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 Like troubled water running cold

Clarence Aldridge
Clarence Aldridge
Le chat ronchon
Le chat ronchon
  
Présent
ÂGE : 38 ans (05/12/1986)
SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre.
STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le cœur malmené par deux brunes.
MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. Est sur le point de créer sa propre ONG.
LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent.
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POSTS : 2553 POINTS : 400

TW IN RP : Deuil - Décès - Trauma - TCA - Mélancolie - Abandon - Violence physique et verbale.
TW IRL : Aucun
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler.
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : #996666
RPs EN COURS : - Ethel (4) (FB1) - Wild/Ethel (1) - Helen (2) - Wild (5) - Landry (1) - Jillian (1) - Izan (1) - Eden (Fb1) -
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Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
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Wild
T'es la meillеure chose qui m'est arrivéе. Mais aussi la pire chose qui m'est arrivée. Ce jour où je t'ai rencontrée, j'aurais peut-être préféré que ce jour ne soit jamais arrivé. La pire des bénédictions, la plus belle des malédictions. De toi, j'devrais m'éloigner. Pourquoi ton prénom me blesse, quand il se cache juste là dans l'espace ? C'est quelle émotion, la haine ou la douceur, quand j'entends ton prénom ?
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Eden
J'pourrais chanter tous tes défauts. Tu rigoles et m'tappes juste sur l'épaule. Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.


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Alienor
J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait. Des courses vers le vide, ton rire qui soupirait. Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles, je serai le phare qui te guidera toujours.

RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Rory (1) - Eden (2)
RPs TERMINÉS : - Ethel (1 - 2 3) - Wild (1 - 2 - 3 - 4) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris/Wild (1) - Eden (1) - Alienor (1) - Nina (1) - Wild/Chris (1) - Ruben (1)
AVATAR : Robert Pattinson
CRÉDITS : avatar@Noiram signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Tay-swifft userbar:@mystery-man Header@F3cbd1
DC : Un vase, c'est bien suffisant.
PSEUDO : Noiram
Femme (elle)
INSCRIT LE : 12/05/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t54291-clarence-all-my-tears-have-been-used-up
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Message(#)Like troubled water running cold EmptyMer 2 Oct 2024 - 23:18

Like troubled water running cold

Ethel & Clarence (3)


  Le cœur qui saigne et au bord du vide. T’en as perdu le sommeil et tu ne rêves plus la nuit. T’as raison à foutu le camp à la minute où elle t’a repoussé. Tiraillé. T’as essayé de devenir un peu meilleur pour à nouveau tout faire foirer. Balafré. Elle était la seule à savoir peindre des étoiles dans ton ciel noir et à apaiser cette tempête qui te ronge trop souvent les entrailles. À contenir ce feu dans le fond de tes yeux qui se mélange parfois dangereusement à ta glace. Disloqué. Te voilà à nouveau seul à l'intérieur de tes remparts. Pris au piège dans ta propre culpabilité. A la contempler de trop loin. À ne pas pouvoir la toucher sans avoir peur de commettre le moindre faux pas. Il y a ces sentiments qui se bousculent et qui se débattent en toi. Dans une douleur devenue insupportable depuis qu’elle est partie. Le myocarde qui chante en dysharmonie. T’as peur d’une seule chose Clarence, c’est qu’Ethel veuille sortir définitivement de ta vie. Foutue débâcle qui te fera à nouveau dérailler. Putain qu'est ce que tu peux être con quand tes vieux démons viennent te hanter.

Alors tu déverses ton océan indomptable sur elle en silence alors que ton corps se fige dans le marbre. La voix d’Helen est la seule à retentir. Tu mets quelques secondes à dériver ton regard vers elle avant de revenir inconsciemment sur Ethel. Simple foulure sans gravité. Une histoire de serpillière et d’une maladresse devenue banale. T’es soulagé, même si ton corps cri tout le contraire. Tu acquiesces d’un léger signe de tête sans réussir à accorder l’attention que ton amie mérite. T’es enchaîné au bleu de ses yeux qui te fixent sans parvenir à le sonder. Ton regard vient un peu plus l’interroger, mais tu n’y vois que le reflet de cette distance qu’elle veut t’imposer. Puis il y a cette faille, presque infime, derrière laquelle tu peux discerner une nuance de noir que tu ne lui connais pas. Et ton imagination commence à imaginer le pire. Peut-être qu’elle a fini par réellement comprendre que tu étais un vrai connard. Peut-être que ce n’était pas de la maladresse, mais encore ce trouble qui la perdra. « Je vais vous laisser… » Helen se sent de trop et tu ne peux pas l’en calomnier. Elle ne s’attendait certainement pas à se retrouver mêlée à vos histoires. « A un de ces quatre… » Cinq mots qui voguent jusqu’à tes oreilles lorsque la brune passe à côté de toi avant de s’évaporer. « Merci, Helen. » Ta voix déraille et ne fait que confirmer ton embarras. Ce sont des remerciements sincères et à double sens. T'es reconnaissant qu'elle se soit rendue disponible pour venir en aide à Ethel alors que ça aurait été à toi de le faire. Pour sa discrétion et sa bienveillance. Helen est bien trop intelligente pour ne pas comprendre qu’il se passe quelque chose entre vous. Que la brune qui partage ton quotidien est devenue bien plus qu’une simple nounou. Tu arrives malgré tout à lui lancer un sourire un brin amer tout en la regardant disparaître. Ton regard s’égare sur elle avant de revenir violemment sur Ethel, du moins sur le canapé où elle était censée être. Ton océan s’affole avant de se poser sur l’ombre qui tente tant bien que mal de rejoindre les escaliers. « Ethel, reviens s’il te plaît. » Aucune once de colère dans ta voix. Seulement un supplice qu’elle n’entend pas. Tu la regardes s’en aller en claudiquant et tu sens cet orage qui pourrait bien se mettre à gronder. Ton corps se délivre de son marbre et tu te mets à marcher dans son sillage pour ne pas la perdre de vue. « Tu vas me fuir tout le reste de la soirée ? » Il y a dans ta voix une douleur et une colère encore muselée. Et t'es pas loin de péter les plombs en la voyant ainsi se dérober dans les escaliers.

Sous tes yeux qui te donnent cette mine un brin incrédule. Tu la contemples d’en bas, une main crispée contre le bois de la rambarde et prête à te donner l’élan suffisant pour la rattraper. « Je t’en supplie, redescends. » T’espérais naïvement que ça suffirait pour qu'elle se ravise. Le venin aux bords de tes lèvres ne demande qu’à venir la mordre. De lui lancer à la gueule toutes les pires choses qu’il pourra trouver pour la blesser. Tu parviens à le diluer à te calmer. Tu prends un peu plus appui sur la rambarde, le visage baissé sur ce sol que tu pourrais presque sentir trembler sous la résonance de cette porte qu’elle vient de claquer. Tu fermes les yeux, tout en passant nerveusement ton autre main dans cette crinière que tu tires pour tenter de te ressaisir. T’as un mauvais pressentiment Clarence. Tu sens que les choses vont mal tourner. Et pourtant, tu prends les escaliers avec l’intime conviction d’arranger les choses. Tes pas font résonner chaque marche avant de tomber le nez sur cette porte qu’elle a fermé à clé. Tu rigoles nerveusement au travers d’une mâchoire qui se déboîte pour accuser le coup. Tu n’insistes pas. Pas besoin. Ce n'est pas un bout de bois qui pourra te défier. Du moins pas très longtemps. « Vraiment Ethel ? » Tu sers les dents pour éviter ces paroles que tu pourrais regretter. « Pourquoi tu es revenue si c’est pour m’éviter hein ? » Si c’était pour te blesser, c’était réussi, mais tu ne lui connais pas cette méchanceté gratuite. Contrairement à toi. T’es presque collé à la porte et elle peut entendre aisément ta voix à travers cette dernière. « Je sais que tu m’en veux… » Et t'est bien conscient que c'est plus que mérité. « Mais je suis sûr qu’il y a autre chose… » Car tu la connais que trop bien. Bien plus que ce que tu es prêt à lui avouer. Que t'es sensible au moindre changement sur ce visage que tu te perds parfois à photographier. T’es persuadé au fond de toi qu’une fois de plus Ethel te cache quelque chose. « T’es réellement tombée ou tu t’es évanouie ? » Cette phrase de trop qui viendra certainement semer le chaos. Qu'importe, tu préfères la voir te frapper ou t'insulter que de devoir supporter une seconde de plus son silence. T'es prêt à défoncer cette putain de porte s'il le faut. T'es prêt à tout pour espérer pouvoir un jour apaiser vos maux.


design  ϟ vocivus // icons ϟ Noiram



Don't realize how mean I can be.
Cause I can sometimes treat the people that I love like jewelry. Sorry that I can't believe that anybody ever really starts to fall in love with me.


