ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : tony, tone, chef. STATUT : en couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, maison achetée avec un crédit - logique ! - pour marquer le début d'une nouvelle aventure. POSTS : 1199 POINTS : 0
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : daddy d’eva & mattéo (05/07/2024) ● et daddy de bandit, chien adopté dans un refuge animalierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ▬ pony #33
▬ allen's #01
▬ poppy #01
RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Brisbane - Tasty Tazzy « Anthony Lewis, je viens pour Juliet Ford. Un accouchement. J’étais coincé dans les bouchons et j’ai fait ce que j’ai pu pour venir le plus vite – pitié, dites-moi que je n’ai pas loupé le jour le plus important de sa vie... », il s’emballe. Il parle vite. Il en est même à bout de souffle et la main de l’infirmière vient se poser sur son bras et le tapote doucement pour lui faire comprendre que ça va aller. Elle pianote deux secondes sur son ordinateur et fait une petite moue, une grimace – c’est comme ça qu’il l’interprète. « Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? » Elle se pince les lèvres. « Ce n’est pas forcément le jour le plus important --- ils sont déjà en chambre, je vais vous y emmener, ok ? » Il acquiesce, nerveux. Une main nerveuse se passe dans sa nuque et vient se la masser nerveusement. Il a laissé la jeune femme accoucher seule --- l’enfoiré. Évidemment, il se sent coupable. Il se souvient de l’accouchement de Pénélope et combien sa présence avait été importante – du moins, à ses yeux. Ses pas le conduisent à une chambre --- une chambre dans laquelle il ne s’attend pas du tout à y perdre un morceau de son cœur, un morceau de son âme.
La porte s’ouvre et il tombe sur une scène à laquelle il ne s’attendait pas. Que Juliet soit allongée dans son lit, les cheveux emmêlés et rassemblés en un chignon déstructuré, ça il s’y était attendu. Que son fils Jacob soit dans sa couveuse, enroulé dans un tissu bleu, ça il s’y était attendu. Mais que ce soit un autre homme qui veille au-dessus de lui, ça c’était nouveau. « Tony ? », qu’elle lance presque surprise de le voir être ici alors que pourquoi être surprise ? après tout, c’était son fils. C’était également une date importante pour lui. Il dépose le bouquet de fleurs sur la tablette qui est près de son lit et son regard se pose sur le type en question. « J’ai fait aussi vite que j’ai pu --- je suis désolé d’avoir manqué » Elle baisse les yeux et il se tait aussitôt. Le géant se tourne vers eux. « Je vous laisse discuter de tout ça --- », qu’il souffle en esquissant un sourire désolé à l’intention de Tony qui le suit du regard jusqu’à ce qu’il disparaisse derrière la porte. Il en profite pour se rapprocher de son fils, le regard attendri. « Anthony, il faut que je te dise quelque chose, je suis désolée » et quand il se retourne pour voir son regard, il sait que quelque chose cloche. Les paroles de Juliet parviennent à ses oreilles, à son esprit de manière peu fluide. Il a dû mal à suivre. Il est sous le choc. « J’avais peur. J’avais personne avec qui pouvoir en parler, je ne savais pas si Karl reviendrait, s’il accepterait et je ne voulais pas d’un enfant sans père --- ca aurait pu être ton fils --- je sais que ça aurait pu l’être --- oh je suis désolée, Tony. Karl a décidé de le reconnaître, de l’accepter et de nous redonner une chance --- » Elle continue et il pose son regard sur cet enfant en se demandant s’il doit y reconnaître les traits de son visage --- mais apparemment, il n’est que la victime d’une piètre mascarade. Elle continue son discours. Elle lui explique un test de paternité sera fait, pour le convaincre, les convaincre. Elle lui explique que ça ne peut être que Karl, qu’ils s’étaient déjà séparés à l’époque --- et Tony se sent comme le dindon de la force. Il l’est.
Quand il se retrouve dans le couloir, le Karl en question est au téléphone et annonce la bonne nouvelle. Il est papa.
C’est fou mais pour la première fois de sa vie, il n’a pas envie d’en parler à Pénélope. Ce n’est pas à elle qu’il pense. Ce n’est pas son numéro qu’il compose. Il accélère le pas pour grimper dans sa voiture, rejoindre le Tasty Tazzy et s’enfermer dans son bureau en faisant signe à son sous-chef qu’il n’a pas envie d’être dérangé. La porte se ferme derrière lui et il se laisse tomber sur sa chaise. Aucune idée de comment ses jambes ont pu le porter jusqu’ici, le tenir sur pied jusqu’ici. Les larmes roulent sur ses joues. Enfin ! Anthony est en colère. Contre Juliet. Contre lui. Contre sa naïveté. Contre le fait qu’il y avait cru, trop facilement. Contre le fait qu’il avait espéré. Contre le fait qu’il s’était imaginé cette vie ensemble, avec Pen, les jumeaux et Jacob. Il avait honte. Honte de s’être laissé embobiner par celle qui avait passé tant d’années à jouer avec ses sentiments. Comment pouvait-il être aussi débile ? Les larmes sèchent et c’est la colère qui s’empare des traits de son visage. Aussitôt, il sort son téléphone de sa poche et écrit à Penelope qui savait qu’il se rendait à l’hôpital pour l’accouchement « je suis au tasty tazzy. j’ai besoin d’un peu de temps. ne m’attends pas. xxx. Le message est envoyé et il balance son téléphone sur son bureau pour finalement se laisser tomber en arrière sur le dossier de sa chaise. Les mains posées sur son visage, il essaie d’étouffer les sanglots qui parfois se transforment en râle. La colère. Toujours cette colère qui gronde en lui. Des semaines qu’ils se prennent la tête avec Pénélope. Des semaines qu’elle lui fait comprendre qu’il est de moins en moins fiable, qu’elle a besoin de lui comme son partenaire, de pouvoir compter sur lui. Il marmonne un juron qui est destiné à lui --- rien qu’à lui.
Voilà plus d’une heure qu’il est dans son bureau et si on jette un coup d’œil à la bouteille de tequila posée sur son bureau, il en est au moins à son cinquième verre. Il dormira ici. Il ne pense même plus à rentrer chez eux. Il ne sait pas ce qu’il pourrait lui dire. Comment pourrait-il lui expliquer qu’il a été pris pour un abruti par son ex-amante ? Qu’elle s’est foutue de sa gueule ? Qu’il n’est pas le père de cet enfant ? Qu’il n’est rien et pourtant qu’il a beaucoup trop fait --- Il a les pieds posés sur son bureau, son verre de tequila entre les mains et de la musique ska en fond sonore. Pathétique. Il est tout bonnement pathétique.
