ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end en colocation avec ta meilleure amie, ellie. POSTS : 789 POINTS : 2210
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) TW IRL : cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : eli est immature en #669999 RPs EN COURS :
elorah#2 ♡ so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
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elliwell#1 ✦ i'm only up when you're not down, don't wanna fly if you're still on the ground. it's like no matter what i do, well, you drive me crazy half the time. the other half i'm only trying to let you know that what i feel is true and i'm only me when i'm with you.
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stormwell#3 ϟ i'm beat but I can't be broken, knocked down but you gave me hope, and I can see it now, just gotta dig it out. these scars on my heart i own them. dark days when my will was stolen. i can bring it back. yeah I know it and I'm starting to feel again. you and me right now, we are unbreakable.
Pour une fois, tu étais arrivé à l’heure - ou presque, quinze minutes de retard, c’était rien quand même, sur les lieux de ton travail temporaire. Tu étais un peu énervé, parce que les mariés voulaient des photos avec des accessoires pour les invités de leur mariage et c’était un aspect de ton travail qui te faisait particulièrement chier à défaut d’être poli. Bien que c’était quand même drôle et qu’ils posaient tous dans des positions relativement amusantes, cela ne représentait pas l’âme d’un mariage dans ton esprit. Tu aurais aimé que la mariée te dise de prendre des photos des gens de manière aléatoire pour démontrer la joie et le bonheur de les voir s’unir en cette journée magnifique. Parce que oui, le ciel était d’un bleu éclatant, les nuages avaient disparu et l’éclairage était splendide. Le fait que l'événement était sous un chapiteau dans un parc avec un décor enchanteur te faisait presque regretter de ne pas t’opposer à ses demandes et n’en faire qu’à ta tête. Mais les factures s’empilaient et tu n’avais plus trop le choix d’acquiescer à ses exigences. Pourtant, tu lui avais fait parvenir ton travail au préalable et c’était l’une de tes forces de prendre les meilleures photos à l’insu des gens. Tu avais presque l’impression qu’elle t’avait manqué de respect en t’imposant ce photobooth particulièrement agaçant. Tu avais donc un sourire un peu trop faux accroché à tes lèvres et tu essayais tant bien que mal de ne pas montrer l’énervement qui t’habitait l’esprit. À un moment, il fut temps de prendre une pause, alors tu quittas le stand pour aller prendre un verre au petit bar aménagé dans un coin d’un chapiteau. Tu t’enfilas deux shooters, puis tu pris un verre de champagne, parce que pourquoi pas? Ton regard se perdit dans la foule. Les gens semblaient heureux d’être là. Il y avait juste deux ou trois personnes qui, visiblement, voulaient s’endormir, mais rien ne présageait que l'événement allait mal tourné. Pourtant, tu serais l’artisan de tes propres malheurs sans même le sentir venir. Malheureusement, ton regard croisa celui-là même que tu avais vu plusieurs fois dans des expositions. Tu ne lui avais jamais adressé la parole, mais tu avais au fil du temps nourri une certaine animosité envers cette personne. Il semblait toujours vouloir te narguer, comme s’il cherchait à t’embarrasser constamment ou te voler quelque chose dont tu ignorais toi-même l’existence. La vérité, c’était que ton cerveau avait manigancé pour toi tout un tas de scénario négatif et le voir là te faisait chier, et encore plus que ta tâche ingrate qu’on t’avait imposé en tant que photographe professionnel. Tu te levas d’un bond et tu allas à sa rencontre. « qu’est-ce que tu fous ici? » Pas de salut ni rien, juste un ton qui s’enlignait plus sur un « va-t-en, j’ai pas envie de voir ta gueule ici aujourd’hui ». « ma journée n’a pas bien commencé et tu viens me voler mon contrat? » Parce que c’était ça que tu avais dans l’idée probablement, que cet homme était juste un con qui marchait dans tes plates-bandes.
ÂGE : trente-deux ans (02.10) SURNOM : chamby. laundry pour les plus blagueurs. STATUT : célibataire. clairement pas une de ses priorités. MÉTIER : neurochirurgien au st vincent’s hospital. prometteur et investi, il publie fréquemment dans la presse spécialisée, davantage pour faire connaître son nom que pour faire avancer la recherche. POSTS : 234 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme, dépression, deuil, langage fleuri, milieu médical GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (six)olive ≈ willow ≈ eli ≈ asher #2 ≈ diego ≈ clarence RPs TERMINÉS : asher ≈ ruben ≈ ninaAVATAR : dacre montgomery CRÉDITS : goldanthem (avatar) + harleystuff (gifs) + old money. (signa) DC : norah sawyer & august constantine INSCRIT LE : 20/08/2024
La météo était propice aux festivités et c’était un mariage qui apprêtait à être célébré. L’après-midi baignait de sa lumière la réception, les verres de champagne scintillant dans les mains des convives. Mais Landry, tout cela, il n’y prêtait qu’une légère attention. Son regard tourné vers la foule, l’ironie de se retrouver ici, dans ce décor romantique, cet environnement qui n’aurait pu être plus idyllique pour ce genre de célébration, l’amusait. On l’avait invité en marge de l’assemblée, presque par devoir, parce qu’il connaissait vaguement un des témoins. Ce n’était pas le genre de chose qui l’émouvait. Mais il y avait quelque chose d’autre, ce jour-là, qui laissait un goût amer sur sa langue. Il observait les alentours puis, en une fraction de seconde, son regard changea lorsqu’il vit une silhouette qu’il reconnut immédiatement. Ce garçon qu’il avait pu