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Ethel Hartfield
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
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ÂGE : 34 ans (12.05.1990)
SURNOM : Ettie
STATUT : L'esprit constamment occupé par un brun au regard de glace, la peur au ventre de le perdre à chaque faux pas. Célibataire qui ne laisse personne l'approcher
MÉTIER : Nounou de la petite Emilia Aldridge, un travail qu'elle ne considère plus comme tel depuis bien longtemps déjà
LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue
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POSTS : 1656 POINTS : 140

TW IN RP : anorexie, deuil
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé
RPs EN COURS : Ruben#8 :: John :: Eden :: Willow :: Noah

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Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1 #2 #3

Communications
Clarence :: Catarina :: Ruben :: Asher
RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.
AVATAR : la bella Kristen Stewart
CRÉDITS : avatar: icemacklin :: ub: loonywaltz :: gif profil : emmaofrph
DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington
PSEUDO : Dreamy*paranoiac
Femme (elle)
INSCRIT LE : 20/07/2023
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Message(#)Like troubled water running cold EmptyJeu 17 Oct 2024 - 3:20

Clarence Aldridge et John Cole sont ému.e.s par ce message


Tout se mêlait dans ta tête et dans ton esprit. Cette douleur que tu ressentais à ta cheville, celle que tu avais tordus en essayant de nettoyer le plancher de cette maison où tu t’y sentais un peu trop à ta place n’était rien à comparer de ce que tu ressentais dans ton coeur depuis que Clarence avait laissé son venin couler sur toi. Tu revoyais encore ses mots lorsque tu fermais tes paupières, ceux qu’il avait utilisés délibérément et qui était venu ouvrir cette blessure d’infériorité que tu ressentais depuis ton plus jeune âge. Il ne savait probablement pas que tu nourrissais cette honte de ne pas avoir réussi à avoir un emploi que les gens enviaient alors que Jackson lui était policier, Ruben médecin et que Rhett était connu dans le monde du sport. Et cette opinion de toi qu’il avait enfin laissé sortir… Toi qui tentait de faire de ton mieux, qui faisait tout en sorte qu’il voit que tu voulais lui rendre la vie plus facile, qu’il soit heureux de revenir à la maison avec ce sentiment de paix. Tu t’occupais d’Emilia comme si elle était ta propre fille, accordant plus d’importance à son propre bien-être qu’au tien. Tu tentais de le libérer de cette charge mentale qui accompagnait le rôle de père en t’assurant que les tâches d’une maison soit effectué, que le réfrigérateur soit toujours rempli de petits plats cuisinés par tes soins ainsi que des collations maison. Il avait détruit cette sensation de réussite que tu avais réussi à développer au fil du temps.
Tout ton corps s’était figé lorsque tu avais entendu la porte de la maison ouvrir puis refermer ainsi que sa voix retentir dans l’entrée. Tu n’étais pas prête à lui faire face, à le regarder dans les yeux et à lui mentionner qu’il avait dépassé les bornes. Tu savais que tu fondrais en regardant son océan, que tu le laisserais remporter la bataille alors que tu ne savais plus comment tu te sentais à l’intérieur de toi. Et il y avait cette douleur qui était apparue lorsqu’Helen avait mentionné avoir participé à l’opération de Jackson. Tu avais l’impression que tout ton monde était en train de s’écrouler, que les seules certitudes que tu avais n’en étaient pas vraiment. Qui pourrait t’aider à te relever, à ne pas te laisser sombrer dans ce tourbillon de noirceur dans lequel tu avais l’impression de t’enfoncer sans pouvoir te retenir à nulle part ? La gorge nouée, tu décidas de profiter du moment où il regarda Helen prendre la direction de la porte pour te lever le plus discrètement que tu le pouvais et te diriger dans l’escalier en essayant d’ignorer la douleur de ta cheville. Tu en étais à plus de la moitié lorsque tu l’entendis se lever pour te suivre. « Ethel, reviens s’il te plaît. » Tu devais ignorer sa voix, ignorer ses demandes. Tu focussais sur une seule chose et c’était de rejoindre cette chambre où tu pourrais laisser libre cours à tes émotions. « Tu vas me fuir tout le reste de la soirée ? » Tu n’arrivais pas à lui répondre, la gorge nouée, l’impression de suffoquer. Il ne te restait que quelques pas à faire avant d’être dans cette pièce qui te servirait de tanière puisque tu savais très bien que Clarence refuserait de te laisser partir. « Je t’en supplie, redescends. » Tes oreilles bourdonnaient. Tu entendais cette supplication dans sa voix, l’envie de discuter avec toi, de régler votre différents, mais ton cerveau ne parvenait pas à traiter l’information. Puis, tu arrivas enfin à la chambre, t’engouffrant à l’intérieur et fermant la porte plus rapidement que tu ne le voulais. Ça faisait maintenant deux fois dans la même semaine que tu claquais un de ces battants de bois alors que ce n’était pas du tout dans ton habitude. Tu poussas alors le loquet pour ne pas que Clarence puisse entrer et te laissa glisser, dos contre la porte, jusqu’au sol. « Vraiment Ethel ? Pourquoi tu es revenue si c’est pour m’éviter hein ? » Les larmes roulant discrètement sur tes jours, tu n’arrivais pas à lui répondre. Tout ce que tu voulais, c’était que cette douleur s’arrête. Tu n’arrivais pas à gérer autant de douleur et de tristesse en même temps. Pourquoi n’arrivais-tu pas à éviter tes sentiments comme tu avais tellement l’habitude de le faire normalement ? « Je sais que tu m’en veux… Mais je suis sûr qu’il y a autre chose… » Tu avais conscience qu’il arrivait beaucoup trop souvent à lire en toi comme dans un livre ouvert. Et c’était probablement pour ça qu’il avait réussi à te blesser autant quelques jours auparavant. Tout serait tellement simple si Clarence n’était qu’un simple employeur. Tu lui avais donné ce pouvoir de tout détruire lorsque tu l’avais laissé entrer dans ton coeur et dans ta tête sans que tu ne lui en donnes vraiment la permission. « T’es réellement tombée ou tu t’es évanouie ? » Et si tu t’étais enfermée dans un mutisme jusqu’à maintenant, sa dernière phrase te fis réagir au quart de tour. Tu n’arrivais pas à croire qu’il ramenait ton trouble alimentaire maintenant. Tu te leva tant bien que mal, déverouilla la porte et l’ouvrit dans un mouvement rapide. La colère se lisait dans tes yeux bleus ainsi que la douleur que tu ressentais dans chaque millimètre de ton coeur. « On en est là maintenant ? Chaque fois que je vais tomber ce sera parce que je n’ai pas mangé ? Chaque fois que je serai un peu trop faible ce sera parce que je suis dénutrie et chaque fois que je vomirai ce sera parce que je ne suis pas capable de garder de la nourriture à cause de mon trouble alimentaire ? » Tu passas rageusement les mains sur tes joues pour essuyer ses larmes qui dévalaient ton visage depuis que tu avais fermé la porte. « C’est pour ça que je n’en parle pas à personne ni même aux médecins. Parce qu’après ça, je n’existe plus, je ne suis pas Ethel, je suis qu’une putain d’anorexique ! » Tu ne réfléchissais plus à ce que tu lui disais ni à quel ton tu prenais pour le dire. Tu étais en colère que vous en soyez rendue-là. Parce que tu tentais de faire des efforts avant qu’il n’intervienne. Tu tentais vraiment de t’en sortir, mais en douceur, à ta manière et maintenant qu’il savait, tu savais que tu perdrais le contrôle. Il ne suffisait que de voir à quel point tu n’avais qu’une envie en ce moment-même et c’était d’aller faire sortir le contenu de ton estomac pour comprendre que la descente serait difficile





se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.