1.083 mots
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3159 POINTS : 90
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 ›
« je suis au tasty tazzy. j’ai besoin d’un peu de temps. ne m’attends pas. xxx. Lorsque je reçois le message de Tony, je suis à mon bureau et fronce les sourcils. Je lui réponds un petit : ok. Est-ce que ça va le bébé ? Il est au Tasty Tazzy ? Mais Juliet ne doit pas accoucher aujourd’hui ? La journée s’achève pour moi alors j’éteins mon ordinateur et range mes affaires. Il me faut demi-heure de plus pour arriver chez les parents de Tony et lorsque je pénètre dans la maison familiale, j’ai encore l’esprit occupé par le message qu’il m’a envoyé. Je jette un coup d’œil à mon téléphone : pas de réponse. C’est bizarre. Il me répond d’habitude et surtout il m’envoie un petit message avant de commencer son service en règle générale. J’ai l’intuition que quelque chose cloche et je remercie le ciel lorsque les parents Lewis acceptent de me garder les jumeaux cette nuit. Je ne peux rien leur dire parce que je refuse de trahir Tony mais cette situation me pèse.
Trente minutes plus tard, je suis enfin arrivée au restaurant familial. Je suis sur les nerfs déjà parce que j’ai cru devenir folle sur la route tellement il y a avait de bouchons ce soir et parce que plus je me rapprochais du restaurant, plus j’appréhendais ce que j’allais y trouver. Et mes craintes se confirment. Le sous-chef – j’oublie son nom à chaque fois ! – m’indique que Tony est enfermé dans son bureau depuis une heure et que, quand il est arrivé, il avait une tête bizarre et il a demandé à ne pas être dérangé ce soir.
Je suis loin d’imaginer ce qui m’attend derrière cette porte. Je m’imagine d’autres choses : son fils est en couveuse ? (peu probable, Tony m’avait dit que l’accouchement était prévu ces jours-ci donc je suppose que cet enfant n’a pas pu naître prématuré ?) Est-ce que l’accouchement s’est mal passé pour Juliet ? Est-ce qu’ils se sont pris la tête ? Est-ce qu’elle a refusé qu’il voit son fils ? Un espèce de chantage affectif ? Toutes ces possibilités me paraissaient dingues ! Ou pire encore, est-ce qu’il lui était arrivé un malheur ? J’étais certaine que Tony serait resté à l’hôpital si c’était le cas.
Je tourne la poignée de la porte et je suis surprise qu’elle ne soit pas fermée à clé. Je passe en premier ma tête et voit Tony avachi dans sa chaise de bureau, une bouteille de Tequila à moitié vide, posée sur le bureau ainsi qu’un verre devant lui. « Je peux entrer ? » Je demande. Sans attendre sa réponse, je referme la porte derrière moi, la ferme à clé, pose ma veste et mon sac à main sur une chaise avant de venir à côté de lui. « Je me suis inquiétée de pas avoir de tes nouvelles alors je suis venue… » Il m’avait bien de ne pas l’attendre et même si c’était compliqué entre nous ces derniers temps, je ne peux pas m’empêcher de m’inquiéter pour lui. Je fronce les sourcils un instant quand j’aperçois son regard vide de toute émotion. Je meurs d’envie de le secouer, de le bombarder de question mais je n’ai pas, non plus, envie de le braquer alors je me tais – c’est dur !!!! – et j’attends qu’il veuille bien prendre la parole. 616 mots
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The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
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Anthony Lewis
la force tranquille
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : tony, tone, chef. STATUT : en couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, maison achetée avec un crédit - logique ! - pour marquer le début d'une nouvelle aventure. POSTS : 1199 POINTS : 0
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : daddy d’eva & mattéo (05/07/2024) ● et daddy de bandit, chien adopté dans un refuge animalierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ▬ pony #33
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▬ poppy #01
RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Brisbane - Tasty Tazzy La tête de Pénélope apparaît dans l’entrebâillement de la porte. Note à lui-même : ferme la porte à clé à l’avenir. Il ne se redresse pas. Il ne bouge pas. Son regard la suit. « Je peux entrer ? » En guise de réponse, elle obtient un haussement d’épaules. Il se retient de lui dire : tu es déjà rentrée, non ? A la place, il avale une nouvelle gorgée de son verre. L’alcool ne lui brûle même plus la langue, mauvais signe. Il ne sait pas si c’est parce qu’il a déjà trop bu ou parce qu’une partie de lui est morte dans cette chambre d’hôpital. Il ne devrait pas pleurer. Il ne devrait pas se sentir comme ça. Ce gamin, ce n’est même pas le sien. Il va bien. Tout le monde va bien. Sa vie va reprendre son cours normal. Juliet disparaît de sa vie. Pourquoi est-il aussi triste ? Est-ce que c’est de la tristesse ou de la colère ? « Je me suis inquiétée de pas avoir de tes nouvelles alors je suis venue… » Il lève un sourcil à sa remarque. Elle s’est inquiétée pour lui ? Ça veut dire qu’elle le déteste un peu moins ? Ou qu’il compte toujours un peu à ses yeux ? « Je t’avais dit que j’étais ici --- t’avais pas à t’inquiéter », souffle-t-il tout en reposant son verre sur son bureau.
« T’avais raison », il ajoute dans un soupir en se tournant vers elle. Se confronter aux traits de son visage, à son regard, à son air inquiet, il se sent encore plus con. « Je suis un idiot. J’ai été encore une fois son putain d’idiot --- », il hausse les épaules avec un air désabusé. « Le bébé va bien. Tout le monde va bien. » Il a le besoin de préciser car il la connaît suffisamment pour savoir qu’elle serait capable de s’inquiéter pour la santé de cet enfant qui n’est pas le sien, qui ne fera pas partie de leur famille, qui ne sera pas sur les albums photos. Un parfait inconnu. Ils ne le connaîtraient jamais. Fin de l’histoire. Risible. « J’étais sa bouée de sauvetage. Je l’ai été pendant près de cinq ans pendant son mariage --- le vilain petit secret --- Je l’ai été pendant son divorce, à lui donner un coup de main et encaisser les coups de son abruti de mari --- pourquoi est-ce que j’ai cru que ça allait changer ? Je suis qu’un putain d’idiot de l’avoir cru --- encore une fois, je l’ai cru », il fronce les sourcils, « j’ai vraiment cru que cet enfant allait être le mien --- elle m’a menti, Pen » Tony hausse les épaules en plantant son regard dans le sien. « Elle s’est foutue de ma gueule, elle s’est servie de moi et maintenant que son type est de retour --- elle me remet à ma place --- » Il étouffe un triste éclat de rire et laisse tomber sa tête en arrière.
