ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire mais pas libre : maxime sait comment cacher un corps, sachez-le MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1534 POINTS : 2120
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, accès de colère. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#4 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Le deuil d’une relation amoureuse lui semble être comparable à une guerre secrète, silencieuse, invisible, tapie derrière la peau qui calfeutre le bruit des bombes qui traversent son thorax avec lourdeur. L’adversaire est redoutable et ne ménage pas ses efforts pour faire flancher le pianiste, envoyant inlassablement ses armées de souvenirs à l’attaque. C’est harassant et usant de se refaire le film d’une histoire qui, de toute façon, est terminée, emballée, enterrée, mais il résiste, Izan, il n’a pas envie de plier, il est bien trop hargneux pour admettre sa défaite, même face au chagrin. Oh, bien sûr, il se laisse encore surprendre par un bruit, un lieu, une image ou encore une odeur, s’émeut douloureuse des habitudes qu’il lui faut désormais défaire mais qui sont comme un automatisme qui dévaste ses nuits, brûle ses sourires et élime son énergie, mais il tâche d’être debout sur le champ de bataille, prêt à défendre le peu qu’il lui reste. On lui a dit de faire confiance au temps, peut-être parce que c’est un guerrier capable d’user les armures de l’ennemi et d’émousser la lame tranchantes des épées, il n’en sait rien, Izan, parce que c’est la première fois qu’il mène cette bataille, mais il s’accroche à l’espoir de retrouver la paix.
Il sait qu’il est gravement amoché, Izan, qu’il lui faudrait sans doute consulter un spécialiste des coeurs brisés, aujourd’hui on répare presque tout, pas vrai ? Alors peut-être qu’un médecin, un grand couturier ou un horloger pourrait rafistoler les lambeaux de son coeur pour lui rendre son aspect initial ? Il suffirait peut-être d’un coup de bistouri ou d’un quelconque outil dont il ne connaîtrait même pas le nom pour tout remettre en ordre, pour que les aiguilles piquantes cessent de perforer son palpitant à chaque fois qu’il a le malheur de respirer ? Puisqu’elle doit bien porter un nom, cette foutue maladie — si oui, il espère qu’elle n’est pas incurable, et il est prêt à se soumettre à toutes les médecines expérimentales, et qu’importe les effets secondaires, si on lui promet que cette douleur lancinante va disparaître. Il faut combien de temps pour qu’un chagrin d'amour s’estompe ? Quand cesse-t-on de chercher l’odeur de l’autre entre les draps, d’entendre l’écho de ses pas dans le couloir, de frémir à chaque mot entendu qui renvoie inévitablement vers l'absent, de l'imaginer à travers la foule, même inconsciemment, de déceler le son de sa voix dans tous les bruits qui passent ? Combien de temps ça prend, de désaimer ?
Il est là, avec les morceaux de son coeur étalés comme un puzzle, et il ne sait pas ce qu’il doit en faire, Izan, mais il se dit que, peut-être, son meilleur ami pourra l’aider à reformer l’image démolie. Alors, guidé par une personne de l’équipe de Jay à peine descendu du taxi, l’hispanique défile dans les couloirs interminables jusqu’à atteindre la loge de l’acteur, dans laquelle il entre sans frapper, même si sa main s’attarde sur la poignée quand il découvre sa tenue. ’’Tu tournes une scène de carnaval ?’’ la malice est fade sur sa langue, guère à la hauteur des piques sarcastiques qu’il aurait pondu en d’autres circonstances mais, malgré toute sa bonne volonté à épargner son meilleur ami — qu’il sait fragile, Izan peine à donner le change. Il s’efforce néanmoins de sourire après avoir balancé sa veste sur le canapé, approchant ensuite de quelques pas jusqu’à se laisser tomber sur une chaise à côté de Jayden, en soupirant tant l’effort lui coûte. Pendant quelques secondes, comme s’il lui fallait s’acclimater à ce décor, il ne dit rien. Il regarde à peine autour de lui, presse sa paume contre le jean de sa jambe avant de prendre une fine inspiration nasale qui n’est en rien apaisante ou réconfortante, sans reprendre la parole et sans regarder son hôte. Ne pleure pas qu’il se martèle en mordillant l’intérieur de sa joue, ayant retrouvé sa faculté à noyer intérieurement son chagrin avec une aisance qui, à coup sûr, aurait fait la fierté de sa mère ’’T’as fini ou tu dois y retourner après ?’’ qu’il demande en pianotant machinalement sa main droite sur sa cuisse, osant enfin tourner son menton vers Jayden pour croiser son regard. Il sait que Jay va deviner sans difficulté aucune ce qui se cache derrière sa peau, puisque son regard n’a rien de l’illustre et pétillante malice qu’il possédait autrefois. Il est éteint, Izan. Mais la lumière va revenir. Elle revient toujours.
crédits/escafiils
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.