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T'es la meillеure chose qui m'est arrivéе. Mais aussi la pire chose qui m'est arrivée. Ce jour où je t'ai rencontrée, j'aurais peut-être préféré que ce jour ne soit jamais arrivé. La pire des bénédictions, la plus belle des malédictions. De toi, j'devrais m'éloigner. Pourquoi ton prénom me blesse, quand il se cache juste là dans l'espace ? C'est quelle émotion, la haine ou la douceur, quand j'entends ton prénom ?
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Eden
J'pourrais chanter tous tes défauts. Tu rigoles et m'tappes juste sur l'épaule. Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.


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J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait. Des courses vers le vide, ton rire qui soupirait. Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles, je serai le phare qui te guidera toujours.

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Message(#)Like troubled water running cold EmptyLun 28 Oct 2024 - 16:12

Ethel Hartfield est ému.e par ce message


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Ethel & Clarence (3)


  Trois jours. Trois jours qui t’ont paru durer une éternité. Une éternité où tu es resté cloîtré entre les murs de cette maison à arpenter chaque pièce, en espérant voir apparaître la silhouette de celle qui est devenue, malgré toi, essentielle. Cette lumière sans laquelle chaque seconde passée dans l’ombre alourdit un peu plus ton esprit en proie aux tourments. Chaque silence te hurlant son absence. Même la joie de ta fille ne pouvait combler ce vide qu’elle avait laissé en suspens. L’impression de vriller, à te répéter sans cesse ces mots qui ont volé comme des flèches pour violemment la transpercer. Son absence est venue créer sur ton myocarde une fissure qu’il n’est pas à même de supporter. Devant cette porte verrouillée, tu ne sais plus qui tu dois haïr pour avoir laissé cette distance se creuser entre vous. Mais à cet instant, tu la détestes, Clarence. Tu la détestes pour tout ce qu’elle représente. Pour cette façon qu’elle s’est glissée dans ta vie avec une aisance désarmante. Pour s’être incrustée dans ton cœur avant de te rejeter. Pour s’être rendue si indispensable. Et tu le sais, au fond de toi que ce sentiment n’a rien à voir avec tout ce qu’elle fait pour alléger ton quotidien. Que c’est bien plus profond que cela. Et putain Clarence, tu la détestes pour tout ce qu’elle est capable de déclencher en toi. Ce besoin viscéral qu’elle a fait naître en toi de la protéger. De la garder égoïstement pour toi sous cette cloche de verre qui est sur le point d’imploser. Et tu te rends compte que cette haine n’est rien d’autre que l’écho de ta peur. La peur de l’avoir perdue, d’avoir brisé ce lien à la fois si précieux et si fragile.

Tu tentes de calmer cette colère qui voudrait te contrôler. Prendre possession de ton corps pour te pousser à laisser éclater ce trop-plein de sentiments qui, tu le sais, ne ferait que la repousser davantage. De te rendre détestable et d’assombrir dangereusement ton océan. Puis soudainement, il y a cette provocation qui t’échappe. Seul moyen pour la faire sortir de sa cachette, quitte à ce qu’elle te déteste. Elle aussi. Tu entends la porte se déverrouiller et instinctivement, tu fais un pas en arrière tout en faisant bloc devant l’ouverture. Hors de question de lui laisser, ne serait-ce qu’une infime chance de s’échapper. T’es prêt à tout subir, sauf une autre fuite. T’as à peine le temps de serrer la mâchoire en voyant ses opales troublées par le vestige de ses larmes et une colère à la fois sourde et stridente, que sa douleur vient violemment te percuter. Tu ne l'as jamais vu ainsi et tu sens ton cœur se serrer sous le poids de cette vision. « On en est là maintenant ? Chaque fois que je vais tomber ce sera parce que je n’ai pas mangé ? Chaque fois que je serai un peu trop faible ce sera parce que je suis dénutrie et chaque fois que je vomirai ce sera parce que je ne suis pas capable de garder de la nourriture à cause de mon trouble alimentaire ? » On pourrait presque entendre tes mâchoires se déboîter pour éviter d’exploser. Tu la fusilles du regard en te terrant dans un mutisme qu’elle ne connaît que trop bien. « C’est pour ça que je n’en parle pas à personne ni même aux médecins. Parce qu’après ça, je n’existe plus, je ne suis pas Ethel, je suis qu’une putain d’anorexique ! » Ébranlée par sa propre colère, la brune te hurle dessus, alors que tes yeux ne cessent de la scruter. Les mots tombent et tu te forces à rester impassible.

Tu prends le temps de digérer chacune de ses paroles qui te laissent un goût amer et insidieux. Déclenchant une compréhension brutale qui éveille en toi un mélange de culpabilité et de rage. Rage contre elle, pour avoir pensé que tu ne serais pas capable de comprendre ou de la soutenir. Rage contre toi, pour être resté sans rien faire pendant si longtemps. Pour avoir ignoré ce qui se dissimulait derrière ses sourires, ses regards complices, ces moments partagés. Tu te repasses en boucle les derniers instants passés avec elle, les rires qui résonnent maintenant comme des mensonges, son océan dans lequel elle arrivait à te noyer, si profond, si sincère, mais qui dissimulait tant de souffrance. « … C’est vraiment ce que tu penses ? » Et c’est le tient qui vient l’accabler avec dédain pour déguiser ton chagrin. Le ton de ta voix est glacial, faussement détaché, masquant l’inquiétude qui te ronge, ce besoin désespéré de savoir si elle voit simplement en toi le connard que tu t’apprêtes à être. « Tu penses vraiment que c’est tout ce que je vois en toi ?  Rien qu’une putain d’anorexique ? Que cette simple étiquette, que tu es assez bête pour te coller toute seule, viendrait effacer tout de ta personne ? » Le ton tranchant où chaque mot est une attaque mesurée dont le seul but est de lui arracher ses défenses une à une. « T’es tellement aveuglée par ce qui te ronge que t’es incapable de voir dans mon inquiétude autre chose qu’un jugement perpétuel. » Tu continues, implacable. Sans la moindre intention de reculer. Pas cette fois. Pas alors que cette distance entre vous devient de plus en plus insupportable. « La vérité Ethel, » reprends-tu, acéré, « c’est que tu préfères mentir et rejeter ceux qui tentent de t’aider. » Ton océan se givre, mais au fond de toi, quelque chose brûle. « Que tu le veuilles ou non, je suis désolé de te l’annoncer, mais tu ne pourras pas t’en sortir toute seule. » Tu frissonnes, tes yeux vacillent sous le coup de ces mots, mais tu continues sans la moindre hésitation. « Mais après tout, ce n'est peut-être pas ce que tu souhaites... » Tu prends une pause, tes traits se figent, une ombre de résignation passant dans ton regard. Tes yeux, auparavant durs, se font à la fois plus distants et étrangement troublés. « Alors dis-moi, je suis censé faire quoi Ethel ? Continuer à te regarder t’amaigrir sans rien faire en espérant que tu ne finisses pas toi aussi sous une tombe ? » Elle pourra lire en toi que cette idée t'es insupportable. Réveillant ce trauma qui fait brûler les débris de cette balle au creux ton épaule. Tu te penches en avant, tes iris dangereusement plantées dans les siennes, les bras croisés comme une barrière infranchissable. « Tu crois que c'est ce que voudrait Jackson, hein ? Que tu te détruises de la sorte ? »



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Ethel Hartfield
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l'équilibre précaire
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ÂGE : 34 ans (12.05.1990)
SURNOM : Ettie
STATUT : L'esprit constamment occupé par un brun au regard de glace, la peur au ventre de le perdre à chaque faux pas. Célibataire qui ne laisse personne l'approcher
MÉTIER : Nounou de la petite Emilia Aldridge, un travail qu'elle ne considère plus comme tel depuis bien longtemps déjà
LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue
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POSTS : 1656 POINTS : 140