croiser quelques fois à des expositions de photographie et dans des magasins spécialisés et pour lequel il n’éprouvait pas une once de sympathie. Il ne connaissait rien de lien, ni son prénom, ni le son de sa voix. Pourtant, il n’arrivait pas à le supporter. Sûrement son air gauche, ou aussi les regards qu’il lui lançait. Landry n’avait pas besoin de paroles pour comprendre le type d’homme qu’il représentait, du moins tel qu’il l’imaginait dans ses propres termes, avec son jugement caractéristique. Il semblait être le genre d’individu qui trouvait un plaisir dans l'exagération de son apparence, un photographe qui imposait son style, comme s’il s’agissait d’une sorte de spectacle. À ses yeux, c’était un parasite opportuniste et il semblait bien qu’il était en mission dans ce mariage. Et alors que Landry terminait une gorgée de limonade, ne consommant pas d’alcool, il sentit cette irritation grandir, remonter de son ventre jusqu’à sa mâchoire. Tout en posant sa coupe sur une table voisine, il prit une inspiration, réprimant cet élan d’agacement par une façade polie, sa spécialité. De son côté, le photographe semblait plus détendu puisqu’il buvait de manière un peu trop décontractée pour un professionnel. Dans d’autres circonstances, Landry aurait pu le tolérer, se contenter d’un échange froid et de quelques regards entendus. Mais aujourd’hui, c’était différent. Il venait à lui et Landry observa son arrivée avec un sourire carnassier. « qu’est-ce que tu fous ici? » Il manqua de rire, l’ignorance du garçon était savoureuse, peut-être même un peu trop. « Je ne suis qu’un invité mais je serais ravi de te remplacer une fois que les mariés se rendront compte que leur photographe est aussi ivre que la grand-mère. » D’un coup d’oeil, il faisait référence à la doyenne qui, à sa table, riait aux éclats après avoir vidé sa troisième bouteille de champagne. L’idée l’amusait sincèrement, même s’il n’avait aucune envie de prendre les photos de ce mariage ennuyeux. « va-t-en, j’ai pas envie de voir ta gueule ici aujourd’hui. » - « Oh mais tu n’auras pas d’autre choix que de me supporter. Même, je me ferais un plaisir de rester jusqu’à la dernière seconde. Par chance, je suis même invité au repas de ce soir. » Un grand sourire au visage, il lui donnait les armes pour l’agacer sur un plateau d’argent, forcément il allait en profiter. Sa voix le rendait encore plus insupportable, dans d’autres circonstances il serait parti pour ne plus avoir à l’écouter mais là, le terrain de jeu était idéal pour le pousser à bout. Il paraissait déjà agacé de le voir, il n’avait encore rien vu. Car il était là dans un cadre professionnel, Landry lui était convié, il avait donc une marge de manœuvre beaucoup plus importante. « ma journée n’a pas bien commencé et tu viens me voler mon contrat? » Il fronça les sourcils, était-il inconscient ? Ou aimait-il se saboter lui-même ? Encore une fois, Landry allait en profiter pour lui faire comprendre qu’il n’aurait jamais dû venir l’aborder de la sorte. « Je ne vais rien voler à un photographe aussi pathétique. » Croyait-il que lui aussi était un photographe professionnel ? Ce n’était pas du tout le cas, même s’il était persuadé que n’importe qui pouvait le remplacer à ce stade. « Voilà donc à quoi tu te résumes. Des accessoires ridicules pour des invités à qui tu offres des poses dignes d’un carnaval pour enfants. C’est cela, ta conception de la photographie ? », poursuivit-il d’une voix basse mais incisive, ses lèvres dessinant un sourire indéchiffrable. Il ne prit même pas la peine de dissimuler le dédain dans son regard, comme s’il lui offrait en guise de salut ce qu’il pensait de lui. Dans cette mise en scène d’un mariage qu’il trouvait pourtant banal, Landry s’était déjà résigné à trouver son intérêt ailleurs. Mais ce regard dédaigneux qu’il adressait à Eli témoignait de l’irritation qu’il ressentait, une sorte de répulsion viscérale qu’il ne cherchait même plus à dissimuler. Son ton se fit plus acide encore, chaque phrase prononcée d’une lenteur calculée, comme s’il voulait que chaque mot s’insinue profondément dans l’esprit de son interlocuteur. « C’est donc cela que tu fais pour remplir ton ‘contrat’ ? Je n’aimerais pas être les mariés quand ils vont recevoir les clichés dans quelques jours... » Le silence qui suivit sa dernière tirade flotta dans la tension ambiante. Il observa le garçon, ses yeux perçants captant chaque réaction infime que ses paroles pouvaient provoquer chez lui. Landry aimait ce moment, ce frisson de pouvoir, d’avoir, ne serait-ce qu’une seconde, dompté l’arrogance de son interlocuteur. Puis, d’un geste lent, il glissa les mains dans les poches de son costume, une posture décontractée mais volontairement intimidante, et observa Eli, impassible. Il n’avait nul besoin de s’éterniser dans cette confrontation. Les choses étaient dites, parfaitement orchestrées pour laisser son interlocuteur dans un état de réflexion inconfortable, une sensation de doute. Alors, se redressant, il mit un point final à leur échange d’un ton totalement détaché, laissant une certaine ironie flotter. « Profite bien de tes derniers clichés. Enfin, si tu y arrives malgré tout l’alcool qu’il y a dans ton sang. » Il recula d’un pas, comme pour signaler que la conversation était close. Landry appréciait ces moments, ces confrontations où son calme et sa supériorité s’exprimaient sans avoir besoin de hausser le ton ou de recourir à la violence. Ses paroles, choisies avec une minutie clinique, chirurgicale avaient atteint leur objectif. Tandis qu’il s’éloignait lentement, un dernier sourire imperceptible étira ses lèvres. Il savait qu’il laisserait le garçon dans l’inconfort, et cela lui convenait parfaitement.
