ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : son couple s'est fragilisé depuis le retour de "sa femme" (oui, oui, il est encore marié avec une autre), mais il s'accroche à elle autant qu'il peut. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille. POSTS : 663 POINTS : 190
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
dimension jurassique: la forêt samuel wellington & @jayden holmes
Quelque chose clochait sur cette île. Ou peut-être devrais-tu dire qu’il y avait plusieurs choses qui clochaient sur cette île. Tu n’étais pas certain de savoir tout ce qui s’y cachait, mais une chose était certaine, quelque chose de louche se tramait quelque part. Ça faisait quelques jours que tu observais les gens autour, les autres survivants de ce crash d’avion, prenant notes des différents comportements des uns, des manières d’agir des autres, surpris et à la fois fasciné des réactions qui passaient d’un extrême à l’autre selon les personnalités des survivants. Tu aurais cru que tout le monde démontrerait un certain niveau d’anxiété et de peur face à l’idée de rester coincer ici à long terme, mais tu ne pouvais t’empêcher de noter que certaines personnes semblaient plutôt blasées, ou alors comme toi, curieuses des réactions de chacun. Tu ne savais pas trop quoi en penser, mais tu demeurais persuadé que cela cachait quelque chose. Tu n’avais pas encore osé t’aventurer bien loin de la plage, persuadé que le mieux que tu puisses faire pour survivre était de rester près d’un noyau de personnes, là où secours et aide seraient facilement disponibles, mais les bruits entourant l’île finirent par avoir raison de ta curiosité, et même si tu te doutais que tu risquerais de douter fortement toute évasion, bien incapable de revenir sur tes pas, tu te laissas guider par un pressentiment que tu n’arrivais pas à mener. Les longs étendus de sables avaient laissé place à une forêt épaisse, des tons de verts qui s’étalaient sous tes yeux à l’infini. Les bruits se faisaient moins humains ici, et plus animal, des bestioles en tout genre évoluant ici et là. Tu ne savais pas ce que tu cherchais, ni même ce que tu espérais trouver, mais lorsque tu tombas sur une trace de pas qui ne semblait pas humaine, ton cœur fit trop tours. « Ça ressemble à aucun animal que je connais… » que tu mentionnes à haute voix, persuadé d’être seul jusqu’à ce qu’un bruit de branche ne témoigne d’une autre présence. Tu es prêt à prendre la fuite, craignant de tomber sur un animal sauvage quelconque, avant de réaliser qu’il ne s’agit que d’un autre homme que tu es persuadé avoir croisé dans les derniers jours, de ceux qui semblent plus emmerder qu’effrayer de se retrouver ici. « Putain, t’as failli me faire faire une crise de cœur. » que tu te plains, massant ton torse. Encore heureux que t’es en forme et pas vraiment à risque de faire une crise cardiaque à la moindre frayeur.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : First Kiss, First hollyday, First Xmas... Jayden Holmes serait-il en couple ? MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2961 POINTS : 810
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
⍣⋆⍣
Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2 * Charlie #3
We've taken different paths
And travelled different roads
I know we'll always end up on the same one when we're old
And when you're in the trenches
And you're under fire I will cover you Mary#1
Il en avait eu assez des blouses blanches, de leur regard froid qui l’évaluait comme un spécimen de laboratoire ou, pire, comme un simple outil jetable. Le cliquetis sec de leurs talons sur le carrelage, la lumière crue des néons, chaque détail le plongeait dans un malaise grandissant. Alors, il avait décidé de se faire la malle, emportant avec lui un paquet de Doritos — son unique réconfort, une poignée de sel et de croustillant au milieu de cette île en pleine apocalypse. En passant, il avait attrapé une paire de talons hauts, ceux de la "reine du bal" autoproclamée, Daxon @Eve Daxson (déso pas déso) . Pourquoi ? Par pure mesquinerie, sans doute. À défaut de pouvoir elle-même la jeter dans la gueule d’un T-Rex, il pouvait au moins l’agacer en volant ses chaussures préférées, et il s’était juré de les brûler avant de quitter cet enfer tropical. Il savait que cela frôlait l’enfantillage, mais ici, dans un lieu où chaque minute était une lutte pour survivre, ce petit acte de rébellion ridicule lui faisait un bien fou. Les talons dorés et scintillants ballotaient dans sa main comme un trophée dérisoire, et il esquissa un sourire en les observant. C’était un symbole de sa petite revanche contre le monde, un rappel qu’il lui restait encore un brin de contrôle dans cet enfer imprévisible.
