ÂGE : Quarante-trois ans et quelques rides qui commencent à trahir ton âge que tu t'efforce à faire disparaître à coup de maquillage dans des petits pots trop luxueux (05.06.1981) SURNOM : Maître Wellington est celui que tes collègue et client utilise, Sunshine est celui qui te manque à chaque seconde de ta vie. STATUT : Mariée depuis vingt-deux ans officiellement, l'anneau ayant disparue de ton doigt depuis plus de vingt ans, mais toujours présent sur cette fine chaîne en or que tu portes à ton cou à tous les jours te rappelant ce mari que tu as laissé derrière toi il y a vingt-deux ans MÉTIER : Procureure de la couronne depuis dix ans. Tu as eu un passage obligé par la défense pendant quelques années. LOGEMENT : 68 st pauls terrace, Spring Hill, dans cet appartement luxueux que tu as su te payer à la sueur de ton front. POSTS : 167 POINTS : 140
TW IN RP : Abandon d'enfant > Criminalité > Deuil > Dépression > Assassinat > Idée suicidaire GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkturquoise RPs EN COURS : Samuel Fearless is getting back up and fighting for what you want over and over again... Even though every time you've tried before, you've lost#1 > #2
thank you for being my unpaid therapist Hadley Wellington + @Leslie Cohen lieu: résidences, bayside
Les retrouvailles avec Samuel avaient été catastrophiques. Tu t’attendais à ce qu’il ne soit pas ravi de te voir débarquer, qu’il ne veule pas que tu entres dans sa maison, mais tu ne t’attendais pas à tant de colère. Lui avouer les raisons de ton départ t’avait également replonger dans un état que tu n’avais pas prévu. Tu étais convaincue que tu étais guérie, que rien ne pouvait t’atteindre à nouveau. Toutefois, tu devais t’avouer que ce n’était pas tout à fait le cas. Même si tu n’étais plus la femme suicidaire et déprimé que tu étais en quittant cette famille qui te donnait l’impression de te noyer, replonger dans tous ces souvenirs te tordaient le coeur. La douleur refaisait surface et tu ne savais pas comment faire pour la faire partir. Tu te devais de remettre les barrières de pierre en place autour de ton coeur et de ta tête pour ne pas replonger. La femme du refuge de Melbourne t’avait mise en garde lorsque tu avais quitter la sécurité de leur mur : la dépression était insidieuse. Elle n’était jamais bien loin même lorsqu’on se pensait guéri depuis bien des années. C’est les yeux pleins de larmes que tu quittas le porche de ton mari. Un coup assise dans ta voiture, tu laissas tomber toutes les barrières et la tristesse ainsi que la douleur qui déchirait ton être se mit à dévaler sur tes joues sans que tu ne puisses rien retenir. Tu ne savais pas si Samuel te regardait par ta fenêtre, mais tu n’avais plus la force de jouer à la femme forte que tu étais. C’est de peine et de misère que tu réussis à prendre le volant, à conduire à peine quelques rues plus loin, toujours dans le quartier de Bayside pour te garer dans l’allée de la maison de Leslie. Tu n’avais pas avertit ton amie que tu avais décidé de revenir dans la vie de ton mari et de ta fille. De toute manière, tu n’avais pas pris la décision d’avance. Tu avais agit sur un coup de tête la journée même de ton anniversaire de mariage, en étant convaincue que ça ne pourrait que te porter chance. Plusieurs minutes passèrent alors que tu étais là, assise dans ta voiture devant la maison de Leslie. Tu sortis difficilement, te dirigeas vers la porte d’entrée, toqua et n’attendit pas que cette dernière te réponde avant d’ouvrir et d’entrer à l’intérieur de la demeure. « Lilie ? T’es où ? » Tu haussas le ton pour qu’elle puisse t’entendre peu importe où elle était dans sa maison. Tu te dirigeas vers sa salle de bain, attrapa sa boîte de mouchoir et se dirigea vers sa cuisine. Tu ouvris le congélateur et attrapa un pot de crème glacée. C’était cliché, mais cette douceur avait toujours apaisé ton coeur meurtri. Tu attrapas une cuillère, la planta directement dans le pot, la mit dans ta bouche avant de te laisser glisser le long des armoires pour t’asseoir par terre. Tu déposa le pot au sol avant de porter tes mains à ton visage, laissant les sanglots envahir ton corps.