:
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : First Kiss, First hollyday, First Xmas... Jayden Holmes serait-il en couple ? MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2961 POINTS : 810
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
⍣⋆⍣
Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2 * Charlie #3
We've taken different paths
And travelled different roads
I know we'll always end up on the same one when we're old
And when you're in the trenches
And you're under fire I will cover you Mary#1
« Tu tournes une scène de carnaval ? » Jayden se retourna brusquement, ce qui fit râler le jeune costumier en train de lui faire une retouche. En entendant cette voix familière, l'acteur ne put s'empêcher de sourire, un sourire immense et lumineux, celui qu’il réservait aux personnes qu’il était heureux de revoir. « Quoi ? Non. » Jayden baissa la tête pour observer sa propre tenue, ses sourcils se haussant légèrement dans une expression mi-amusée, mi-surprise. « Elle est colorée, c'est vrai, mais c’est parce que c’est un monde futuriste cyberpunk. » Ses doigts effleurèrent le tissu, un mélange de textures et de teintes vives, traversé de motifs fluorescents. Le costume était un véritable spectacle en soi, une explosion de couleurs criardes, de lignes géométriques et de détails luminescents qui reflétaient parfaitement l’esthétique du jeu vidéo dont le film était inspiré. Le costumier, concentré, planta une dernière épingle avec une précision chirurgicale, puis se redressa, satisfait. « Et voilà », dit-il en appuyant sur un petit bouton dissimulé dans le veston de Jayden. Soudain, la tenue s'illumina, des néons parcourant les coutures, donnant à l’acteur l’apparence d’une enseigne vivante qui brillait de mille feux. « Comme ça, on ne te perdra pas », plaisanta le costumier en lui adressant un clin d’œil. « Tu es prêt, Jay. »
Jayden, encore un peu dubitatif, pencha la tête pour s'observer dans le grand miroir devant lui. Les lumières clignotaient doucement, créant un effet futuriste fascinant, bien que quelque peu excentrique. « J’espère que ça rendra mieux à l’écran, » murmura-t-il, en plissant les yeux, hésitant encore à se faire à l’idée de porter une tenue aussi extravagante. Le regard du costumier, rempli d'assurance et de fierté, lui redonna un peu de confiance. Après tout, cet homme était un artiste dans son domaine, et Jayden avait appris à faire confiance aux talents qui l'entouraient. « T’inquiète pas, ça va cartonner », répondit-il avec une certitude tranquille. Jayden se redressa alors, se passant une main dans les cheveux. Il avait joué au jeu vidéo sur lequel ce film se basait, et en y réfléchissant, il devait admettre que le costume était incroyablement fidèle à l’univers que les joueurs connaissaient. C'était un bon point. Il adressa un petit sourire au costumier en signe de reconnaissance.« C’est une scène plutôt amusante », reprit-il, ses yeux pétillants d'excitation alors qu'il se préparait mentalement à la journée de tournage. « Une bagarre dans un bar, très chorégraphiée. J’aime vraiment jouer ces scènes-là. »
Il visualisait déjà la scène : des verres brisés, des tables renversées, des coups échangés dans une danse maîtrisée. Chaque geste devait être parfaitement calculé, mais avec assez de fluidité pour paraître naturel. C’était l’un des aspects de son métier qu’il adorait le plus : ces moments où le corps devenait un instrument de narration, où les chorégraphies donnaient vie à l’action, où chaque mouvement pouvait raconter une histoire. Le décor s’annonçait grandiose : un bar aux allures rétro-futuristes, rempli de néons, de gadgets technologiques hors d'âge, et de personnages hauts en couleur. Jayden se préparait mentalement à incarner un héros improbable, vêtu comme un panneau publicitaire vivant, mais prêt à se battre pour sa vie – ou pour ce que cette scène exigerait de lui.
Mais, tout à son rôle qu’il était, Jayden n’en oublia pas Izan, qui lui avait fait la surprise de venir le rejoindre sur le plateau. Malgré les éclats de lumière de son costume et l’agitation de la préparation, son attention se portait régulièrement vers son ami. Il l’observa se mouvoir dans la pièce, avec cette élégance tranquille qui lui était propre, jusqu’à ce qu’Izan s'installe sur une chaise, un peu en retrait. Jayden, respectant la présence du costumier encore affairé autour de lui, se contenta de sourire sans dire un mot, attendant patiemment que l’assistant termine de ranger ses affaires et quitte la pièce. Une fois seuls, un silence confortable s’installa, lourd de cette intimité qui n’avait besoin de rien pour s'exprimer. Jayden, avec la douceur qui le caractérisait, se pencha vers son sac posé à proximité et en sortit un paquet de gâteaux qu’il gardait toujours pour ses petites fringales lors des longues journées de tournage. Il s’approcha sans un mot et déposa le paquet sur les genoux d’Izan avant de tirer une chaise et de s’asseoir en face de lui. Là, sans hésiter, il attrapa son ami par la nuque, un geste tendre et réconfortant. La chaleur de leur peau se mêlait, une sorte de langage silencieux entre eux. Jayden n’avait pas besoin de mots pour comprendre que quelque chose clochait. Il l’avait vu dans le regard fuyant d’Izan, dans la manière dont il s'était tenu un peu en retrait, plus silencieux que d'habitude. Ils se connaissaient trop bien pour que ces détails passent inaperçus. Et Jayden n’était pas du genre à forcer les choses, mais il savait aussi quand tendre la main. « Raconte-moi, » murmura-t-il doucement, sa voix basse mais remplie de cette certitude que quoi qu'il ait à dire, Jayden serait là, à l’écoute. Il n’avait pas besoin d'en dire plus. Entre eux, les mots étaient souvent superflus. Izan pourrait tout lui dire, tout avouer. Jayden était prêt à entendre chaque mot, chaque silence aussi, s’il le fallait.
crédits/escafiils
Le feu de la passion
Si je devais t'embrasser pour ensuite aller en enfer, je le ferais. Comme ça je pourrais me vanter ensuite avec les diables d'avoir vu le paradis sans jamais y entrer.
