ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 129 POINTS : 500
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andreaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
YASMEN#3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMEN#1 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
Elle traverse le long couloir telle une tornade qui martèle le carrelage de ses bottines à talons, ses cheveux ébènes voletant dans son dos tandis que, furibonde, elle ne prend même pas la peine de saluer la secrétaire du juge pour enfants, qui se lève de sa chaise dans un sursaut afin de lui signifier qu’elle n’a pas rendez-vous ’’J’en ai rien à cirer.’’ elle le siffle entre ses dents serrées derrière ses lèvres pincées, ouvrant la porte du bureau à la volée en braquant son regard sur l’homme qui, en costume impeccable, chevelure tout aussi soignée et posture digne, se tient sur sa chaise en semblant un instant décontenancé de voir la forcenée faire irruption dans ses locaux avec moins de délicatesse qu’un éléphant dans un jeu de quilles ’’C’est quoi votre problème ?’’ fulminant de colère sans prendre la peine de se présenter — même si son holster laisse présager qu’elle est dans les forces de police, elle referme la porte, enlève sa veste pour l’accrocher au porte-manteau puis tire une chaise face au bureau avant de s’y installer, ses yeux fondant dans ceux du juge pendant qu’elle soupire pour tenter de se calmer — il n’est pas responsable, mais sa fonction le rend coupable de ceux qui le sont. ’’Alma Kayser.’’ déposant une enveloppe beige sur le bureau, elle appuie le bout de ses doigts sur le milieu de celle-ci afin de lentement rapprocher le dossier de son interlocuteur, en poursuivant : ’’Elle est maltraitée par ses parents. Six visites aux urgences en un an, hématomes, fractures, brûlures, malaises, retard de croissance…’’ en énonçant toutes les blessures de la petite fille nommée, elle se laisse tomber dans son siège avant de se redresser, appuyant finalement ses bras contre le bois du bureau avant de voir un bocal de bonbons — sans nul doute présent pour adoucir le passage des gamins dans cette pièce et, piochant dedans, elle continue : ’’Un de vos confrères vient de rendre la garde aux parents. Vous vous rendez compte ?’’ elle n’attend pas vraiment de réponse — il a intérêt à se rendre compte sinon elle va lui expliquer, mais elle le fixe quand même en fronçant légèrement les sourcils, son coude appuyé redressant son avant-bras pour qu’elle puisse ouvrir sa paume vers le plafond, doigts légèrement repliés ’’Ils vont finir par la tuer. On doit faire quelque chose. Vous devez faire quelque chose. Votre job, pour commencer.’’et correctement se retient-elle de préciser au dernier moment, préférant plutôt piocher un autre bonbon qu’elle fourre dans sa bouche, trouvant finalement que ce bureau de snob est plutôt confortable ’’Vous êtes d’accord avec moi ?’’ finissant de mâcher sa gomme à la fraise, elle penche légèrement son menton sur le côté en haussant ses sourcils si haut sur son front que ce dernier se plisse ’’Il faut sauver Alma. Elle a besoin de nous. Elle a besoin que quelqu’un se batte pour elle.’’ elle est cette personne, Yasmin, puisqu’elle a débarqué dans le bureau d’un juge qu’elle ne connaissait que de réputation et de vue, et qu’elle essaye de l’embarquer dans cette mission qui s’annonce périlleuse. Mais va-t-il la suivre ?
crédits/peachygifs
now look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again, i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks and your stones, throw your bombs and your blows but you're not gonna break my soul
:
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 207 POINTS : 260
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I live for the applause, applause, applause.I live for the applause-plause, Live for the applause-plause.Live for the way cheer and scream for me.The applause, applause, applause.
"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
tw: maltraitances infantiles explicites Certains hommes devaient adorer cela : avoir une femme en colère devant eux, le regard enflammé par la rage, la poitrine se soulevant au rythme de ses respirations lourdes, pleines de venin, et ses doigts crispés, prêts à frapper. Pour certains, cela devait être émoustillant. Mais Kipplin, lui, était tout à fait imperméable aux charmes du sexe dit "faible". Il leva un regard surpris, légèrement ennuyé et empreint d’une pointe de colère vers la jeune femme qui venait d’entrer dans son bureau comme si elle était en territoire conquis. « C’est quoi votre problème ? » demanda-t-il d’une voix froide. Son problème ? Elle était bien bonne, celle-là. Kipplin souleva un sourcil au-dessus de ses yeux d’un bleu polaire, perçant comme un hiver glacé. Il prit le temps de répondre à sa secrétaire à travers l’interphone, lui indiquant qu’il n’était pas nécessaire de faire appel à la sécurité. Puis il reporta son attention sur l’intruse, qui respirait toujours bruyamment, son corps tendu comme un arc prêt à tirer. « Alma Kayser, » prononça-t-elle enfin d’une voix sèche, comme si ce nom seul suffisait à justifier sa présence. « Elle est maltraitée par ses parents. Six visites aux urgences en un an : hématomes, fractures, brûlures, malaises, retard de croissance… Et l’un de vos confrères vient de rendre la garde à ces monstres. Vous vous rendez compte ? » Kipplin laissa son regard glisser vers l’enveloppe marron qu’elle venait de déposer sur son bureau. Il tendit une main soigneusement manucurée, ses longs doigts pâles saisissant le bord de l’enveloppe pour la faire glisser vers lui avec un crissement doux sur le bois verni. Il l'ouvrit lentement, révélant des documents qui expliquaient enfin la situation. Il parcourut les pages rapidement, ses sourcils se haussant davantage à chaque ligne lue.
