest melody @Anna Constantine + Samuel Wellington lieu: résidences bayside
« Oh comme je t’aime, toi. » Ces mots-là, ils s’impriment sur ton cœur, font vibrer tout ton être. C’est une drogue bien plus douce que toutes celles que tu as pu faire dans ton adolescence, un high qui n’a pas d’effets secondaires, qui t’apporte bonheur et bien-être sans la peur de rechute et de douleurs. Tout coule entre Anna, depuis le tout début, et si tu sais trop bien que rien ne peut être considéré parfait, surtout pas en amour, tu sais que ce que vous avez tous les deux s’en approche étrangement et tu te demandes ce que tu as pu faire pour mériter quelqu’un comme elle. Tu n’as pas le temps de t’attarder plus longuement sur la question, ton esprit et ton corps déjà bien trop occupés avec la proximité de la jeune femme, la chaleur de son corps est enivrante, et tes pensées sont toutes guidées par un manque qu’elle seule saurait finalement assouvir. Et tu as tout mis en place pour que ce soit possible, vos réalités en tant que parents ne permettant pas toujours une spontanéité complète. Delilah et Oscar ne sont pas là, ne reviendront pas avant quelques heures et tu comptes bien en profiter. « Mince, j’avais cours d’Aqua Poney. » Tu feins l’indignation, la bouche légèrement entrouverte alors qu’elle se moque ta belle, avant qu’elle ne vienne revoler tes lèvres, faisant disparaître toute pensée de quelconque activité qui n’implique pas ton corps à la découverte du sien. Ses jambes s’enroulent autour de tes hanches, la friction de vos corps t’arrachant un grognement, du genre que tu as cessé de retenir il y a longtemps en présence de la brune. « On mangera un bout pour reprendre des forces sinon… » « Après. » que tu conclus contre ses lèvres, alors qu’il est de plus en plus évident que ton envie, ton besoin est réciproque et que ta douce ne compte pas te lâcher maintenant que tu es de retour. Tu ne veux pas partir de toute façon, ne t’imagine être nulle part ailleurs qu’avec elle pour le futur imminent, et moins imminent aussi. Tu trouves ça trop dur, la distance, les appels manqués, les textos envoyés sur des fuseaux horaires différents, la vie en décalage et l’impression cruelle de manquer des moments importants dans la vie de tes proches.
Les lèvres d’Anna quittent les tiennes, se font un chemin jusqu’à ton oreille, là où son souffle vient créer une panoplie de sensations dans tout ton être. « Dans la chambre et je te montre combien tu m’as manqué. » Tu ne te fais pas prier, tes mains agrippant ses fesses pour la soulever contre toi, ses jambes toujours enroulées autour de ta taille, ses mains contre ton cou. Il n’y a plus rien qui compte si ce n’est la femme contre toi, celle que tu déposes délicatement contre votre lit, que tu surplombes pour mieux l’aimer, l’aduler, faire monter son plaisir en vagues que tu contrôles d’abord, avant de te laisser toi-même porter par le rythme de vos caresses, de vos baisers, de vos peaux qui se retrouvent comme si elles avaient passé des vies entières séparées, mais que tu connais par cœur, comme si tu l’avais toi-même dessiné. Tu te délectes de chaque soupir de la brune contre ta peau, tes mains rugueuses et malmenées par les cordes de ton instrument deviennent tendres et acharnées sur les courbes et les zones érogènes de celle que tu aimes. Les mélodies que tu crées sur son corps, celles qui s’échappent de ses lèvres sont tes préférées et il y a ton palpitant qui cogne fort contre ta cage thoracique au rythme de vos désirs. Il n’y a rien de plus satisfaisant que de laisser ton corps s’effondrer contre le matelas, le corps d’Anna se modulant contre le tien comme deux pièces qui ne vont pas l’une sans l’autre. Tes mains se logent dans le creux de ses reins alors qu’elle prend appui contre ton torse, sa tête se levant légèrement de manière que vos yeux se trouvent. « J’ai trop envie de te regarder me raconter comment était cette tournée. Ça devait être incroyable. » « Jamais aussi incroyable que la vue que j’ai en ce moment. » que tu ne peux t’empêcher de commenter, ton regard éternellement admiratif devant la silhouette de la jeune femme. Et ce n’est pas seulement son corps que tu admires, c’est son esprit, son talent, sa personnalité douce et son cœur immense. Tes doigts dansent contre sa peau alors que des images de ta tournée te reviennent en paramont. « L’Europe était incroyable. J’ai jamais cru que ce pourrait être ma réalité un jour, voyager pour jouer ma musique. Mes compositions. » Autant celles remixer de chansons populaires que celles que tu as créer du début à la fin. Celles qui t’appartiennent complètement. C’est différent aussi de savoir que les gens viennent pour te voir toi, et non pas un orchestre dans son ensemble. C’est étrange, satisfaisant et aussi drôlement déstabilisant quand tu t’y attardes trop longtemps. « Mais j’me suis souvent demandé si j’étais pas trop vieux pour ce rythme-là. Les chambres d’hôtels, les autobus, les voyages de nuit. » Tu sais que tu n’es qu’au début de ta quarantaine, mais tu as l’impression d’être bien plus vieux, surtout avec ta grande fille qui a elle-même les deux pieds dans l’âge adulte désormais. « Et être loin de toi, des enfants… Je sais pas. Je sais pas si je me vois faire ça souvent. » que tu lui avoues avec toute honnêteté, la peur au ventre de réaliser que cette tournée n’était qu’un coup de chose presque autant que de réaliser que c’est une nouvelle réalité pour ton groupe et toi, que la demande ne cesse pas, au contraire, qu’elle augmente encore plus.