i might hate myself tomorrow, but I'm on my way tonight, at the bottom of a bottle, you're the poison in the wine
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end en colocation avec ta meilleure amie, ellie. POSTS : 789 POINTS : 2210
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Ta tolérance vis à vis de l’alcool était exemplaire et il s’agissait probablement de la seule et unique raison pour laquelle tu ne sortais pas un discours plus haineux à l’égard de l’homme qui avait toujours le malheur de croiser ta route. Tu n’avais pourtant rien d’un alcoolique. Tu réservais cette qualité médiocre à ton paternel qui lui possédait tous les défauts que la terre pouvait porter. Tu ne savais pas pourquoi cette colère que tu avais pour ce dernier se transpose envers cet inconnu. Pourtant, il ne lui ressemblait même pas. Ils n’avaient rien en commun mis à part ce petit air suffisant, moqueur qui jugeait ton âme sans aucune retenue, alors que tu t’étais avancé vers lui d’un pas décidé. Landry qui était pourtant un parfait inconnu dont tu ignorais même le prénom avait toujours manifesté sa présence aux pires moments de ta vie, alors tu avais fait de lui un ennemi, alors que probablement, il n’avait rien du portrait que tu en faisais dans ton esprit. Tu savais pertinemment que le traitement que tu lui réservais était particulièrement injuste, mais les mots fusèrent telles des épines dans les airs. La cible était étonnamment beaucoup plus résistante que tu l’avais prévu. Cela ne t’affecta pas pour autant, ne laissant absolument rien paraître de ton malaise au niveau de tes traits. Tu n’en étais pas à ta première joute verbale et tu n’en serais probablement pas non plus à ta dernière. Souvent, tu usais des mots avant les poings, qui n’étaient réservés qu’en dernier recours. Tu savais pertinemment qu’un jour, tu frapperais trop fort et trop longtemps et que les conséquences de cette violence auraient de graves répercussions dans ta vie. Les démons étaient bien présents aujourd’hui. Ils te regardaient du coin de l'œil, te narguaient sans aucun répit. Il n’y avait rien ni personne pour t’apaiser. Ta lumière n’était pas présente et bien qu’elle soit toujours dans un coin de ton esprit, son absence physique t’empêchait d’y voir plus claire. « Je ne suis qu’un invité mais je serais ravi de te remplacer une fois que les mariés se rendront compte que leur photographe est aussi ivre que la grand-mère. » Tu fronças les sourcils, puis un sourire amusé étira aussitôt tes lèvres en te tournant vers la femme la plus âgée de la foule. Décidément, s’il te comparait avec elle, il avait un sérieux besoin de lunettes. « si on fait un concours de celui qui marche le plus droit tout en jonglant avec des couteaux, il est évident que je gagne haut la main. Je sais même pas si elle serait capable de marcher droit un coup sur ses deux jambes. Je crois que t’as besoin de lunettes… » Tu haussas les épaules, puis croisa les bras contre ton torse, plantant ton regard directement dans le sien. T’étais probablement plus jeune que lui, mais tu en avais vu d’autres. Tu te demandais bien ce que ce mec un peu trop propre sur lui avait de plus que toi. non, rien. Il faisait juste chier, voilà tout, alors tu le sommas de partir, parce que sa simple vue te donnait envie de vomir - et cela n’avait rien à voir avec les shooters que tu t’étais enfilés quelques instants plus tôt. . « Oh mais tu n’auras pas d’autre choix que de me supporter. Même, je me ferais un plaisir de rester jusqu’à la dernière seconde. Par chance, je suis même invité au repas de ce soir. » Bien malgré toi, tu réprimas un soupir tandis que tu voyais un immense sourire sur les traits du visage de ton interlocuteur déjà assez insupportable comme ça. Tu lui souhaitas donc avec beaucoup de bonheur de s'étouffer avec le poulet qui serait servi en soirée. « Je ne vais rien voler à un photographe aussi pathétique. » Tout de suite les grands mots! Avait-il non seulement vu tes photographies pour oser dire cela! « pathétique? et qu’est-ce te permet de dire ça? » Et tu étais sérieux, tant qu’à se lancer des insultes, autant que ces dernières soient bien fondées, non? Mais ton interlocuteur avait visiblement déjà prévu de t’expliquer en long et en large son point de vue. « Voilà donc à quoi tu te résumes. Des accessoires ridicules pour des invités à qui tu offres des poses dignes d’un carnaval pour enfants. C’est cela, ta conception de la photographie ? » Encore une fois, tu ne fis que sourire dans un premier temps. Mais il est sérieux, lui? Un sourire mauvais, sans aucune once de joie et de bonheur qui, en fait, ne faisait qu’accroître le sentiment de colère en toi et bien malgré tout, cela transparaissait dans le mouvement qui étirait tes lèvres. « oh? parce que tu crois que ça m’amuse de faire ça? » Tu te rapprochas un peu plus de lui, non sans embarquer dans sa bulle parce que tu n’en étais pas rendu là encore. Au lieu de ça, tu te plaças à sa droite pour observer la foule, mais également éviter de regarder à nouveau ce sourire qui te donnait que l’envie de frapper sans retenue. « c’est la mariée qui m’a demandé de me prêter à ce jeu oh combien! RI-DI-CU-LE. » T’avais rien à lui prouver, mais lorsque ton interlocuteur t’insultait sur des informations complètement erronées, ça avait le don de te délier la langue. « je crois que t’es pas très doué dans ton travail de détective, parce que t’as visiblement tout faux. » Tu haussas les épaules, prenant une gorgée de ton champagne tandis que tu observais les gens autour de toi. « C’est donc cela que tu fais pour remplir ton ‘contrat’ ? Je n’aimerais pas être les mariés quand ils vont recevoir les clichés dans quelques jours... » Un rire amusé s’échappa de tes lèvres. Tu ne savais pas à quoi il s’attendait à provoquer chez toi avec sa dernière tirade, mais comme elle était fondée sur des mensonges, cela ne te faisait ni chaud ni froid. « tu seras déçu de savoir que ces photos, c’est elle qui l’a demandé. Ce n’est pas de ma faute si la mariée n’a AUCUN goût. » tu avais parlé un peu plus fort que prévu, puisque un invité tourna la tête dans votre direction et se mit à chuchoter d’un air interloqué à son compagnon de table. Tu ne t’en soucias pas pour autant. Tu avais raison, la mariée n’avait aucun goût. Elle ne savait pas respecter ton talent et les photos qui en ressortiraient seraient les plus belles malgré tout, parce que tu avais du talent. Personne, pas même ce con à tes côtés n’allaient t’enlever cela. Tu étais doué et tu en avais parfaitement conscience. Ton interlocuteur, mains dans les poches, se redressa, peut-être pour paraître plus intimidant, mais c’était tout de même ironique, puisqu’il était bien plus petit que toi. « Profite bien de tes derniers clichés. Enfin, si tu y arrives malgré tout l’alcool qu’il y a dans ton sang. » Ce fut la goutte qui fit déborder le vase déjà beaucoup trop pleins. Tu n’allais pas le laisser filer ainsi, alors tu avanças de quelques pas dans sa direction, lui empoignant le bras par le fait même. Tu t’en foutais bien que le geste soit déplacé. Tu n’en avais rien à foutre que les gens te regardent de travers. Ce mariage et ce contrat étaient déjà tout deux des fiascos à l'heure actuelle et tu te demandais même pourquoi tu étais resté aussi longtemps. Tu déposas ton verre dans les mains de quelqu’un qui passait par là pour éviter de le briser et de blesser un autre inconnu que ton interlocuteur malveillant. « j’en ai pas fini avec toi, tu penses que tu es bien meilleur que moi? Tu penses que tu sais tout? je peux prendre des meilleures photos que toi les yeux fermés! » rien de moins.