:
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire mais pas libre : maxime sait comment cacher un corps, sachez-le MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1534 POINTS : 2120
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, accès de colère. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#4 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Izan ne s’attendait pas à ce que Jayden soit accompagné et ressent, tout à coup, un profond sentiment de malaise quand il se rend compte que la tiers personne, qui au demeurant à l’air d’être tout à fait charmante, est occupée entre quelques plis du costume imposant et coloré porté par son meilleur ami. Sa question n’est alors pas moins légitime que moqueuse puisque, en observant plus attentivement les enchevêtrements lumineux qui décantent sur un modèle géométrique capable de déclencher une migraine au premier coup d’oeil, Izan hésite entre sortir ses lunettes de soleil pour protéger sa cornée ou faire demi-tour, dans ce qui pourrait s’apparenter au désormais légendaire « je ne suis pas venu ici pour souffrir ok » « Elle est colorée, c'est vrai, mais c’est parce que c’est un monde futuriste cyberpunk. » c’est clair qu’il faut vivre dans le futur pour porter un truc pareil, et la grimace qui peint le visage du pianiste l’exprime suffisamment pour qu’il puisse se passer de mots. Sans surprise, il ne reconnait ni le costume ni l’homme qui s’applique à en achever les dernières coutures avec des aiguilles qui visent à assurer une parfaite adhésion avec le corps du modèle, mais il ne se mêle pas de leurs échanges et se contente d’ôter sa veste pour la balancer sur le côté, avant de se laisser tomber sur une chaise. « J’espère que ça rendra mieux à l’écran, » il ne trouve même pas l’envie de dire qu’il faudrait un miracle — la preuve qu’il est bien plus abattu qu’il ne veut le faire croire, mais se contente de lever un regard dubitatif vers les deux hommes quand le costumier affirme que « T’inquiète pas, ça va cartonner » qui, de toute évidence, parvient au moins à convaincre le principal concerné. Non vraiment, ils y croient ?
Il frotte sa paupière close du bout de ses phalanges en observant la scène comme un spectre dissimulé dans l’ombre, jusqu’à ce que l’assistant rassemble ses outils de couture avant de décamper, laissant les deux hommes seuls à seuls ; le coude appuyé sur le bord du fauteuil et le menton tourné en sa direction, Izan reprend alors. ’’Au moins, s’il y a une coupure de courant, tu pourras nous éclairer…’’ ce n’est toujours pas digne de ce qu’il pourrait produire comme remarque sarcastique mais, il essaie de donner le change, de sauver les apparences, de calfeutrer les fissures qui creusent sa peau, non pas pour lui-même mais pour son meilleur ami, sur lequel il refuse d’éponger et de déverser son chagrin, ayant bien conscience que Jayden se débat avec suffisamment de démons pour ne pas récupérer les siens. Mais il va bien falloir qu’il l’annonce, qu’il le formule, qu’il l’évoque à voix haute pour rendre cette perte tangible, concrète, inévitable, réelle. Il n’en a pas envie, ça lui tord l’estomac par avance, ça lui comprime le coeur rien que d’imaginer sa propre voix assembler ces putains de syllabes pour cracher une réalité qu’ils ont longtemps repoussé, qu’ils ont essayé de contourner mais qui, finalement, s’est imposée d’elle-même. C’est terminé.
Les biscuits glissés sur ses cuisses le font lentement sourire, dans un étirement perlé d’une tristesse qui se joint à toutes ses expressions désormais ; il se saisit du paquet de gâteaux, le tient entre ses doigts fins et longs pour en observer l’emballage, les mots imprimés et les couleurs sur ce carton qu’il a presque envie de broyer, dans une pulsion venue d’on-ne-sait-où. C’est la colère. Elle vient parfois, par vagues, puis elle repart en s’estompant, comme l’eau se recule du rivage avant un tsunami, ne laissant que ce chagrin immense, cette douleur incommensurable et lancinante qui ne lui accorde aucun répit. « Raconte-moi, » blottit contre Jayden, son front presque collé contre la peau fine de sa gorge, il hausse les épaules sans amorcer le moindre mouvement pour se redresser, bien trop apaisé par le contact doucereux de son meilleur ami qui, par l’enveloppe de ses bras, chasse les tourments qui le poursuivent sans interruption depuis quelques jours. Il a fermé les yeux mais il n’est pas très loin, juste là, quelque part sur un terrain ensoleillé d’où il reprend son souffle, il respire sans les aiguilles qui le perforent, sans ressentir le manque de l’autre, en oubliant presque pourquoi son coeur est en lambeaux, en se pardonnant peut-être de l’avoir perdu. Mais il se redresse finalement, les yeux brillants d’une émotion qui pèse également sur sa langue, et dont la saveur est celle des larmes ; il les sent au fond de sa gorge, dans son thorax et jusque dans son ventre, ces petites billes de malheur qui troublent sa vue quand il hausse les épaules, ne sachant même pas comment le dire. ’’C’est comme ça.’’ fataliste, il ne lui reste même pas l’espoir du « et si », il sait que c’est peine perdue de croire qu’ils pourraient rattraper les choses, qu’ils pourraient encore sauver leur histoire. Ils ont essayé, déjà, peut-être trop de fois. ’’Je crois que je suis vraiment trop difficile, tu sais…’’ c’est là qu’il y a un point de rupture, quelque part, quelque chose qui se brise, trop fragilisée déjà, l’obstruction mise en place pour délimiter l’espace accordé aux larmes se rompt et elles glissent de ses paupières en roulant sur ses joues et jusque dans sa gorge, d’abord quelques unes puis, comme une averse qui s’intensifie, elles se font de plus en plus nombreuses, le laissant incapable de formuler le moindre mot. La météo de ses humeurs est souvent orageuse, il le sait, mais aujourd’hui, il n’y a que la pluie. ’’Difficile à supporter, difficile à vivre, difficile à aimer… Ma propre mère n’y arrive pas non plus, je crois que c’est assez révélateur.’’
crédits/escafiils
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.