Il comprenait désormais son agitation, cette soif de justice. Mais il ne voyait toujours pas pourquoi elle était venue le voir, lui. Il n’était pas le juge en charge de l’affaire, et il existait des lois, des règles strictes, même pour un juge comme lui. Il n’avait pas le droit de s’immiscer dans une affaire déjà jugée par un collègue. D’un geste fluide, il rappuya sur l’interphone pour demander à sa secrétaire d’apporter du café, son regard suivant la jeune femme, qui, sans gêne, se servait dans le bol de bonbons sur son bureau, comme une enfant capricieuse. « Hum… » lâcha-t-il en s'adossant dans son fauteuil en cuir, les yeux mi-clos. « Je n’apprécie guère que l’on entre ainsi dans mon bureau sans se présenter et que l’on se serve comme chez soi. » Il pianota distraitement sur les documents qu’elle avait déposés, ses doigts créant un rythme presque apaisant dans la tension ambiante. « Quel nom dois-je inscrire sur la plainte que je déposerai auprès de votre supérieur ? » Il ne le ferait pas, bien sûr, mais il appréciait la théâtralité de la situation. Un petit sourire narquois effleura ses lèvres alors qu’il observait la jeune femme.
Sa secrétaire entra enfin avec le café, ses talons claquant contre le sol marbré. Elle lança un regard assassin à l’intruse, mais ne prononça pas un mot. D’un geste mécanique, elle déposa la tasse fumante sur le bureau de Kipplin, puis quitta la pièce aussi rapidement qu’elle était entrée. Kipplin porta lentement la tasse à ses lèvres, inhalant l’odeur amère du café noir avant d’en boire une gorgée. Il savourait ce moment, se donnant une allure presque indifférente face à la tempête qui faisait rage devant lui. « Alors ? » murmura-t-il, ses yeux toujours fixés sur elle, glacials et inébranlables. « Pourquoi moi ? Pourquoi n'allez-vous pas voir le juge en charge ? » Chaque mot était une lame froide, tranchante et mesurée. Il la scrutait, cherchant à comprendre ce qui l’avait poussé à venir le trouver, lui, alors que les lois et la bureaucratie rendaient sa position claire.
Il déposa la tasse délicatement sur son bureau, le tintement léger de la porcelaine résonnant dans la pièce silencieuse. Puis, avec un soupir discret, Kipplin se pencha en avant, son expression se transformant. Ses traits, durs et fermés jusqu'alors, s’adoucirent légèrement, laissant transparaître une lueur de compréhension. Son visage, qui avait gardé une froideur presque insensible, s’ouvrit, devenant un peu plus accessible. « Écoutez... » dit-il d’une voix plus basse, presque intime, tout en faisant claquer sa langue contre son palais, un geste qui trahissait une légère impatience mais aussi une tentative de contrôle. « Je comprends. Votre colère, votre rage… je la comprends. » Son regard, d'un bleu limpide , s’attarda un instant sur elle, cherchant à capter son attention, à percer la bulle de fureur dans laquelle elle semblait enfermée. Il savait qu’il devait choisir ses mots avec soin, car face à lui, ce n'était plus seulement une femme en colère, mais une personne désespérée, acculée.
« Mais, » continua-t-il, sa voix douce mais ferme, « la seule façon pour moi de m’occuper de cette affaire, c’est que vous trouviez des preuves. Même une seule… Une toute petite preuve qui me permettrait de justifier la réouverture du dossier. N’importe quoi, même une absence injustifiée à l’école. » Il marqua une pause, laissant ces mots s’imprimer dans l’esprit de la jeune femme, espérant qu'elle saisirait la nuance. Il n’était pas indifférent. Au contraire, son cœur était plus sensible qu’il n’en laissait paraître. Sous son masque de juge rigide et pragmatique, se cachait un homme conscient de l’urgence, conscient de l'injustice qui pouvait, parfois, s'infiltrer dans les failles du système. « Croyez-moi, » reprit-il, ses yeux plantés dans les siens avec une intensité nouvelle, « je comprends l’urgence de la situation. Mais je ne peux pas agir sans éléments concrets. Mon rôle n’est pas de me fier à des intuitions ou à des émotions, aussi sincères soient-elles. Il me faut des faits, quelque chose de tangible. »
La tension dans la pièce semblait s’apaiser légèrement, à mesure que la jeune femme écoutait, même si la frustration et la douleur continuaient de marquer ses traits. Kipplin, lui, se redressa légèrement dans son fauteuil, comme pour signifier qu’il n’était pas là uniquement pour la sermonner, mais bien pour l’aider à trouver une voie. « Je dois aussi comprendre la décision de mon confrère, » poursuivit-il d’une voix mesurée, « et surtout... parler à l’enfant. »
Ces derniers mots étaient chargés d’une gravité particulière. Parler à l’enfant, c'était accéder à la vérité, à ce qui se cachait derrière les dossiers et les apparences légales. C'était aussi comprendre la situation au-delà des rapports écrits et des décisions administratives. Mais cela, il le savait, ne pourrait arriver qu'à travers des preuves solides, des justifications qui puissent contourner les barrières juridiques déjà en place. Il l’observa, silencieux, la laissant digérer ces mots. Au fond de lui, il espérait qu’elle comprendrait qu’il n'était pas son ennemi, mais qu'il était simplement prisonnier des règles qu'il devait respecter. Ses doigts se mirent à tapoter doucement le bord de son bureau, un tic nerveux qu’il n’avait pas remarqué, tandis qu’il attendait la réponse de cette femme qui, en fin de compte, ne demandait qu’une chose : sauver une enfant.
crédits/peachygifs
Noel seul, c'est comme se faire une raclette sans fromage.
Un célibataire, à mon avis, n'est qu'à moitié vivant.... Si même Mozart le dit...