ÂGE : trente-deux ans (02.10) SURNOM : chamby. laundry pour les plus blagueurs. STATUT : célibataire. clairement pas une de ses priorités. MÉTIER : neurochirurgien au st vincent’s hospital. prometteur et investi, il publie fréquemment dans la presse spécialisée, davantage pour faire connaître son nom que pour faire avancer la recherche. POSTS : 234 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme, dépression, deuil, langage fleuri, milieu médical GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (six)olive ≈ willow ≈ eli ≈ asher #2 ≈ diego ≈ clarence RPs TERMINÉS : asher ≈ ruben ≈ ninaAVATAR : dacre montgomery CRÉDITS : goldanthem (avatar) + harleystuff (gifs) + old money. (signa) DC : norah sawyer & august constantine INSCRIT LE : 20/08/2024
Landry ne pouvait l’expliquer mais il ne pouvait supporter la vue du garçon en face de lui, surtout après qu’il lui avait adressé la parole de la sorte. Il avait du cran mais il était stupide, Landry n’était pas du genre à se laisser faire, surtout qu’il ne se trouvait pas à l’hôpital. Il n’avait pas vraiment d’image à protéger, il n’était qu’un simple invité à un mariage. Lui en revanche semblait avoir été engagé pour prendre des photos des mariés, une grave erreur. « si on fait un concours de celui qui marche le plus droit tout en jonglant avec des couteaux, il est évident que je gagne haut la main. Je sais même pas si elle serait capable de marcher droit un coup sur ses deux jambes. Je crois que t’as besoin de lunettes… » Il grimaça, ses mots n’avaient aucun sens. Plus le temps passait et plus il doutait de la sobriété de son interlocuteur. Les sourcils froncés, l’image l’amusait tout particulièrement, alors il rétorqua. « Vas-y défis là. Mais encore une fois, je pense que tu as d’autre chose à faire. » Un regard vers la table d’honneur, il pointa du doigt les deux mariés qui mettaient l’ambiance. « Par exemple, tu viens de rater les cadeaux des témoins. C’est triste de se dire qu’ils n’auront pas ce souvenir dans l’album que tu leur enverras. Mais ne t’inquiètes pas, je suis sûr qu’il y a d’autres personnes qui l’ont fait à ta place. » Un sourire carnassier, il savourait le fait que des invités puissent faire un meilleur travail que le garçon. Car c’était une réalité, au delà du fait qu’il faisait perdre du temps à Landry, il perdait des occasions de prendre de belles photos, ce qui s’était produit de l’autre côté de la salle. Sur cette base, il se permettait de le considérer comme pathétique, sans trop de scrupule. « pathétique? et qu’est-ce te permet de dire ça? » - « Wow. En plus, il manque de lucidité. », dit-il comme un narrateur de série que les personnages ne pouvaient entendre. Sauf qu’ici, il commentait de manière à ce qu’il l’entende, il n’allait pas s’en empêcher de toute façon. « Je vais te faire une faveur. Retourne dans ce coin de la salle et faire ce pour quoi on t’a engagé. Au lieu d’importuner les autres invités. » Il était tout bonnement insupportable et n’avait pas conscience de ce qu’il était en train de faire. Il espérait que ce soit la faute de l’alcool, sinon il aurait un sérieux doute quant au professionnalisme du photographe. Enfin, il en doutait déjà. « oh? parce que tu crois que ça m’amuse de faire ça? » Les yeux écarquillés, plus il parlait et plus il s’enfonçait et plus Landry était diverti. Bien sûr que Landry allait appuyer la descente de sa nouvelle bête de foire. « Pourquoi tu es là alors ? Parce que tu as l’air de plutôt bien t’amuser au bar. » Référence aux verres qu’ils avaient bu avant de venir le voir, Landry a toujours eu de grandes capacités d’observation et en particulier pour ce genre de détails qui pouvaient déstabiliser les autres. « Au cas où tu l’aies oublié, tu n’es pas là pour t’amuser mais pour travailler, non ? » Il était très étrange que le verbe amuser sorte de la bouche du photographe alors qu’il était sous contrat et il n’allait pas le lâcher à ce sujet. « c’est la mariée qui m’a demandé de me prêter à ce jeu oh combien! RI-DI-CU-LE. » Il ne connaissait pas suffisamment les mariés pour confirmer ou non les dires de son interlocuteur, sur cette information il le croirait. Un rire s’échappa de ses lèvres. « Très ridicule en effet. » Et c’est sûrement pour cela que ça lui va si bien. « je crois que t’es pas très doué dans ton travail de détective, parce que t’as visiblement tout faux. » - « Ca ne change rien au fait que tu es toujours là à me parler au lieu de faire ton travail. » Un air exaspéré, il commençait doucement à perdre patience et à être ennuyé par les paroles de son interlocuteur. Il regardait ailleurs, essayant de trouver quelque chose qui valait vraiment son attention, jusqu’à ce qu’il ajoute une nouvelle maladresse. « tu seras déçu de savoir que ces photos, c’est elle qui l’a demandé. Ce n’est pas de ma faute si la mariée n’a AUCUN goût. » Il afficha un visage amusé, retournant son regard vers le garçon. Forcément, il n’allait pas laisser passer l’occasion d’être médisant. « En plus tu insultes tes clients. » Son excès de franchise était problématique surtout que d’autres pouvaient l’entendre. Il n’avait pas compris les enjeux de son métier, ni les conditions qui encadraient la relation client-prestataire. Malheureusement, ce dernier constat ne fit qu’accélérer la fuite de Landry, préférant partir plutôt que passer une seconde de plus avec ce pitre. Mais il le rattrapa, agrippant le bras du neurochirurgien par la même occasion. Un regard noir en retour, il chassa le bras d’Eli par sa main d’un geste brusque, presque sauvage. « j’en ai pas fini avec toi, tu penses que tu es bien meilleur que moi? Tu penses que tu sais tout? je peux prendre des meilleures photos que toi les yeux fermés! » - « Tu crois que c’est une compétition ? Je m’en fiche des photos que tu prends, je suis davantage inquiet par la réaction des mariés. J’ai mieux à faire que parler avec un moins que rien comme toi. » Il reprenait sa manche pour qu’elle retrouve l’état dans laquelle elle était avant que son interlocuteur vienne la froisser, tournant de nouveau ses talons. « Remet donc un de tes déguisements, la table des enfants a l’air de t’attendre depuis tout à l’heure. Après tout, c’est bien là-bas qu’est ta place. » Il s’autorisa une dernière pique avant de quitter la conversation, visiblement agacé par Eli, que ce soit par ses actes ou son comportement.
