ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2725 POINTS : 50
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à Londres avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Walker group décembre 2021 Un drôle de sentiment s’empara d’Eli alors qu’il gara sa moto à l’emplacement prévu, au pied de l’immense tour qui accueillait le Walker Group. Un sentiment d’étrangeté autant que de familiarité, qui faisait frémir son corps d’une appréhension que l’excitation d’un premier jour de travail ne suffisait pas à contrebalancer. Eli avait passé sa vie à fuir le destin qui le liait intimement à l’entreprise familiale, et sa décision de tourner le dos à l’avenir qui lui avait toujours été promis par la simple force de son nom de famille lui avait coûté sa relation, pourtant si chère à ses yeux, avec la fratrie qu’il avait abandonnée en fuyant le continent vingt ans auparavant. Depuis toujours, ses parents lui avaient promis la direction de l’entreprise, qui lui était revenue de plein droit par sa seule condition de fils aîné – et depuis toujours, il avait refusé ce chemin tout tracé, contraignant par la même occasion son frère cadet à endosser les responsabilités qu’il avait fuies au prix de la complicité qui les avait toujours unis.
Alors qu’Eli descendit de sa monture pour prendre la direction de l’entrée principale qu’il n’avait plus franchie depuis vingt ans, alors qu’il l’avait passée au moins mille fois auparavant, il ne manqua pas d’être frappé par l’ironie de la situation. Il avait fui le Walker Group durant toute sa vie, pourtant, le voilà qui s’apprêtait à en grossir les rangs, et qui plus est, sous la direction de son frère qui n’était certainement pas ravi de la situation. Eli avait foulé le sol australien pour la première fois depuis de longues années quelques semaines auparavant, et Channing avait été contraint par leur mère de ranger sa fierté autant que sa colère pour l’intimer de venir travailler pour l’entreprise familiale – après tout, il était inconcevable qu’Eli entache l’image de la famille en partant chez la concurrence, et il était primordial de sauver les apparences et faire taire les mauvaises langues. Channing avait serré les dents en faisant sa proposition d’emploi à son aîné, et ses yeux avaient lancé des éclairs lorsque ce dernier s’était octroyé le droit de lui soumettre ses conditions avant d’accepter l’offre. Ainsi, le fils prodigue avait exigé de prendre ses fonctions dans l’un des plus beaux bureaux de l’entreprise, avec un contrôle total sur ses activités et les contrats sous sa responsabilité, le tout avec l’aide d’une assistante personnelle ; au sujet de cette dernière, il ne s’était pas privé de préciser « Tu me donneras la meilleure que vous ayez, j’ai pas envie de risquer de tomber sur quelqu’un qui ne me convient pas, et de devoir changer dix fois avant de tomber sur quelqu’un de bien ». Le regard noir, Channing avait fini par obtempérer, les mains liées par leur mère qui lui avait intimé d’accorder à Eli tout ce que celui-ci demanderait, pourvu qu’il accepte de venir travailler pour le Walker Group.
Si l’aîné avait fanfaronné en formulant ses requêtes capricieuses, il n’en redoutait pas moins la tension inévitable qui lui pendait au nez en côtoyant son cadet, à qui il avait toujours bon nombre de comptes à rendre au sujet de son absence prolongée. Ils ne travailleraient pas au même étage, mais les entrevues finiraient par se présenter bientôt, et cette perspective vint nouer un peu davantage son estomac déjà passablement remué par le sentiment d’étrangeté que suscitait en lui le retour à cette boîte où il s’était toujours juré de ne plus remettre les pieds. Avec dix minutes d’avance, comme à son habitude, Eli finit par franchir l’immense porte en verre de l’immeuble, se retrouva brièvement déboussolé par les changements qui avaient été opérés en vingt ans d’absence, mais ne tarda pas à trouver le chemin de la réception. Lorsqu’il croisa le regard de l’employée qui le salua, Eli ne laissa rien transparaître de l’appréhension qui le rongeait de l’intérieur – son visage ne traduisait rien d’autre que le calme olympien qu’il affichait en toutes circonstances, ses traits éternellement imperturbables ne se déformant que pour dessiner un sourire affable lorsqu’il se présenta à la réceptionniste. « Bonjour, je suis Elijah Walker. On m’a dit que quelqu’un viendrait m’accueillir à la réception », s’annonça-t-il posément, quoique légèrement désœuvré dans la mesure où il n’avait pas la moindre idée de qui il attendait, ni de la façon dont se déroulerait sa matinée – l’idée de recevoir une visite guidée chargée d’explications alors qu’il portait le nom de la compagnie paraissait grotesque, pourtant, il n’était pas certain de retrouver seul ses marques dans une entreprise où tout semblait avoir changé depuis la dernière fois qu’il y était venu.