Anna Constantine
la mélodie des regrets
ÂGE : 34 ans (21/05/1990) STATUT : Séparée de Malone, depuis quatre ans, avec qui elle s'est mariée et a eu Oscar âgé de neuf ans. Depuis, elle a refait sa vie avec Samuel qu'elle a rencontré à son lieu de travail. Il a su ramasser les morceaux éparpillés de son coeur brisé, acceptant ses traumatismes et ses silences. MÉTIER : Professeur de piano à la northlight theater company depuis trois ans maintenant, donnant parfois des cours particuliers quand la demande est là. LOGEMENT : #88 Agnès street dans le quartier de Bayside. Elle a emménagé chez Samuel avec son fils Oscar. POSTS : 641 POINTS : 0
TW IN RP : Deuil. Abandon. Addiction aux médicaments. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Adepte de sport, Anna est très à cheval sur un mode de vie sain ; Elle fume occasionnellement et en cachette de son fils ; Malone aura été l'amour de sa vie mais il a été remplacé par leur fils : Oscar ; Déterminée, il est très difficile de lui faire entendre raison.... Même quand Anna a tort ; Elle est cette personne simple au coeur grand à condition de ne pas briser sa confiance. Elle est persévérante, pas du genre à lâcher même quand ça lui est difficile.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : red. RPs EN COURS : Samuel] ; Ginny ; Malone#2(fb) ; Malone#4 ;; Autumn #2 & Nicholas
Combien de fois s’est-elle dit qu’elle ne le méritait pas ? Qu’il est bien trop parfait pour elle ? Qu’il l’aime avec toutes ces cicatrices qu’il y a dans son coeur et dans son âme. Qu’il sait composer avec son manque de confiance envers le monde entier. Qu’il sait que ses silences ne sont que le reflet de cette âme blessée qui se renferme sur elle-même pour un rien. Il a une telle patience pour elle et Anna n’a jamais oublié les débuts de leur histoire où elle cherchait le piège. A penser qu’il se moquait d’elle, qu’il y avait forcément anguille sous roches. Est-ce qu’elle a fouillé son armoire à pharmacie à la recherche d’anti douleurs, durant les premières semaines ensemble ? Bien évidemment que oui. Mais aujourd’hui, deux ans après, il y a ces démons qu’il a su faire disparaître. Il a posé sur son coeur le plus beau des pansements. Et en cet instant, Anna l’aime bien trop. Il lui a tant manqué et c’est dans cette distance qu’elle a réalise ô combien il lui est devenu essentiel. Combien il a apporté du sens dans une vie quasiment détruite. Le « reset » n’a pu être véritable que parce qu’il a été là. Qu’il est toujours là. Alors en cet instant, tout ce qui compte, c’est de pouvoir l’aimer. Entièrement. Physiquement. Spirituellement. De laisser son âme fusionner avec la sienne. Comme ce jour là, où le son mélodieux de la musique lui a fait réalisé qu’elle tombait amoureuse de lui. Dans ses bras, elle sent protégée. Dans ses bras, elle se sent complète. Et au diable, manger un bout dehors, elle voudrait être dans ce lit avec lui pour l’éternité, à écouter cette voix tendre lui raconter combien l’expérience a été incroyable. « Jamais aussi incroyable que la vue que j’ai en ce moment. » Elle ne peut s’empêcher de glousser, rougissant même un peu. Parce qu’il la fait se sentir belle même quand il l’a retrouvée en tenue de maison, pas