La jungle dense s’ouvrait devant lui comme une barrière vivante. Les fougères géantes et les lianes enchevêtrées rendaient chaque pas ardu, et il avançait lentement, repoussant les branches qui lui griffaient la peau et essuyant la sueur qui perlait sur son front. L’air lourd, saturé d’humidité, collait à ses vêtements, et les insectes tournoyaient autour de lui, bourdonnant comme s’ils étaient attirés par son désespoir. Mais il avançait, ses pensées en ébullition, cherchant désespérément une issue. Deux options tournaient dans son esprit : par la mer ou par les airs. La voie des airs ? La simple idée de piloter un hélicoptère lui faisait froid dans le dos. Il n’avait jamais touché aux commandes d’un appareil, et rien que d’imaginer essayer lui donnait un frisson de panique. Non, le ciel n’était pas une option. En revanche, un bateau... il s’en sortirait bien avec un petit navire, du moins pour garder un cap. Mais encore fallait-il en trouver un en état de marche, un miracle dans ce coin perdu. Autour de lui, la jungle semblait resserrer ses griffes. Les bruissements des feuilles, le craquement des branches, tout rappelait qu’il n’était jamais vraiment seul ici. Le sol boueux s’accrochait à ses chaussures, les alourdissant de chaque pas, comme si même la terre elle-même voulait l’engloutir. Pourtant, il persévérait, avançant vers la côte dans l’espoir de tomber sur un bateau, même un radeau ferait l’affaire. Peut-être qu’avec un peu de chance, il pourrait enfin s’échapper de cette prison tropicale. Soudain, un cri déchirant rompit le calme oppressant. Perdu dans ses pensées, Jayden sursauta quand il entendit le petit cri d’un homme. Jayden tourna la tête et aperçut un homme à la mine effarée, planté là comme un lapin pris dans les phares. Amusé, il esquissa un sourire moqueur. “On est sur une île remplie de dinosaures… et c’est moi qui te fais peur ?” lança-t-il, les sourcils levés. Jayden le poussa légèrement de l’épaule pour continuer son chemin, sans perdre son cap, sans vraiment se préoccuper de cet inconnu qui avait tout l’air d’un des cobayes des fameuses blouses blanches. Il tourna brièvement la tête et ajouta, d’un ton légèrement sarcastique : “Je serais toi, j’éviterais de m’enfoncer dans cette direction.”
Le feu de la passion
Si je devais t'embrasser pour ensuite aller en enfer, je le ferais. Comme ça je pourrais me vanter ensuite avec les diables d'avoir vu le paradis sans jamais y entrer.
:
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : son couple s'est fragilisé depuis le retour de "sa femme" (oui, oui, il est encore marié avec une autre), mais il s'accroche à elle autant qu'il peut. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille. POSTS : 663 POINTS : 190
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
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izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
dimension jurassique: la forêt samuel wellington & @jayden holmes
Tu aurais dû opérer un demi-tour. Retourner sur tes pas lorsque tu avais réalisé l’ampleur de la forêt qui s’entassait sous tes yeux, mais tu n’en avais rien fait. Tu avais plutôt décidé de continuer d’avancer, te demandant ce sur quoi tu allais tomber. Tu ne sais pas ce à quoi tu t’attendais, mais les traces de pas inusités n’aidaient en rien à calmer ton imagination et ton anxiété qui augmentait avec chaque pas. La présence d’un homme suffit à te faire crier comme une adolescente effrayée, chose que tu n’assumes pas du tout alors que tu tentes de reprendre moindrement le contrôle de tes esprits. C’est sans doute une peine perdue de paraître comme un homme viril devant le nouvel arrivant, mais ça ne t’empêche pas de lever le menton, tentant de te faire bien plus grand que comment tu te sens réellement en ce moment. « On est sur une île remplie de dinosaures… et c’est moi qui te fais peur? » Ton premier réflexe serait de lui dire que rien ne te fait peur, pas comme il le sous-entend avec ce sourire moqueur et son air de dominance, mais ce ne sont pas les mots qui attirent le plus ton attention. Tu mis quelques secondes supplémentaires à comprendre ce que le brun venait de te dire, concernant les bêtes vivant apparemment sur cette île. Des dinosaures? Ici? Impossible. « Tu te fous de ma gueule? » L’homme poursuit son chemin sans se soucier de toi, mais tu refuses de te retrouver seul dans la forêt après ce qu’il t’a dit, même si tu refuses encore de croire qu’il puisse y avoir des dinosaures ici. « Je serais toi, j’éviterais de m’enfoncer dans cette direction. » « Pourquoi? » La question te file entre les lèvres avant même que tu n’aies le temps de réfléchir sur le pourquoi du comment il pourrait le savoir. Est-ce qu’il y a déjà été? Est-ce qu’il a vraiment vu des dinosaures? Impossible que tu continues de te répéter, parce qu’il ne serait pas là pour en discuter si c’était le cas. « Qu’est-ce qu’il y a dans la forêt? Et me dis pas des dinosaures, je te crois pas. » Mais à entendre ta voix qui tremblote d’un rien, il est bien possible que tu le croies plus que tu ne veuilles l’admettre. Et s’il continue son chemin, il est évident que tu as l’intention de le suivre, en espérant qu’il te ramène vers la plage et non pas plus loin dans cette forêt maudite.