:
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : First Kiss, First hollyday, First Xmas... Jayden Holmes serait-il en couple ? MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2961 POINTS : 810
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2 * Charlie #3
We've taken different paths
And travelled different roads
I know we'll always end up on the same one when we're old
And when you're in the trenches
And you're under fire I will cover you Mary#1
Jayden écoute, en silence. Parce qu’il sait qu’Izan a besoin de lui, même sans mots. Il ne comprend pas tout ce qui se passe, mais il sent que quelque chose est brisé. Il se souvient d’un Izan rayonnant à Brisbane, plein de vie et de rires. Et voilà qu’aujourd’hui, Izan est devant lui, arrivé sans prévenir, l’air éteint. L’absence de lumière dans ses yeux l'inquiète profondément. Sa visite imprévue ne l'alarme pas tant en soi. Mais ce qui le perturbe, c’est ce regard vide, ce manque d’énergie, ce silence lourd qui pèse sur chaque geste. Même le paquet de gâteaux qu’il lui tend – un réconfort habituel, un petit plaisir qui avait toujours su faire sourire son ami – tombe à plat. Aucune réaction, rien. Cette absence de réponse parle plus fort que n’importe quel mot. Alors, sans un mot, Jayden s’approche et prend doucement Izan dans ses bras, le serrant contre lui avec toute la chaleur et la tendresse qu’il peut offrir. L’étreinte, douce et silencieuse, est un refuge. C’est un geste muet qui en dit plus que des paroles : "Je suis là. Tu n'es pas seul." Ses bras l’enroulent comme un cocon, et dans ce silence, il espère que son ami comprenne qu’il ne le laissera pas tomber. Izan finit par parler, sa voix brisée, comme une confession douloureuse. « C’est comme ça. Je crois que je suis vraiment trop difficile, tu sais… Difficile à supporter, difficile à vivre, difficile à aimer… Ma propre mère n’y arrive pas non plus, je crois que c’est assez révélateur. »
Jayden fronce les sourcils, perturbé, mais il ne relâche pas son étreinte. Qu'est-ce qu'Izan est en train de lui dire ? Il sent une profonde tristesse dans ses mots, mais aussi une sorte de désespoir qui le ronge. Il glisse une main dans les mèches charbon de son ami, caressant tendrement la base de sa nuque, et se penche pour lui déposer un baiser léger sur le front, comme pour l’ancrer dans l’instant présent. Il se recule juste assez pour plonger ses yeux bleus dans ceux, sombres et perdus, d'Izan. « Arrête, » dit-il d’une voix ferme mais pleine de douceur. « Arrête de dire ça. Tu n’es pas difficile. Pas du tout. » Ses yeux ne quittent pas les siens, insistant sur chaque mot qu’il prononce. « Tu n’es difficile à rien. Sauf peut-être à nourrir, c’est vrai. » Il esquisse un petit sourire pour alléger l’atmosphère, mais l’intensité de ses paroles reste. « Mais n'importe qui serait heureux et chanceux d’avoir un homme comme toi dans sa vie. Tu n’es pas seulement talentueux et incroyablement beau. Tu es aussi intelligent, drôle, gentil, généreux, protecteur… Tu es une personne pleine d’humanité. » Il marque une pause, son regard toujours ancré dans celui d’Izan. « Ne doute pas de ça. Ne doute pas de toi. » Les doigts de Jayden poursuivent leurs caresses sur le crâne d'Izan, presque comme une tentative de lui transmettre ses mots, de les ancrer profondément dans son esprit. Il voulait qu'il les ressente au plus profond de lui, qu'il n'y ait aucun doute. « Tu me fais peur, Iz... Qu'est-ce qu'il se passe ?» Sa voix tremble légèrement, malgré son calme apparent. Il se sent désemparé, totalement perdu, comme si chaque parole qu'il prononçait risquait de briser quelque chose de fragile, de déjà fragile. Il a toujours eu l'impression de ne pas être l'ami qu'il devrait être pour Izan. Le pianiste, lui, trouve toujours les mots justes pour apaiser ses doutes, pour l'aider à surmonter ses propres tourments. Mais Jayden se sent constamment maladroit, incapable de lui rendre tout ce qu’il lui offre. Il aimerait pouvoir être la protection qu'Izan mérite, le bouclier contre tout le mal que le monde pourrait lui infliger. Mais en ce moment, il n’a que des questions, et aucune réponse. Il se sent perdu dans cette situation qu’il ne comprend pas.
« Tu es merveilleux, Izan,» dit-il, avec une ferveur silencieuse. Il plonge un regard profond dans les yeux de son ami, cherchant à transmettre toute la sincérité de ses paroles. « Et je t’aime. Moi, je t’aime. Ta mère est une idiote.» Il s’arrête un instant, le regard durci par l’émotion. « Et je dis idiote, parce que j’ai horreur d'user d’un langage châtié, mais là, ça me paraît juste...» Il laisse échapper un petit soupir, sa main se serrant doucement autour de la nuque d'Izan.« Elle est idiote de ne pas voir à quel point tu es exceptionnel.» Il n’a pas les mots pour expliquer tout ce qu’il ressent, mais chaque mot, chaque geste, chaque caresse de ses doigts a pour but de lui faire comprendre une chose : qu'il n’est pas seul. Que même dans cette confusion, dans cette incertitude totale, Jayden est là. Toujours là.
crédits/escafiils
Le feu de la passion
Si je devais t'embrasser pour ensuite aller en enfer, je le ferais. Comme ça je pourrais me vanter ensuite avec les diables d'avoir vu le paradis sans jamais y entrer.