TW IN RP : anorexie, deuil
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
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Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1 #2 #3

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AVATAR : la bella Kristen Stewart
CRÉDITS : avatar: icemacklin :: ub: loonywaltz :: gif profil : emmaofrph
DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington
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Message(#)Like troubled water running cold EmptyMar 5 Nov 2024 - 5:00

Clarence Aldridge est ému.e par ce message


Tu étais enfermée dans cette chambre dans laquelle tu t’étais tranquillement installée depuis le début de l’année jusqu’à en faire ce petit cocon où tu te sentais en sécurité, mais dont les murs semblaient doucement se rapprocher pour t'étouffer tranquillement. Tu n’étais pas prête à affronter Clarence, à voir dans ses yeux les reproches et la pitié pour lui avoir caché ton secret, pour avoir tenté de les protéger lui et Emilia de ta douleur à toi. Tu avais tout fait pour être simplement Ethel dans cette maison, celle qui a toujours une idée meilleure que la précédente pour les activités, qui fait de bon petit plat maison, qui est d’une agréable compagnie. Tu voulais être celle à qui l’on faisait confiance pour se confier, avec qui les moments passés étaient simples et paisibles, pas cette petite chose fragile que l’on avait peur de casser. Encore moins cette femme qui n’était pas capable de se nourrire et que l’on surveillerait désormais pour qu’elle ne se dirige pas à la salle de bain immédiatement après avoir manger. Tu faisais les cent pas dans la chambre, boitillant du côté où tu t’étais foulée la cheville, en essayant de regagner ton calme, de ne pas laisser cette crise d’anxiété prendre d’assaut tout ton corps. Tu essayais de te concentrer sur ta respiration quand tu l’entendis te demander si tu étais réellement tombée ou si tu t’étais évanouie. Toute cette tristesse d’avoir parler de Jackson avec Helen et cette appréhension de reparler de votre friction depuis trois jours disparut pour laisser la colère prendre le dessus. Lorsque tu avais ouvert la porte, tu avais tenté d’effacer les larmes de ton visage pour qu’il ne voit pas à quel point tu avais de la peine, mais qu’il voit plutôt à quel point il t’avait blessé. Ta tactique ne fonctionna pas autant que tu l’aurais voulu puisque lorsque la colère prenait possession de ta tête et de ton coeur, tu ne pouvais les empêcher de couler. Tes yeux verts ne laissaient toutefois aucun doute : il t’avait fait mal et tu déversa sur lui tout ce que tu retenais de dire à tes proches lorsqu’ils te questionnaient sur ton trouble alimentaire. Tu voyais la froideur dans ses yeux. Il encaissait tes paroles sans rien dire. Tout ce que tu voulais au fond, c’était qu’il te prenne dans ses bras, probablement de force au début avant que tu t’abandonne contre lui, et qu’il te dise que tout irait bien maintenant qu’il savait. Sauf que tu ne pouvais pas lui avouer, te laisser à perdre la bataille que tu essayais de mener depuis si longtemps maintenant. Ton trouble alimentaire était beaucoup plus profond que d’essayer de plaire physiquement, de ne pas grossir… C’était plutôt le reflet de ton mal-être intérieur, de cette tempête qui se livrait dans ta tête depuis trop longtemps déjà et dont tu ne savais plus comment reprendre le contrôle. [color#996666]« … C’est vraiment ce que tu penses ? Tu penses vraiment que c’est tout ce que je vois en toi ? Rien qu’une putain d’anorexique ? Que cette simple étiquette, que tu es assez bête pour te coller toute seule, viendrait effacer tout de ta personne ? »[/color] Tu ne disais plus un mot, ton océan rivé dans le sien, te battant contre l’envie de lui demander de reculer pour que tu puisses prendre la fuite encore une fois. Parce que c’était ça ta manière de combattre la douleur : fuire et l’ignorer. Tu n’étais pas capable de te battre contre ce que l’univers t’envoyait comme épreuve depuis beaucoup trop d'années déjà. « T’es tellement aveuglée par ce qui te ronge que t’es incapable de voir dans mon inquiétude autre chose qu’un jugement perpétuel. » Ne voyait-il pas que tu voulais le tenir loin de ton trouble alimentaire parce que tu ne voulais pas lui imposer une inquiétude de plus ? Tu essayais de tout gérer seule parce que tu ne voulais pas accabler tes proches avec tes problèmes à toi. Son ton tranchant et froid te déchirait le coeur. Vous en étiez pas à votre premier malentendu toi et Clarence, mais celui-là, il était plus gros que les autres et il te semblait insurmontable. « La vérité Ethel, c’est que tu préfères mentir et rejeter ceux qui tentent de t’aider. Que tu le veuilles ou non, je suis désolé de te l’annoncer, mais tu ne pourras pas t’en sortir toute seule. » Tu passas tes mains dans tes cheveux, ne sachant plus où te mettre. Tu tirais légèrement sur ces derniers, les malmenant, mais essayant par le fait même de rester connecté avec le moment présent en t’infligeant cette légère douleur. Tu avais la gorge nouée, la respiration qui allait de plus en plus rapidement. Tu perdais pied légèrement, incapable de te fermer à la dureté et la froideur des affirmations de Clarence. Et tu ne voulais pas qu’il voit en toi cette femme faible, incapable de te battre, de rester terre à terre. « Mais après tout, ce n'est peut-être pas ce que tu souhaites... » Tu hochas la tête de droite à gauche. Tu voulais te prendre en main, guérir, mais tu étais dans cette spirale infernale depuis tellement longtemps… Cette tempête qu’était ta vie et dont tu n’étais pas capable de reprendre le contrôle. Tu l’avais au moins sur une facette de ta vie et c’était sur ce que tu allais ou non ingurgiter dans une journée. « Alors dis-moi, je suis censé faire quoi Ethel ? Continuer à te regarder t’amaigrir sans rien faire en espérant que tu ne finisses pas toi aussi sous une tombe ? » Tu relevas les yeux vers lui, rivant ton regard dans le sien. Tu la voyais cette inquiétude dans son regard qui semblait le ronger, mais dont tu ne voulais pas être la cause. Clarence avec ses propres problèmes, ses défis à surmonter, il n’avait pas à ajouter ton trouble alimentaire sur ses épaules. « Tu crois que c'est ce que voudrait Jackson, hein ? Que tu te détruises de la sorte ? » Il venait de donner le coup de grâce. Si tu avais réussi à assimiler les mots qu’il avait prononcés jusqu’à maintenant sans répliquer, cette dernière phrase acheva de te détruire. Le décès de Jackson était la raison de ta rechute après ces années à avoir une alimentation à peu près normale. « T’a pas le droit ! T’as pas le droit de parler de Jackson comme si tu le connaissais et d’utiliser son nom pour me faire culpabiliser. Tu crois que c’est pas déjà ce que je fais à tous les matins en me réveillant et en voyant son visage dans mon écran de téléphone ? » La colère avait fait place à la détresse, ton visage se décomposant au fil des mots qui résonnaient entre toi et Clarence. « À chaque matin où je me réveil, je sais que c’est encore une journée où je le déçois s’il me regarde de où il est maintenant, que je me lève avec cette boule au ventre, la gorge nouée et ce poids dans la poitrine de savoir que je ne fais rien qui peut le rendre fier. Je n’ai même pas été capable d’arriver assez rapidement à l’hôpital pour qu’il sente que j’étais là pour le supporter. » Les mots sortaient trop vite de ta bouche, certains pratiquement en criant, d’autre à moitié chuchotés. C’était la première fois que tu parlais de ta difficulté à faire le deuil de ton frère à quelqu’un d’autre que Ruben. « Je sais que c’est des enfantillages, Rhett me l’a déjà dit que c’était simple manger. Mais j’suis pas capable Clarence. Le poids de la nourriture dans mon estomac me fait mal, me donne la nausée… » Tu remis les mains dans tes cheveux, recommençant à tirer sur ces derniers. « Et Helen qui était présente pendant son opération… Je… » Ta voix se cassa. Tu ne savais toutefois plus quoi dire à Clarence pour qu’il comprenne un tant soit peu ce qui se passait à l’intérieur du plus profond de toi-même. Tes idées se désorganisaient tranquillement dans ta tête, t’empêchant de réfléchir adéquatement à comment te défendre contre la douleur des mots de Clarence.





se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.