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 129 POINTS : 500
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andreaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
YASMEN#3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMEN#1 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
« Je n’apprécie guère que l’on entre ainsi dans mon bureau sans se présenter et que l’on se serve comme chez soi. » les tapotements doucereux ne sont d’aucune aide pour apaiser l’essor de la colère, et même si elle jette un regard presque dédaigneux en direction de la main qui effleure le papier rêche du dossier, elle s’en détourne aussitôt pour bifurquer ses billes sombres sur le visage du juge, dont la réputation et l’honneur ne sont plus à faire « Quel nom dois-je inscrire sur la plainte que je déposerai auprès de votre supérieur ? » elle devrait frémir devant la menace qu’il profane avec un sourire narquois, presque victorieux car il sait avoir l’ascendant et la main mise sur la situation mais il fait face à un os : elle arque un sourcil en fourrant sa main dans le bocal de bonbons pour en prendre un nouveau, l’insubordination atteignant son paroxysme d’insolence quand elle nargue, irrévérencieuse qui ne flanche pas : ’’Lieutenant Yasmin Hikmet.’’ répondant à son sourire par un autre qui apparaît comme tout aussi effronté, puisqu’elle ne semble pas tellement prendre la mesure de la réprimande, elle soutient son regard sans faillir, jusqu’à ce que la secrétaire bafouée quelques instants plus tôt fasse irruption dans le bureau. Haussant ses sourcils en l’accueillant avec un air étonné, Yasmin pivote sur sa chaise pour la suivre du regard lorsqu’elle entreprend de déposer une tasse de café fumante devant le juge, non sans lui lancer un regard meurtrier. ’’Et moi ?’’ qu’elle ose demander avec une voix ingénue, en penchant son menton sur le côté lorsqu’elle toise la secrétaire qui ne semble pas être d’humeur à plaisanter, ni à lui porter une quelconque boisson réconfortante d’ailleurs. Pour la peine, elle pique un autre bonbon. « Alors ? Pourquoi moi ? Pourquoi n'allez-vous pas voir le juge en charge ? » - ’’J’y suis allée’’ qu’elle répond entre deux machouillages de bonbons, pas franchement ébranlée par le ton froid et incisif qu’il arbore lorsqu’il s’adresse à elle — elle en a vu d’autres ’’Mais c’est un connard qui m’a répondu qu’il ne prenait pas mention de l’avis d’une policière. Il passe ses journées le cul sur une chaise et il n’a pas cinq secondes pour m’écouter, sérieux ?’’ fronçant ses sourcils sous la réflexion que cette question impose aux deux, elle précise néanmoins : ’’Je ne parle pas pour vous, bien sûr.’’ Quoique, ça reste encore à déterminer. « Écoutez... Je comprends. Votre colère, votre rage… je la comprends. » elle en doute, sur le coup, puisqu’elle ne voit pas tellement comment le juge Kipplin pourrait comprendre ce qui se passe à l’intérieur de son crâne en cet instant, lui qui n’est guère confronté aux enquêtes interminables et frustrantes mais qui attend plutôt que tout lui tombe sur le bureau, pré-mâché et tout cuit. Alors elle plante ses yeux dans les siens pour attendre la suite, sans trop savoir s’il est plus enclin à lui apporter son aide ou non. Qui d’autre pourra-t-elle aller voir s’il refuse ? « Mais, la seule façon pour moi de m’occuper de cette affaire, c’est que vous trouviez des preuves. Même une seule… Une toute petite preuve qui me permettrait de justifier la réouverture du dossier. N’importe quoi, même une absence injustifiée à l’école. » - ’’Il y a déjà tout cela dans le dossier.’’ elle est agacée, Yasmin, agacée et fatiguée de lutter seule pour une cause aussi évidente que le sauvetage d’une petite file innocente. Soucieuse, elle appuie son coude sur le bureau en passant le bout de ses doigts contre son front, frottant ainsi délicatement sa peau comme pour dissiper ses pensées moroses, qui lui donnent l’impression d’échouer par avance malgré tous ses efforts « Croyez-moi, je comprends l’urgence de la situation. Mais je ne peux pas agir sans éléments concrets. Mon rôle n’est pas de me fier à des intuitions ou à des émotions, aussi sincères soient-elles. Il me faut des faits, quelque chose de tangible. » elle comprend qu’il est de bonne volonté, le juge, mais il fait la demande d’un outillage dont il peut se saisir en consultant simplement le dossier qu’elle vient de lui donner, mais elle sait aussi que les rouages de la justice sont très mal agencés ; toutes les preuves dont ils disposent viennent d’être réduites au rang d’inutilisables par l’autre tocard de juge « Je dois aussi comprendre la décision de mon confrère, et surtout... parler à l’enfant. » - ’’Votre confrère est un con. Il a dit qu’il ne fallait pas séparer l’enfant du foyer familial mais, même quand l’enfant en question y est maltraité ?’’ sous l’essor de la colère, elle se saisit du dossier afin de l’ouvrir pour que les photos prises aux urgences se dévoilent : les blessurs de la petite fille amaigrie, trop petite pour son âge, le regard triste, saute aux yeux du juge ’’Vous voyez ? Quel genre de juge peut attester que cet enfant n’est pas victime de violences ?’’ elle émet un grognement en se laissant retomber sur sa chaise, ses bras étendus sur les accoudoirs ’’S’il vous plaît. Pas pour moi, mais pour elle. Elle ne mérite pas ça. Ce n’est qu’une enfant.’’ être une mère la rend peut-être un peu trop sensible à ce genre de cas mais, elle ne peut décemment pas admettre l’impuissance pour celle-ci ’’D’accord.’’ souffle-t-elle finalement en faisant claquer sa langue contre son palais. ’’Que dois-je faire pour que vous repreniez le dossier ? Dîtes-moi et je le ferai.’’
crédits/peachygifs
now look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again, i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks and your stones, throw your bombs and your blows but you're not gonna break my soul
:
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 207 POINTS : 260
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I live for the applause, applause, applause.I live for the applause-plause, Live for the applause-plause.Live for the way cheer and scream for me.The applause, applause, applause.
