ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1854 POINTS : 360
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
@Pénélope Danbury - novembre 2024 - sirromet wines ¤¤¤ 683 mots crédits gifs (wildcmbcrsmuses) / code (boté du sud )
Les costumes d'Halloween pouvaient désormais être rangés au placard, la soirée du trente-et-un octobre passée, tout le monde allait maintenant entrer dans l'esprit tant attendu de Noël. Si les fêtes de fin d'année étaient toujours un véritable plaisir à vivre pour la chirurgienne, surtout depuis qu'elle revivait la magie de Noël à travers les yeux des jeunes enfants de ses ami(e)s, Helen n'avait absolument pas la tête à y penser. Déjà, peut-être parce qu'il était encore un peu trop tôt, sachant qu'on n'était que deux jours après le bal dans la zone industrielle désaffectée, mais surtout parce que les pensées de la chirurgienne restaient focalisées sur cette fameuse soirée. La brune n'arrivait pas à se retirer de la tête ce qu'il s'y était passé... elle se faisait un malin plaisir à redessinait les courbes sensuelles de la policière dans son esprit, sans parler de son regard sombre très insistant, sa bouche hyper tentante. Helen ne comprenait pas vraiment ce qu'il lui arrivait, en réalité. Elle mettait un point d'honneur à stopper toute envie d'une relation amoureuse, et c'était d'ailleurs bien pour cela qu'elle n'avait pas répondu aux allusions de Chris durant le marathon de danse, ou qu'elle n'envisagerait même pas de se remettre à fréquenter Jude... et pourtant, la voilà qui recommençait à s'attacher. Mais cette fois-ci, et pour la première fois, il s'agissait d'une femme qui retenait toute son attention. Et quelle femme, ohlala. La policière l'obnubilait depuis la soirée, et à juste titre ; il y avait eu du flirt. Vraiment, beaucoup de flirt. L'alcool avait beaucoup aidé la chirurgienne à se montrer taquine, on ne pouvait pas le nier. Mais son attirance non plus. Au moment où son regard s'était posé sur Yasmin, elle l'avait ressenti, tout au fond d'elle. Inconsciemment, tout son corps l'appelait à se rapprocher d'elle, à chercher son attention, à vouloir l'intéresser en retour. L'imaginer dans sa robe noire, qui jouait avec la transparence, la rendait de nouveau toute troublée. C'était indéniable : beaucoup de choses s'étaient passés à l'usine désaffectée. Et ça occupait toutes ses pensées, alors qu'elle se promenait avec Pénélope et les jumeaux aux vignobles, pour profiter de l'air marin de Bayside -et aussi pour continuer à décuver leur vin, puisqu'elles s'étaient rendues à le soirée ensemble, justement. Depuis plusieurs minutes, Helen restait silencieuse, même si sa tête tournait en boucle sur les événements entre elle et Yasmin. De l'animation, il y en avait sous son regard perdu dans le vide. La chirurgienne se rendit finalement compte que sa très chère amie lui parlait et qu'elle répondait à peine, comme une lycéenne songeant à son dernier flirt. C'était à la fois ridicule, et excitant. « Désolée, j'étais perdue dans mes pensées. » S'excusa-t-elle, alors que la blonde l'interrogeait sur sa réelle capacité d'écoute. Helen s'en voulut, d'autant plus qu'elle n'avait encore rien avoué à son amie sur cette... nouvelle expérience ? Comment devait-elle intituler ce moment passé aux côtés de Yasmin, en fait ? « Il faut que je te dise un truc. » Se confier à Pénélope, c'était genre ce qu'elle faisait tout le temps, alors ce nouveau secret, ce n'était pas grand chose. En réalité, la chirurgienne n'avait pas encore craché le morceau parce qu'elle ne savait juste pas quoi penser de tout ça, ni quels mots devait-elle choisir pour en parler : « Je crois que j'ai rencontré quelqu'un. » Elle n'était même pas sûre de pouvoir affirmer avoir rencontré quelqu'un, puisque rien ne ressemblait à d'habitude. « Et je l'ai croisée au bal d'Halloween... » Rien ne laissait sous-entendre qu'il s'agissait d'une femme, puisqu'Helen peinait toujours à trouver les bons termes pour s'exprimer. Alors, bêtement, elle laissa planer un suspens inutile pour Pénélope, mais important pour elle, qui comptait désormais sur la capacité de son amie à rebondir efficacement dans ce genre de conversation.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3224 POINTS : 530
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (08) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Oscar#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 › Pony#34 ›
J’avais la tête comme un seau et je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. C’était moi qui avait abusé des Mojitos à cette fête d’Halloween. Avec Tony, on avait décidé d’engager une baby-sitter jusqu’à ce qu’il rentre à la fin de son service, comme ça je pouvais sortir sans culpabiliser. J’en avais besoin : pour mon équilibre mental et éviter de devenir cinglée parce que je vivais, je respirais et je pensais bébé (X2) et deuxièmement parce que j’avais vraiment envie de sortir avec Helen. La jolie brune traversait une sale période et j’espérais que ça lui aurait changé les idées.