:
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire mais pas libre : maxime sait comment cacher un corps, sachez-le MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1534 POINTS : 2120
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, accès de colère. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#4 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
« Arrête, » l’injonction est douce, mais guère suffisante pour faire taire les pensées qui encombrent son crâne malmené, terrain de jeu favori des névroses qu’il nourrit sans même s’en rendre compte, et qui viennent de recevoir une raison supplémentaire de le dénigrer. Coudes appuyés sur les genoux, Izan glisse ses doigts dans ses cheveux en inclinant son menton vers le bas, songeant combien il lui serait salutaire de pouvoir dévisser sa tête, de la poser juste à côté pour quelques minutes, à peine le temps qu’un sablier inverse ses grains derrière le verre, juste pour qu’il puisse arrêter de se torturer, juste pour cesser de souffrir. Il ne demande rien de plus que quelques instants de répit. « Arrête de dire ça. Tu n’es pas difficile. Pas du tout. » la volonté de Jay est louable, mais Izan ne parvient pas à lui accorder le titre de véracité : on lui a suffisamment répété qu’il était pénible pour le croire avec une conviction mordue d’entêtement, qui oppose une sérieuse résistance à l’idée qu’on lui suggère. « Tu n’es difficile à rien. Sauf peut-être à nourrir, c’est vrai. » il courbe légèrement ses lèvres en soufflant un petit rire atteint par la tristesse, puisque celle-ci ne le délaisse pas, même lorsqu’il redresse son menton pour soutenir le regard de Jay, en laissant ses mains retomber dans le vide entre ses jambes pliées. ’’Je me satisfais très bien de bonbons. Et de sushis.’’ qu’il rajoute pour donner le change, par égard pour toute la bonne volonté que l’acteur emploie pour le consoler des affres de la douleur, sans même savoir, encore, par quoi elle est causée. « Mais n'importe qui serait heureux et chanceux d’avoir un homme comme toi dans sa vie. Tu n’es pas seulement talentueux et incroyablement beau. Tu es aussi intelligent, drôle, gentil, généreux, protecteur… Tu es une personne pleine d’humanité. » ses billes mordorées accrochent celle de l’anglais, et si son regard hurle tu penses vraiment ce que tu dis ? ses lèvres, elles, ne disent rien, craignant que le moindre bruit provoqué par sa langue réveille les larmes qui sommeillent juste en dessous de ses paupières. « Ne doute pas de ça. Ne doute pas de toi. » il pourrait le promettre mais il n’est pas sûr de pouvoir l’honorer, cette promesse, alors il se contente de fermer les yeux sous les caresses prodiguées par son meilleur ami, qui apaise irrémédiablement les maux qui s’entrechoquent sous sa peau. Il tente de se concentrer sur le passage de ses phalanges entre ses boucles brunes, le réconfort que cela lui apporte, cette présence doucereuse qui n’est que tendresse, rien que pour lui, et dans laquelle il puise suffisamment de force pour se redresser, en prenant une longue inspiration sensée lui donner du courage. Il pense qu’il va en avoir besoin, même s’il n’est pas sûr de connaître la recette exacte du baume venant réparer les fissures d’un coeur brisé.
« Tu me fais peur, Iz... Qu'est-ce qu'il se passe ? » sa gorge s’étrangle à la simple idée de prononcer les mots attendus, qui vont abattre une sentence qu’il aurait aimé éviter, qui ne sont en rien conformes à l’idée qu’il s’était fait de son avenir, qui ne laisseront plus aucun doute sur son union défaite. Il pense à ce qu’on dit, les formules toutes faîtes que les gens balancent pour consoler ceux qui souffrent « le chagrin s’estompe, il finit par s’en aller, on finit par accepter » mais, sur l’instant, l’idée même d’oublier celui qu’il aime encore tellement lui semble inconcevable, un mensonge auquel il doit adhérer pour ne pas sombrer, parce que la réalité est trop difficile, trop insupportable, trop douloureuse, et qu’il lui faut se raccrocher à la promesse de survivre à la perte et l’absence dans laquelle il a l’impression de se noyer.
Sa première tentative échoue puisqu’un sanglot vient barrer la route à son élocution, et le faux-départ le fait soupirer d’agacement, de frustration et de chagrin. « Tu es merveilleux, Izan. » il ferme les yeux en accueillant la douceur qu’on lui intime, elle se dépose sur son coeur, chercher à combler les failles causées par ces derniers mois, petit rayon ensoleillé qui vient effleurer son palpitant meurtri d’un bras caressant « Et je t’aime. Moi, je t’aime. Ta mère est une idiote. Et je dis idiote, parce que j’ai horreur d'user d’un langage châtié, mais là, ça me paraît juste... Elle est idiote de ne pas voir à quel point tu es exceptionnel. » ça lui coupe presque la respiration quand il tente de ravaler sa salive, mais ses dents serrées les unes aux autres crispent tant sa mâchoire qu’il en ressent une douleur vive qui l’oblige à desserrer ses lèvres, même si c’est pour murmurer d’une voix blanche : ’’J’sais pas…’’ si c’est vrai, si ça va aller, si ça peut s’arranger, si son coeur peut se réparer, s’il va s’en remettre, s’il va l’oublier, si sa mère est une idiote, une sacrée idiote même, s’il peut s’arrêter de pleurer — attendre presque trente-deux ans pour apprendre à écouler son chagrin lui est finalement utile, et encore moins s’il a réellement envie de croire que tout ceci n’est qu’une passade. ’’Il n’y aura pas de mariage.’’ il baisse les yeux en même temps que la pointe de sa langue passe sur le coeur de sa lèvre inférieure, rapidement remplacée par ses dents qui viennent en accrocher le bord. La douleur, interne, physique, lancinante, installée quelque part dans son corps comme un tambour dont les ondes se propagent dans chaque membre, lui tord le ventre et accélère les battements de son coeur, attisant une vague de larmes qui s’apprêtent à dévaler la piste de ses joues mais, refusant de se laisser de nouveau envahir par l’écume de son chagrin, il secoue son menton en se levant du fauteuil pour le contourner, sans trop savoir quoi faire de ses mains, et de ses yeux à la vision entravée par des sanglots réprimés. ’’Bref. Dis-moi plutôt comment ça se passe pour toi.’’ il en a marre de se refaire le film et de relire le scénario encore et encore : même s’il connaît la fin, elle lui est toujours autant douloureuse.
