ÂGE : 38 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le cœur malmené par deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. Est sur le point de créer sa propre ONG. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 2578 POINTS : 650
TW IN RP : Deuil - Décès - Trauma - TCA - Mélancolie - Abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (4) (FB1) - Wild/Ethel (1) - Helen (2) - Wild (5) - Landry (1) - Jillian (1) - Izan (1) - Eden (Fb1) -
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
T'es la meillеure chose qui m'est arrivéе. Mais aussi la pire chose qui m'est arrivée. Ce jour où je t'ai rencontrée, j'aurais peut-être préféré que ce jour ne soit jamais arrivé. La pire des bénédictions, la plus belle des malédictions. De toi, j'devrais m'éloigner. Pourquoi ton prénom me blesse, quand il se cache juste là dans l'espace ? C'est quelle émotion, la haine ou la douceur, quand j'entends ton prénom ?
Eden
J'pourrais chanter tous tes défauts. Tu rigoles et m'tappes juste sur l'épaule. Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait. Des courses vers le vide, ton rire qui soupirait. Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles, je serai le phare qui te guidera toujours.
RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Rory (1) - Eden (2) RPs TERMINÉS : - Ethel (1 - 2 3) - Wild (1 - 2 - 3 - 4) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris/Wild (1) - Eden (1) - Alienor (1) - Nina (1) - Wild/Chris (1) - Ruben (1) AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Noiram signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Tay-swifft userbar:@mystery-man Header@F3cbd1 DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
Ethel Hartfield, Chris Logan et Alienor Bird adorent ce message
I saw the stars and I didn't ask why crédit gif - envision imagines & Paula Rubio Ethel - Wild - Clarence Juillet 2024
La voiture s’arrête doucement, dans le silence d'une rue presque déserte, juste en face de l’immeuble dont Ethel t’avait indiqué l’adresse. Tu coupes le moteur, mais ni toi ni elle ne bougez tout de suite. Vous restez là, enveloppés dans cette quiétude de fin de soirée où l’agitation s’efface. Le film que vous venez de voir flotte encore dans l’air, ce dernier Disney, que tu n’as vraiment pas apprécié. Une histoire cousue de fil blanc, pleine de clichés naïfs. « Mon éducation concernant les princesses risque d’être une véritable torture Mademoiselle Hartfield. » Ta voix est feutrée et tu glisses dans ton regard une touche de malice cousue dans un sourire tranquille. Parce qu’à en voir l’étincelle dans ses yeux tout à l’heure, tu as bien compris qu’elle, elle a adoré. Ethel n’a pas caché son enthousiasme. Elle semblait même captivée, au point que tu t’es surpris à l’observer. À sourire bêtement en silence plutôt que de suivre le film. Attiré par cette légèreté, cette capacité que la brune a d'apprécier chaque instant sans se soucier de paraître naïve. Vous avez passé la journée ensemble. À faire les boutiques, à discuter dans les allées pour préparer l’anniversaire surprise d’Emilia. Un soupir presque imperceptible t’échappe, une vague de soulagement discret te traverse. Ce moment passé ensemble est exactement ce dont tu avais besoin, même si tu n’aurais jamais su le formuler.