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Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end en colocation avec ta meilleure amie, ellie. POSTS : 789 POINTS : 2210
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La colère faisait partie intégrante de ta personne. Elle s’était développée rapidement lors de ton enfance, lors des passages éclairs de ton paternel dans ton existence et puis, elle n’avait fait que s’accentuer au fil des années face aux injustices de la vie. Malgré tout, elle était restée au fond de toi-même comme une simple présence désagréable. Tu te souvenais pile du moment où elle s’était transformée en autre chose de plus fort et de plus dérangeant. Il s’agissait du moment où tu avais appris pour le cancer de ta mère. Depuis ce moment précis, elle ne faisait que grandir. Elle n’était plus spécifiquement au fond de ton cœur. Elle avait envahi chaque recoin de ton esprit jusqu’à ce qu’elle soit omniprésente, te bouffant de l’intérieur. Pourtant, même si elle était toujours là, tu arrivais la majorité du temps à la garder à bonne distance pour qu’elle ne paraisse pas dans les traits de ton visage. Tu l’extériorisais en faisant de la boxe. Parfois, lorsqu’elle se préparait pour une sortie, tu buvais de l’alcool pour la calmer comme en ce moment-même. Mais même si tu descendais une bouteille complète, probablement que tu n’arriverais pas à te calmer, pas aujourd’hui. Plus la discussion avançait avec l’inconnu, plus tu avais de la difficulté à maîtriser le monstre qui sommeillait en toi. Il te fallait pourtant résister. Il fallait que tu évites une scène. Même si tu détestais cette partie de ton travail, tu n’avais pas le choix de faire des compromis. Tu avais le droit de leur en vouloir de ne pas user de tes talents à bon escient, mais il ne fallait pas le montrer. En ce moment, il s’agissait d’un véritable miracle que tu n’aies pas encore sauter à la gorge de cet homme. Tu n’en étais pas à ta première joute verbale avec une personne dans son genre. Cependant, il savait où piquer pour t’agacer. Il le faisait probablement exprès et possiblement que ça l’amusait de sortir des mensonges en flot continue. Tu aurais dû simplement partir et le laisser seul avec ses conneries. Mais tu n’étais pas doté de raison aujourd’hui. Tu peinais à réfréner tes pulsions. Il y avait principalement le fait que l’inconnu n’arrêtait pas de parler du fait que tu avais bu sur les lieux d’un mariage sur lequel tu bossais. Ce qu’il ne savait pas, c’était que la mariée t’y avait autorisée et que évidemment, tu avais le droit à une pause. Et tu savais que si tu le mentionnais à haute voix, il allait retourner le tout contre toi. Rendu là, tu te disais que tu t’en foutais. Tu te cherchais une excuse pour taper sur quelqu’un. Il allait finir par te la fournir, c’était une question de temps.
Au fur et à mesure que la conversation progresse, tu remarquas que ton interlocuteur te sortait toujours la même rengaine, que tu devrais travailler au lieu d’être en train de lui parler. Tu ne lâcherais pas le morceau, c’était mal te connaître. Rendu là, l’opinion de la mariée t’était totalement secondaire. Tu avais déjà foiré ce contrat dans ta tête. Cette conversation n’allait pas bien finir. Tu le savais dès que tu t’étais avancé dans sa direction. Tu savais que t’étais foutu au moment même où il t’avait répondu. Tu n’allais pas rebrousser chemin, tu n’allais pas regretter tes choix. Il y avait bien quelque chose dont tu étais fier, c’est que tu acceptais pleinement tes actes, même si ces derniers relevaient de la stupidité et de ton manque flagrant de maturité. « Par exemple, tu viens de rater les cadeaux des témoins. C’est triste de se dire qu’ils n’auront pas ce souvenir dans l’album que tu leur enverras. Mais ne t’inquiètes pas, je suis sûr qu’il y a d’autres personnes qui l’ont fait à ta place. » Malgré la colère qui menaçait dangereusement de faire une sortie, tu te mis à sourire. Évidemment, il n’y avait pas une once de joie dans ce dernier. Il était plutôt teinté de haine et de sarcasme. Tu haussas les épaules et tu lui mentionnas que tu n’étais pas payé pour ça. Certes, tu aurais très bien pu les prendre en photo et leur faire la surprise. À quoi bon, tu avais déjà classé la mariée comme étant une personne de mauvais goût. On ne te payait pas pour ça, tu n’aurais pas non plus de bonus, alors pourquoi faire tant d'efforts? « je crois que tu ferais mieux de te faire examiner, parce que tu répètes toujours les mêmes choses. » tu haussas les épaules, mais tu ne souris pas pour autant. Ce qui commençait à t’agacer sérieusement et ce qui faisait monter ta tension artérielle, c’était les piques constantes de ton interlocuteur. Il ne te connaissait pas et se permettait de dire que tu étais pathétique et que tu manquais de lucidité. Sérieusement, même si tu n’obtenais pas d’argent de ce contrat, tu serais prêt tout de même à lui acheter une paire de lunettes à tes frais tellement il était aveugle. « Pourquoi tu es là alors ? Parce que tu as l’air de plutôt bien t’amuser au bar. » - « ouais, et bien je commence à croire que j’aurais dû en boire un ou deux de plus. » que tu mentionnas en soupirant un peu plus fort que tu l’avais prévu. « tu parles sans arrêt du fait que je devrais retourner travailler, alors que j’ai clairement droit à une pause? Mais bon, visiblement dans ton monde, les gens sont des esclaves? j’imagine que tu es au top de la chaine et que tu mènes au doigt et à l’oeil des pauvres bougres comme moi et que tu te la coules douce dans ton petit monde de riches? tu crois que tout t’est dû parce que tu as des beaux vêtements et que tu écrases les autres pour remonter ta propre estime? j’en ai croisé des tonnes dans ton genre. En apparence, vous êtes parfaits, mais à l’intérieur, vous êtes totalement vides. Peut-être que cette journée sera un désastre de mon côté, mais au moins, au final, je ne suis pas une mauvaise personne et je le sais. Tu sembles pourri jusqu’à la moelle. » Okay, tu te permettais bien des spéculations sur ce point, mais ce n’était pas de ta faute. Cet inconnu était une représentation de ton père, même si physiquement, il ne lui ressemblait pas. Mais il en avait étonnamment certaines manières et ça te donnait envie de lui rentrer dedans avec toute la force dont tu étais capable. « En plus tu insultes tes clients. » - « mais qu’est-ce que ça peut bien te faire ce que je dis? hein? tu la connais personnellement? elle est ta meilleure amie? tu couches avec elle? pourquoi la défendre de cette manière? » Il n’y avait désormais plus aucune retenue devant tes lèvres.