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.
Andréa Eames
l'édifice du deuil
ÂGE : trente neuf ans - ♏︎ (01.11.1985) SURNOM : à force de se présenter sous le prénom d'Andy, c'est surtout ainsi qu'on l'appelle. STATUT : veuve depuis fin 2016, son époux est décédé durant une intervention policière ; depuis Andy broye du noir. Maman d'Emy, 18 ans et Hope, 7 ans. MÉTIER : Andy travaille au sein du Walker group en tant qu'architecte LOGEMENT : #570 highland terrace, à Toowong le quartier calme et familial . POSTS : 115 POINTS : 250
TW IN RP : décès, deuil, fausse couche, violence durant l'enfance, abandon, dépression, alcoolisme. ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ☆☆☆
☆JAYLEN (the unknown father)
we could be strangers in the night, we could be passing in the shadows, we couldn't be closer if we tried. When we're caught in the headlights, we could be faces in the crowd. ☆ #1 + #2
☆OSCREA (the forbidden story)
just one kiss on my lips was all it took to seal the future. Just one look from your eyes was like a certain kind of torture. Once upon a tim, there was a boy and there was a girl. Just one touch from your hands was all it took to make me falter, forbidden love. ☆ #1 +#2+ #3
☆MAXWELL#1+ (the awful brother) ☆YASMIN #1+ (the best-friend)
☆ JOHN#1 (the first love, or the coward, who dumbed you many years ago) ☆ ELIJAH#1 (the man who believed on you) AVATAR : Anne Hathaway CRÉDITS : artacide (avatar) + enciemakesgifs (gifs) DC : Helen Stenfield & Maxime Coventry PSEUDO : JUJU INSCRIT LE : 12/09/2024
@Elijah Walker décembre 2021 ¤¤¤ crédits gifs (experienceandobservation) / code (boté du sud )
Remonter la pente, après la perte d'un être cher, ce n'est pas chose facile. Surtout lorsque cet être cher n'est autre que l'homme qui détient l'autre moitié de son propre cœur. En les quittant subitement, Aaron a emporté la moitié de son organe avec lui, sous terre. Heureusement, Emy est là, et a su lui donner une raison de s'accrocher. Et plus récemment, la naissance de Hope il y a quatre ans lui a redonné l'espoir de retrouver un semblant de vie normale. Pourtant, la dépression la guette, tapis dans l'ombre. Certains jours, elle est aux abonnés absentes. D'autres, Andy n'a pas envie de quitter son lit, comme aujourd'hui. Elle veut rester enfouie sous la couette, avec ses deux enfants. L'envie de sortir n'est pas là, l'envie de sourire non plus. Dans ces moments-là, Andréa ne se reconnaît pas. Elle n'a le courage de rien, le vide complet. Elle n'est qu'un corps vide de sentiments, d'ambition. Mais ses enfants doivent se rendre à l'école, et elle se fait alors violence pour se défaire de l'emprise de ses draps, pour s'occuper d'eux. Emy commence à être grande maintenant, du haut de ses quinze ans. Mais Hope est encore trop petit pour être complètement autonome et se gérer soi-même, alors elle fournit tous les efforts du monde pour s'occuper de lui, avant le grand départ pour l'école, puis le collège. Se rendre au travail lui demande la même quantité d'énergie, Andy n'a pas vraiment envie d'y aller. Et puis, sur le chemin, la jeune femme s'est subitement remémorée un changement important dans son poste aujourd'hui : on lui a demandé d'être l'assistante personnelle d'Elijah