« Tu peux m’le dire : je t’avais prévenu, t’as le droit de me le dire --- parce que putain, je le mérite. »
531 mots
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3159 POINTS : 90
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 ›
Je ne m’attendais pas à une effusion de joie, je me doutais même qu’il ne serait pas très content de me voir alors qu’il m’a fait comprendre qu’il voulait être seul, mais je m’inquiétais vraiment pour lui. « Je t’avais dit que j’étais ici --- t’avais pas à t’inquiéter » La vérité c’est que, même si on se prend la tête depuis quelques semaines, que Juliet et son bébé obnubile toutes ses pensées – et les miennes – , que j’ai envie de le secouer pour qu’il se rende compte du pouvoir qu’elle a sur lui, oui je m’inquiète pour lui. « Je sais. » je me contente de lui répondre. Mais c’était aujourd’hui que sa vie – la mienne aussi – prenait un nouveau tournant puisqu’il devenait papa une fois de plus. A la différence que cette fois, c’était son fils biologique – un enfant qu’il avait conçu avec Juliet – qui arrivait et qui allait bouleverser toute sa vie. Alors oui, qu’il ne soit pas à la maternité avec Juliet, ça m’avait inquiété et je m’étais dit que, peut-être, il voudrait que je sois là avec lui. Pour lui. Aussi pour essayer de comprendre.
« T’avais raison » Je le regarde sans comprendre, inquiète en même temps parce que je vois cette bouteille de Tequila et je comprends qu’il ne s’agit pas d’une bonne nouvelle que j’ai raison. J’espère juste qu’il ne soit rien arrivé à ce bébé. « Je suis un idiot. J’ai été encore une fois son putain d’idiot --- » Je ne comprends pas où il veut en venir, je ne comprends pas son air désabusé ni pourquoi il hausse les épaules. « Le bébé va bien. Tout le monde va bien. » Ok, le bébé va bien… je me rends compte alors, que je pousse un soupir de soulagement et lui demande : « Je comprends pas, si le bébé va bien c’est que … Qu’elle t’a interdit de le voir ? Tu sais que t’as des droits... » Mais ce n’est pas ça et je suis à des kilomètres d’imaginer ce qui vient de lui tomber sur le coin du nez. Il met fin au suspens. « J’étais sa bouée de sauvetage. Je l’ai été pendant près de cinq ans pendant son mariage --- le vilain petit secret --- Je l’ai été pendant son divorce, à lui donner un coup de main et encaisser les coups de son abruti de mari --- pourquoi est-ce que j’ai cru que ça allait changer ? Je suis qu’un putain d’idiot de l’avoir cru --- encore une fois, je l’ai cru », Je fronce les sourcils, le regard interrogateur et m’approche doucement pour poser mes fesses sur son bureau en prenant garde de pousser le verre et la bouteille de Tequila. j’ai vraiment cru que cet enfant allait être le mien --- elle m’a menti, Pen » Mon cœur se serre. Vraiment il se serre et je sens même les larmes me monter aux yeux. Je n’arrive pas à croire ce que j’entends. Je n’arrive pas à croire qu’elle ait pu faire ça. « Elle s’est foutue de ma gueule, elle s’est servie de moi et maintenant que son type est de retour --- elle me remet à ma place --- » Son rire, triste, me fend un peu plus le cœur. A sa place. Sa place d’éternel second dans la vie de Juliet. « Tu peux m’le dire : je t’avais prévenu, t’as le droit de me le dire --- parce que putain, je le mérite. » Je viens poser ma main sur son avant-bras de manière à ce qu’il lève les yeux vers moi. « Hey … Regardes-moi, j’ai aucune raison de fanfaronner. J’aurais préféré 1000 fois me tromper sur son compte. » Malgré tout ce que j’ai pu dire, bien sûr que j’aurais préféré me tromper sur son compte et j’étais même loin de la vérité la concernant, parce que lui faire croire qu’il est le père de son bébé et attendre le jour de l’accouchement – parce que son mari a décidé de prendre son rôle de père – pour lui dire la vérité c’est lamentable. Oh non, je suis très loin de fanfaronner même si une minuscule part de moi se sent libérée d’un poids énorme. « Je suis tellement désolée qu’elle t’ait fait croire tout ça.» Elle est allée beaucoup trop loin. Elle t’a vraiment pris pour un con ! Je me penche et pose doucement ma main sur joue avant de déposer un rapide baiser sur ses lèvres qui signifie un je suis là, t’es pas seul. « Viens, on rentre à la maison. On a pas dit y’a pas si longtemps que ça qu’on arrêtait de dormir séparément ? » Je tente de lui arracher un maigre sourire, « J’ai laissé les enfants chez tes parents et ils les gardent toute la nuit alors tu pourras te mettre minable avec la Tequila sans culpabiliser de pas les entendre pleurer. » Je verrouille mon regard dans le sien, mouillé de larmes et ça me serre un peu plus la gorge. C’est complètement immature mais j’ai envie d’aller à l’hopital pour lui refaire son portrait à Juliet. J’ai envie de lui faire mal autant qu’elle lui fait mal. J’ai envie qu’elle soit humiliée autant qu’elle l’a humiliée. Je suis pas une violente mais elle est allée beaucoup trop loin. « S’il te plait, rentres avec moi. » Lui demandais-je une fois de plus. 1008 mots
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TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : daddy d’eva & mattéo (05/07/2024) ● et daddy de bandit, chien adopté dans un refuge animalierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ▬ pony #33
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RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Brisbane - Tasty Tazzy Le contact de sa main sur son avant-bras est électrisant. Il relève la tête vers elle. Et il semblerait qu’elle soit de nouveau capable d’apaiser la colère. Un peu. Il relève la tête pour pouvoir la regarder même si la peur de croiser de la pitié au fond de ses yeux se fait plus grande et le terrifie. Qu’elle ait pitié de lui, ce serait le dernier coup. Le coup final. Le coup fatal. « Hey … Regardes-moi, j’ai aucune raison de fanfaronner. J’aurais préféré 1000 fois me tromper sur son compte. » Lentement, il hoche la tête. Il aurait aimé qu’elle ait tort, il aurait aimé lui parler de son fils, le lui présenter et discuter de nouvelle organisation au lieu de se retrouver comme un abruti dans son bureau, au Tasty Tazzy, à l’abri des regards. « Je suis tellement désolée qu’elle t’ait fait croire tout ça. » Une profonde inspiration. Et, l’alcool lui fait penser : vraiment ? Est-elle désolée ? Ou est-elle rassurée d’avoir eu raison, de ne pas voir un nouvel enfant ou même Juliet s’ajouter à leur équation ? L’alcool le fait douter. « Pas autant que moi --- », souffle-t-il alors qu’elle pose une main sur sa joue et vient déposer un baiser sur ses lèvres. Ce baiser est comme une étreinte et ses paupières se ferment même une seconde. Que doit-il dire ou penser ? Il est tout simplement perdu.