J’étais sérieusement en train d’en douter en la voyant pensive, à marcher tel un robot à côté de moi. Ok, c’était peut-être pas super passionnant mes histoires avec ma tante de Canberra qui était en train de me faire un pseudo chantage affectif pour que je vienne passer les fêtes avec elle mais tout de même non ?? « T’es pas du tout avec moi là, ça va ? » - « Désolée, j'étais perdue dans mes pensées. » C’est ce que je vois ! « Oui j’ai vu ! » lui dis-je avec une pointe d’amusement dans la voix. Mais je voyais aussi qu’il n’y avait pas que ça. Elle était … préoccupée ? J’allais justement lui poser la question lorsqu’elle me devança. « Il faut que je te dise un truc. » Je levais un sourcil, l’encourageant silencieusement à continuer parce qu’elle ne comptait pas s’arrêter là, si ?
« Tu veux qu’on s’assoit sur le banc ? » Je lui demande tout en jetant un coup d’œil aux jumeaux qui se sont tranquillement endormis. L’air marin leur fait toujours cet effet. Qu’on se promène au bord de l’océan ou dans les vignobles, ils s’endorment toujours très rapidement. « Je crois que j'ai rencontré quelqu'un. » Cette fois, je m’arrête immédiatement et nous guide directement vers le banc pour y poser nos fesses. « Tu crois …. C’est à dire ? Parce que c’est soit oui, soit non, il peut pas y avoir de je crois. » … Je crois ! En tout cas, dans ma tête. « Et je l'ai croisée au bal d'Halloween... » Ohh !!! Mes yeux s’écarquillent de surprise et tout à coup, je suis excitée comme une puce. Je l’ai pas vu venir celle-là. Pourtant, on a passé une très grosse partie de la soirée ensemble et si nous avons été séparées, c’est parce que j’avais les pieds en compote de danser et que je n’étais pas restée aussi longtemps qu’elle sur la piste de danse. Quand est-ce qu’elle a eu le temps de rencontrer un mec ? Ce serait forcément sur la piste de danse. « C’est qui ? Il est comment ? Tu l’as rencontré sur la piste de danse ? Il a un bon déhanché ? Parce que si c’est le cas, ça sera forcément le feu sous la couette ! » Je riais de ma remarque et continuais dans ma lancée. Elle en avait dit suffisamment pour titiller ma curiosité, mais clairement pas assez pour la commère que je suis. « T’as son numéro ? Tu vas le revoir bientôt ? » Et pas un seul instant, je ne me suis posée la question de savoir si elle parlait d’un homme ou d’une femme…C ‘est vrai, elle a été mariée à un homme, elle n’a fréquenté que des hommes récemment, comment je pourrais me douter de quoi que ce soit alors qu’elle-même, elle se pose des questions. « Je veux TOUT savoir, t’as pas le choix ! » 663 mots
The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1854 POINTS : 360
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@Pénélope Danbury - novembre 2024 - sirromet wines ¤¤¤ 883 mots crédits gifs (wildcmbcrsmuses) / code (boté du sud )
Les lèvres charnues de la policière ne quittaient plus l'esprit de la chirurgienne, qui avait bien cru avoir la chance d'en goûter la saveur et la texture, avant que son amie n'interrompt leur moment. Très honnêtement, les deux femmes avaient été à deux doigts de s'embrasser, Helen en était persuadée. Le regret avait été immense, en constatant qu'elle ne pourrait plus avoir Yasmin rien que pour elle... et puis, finalement, la brune avait pris son courage à deux mains pour retourner la voir, et lui donner son numéro de