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Clarence Aldridge
Clarence Aldridge
Le chat ronchon
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ÂGE : 38 ans (05/12/1986)
SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre.
STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le cœur malmené par deux brunes.
MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. Est sur le point de créer sa propre ONG.
LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent.
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TW IN RP : Deuil - Décès - Trauma - TCA - Mélancolie - Abandon - Violence physique et verbale.
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GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler.
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You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
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T'es la meillеure chose qui m'est arrivéе. Mais aussi la pire chose qui m'est arrivée. Ce jour où je t'ai rencontrée, j'aurais peut-être préféré que ce jour ne soit jamais arrivé. La pire des bénédictions, la plus belle des malédictions. De toi, j'devrais m'éloigner. Pourquoi ton prénom me blesse, quand il se cache juste là dans l'espace ? C'est quelle émotion, la haine ou la douceur, quand j'entends ton prénom ?
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Eden
J'pourrais chanter tous tes défauts. Tu rigoles et m'tappes juste sur l'épaule. Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.


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Alienor
J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait. Des courses vers le vide, ton rire qui soupirait. Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles, je serai le phare qui te guidera toujours.

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Ethel Hartfield est ému.e par ce message


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Ethel & Clarence (3)


  Tu peux presque l’entendre éclater, votre bulle. Tu peux presque sentir sa texture douce et illusoire, se déchirer sous tes doigts. Entre les murs de ce couloir et dans chaque éclat de voix. Un frisson te traverse, chaque parole qui franchit vos lèvres n’est plus qu’une fissure de plus dans cet équilibre précaire. Une brèche béante que tu n’as plus la force de contenir. Son océan se noie dans le tien, et tu y perçois une détresse qui résonne dans tes entrailles. Telle une onde qui vient bouleverser chaque recoin de ton âme. La chaleur de son regard se transforme en une douleur, une lame qui fait valser toutes tes certitudes. La douleur s’accroche à son visage, aux commissures de ses lèvres tremblantes, à la tension dans sa mâchoire qui peine à contenir ce flot de mots qu’elle n’ose encore lâcher. Ethel est là, face à toi, si frêle qu’elle semble pouvoir se briser sous le poids de ton souffle. Chaque syllabe que tu prononces, ciselée avec froideur, s’écrase contre elle. Tout s’effondre autour de vous, dans l’abîme d’une réalité à laquelle tu tentais d’échapper. De vous sauver. Tu vois les ombres qui dansent derrière ses yeux, les séquelles de ce qu’elle porte depuis trop longtemps sur ses épaules trop fines. Mais tu ne t’arrêtes pas. Tu continues, implacable, caché sous ce masque de dureté, parce que c’est plus facile ainsi. Plus facile de la voir trembler sous ton joug que d’affronter le chaos qui gronde en toi. Alors, tu lâches cette phrase, celle qui la brisera.

Encore une fois.

« T’as pas le droit ! T’as pas le droit de parler de Jackson comme si tu le connaissais et d’utiliser son nom pour me faire culpabiliser. Tu crois que c’est pas déjà ce que je fais à tous les matins en me réveillant et en voyant son visage dans mon écran de téléphone ? » Elle vacille, cette fois pour de bons. Ses opales s’agrandissent un instant, avant que ses traits ne s’effondrent sous l’impact. Ses cris, ses hurlements qui jaillissent de sa poitrine te frappent de plein fouet. Mais tu restes là, impuissant, seul spectateur des dégâts que tu viens de provoquer. À contempler comment tu as ouvert cette blessure béante que tu ne seras jamais à même de refermer. Tout ce que tu voulais, c’était la réveiller, la secouer, lui faire ressentir ne serait-ce qu’un fragment de ce que toi, tu ressens à la simple idée de la perdre. « À chaque matin où je me réveille, je sais que c’est encore une journée où je le déçois s’il me regarde d'où il est maintenant, que je me lève avec cette boule au ventre, la gorge nouée et ce poids dans la poitrine de savoir que je ne fais rien qui peut le rendre fier. Je n’ai même pas été capable d’arriver assez rapidement à l’hôpital pour qu’il sente que j’étais là pour le supporter. » Ton visage, muselé d’abord dans une froideur intangible, se fissure. Tu sens ta gorge se serrer sous l’impact de ce qu’elle te dit. Parce que tu le sais, que si tu disais quelque chose maintenant, ce ne serait qu’une défense, qu’un mur de plus que tu dresserais entre vous. Alors, tu laisses sa douleur t’atteindre et presque te submerger. « Je sais que c’est des enfantillages, Rhett me l’a déjà dit que c’était simple de manger. Mais j’suis pas capable Clarence. Le poids de la nourriture dans mon estomac me fait mal, me donne la nausée… » Puis elle lâche ton prénom dans la cadence d’un énième supplice. Ton océan est prêt à déborder quand tu la vois tordre encore et encore sa chevelure. Comme pour l’aider à sortir de ce corps qui lui sert de fardeau depuis trop d’années et qu’elle n’a plus la force d’endurer. Ce voile, qui était sur le point de couler, se transforme en une colère sourde qui se met à gronder dans chaque parcelle de ton être. Pas contre elle, mais contre celui qui a osé banaliser ce mal qui la ronge. « Et Helen qui était présente pendant son opération… Je… » La raison de ce trouble, de cette nouvelle blessure que tu avais pu déceler à ton arrivée.

Tes opales la transpercent et chancellent dangereusement dans les siennes. Et sans réfléchir, tu réduis à néant la distance entre vous. Tu t’avances, le souffle court, jusqu’à ce que plus rien ne vous sépare. « Ce ne sont pas des enfantillages. » Le ton que tu prends est à la fois grave et presque étouffé par l’ampleur de ce que tu ressens. « C’est tout sauf ça… » Ce vent de panique enraye tes iris qui dansent trop près de son visage. « L’anorexie est une maladie, Une putain de maladie Ethel. » Tu insistes, martèles, comme si en le répétant, tu pourrais rendre cette vérité plus supportable, pour elle, pour toi. Cette vérité que vous allez devoir affronter. Ensemble. Ton océan s’attarde sur elle un instant de trop. Tu espères, sans vraiment le vouloir, qu’elle devine, qu’elle perçoive cette affection que tu gardes enfouie. Que tu lui offres en silence sans jamais oser la nommer. Et tu finis par céder à cet élan qui te tiraille. Sans un mot, tu l’attires contre toi. « Arrête de me tenir à distance. » Ta voix baisse d’un cran, mais gagne en intensité. Un murmure dans ses cheveux, semblable à un ordre. Tes bras l’entourent avec une tendresse maladroite, presque hésitante, mais sincère. Son parfum, sa chaleur contre toi, tout semble apaiser un peu ce tumulte intérieur. Mais tu finis par te détacher délicatement, à contrecœur, laissant tes mains glisser lentement avant de reculer, juste assez pour capter son regard. Tu cherches comment lui avouer, comment justifier le fait que tu lui aies caché ce que tu t'apprêtes à dire. Ta bouche s’ouvre, mais rien ne vient. Rien qui ne semble assez juste ou assez doux. « J’étais au courant… Pour Helen. » Les mots que tu viens de prononcer résonnent encore dans l’air, lourds de conséquences, comme un écho qui refuse de se dissiper. Chaque seconde s’étire, interminable, comme si le temps lui-même hésitait à avancer. Tu sondes dans ses traits la moindre lueur, le moindre signe qu’elle ne t’en veuille pas, que tu n’as pas franchi une limite irréparable. Tu ne sais plus si tu attends une réponse ou si tu attends seulement qu’elle te montre si elle va, cette fois, choisir de s’échapper pour toujours. Tu sens que tu dois faire quelque chose, mais tu n’as aucune certitude, aucun chemin clair. T'es prêt à lutter contre l'invisible, dans une ultime tentative de retenir celle qui pourrait déjà t’échapper à tout jamais.