"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
Kipplin laissa échapper un petit rire qui résonna doucement dans la pièce, bien que cela ne sembla pas du goût de sa secrétaire, qui le fusilla du regard en quittant le bureau d’un pas sec. Amusé, le juge baissa les yeux tout en portant sa tasse de café à ses lèvres, savourant la chaleur amère qui glissait dans sa gorge. Lorsqu’il releva le regard, ses yeux bleu glacier croisèrent ceux, sombres comme la nuit, de la policière assise en face de lui. C’était un contraste frappant, presque symbolique : glace contre obscurité. « Vous venez de vous faire une ennemie redoutable, Miss Hikmet », lança-t-il avec un sourire en coin, sa voix empreinte d’un amusement à peine dissimulé. Il prit une nouvelle gorgée de café, la boisson semblant revitaliser son esprit fatigué. Il la détailla un instant, jaugeant la jeune femme avec une certaine curiosité. « Cela dit, elle est la fille d’un tueur qui a fini sa vie en prison, emporté par un cancer. Elle a connu pire comme ennemie qu’une policière malpolie... » Il marqua une pause, puis ajouta avec un clin d’œil charmeur, incapable de réfréner cette nature séductrice qui lui collait à la peau. « Après, vous avez un avantage : moi. »
C’était dans son tempérament. Kipplin ne pouvait s’empêcher de jouer de son charme, que ce soit avec ses collègues, ses subordonnés ou même avec les femmes qu’il croisait. Un simple sourire, un regard pétillant de malice. Pourtant, il savait bien que la situation ne prêtait pas vraiment à ce genre de plaisanterie. Il se redressa légèrement, reprenant une attitude plus sérieuse. « J’y suis allée. Mais c’est un connard qui m’a répondu qu’il ne prenait pas en compte l’avis d’une policière », déclara Miss Hikmet, visiblement exaspérée. Elle croisa les bras, agacée par le manque de considération qu’elle avait rencontré. « Il passe ses journées le cul sur une chaise et il n’a pas cinq secondes pour m’écouter, sérieux ? Je ne parle pas de vous, bien sûr. » Elle termina sa tirade en levant les yeux, presque désabusée. Kipplin éclata d’un rire bref. C’était tout à fait le genre de son collègue de réagir ainsi. Les juges avaient parfois la fâcheuse tendance à ne pas apprécier qu’on remette en question leur autorité. Lui-même, s’il était honnête, avait parfois ce travers. Pourtant, quelque chose dans ce dossier ne tournait pas rond, et cela l’inquiétait. « Oh, si vous saviez sur quoi mon cul passe ses journées, vous seriez surprise », plaisanta-t-il une dernière fois, espérant alléger l’atmosphère tendue qui s’était installée entre eux. Puis, lentement, son visage se ferma. Il fronça les sourcils, signe qu’il passait en mode "analyse".
« Hum... Il y a quelque chose qui cloche dans ce dossier. Cette gamine est mal traitée, c’est évident. Même un étudiant en droit pourrait vous le dire. » Il s’arrêta un instant, jouant distraitement avec sa tasse vide. Ses pensées semblaient ailleurs, comme si des pièces invisibles d’un puzzle s’assemblaient dans son esprit. « Je comprends donc mal la décision de mon confrère. » Son regard se durcit, laissant transparaître une détermination nouvelle. L’instinct du juge, affiné par des années de pratique, lui soufflait que cette affaire n’était pas aussi simple qu’elle en avait l’air. Des erreurs, des anomalies juridiques pouvaient parfois se produire, mais là, il y avait quelque chose de plus sournois en jeu, quelque chose qui méritait qu’il y plonge le nez.
Kipplin écouta attentivement Miss Hikmet, posant lentement sa tasse sur le bureau. Il attrapa un stylo élégant, une pièce précieuse offerte par sa mère pour son dernier anniversaire, et le fit tourner machinalement entre ses longs doigts, une habitude nerveuse qu’il avait développée au fil des années. Son regard bleu perça celui de la policière, tentant de peser les arguments qui se présentaient devant lui. « Je comprends bien », murmura-t-il d’une voix plus grave, « mais ce dossier a déjà été jugé. Sans un nouvel élément, une preuve tangible, je ne peux pas le rouvrir. C’est la loi. » Il fit tourner le stylo une nouvelle fois, ses gestes rapides trahissant une certaine tension. Ses traits habituellement détendus s’étaient figés dans une expression plus dure. Il sentait bien que quelque chose dans cette affaire n’allait pas, mais sans nouveau fait, il se retrouverait les mains liées. « Vous voyez ? Quel genre de juge peut attester que cet enfant n’est pas victime de violences ? » lança Miss Hikmet, ses yeux noirs brillants d’une colère contenue, mais palpable. « S’il vous plaît. Pas pour moi, mais pour elle. Elle ne mérite pas ça. Ce n’est qu’une enfant. » Les mots de la jeune femme résonnèrent dans le silence du bureau. Kipplin pouvait presque sentir la flamme brûlante qui animait son interlocutrice, une détermination si féroce qu’elle semblait vouloir consumer l’injustice qui pesait sur cette petite fille. Ce feu intérieur, cet incendie d’indignation que rien ne semblait pouvoir éteindre, fit écho à quelque chose en lui. Il comprenait. Il soupira doucement, puis leva un doigt pour lui signaler de se taire un instant, sans prononcer un mot de plus. D’un geste calme, il saisit le combiné du téléphone posé sur son bureau et composa un numéro, tout en gardant son regard fixé sur la policière. Lorsqu’il entendit une voix au bout du fil, son visage s’adoucit, et un léger sourire se dessina sur ses lèvres. « Не отвлекаю? » demanda-t-il dans un russe fluide, un brin de chaleur dans la voix. L’écho de l’autre côté de la ligne lui répondit, et son sourire s’élargit. « Ton russe s’améliore de jour en jour, ma belle. Écoute, j’ai besoin d’un service. Un… gros service. » Il jeta un coup d'œil à Miss Hikmet. Kipplin reprit la conversation, ses yeux rivés sur le bureau.