C’est un pont qui se reconstruit entre vous, après cette dispute où tes mots avaient dépassé ta pensée, où ta maladresse avait fissuré sa confiance. Tu t’en veux encore d’avoir été si brutal, d’avoir laissé transparaître cette ombre qui emporte parfois si facilement ton océan. Qui envenime ton myocarde et qui te rend aussi imprévisible qu'effroyable. Mais ici, maintenant, cette complicité retrouvée t’offre la sensation fugace que rien n’est encore brisé. Que, malgré tes maladresses, elle est là, celle qui sait lire en toi et dans tes silences. Depuis ce jour, tu essayes de te racheter. D’être celui sur qui elle pourra toujours compter. Et te voilà, à contempler son sourire dans la pénombre de la voiture, le cœur étrangement léger. Ton océan se perd en réalisant qu’elle n’a pas encore décroché sa ceinture, et cette immobilité entre vous, ce flottement, te pousse à t’interroger. Qu’est-ce qui vous lie, en réalité ? Entre vous, il y a quelque chose qui vacille entre affection et tendresse. Entre cet attachement sincère et un sentiment plus profond, plus vulnérable. Elle porte en elle une souffrance que tu ne maîtrises pas. Un combat silencieux contre lequel tu te sens impuissant. Mais elle est là, avec son sourire brodé dans une douceur aussi touchante que déstabilisante. Tu baisses les yeux en silence avant de te détacher et de sortir de l'habitacle. En contournant le véhicule, tu t’approches de son côté pour lui ouvrir sa portière. « Tu as déjà failli tomber deux fois aujourd’hui, on va éviter une troisième… » T’as ce regard espiègle tout en lui tendant ta main avec cette note protectrice qui te vient si naturellement avec elle. Ethel glisse sa main dans la tienne, avec cette hésitation qui t'ébranle sans que tu n’en laisses rien paraître. Le contact est léger, presque fragile, mais il y a cette force douce qui résonne jusque dans le creux de ta poitrine.
Sans un mot, tu réponds à cette étreinte discrète en refermant tes doigts autour des siens, avec une tendresse contenue et contrôlée. Puis, doucement, tu l’aides à descendre de la voiture, t’assurant, dans un geste protecteur, que ses pieds touchent bien le sol avant de relâcher ta prise. « Passe une bonne fin de soirée avec ton amie. » Ta voix n’est qu’un murmure, à peine plus audible qu’un souffle. Le bleu de tes yeux plonge dans le sien, et tu ne peux dissimuler ce regret de devoir la quitter. « Et encore merci pour aujourd’hui. » Tu lui souris, presque maladroitement. Incapable de rajouter quoi que ce soit, tu la fixes, comme si tu voulais imprimer chaque détail de ce moment. Tes lèvres s'entrouvrent, mais quelque chose au loin t’arrache à l’instant. Tes yeux dérivent vers une silhouette qui s’avance, élégante, avec une démarche que tu reconnaîtrais entre mille. Et ton cœur rate un battement. Ton corps se fige et ton visage se tord dans une vague d'émotions avec une violence que tu n’avais pas anticipée. Ton océan s’assombrit violemment. On peut déjà entendre vos orages s’entremêler dans un seul et même grondement. Déchirant votre sérénité en un instant. Son nom résonne en toi comme une absolution ou une blessure. « Wild… »
Don't realize how mean I can be.
Cause I can sometimes treat the people that I love like jewelry. Sorry that I can't believe that anybody ever really starts to fall in love with me.
:
Wild Fitzjames
La féline
ÂGE : 35 ans (25 juin 1989) SURNOM : La Mioche selon ses frères. Wild pour les autres. L'Emmerdeuse lorsqu'elle danse sous l'orage. STATUT : S'accoutume à la pluie. Acide à s'en brûler le coeur. MÉTIER : Podcast Sexo « Without Taboo » depuis avril 2020. 2e podcast le plus écouté d'Australie. A reçu 2 Awards en Novembre 2023. LOGEMENT : 308 montague road, West end dans un magnifique loft industriel. POSTS : 450 POINTS : 120
TW IN RP : Sexualité - Alcool - Language cru - Deuil TW IRL : AucunGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Est née à Sydney • A 3 grands frères • L'ainé, Josh, est décédé en Irak lors d'une attaque sur base américaine en 2008 • A un sens de la répartie particulièrement virulent • Est décrite comme extravertie, souriante et particulièrement mordante • A en permanence une chaîne en argent à la cheville ornée d'un trèfle à 4 feuilles où il y a les initiales de la fraterie (J.N.C.W) • A fait un double cursus Journalisme - Psychologie • Adore manger par dessus tout • Attire les animaux comme le miel avec les ours • Bornée à en crever • Loyauté sans faille en amitiéDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #006699 RPs EN COURS : Willay #5#7 Il y a tes yeux qui me tuent quand tu me dis que c'est fini. Il y a le vent de nos sanglots qui souffle pour une amnistie. Mais rien n'arrêtera la lutte, rien n'assèchera cette pluie. Non rien ne finira la chute .