(1093 mots)
crédits/escafiils
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.
:
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : First Kiss, First hollyday, First Xmas... Jayden Holmes serait-il en couple ? MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2961 POINTS : 810
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
⍣⋆⍣
Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2 * Charlie #3
We've taken different paths
And travelled different roads
I know we'll always end up on the same one when we're old
And when you're in the trenches
And you're under fire I will cover you Mary#1
Le silence s’étire. Mais contrairement à d’habitude entre eux, ce n’est pas un silence agréable. Ce n’est pas cette bulle apaisante et complice qu’ils partagent parfois, où les mots deviennent superflus. Non, c’est un silence qui pèse, oppressant, qui fait un bruit assourdissant dans l’espace clos de la pièce. Jayden sent une boule de tension grandir dans sa poitrine, un mélange de frustration, de colère et d’impuissance. Ce venin insidieux qu’on appelle rage s’infiltre en lui, transformant peu à peu son calme habituel en un feu intérieur dévorant. Sa gorge se serre, brûlée par l’acidité de cette haine qu’il ne veut pas ressentir, mais qu’il ne peut plus ignorer.
Il avait fermé les yeux sur le comportement d’Asher. Par amour pour Izan. Parce que tout ce qu’il voulait, c’était que son meilleur ami soit heureux. Mais Izan ne l’était pas. Et tout ça, uniquement à cause de ce connard qui l’avait détruit. Asher. Ce nom résonne dans l’esprit de Jayden comme un poison. Izan pouvait sembler sûr de lui, avec son sourire charmeur et ses airs imperturbables, mais Jayden connaissait la vérité. Il savait combien Izan était fragile derrière son armure. Il connaissait les blessures invisibles qu’Izan cachait sous ses silences et ses faux semblants. Et Asher avait exploité ça. Sans scrupule. Sans remords. Pour l’achever. Les poings de Jayden se crispent. Une vague de colère pure monte en lui, bouillonnante, incontrôlable. Il inspire profondément, mais cela ne suffit pas à calmer la tempête. D’ordinaire, il n’était pas rancunier. D’ordinaire, il ne cherchait pas à se venger. Mais là... là, c’était différent. L’envie de détruire Asher grandissait en lui, comme une ombre étouffante. Il voulait utiliser tout ce qu’il avait - son argent, son statut, ses contacts. Écraser ce type comme lui avait écrasé Izan. Briser le musicien et son groupe, leur barrer la route partout où ils tenteraient de percer. En Australie, mais pas seulement. Partout ailleurs. Jayden connaissait tant de gens dans le milieu. Il avait ce pouvoir entre ses mains. Ce serait si simple… Ses pensées tournaient en boucle, alimentant la colère qui battait dans ses tempes. La vengeance n’était pas la solution, il le savait. Mais cette haine qui lui rongeait le cœur était difficile à ignorer. Et pour la première fois depuis longtemps, Jayden se sentit prêt à franchir une ligne qu’il s’était toujours juré de ne jamais dépasser. Alors pour tenter de se calmer, il serra Izan plus fort contre lui. Respirant son odeur à pleins poumons.
« Bref. Dis-moi plutôt comment ça se passe pour toi. » Avec ces mots, Jayden comprend immédiatement. Izan ne veut pas parler. Ou plutôt, il ne veut pas parler de ça. Pas de la rupture, pas d’Asher, pas de cette douleur qui lui serre la poitrine. C’est une esquive maladroite, mais Jayden ne peut pas lui en vouloir. Il voit la fatigue dans ses yeux, cette lueur éteinte qu’il n’avait jamais remarquée chez son ami avant. Izan a toujours été celui aller bien, celui qui souriait même quand le monde s’écroulait autour de lui. Mais là, même son masque semble fissuré.
Jayden hésite, le cœur lourd. Une part de lui veut insister, creuser, lui arracher ce poids qu’il garde enfermé. Mais il sait qu’Izan ne parlera pas s’il n’est pas prêt. Et peut-être qu’il ne le sera jamais. Alors, il inspire doucement, refoulant cette colère sourde qu’il ressent encore pour Asher, et décide de respecter le choix tacite de son ami. Il s’installe un peu plus confortablement. Il force un sourire, pas un de ces sourires éclatants dont il a le secret, mais un sourire discret, apaisant. « Ça se passe bien, je suppose, » dit-il doucement, sa voix calme, presque posée. Mais dans sa tête, les pensées se bousculent. Il n’a pas envie de parler de lui. Pas envie de détourner l’attention alors que son ami est clairement au bord du gouffre. Pourtant, il sait que c’est ce qu’Izan attend. Un prétexte pour se détourner de sa douleur, même quelques minutes.
Alors il parle. Il parle du tournage, des galères de dernière minute avec le réalisateur, des rumeurs stupides qui tournent sur les réseaux sociaux. Il parle de cette réception étrange où il s’est retrouvé à discuter avec une vieille actrice excentrique, complètement ivre, qui a passé vingt minutes à lui raconter une histoire invraisemblable impliquant un perroquet et un yacht volé. Et il était presque certain que cette histoire, elle venait d’un livre pour enfant, mais il n’avait pas voulu vexer la vielle femme.
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Si je devais t'embrasser pour ensuite aller en enfer, je le ferais. Comme ça je pourrais me vanter ensuite avec les diables d'avoir vu le paradis sans jamais y entrer.
