ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1832 POINTS : 80
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
Sergio avait été patient. Cela faisait presque trois semaines maintenant qu'il avait gardé le silence et attendu de voir si Sara viendrait vers lui. Ils avaient eu plusieurs occasions de se voir -notamment grâce à Maritza-, et pas une fois sa fille n'avait jugé bon de parler de son nouveau choix de carrière. La goutte d'eau qui avait fait déborder le vase avait été de savoir que Sara avait officiellement commencé. Elle s'était occupé du maquillage durant un tournage qui regroupait non pas un, mais deux talents de GCA. De là, le patriarche avait décidé d'arrêter cette comédie. Il ne parvenait pas à voir la chose autrement que comme un affront. Sara lui mentait les yeux dans les yeux quand elle parlait de continuer à chercher un boulot alors même qu'elle profitait de la rémunération de l'agence de son père. Il ne parvenait pas à comprendre à quel moment elle avait pu penser qu'elle s'en tirerait sans dommage. Gayle était peut-être son interlocutrice directe, mais elle devait malgré tout une énorme transparence sur la manière dont elle dépensait le budget de l'agence. Sergio était déçu, purement et simplement. En colère de l'ingratitude de sa fille, vexé qu'elle ait bousillé toutes ses opportunités, désabusé qu'elle n'ait pas eu le courage de l'affronter. Cela prenait fin aujourd'hui. Il avait eu le temps de réfléchir à la manière dont il approcherait le sujet, s'il la mettrait devant le fait accompli en se pointant sur son lieu de tournage ou s'il en ferait une affaire plus personnelle avec un tête à tête. Il avait opté pour la seconde option. Il n'aimait définitivement pas que sa fille soit une employée, ce n'était pas pour rendre l'affaire encore plus publique qu'elle ne méritait de l'être. Or, il y avait un endroit où il savait qu'il pourrait avoir de l'intimité et, en même temps, montrer à Sara les conséquences de ses actes : le bureau. Bien sûr, le patriarche avait rendu l'invitation plus légère qu'elle ne l'était réellement. Il l'avait invitée à prendre un café avant de partir travailler au cinéma, sur une date où il savait pertinemment que GCA n'avait rien programmé. Il avait utilisé l'argument du peu de temps passé ensemble récemment, usé de ses demandes qui n'admettaient aucun refus. Et pour sauver les apparences, il avait eu l'air particulièrement de bonne humeur en allant l'accueillir à l'entrée des locaux, prétendant ignorer la nervosité palpable de sa fille. « Bonjour Sara. Je suis content que tu aies pu venir. Viens. » Il passa derrière elle, l'invitant implicitement à se diriger vers le bureau de l'agent. Elle connaissait les lieux. Son bureau à lui, celui de Gayle aussi. Il prétendit ne pas la voir tourner la tête en direction du bureau de Gayle. La brune était chanceuse ; la Danbury était en déplacement pour la matinée. « Sam, tu peux aller nous chercher le café et les viennoiseries s'il te plaît ? » Il interpella son assistant qui opina de la tête, sautant aussitôt de sa chaise. Sergio, lui, referma la porte et alla s'installer sur l'un des canapés qui entourait la table basse, proche de la gigantesque baie vitrée qui offrait une vue panoramique sur Spring Hill. « Alors, comment tu vas ? » Il était aimable, presque de bonne humeur en apparence. Voyait-elle le traquenard venir ? Car lui n'avait plus la patience de laisser cette comédie se jouer. Il baissa la tête pour désigner du menton l'enveloppe qui traînait sur la table. « C'est pour toi, si jamais. » Sa fiche de paie qui parlerait mieux que mille mots pour faire comprendre qu'il était au courant. Il voulait juste vérifier à quel point Sara se moquait de lui avant de lui faire savoir ce qu'il pensait de ses choix.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
good luck, kid (Sara #3)
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