Leslie Cohen
la légèreté de l'être
ÂGE : 42 ans (28.06.1982) STATUT : célibataire, maman d'Ella et d'Abby ; un peu marié à un parfait inconnu MÉTIER : médecin urgentiste de retour au pays à son plus grand malheur LOGEMENT : #322 Beachcrest Road, Bayside POSTS : 72 POINTS : 150
TW IN RP : milieu médical , alzheimer GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : vie professionnelle très organisée, vie personnelle chaotique • workaholic • carbure à la caféine et au cache cerne • elle a travaillé pour l'armée australienne (2010 à 2016) et revient d’une mission humanitaire d’un an au costa rica • dépassé par son rôle de mère • toujours en retard • tient rarement ses promesses sans que ce ne soit volontaire • insouciante puissance 1000, rien n'est jamais graveDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : leslie ne tient pas ses promesses en indigo RPs EN COURS : (08)hadley #1 • eve #5 • finnley #1 • samuel #1 • kipplin #1 • jaylen #1 • sergio #1 • chris #1
EVE + baby we built this house on memories, take my picture now, shake it til you see it, and when your fantasies, become your legacy, promise me a place, in your house of memories
FINNLEY + last night we let the liquor talk, i can't remember everything we said, but we said it all, you told me that you wish i was somebody you never met, but, baby, baby, something's tellin' me this ain't over yet
AVATAR : Morena Baccarin CRÉDITS : showmeyouricons DC : aucun INSCRIT LE : 08/09/2024
Le retour à la routine n’est jamais facile. Leslie l’a déjà vécu à plus d’une reprise, mais c’est la première fois qu’elle doit le vivre avec un (deux) enfant à charge. Il y a longtemps que les siestes se sont terminées pour Abby, pourtant aujourd’hui, elle est épuisée. Elle fait des crises pour un oui ou pour un non. Elle réclame sa tante, et on peut dire que ce n’est pas l’envie qui manque d’aller la retourner la-bas. Elle est sûrement plus douée que Leslie pour la gérer de toute manière. Anna a toujours eu la fibre bien plus maternelle qu’elle ne l’aura jamais. C’est pas pour rien que c’est entre ses mains qu’elle a laissé la chair de sa chair. Qu’importe, Leslie est une grande personne et elle a encore assez d’égo pour n’appeler personne d’autre pour gérer la crise de sa gamine. De toute manière, il n’a suffit que de la laisser se calmer un peu dans sa chambre pour qu’elle tombe dans les bras de morphée. Comme quoi cette semaine à sans doute été remplie de trop d'émotions pour son tout petit corps. Ça redeviendra rapidement comme avant. Leslie n’en doute pas vraiment. Après tout, ça l’a toujours été elle et Abby contre le reste du monde. Pourquoi ce serait différent aujourd’hui ?
À aucun moment, elle n’a entendu frapper à la porte, mais elle a toutefois entendu la porte s’ouvrir et se refermer. Le nombre de personnes avec une telle aise est tout de même assez élevé pour que la brune n'ait absolument aucune idée de qui se trouve au premier étage - ça lui apprendra de dire à pratiquement tout le monde de faire comme chez eux. Elle espère simplement qu’il ou elle sera assez discrète pour ne pas réveiller Abby. « Lilie ? T’es où ? » La voix qui résonne dans la maison lui fait plisser les yeux. Leslie n’ose pas bouger pendant quelques secondes, comme si elle avait peur que le craquement du plancher suffit à réveiller son enfant. Mais non, rien. Aucun son, aucune image ne sort de la petite terreur dans son lit. Elle recule en direction de la porte très très discrètement jusqu’à ce qu’elle referme la porte devant elle. Elle souffle tout d’un coup bruyamment. À croire qu’elle avait même cessé de respirer. L’australienne descend rapidement les escaliers. Au moins, la présence d’ Hadley rattrapera bien facilement l’avant-midi pourris qu’elle a eu. Elle suit le bruit qui la conduit jusqu’à sa cuisine où elle voit quelque chose à laquelle elle ne s’attendait pas du tout : son amie en pleure, enfin non, en crise de larme, pot de glace à la main. Finalement, elle a peut-être eu une avant-midi pire que la sienne. « Hey ma belle… » qu’elle débute doucement en s’agenouillant face à elle, puis elle vient poser délicatement une main sur son genou. « Tu as envie de me dire ce qui s’est passé ? » qu’elle lui demande par la suite. Après tout, ce n’est pas parce qu’elle est là qu’elle veut forcément en parler. Hadley et Leslie se connaissent assez pour savoir qu’elles peuvent être présentes l’une pour l’autre sans forcément dire les choses. Si elle est venue pour se confier, Leslie sera présente pour elle. Tout comme elle le saura si elle à simplement besoin de vider son réservoir de larme ou se faire changer les idées.
Thank you for being my unpaid therapist > Leslie
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