coiffée, ni maquillée. « Alleeez, t’as pas le droit de me faire mousser comme ça. » Lui rétorque-t-elle d’une voix amusée, venant lui pincer doucement le flanc en guise de protestation. « L’Europe était incroyable. J’ai jamais cru que ce pourrait être ma réalité un jour, voyager pour jouer ma musique. Mes compositions. » Est-ce qu’Anna boit ses paroles ? Bien sûr que oui. Le regard est aussi brillant qu’admiratif. Elle se l’imagine son Samuel à être sur scène, à faire vibrer la corde de ses instruments de musique. Elle s’imagine être dans cette foule en liesse et à se dire que cet homme là est sien et qu’il mérite de pouvoir vivre un tel rêve. « Mais j’me suis souvent demandé si j’étais pas trop vieux pour ce rythme-là. Les chambres d’hôtels, les autobus, les voyages de nuit. » Elle ne peut s’empêcher de rire quand elle entend ses mots. « Tu parles comme un vieux papi. » Sa voix est malicieuse et ses yeux pétillent d’amusement, parce que dans le fond, elle se dit que c’est un peu comme aller en boite de nuit passé la trentaine. « Mais j’imagine que la récupération doit pas être la même. On prend finalement vite le rythme des enfants. Lever tôt, coucher tôt. Et incapable de récupérer de la cuite de la veille. Mais malgré ça… ça devait être incroyable. Je t’imagine tellement. » Et elle le visualise dans le moindre détail. « Et être loin de toi, des enfants… Je sais pas. Je sais pas si je me vois faire ça souvent. » C’est vrai que l’absence a été des plus difficiles. Et parfois, le cafard a eu raison d’elle, à surgir dans la nuit et à l’appeler en sachant que le décalage horaire le permettait. Elle serre alors Samuel contre elle, bien plus fort. « La maison était si vide. Delilah est venue plusieurs fois et on a passé de bons moments tous les trois mais tu n’étais pas là… J’ai ressenti ton absence trop de fois. » Et ça n’a pas été simple mais Anna a été cette femme de militaire. Et cette situation ne lui a pas été étrangère, bien au contraire. Sauf que cette fois-ci, ce n’était pas parce qu’il partait au front mais parce qu’il faisait une tournée. Alors forcément, elle n’a pas été cette nana chiante parce qu’il n’a pas appelé à vingt heures tapantes. Elle n’a pas fait de crises de jalousie parce que c’est pas sa façon d’être. « Et puis qui sait, peut-être que la prochaine tournée, je pourrais être avec toi. » Lui souffle-t-elle avec une pointe d’envie dans la voix. Pour autant, elle sait que la situation n’est pas aussi évidente : Anna serait incapable de laisser son fils ici. Elle ne serait pas rassurée de le savoir avec Malone ou avec sa famille et même son ancienne belle famille. Et se connaissant, si elle stresse trop, elle devient beaucoup moins patiente. Il y a des rêves qui ne peuvent rester qu’à l’état de rêve. D’autant plus qu’avec le nouveau travail de Malone, il ne pourrait pas garder Oscar, c’est certain. « Et finalement, le résultat final de cette tournée se porte comment ? Vous avez tout déchiré et vous allez pouvoir fixer de nouvelles dates ? » Elle ne peut s’empêcher de rire et ajoute « Il ne faudra pas oublier tes pantoufles et ta bouillotte pour te remettre de tes émotions, cette fois-ci. » Et puis ne pas l'oublier, elle, dans ses bagages.
