ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3436 POINTS : 120
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Qu'est-ce qu'elle foutait là ? C'était ce qu'elle se demandait alors qu'elle sortait discrètement des bois pour se rapprocher de l'épave. Il y avait tellement d'agitation autour d'elle, tellement de cris et de panique que personne ne se rendit compte qu'elle ne sortait pas de l'avion qui venait de s'écraser. Gayle n'avait aucune envie de s'approcher de ce tas de tôle mais elle n'avait pas le choix. Elle était là pour surveiller et encadrer les « rescapés ». Au début son job lui avait paru sympa. Elle avait lu plein de dossiers, avait sélectionné les candidats comme s'il s'agissait d'une télé réalité, avait fait des scénarios dans sa tête, bref, elle avait tout imaginé. Tout sauf le fait qu'elle allait devoir se mêler à la populace. Lorsqu'on lui avait dit qu'elle devait se rendre sur le lieux du crash, elle avait sottement ri comme s'il s'agissait de la meilleure plaisanterie jamais entendue. Devant le regard courroucé de son supérieur elle avait compris qu'il s'agissait de tout sauf d'une boutade.
Là voilà donc, habillée de faux haillons – elle qui aimait tant prendre soin d'elle se retrouvait dévastée à l'idée de porter un tee-shirt troué et un jean taché – à vagabonder au milieu des valises qui étaient éventrées un peu partout. Elle ne savait même pas par où commencer. Elle tourna la tête et aperçut un vieillard qui semblait égaré. Non pas lui. Elle était contre sa présence sur les lieux. Elle ne comprenait même pas comment son dossier avait pu être retenu. Elle croisa finalement le regard d'une brunette. Sandra ? Safia ? Sara ? Elle ne savait plus, c'était pourtant elle qui l'avait choisie. Elle s'approcha, un air faussement paniqué figé sur son visage avant de lui demander : « Tout va bien ? Qu'est-ce qui s'est passé ? » Rien. En réalité rien. Mais elle n'avait pas le droit de le mentionner. C'était désormais à elle de sortir son meilleur jeu d'actrice... Enfin, encore fallait-il qu'elle ait un semblant de talent et rien n'était moins sûr.
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'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Sara Gutiérrez
la poudre désenchantée
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : C'est officiel : elle est maquilleuse ! Elle a gardé son boulot au Twelve Happy Spectators par sécurité mais a quitté le Queensland Performing Arts Centre qui n'était plus pareil sans Marley LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, après un court duo avec Dina ce sont Primrose la véto coincée et Willow la barmaid (coincée aussi) qui ont rejoint la colocation suite à des visites parfaitement réalisées (par Sara la grande modeste, bien sûr), puis tout récemment Sixteen... C'est donc un (joyeux) bordel POSTS : 4874 POINTS : 400
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (12/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices au Queensland Performing Arts Centre(théâtre)
@Gayle Danbury & Sara UA Dimension jurassique, épave de l'avion sur l'île perdue
Sara n'arrive toujours pas à croire que son avion s'est crashé. Dire qu'elle devait passer de superbes vacances loin de Brisbane, lorsqu'elle s'est réveillé elle avait du sable dans les cheveux et dans la bouche, ses yeux la brûlaient et elle ne savait même pas où elle était. Sur une île, certainement, mais c'est à peu près tout ce qu'elle est parvenue à comprendre dans les premières minutes après son réveil qu'elle a passées assise dans le sable à maudire le monde entier. Déjà que ce n'était pas fun, mais ensuite...
Est-ce que c'est une tête de dinosaure qu'elle vient de voir passer ? Genre... Comme dans les films ? Mais non. Ça n'existe plus les dinosaures, enfin sauf pour ses ancien·nes profs un peu taré·es qui affirment que les oiseaux en sont – si c'est le cas, ils ont clairement régressé en terme de style. De toute façon qu'importe : les vrais dinosaures, ceux du cinéma et de la collection de figurines de son petit frère, ça n'existe pas. Elle a dû rêver. Oui, elle a forcément rêvé. C'est son imagination qui lui joue des tours à cause du choc, de la fatigue, du décalage horaire.