Aliénor #2 Tu nous entends l'Univers ? Si tu nous entends, attends-nous ! On arrive. On voudrait : tout comprendre, tout savoir, tout voir, tout vivre. On cherche la porte du nouveau monde pour pouvoir s'y fondre en grand.
Carter (scénario) Les jeux d'enfants sous la pluie disparaissent en un tour d'magie. Et quand l'orage éclate et qu'on s'retrouve à court d'abris. On aboie en silence dans nos voyages au bout d'la nuit. Au bout d'la nuit, j'écoute tes histoires fantastiques. Ça comble un vide en moi, toi, t'as plus de vies qu'un chat.
Ethel Hartfield, Clarence Aldridge et Chris Logan adorent ce message
I saw the stars and I didn't ask why crédit gif - Hunter Ethel - Wild - Clarence Juillet 2024
Maybe we'll pretend And say we'll meet again someday but We know it's the end
Le temps s'était écoulé depuis leurs derniers échanges dans la nuit qui suivit la conférence. Cette même soirée où il lui avait avoué sur cette scène vouloir repartir en Afrique. Si jusqu'ici elle était souriante et admirative de son projet, son océan s'était soudainement assombri. Elle l'avait laissé partir à l'autre bout du monde durant une décennie, il lui était tout bonnement impossible d'imaginer qu'il puisse ainsi s'en aller à nouveau. Malgré tout, elle avait ravalé sa douleur et l'avait serré dans ses bras pour le féliciter. De cette étreinte, elle avait cru percevoir cet attachement qu'ils n'arrivaient pas à formuler avec des mots. Et elle s'était bêtement accrochée à cet espoir d'une possible rédemption. A ses éclairs qui, pour une fois, ne gronderaient pas dans le ciel de leur histoire. S'en était suivi cet appel téléphonique dans les profondeurs de la nuit. Ce début de lumière qu'ils s'étaient laissés entrevoir avant, une énième fois, de tout faire voler en éclats. On a jamais été bon à rien ensemble, si ce n’est tout gâcher. Cette phrase qu'il avait prononcé avec cette amertume qu'elle lui connaissait tant. Et il avait fuit, encore. Depuis plus rien si ce n'est ce vague échange lors de son anniversaire qui avait ensuite laissé place à ce silence qui creusait un peu plus le fossé qui les séparait. Parce qu'ils ne savaient pas communiquer sans se détruire. Parce que leurs non-dits commençaient à peser bien lourd dans cette existence bien trop courte. Et pour une fois, la brune avait décidé que ce n'était pas à elle de faire le premier pas et de revenir vers lui. Cela faisait déjà de trop nombreuses fois qu'elle se laissait plier sous les sautes d'humeur du chat sauvage. Il reviendrait de lui-même lorsqu'il l'aurait décidé. Tout du moins, elle l'espérait secrètement...