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l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire mais pas libre : maxime sait comment cacher un corps, sachez-le MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1534 POINTS : 2120
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, accès de colère. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#4 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Il avait traversé la forteresse sauvage de l’urbanisme de la ville afin de regagner son refuge, l’antre des bras de son meilleur ami formant le seul véritable rempart contre le chagrin qui, sous l’écho rassurant de sa présence, de son odeur, de sa voix, perd progressivement du terrain, tout en promettant de revenir sitôt que le baume apaisant se sera éloigné. Il a pleuré entre ses bras, Izan, dans un paradoxe qui le représente bien ; lui qui ne pleure jamais, se retrouve à verser des larmes dont il ne semble même pas reconnaître le goût. Le temps ferait son oeuvre, il le savait, au fond, qu’il ne resterait pas indéfiniment coincé dans ce schéma de nostalgie pesante, dans ces souvenirs constellés de regrets, d’incompréhensions et de douleur.
C’est l’incroyable démesure du vide, L’absence sans réel motif.
Mais le wagon de ses émotions insalubres ne fait que passer ; il a versé des perles salées grises de chagrin, et il s’emploie désormais à essuyer ses paupières avec le bout de ses doigts, chassant ces nuages vaporeux et humides qui accentuent la pâleur de son teint fatigué, tout en rougissant ses yeux qui trahissent la douleur que ses lèvres tentent d’amenuiser. Elle ne veut plus en parler, sa bouche quelque peu tremblante, elle en a suffisamment dit et ses mots se brisent chaque fois qu’elle tente de les formuler, comme des pierres qui roulent contre le flanc d’une montagne en provoquant des percussions endolories. « Ça se passe bien, je suppose, » le doute clarifié à la fin de sa phrase lui fait hausser les sourcils tandis qu’il penche son menton sur le côté pour l’écouter parler, comme une mélodie hypnotisante qui éteindrait le feu de ses pensées tortueuses. Il l’apaise, Jayden, comme il l’a toujours fait et comme il le ferait probablement toujours, mais il s’étonne silencieusement de parvenir à sourire sincèrement, de s’amuser du récit qui lui est conté, de même émettre un bref rire qui brûle un peu ses poumons pendant qu’il secoue son menton de gauche à droite, en glissant l’une de ses mains jusqu’à la sienne pour jouer avec ses doigts, juste pour penser à autre chose, juste pour tromper l’idée qu’il est désormais seul. Être seul paraît être une impitoyable injustice quand on prévoyait de passer le reste de sa vie avec un autre, n’est-ce pas ? ’’Est-ce que je peux rester avec toi, cette nuit ?’’ il ne sait pas vraiment si la chambre d’hôtel de Jayden comporte un autre lit ou un canapé mais, il a besoin de lui, ce soir, besoin de l’entendre parler, de le voir vivre à côté de lui, de le maintenir dans son champ de vision et dans son espace de vie puisque, au fond, il ne peut résolument pas vivre sans lui. Encore moins maintenant.
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i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.
:
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : First Kiss, First hollyday, First Xmas... Jayden Holmes serait-il en couple ? MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2961 POINTS : 810
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2 * Charlie #3
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And when you're in the trenches
And you're under fire I will cover you Mary#1
« Pourquoi tu poses la question ? » Jayden haussa un sourcil, une lueur d’amusement dans les yeux. « Tu es le bienvenu, voyons. En plus, j’ai un lit king-size ! Et si je ne suis pas trop claqué, on pourra même louer un film, si ça te dit. » Il s’interrompit un instant pour poser un regard attentif sur son ami, qui gardait la tête baissée. Jayden ne voulait pas insister sur la tristesse d’Izan. Le pianiste s’ouvrirait à lui quand il se sentirait prêt, il le savait. En attendant, il avait décidé de lui changer les idées. Avec douceur, il glissa ses doigts dans les mèches sombres d’Izan, traçant des cercles légers sur son crâne avant de descendre vers sa nuque. Le geste, presque instinctif, se voulait apaisant. Pourtant, le moment de calme fut brusquement interrompu par trois coups secs frappés à la porte. Jayden sursauta légèrement, sa main s’arrêtant dans les cheveux d’Izan. « Monsieur Holmes ? » fit une voix étouffée à travers la porte. « On vous attend. On commence dans trois minutes. » Un soupir traversa les lèvres de Jayden, mélange de frustration et de résignation. Il tourna un sourire contrit vers son ami, son regard empreint d’excuses. « J’arrive. » D’un geste tendre, il déposa un baiser sur le haut du crâne d’Izan avant de se lever. Son énergie semblait changer légèrement, passant de la douceur à une sorte d’excitation contenue. « Tu viens ? » demanda-t-il, tendant la main à Izan pour l’aider à se redresser. « Tu vas avoir la meilleure place. La scène va te plaire, c’est une scène de baston. » L’acteur défroissa un peu son costume du plat de sa main libre. « Par contre, » ajouta Jayden en pointant un doigt accusateur, tout en adoptant un ton faussement sérieux, « tu n’as pas le droit de toucher aux gâteaux. Si tu mâches pendant qu’on tourne, l’ingé son va te massacrer. » Il éclata de rire à sa propre remarque, l’atmosphère se détendant un peu. Jayden tira doucement sur la main d’Izan pour le remettre sur ses pieds, ses yeux pétillant d’un mélange de malice et de chaleur. Dehors, des bruits de pas et des voix résonnaient dans le couloir, indiquant que l’équipe se préparait activement. Jayden, quant à lui, attrapa une veste en cuir posée sur une chaise et l’enfila d’un geste fluide avant de poser une main ferme sur l’épaule d’Izan. « Allez, viens. Tu vas adorer. »
Jayden entraîna son meilleur ami dans les méandres des coulisses, où les murs semblaient vibrer d’effervescence. Des techniciens allaient et venaient, des câbles traînaient çà et là, et les murmures nerveux de l’équipe se mêlaient au cliquetis métallique des équipements en place. Mais à peine avaient-ils atteint le plateau que Jayden fut littéralement happé par l’équipe technique. Un assistant s’approcha en vitesse, arrachant l’acteur à son meilleur ami presque sans un mot, et en un instant, Jayden disparut dans une tornade d’activités frénétiques. On l’harnacha rapidement pour la cascade à venir, des sangles serrées sur son torse et son dos. Une maquilleuse bondit à ses côtés pour ajouter des touches de faux sang sur son visage et ses bras, tandis qu’un coiffeur ajustait à la hâte quelques mèches rebelles, le tout dans un ballet parfaitement orchestré.