Lorsqu'elle croit à nouveau apercevoir une tête de dinosaure entre les fourrés, Sara laisse échapper un cri et, les yeux ronds comme des soucoupes, le fixe le court instant qu'elle peut l'apercevoir. Elle ne sait même pas si elle a envie de rire ou de pleurer, à ce stade. « Tout va bien ? Qu'est-ce qui s'est passé ? » La femme qui vient de s'approcher d'elle a une tenue pourrie mais la Gutiérrez craint de ne pas être en meilleur état depuis qu'elle s'est réveillé dans ce sable. « C'est quoi ça ? » Elle pointe l'arbre derrière lequel elle a cru voir le dinosaure, mais évidemment il n'y a plus rien. « Il peut pas y avoir des dinosaures, ça existe pas putain ! » Elle a dû prendre un mauvais coup sur la tête, voilà c'est ça. Il n'y a pas d'autre explication à ce qu'elle a vu. Un dinosaure, et puis quoi encore ? Elle soupire, passant ses mains sur son visage et maudissant chaque grain de sable venant lui gratter la peau. « Puta qué mierda...* » grommelle-t-elle, secouant la tête comme si elle ne pouvait pas y croire – ça n'a aucun foutu sens, c'est tout.
Dernière édition par Sara Gutiérrez le Mer 11 Déc 2024 - 1:46, édité 2 fois
Gayle Danbury
la force de la nature
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3436 POINTS : 120
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
L'approche tout en délicatesse de Gayle ne sembla pas suffire à calmer les nerfs de la Brésilienne – à moins qu'elle soit Mexicaine, la jeune femme ne savait plus – qui lui faisait face. La panique se lisait dans ses yeux et s'entendait dans sa voix lorsqu'elle lui demanda : « C'est quoi ça ? » Tout en pointant du doigt un arbre. La blonde se tourna et fronça les sourcils. Elle savait très bien ce que la brunette avait vu mais elle préférait pour le moment jouer les innocentes. « Heu... Un arbre ? » répondit-elle de manière naïve. Elle reporta son attention sur la jeune femme qui ne voulait pas démordre de ce qu'elle avait vu passer. Putain ils faisaient tous chier à avoir lâcher les dinosaures si tôt dans l'expérience. « Il peut pas y avoir des dinosaures, ça existe pas putain ! » Gayle se pinça les lèvres et réfléchit à ce qu'elle pourrait lui dire. Elle avait été missionnée pour gérer le groupe de « survivants » mais comme à son habitude, elle n'avait écouté que d'une oreille distraite les instructions à suivre pour mener à bien ce qu'elle devait faire. Elle s'approcha doucement et murmura : « C'est sans doute le choc de l'accident... Ca va aller. » alors qu'elle venait de poser une main sur son avant-bras. Qu'est-ce qu'elle était sensée faire ? Merde ! Elle tourna la tête pour voir si l'un de ses collègues était sur place – peut-être qu'elle pourrait l'imiter – mais constata avec amertume qu'il n'y avait personne. « Puta qué mierda... » Elle reporta son attention sur l'inconnue qui n'en était pas franchement une puis tenta une approche plus rassurante. « Viens, on va essayer de trouver de l'eau, t'es peut-être déshydratée... » Elle regarda alors autour d'elle, ne sachant pas vraiment par où commencer. Elle se gratta la tête et finit par hausser les épaules et par proposer : « On devrait peut-être regarder dans les valises. Y a bien une gourde qui traîne ou même des médicaments. » Avec un peu de chance elles tomberaient peut-être sur de l'alcool. Gayle en aurait bien besoin pour affronter cette première journée en compagnie de tous ces blaireaux. Elle baissa le regard sur sa tenue qui la dégoûtait plus qu'autre chose et marmonna : « Avec un peu de chance je vais retrouver ma valise et je pourrai me changer. » En réalité il n'y avait aucune de ses affaires dans les parages mais la Danbury n'aurait aucun scrupule à s'emparer de biens qui ne lui appartenaient pas. L'élégance avant tout.