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Il est tard déjà et la nuit est tombée alors qu'elle sort du restaurant The Burrow. Des éclats de rire résonnent derrière elle tandis qu'elle maintient la porte. Scott la suit avec cette bonne humeur contagieuse et la bouscule gentiment au niveau de l'épaule. « Je serai éternellement impressionné par tes capacités d'absorption de nourriture. » Il lui décroche un sourire amusé avant d'enchaîner. « T'es un vrai T-Rex c'est dingue. A se demander où tu mets tout ça. » Elle ne peut s'empêcher de rire à sa remarque avant d'ancrer son regard malicieux dans le sien. « Le secret c'est la course à pieds. » Et elle lui offre un clin d’œil taquin. C'était bien l'un des rares moments où elle troquait sa collection d'escarpins contre des baskets. Parce que courir avait toujours fait parti de sa vie. Cela lui permettait d'évacuer ce surplus d'émotions qui tentaient parfois de ravager tout son être. Et c'était pour maintenir cette stabilité, qu'elle courait quasiment tous les jours. Les autres sortent à leur tour de l'établissement et elle les salue tour à tour avant de serrer Scott dans ses bras. « On se voit demain au studio pour l'enregistrement avec Ian Thorpe. » Il hoche la tête pour valider avant de déposer un baiser sur sa joue et de disparaître au détour de la rue. Réajustant son sac, la féline prend alors la direction de son loft, ses escarpins résonnant sur le bitume.
Il est là à quelques mètres seulement en train de sourire, son océan chargé de cette douceur et de ce calme qu'elle n'a pas l'habitude de voir. Avec une délicatesse sidérante et cet air protecteur qui lui fend le cœur, il aide une petite brune à sortir de sa voiture. Son myocarde rate douloureusement un battement alors qu'elle assiste à cette scène malgré elle. Ses saphirs d'ordinaire pétillants de malice et de vie se voilent face à la tristesse qui enserre son cœur. Et au fur et à mesure qu'elle se rapproche d'eux, elle comprend que la situation lui échappe totalement. Parce que cette inconnue ne l'est finalement pas du tout. Ethel. Quelque chose vient de se briser tout au fond d'elle alors que le puzzle prend doucement forme dans sa mémoire. Elle se rappelle des mots échangés à l'hôpital lorsqu'elle avait eu son accident en mai. L'interne qui avait innocemment lâché Ah, j’allais oublier, il m’a dit de vous dire de passer le bonjour à Ethel quand vous la verrez. Cela voulait donc dire qu'elle faisait partie de son paysage depuis un moment déjà. Et les voir ainsi avec cette complicité et cette proximité flagrante ne fit qu'enfoncer le clou sur une jalousie qu'elle n'avait pas le droit de ressentir. Ses yeux s'étaient attardés sur leurs mains entrelacées et elle avait continué d'avancer vers eux en ravalant cette vague d'émotions qui tentaient de la submerger. Il avait fallut que le Destin s'acharne et qu'au lieu de mettre sur sa route une parfaite inconnue, il avait choisi Ethel Hartfield. Cette jeune femme d'une sensibilité poignante et d'une gentillesse comme Wild en avait rarement croisé au cours de sa vie. Au final, s'en était encore plus douloureux. Car elle comprenait à quel point cette dernière était un choix bien plus logique...
Arrivée à leur hauteur, elle parvient à remettre en place ce masque et offre un sourire radieux à Ethel. « Ethel. Comment vas-tu depuis tout ce temps ? » Elle se penche alors vers elle en la serrant chaleureusement dans ses bras. « Je n'avais plus de tes nouvelles depuis le départ d'Hassan des studios de la HBC. » Elle se recule lentement et son sourire s'efface alors qu'elle se tourne vers le vase. Son océan s'assombrit violemment tandis que sa voix résonne. « Clay. » Elle lui adresse un signe de tête avec cette froideur et cette distance qui lui brise le cœur et qu'il est le seul en capacité de comprendre. Si d'ordinaire, elle l'aurait serré dans ses bras, elle en est tout bonnement incapable. Ses saphirs ancrés dans les siens, quelques secondes s'écoulent sans qu'elle ne prononce un seul mot. Subissant cette souffrance dans un mutisme peu commun pour la brune. Se détachant de son regard, elle reporte alors son attention sur Ethel, sourire aux lèvres. « Alors, qu'est-ce que tu deviens ? Et qu'est-ce que vous faîtes tous les deux ici ? » A deux pas de chez moi... Mais cette dernière phrase ne parvient pas à franchir le seuil de ses lèvres. Et les interrogations qui lui brûlent la langue soulèveraient des questions douloureuses auxquelles elle ne préfère pas penser. Car après tout, que pouvaient-ils bien faire tous les deux à 22h30 hormis la fin d'un date...