téléphone, en plus d'un baiser très sensuel à la commissure de ses lèvres. Et elle avait bien fait, parce que la policière lui avait envoyé un message hier... et depuis, elles ne s'arrêtaient plus de parler. Du matin, jusqu'au soir, Yasmin et elle échangeaient sur tout et rien, sans oublier d'user de leurs charmes, quand même. Elles se cherchaient et continuaient de flirter par messages, Helen attendait alors avec impatience que son téléphone vibre pour lui indiquer la notification d'un nouveau message de sa policière préférée... « T’es pas du tout avec moi là, ça va ? » Physiquement oui, mais son esprit était encore au bal d'halloween, elle l'admettait. Ou dans ses messages, ça fonctionnait aussi. « Tu veux qu’on s’assoit sur le banc ? » - « Oui, en plus je t'avoue que j'ai toujours la tête prise dans un étau, à cause de la soirée. » L'air marin, ça faisait du bien, c'était vivifiant, mais s'asseoir semblait être une idée parfaite. En avançant vers l'un des premiers bancs qui se trouvait dans leur champ de vision, Helen lança alors cette fameuse bombe, en lui avouant ses doutes. « Tu crois …. C’est à dire ? Parce que c’est soit oui, soit non, il peut pas y avoir de je crois. » Helen grimaça, puis ouvrit la bouche pour répliquer, puis la referma, puis l'ouvrit de nouveau, sans savoir comment formuler le méli-mélo de ses pensées à propos de cette rencontre. « Oui... enfin, je veux dire... oui j'ai rencontré quelqu'un mais... » C'est une femme, voulait-elle ajouter. Mais n'était-ce pas trop abrupte de l'annoncer comme ça ? Helen n'avait pas honte de cette attirance pour une personne du même sexe qu'elle... c'était juste que... c'était la première fois. Personne, dans son entourage, n'avait un jour eu vent de cette possibilité, pas même elle, qui était la première concernée. « C’est qui ? Il est comment ? Tu l’as rencontré sur la piste de danse ? Il a un bon déhanché ? Parce que si c’est le cas, ça sera forcément le feu sous la couette ! » Le fatidique questionnement en utilisant le pronom masculin était là, et quoi de plus normal ? Pénélope n'était pas censée comprendre d'elle-même qu'Helen changeait de bord... rien ne laissait supposer le cas, dans les mots précédemment utilisés. A l'évocation des talents au lit de la fameuse personne, les joues de la chirurgienne virèrent au rouge. Si son corps tout entier réclamait le contact de celui de la policière, c'était bien un sujet qui allait devenir sensible, de part son inexpérience avec une femme. « T’as son numéro ? Tu vas le revoir bientôt ? Je veux TOUT savoir, t’as pas le choix ! » Il n'y avait aucune raison pour que Pénélope réagisse mal à la nouvelle qu'Helen s'apprêtait à lâcher ; jamais, elle ne l'avait jugé pour quoique ce soit, au même titre qu'Izan. Le cas échéant, la blonde ne ferait pas partie de son cercle d'amis proches. « On s'est rencontré à l'hôpital, en fait... et on s'est retrouvé au bar, t'étais en train de danser à ce moment-là. » Helen gardait l'information au chaud encore quelques secondes, afin de déterminer comment il fallait annoncer à sa meilleure amie qu'elle fréquente une femme. Ce fut à ce moment-là que son téléphone se mit à vibrer, et lorsqu'elle s'en empara, elle aperçut la notification de messages de Yasmin. « Elle vient justement de m'envoyer un message... » Déclara-t-elle, en montrant l'objet, sans pour autant prendre le