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Message(#)Like troubled water running cold EmptyVen 6 Déc 2024 - 3:02

La douleur avait pris possession de ton corps, de ton âme et de ton esprit. Tu avais tenté de la garder loin de toi, de l’enfouir sous la douleur d’un estomac vide, de l’étourdir dans cette tornade qu’était devenue ta vie alors que tu comblais les moments où tu aurais pu être seule à coup de collation cuisinée maison, de préparation de bricolage et de sortie pour Emilia. Tu n’osais plus rentrer à ton appartement, ne supportant plus cette solitude qui t’envahissait, cette sensation de manque lorsque tu retrouvais le silence des murs défraîchis où tu étais censé te sentir chez toi. Ce lieu était en fait une belle preuve de ton état mental. Tu avais souvent l’impression que tes fondations n’étaient pas solides, que ce que tu croyais être une certitude ne l’était pas en fait et que tu ne pouvais plus compter sur rien, à part sur cette enfant qui avait un sourire à faire fondre le coeur le plus dur. Et tu avais Clarence, qui n’était pas au courant de ce qui te tourmentait et avec qui tu pouvais te laisser à être une femme différente, une femme qui pouvait se poser et ne pas laisser le passer t’envahir puisqu’il faisait partit que de ton présent. Tu savais que pour une fois, tu n’étais pas la seule qui avait besoin de lui, mais qu’il avait bel et bien besoin de toi, ne serais-ce que pour s’occuper de sa fille alors qu’il était occupé à sauver des vies. Sauf que cette impression était en train d’exploser. Tu ne pourrais plus faire semblant que tout allait bien, que ces démons dans ta tête n’existaient pas puisqu’il avait tout exposé et qu’il n’avait pas choisit la délicatesse cette après-midi-là alors que tu te sentais défaillir à chaque mots qui martelaient ton cerveau, qui te déchirait la poitrine. C’est lorsqu’il te parle de Jackson que tu termines d’exploser, que tu lui cris ta détresse en plein visage alors qu’il reste de glace, que rien ne semble l’attendre. Tu te sentais tellement seule de ton côté de la porte, dans cette chambre dans laquelle tu te sentais prisonnière alors qu’il bloquait la sortie, te forçant à faire face à ce qui te détruisait petit à petit depuis beaucoup trop longtemps. Tu tirais sur tes cheveux, infligeant cette douleur physique que tu arrivais à beaucoup mieux supporté que celle qui te brisais le coeur, en déversant l’étendue des dégâts sur Clarence, qui n’était pas supposé être mis au courant de tout ce qui t’envahissait.
« Ce ne sont pas des enfantillages. » Il s’était approché de toi, réduisant à néant cette distance qui vous séparait. Tu sentais les barrières que tu tentais de maintenir s’effondrer, alors que tu sentais son souffle qui se faisait court contre ton visage et que tu pouvais voir dans ses yeux cette colère que tu croyais dirigée vers toi. « C’est tout sauf ça… L’anorexie est une maladie, Une putain de maladie Ethel. » Si tu n’avais pas été aussi occupé à tenter de te convaincre que de dévoiler à Clarence ces différents maux qui te rongeaient n’était pas une mauvaise chose, tu aurais pu la voir dans ses yeux cette panique qui les voilaient. Sauf que tu n’avais qu’une parole qui te tournait en boucle dans la tête et c’était lui qui te disait que ton trouble alimentaire était une maladie. Une maladie qui semblait vouloir remporter là où tu échouais à la contrôler alors que tu tentais de convaincre Ruben que tu faisais des efforts, que tu mangeais plus que ce que tu le voulais vraiment et que tu ne te faisais plus vomir. Si la dernière affirmation était vraie, la première ne l’était pas tout à fait. Tu te reposais sur les petites bouteilles protéinées que tu achetais à la pharmacie et que tu stockais dans la chambre lorsqu’il n’y avait personne à la maison, réussissant à t’alimenter sans trop remplir ton estomac de cette manière. Un beau placebo qui ne fonctionnait pas réellement si tu te fiais à cette balance qui t’avait annoncé ce matin-là que tu avais encore perdu un demi kilos. Puis, si vos corps étaient déjà près l’un de l’autre, Clarence anéantissa la distance qui restait en venant te prendre dans ses bras. « Arrête de me tenir à distance. » Cette étreinte était douce, mais c’était en plein ce dont tu avais besoin alors que tu refermas tes bras sur lui, dans un mouvement de désespoir. Tu t’aggripais à lui, un peu plus fort que tu ne le désirais vraiment alors que tu avais besoin de sentir qu’il te supportait, qu’il ne te laisserait pas tomber même si tu avais tout fait pour le décourager de t’apporter son aide en justifiant cette perte de conscience d’une manière que personne ne pouvait vraiment avaler aussi facilement, surtout pas un médecin. Cette étreinte ne dura pas vraiment longtemps, Clarence s’était écarté doucement de toi alors que tu aurais désiré que le temps s’arrête à ce moment-là, mais ça avait été assez pour que tu reprennes à peu près contrôle de ta respiration, de ces larmes qui coulaient sur tes joues qui semblaient vouloir diminuer. Tu ne pouvais pas séparer ton océan du sien, sentant qu’il y avait quelque chose qu’il n’osait pas te dire alors qu’il ne s’était pas vraiment gêné dans ses paroles depuis qu’Helen avait quitté la maison. « J’étais au courant… Pour Helen. » Et c’est de cette manière que tu perdis pied tout d’un coup, que la pièce se mit à tourner autour de toi, que tu ressentis le besoin d’aller t’asseoir. Ta respiration s’accéléra encore, les larmes recommençèrent à jaillir sans que tu arrives à les retenir. « T’en sais plus sur ce qui est arrivé à mon propre frère que moi… » Un murmure, une voix cassée par la tristesse, la détresse. Il ne t’avait rien dit alors qu’il savait que le décès de ton frère était difficile. Il t’avait laissé croiser la voisine alors qu’elle connaissait ton histoire et que toi, tu étais dans le néant le plus total. Ta jambe qui n’était pas blessée menaçait de céder sous ton poids et tu te retourna dos à Clarence, t’éloignant le plus rapidement possible en claudiquant pour gagner ce lit et t’asseoir avant de t’effondrer. C’était plus que ce que tu étais capable de supporter. Tu n'étais pas vraiment en colère contre lui, mais tu te demandais ce qu'il pouvait bien te cacher d'autre... La confiance que tu avais envers lui menaçait de s'évanouir alors qu'il venait de te demander d'arrêter de le repousser. « Y'a d'autres choses comme ça que je devrais savoir ? » Ta voix se faisait à peine plus forte qu'un murmure. Tu étais épuisée et tu n'arrivais plus à remonter les yeux vers lui. Ils étaient plutôt rivés vers le sol, tes épaules courbées vers l'avant sous le poids de tout ce que tu n'arrivais plus à retenir.





se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.


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Clarence Aldridge
Clarence Aldridge
Le chat ronchon
Le chat ronchon
  
Présent
ÂGE : 38 ans (05/12/1986)
SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre.
STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le cœur malmené par deux brunes.
MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. Est sur le point de créer sa propre ONG.
LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent.
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POSTS : 2553 POINTS : 400

TW IN RP : Deuil - Décès - Trauma - TCA - Mélancolie - Abandon - Violence physique et verbale.
TW IRL : Aucun
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler.
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : #996666
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Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
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Wild
T'es la meillеure chose qui m'est arrivéе. Mais aussi la pire chose qui m'est arrivée. Ce jour où je t'ai rencontrée, j'aurais peut-être préféré que ce jour ne soit jamais arrivé. La pire des bénédictions, la plus belle des malédictions. De toi, j'devrais m'éloigner. Pourquoi ton prénom me blesse, quand il se cache juste là dans l'espace ? C'est quelle émotion, la haine ou la douceur, quand j'entends ton prénom ?
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Eden
J'pourrais chanter tous tes défauts. Tu rigoles et m'tappes juste sur l'épaule. Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.