J'suis déjà préparée pour la guerre
On finira par mourir, dans nos rêves ou bien nos souvenirs. Ou on continuera de s'aimer dans les yeux le temps d'un sourire. Il fait beaucoup trop froid en enfer. Viens je t'invite dans mon univers.
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Ettie STATUT : L'esprit constamment occupé par un brun au regard de glace, la peur au ventre de le perdre à chaque faux pas. Célibataire qui ne laisse personne l'approcher MÉTIER : Nounou de la petite Emilia Aldridge, un travail qu'elle ne considère plus comme tel depuis bien longtemps déjà LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1657 POINTS : 140
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Ruben#8 :: John :: Eden :: Willow :: Noah
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: icemacklin :: ub: loonywaltz :: gif profil : emmaofrph DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
I saw the stars and I didn't ask why crédit gif - envision imagines & Paula Rubio Ethel - Wild - Clarence Juillet 2024
La simplicité du moment présent, la complicité d’organiser la fête d’Emilia ensemble, cette folie de le traîner dans un cinéma pour voir une film de Disney alors que vous n’étiez que vous deux et que les autres étaient tous accompagnés d’enfant plus ou moins vieux… Cette journée t’avait fait un bien fou. Depuis que vous aviez crevé l’abcès de ta maladie, que vous vous étiez déchiré et qu’il t’avait obligé à faire face à tes démons à la place de fuir la douleur et la confrontation comme tu en avais l’habitude, tu sentais que vous étiez en train de reconstruire tranquillement ce lien qui s’était établi entre toi et lui sans que vous aviez eu à faire le moindre effort. Tu sentais qu’il veillait au grain, qu’il s’assurait que tu ne continues pas à t’auto-détruire en réduisant de plus en plus les portions de tes repas, mais il le faisait subtilement, sans essayer de te forcer à manger plus que ce que tu étais prête à ingurgiter. Cette journée s’était terminé avec le dernier film de Disney au cinéma, un film qui avait rempli ton coeur de légèreté. Tu t’étais fait prendre à entrer dans l’univers sans même te préoccuper de ce que Clarence pouvait bien penser. Les couleurs, les personnages, les chansons… Tu avais tout apprécié du film. Tu avais hâte qu’il sorte sur les plateformes en ligne pour pouvoir le faire découvrir à Emilia. « Mon éducation concernant les princesses risque d’être une véritable torture Mademoiselle Hartfield. » Tu éclata d’un rire franc alors que vous sortiez du cinéma. Tu te doutais bien que ce ne serais pas le genre de film qu’il apprécierait, mais tu étais contente qu’il ait fait l’effort de venir avec toi. « Avoue que juste pour le maïs soufflé du cinéma, ça vaut la peine. Ça et de voir les yeux étonnés de Millie lorsque tu lui sortiras une réplique de son film préféré ou que tu chanteras une chanson avec elle. » Un sourire était en place sur tes lèvres depuis le début de la journée et tu savais que ça prendrait un petit moment avant que tu redescende de ce petit nuage. Des moments comme ceux-là avec Clarence te faisaient oublier Jonathan, te faisaient oublier la douleur qui était latente dans ta tête, dans ton coeur. Tu avais promis à Catarina de passer après ta soirée avec Clarence. Tu lui avais dis que tu risquais d’arriver tard, mais elle t’avait mentionné que ça ne lui dérangeait pas, que vous vous feriez une soirée pyjama au pire. De toute manière, ça faisais longtemps que tu n’avais pas vu ta meilleure amie et tu avais une foule de choses à lui dire. Clarence avait garé sa voiture devant son immeuble depuis