L’homme s’était éloigné, mais tu l’avais aussitôt rattrapé, agrippant son bras par la même occasion. Il s’était aussitôt dégagé d’un geste brusque. Tu avais beau serrer les mâchoires, t’écorcher les mains, rien n’y faisait. Ce n’était pas l’alcool qui t’avait mis dans cette position. Cela n’avait rien à voir. Tôt ou tard, il y aurait eu une situation trigger et tu en serais venu au même point. Tu allais exploser, ce n’était qu’une question de minutes. « Tu crois que c’est une compétition ? Je m’en fiche des photos que tu prends, je suis davantage inquiet par la réaction des mariés. J’ai mieux à faire que parler avec un moins que rien comme toi. » - « un moins que rien? et toi, t’es quoi? une merde qui vient jouer dans les plate-bandes des autres? » Tu ne réfléchissais plus désormais. La phrase qu’il prononça par la suite fut la goutte qui fit déborder le vase déjà bien trop plein. Tu t’élanças de nouveau à sa suite, mais tu ne savais pas ce que tu allais faire. L’idée de lui taper dessus était très tentante, mais tu frôlais souvent la limite sans la franchir. Par contre, la vieille dame, celle-là même qui était clairement beaucoup trop saoule se mit en travers de ton chemin à la dernière seconde ce qui te fit trébucher (promis, c’est pas l’alcool!) et tu entrainas par le fait même Landry dans ta chute. Alors que tu essayais de te démêler les pinceaux, le frère de la mariée se dirigea vers vous. « ça suffit vous deux! je vous observe de loin depuis tout à l’heure et avant que vous fassiez du mal à qui que ce soit, je vous mets dehors! Prenez vos affaires et déguerpissez! » - « hey? c’est pas de ma faute si ce con n’arrête pas de … » Mais tu n’eus pas la chance de finir ta phrase que tu étais déjà hors du périmètre de la mariée. « oui, bon j’ai compris… » tu te retournas vers l’homme dont tu ne connaissais toujours pas le nom, mais que tu avais surnommé affectueusement le connard dans ta tête. « j’espère que tu es fière de toi… » tu soupirant, remplaçant tes affaires. Tu vérifias si ton appareil, celui que ta mère t’avait offert, n’était pas brisé et tu poussas un soupir de soulagement en voyant que tout était okay. Ce que tu regrettais par contre, c’est que dans ta chute, tu n’avais pas l’impression d’avoir abîmé un tant soit peu ton voisin… dommage…
ÂGE : trente-deux ans (02.10) SURNOM : chamby. laundry pour les plus blagueurs. STATUT : célibataire. clairement pas une de ses priorités. MÉTIER : neurochirurgien au st vincent’s hospital. prometteur et investi, il publie fréquemment dans la presse spécialisée, davantage pour faire connaître son nom que pour faire avancer la recherche. POSTS : 234 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme, dépression, deuil, langage fleuri, milieu médical GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (six)olive ≈ willow ≈ eli ≈ asher #2 ≈ diego ≈ clarence RPs TERMINÉS : asher ≈ ruben ≈ ninaAVATAR : dacre montgomery CRÉDITS : goldanthem (avatar) + harleystuff (gifs) + old money. (signa) DC : norah sawyer & august constantine INSCRIT LE : 20/08/2024
Le garçon avait beau l’agacé, il avait au moins du répondant et plus on lui répondait, plus Landry était stimulé. Une boucle de réprimandes se créa et il comptait bien, encore une fois, en sortir victorieux. Il ne connaissait rien de son interlocuteur, même pas son prénom, si ce n’était son attrait pour la photographie et le fait qu’il semblait en faire son travail. Ou alors était-ce seulement une faveur qu’il faisait aux mariés aujourd’hui. Peu importe, Landry comptait bien l’attaquer sur son professionnalisme, c’était bien le seul angle par lequel il pouvait le piquer. Le physique, c’était pour les novices de la joute verbale, une facilité qui était vide, sans profondeur et témoignant d’un manque de créativité et d’originalité. Alors qu’il mettait en exergue une évidence - celle où son interlocuteur préférait parler avec lui plutôt que prendre en photo ce qui semblait être un moment joyeux, Landry était surpris par la réponse du garçon. « je crois que tu ferais mieux de te faire examiner, parce que tu répètes toujours les mêmes choses. » Il ne savait pas qu’il était médecin, d’autant plus neurochirurgien. Il le saurait s’il perdait ses facultés neurologiques. Il se contenta de sourire, répondant calmement. « C’est parce que t’as pas l’air de comprendre. Du coup je suis obligé de faire ce qu’on fait avec les enfants, répéter sans cesse la même chose jusqu’à ce qu’ils comprennent. Mais toi, ça a l’air d’être peine perdue. » Essayait-il de le dénigrer en sous entendant que le garçon avait une compréhension inférieure à celle d’un enfant ? Certainement. C’est peut-être lui qui avait besoin de consulter, ou alors était-ce encore une fois l’alcool qui lui jouait des tours. « ouais, et bien je commence à croire que j’aurais dû en boire un ou deux de plus. » Il écarquilla les yeux un instant, plus il prenait la parole et plus il s’enfonçait. Il n’avait jamais vu un spécimens de la sorte et il s’en amusait presque. « Dis le encore plus fort, tant que tu y es. » Il le mettait au défi, tant quelques visages commençaient à se tourner vers eux. Il s’en rendait compte mais cela ne le déstabilisait pas. Après tout, Landry adorait avoir la lumière sur lui et il se réjouissait de celle qu’il aurait après avoir remis le garçon à sa place. « tu parles sans arrêt du fait que je devrais retourner travailler, alors que j’ai clairement droit à une pause? Mais bon, visiblement dans ton monde, les gens sont