« Viens, on rentre à la maison. On a pas dit y’a pas si longtemps que ça qu’on arrêtait de dormir séparément ? » Elle essaie mais il est incapable de sourire. « J’ai laissé les enfants chez tes parents et ils les gardent toute la nuit alors tu pourras te mettre minable avec la Tequila sans culpabiliser de pas les entendre pleurer. » Là, elle parvient à lui voler un sourire alors qu’il se redresse sur sa chaise et vient poser ses mains sur les cuisses de Pénélope. Elle est debout, appuyée contre son bureau et il vient approcher sa chaise d’elle pour qu’elle prenne place entre ses genoux et qu’il enroule ses bras autour de sa taille, collant sa joue à son ventre. Une étreinte de mec bourré qui n’est pas encore certain de l’état de son équilibre. « S’il te plaît, rentres avec moi. » « J’comptais pas dormir ici, tu sais --- », dit-il dans un souffle avant de relever la tête vers elle, menton posé sur son ventre, ne desserrant presque pas son étreinte. « C’est juste que --- », il la libère et recule tout en restant assis sur cette chaise. « J’ai une overdose d’émotions. J’oscille entre la colère et la tristesse. Je ne sais pas encore ce qui prédomine --- la colère --- contre elle, contre moi, --- Je me sens si con, putain ! » Le putain est prononcé de manière un peu plus forte, le poing serré. « Et j’ai honte bordel, Pen. J’ai tellement honte d’y avoir cru ---», il finit par retrouver son regard. « Tu te rends compte que ton petit-ami à la naïveté d’une gamine de six ans ? »
523 mots
Pénélope Danbury
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ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3159 POINTS : 90
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 ›
Tony est anesthésié : par la nouvelle, par ce qu’elle lui a annoncé sûrement sans le moindre filtre. Je comprends aussi qu’il va lui falloir du temps pour digérer tout ça et l’accepter. Je me sens mal pour lui, je ressens aussi un mélange contradictoire d’émotions. Je suis triste parce que Tony était heureux d’être papa une fois de plus, heureux d’accueillir un fils et j’imagine qu’il s’était déjà fait des tas de films qui incluent le fait d’amener ce petit garçon avec lui au Tasty ou de lui apprendre je ne sais quelle recette de famille … Je suis aussi très en colère : contre Juliet surtout, de s’être jouée du Lewis de cette manière, de lui avoir fait croire à cette paternité, de lui avoir fait miroiter cette vie déjà compliquée avec les jumeaux mais d’autant plus compliqué quand on ajoutait ce bébé et elle, dans l’équation, je la détestais aussi d’avoir attendu le jour de l’accouchement pour lui balancer la vérité. Je la détestais elle et son mari tout simplement. Je culpabilisais aussi : de ne pas m’être assez méfiée d’elle, de ne pas l’avoir vu venir, de m’être fait embobiner par les belles paroles de la rouquine et parce que, moi aussi, mine de rien, j’avais commencé à me demander quel rôle, quelle place je pourrais avoir dans la vie cde cet enfant. Je m’étais projeté dans ce futur qui n’existerait jamais.
Plutôt que de rester ici, je proposais à Tony de rentrer à la maison où on ne serait que tous les deux parce que ses parents avaient dû s’apercevoir que je m’inquiétais pour leur fils aîné, ils avaient accepté de garder les jumeaux toute la nuit. Tony se redressa dans sa chaise et s’approcha un peu plus de moi. J’étais debout, les fesses appuyées contre son bureau et il s’approcha de manière à ce que je me retrouve entre ses genoux. Il m’enlaça, enroulant ses bras autour de ma taille et vint poser sa joue contre mon ventre. Le geste m’arracha un petit sourire parce qu’il devenait toujours très câlin et tactile dès qu’il buvait de l’alcool. J’en profitais pour passer doucement ma main dans ses bouclettes. « J’comptais pas dormir ici, tu sais --- » Il releva la tête sans desserrer son étreinte, « C’est juste que --- » Il se recule, me libérant de son étreinte et je ne le quitte pas des yeux : « J’ai une overdose d’émotions. J’oscille entre la colère et la tristesse. Je ne sais pas encore ce qui prédomine --- la colère --- contre elle, contre moi, --- Je me sens si con, putain ! » Je grimace parce qu’il ne devrait pas s’en vouloir. Il a réagi comme un mec normal lui, il a voulu assumer les conséquences de ses actes, c’est elle qui lui a fait croire tout ça. « Et j’ai honte bordel, Pen. J’ai tellement honte d’y avoir cru ---» - « Tu devrais pas, j’y ai cru moi aussi. C’est elle qui devrait avoir honte d’avoir menti pendant tout ce temps sur un truc si important ! Elle sait faire que ça : mentir ! » m’emportais-je avant de trouver son regard et de m’apaiser. « Tu te rends compte que ton petit-ami à la naïveté d’une gamine de six ans ? » Je lui adresse un sourire désolé, ce n’était pas de la pitié, c’était vraiment que j’étais désolée qu’il ait à vivre tout ça. « Je crois surtout que t’as eu la naïveté de croire qu’une personne qui a tant compté pour toi, que tu as tant aimé pendant tant d’années – 5 ans c’est ça ? - puisse te faire tant de mal. » C’était aussi de la naïveté ok, mais je pense vraiment qu’il ne la pensait pas capable de lui faire ça. Pas à lui alors qu’ils avaient vécu tellement de choses ensembles.
Je déglutis avec difficultés et hésitais quelques instants avant de lui poser la question mais c’était important pour moi d’avoir une réponse. « Est-ce que… » Demandais-je prenant garde à bien choisir mes mots, « Est-ce que c’est l’idée de pas avoir un autre enfant qui te rend triste ou c’est l’idée de ne pas avoir un enfant d’elle…un enfant qui serait un bout d’elle et un bout de toi ? » l’interrogeais-je prudemment. La question était simple mais la réponse, je l’attendais avec impatience : est-ce qu’il regrettait de ne pas avoir un autre enfant ou est-ce que c’était le deuil de ce fantasme d’une famille avec elle qui le rendait si malheureux ? Parce qu’l avait forcément dû y penser après toutes ces années, passé avec elle ! 853 mots
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The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
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Anthony Lewis
la force tranquille
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : tony, tone, chef. STATUT : en couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, maison achetée avec un crédit - logique ! - pour marquer le début d'une nouvelle aventure. POSTS : 1199 POINTS : 0
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : daddy d’eva & mattéo (05/07/2024) ● et daddy de bandit, chien adopté dans un refuge animalierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ▬ pony #33
▬ allen's #01
▬ poppy #01
RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Brisbane - Tasty Tazzy « Tu devrais pas, j’y ai cru moi aussi. C’est elle qui devrait avoir honte d’avoir menti pendant tout ce temps sur un truc si important ! Elle sait faire que ça : mentir ! » Elle, elle n’a pas honte. Elle est dans sa chambre à la maternité avec le père de son enfant et jacob. Le nouveau-né porterait les vêtements qu’ils avaient choisis ensemble. Le nouveau-né allait rejoindre sa chambre dont il s’était occupé. L’abruti ! Elle, elle n’a pas honte. Elle est heureuse. Elle vit son rêve de vie de famille. Peut-être qu’elle ne pense même plus à lui. Peut-être même qu’elle rit un peu de sa débilité à croire qu’il ait pu être le père de son enfant. « Je crois surtout que t’as eu la naïveté de croire qu’une personne qui a tant compté pour toi, que tu as tant aimé pendant tant d’années – 5 ans c’est ça ? - puisse te faire tant de mal. » Elle met le doigt exactement là où ça fait mal. La trahison. Il lui avait fait confiance. Il l’avait toujours cru – pourquoi est-ce qu’il n’apprenait pas de ses erreurs ? « C’était une belle connerie ---», marmonne-t-il frustré et encore bien trop en colère.