quelques minutes et tu n’avais toujours pas bougé. Après la tempête que vous aviez traversé il y avait quelques semaines tout ou plus, tu avais l’impression que si tu sortais de cette voiture maintenant, tu allais casser cette bulle autour de vous. Tu avais envie de voir ton amie, mais en même temps, tu ne pouvais t’empêcher de penser que cette journée se serait bien terminée autour d’un verre de vin dans le salon de Clarence, à discuter du film que vous veniez de voir. Puis, il bougea, sortit de la voiture et ouvrit la portière de ton côté. Cette galanterie te fit plaisir, toi qui n’avais pas été habituée à ça. « Tu as déjà failli tomber deux fois aujourd’hui, on va éviter une troisième… » Un air faussement irrité se dessinant sur ton visage avant de se transformer en regard amusé. « Tu l’as dis, je n’ai que failli tomber. Je commence à être bonne pour me rattraper seule maintenant. » Mais tu l’attrapas cette main tendue alors que tu avais hésité quelques millièmes de secondes à savoir si c’était une bonne idée d’avoir ce contact physique qui enflamma ta peau. Tu plongeas ton regard dans le sien, espérant qu’il voyait dans le tien à quel point tu avais passé une belle journée. « Passe une bonne fin de soirée avec ton amie. Et encore merci pour aujourd’hui. » Tu t’étais perdu dans son océan, dans ce sourire de lequel tu avais de la difficulté à détourner les yeux. Ce Clarence détendu te faisait plaisir à voir alors que tu l’avais si souvent vu torturer. Puis, son regard se détourna de toi et tu vis son océan s’assombrir. « Wild… » Tu fronças les sourcils avant de tourner ton regard dans la même direction que le sien. Et si le sien semblait maintenant torturé, le tien s’illumina en voyant la femme qui s’approchait de vous deux. « Ethel. Comment vas-tu depuis tout ce temps ? Je n'avais plus de tes nouvelles depuis le départ d'Hassan des studios de la HBC. » Elle s’approcha de toi pour te serrer dans ses bras et tu répondis à son étreinte. Wild était cette femme qui t’avait aidé à te retrouver plus d’une fois dans les couloirs d’HBC, qui t’avait aidé à te tailler une place à travers ce monde qui était composé d’une majoritée d’homme. Et même si tu ne l’avais jamais côtoyé à l’extérieur des murs de la station, tu l’appréciais beaucoup. « Wild ! Ça fait si longtemps. Ça va bien et toi ? J’ai changé de boulot depuis qu’Hassan a quitté son poste et je n’ai pas eu l’occasion de remettre les pieds à la station. » Lorsqu’elle porta son attention sur Clarence, tu vis son expression changer, la froideur peindre ses traits alors qu’elle avait été si chaleureuse avec toi. Tu fronças légèrement les sourcils, lança un coup d’oeil vers Clarence, constata qu’il était tout d’un coup tendu. Tu tenta un petit sourire, ton océan lui demandait s'il se sentait bien, si tu pouvais faire quoi que ce soit. Tu n'osais toutefois pas lui poser directement la question avec Wild face à vous. « Clay. » Tu n’eu pas vraiment le temps d’essayer de comprendre ce qui se passait, la relation entre les deux que le regard de Wild se reporta vers toi, sourire aux lèvres. « Alors, qu'est-ce que tu deviens ? Et qu'est-ce que vous faîtes tous les deux ici ? » Tes lèvres s’étirèrent dans un sourire sincère. « Je suis la nounou de la fille de Clarence maintenant. On arrive du cinéma, Clarence est venu me porter chez une amie qui habite dans le building. Et toi, tu deviens quoi ? » Tu tentais de détendre l’atmosphère, de faire abstraction du froid polaire qui s’était installé sur le trottoir, devant le building de l’appartement à Catarina.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.