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Sara Gutiérrez
la poudre désenchantée
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : C'est officiel : elle est maquilleuse ! Elle a gardé son boulot au Twelve Happy Spectators par sécurité mais a quitté le Queensland Performing Arts Centre qui n'était plus pareil sans Marley LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, après un court duo avec Dina ce sont Primrose la véto coincée et Willow la barmaid (coincée aussi) qui ont rejoint la colocation suite à des visites parfaitement réalisées (par Sara la grande modeste, bien sûr), puis tout récemment Sixteen... C'est donc un (joyeux) bordel POSTS : 4874 POINTS : 400
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (12/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices au Queensland Performing Arts Centre(théâtre)
@Gayle Danbury & Sara UA Dimension jurassique, épave de l'avion sur l'île perdue
Sara a l'impression de faire un cauchemar sans fin. Ses vacances paradisiaques qui devaient lui offrir un peu de répit ont viré au mauvais film de science-fiction tellement vite qu'elle ne peut pas croire que c'est réel. Pourtant, elle a eu beau se pincer une dizaine de fois différentes parties des bras et des jambes, cette foutue carcasse d'avion n'a jamais disparu. Elle est réelle, tout comme l'est l'improbable situation qu'elle est en train de vivre. Il y a cependant des limites à ce que la Gutiérrez veut bien croire, et l'existence de dinosaures en fait partie. L'avantage d'avoir une autre personne avec elle, c'est qu'elle peut lui poser la question, pointant du doigt la bestiole qu'elle a cru apercevoir derrière un arbre. « Heu... Un arbre ? » Mais quelle idiote. « Non derrière ! » s'exclame-t-elle d'une voix agacée qui pourtant trahit ce mélange de panique et d'incompréhension qui tourmente la brune. Ça ressemblait à un dinosaure au long cou, comme les figurines pour gamins – diplo-quelque chose, elle ne sait plus –, mais ça n'a aucun sens. Les dinosaures ça n'existe pas. « C'est sans doute le choc de l'accident... Ca va aller. » Oui, ça doit être ça. Elle a pris un mauvais coup sur la tête, ou alors c'est simplement le choc de s'être réveillée parmi les débris de l'avion dans lequel elle était censée partir pour de superbes vacances. L'inconnue pose une main sur son avant-bras dans un geste presque réconfortant et Sara soupire, aussi exténuée qu'elle est inquiète. Comment elle va partir d'ici ? Elle est piégée sur une île entourée d'étendues d'eau si vastes qu'elle ne peut pas les traverser, c'est absolument terrifiant. « Viens, on va essayer de trouver de l'eau, t'es peut-être déshydratée... » Si la Gutiérrez n'a rien contre l'idée de boire un peu, elle n'est pas certaine que l'eau de mer l'hydrate avec la quantité de sel qui s'y trouve. « On devrait peut-être regarder dans les valises. Y a bien une gourde qui traîne ou même des médicaments. » « Ouais d'accord. » Est-ce que ça la dérange de fouiller dans des affaires qui ne sont pas à elle ? Absolument pas. Alors la brune se lève et commence à observer l'avion, à la recherche de la soute. « Avec un peu de chance je vais retrouver ma valise et je pourrai me changer. » « Ouais moi aussi. » Parce qu'entre les trous dans son si joli pantalon et le sable, c'est catastrophique comme outfit. « Tu t'appelles comment ? » demande-t-elle avant de se mettre à marcher pour faire le tour de l'épave.
La soute n'est pas difficile à repérer en fin de compte : les valises sont bien là, ouvertes et franchement abimés. Certaines ont même l'air d'avoir explosé, ce qui n'est pas très rassurant. À défaut de reconnaître sa valise pour l'instant, Sara repère une trousse rouge avec une grosse croix blanche dessus. « Y a une trousse de premiers secours ! » Elle s'en saisit et l'ouvre, espérant y trouver de l'eau. « Pas d'eau, » marmonne-t-elle avant de regarder un peu plus précisément ce qu'elle contient. « Mais y a du désinfectant si tu t'es blessé. » C'est toujours utile, c'est sûr, d'ailleurs elle peut presque déjà entendre sa mère lui dire de la garder avec elle jusqu'à ce que les secours les retrouvent. Parce qu'ils vont les retrouver, n'est-ce pas ? « Tu penses qu'il faut combien de temps aux secours pour venir jusqu'ici ? » La nana semble avoir la quarantaine, elle doit forcément le savoir, pas vrai ?