Les ordres fusaient de toutes parts.« Attention à l’axe de caméra ! »« Jayden, tourne légèrement la tête, oui, comme ça ! » « Ne bouge pas, on fixe les câbles ! » « Souviens-toi, la chute doit sembler naturelle, garde ton poids sur l’avant ! » Il écoutait, Jayden, mais sans vraiment répondre. Peu à peu, il s’enfermait dans sa bulle, laissant le chaos autour de lui s’éloigner comme une mer en reflux. Ses traits se faisaient plus concentrés, son regard se durcissait légèrement, et un calme presque palpable s’emparait de lui.
crédits/escafiils
Le feu de la passion
Si je devais t'embrasser pour ensuite aller en enfer, je le ferais. Comme ça je pourrais me vanter ensuite avec les diables d'avoir vu le paradis sans jamais y entrer.
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Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire mais pas libre : maxime sait comment cacher un corps, sachez-le MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1534 POINTS : 2120
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, accès de colère. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#4 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
« Pourquoi tu poses la question ? » parce qu’il n’est plus certain d’être le bienvenu quelque part, et qu’il a terriblement besoin d’entendre que c’est le cas pour Jayden. Il le regarde, ses yeux ricochant d’un oeil à l’autre quand il garde le silence, trouvant trop difficile d’exposer aussi nûment ses ressentis « Tu es le bienvenu, voyons. En plus, j’ai un lit king-size ! Et si je ne suis pas trop claqué, on pourra même louer un film, si ça te dit. » il ne se formaliserait pas de la trop grande fatigue de son meilleur ami, qu’il sait grandement occupé avec ses nombreux projets ; ce qui lui importe c’est d’être auprès de lui, de savoir qu’il ne le rejette pas, lui. ’’Ça me va.’’ qu’il souffle d’une petite voix, rassuré et réconforté de l’entendre même s’il ne trouve pas suffisamment de courage pour lever le menton vers Jayden, préférant observer les marques tracées par l’usure des pas sur le plancher, bercé par les caresses que lui prodiguent son meilleur ami. Jayden avait eu un geste similaire lorsque, à la fête foraine, il avait tenté de le soulager de sa fatigue écrasante en lui massant les tempes ; il a toujours l’attention doucereuse, l’acteur, et c’est sans nul doute l’une des choses que Izan préfère à son sujet.
Il en oublierait presque l’endroit où ils se trouvent, si quelqu’un ne s’était pas chargé de le ramener dans la loge par une complainte étouffée à travers la porte ’’Monsieur Holmes ? On vous attend. On commence dans trois minutes.’’ redressant machinalement le menton, il lance un regard quelque peu frustré vers le panneau de bois avant de reporter son attention vers son meilleur ami, en partageant son sourire filiforme, qui égaie brièvement les traits de chagrin qu’il porte « J’arrive. » le baiser déposé sur sa peau accentue les contours de son sourire, déployant une onde apaisante sur les blessures que l’anglais devine aisément. « Tu viens ? Tu vas avoir la meilleure place. La scène va te plaire, c’est une scène de baston. » - ’’Je peux venir ?’’ qu’il demande, celui qui n’est pas de ce milieu, et qui glisse simplement sa main dans celle de son meilleur ami pour se relever, en semblant puiser suffisamment d’énergie dans cet élan pour regonfler ses poumons d’une respiration plus profonde. Il l’observe un instant, paré des pieds à la tête dans une tenue singulière, qui l’amuse finalement quand, pointé du doigt, il lui rétorque d’un sourire presque malicieux. « tu n’as pas le droit de toucher aux gâteaux. Si tu mâches pendant qu’on tourne, l’ingé son va te massacrer. » - ’’Dis donc, tu sais comment mettre à l’aise…’’ qu’il fait remarquer sans véritablement s’alimenter d’inquiétude, lissant simplement la surface de son sweat avant de pencher son menton sur le côté, détaillant de nouveau la tenue que porte Jayden — à n’en pas douter, il n’est pas prêt d’oublier cette vision hautement colorée ’’C’est la dictature, ton bordel.’’ - « Allez, viens. Tu vas adorer. » la promesse de Jayden lui provoque une moue hautement douteuse mais, néanmoins curieux de voir le procédé des tournages, dont les secrets sont bien gardés, il s’emploie à suivre son meilleur ami à travers les couloirs, avant de s’installer pour le suivre des yeux, fasciné par toute la mise en scène. De son point de vue, cela ressemble étrangement à une fourmilière hyper active et, seule ombre statique au tableau, il se fait aussi silencieux qu’immobile, comme s’il craignait d’être remarqué, lui qui n’a rien à faire ici.
Le coeur de ses lèvres à peine espacé, il se rapproche au bord de son siège quand la chute est imminente ; soudainement inquiet, ne faisant pas tellement confiance aux câbles qui retiennent l’être qui compte le plus à ses yeux, Izan oublie à la fois son poignet en vrac et sa rupture ’’Euh…’’ il ne sait pas trop ce qu’il se passe mais ça ne lui plaît pas, et la fureur de l’angoisse monte dans son thorax tandis qu’il balaye les alentours d’un regard circulaire, cherchant quelqu’un qui est aussi bousculé que lui par ce qui se prépare mais… il est bien le seul à poser des billes effarées sur son meilleur ami, les battements de son coeur s’étant accélérés dans l’attente de ce qui semble imminent…
crédits/escafiils
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.