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Alienor
J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait. Des courses vers le vide, ton rire qui soupirait. Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles, je serai le phare qui te guidera toujours.

RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Rory (1) - Eden (2)
RPs TERMINÉS : - Ethel (1 - 2 3) - Wild (1 - 2 - 3 - 4) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris/Wild (1) - Eden (1) - Alienor (1) - Nina (1) - Wild/Chris (1) - Ruben (1)
AVATAR : Robert Pattinson
CRÉDITS : avatar@Noiram signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Tay-swifft userbar:@mystery-man Header@F3cbd1
DC : Un vase, c'est bien suffisant.
PSEUDO : Noiram
Femme (elle)
INSCRIT LE : 12/05/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t54291-clarence-all-my-tears-have-been-used-up
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Message(#)Like troubled water running cold EmptySam 28 Déc 2024 - 15:52

Ethel Hartfield adore ce message


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Ethel & Clarence (3)


  Tu la tiens contre toi, et soudain, le monde disparaît. Il n’y a plus que vous, il ne reste qu’elle. Ethel. Cette femme qui a pris racine dans ton existence, qui s’est immiscée dans chaque fissure de ton être pour y déposer sa lumière. Elle est ce rayon fragile d’un soleil timide, perçant la grisaille qui te servait de ciel. Cette douce présence devenue ton port d’attache sans même t’en rendre compte. La jeune femme est devenue essentielle, non pas comme une habitude qu’on pourrait remplacer, mais comme un rouage de ton cœur sans lequel il n’est peut plus en capacité de fonctionner. De battre cette mélodie qu’il ne pensait plus pouvoir un jour chanter. Telle une boîte à musique dont elle est la clé.

Mais à cet instant, une part de toi s’effondre. Parce que la simple idée de la perdre te tue à petit feu. C’est cette peur sourde et insidieuse qui t’a poussée à te montrer aussi cruel. T’as beau être un mec bien, Clarence, tu peux être le pire des connards quand tes blessures se mêlent au rejet. Alors quand elle t’a menti, quand elle a claqué cette porte au lieu de rester, c’est comme si elle t’avait arraché une partie de toi-même. Et tu t’es défendu comme tu sais si bien le faire. Ton venin, ces mots froids et tranchants, ce n’était qu’un écran de fumée, une tentative maladroite de masquer ton désarroi, ta douleur.

Mais maintenant, dans ce couloir où vos voix se sont brisées, où vos silences ont hurlé, elle est là, dans tes bras. Et tu comprends qu’il n’y a plus rien à cacher. Tu sens ses mains s’agripper à ton dos, comme pour te retenir. Et toi, tu inspires profondément son parfum s’infiltrant dans tes poumons comme un baume sur une plaie ouverte. Ton emprise se referme autour de son corps, non pas pour la retenir, mais pour ancrer ta présence. Telle une promesse muette que tu seras toujours là. Tu voudrais lui dire à quel point tu regrettes, à quel point chaque mot que tu as prononcé n’était qu’un écho de ta propre peur. Peur de ne pas être assez pour elle. Peur de ne pas réussir à l’aimer comme elle le mérite. Mais les mots restent coincés, inutiles face à la vérité qui se joue dans vos bras entrelacés.

Son corps frêle, pressé contre le tien, te rappelle ce qu’elle a voulu cacher, ce qu’elle a voulu fuir. Ses mensonges ont laissé des traces, mais tu veux comprendre. Parce qu’il n’y a pas si longtemps, vous n’étiez rien l’un pour l’autre. Elle était cette nounou recrutée à la hâte, trouvée via une annonce oubliée. Et toi, tu n’étais qu’un patron taciturne, enfermé dans son mutisme et fuyant ses regards. Tu lui demandes d’arrêter de te tenir à distance. De cesser de bâtir ces murs invisibles entre vous, ces barrières qui t’éloignent d’elle et de ce mal qui la dévore en silence. Tu ne veux plus que la brune affronte seule ses démons, qu’elle te repousse comme si son mal était une honte qu’elle devait garder enfermée. Ce mal ne te fait pas peur, il te serre le cœur, mais sans te faire reculer. Tu veux être celui qui reste, celui qui l’écoute, celui qui pose une main ferme et rassurante sur la sienne quand elle tremble. Être celui qui accepte non seulement ses éclats de lumière, mais aussi ses parts d’ombre.

Tu t’écartes doucement, juste ce qu’il faut pour que vos regards se croisent. Tes mains restent posées sur ses bras, un lien pour éviter qu’elle ne s’échappe. Tu plonges dans ses yeux, où se mêlent confusion et méfiance et tu décides de formuler à voix haute cet aveu. Cette vérité concernant Helen que tu lui avais dissimulée. Tu observes le moindre frémissement de son visage à la fois tendu et vulnérable. La manière dont ses lèvres s'entrouvrent avant que des larmes ne viennent à nouveau faire déborder son océan. « T’en sais plus sur ce qui est arrivé à mon propre frère que moi… » Ses mots s’échappent dans un murmure brisé, chacun d’eux te frappe. Vienne tordre ce fichu myocarde déjà malmené. Son regard, chargé de reproche et de désespoir, te transperce, mais tu ne détournes pas les yeux. Tu refuses de fuir, même si l’impact de cette vérité te bouleverse. « Ethel… » Ta voix se déchire à ton tour et tu inspires profondément, cherchant les mots justes, les paroles qui pourront l’apaiser. Mais comment expliquer l’inexplicable ? Que tu as gardé ce secret non par malveillance, mais par crainte de briser une fragilité que tu sentais déjà prête à s’effondrer. Elle t’échappe, te tourne le dos et tout en toi te hurle de la retenir, de réparer ce qui semble irréparable. Tu te mords la lèvre avant de fixer le plafond pour te donner la force de ne pas laisser ton impulsivité te posséder.

La brune s’éloigne, comme si le poids de tes paroles l’écrasait. Elle recule jusqu’au lit et s’assoit sur le bord en évitant soigneusement ton regard. Son corps se replie sur lui-même, comme pour se protéger d’une réalité devenue trop brutale. Son silence dure un instant, un battement de cœur qui te semble interminable, avant qu’elle ne fende l’air lourd qui vous enveloppe. « Y'a d'autres choses comme ça que je devrais savoir ? » Murmure-t-elle, d’une voix à peine plus forte qu’un souffle. Tu ressens la morsure de sa question, cet alliage de méfiance et d’une douleur sourde qu’elle n’essaie même plus de dissimuler. Chaque mot qu’elle prononce vient t’érafler, mais tu refuses de reculer.

Alors, doucement, tu t’avances, un pas après l’autre, jusqu’à ce que tu sois juste devant Ethel. Tu te mets à genoux, au niveau de ses jambes, pour réduire encore cette distance qu’elle semble vouloir maintenir. Avec précaution, tu tends une main vers son visage et soulèves délicatement son menton. Son océan croise enfin le tien. « Et toi ? Est-ce que tu me caches quelque chose d’autre ? » Tu soutiens son regard, fermement, sans flancher, mais ce n’est pas seulement ton regard qu’elle affronte, c’est aussi ce givre implacable qui te va si bien, cette froideur calculée qui masque tes propres tourments. Puis, d’un coup, tes paupières se ferment pour laisser apparaître cette chaleur, une tendresse que tu t’autorises si peu à montrer. Une fissure dans ton armure qu’elle sait si bien démanteler. Tu déplores cette énième provocation. La culpabilité te serre les mâchoires, les tend à l’extrême, mais tu la laisses lentement glisser.

Ta voix se fait douce, presque tremblante. « Je ne sais rien de plus. Rien d’autre que cela. » Tu marques une pause, le temps de t’assurer qu’elle capte chaque nuance de ce que tu t’apprêtes à dire. « Je ne savais pas comment te le dire sans te blesser davantage. » Un souffle lourd se libère de ta poitrine, la douleur de tes paroles serrant encore ta gorge, tandis que tes opales cherchent désespérément une lueur de compréhension. « Pardonne-moi… » Pour tout. Tu la regardes, chaque détail de son visage se gravant dans ton esprit, comme un dernier espoir. Tu es suspendu à ses lèvres. Chaque respiration devient une épreuve. Chaque battement de ton cœur résonne comme une promesse que tu attends. Une nouvelle chance, que tu lui réclames silencieusement à travers cette main qui vient subtilement épouser la sienne.


design  ϟ vocivus // icons ϟ Noiram



Don't realize how mean I can be.
Cause I can sometimes treat the people that I love like jewelry. Sorry that I can't believe that anybody ever really starts to fall in love with me.