des esclaves? j’imagine que tu es au top de la chaine et que tu mènes au doigt et à l’oeil des pauvres bougres comme moi et que tu te la coules douce dans ton petit monde de riches? tu crois que tout t’est dû parce que tu as des beaux vêtements et que tu écrases les autres pour remonter ta propre estime? j’en ai croisé des tonnes dans ton genre. En apparence, vous êtes parfaits, mais à l’intérieur, vous êtes totalement vides. Peut-être que cette journée sera un désastre de mon côté, mais au moins, au final, je ne suis pas une mauvaise personne et je le sais. Tu sembles pourri jusqu’à la moelle. » Face à la tirade de son interlocuteur, il afficha un grand sourire, pas du tout perturbé par les paroles qui étaient portées à son encontre. L’éthanol lui avait véritablement monté au cerveau et Landry dut passer une main devant sa bouche pour ne pas rire aux éclats. Il répondit, toujours avec le même ton calme, quelques secondes après. « De un, je ne suis pas sûr que faire une pause veuille dire que tu aies le droit de te saouler. De deux, merci pour le compliment sur mes vêtements, je te donnerais l’adresse du tailleur avec plaisir. De trois, tu es ridicule. Tu as envie de dénoncer la société, les gens dans mon genre ? Fais de la politique, de la relation publique mais pas de la photographie. il me semble qu’on te paie pour prendre des photos, pas pour ouvrir ta bouche, qui plus est pour dire des inepties. Il serait peut-être temps que tu reviennes à la réalité. Tu te rends ridicule là. » Toujours assis à sa chaise, il reposa sa tête sur son poing, lui même accoudé à la table derrière lui. Et il l’observait se donner en spectacle, comme le public face à la représentation d’un saltimbanque. « mais qu’est-ce que ça peut bien te faire ce que je dis? hein? tu la connais personnellement? elle est ta meilleure amie? tu couches avec elle? pourquoi la défendre de cette manière? » Cette fois-ci, il se permit de rire, croisant le regard de quelques invités dont l’attention avait été attirée sur eux, ces derniers l’accompagnant dans sa réaction. Le public riait, le fou avait réussi sa mission.
Il était temps que le spectacle touche à sa fin, du moins Landry n’allait volontairement plus y participer. Sa scène à lui, c’était l’hôpital, pas un simple mariage où il ne connaissait quasiment personne. Alors, il se leva, prêt à quitter les lieux ou du moins, s’installer dans un coin beaucoup plus calme. Il pensait à la longue journée qui l’attendait le lendemain, suivie d’une nuit de garde. Il avait besoin de repos et même s’il avait apprécié cette danse des mots avec le garçon, il y mettait un terme définitif. Sauf qu’il n’avait pas prédit que le garçon le suivrait, qu’il le ferait chuter au sol même. Il avait eu le reflexe de s’appuyer à une chaise pour empêcher qu’il ne s’étale par terre. Il se redressa aussitôt, un regard noir porté sur son précédent interlocuteur. Il était en plein délire, incapable de se rendre compte des conséquences de chacun de ses actes. Il était prêt à lui dire en face, mais c’était un proche de la mariée qui prit la parole à sa place. « ça suffit vous deux! je vous observe de loin depuis tout à l’heure et avant que vous fassiez du mal à qui que ce soit, je vous mets dehors! Prenez vos affaires et déguerpissez! » D’un coup, la colère laissa place à la joie sur son regard. Il l’avait enfin, sa porte de sortie. Certes, elle n’était pas la plus classe qu’il soit, mais elle avait le mérite d’exister. Il attrapa sa veste alors qu’il faisait face à la consigne où il avait posé ses affaires en arrivant ici. Il quitta les lieux sans regarder derrière lui, s’attendant à ce que le garçon le suive. « j’espère que tu es fière de toi… » - « Très. Il était tellement nul ce mariage. » Il lui sourit avant de tendre sa main à son interlocuteur. « Landry. Je suis incapable de savoir qui je connais entre les deux mariés pour qu’on m’ait invité mais je suis soulagé de partir. En revanche, ça risque d’être compliqué de demander des recommandations pour toi, j’imagine... » Le brin de malice naturel retrouva ses prunelles. « Par contre tu aurais pu attendre le dessert, quand même. Bon si le repas est à la hauteur de l’ambiance, je pense qu’on a rien rater. » Il continua les piques mais cette fois-ci, destinées à ce mariage dont il aurait dû décliner l’invitation.
i might hate myself tomorrow, but I'm on my way tonight, at the bottom of a bottle, you're the poison in the wine
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end en colocation avec ta meilleure amie, ellie. POSTS : 789 POINTS : 2210
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) TW IRL : cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : eli est immature en #669999 RPs EN COURS :
elorah#2 ♡ so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
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elliwell#1 ✦ i'm only up when you're not down, don't wanna fly if you're still on the ground. it's like no matter what i do, well, you drive me crazy half the time. the other half i'm only trying to let you know that what i feel is true and i'm only me when i'm with you.
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stormwell#3 ϟ i'm beat but I can't be broken, knocked down but you gave me hope, and I can see it now, just gotta dig it out. these scars on my heart i own them. dark days when my will was stolen. i can bring it back. yeah I know it and I'm starting to feel again. you and me right now, we are unbreakable.