« Autumn carnival on the edge of town We walk down the midway arm-in-arm One minute you're here Next minute you're gone »
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : tu préfères qu'on t'appelle Wells à Sam, mais tu te retournes dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer ton quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur que tu refuses de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel tu refuses d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de ton groupe Broken Strings t'emmène une notoriété à laquelle tu te fais difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir ta fille, là où tu n'as pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 264 POINTS : 1120
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you're my sweetest melody @Anna Constantine + Samuel Wellington lieu: résidences bayside
« Alleeez, t’as pas le droit de me faire mousser comme ça. » Elle vient te pincer un flanc et tu agrippes son poignet avec douceur, venant porter ses doigts à ta bouche pour y déposer de nombreux baisers. Tu ne peux pas t’en empêcher, même si tu viens tout juste de lui faire l’amour, tu ne peux pas te passer de votre proximité, de vouloir redécouvrir chaque parcelle d’elle qui t’a tant manqué dans les derniers mois. Évidemment que tu veux lui dire à quel point l’expérience était incroyable, que tu ne pensais jamais vivre quelque chose du genre dans ta vie, que tu ne pensais pas que c’était quelque chose que la vie avait dans les cartes pour toi, mais avec Anna, tu peux aussi être honnête et lui dire à quel point tu as trouvé le tout exténuant, à quel point ça été difficile, autant sur le corps que sur le moral. « Tu parles comme un vieux papi. » Tu viens lui mordiller le cou, étouffant un rire contre sa peau. « Je vais te montrer de quoi il est capable, le vieux papi. » C’était facile de te sentir plus jeune avec elle, mais la réalité restait la même: tu avais désormais mis les pieds dans la quarantaine et tu avais beau tout faire pour garder la forme, ton énergie n’était plus ce qu’elle était dans ta jeune vingtaine. « Mais j’imagine que la récupération doit pas être la même. On prend finalement vite le rythme des enfants. Lever tôt, coucher tôt. Et incapable de récupérer de la cuite de la veille. Mais malgré ça… ça devait être incroyable. Je t’imagine tellement. » « Ce l’était. » que tu acquiesces d’un léger coup de tête avant de replonger ton regard dans celui de la brune. « J’aurais tellement aimé que tu sois là. Dans la salle, ou dans les coulisses. C’est pas pareil, sans toi. » Peut-être bien que c’est cliché à mort de dire ça, mais tes expériences goûtent meilleures quand elle est là pour les partager avec toi. Ta vie n’a pas la même saveur, la même couleur quand elle n’est pas dans ton paysage. Tu sais que c’était impossible pour elle de te suivre, à cause de son boulot, d’Oscar, des diverses responsabilités qui la clouent à Brisbane, mais tu ne peux t’empêcher de rêver de ce que ça pourrait être, une vie sur la route, à jouer ta musique, la femme que tu aimes à tes côtés.
« La maison était si vide. Delilah est venue plusieurs fois et on a passé de bons moments tous les trois mais tu n’étais pas là… J’ai ressenti ton absence trop de fois. » Tes mains continuent de caresser chaque parcelle de sa peau à ta disposition, comme si tu tentais de lui rappeler que tu es là, que tu es bien revenu et que tu n’as pas l’intention de repartir de sitôt. « J’ai jamais voulu être ce gars-là, qui part et laisse tout derrière des mois durant. » Et peut-être bien que tu aurais le droit de te le permettre, ta fille est grande et tu n’as manqué aucun moment important de sa vie, voulant inévitablement compenser pour l’absence de sa mère, mais malgré tout ça, tu peines à te donner la permission de réaliser tes rêves à toi. « Et puis qui sait, peut-être que la prochaine tournée, je pourrais être avec toi. » « C’est quelque chose que tu voudrais vraiment? » Tu n’oses pas trop en rêver, l’éternel réaliste en toi ayant du mal à voir comment cela pourrait être possible. Et tu te doutes qu’elle le sait, elle aussi, mais que l’histoire de quelques heures, elle a envie que tu te perdes avec elle dans le rêve de ce qui pourrait être, si tout était différent d’une manière ou d’une autre. « Et finalement, le résultat final de cette tournée se porte comment? Vous avez tout déchiré et vous allez pouvoir fixer de nouvelles dates? Il ne faudra pas oublier tes pantoufles et ta bouillotte pour te remettre de tes émotions, cette fois-ci. » Ton rire se joint doucement au sien avant que tu ne lâches éventuellement un soupir. « La tournée a été un succès, mais les plans pour le moment c’est pas de repartir tout de suite. » que tu lui avoues. Tu n’en sentirais pas capable de toute façon, et puis il y a de nouvelles problématiques à gérer. « Ça s’est bien passé avec la majorité des gars, mais Mark arrête pas de vouloir tout changer sans nous aviser et fais constamment des menaces comme quoi il va quitter le groupe. Je pense qu’une pause s’impose. » Et pour l’instant, tu ne sais pas ce que ça veut dire pour la suite et tu dois admettre que tu n’as pas vraiment envie de t’y attarder plus longuement dans l’immédiat. « Alors pour les semaines, et idéalement pour les mois à venir, vous êtes ma priorité. Toi, Delilah et Oscar. » que tu conclues, venant déposer un baiser sur le front de ton amoureuse.