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : First Kiss, First hollyday, First Xmas... Jayden Holmes serait-il en couple ? MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2961 POINTS : 810
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2 * Charlie #3
We've taken different paths
And travelled different roads
I know we'll always end up on the same one when we're old
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« Tu te fous de ma gueule ? » Jayden, de son côté, leva les yeux au ciel, affichant un mélange de lassitude et d’amusement nonchalant. Il planta son regard sur l’homme face à lui – un type plutôt séduisant, mais qui, à cet instant, semblait complètement désorienté, perdu dans la situation absurde où ils se trouvaient. « C’est vrai, tu as raison, » répondit le britannique en haussant les épaules, son ton légèrement teinté d’ironie. « On est paumés sur une île, et j’ai du temps à perdre pour faire une blague de ce genre au premier inconnu qui me passe devant. » Il soupira, les lèvres étirées en un sourire exaspéré, comme si la situation le divertissait autant qu’elle l’agaçait. « Franchement, si j’avais voulu lancer la conversation, j’aurais trouvé un sujet un peu plus… classique que les dinosaures, » ajouta-t-il avec un haussement de sourcils narquois, les bras croisés d’un air faussement désinvolte. Ses yeux balayaient les environs, prenant soin d’étudier la végétation dense et luxuriante de l’île. Tout était étrangement silencieux, un silence oppressant qui semblait peser dans l’air moite.
Soudain, un craquement retentit derrière eux, et Jayden se retourna vivement, ses muscles tendus par l’alerte. Son regard scruta les feuillages, mais il ne vit qu’un oiseau s’envoler brusquement, ses ailes vibrant dans un froissement sonore qui résonna un instant avant de se perdre dans les hauteurs. Détendant ses épaules, l’acteur râté laissa échapper un léger rire, une tentative pour alléger l’atmosphère qui pesait sur eux. Il se tourna à nouveau vers son compagnon d’infortune, un éclat moqueur dans le regard. « Tu vois ? Même les oiseaux ne sont pas d’accord avec toi. Allez, relaxe un peu. À moins que tu préfères rester planté là à t’énerver pour rien, » ajouta-t-il avec un clin d'œil insolent, l’air de se moquer gentiment de la situation absurde dans laquelle ils étaient plongés.
Jayden passa une main dans ses boucles sombres, alourdies par la moiteur étouffante de l'endroit, puis soupira en silence, visiblement partagé entre l’ennui et une pointe d’agacement. Avec un demi-sourire, il s'approcha et posa ses deux mains fermes sur les épaules de l'homme en face de lui, cherchant son regard pour ancrer un instant de calme dans la tension qui flottait entre eux. « Des licornes et de jolis princes en armures, » murmura-t-il, une lueur malicieuse dans les yeux. « C’est ce qu’il y a dans cette forêt. Mais si on veut éviter de tomber sur quelque chose d’encore plus surprenant, on ferait bien de ne pas s’attarder ici. » Il relâcha son compagnon d’un geste lent et tourna les talons, s'engageant dans un sentier à peine visible à travers la végétation touffue. Jayden se déplaçait avec une assurance décontractée, comme s’il connaissait l’île mieux qu’il ne voulait le laisser paraître. « Tu peux venir avec moi, » lança-t-il par-dessus son épaule sans ralentir, « Ou rester là, tout seul, à essayer de deviner si je te raconte des mensonges… » Son ton, volontairement ambigu, oscillait entre le sérieux et la plaisanterie, comme s’il se délectait de maintenir une pointe de mystère. Sans un regard en arrière, il avança avec une lenteur calculée, laissant le choix à l’autre de le suivre ou de prendre le risque de rester seul dans cette forêt épaisse, où les ombres dansaient sous les arbres comme pour cacher des secrets. « Je peux partager mes Doritos. » Comme si cet argument pouvait faire pencher la balance d’un côté plus que de l’autre.