« Est-ce que… » Il repose son attention sur elle, les sourcils froncés, perplexe. « Est-ce que c’est l’idée de pas avoir un autre enfant qui te rend triste ou c’est l’idée de ne pas avoir un enfant d’elle…un enfant qui serait un bout d’elle et un bout de toi ? » « Ça n’a rien à voir avec elle », qu’il dit aussitôt, « ça fait des semaines que je me prépare à son arrivée, Pen. Je l’ai aidé à choisir un prénom, à m’occuper de son arrivée, j’étais même là quand il tapait contre son ventre – je m’étais fait à cette idée, cette idée selon laquelle il existerait, il ferait partie de nos vies --- je ne me suis jamais imaginé être père, Pen. Jamais. je le suis devenu avec Eva et Matteo --- je --- », il soupire, cherche du regard son verre mais il est derrière la silhouette de Penelope. Malin. « Je m’étais fait à l’idée, je l’aimais bien l’idée --- mais ça ne sert à rien d’parler de tout ça --- ça ne sert à rien car il n'existe pas cet enfant --- enfin si mais tu vois ce que je veux dire --- »
409 mots
Pénélope Danbury
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« C’était une belle connerie ---» Il s’emporte et je crois que j’ai mis le doigt sur la vérité. Il ne croyait pas, dans toute sa naïveté, qu’elle serait capable de lui faire tant de mal, pas à lui, pas après ce qu’ils avaient vécu tous les deux. Et ça faisait mal ce genre de trahison. « Je suis désolée, » répétais-je une fois encore, « Tu te feras pas avoir la prochaine fois, tu sauras de quoi elle est capable et tu … tu te méfieras, tu lui feras plus confiance. » En vérité, j’espérais surtout qu’il n’ait plus jamais à la revoir parce que dès qu’elle revenait dans sa vie, c’était pour y mettre le bordel !
Finalement je me décidais à lui poser la question qui me démangeait : est-ce que c’était le fait de ne pas avoir d’enfant ou de ne pas avoir d’enfant avec elle qui le rendait triste. « Ça n’a rien à voir avec elle. » Il n’eut pas à réfléchir longtemps et ça me soulageait en un sens parce que ça voulait dire qu’il n’avait pas de doutes. C’était de ne pas avoir un enfant qui le rendait triste parce qu’il s’était projeté, il avait participé à cette grossesse … « ça fait des semaines que je me prépare à son arrivée, Pen. Je l’ai aidé à choisir un prénom, à m’occuper de son arrivée, j’étais même là quand il tapait contre son ventre – je m’étais fait à cette idée, cette idée selon laquelle il existerait, il ferait partie de nos vies --- je ne me suis jamais imaginé être père, Pen. Jamais. je le suis devenu avec Eva et Matteo --- je --- » Putain de merde, ça me tordait l’estomac de l’entendre. Il avait pris le temps de l’aider à choisir un prénom et elle avait pris sa main pour la poser sur son ventre quand elle sentait qu’il donnait des coups ce bébé. « Je m’étais fait à l’idée, je l’aimais bien l’idée --- mais ça ne sert à rien d’parler de tout ça --- ça ne sert à rien car il n'existe pas cet enfant --- enfin si mais tu vois ce que je veux dire --- » J’acquiesce et me redresse en même temps, « Oui je vois ce que tu veux dire. » Lui répondis-je, « Et ça veut pas dire non plus que c’est fini et que t’as raté ta chance … On en aura peut-être tous les deux un jour des enfants, » lui balançais-je sans me rendre compte qu’il pourrait mal l’interprêter, « … En plus d’Eva et Matteo je veux dire … »précisais-je, « Et j’essaie pas de te dire que je suis enceinte ! » lui dis-je pour couper court à la conversation.
Je lui prends la main pour l’aider à se lever. « Maintenant, partons d’ici, » lui dis-je avec une certaine autorité tout en prenant la bouteille de Tequila, « On va récupérer ça et t’en ramèneras une bouteille pleine quand tu reviendras bosser parce que t’es pas le genre de patron à picoler au boulot. » Il ne pourrait pas me contredire, « Je vais aller dire à ton sous-chef que je te ramène à la maison parce que t’es malade et on s’en va, ok ? On prendra ma voiture et je t’amènerais demain. » Un petit clin d’œil avant de m’éclipser et de revenir quelques minutes plus tard, les clés à la main : « Tu vas pouvoir te lever ? » l’interrogeais-je. 663 mots
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RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Brisbane - Tasty Tazzy « Oui je vois ce que tu veux dire. Et ça veut pas dire non plus que c’est fini et que t’as raté ta chance … On en aura peut-être tous les deux un jour des enfants … En plus d’Eva et Matteo je veux dire … Et j’essaie pas de te dire que je suis enceinte ! » Les paroles de sa meilleure amie sont en train de le secouer et ça doit se voir à son visage car elle précise ne pas être enceinte, ne pas lui faire passer un message selon lequel ils allaient avoir un enfant. Un de plus. Il laisse échapper un éclat de rire et agite son index devant lui en la regardant dans les yeux. « très drôle – je suis honnête, Pen, j’ai ma dose de grossesse pour quelques années-là. Avec les jumeaux, on a un super double-pack qui fait déjà mon bonheur », et il est prêt à ne pas avoir un enfant génétiquement à lui. Il n’y avait jamais pensé à un mini-lui --- du moins avant cette histoire avec Juliet. Donc, il pouvait très bien être le plus heureux des hommes avec la famille qu’ils formaient aujourd’hui.
« Maintenant, partons d’ici, on va récupérer ça et t’en ramèneras une bouteille pleine quand tu reviendras bosser parce que t’es pas le genre de patron à picoler au boulot. » « J’étais pas non plus le genre de patron à tripoter ma meilleure amie dans mon bureau et pourtant c’est ce qui s’est déjà passé ---- », dit-il pour la taquiner avec un sourire idiot aux lèvres. Cela faisait un an --- déjà. « Je vais aller dire à ton sous-chef que je te ramène à la maison parce que t’es malade et on s’en va, ok ? On prendra ma voiture et je t’amènerais demain. » « Que je suis malade ? Tout le monde sait que derrière ce genre de message se cache un : il est bourré », et il laisse échapper un éclat de rire. Il rira moins demain et après-demain mais madame tequila l’aidait à encaisser et assumer la situation.
Quand elle réapparait et lui demande : « Tu vas pouvoir te lever ? » « Évidemment ! », dit-il en se levant d’un bond (plus ou moins). Son téléphone reprend sa place dans la poche de sa veste et sa main vient se glisser dans celle de Penelope, sans doute pour avoir un certain équilibre. Ils disparaissent du Tasty pour prendre la voiture de Penelope, la sienne restera sur sa place de parking. Sage décision.