« Il y a une petite fille en danger dans sa famille », dit-il d’une voix plus sérieuse, le ton trahissant l’importance de l’affaire. « Mais le dernier juge en charge du dossier n’a, semble-t-il, rien vu. » Un bref silence s’installa alors qu’il attendait une réponse à l’autre bout du fil. Il hocha lentement la tête en entendant la voix répondre. « Évidemment que ce n’est pas moi. Écoute, tu es toujours médecin scolaire, non ? » Il fit une pause, un sourire discret s’esquissant de nouveau. « Tu crois que tu pourrais aller voir cette petite ? Sans dire que tu vas voir cette petite, évidemment. Ce ne serait pas vraiment illégal. Disons que tu pourrais faire une intervention sur l’hygiène ou la nutrition... » Un nouveau silence, plus long cette fois. Le juge écouta patiemment, ses doigts tapotant doucement la surface en bois de son bureau. Enfin, un sourire satisfait apparut sur ses lèvres. « Bien sûr que je te revaudrai ça. Merci. Je t’envoie les détails et l’adresse de l’école. Пока » Il raccrocha, puis se tourna vers Miss Hikmet, son regard désormais chargé d'une nouvelle résolution. « C’est réglé. Mon amie va faire une visite sous couvert d’une intervention sur la nutrition. Si quelque chose ne va pas, elle le verra, et on aura de quoi rouvrir ce dossier. » Ses yeux pétillèrent un instant de malice. « Vous voyez, il y a toujours un moyen, Miss Hikmet. Mais ça ne veut pas dire que c’est gagné, mon confrère pourrait demander à juger de nouveau l’affaire, donc nous devons trouver une preuve qu’il n’a pas bien fait son travail et qu’il ne peut donc pas juger l’affaire. Une idée ? »
crédits/peachygifs
Noel seul, c'est comme se faire une raclette sans fromage.
Un célibataire, à mon avis, n'est qu'à moitié vivant.... Si même Mozart le dit...
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 129 POINTS : 500
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andreaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
YASMEN#3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMEN#1 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
Elle est mauvaise, la secrétaire. Mauvaise hôtesse car elle ne propose rien d’autre qu’un regard mesquin à l’attention de la lieutenant qui, la suivant des yeux, espère récolter quelque chose de positif mais, il n’y a rien d’autre qu’un profond mépris. Dommage. « Vous venez de vous faire une ennemie redoutable, Miss Hikmet » elle fait la moue, redresse sa nuque en avançant son menton de quelques degrés, attendant quelques secondes avant de lever son regard doré pour demander, d’une voix lapidaire pour elle-même : ’’Rancunière ?’’ haussant les épaules elle se répond à elle-même par un ’’Très vilain défaut.’’ qu’elle conclue en éparpillant son regard sur les objets disposés sur le bureau, avant de revenir sur le visage du juge quand ce dernier reprend la parole « Cela dit, elle est la fille d’un tueur qui a fini sa vie en prison, emporté par un cancer. Elle a connu pire comme ennemie qu’une policière malpolie... » sa curiosité étant piquée, elle arque un sourcil avant de pivoter son buste vers l’arrière pour zieuter vers la porte close, même si, en réalité, elle a tourné son attention vers la secrétaire au regard glacé. ’’Vraiment ?’’ ça force le respect, c’est clair « Après, vous avez un avantage : moi. » revenant dans l’axe de leur conversation, Yasmin émet un petit ricanement bref avant de piocher un autre bonbon dans le pot emplit de sucreries, à défaut d’avoir quelque chose d’autre à se mettre sous la dent.
Elle achève son plaidoyer coléreux en soupirant de nervosité, l’expression froissée par un mélange d’aigreur et d’incompréhension mêlées, qui se figent lorsqu’elle entend « Oh, si vous saviez sur quoi mon cul passe ses journées, vous seriez surprise » premier degrés à cause de la colère qui circule encore dans ses veines, elle pousse ses lèvres en avant tout en se levant légèrement de sa chaise pour zieuter vers le fauteuil du juge, certifiant que ’’Un fauteuil qui m’a l’air très confortable.’’ comment ça, il n’attendait pas de réponse ?
« Hum... Il y a quelque chose qui cloche dans ce dossier. Cette gamine est mal traitée, c’est évident. Même un étudiant en droit pourrait vous le dire. » ah, enfin, il atterrit ; c’est ce qu’elle se dit en se laissant retomber dans sa chaise, les mains sur les accoudoirs et les dents en train de mâchouiller un bonbon à la pêche. « Je comprends donc mal la décision de mon confrère. » - ’’Parce que c’est un con.’’ elle l’a déjà dit mais elle n’est pas contre l’idée de le formuler encore et encore, histoire que ce soit clair pour tout le monde. Mais maintenant qu’il a atterrit le juge, qu’est-ce qu’il propose ? Un nouvel élément, elle l’entend mais dans son esprit, cela veut dire une nouvelle blessure infligée à une petite fille qui souffre déjà le martyr, un supplément d’injustice sur toutes celles déjà subies par le passé. Non, définitivement, elle ne comprend pas, elle ne peut pas comprendre. ’’Une erreur judiciaire va causer des souffrances supplémentaires à une petite fille maltraitée.’’ elle ne dispense pas foncièrement des reproches à l’égard du juge qui se tient devant lui, mais plutôt contre le système tout entier. Mais son discours doit résonner, quelque part, dans le coeur du juge à la réputation inégalable, puisqu’il s’active derrière son bureau et, de l’autre côté, elle continue de piquer des bonbons en l’écoutant parler, suspendue à ses lèvres puisqu’elle a l’impression que l’avenir de cette petite fille est en train de se jouer avec ce coup de téléphone. « C’est réglé. Mon amie va faire une visite sous couvert d’une intervention sur la nutrition. Si quelque chose ne va pas, elle le verra, et on aura de quoi rouvrir ce dossier. » le dénouement gonfle son coeur d’une joie immense et elle se redresse en levant légèrement ses bras pliés, poings refermés, comme un cri silencieux de victoire — elle ne peut pas crier parce qu’elle a la bouche pleine de sucreries. ’’Enfin !’’ elle plante ses yeux pétillants dans ceux de Kip, un sourire réjoui courbant ses lèvres tandis qu’elle reprend espoir pour le sauvetage de cette gamine « Vous voyez, il y a toujours un moyen, Miss Hikmet. Mais ça ne veut pas dire que c’est gagné, mon confrère pourrait demander à juger de nouveau l’affaire, donc nous devons trouver une preuve qu’il n’a pas bien fait son travail et qu’il ne peut donc pas juger l’affaire. Une idée ? » - ’’Faut que je sache pourquoi c’est un bon à rien ?’’ ses sourcils remontent sur son front tandis qu’elle appuie son menton dans sa paume, le bout de ses doigts tapotant ses lèvres charnues pendant quelques secondes ’’J’en sais rien, peut-être qu’il connait les parents ? Qu’il est débordé et qu’il ne fait plus son travail comme il faut ?’’ faudrait peut-être qu’elle aille le faire à sa place, qui sait ’’Il est vieux comme le monde, c’est à se demander ce qu’il fait encore là.’’ bon d’accord ce n’est pas une raison valable mais cracher sur lui est drôlement thérapeutique ’’Elle ira quand votre amie, dîtes ?’’