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Ethel Hartfield
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l'équilibre précaire
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Like troubled water running cold 7vHkInU Présent
ÂGE : 34 ans (12.05.1990)
SURNOM : Ettie
STATUT : L'esprit constamment occupé par un brun au regard de glace, la peur au ventre de le perdre à chaque faux pas. Célibataire qui ne laisse personne l'approcher
MÉTIER : Nounou de la petite Emilia Aldridge, un travail qu'elle ne considère plus comme tel depuis bien longtemps déjà
LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue
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POSTS : 1656 POINTS : 140

TW IN RP : anorexie, deuil
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé
RPs EN COURS : Ruben#8 :: John :: Eden :: Willow :: Noah

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Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1 #2 #3

Communications
Clarence :: Catarina :: Ruben :: Asher
RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.
AVATAR : la bella Kristen Stewart
CRÉDITS : avatar: icemacklin :: ub: loonywaltz :: gif profil : emmaofrph
DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington
PSEUDO : Dreamy*paranoiac
Femme (elle)
INSCRIT LE : 20/07/2023
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Message(#)Like troubled water running cold EmptyMar 7 Jan 2025 - 5:41

Tu avais toujours tenté de tenir tout le monde à l’écart de toi, ne réussissant pas à te convaincre que tu étais assez bien pour qui que ce soit. Cacher ta douleur sous un sourire, sous des éclats de rire, c’était devenue ta spécialité depuis tellement longtemps que tu ne savais plus distinguer le vrai du faux. Tu étais maître dans l’art de t’approcher suffisamment des gens pour qu’ils pensent te connaître, mais t’esquiver aussitôt qu’ils commençaient à voir un peu plus profond en toi, à comprendre tes habitudes, à voir ce qui clochait dans cette manière de ne jamais répondre présente pour un repas dans un restaurant entre amies. Sauf que tu n’avais pas réussi à tenir Clarence à distance. Si tu avais eu de la difficulté à le lire, à te laisser entrer dans sa vie sans te repousser, il avait également réussi à s’immiscer dans la tienne, dans ton coeur et dans ta tête. Tu étais cette femme qui avait besoin d’indépendance, de ne pas se sentir coincée. Pourtant, avec lui, tu répondais présente aussitôt qu’il te le demandait, restait passer les nuits chez lui s’il le proposait, participais aux activités qu’il suggérait avec Emilia, mais aussi sans elle. Tu passais des soirées à l’attendre sur le sofa, alors qu’il rentrait tard et que tu finissais souvent par t’assoupir avant qu’il rentre. Tu ne pouvais pas percevoir de le décevoir, de voir dans ce visage qu’il ne te faisait plus confiance et la simple idée qu’il soit en colère contre toi te détruisait. Sauf que tu ne voulais pas lui avouer le mal qui te rongeait puisque tu réussissais à l’oublier quand tu étais dans cette maison, essayant de créer cette petite bulle de bonheur où il n’y avait question que de toi, de lui et d’Emilia.
Et tu étais maintenant là, dans ses bras, à le serrer contre toi et agripper son dos de tes mains pour t’accrocher à lui, l’empêcher de t’échapper et surtout, t’empêcher toi de faire comme à l’habitude et de te dérober face à la réalité. Il savait tout maintenant et même si ça t'avait fait mal, que ses mots t’avaient arraché le coeur alors que tu t’étais sauvée ce soir où il ne souhaitait que démontrer son support, tu savais qu’il ne te laisserait pas tomber. Tu devrais toutefois lui dire la vérité, lui parler de tes difficultés, lui mentionner tes démons et même si ce serait difficile, tu avais l’impression que son appui et son support pouvait être ce rayon de soleil qui perçait ces gros nuages noirs qui tournaient autour de ta tête depuis trop longtemps. Son parfum que tu pouvais sentir à tout moment un peu partout dans sa maison été rassurant depuis un bon moment déjà et tu devrais te rappeler que malgré les tempêtes entre toi et lui, le chaos qui pouvait s'entrechoquer et causer bien des dégâts, tu serrais plus fortes si tu le laissais t’approcher, si tu lui laissais la chance de pouvoir être ce pilier pour toi que tu avais besoin d’avoir au finale. Parce que ça faisait déjà beaucoup trop longtemps que tu tentais de t’en sortir seul et il fallait que tu finisses par te rendre à l’évidence que ça ne fonctionnait pas, que tu n’étais bonne qu’à t’enfoncer un peu plus chaque jour dans ta douleur.

Puis arrive cette confidence, celle qui te fait chavirer, qui fait déborder ton océan de ces larmes que tu n’arrives plus à retenir. Alors que tu avais décidé de lui faire totalement confiance, il est là, à t’apprendre qu’il savait qu’Helen était une de celle qui devait sauver Jackson, mais qui avait complètement échoué, qui avait laissé ton aîné vous quitter et rejoindre les cieux alors que tu avais tellement besoin de lui. Quelques pas en arrière pour rejoindre le lit avant de t’effondrer au sol. C’était trop d’information à traiter pour ton cerveau, ton corps menaçait de lâcher. Une simple question murmurer à son intention, le besoin de savoir ce qu’il savait sur toi et qu’il avait pu te cacher depuis tous ces mois. Tu ne le vis pas s’approcher de toi puisque tu t’étais repliée sur toi, ne pouvant plus tenir face à la lourdeur de tout ce qui t’entourait. « Et toi ? Est-ce que tu me caches quelque chose d’autre ? » Son regard si froid contrastait avec la chaleur de la peau de sa main sur son menton. Tu fis tranquillement bouger ta tête de gauche à droite, refusant de lui parler de Jonathan, n’étant pas certaine que ça valait la peine de le faire puisque tu avais la certitude que ton couple s’en allait dans un mur. Choisir le silence sur son existence jusqu’à savoir si tu voulais vraiment en parler à Clarence et détruire tout ce que vous tentiez de bâtir te semblait la meilleure solution pour l’instant. Tu vois ses yeux se fermer, cette froideur si caractéristique se transformer doucement en chaleur et ça te confirmas que ça valait la peine de te confier, de continuer avec lui. Clarence avait également ses blessures, ses épreuves et si toi tu choisissais la fuite lorsque tout faisait mal, lui, il choisissait la confrontation, la provocation. Mais tu étais convaincue qu’avec le temps, vous seriez capable d’avancer l’un à côté de l’autre, de vous aider à sortir de cette spirale infernale qui vous avait capturée si vous vous en donniez les moyens. « Je ne sais rien de plus. Rien d’autre que cela. Je ne savais pas comment te le dire sans te blesser davantage. » Sans réfléchir, tu levas la main pour venir laisser glisser tes doigts sur sa joue, sur l’os de sa mâchoire. Un léger contact, presque imperceptible, tes yeux rivés dans tes siens alors que doucement, cette déception que tu avais ressenti face à cette information qu’il détenait et qu’il avait refusé de te partager faisait place à une compréhension, sans effacer cette tristesse qui te poignardais depuis trop longtemps. « Pardonne-moi… » Comment pouvais-tu lui refuser alors qu’il avait tenté de te protéger. Ta main quitta sa mâchoire pour venir essuyer ces larmes qui coulaient sur ton visage de moins en moins rapidement. Tu fermas les yeux quelques secondes avant de les réouvrir, de regarder ce visage face à toi qui attendait ton verdict. « T’es pardonné Clarence. » Trois petits mots soufflés dans un murmure, qui scellerait cette tornade d’émotion qui vous envahissait depuis le départ d’Helen, depuis ton départ il y avait quelques soirs de ça, alors que tu avais claqué la porte dans un excès de peur et de fierté mal placé…





se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.


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