Le feu de la passion
Si je devais t'embrasser pour ensuite aller en enfer, je le ferais. Comme ça je pourrais me vanter ensuite avec les diables d'avoir vu le paradis sans jamais y entrer.
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le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : son couple s'est fragilisé depuis le retour de "sa femme" (oui, oui, il est encore marié avec une autre), mais il s'accroche à elle autant qu'il peut. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille. POSTS : 663 POINTS : 190
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
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izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
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« C’est vrai, tu as raison. » Tu ne comprends pas grand-chose présentement, mais une chose est certaine, le mec devant toi se fout de ta gueule et tu n’es pas certain de saisir les raisons derrière. Est-ce qu’il se fout de ta gueule avec cette histoire de dinosaures ou bien est-ce qu’il se fout de ta gueule parce que tu ne le crois pas? « On est paumés sur une île, et j’ai du temps à perdre pour faire une blague de ce genre au premier inconnu qui me passe devant. » Il te parle vraiment comme si t’étais un con. Tu n’apprécies pas, mais il y a trop de choses qui se jouent en même temps dans un coin de ton esprit pour que tu ne réagisses comme tu le ferais normalement. « Franchement, si j’avais voulu lancer la conversation, j’aurais trouvé un sujet un peu plus… classique que les dinosaures. » Tu réalises assez vite que tu ne veux pas de conversation. Tu ne veux pas lui parler, à lui et son air condescendant. Mais tu es au milieu d’une île déserte, dans une forêt aux allures de plus en plus louche, là où l’inconnu clame qu’il y a des dinosaures. C’est un monde parallèle ou tu fais un mauvais rêve, il n’y a pas à dire, mais tu as beau te pincer aussi fort que possible, tu ne te réveilles pas. Tout ça, c’est bien vrai il semblerait. « Tu vois? Même les oiseaux ne sont pas d’accord avec toi. Allez, relaxe un peu. À moins que tu préfères rester planté là à t’énerver pour rien. » « J’m’énerve pas pour rien, je veux que tu m’expliques! » Un adolescent qui n’obtient pas ce qu’il veut, c’est comme ça que tu sonnes. Mais c’est certainement moins fou que ce qui sort de la bouche de l’autre mec. Quand tu penses qu’il va enfin t’expliquer ce qu’il en est, il se moque un peu plus, et tu grognes à l’entente des mots princes et licornes. Ne pas s’attarder ici, ça te semble être la meilleure des idées, la seule chose censée qui s’échappe de ses lèvres, sauf que tu n’es pas certain d’avoir envie de reposer une quelconque confiance en cet homme. « Tu peux venir avec moi. Ou rester là, tout seul, à essayer de deviner si je te raconte des mensonges… » Tu ne sais pas encore si tu le crois, surtout lorsqu’il est question des dinosaures, mais vu tous les bruits étranges qui vous entourent, tu commences à croire qu’il ne se fout peut-être pas complètement de toi. « Je peux partager mes Doritos. » « Tu penses que tes Doritos vont nous protéger contre des dinosaures? » Tu es tellement dépassé par tout ce qui se passe, tu as l’impression de perdre le fil de la conversation. « J’pense que je préfère encore venir avec toi que de rester ici tout seul. » que tu finis par admettre à contre-cœur, prêt à faire demi-tour pour retourner vers la plage, là où tu espères que vous serez un peu plus en sécurité. « Sincèrement… t’as vu un dinosaure? Ici? Ou tu penses seulement qu’il y en a? » Hey, rendu là, t’es presque prêt à croire tout et n’importe quoi.