crédits/peachygifs
now look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again, i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks and your stones, throw your bombs and your blows but you're not gonna break my soul
:
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 207 POINTS : 260
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I live for the applause, applause, applause.I live for the applause-plause, Live for the applause-plause.Live for the way cheer and scream for me.The applause, applause, applause.
"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
“Vraiment. Elle rêvait de faire des études de droit, mais personne ne voulait d’elle. Qui voudrait de la fille d’un tueur pour le défendre ou le juger ?” Kipp avait dit ces mots calmement, mais une ombre traversa son regard. Il baissa un instant les yeux vers la tasse de café entre ses mains, comme s’il cherchait à y trouver un réconfort. “Elle a abandonné l’idée de devenir avocate”, continua-t-il en relevant les yeux, “Mais elle n’a pas vraiment lâché le milieu. Et, au fond, elle m’aide bien plus que son travail ne l’obligerait à faire.” Un léger sourire, presque imperceptible, s’étira sur ses lèvres tandis qu’il parlait d’elle. Il semblait sincèrement touché par son implication, par cette loyauté discrète qui la poussait à lui offrir son aide malgré tout. Kipp savait combien il était rare, dans son univers, de trouver des alliés aussi fidèles, surtout parmi ceux qui portaient un tel poids sur leurs épaules.
Alors qu’il s’apprêtait à poursuivre, le bruit de la porte s’ouvrant attira son attention. Il se redressa légèrement, son expression redevenant celle d’un professionnel. Sa secrétaire fit son entrée, sans un regard pour la policière assise en face de lui. Elle se glissa silencieusement à ses côtés et se pencha pour lui murmurer quelques mots à l’oreille, sa voix basse et rapide, comme un souffle destiné uniquement à lui. Le visage de Kipp se ferma aussitôt. Une lueur froide passa dans ses yeux, éteignant la chaleur qu'il avait affichée quelques instants plus tôt. Sa mâchoire se crispa brièvement, et il détourna le regard vers la fenêtre, ses pensées visiblement alourdies par ce qu’il venait d’apprendre. “Merci”, dit-il d’une voix qui s’était faite plus dure, presque métallique. La secrétaire s’inclina légèrement et se retira sans un bruit, laissant derrière elle une atmosphère chargée d’une gravité nouvelle. Kipp soupira, relâchant la tension d’un souffle las. Il porta à nouveau sa tasse de café à ses lèvres, cherchant à masquer son trouble derrière la chaleur amère du liquide, mais son expression trahissait une mélancolie qu’il ne pouvait dissimuler.
“Un fauteuil qui m’a l’air très confortable”, répondit la jeune femme. Kipp esquissa un léger rire, sa gravité s'évanouissant un peu sous l’humour discret de la jeune policière. Ce bref instant de légèreté fit ressortir une lueur dans ses yeux sombres, adoucissant les traits sévères de son visage. “Vous n’êtes même pas amusante, Miss Hikmet,” lança-t-il avec un sourire en coin, son ton teinté d’une ironie indulgente. Il posa sa tasse de café avec soin sur son bureau en bois sombre et lustré, dont la surface impeccablement polie renvoyait une image parfaite de la pièce, chaque objet à sa place. Ce geste presque mécanique, empreint de son souci du détail, laissait deviner la discipline rigoureuse qu’il s’imposait. Sa main glissa dans ses cheveux noirs, méchés d'argent, un geste familier qui révélait autant sa fatigue que la nonchalance maîtrisée de son allure. Kipplin se pinça les lèvres, le regard assombri. Cette affaire ne lui inspirait rien de bon. Bien sûr, il y avait parfois des erreurs de jugement, des failles dans les enquêtes ; cela faisait partie des risques. Mais ce dossier-ci était accablant. Le fait que le juge ait décidé de renvoyer l’enfant dans sa famille soulevait de nombreuses questions, et il voyait clairement, en filigrane, les pressions qui pesaient sur le système. Il savait bien que l’État demandait à ce que les dossiers ne restent pas ouverts trop longtemps, que les familles d’accueil croulaient sous les responsabilités, débordées par des charges de travail qui s’accumulaient sans cesse. Le système avait ses failles, des failles béantes qui rendaient son travail encore plus complexe. Mais pour lui, la solution n’était pas de céder à la facilité ; il fallait redoubler de rigueur, prêter attention au moindre détail pour pallier les manques.
“Si on arrive à prouver que le juge a commis une erreur, je peux demander à rouvrir le dossier”, dit-il en fixant Miss Hikmet avec détermination. “Bon... il va probablement me haïr, mais ce n’est pas le genre de choses qui m’inquiète.” Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, mais son regard restait concentré, presque dur. Dans son travail, il s’interdisait d’être influencé par l’opinion des autres ; il n’était pas là pour se faire des amis, et il en était parfaitement conscient. La justice, aussi imparfaite soit-elle, était pour lui un idéal qu’il défendait envers et contre tout. “Quant à l’école…” ajouta-t-il après une pause,“Je ne sais pas. Elle doit entrer en contact avec la direction. Si la directrice ou le directeur n’est pas trop insupportable, on peut espérer que ça avance rapidement.” Sa voix se fit plus lasse à ces mots, trahissant une pointe de frustration. Il savait combien les démarches administratives pouvaient être lentes, combien certains directeurs pouvaient se montrer réfractaires ou peu coopératifs. Mais il restait patient, car dans ce genre de dossier, chaque détail comptait, et il ne permettait pas de négliger une seule étape. Il posa un regard sur sa montre. “Je vous invite à diner.”
crédits/peachygifs
Noel seul, c'est comme se faire une raclette sans fromage.