Évidemment, si l’on connaissait ton histoire, on penserait facilement que tu ne souhaiterais pas faire honte à ta mère en agissant de la sorte. Il serait facile de blâmer également tes agissement sur le fait qu’elle allait trépasser bientôt. Lorsque tu sentais la colère monter en toi, il n’y avait personne qui pouvait t’empêcher de réagir au quart de tour. Tu étais une fusée où la mèche avait complètement disparu, prête à exploser au visage du premier venu. Tu avais beau enfoncer tes ongles dans ta peau le plus fort qu’il t’était possible, rien n’y faisait. Cela ne suffisait pas à te calmer. Heureusement que tu frappais en dernier recours. Tu n’avais pas besoin d’un dossier criminel, ça te ferait une tache encore plus grosse sur le cv de tes erreurs. L’inconnu te tapait royalement sur les nerfs, mais ce n’était pas pour autant que tu allais le frapper. Simplement l’imaginer sous tes coups te faisait le plus grand bien. Peut-être que son sourire stupide allait enfin s’effacer de son visage empli d’arrogance. Tu aurais pu payer pour voir ça, mais non, à la place, tu continuais cette joute verbale comme un cercle sans fin dont tu ne connaissais toujours pas le vainqueur. Évidemment, tu aimerais que ce soit toi, mais quelque chose te disait qu’au final, il n’y aurait peut-être pas de grand gagnant, mais bien, deux perdants. « C’est parce que t’as pas l’air de comprendre. Du coup je suis obligé de faire ce qu’on fait avec les enfants, répéter sans cesse la même chose jusqu’à ce qu’ils comprennent. Mais toi, ça a l’air d’être peine perdue. » Un sourire étira tes lèvres et tu préféras ne pas répondre, étalant plutôt le fait qu’il semblait se prendre pour le roi du monde, alors qu’en fait, il était probablement vide à l’intérieur. Tu méprisais ce genre d’individus qui se croyaient supérieurs aux autres. Évidemment, il s’agissait que de suppositions, mais tu te l’imaginais bien au top de la chaîne. Discriminer les autres pour se sentir supérieur, il n’y avait rien de plus minable que cela dans ta tête. Tu aurais bien pris un autre verre là maintenant, mais tu n’allais pas le laisser te rabaisser encore plus. « ouais, ben, je me dis que j’aurais dû faire ça… me saouler. Ce mariage, c’est de la merde du début à la fin. Si tous les invités sont comme toi, bah moi je veux plus rien avoir affaire avec ça. je perds mon temps. » Tu perdais souvent des contrats à cause de tes retards, alors tu te disais que tu aurais dû rebrousser chemin lorsque la mariée avait fait ses demandes. Le chèque à la fin n’en valait pas la peine si c’était pour dévaloriser tes talents.
Aveuglé par ses paroles et les siennes, tu ne remarquais même pas que l’attention de certains invités était dirigée vers vous. Tu ne portais pas attention non plus au frère de la mariée qui commençait à taper du pied avec énervement. Lorsque certaines personnes se mirent à rire, tu haussas simplement les épaules. Tu n’avais pas prévu de te donner en spectacle de la sorte, mais cet individu eut raison de tes dernières réminiscences de patience. Alors lorsqu’il se leva pour ainsi mettre fin à votre combat des mots, tu le suivis sans même réfléchir. Tu n’avais évidemment pas prévu que la vieille dame dont vous aviez parlé quelques instants plus tôt allait se mettre en travers de ton chemin. Résultat, tu tombas littéralement sur l’individu que tu méprisais ardemment dans une danse absolument ridicule. Le pire, c’est que ce dernier se rattrapa, alors toi, tu t’étalas sur le sol. Tu aurais dû essayer de le frapper parce que ça aurait été plus propre que ça. En deux temps trois mouvements, le frère de la mariée vint vous sortir tous les deux du périmètre du mariage. Après avoir vérifié que toutes tes affaires étaient en ordre, tu reportas ton attention sur le crétin. « Très. Il était tellement nul ce mariage. » Tu le regardas sourire et tu fixas pendant quelques secondes la main qu’il te tendait. Le sourire qu’il affichait sur ses lèvres n’avait absolument rien à voir avec les expressions faciales qu’il t’avait imposées quelques minutes plus tôt. Méfiant, tu serras sa main, te demandant si tu n’avais pas affaire soudainement à un dédoublement de personnalité incongru. « Landry. Je suis incapable de savoir qui je connais entre les deux mariés pour qu’on m’ait invité mais je suis soulagé de partir. En revanche, ça risque d’être compliqué de demander des recommandations pour toi, j’imagine... » - Le prénom, c’est Eli. Mais t’aurais pu me le dire que tu voulais partir… ça aurait été peut-être plus simple que de faire une scène comme celle-là. » tu lâchas sa main, observant le malice dans les yeux de ton interlocuteur. Tu haussas finalement les épaules, te disant que c’était une façon comme une autre de tirer sa révérence. « oh les recommandations, je m’en fous à vrai dire. Les mariages comme ça avec des demandes complètement ridicules comme elle m’a fait, j’en veux plus désormais. En plus, je lui avais montré mon travail avant… Me payer pour des photos conneries dans ce genre, c’est m’insulter… » Tu étais désormais plus calme, décidant de sortir le drapeau blanc face à la situation. Tu n’étais pas une mauvaise personne, tu le lui avais bien dit, alors autant le lui prouver. « j’étais quand même à deux doigts de t’en coller une. T’agis toujours en connard comme ça pour sortir d’un endroit où tu ne veux pas être ou t’es comme ça aussi dans la vraie vie? je pose la question comme ça. » Un rire franc et malicieux franchit les limites de tes lèvres. « Par contre tu aurais pu attendre le dessert, quand même. Bon si le repas est à la hauteur de l’ambiance, je pense qu’on a rien rater. » - « bof, je crois pas que ça ait valu la peine. Des plans pour avoir un dessert vegan sans goût. Non merci. Si tu y tiens tant que ça, je t’offre une glace. » Tu lui montras un camion de glace au loin. Si tu avais su que ta journée de travail finirait de la sorte, tu n’y aurais jamais cru. « tu fais quoi dans la vie? si ça te trouve, t’es même pas photographe? » tu te devais de lui poser la question. « et j’étais pas saoul du tout pour ton information. C’est un comportement réservé à mon père ça… » autant le préciser ça aussi.