3 novembre 2024, Bayside - chez Pen & Tony
Quand ils rentrent chez eux, Tony s’appuie contre le mur de l’entrée pour retirer ses chaussures puis sa veste et c’est en titubant (mais il ne l’avouera pas) qu’il finit par s’écrouler dans le canapé, laissant sa tête reposer sur le dossier du canapé. Son téléphone vibre. Il y jette un coup d’œil. Juliet. Il fronce les sourcils. Il ouvre le message. Elle s’excuse une fois de plus, ne pas avoir voulu lui faire du mal et qu’il aurait été un super père --- son cœur se serre, sa gorge se serre et il ne répond pas, se contente de jeter son téléphone sur la table basse pour ne surtout pas répondre. « Tu crois qu’elle m’a déjà vu autrement que comme ça ? », qu’il finit par demander en cherchant son regard. Avant d’être sa petite-amie, elle est sa meilleure-amie. Elle connaît tout de cette relation toxique et bancale qu’il avait eu avec Juliet. « Que son second choix ? », il demande d’un ton neutre.
596 mots
Pénélope Danbury
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Quand on nous arrivons enfin à la maison, j’ai encore en tête ses paroles et surtout sa tête quand il a cru que j’étais en train de lui dire que j’étais enceinte. On en a parcouru du chemin depuis un an et je ne parle pas que de l’arrivée des jumeaux mais surtout de nous, de comment on a évoluer, comment on a plus ou moins grandi. Il y a un an, je n’aurais jamais pensé que je me retrouverais à habiter avec mon meilleur ami, qu’il ne serait plus uniquement mon meilleur ami mais plus encore et qu’on formerait une famille. Non, ça c’était pas dans mes plans. C’était pas non plus dans mes plans de tomber enceinte d’un inconnu mais la vie était faite de surprises.
Je me sens déjà plus sereine, plus légère que quand j’ai débarqué au restaurant tout à l’heure et je dois dire que le Tony qui a un peu picolé m’a aidé à me détendre et je sais que demain, il regrettera toutes ls anêries qu’il a dite, mais en attendant, ça m’a fait rire.
Je laisse Tony s’affaler lourdement dans le canapé tandis que je jette mes escarpins dans le meuble à chaussure de l’entrée. Je dépose mon sac et ma veste sur la tablette et me dirige directement vers la cuisine pour prendre deux verres, la bouteille de Tequila toujours en main. Le téléphone de Tony vibre et j’ai un mal fou à me retenir de lui demander qui peut lui envoyer un message à cette heure-ci. « Tu crois qu’elle m’a déjà vu autrement que comme ça ? » Juliet. Ça ne peut être qu’elle qui lui envoie un message à cette heure-ci de toute façon. Sa question me prend par surprise et je prends une seconde pour réfléchir à la meilleure réponse à lui apporter. Je suis toujours sa meilleur amie, celle qui a assisté à cette relation toxique entre eux et en tant que meilleure amie, je me dois de lui dire la vérité. « Que son second choix ? » Je nous remplis à chacun un verre que je lui tends tandis que je me laisse tomber dans le canapé, à côté de lui. Je prends une gorgée du précieux liquide et grimace franchement. Le liquide me brûle le palais et la gorge. « Franchement ? » lui demandais-je sans me soucier réellement de sa réponse, je le sais qu’il a besoin d’entendre la vérité. « Je crois pas …Je crois qu’elle a toujours été consciente que tu pourrais pas aller avec son monde… Pas que t’es pas assez bien, ou quoi que ce soit, c’est simplement qu’elle renvoie un certain standing et que divorcer a jamais été une option qu’elle a envisagé parce que dans son milieu, encore plus en tant qu’avocate parce qu’elle savait ce qu’elle allait perdre, on divorce pas. » La vérité toute nue et pas belle. « Et je pense que toi aussi tu l’as toujours su au fond de toi que tu méritais pas qu’elle te traite comme ça, comme un second choix mais …mais quand vous étiez ensemble, elle te faisait te sentir exceptionnel, » de la manipulation pure et dure, « alors tu t’accrochais à ces moment-là en essayant de faire abstraction de toutes les fois où elle te traitait comme un second choix, en te disant que les bons moment, pourtant plus rare que les moins bons, valaient la peine d’endurer tout ça. » Je regarde devant moi et prends une nouvelle gorgée de Tequila avant de tourner la tête vers Tony, avant de grimacer, « Je parle trop c’est ça ? » 658 mots
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3 novembre 2024, Bayside - chez Pen & Tony « Franchement ? » Combien de discussions ont-elles commencé de cette manière dans nos vies ? Une bonne centaine ! La franchise avait toujours fait partie de nos vies, de nos conversations, de notre relation. Evidemment que nous devions parler avec franchise. Et même si répondre « oui » à cette question signifie que je pourrais – peut-être – ne pas apprécier la réponse, j’acquiesce d’un signe de tête et en levant légèrement les épaules pour qu’elle comprenne que je suis prêt à tout, à entendre sa franchise. Après tout, la tequila va m’aider à encaisser. « Je crois pas …Je crois qu’elle a toujours été consciente que tu pourrais pas aller avec son monde… Pas que t’es pas assez bien, ou quoi que ce soit, c’est simplement qu’elle renvoie un certain standing et que divorcer a jamais été une option qu’elle a envisagé parce que dans son milieu, encore plus en tant qu’avocate parce qu’elle savait ce qu’elle allait perdre, on divorce pas. Et je pense que toi aussi tu l’as toujours su au fond de toi que tu méritais pas qu’elle te traite comme ça, comme un second choix mais …mais quand vous étiez ensemble, elle te faisait te sentir exceptionnel, » elle marque un point. Quand nous étions ensemble avec Juliet, c’était magique. Certes nous ne pouvions nous faire qu’en cachette, à l’abri des regards, mais avec elle, dans ces moments, tout était possible. Il ne s’agissait que de pauses dans nos vies. Des instants hors du temps et pourtant, je m’y étais accroché. J’y avais cru. J’avais voulu y croire. « Alors tu t’accrochais à ces moment-là en essayant de faire abstraction de toutes les fois où elle te traitait comme un second choix, en te disant que les bons moment, pourtant plus rare que les moins bons, valaient la peine d’endurer tout ça. » Je soupire doucement et détourne le regard. J’avais aimé cette femme au point d’accepter ce second rôle pendant tellement d’années. Je ne lui avais jamais demandé de divorcer mais je lui avais souvent parler d’un avenir commun, que je pourrais prendre soin d’elle, que nous pourrions être heureux – nous aussi. Nous avions parfois la folie d’en discuter, de nous imaginer. L’amour vous fait faire des conneries, j’avais été con par amour --- puis j’avais été con par souvenir de cet amour. Pathétique. La franchise de Pen a l’effet d’un électroc même si elle en parle avec douceur, avec le ton de la meilleure amie --- ce n’est pas vraiment le genre de choses que l’on veut entendre, ou que l’on veut entendre tout de suite plutôt. Je me pince les lèvres, verre de téquila entre les mains.