Un célibataire, à mon avis, n'est qu'à moitié vivant.... Si même Mozart le dit...
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 129 POINTS : 500
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andreaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
YASMEN#3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMEN#1 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
« Vraiment. Elle rêvait de faire des études de droit, mais personne ne voulait d’elle. Qui voudrait de la fille d’un tueur pour le défendre ou le juger ? » - ‘’Elle n’est pas son père.’’ elle trouve le récit totalement injuste et gravement triste, si bien qu’elle se prend curieusement d’affection pour celle qui lui a lancé un regard hautement dédaigneux quelques secondes plus tôt. Ses avants-bras sur le bureau du juge, elle soulève l’une de ses paumes en poursuivant : ’’Mais je me disais bien qu’elle avait un regard d’assassin.’’ si Mando était là, probablement qu’il lui dirait « apprends à la fermer, Yas » mais, malheureusement pour elle, la policière n’a que rarement sa langue dans sa poche, même si ça peut lui desservir « Elle a abandonné l’idée de devenir avocate » Yasmin trouve toujours que les raisons du renoncement sont connes, mais ce sont ceux qui l’ont obligée à abandonner qui le sont surtout « Mais elle n’a pas vraiment lâché le milieu. Et, au fond, elle m’aide bien plus que son travail ne l’obligerait à faire. » - ’’C’est ridicule. Elle aurait dû reprendre ses études pour faire le métier qu’elle voulait.’’ elle le martèle en klaxonnant le bout de son index contre la surface du bureau, rajoutant un ’’Je lui dirai en sortant d’ici.’’ bonne ou mauvaise idée, elle a néanmoins un sourire confiant aux lèvres ; c’est sûr, ce sera le début d’une belle amitié entre elles. Ou pas, ouais.
Continuant de piocher des bonbons dans la coupelle prévue à cet effet — destinée aux enfants, oui, elle s’en doute, Yasmin pousse ses lèvres sous l’essor d’une petite moue boudeuse quand elle entend qu’elle n’est même pas amusante ; voilà une honteuse accusation qui lui ferait presque de la peine, si elle n’était pas assurée d’être un véritable clown acclamé par tout son entourage ’’Vous mentez, monsieur le juge.’’ elle le balance d’une voix pleine de sucres, et malgré le fait que ce soit malpoli, elle continue de vider le pot de bonbons en se justifiant d’un ’’J’ai pas mangé ce midi.’’ parce qu’elle était trop occupée à courir partout pour sauver la gamine, oui ’’De toute façon vous avez l’air d’être blindé, vous pourrez en racheter.’’ des bonbons, pas des gamines, c’est important de le préciser de nos jours. ’’Vous en voulez un ?’’ sans scrupule, elle penche le bocal ouvert vers Kip, en lui proposant de piocher dans les bonbons qu’il a lui-même acheté, avec le même élan que si elle lui faisait une faveur particulièrement généreuse.
« Si on arrive à prouver que le juge a commis une erreur, je peux demander à rouvrir le dossier. Bon... il va probablement me haïr, mais ce n’est pas le genre de choses qui m’inquiète. » appuyant ses deux mains sur le bocal qui a perdu un nombre considérable de ses victuailles, Yasmin tord sa bouche sur le côté en haussant ses sourcils, semblant questionner l’importance de cette perspective ; qu’est-ce que l’inimité d’une vieille pomme sur le déclin quand la vie d’une petite fille est en jeu ? ’’C’est le dernier de nos soucis, rassurez-moi ?’’ oui, nos parce qu’ils sont désormais une équipe ; de bras cassés ou de choc, seul l’avenir le dira « Quant à l’école… » elle redevient tout à coup sérieuse, les sourcils relevés pour accueillir la suite de cette phrase qui attise forcément son attention « Je ne sais pas. Elle doit entrer en contact avec la direction. Si la directrice ou le directeur n’est pas trop insupportable, on peut espérer que ça avance rapidement. » elle soupire en mordant le coeur de sa lèvre inférieure, les yeux rivés sur une pile de dossiers posés sur le côté du bureau. C’est frustrant, terriblement enrageant même, de savoir que la vie d’une gamine dépend de la vitesse de l’administration, mais elle sait aussi que la moindre décision hâtive risquerait de se retourner contre eux. ’’J’espère aussi.’’ marquant une petite pause, elle reprend : ’’Je connais quelqu’un qui travaille à l’hôpital…La prochaine fois que Alma s’y rend, elle pourrait peut-être s’arranger pour la garder hospitalisée un peu plus longtemps que prévu. Ce serait temporaire, je sais, mais au moins elle serait à l’abri.’’ Helen acceptera de venir en aide à une enfant maltraitée, elle n’en doute absolument pas. « Je vous invite à diner. » un ‘’oh’’ de surprise passe la barrière de ses lèvres tandis qu’elle redresse ses épaules pour regarder sa montre ; elle a encore de la marge avant de libérer la baby-sitter de Derya, alors, elle se lève en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. ’’Vous aimez la nourriture indienne ?’’ le toisant avec un petit sourire espiègle, elle appuie ses mains contre ses hanches en précisant, comme si c’était un argument de poids : ’’Moi, oui.’’
(839 mots)
crédits/peachygifs
now look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again, i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks and your stones, throw your bombs and your blows but you're not gonna break my soul
:
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 207 POINTS : 260
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I live for the applause, applause, applause.I live for the applause-plause, Live for the applause-plause.Live for the way cheer and scream for me.The applause, applause, applause.