Walker. Un Walker. Autrement dit, une des personnes les plus importantes de la boîte où elle bosse depuis déjà presque quatre ans. Ces dernières années, elle vient tranquillement au boulot, sans se soucier de l'avis que vont avoir ses collègues, ou les supérieurs pour qui elle va aller chercher le café, parce qu'il n'y a pas vraiment d'enjeu, en réalité. Aujourd'hui, c'est différent. Même si ça la fait un peu suer de changer de poste, au fond Andy n'a pas envie de donner mauvaise impression. Pourtant, elle s'est habillée comme un as de pique ce matin, à peine maquillée et parfumée. Tant pis, il la prendra comme elle est : une maman au naturel. Andy force davantage son pied sur la pédale et, par chance, elle est à l'heure à son bureau de réceptionniste. Près de cinq minutes plus tard (c'était moins une), un homme élégant en costume se poste devant elle, leurs regards se croisant alors qu'il se penche vers elle pour prendre la parole : « Bonjour, je suis Elijah Walker. On m’a dit que quelqu’un viendrait m’accueillir à la réception » C'est donc lui, le fameux Walker pour qui elle va personnellement travailler. Andy lui tend la main, prête à lui serrer pour se présenter. Malgré son apparence en vrac, elle n'en perd pas ses bonnes manières. « Monsieur Walker, enchanté. Je suis Andréa Eames, c'est moi qu'on a chargé d'être votre assistante. » A quelle sauce va-t-elle être mangée ? Elle n'en a aucune idée, mais elle va s'efforcer de l'aider au mieux dans son travail. « On m'a précisé que vous étiez de retour après plusieurs années d'absence. Est-ce que vous voulez faire un tour des lieux ? » Les bureaux n'ont pas nécessairement beaucoup changé, mais ça peut être l'occasion de briser la glace entre eux, puisqu'ils vont être amenés à se voir très souvent, désormais. Au fond, Andréa n'est pas vraiment à la page en ce qui concerne l'histoire des Walker, alors la raison de son absence, tout ça, elle n'a aucune information sur le sujet. Et est-ce que ça l'intéresse ? Elle ne meurt en tout cas pas d'impatience à l'idée d'en savoir plus, mais si Elijah veut en parler durant la visite, elle sera une oreille attentive.
dirty little secrets
Let me know that I've done wrong, when I've known this all along, i go around a time or two just to waste my time with you. Tell me all that you've thrown away, find out games you don't wanna play. You are the only one that needs to know, I'll keep you my dirty little secret, don't tell anyone.
Elijah Walker
les mauvaises décisions
ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2725 POINTS : 50
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à Londres avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Walker group décembre 2021 Tant bien que mal, Eli tenta de se défaire de la nervosité qui n’avait cessé de lui enserrer la poitrine depuis la veille, et qui risquait de revenir à l’assaut maintenant qu’il était voué à faire face, jour après jour, à tout ce qu’il avait lâchement abandonné. Il avait été beaucoup simple de gérer ses problèmes en prétendant qu’il n’existait pas, mais cette méthode avait officiellement atteint ses limites maintenant que l’héritier était contraint d’assumer les conséquences des décisions égoïstes prises au lendemain de sa majorité.