« Je parle trop c’est ça ? » J’étouffe un rire derrière mon verre dont je bois une gorgée. « C’est juste que c’est beaucoup de franchise d’un coup », dis-je d’une voix rieuse en tournant la tête vers elle. « On en avait pas mal parlé à l’époque --- j’aurais été prêt à être le premier de ses choix --- vraiment --- quel con ! --- et le pire, c’est que j’ai voulu la croire cette fois-ci, en souvenir de ce qu’on avait pu vivre --- je me disais qu’elle pouvait pas se foutre de ma gueule sur ce genre de sujet --- apparemment, je me suis bien planté » Un haussement d’épaules. Le verre est fini, reposé sur la table basse. « Je suis désolé, Pen --- désolé que cette « quasi-relation » vienne encore nous faire chier aujourd’hui --- »
586 mots
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3159 POINTS : 90
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 ›
Je le sais que je parle beaucoup trop … Et en même temps, on en avait déjà parlé tous les deux de Juliet, de ce qu’ils avaient vécu ensemble par le passé et que, depuis le départ, je lui disais qu’il méritait mieux. Mieux qu’être le deuxième choix femme aussi fabuleuse soit-elle. Mieux parce qu’il méritait d’être le premier choix de quelqu’un, je le pensais à l’époque en tant que meilleure amie et je le pense encore aujourd’hui. Mais lui, était tellement amoureux d’elle, qu’il acceptait l’inacceptable. Et même si, à ce jour, il n’était plus amoureux, il avait accepté de la croire – croire cette histoire de bébé sans chercher à en savoir plus – en souvenir de ce qu’ils avaient vécu ensemble.
Je pense, désormais, qu’ils n’avaient pas la même vision de la relation qu’ils avaient vécu. Je pense que Tony l’a idéalisé, la voit comme une belle relation malgré tout et même si ils se faisaient du mal et elle, elle le voit comme l’éternel second, comme un remplaçant. C’était cruel bon sang ! Et je n’arrivais toujours pas à croire qu’elle ait pu – encore une fois – le manipuler sans la moindre culpabilité. C’est une profiteuse et c’est tout ! Je grimace en tournant la tête vers lui : oh oui il s’était bien planté en pensant qu’elle ne pourrait pas l’utiliser … une fois de plus ! « Moi non plus je pensais pas qu’elle pourrait te faire ça… Elle aurait fait quoi si son ex-mari n’était pas revenu ? Elle t’aurait fait croire que tu étais le père ? Elle aurait continué dans ce mensonge toute la vie ? » Ce n’était pas une vrai question évidemment, parce qu’elle nous a prouvé qu’elle était capable de tout pour préserver les apparences. « En fait, c’est juste les apparences qui sont importantes à ses yeux : tant qu’elle avait un père pour son bébé – peu importe s’il fallait te mentir et cacher la vérité, c’est pas grave parce que les apparences étaient sauves, elle avait un père pour son bébé – pareil pour son mariage parfait en apparence, elle t’avait toi pour le frisson et son mari pour la frime et le côté irréprochable … » Et je trouvais que ce n’était pas très glorieux.
Il pose son verre sur la table basse et j’en fais de même : « Je suis désolé, Pen --- désolé que cette « quasi-relation » vienne encore nous faire chier aujourd’hui --- » Je pousse un long soupir et ferme les yeux tandis que je passe une main dans ma lourde chevelure blonde avant de prendre la parole : « Promets-moi qu’elle se mettra plus entre nous. Que tu lui laisseras plus la possibilité de se mettre entre nous. » Lui demandais-je en plantant mon regard clair dans le sien : « Je sais pas si j’ai le droit de te demander ça mais s’il te plait, fais la sortir de ta vie … définitivement cette fois ! Elle t’utilise, elle te fait même croire que vous avez fait même un enfant ensemble, elle est … c’est une mauvaise personne ! » le suppliais-je presque même si je ne savais pas si je pouvais me le permettre. « Je suis sérieuse, c’était dur de te voir t’éloigner pour … pour elle parce que tu l’as faite passer en premier ces derniers temps même si je sais que tu avais des intentions louables … » Et évidemment que ça m’avait blessé et je ne voulais plus vivre ça. 623 mots
Spoiler:
The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
mon équipement!:
Anthony Lewis
la force tranquille
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : tony, tone, chef. STATUT : en couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, maison achetée avec un crédit - logique ! - pour marquer le début d'une nouvelle aventure. POSTS : 1199 POINTS : 0
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : daddy d’eva & mattéo (05/07/2024) ● et daddy de bandit, chien adopté dans un refuge animalierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ▬ pony #33
▬ allen's #01
▬ poppy #01
RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Bayside - chez Pen & Tony « Moi non plus je pensais pas qu’elle pourrait te faire ça… Elle aurait fait quoi si son ex-mari n’était pas revenu ? Elle t’aurait fait croire que tu étais le père ? Elle aurait continué dans ce mensonge toute la vie ? » « Elle est douée et convaincante dans le mensonge », souffle-t-il en baissant les épaules. « En fait, c’est juste les apparences qui sont importantes à ses yeux : tant qu’elle avait un père pour son bébé – peu importe s’il fallait te mentir et cacher la vérité, c’est pas grave parce que les apparences étaient sauves, elle avait un père pour son bébé – pareil pour son mariage parfait en apparence, elle t’avait toi pour le frisson et son mari pour la frime et le côté irréprochable … » Les lèvres se pincent devant la vérité qui peut paraître si brutale. Mais toutes les vérités ne sont pas faciles à entendre et celle-ci est douloureuse, plus douloureuse que les autres. Elle le place au rang de second. Une fois encore. Il avait cru en elle. Il lui avait fait confiance et le voilà qu’il était en train de se ramasser une fois de plus à la petite cuillère.
« Promets-moi qu’elle se mettra plus entre nous. Que tu lui laisseras plus la possibilité de se mettre entre nous. Je sais pas si j’ai le droit de te demander ça mais s’il te plait, fais la sortir de ta vie … définitivement cette fois ! Elle t’utilise, elle te fait même croire que vous avez fait même un enfant ensemble, elle est … c’est une mauvaise personne ! Je suis sérieuse, c’était dur de te voir t’éloigner pour … pour elle parce que tu l’as faite passer en premier ces derniers temps même si je sais que tu avais des intentions louables … » « Ce n’est pas elle que je faisais passer en premier, il n’y avait pas de compétition ou de priorité --- je veux que tu l’entendes une fois encore, Pen », il se tourne un peu plus vers elle et une de ses mains vient se poser sur elle pour appuyer ses paroles, « et t’as le droit de me le demander mais je peux d’ores et déjà te le confirmer. Je ne veux plus de cette personne dans ma vie, de près ou de loin. » les sourcils se froncent doucement, car en réalité, cela fait longtemps qu’il ne voulait plus d’elle dans sa vie … elle avait su trouver les bons arguments pour le secouer. Sa main quitte sa jambe pour venir se poser sur sa joue qu’il caresse du bout des doigts sans la quitter du regard. « Qu’elle m’ait blessé une fois de plus, qu’importe ! mais que toi, tu en ais à payer les frais – bordel, je m’en veux, je suis désolé Pen. T’as pas idée de combien je t’aime et combien je déteste l’idée qu’elle ne m’ait pas juste blessé moi mais nous tous --- », il approche ses lèvres des siennes et dépose un chaste baiser sur ses lèvres.