"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
« C’est vrai, elle n’est pas son père, mais pour beaucoup d'êtres humains sur cette terre, les erreurs du père sont celles de l'enfant. Ce qui est ridicule, mais la nature humaine est fondamentalement mauvaise. Vous qui êtes dans les forces de l’ordre, vous devriez le savoir... Tout comme moi, vous avez sans doute vu plus souvent le mauvais côté de notre espèce que son bon côté. » Kipplin n’était ni un nihiliste, ni un pessimiste profond, mais il n’était pas non plus un optimiste naïf, aveugle aux réalités du monde. Il savait que l’humanité, dans sa globalité, n’était pas prête à changer. Et la façon dont sa secrétaire avait été traitée en était la preuve indiscutable. Chaque geste de mépris envers elle, chaque fois qu'on l'avait ignorée ou maltraitée, renforçait sa conviction que les erreurs du passé étaient souvent projetées sur ceux qui n’y étaient pour rien. Il s’enfonça lourdement dans son fauteuil, ses yeux se posant sur les placards en bois qui tapissaient les murs de son bureau. Des piles de dossiers, de rapports et de lettres qui semblaient s'empiler à l'infini. C’était le témoignage silencieux d'une vie professionnelle dédiée à l’injustice, à la souffrance et à la recherche de solutions dans un monde où les espoirs se heurtaient à la réalité du terrain. Combien d'enfants avaient eu besoin de son aide au cours de sa carrière ? Il les avait vus défiler, un après l'autre, avec leurs histoires de violences, d'abandon, et de maltraitance. Chaque dossier, un visage, une voix, un cri silencieux. Kipplin avait l'impression d’être pris dans un tourbillon sans fin, où il devait continuellement réagir aux vagues de détresse humaines, sans jamais pouvoir stopper le courant. Dans un soupir fatigué, il ferma les yeux. À l’extérieur, les bruits de la ville se mêlaient aux échos de ses pensées. La clameur de la vie urbaine, pleine de contradictions, se heurtait à sa réflexion sur la nature humaine. D’un côté, des idéaux, des rêves d’un monde plus juste ; de l’autre, une dure réalité où les erreurs se transmettaient, où la violence et l’ignorance semblaient régner en maîtres. Kipplin avait vu la bonne volonté des gens se heurter à des murs de cruauté, et parfois, ces murs ne cédant jamais.
« Vous mentez, monsieur le juge. J’ai pas mangé ce midi. De toute façon, vous avez l’air d’être blindé, vous pourrez en racheter. » Kipplin esquissa un sourire, doux et indulgent, un sourire qui ressemblait à celui d’un père amusé par les pitreries de son enfant. Il pencha légèrement la tête et agita la main, feignant une expression de reproche. « Non merci, mais c’est gentil de me proposer une de mes propres friandises. Et attention à vos mots, on n’accuse pas un juge de mentir impunément… » dit-il d’un ton grave, ses yeux pétillant de malice. C’était une fausse menace, bien évidemment, mais il adorait l’effet dramatique que pouvaient produire les mots, et chaque geste qu’il faisait, chaque inflexion de sa voix, laissait deviner ce goût pour la théâtralité. Il s’adossa dans son fauteuil, les bras croisés, observant la jeune flic rebelle avec une bienveillance teintée de curiosité. Kipplin respectait cette force, cette fierté qui se cachait sous les airs bravaches de la jeune femme. « C’est le dernier de nos soucis, rassurez-moi ? » Elle cherchait dans son regard une assurance, une promesse que le chemin serait sans embûches. Il la regarda un instant, puis haussa légèrement les épaules, son expression mêlant une détermination calme et une touche de gravité. « Ne pensez pas que je suis devenu juge pour enfants pour me faire des amis, » répondit-il avec un léger sourire en coin, une nuance de fermeté dans la voix. « Mais je ne veux pas non plus briser des carrières par plaisir. Cependant, ce juge a commis une erreur, et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour sauver cet enfant dont vous venez de me confier la vie. »
Il marqua une pause, laissant ses mots s’imprégner dans le silence. Sa voix, bien que douce, trahissait une résolution inébranlable. « Je ne suis pas infaillible, mais jamais je ne laisse mes sentiments personnels prendre le dessus lorsque je travaille sur un dossier. » Kipplin était même connu pour sa ténacité sans faille ; une fois lancé sur une affaire, il ne la lâchait jamais, acharné comme un chien avec un os à moelle. Chaque dossier devenait pour lui une mission, un engagement personnel dont il ne se détournait qu'une fois la justice rendue. « J’espère aussi. Je connais quelqu’un qui travaille à l’hôpital… La prochaine fois qu’Alma s’y rend, elle pourrait peut-être s’arranger pour la garder hospitalisée un peu plus longtemps que prévu. Ce serait temporaire, je sais, mais au moins, elle serait à l’abri pour un moment. »
Kipplin hocha doucement la tête, son regard fixé, concentré, comme s’il analysait déjà les possibilités qui s’offraient à eux. « C’est bon à savoir, » dit-il calmement, sa voix teintée de la gravité d’un homme habitué à marcher en terrain miné. « Plus on garde cette petite loin du foyer, plus on a de chances de la sauver. Et peut-être même, si elle se sent en sécurité avec votre amie, d'obtenir quelques confidences, des accusations qu’elle n’oserait jamais prononcer autrement. Si elle parle… cela pourrait être décisif pour nous. » Finalement, il dut se rendre à l’évidence : il ne pourrait rien faire de plus aujourd’hui. La nuit entière passée à travailler avait laissé des traces visibles sur son visage et son estomac criait famine. Sur un coup de tête, il se tourna vers la jeune femme et lui proposa de venir manger avec lui. Kipplin esquissa un sourire en coin. « Hum… je n’ai pas vraiment le temps de vous emmener à New Delhi, mais… je connais un petit restaurant indien pas loin qui fait des merveilles. » Il attrapa sa veste de costume sur le dossier de sa chaise, la secouant légèrement pour en retirer quelques plis. En sortant, il s’arrêta près de sa secrétaire. Il lui sourit avec cette bienveillance qui lui était propre. « Je sors manger, Am’.»
La suite au restaurant.
crédits/peachygifs
Noel seul, c'est comme se faire une raclette sans fromage.
Un célibataire, à mon avis, n'est qu'à moitié vivant.... Si même Mozart le dit...