Il avait pris son courage à deux mains pour s’annoncer à la réception, s’était armé de plus de force encore pour recomposer cette apparence sereine qui était sa marque de fabrique et sans laquelle on ne le surprenait jamais. Eli était adepte de cette vieille devise qui stipulait : fake it until you make it, et la pratiquait à toutes les sauces dans chacune des épreuves dont il devait venir à bout. Toute source de malaise, de tensions ou de doutes était systématiquement gérée en l’abordant avec une apparente confiance et un optimisme aux airs infaillibles, quand bien même ceux-ci dissimulaient-ils régulièrement un état d’esprit bien moins assuré, et Eli conservait cette façade jusqu’à ce que la situation ne connaisse véritablement un revirement plus positif. Ce matin-là ne fit pas exception, et le sourire éclatant de l’héritier dissimula merveilleusement les réserves qui ne cessaient de le torturer intérieurement. La partie la plus paranoïaque de son esprit avait redouté un accueil mitigé, comme si les réserves de son frère cadet à son encontre avaient été propagées à ses collègues et que ceux-ci risquaient de lui témoigner la même froideur que celle que Channing lui avait témoignée le soir de leurs retrouvailles compliquées – cette première crainte fut toutefois rapidement étouffée lorsque l’inconnue à l’accueil se présenta poliment tout en lui tendant une main accueillante. Eli la serra, fermement sans pour autant exercer de force, sans se départir de son sourire. « Enchanté, Andréa – et appelez-moi Elijah, je vous en prie », répondit-il chaleureusement tout en relâchant sa main. « Alors, c’est vous qui allez me subir tous les jours ? J’en suis sincèrement navré », plaisanta-t-il, bien qu’il y eût une pointe de vérité dans son propos – après tout, il avait exigé de Channing qu’il lui assigne une employée expérimentée, et en déduisait logiquement qu’elle avait été arrachée à son environnement de travail habituel pour satisfaire ses caprices.
Andréa ne tarda pas à lui proposer la fameuse visite guidée, celle-là même qu’Eli avait initialement considérée comme une futilité avant de se rendre compte que vingt ans d’absence avaient forcément dû exercer un impact non négligeable sur la familiarité des lieux qu’il avait autrefois connus. Elle l’avait d’ailleurs précisé elle-même, fût-ce de la plus polie des façons, et il se demanda brièvement ce qui avait été dit de son absence et, par conséquent, de son retour. Eli se gratta brièvement la nuque tout en s’efforçant de garder une expression parfaitement composée, et hocha la tête par l’affirmative. « Ça me peine de l’admettre, mais je pense que ça ne me fera pas de mal de me rafraîchir la mémoire », finit-il par répondre avec un sourire coupable, s’apprêtant à lui emboîter le pas avant de s’arrêter net. « Mais que diriez-vous d’un café avant de nous y mettre ? », proposa-t-il alors, dans une tentative sans doute peu subtile de retarder l’inévitable.
Plutôt que de se diriger vers les ascenseurs, la paire s’orienta alors vers la cafétéria, dont la remise à neuf visiblement récente avait sublimé les lieux par rapport au souvenir qu’en gardait l’héritier. Il invita Andréa à prendre place et, après s’être enquis de sa commande, partit chercher leurs boissons au comptoir. Il s’installa finalement face à elle, et prit une gorgée de son café avant de se reporter sur sa nouvelle assistante. « Ça ne se voit sans doute pas, commença-t-il d’un ton sarcastique qui laissait entendre tout le contraire, [color:ddbd=00B464]« mais je suis un peu nerveux pour mon premier jour. Ça fait une éternité que je n’ai pas mis les pieds ici, et je ne m’attendais pas vraiment à revenir, pour être tout à fait honnête. » Il n’avait pas l’habitude de se confier, et sans doute se limiterait-il à ce seul aveu qui, s’il lui avait permis de se soulager un peu, avait surtout vocation à briser la glace. Il posa son gobelet sur la table et regarda un peu plus attentivement Andréa. « Alors, Andréa, puisqu’on va travailler ensemble, tous les deux – parlez-moi un peu de vous. Ça fait longtemps que vous travaillez ici ? Qu’est-ce que vous faisiez avant d’être brutalement réassignée à mes beaux yeux ? »
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.