511 mots
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3159 POINTS : 90
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 ›
Juliet était maitresse dans l’art de la manipulation, encore une fois elle venait de le prouver et de la horrible des manières. Peut-être que moi aussi j’étais naïve en fin de compte parce que je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse aller jusqu’à lui faire croire qu’elle attendait un enfant de lui. Surtout qu’elle savait que cet enfant n’était pas de Tony mais elle aurait été prête à tenir ce mensonge toute sa vie pour préserver les apparences. Ce qui faisait mal, c’était que Tony s’était projeté dans cette grossesse, dans cette nouvelle paternité … Qu’il s’était impliqué auprès de Juliet pour la chambre de ce bébé, le prénom, il avait été près d’elle pour des étapes essentielles. Et même si je ne sautais pas de joie, moi aussi je m’étais impliquée indirectement là-dedans parce qu’il allait bien finir par venir à la maison cet enfant…
« Ce n’est pas elle que je faisais passer en premier, il n’y avait pas de compétition ou de priorité --- je veux que tu l’entendes une fois encore, Pen » J’acquiece sans pour autant être pleinement convaincue. Je m’étais toujours sentie en compétition avec Juliet. Je pensais que ce sentiment disparaitrait quand il avait mis fin à leur relation pour moi, mais dès qu’elle était réapparue dans nos vies, mes peurs étaient revenues immédiatement. Je ne doutais pas d’Anthony, je me méfiais d’elle, de son pouvoir de manipulation et de sa capacité à retourner la situation à son avantage, à jouer avec les sentiments et les émotions du Lewis. Voilà, c’était ça qui me faisait le plus peur. « Je sais que c’est ce bébé que tu voulais faire passer en premier mais elle a cette capacité à prendre toute la place, à t’accaparer …» Un haussement d’épaule tandis qu’il pose sa main sur jambe et que je viens emmêler mes doigts aux siens.
« et t’as le droit de me le demander mais je peux d’ores et déjà te le confirmer. Je ne veux plus de cette personne dans ma vie, de près ou de loin. » Il n’imagine pas à quel point j’accueille ses paroles avec un énorme soulagement. Je ne veux plus jamais entendre parler d’elle, de sa famille, de son mari … Plus rien ! Je veux qu’elle fasse partie du passé, de son passé à lui, qu’elle ne reste qu’un vieux souvenir dont on a pas envie de penser parce que ça réveille de mauvaises choses. Tony le sait, je ne suis pas jalouse. On pourrait croiser n’importe laquelle de ses ex, que ça ne me ferait ni chaud, ni froid, mais c’est elle mon problème. « Plus de Juliet, je veux plus entendre parler de ses manipulations et de ses mensonges. Et je veux plus qu’elle te fasse du mal. » Je rajoute en plantant mon regard dans le sien.
Sa main vient doucement se poser sur ma joue, « Qu’elle m’ait blessé une fois de plus, qu’importe ! mais que toi, tu en ais à payer les frais – bordel, je m’en veux, je suis désolé Pen. T’as pas idée de combien je t’aime et combien je déteste l’idée qu’elle ne m’ait pas juste blessé moi mais nous tous --- » Et il vient déposer ses lèvres sur les miennes avant que je ne vienne enrouler mes bras autour de son cou. Je reste dans cette position quelques secondes avant de tourner la tête pour embrasser brièvement son cou. « Je t’aime moi aussi, » lui murmurais-je. Je me détache lentement de lui sans pour autant m’éloigner : « Et elle aura pas réussi à nous séparer ou nous éloigner. On reste une équipe, pas vrai ? » Je lui adresse un petit sourire, puis je me penche pour remplir nos verres, lui tends le sien pour qu’on puisse trinquer : « On va passer au-dessus de tout ça et on va avancer … » Dis-je en tendant mon verre. 718 mots
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The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
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ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : tony, tone, chef. STATUT : en couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, maison achetée avec un crédit - logique ! - pour marquer le début d'une nouvelle aventure. POSTS : 1199 POINTS : 0
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : daddy d’eva & mattéo (05/07/2024) ● et daddy de bandit, chien adopté dans un refuge animalierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ▬ pony #33
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RPs EN ATTENTE : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
3 novembre 2024, Bayside - chez Pen & Tony « Et elle aura pas réussi à nous séparer ou nous éloigner. On reste une équipe, pas vrai ? » « Évidemment que nous sommes et restons une équipe, quoiqu’il arrive », et ils le sont depuis bien des années maintenant. Les épreuves, ils les encaissent et les affrontent. Parfois en y laissant des plumes, parfois en trébuchant mais ils finissent toujours par se relever et c’est ce qui compte le plus au final. Le résultat final est qu’ils finissent toujours par se relever et à avancer, ensemble, main dans la main. Elle libère son étreinte et il la voit leur resservir un verre. Demain, il aura mal à la tête – il en est plus ou moins convaincu et espère qu’ils pourront faire une sieste avec les enfants. Le but sera de tenir jusqu’à la sieste sans doute. « On va passer au-dessus de tout ça et on va avancer… » « Comme on fait d’habitude », réplique-t-il en venant trinquer avec elle, sourire aux lèvres. Son verre rencontre le sien et il le porte à ses lèvres pour en boire une gorgée et laisse ce silence apaisant et reposant s’installer entre eux.
Assis ou plutôt avachis l’un à côté de l’autre sur le canapé, verre de téquila entre les mains, c’est un retour en arrière ou presque. Tone fixe un point vide devant lui pendant quelques longues minutes en se demandant de quoi sera fait le lendemain, ce qui se passera demain --- et qu’est-ce qui pourrait leur arriver. Encore. Il n’en a aucune idée mais quelque chose lui dit qu’avec elle à ses côtés, il ne devrait pas s’inquiéter. Bientôt un an qu’ils sont un couple et regardez-les. Il tourne la tête vers elle à cette pensée. « C’est fou de voir où on en est --- dans nos vies je veux dire --- si quelqu’un t’avait dit qu’on en serait là à trente-six ans --- ensemble, proprio d’une maison, parents de deux enfants --- », il sourit et fait tourner le liquide dans son verre, « ça a été une année un peu folle, non ? » Il avale la gorgée de son verre cul sec pour avoir les mains libres et s’installer plus confortablement. « mais plus j’y réfléchis, plus je me dis que ça doit être la plus belle des années que j’ai eu à vivre et c’est sans aucun doute grâce à toi ---- j’espère que tu le sais »