temps de le lire ; elle le ferait plus tard, au calme. Pour le moment, elle devait certaines explications à une Pénélope sur le cul. « Moi non plus, je savais pas que j'étais attirée par les femmes. » Sourit-elle, devant la mine surprise de son amie en face d'elle, puis elle rectifia : « Enfin, pour être honnête, c'est la première fois qu'une femme me fait cet effet-là... j'ai jamais ressenti ça avant. » Maintenant que le plus dur était fait, Helen se sentait déjà moins mal à l'aise dans la conversation... et aussi plus sûre d'elle dans l'explication de ce qu'elle ressentait à l'heure actuelle. « Enfin, je veux dire... J'ai beau regarder d'autres femmes pour voir si y a un truc, et je ressens ça que quand je pense à elle. » Les autres femmes, c'était juste des autres femmes. Alors que Yasmin... tout l'attirait chez elle, autant physiquement, que dans sa personnalité, sa conversation. « Elle est vraiment sublime... je dois admettre que c'était assez chaud entre nous, au bal... » Rien que d'y repenser, un sourire niais prenait place sur ses lèvres, tandis que son ventre recommençait à faire des galipettes ; l'inconnu et l'excitation s'y mêlaient dedans, mais c'était diablement bon.
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Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3224 POINTS : 530
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« Oui, en plus je t'avoue que j'ai toujours la tête prise dans un étau, à cause de la soirée. » Je lui adresse un sourire complice. Moi aussi, j’avais toujours la tête dans un étau à cause de la soirée … Et pour ne rien arranger, Tony se moquait de moi parce que je ne supportais pas le moindre bruit aujourd’hui. C’était un fait : je ne tenais plus l’alcool comme avant ma grossesse. « Tony n’arrêtes pas de se moquer de moi depuis cette soirée. Je tenais déjà pas super l’alcool mais depuis que j’ai eu les jumeaux, j’ai l’impression que c’est encore pire qu’avant. » Oui parce qu’il faut ajouter la fatigue, le manque de sommeil ... Tout ça combiné et je suis pompette après seulement un verre de Téquila.
Et puis, la jolie brunette finit par lâcher les raisons de ses rêveries. « Oui... enfin, je veux dire... oui j'ai rencontré quelqu'un mais... » Elle a rencontré quelqu’un ! Je suis si heureuse pour elle, preuve en est : mon excitation immédiate et l’envie de tout savoir à propos de ce jeune homme. Non pas que ça me gênerait que ma meilleure amie fréquente une femme mais elle n’a jamais évoqué qu’elle pouvait être attirée par une femme et puis elle a été marié à un homme pendant de nombreuses années. « On s'est rencontré à l'hôpital, en fait... et on s'est retrouvé au bar, t'étais en train de danser à ce moment-là. » Je lève un sourcil, je suis horriblement déçue d’avoir loupé ce moment mais le mystère est levé. Elle l’a rencontré quand j’étais en train de me trémousser sur la piste de danse à moitié pompette. « Le bar c’est toujours le meilleur endroit pour choper. » lui répondis-je, impatiente d’avoir la suite de l’histoire. Elle ne croyait tout de même pas qu’elle allait s’en tirer avec si peu d’informations, n’est-ce pas ? Mon sourire ne fit que s’agrandir quand je remarquai comment elle réagissait quand son téléphone vibrait. ouuh ! elle est déjà complètement mordue, c’est trop mignon Vraiment, j’étais heureuse pour la jolie brune : elle méritait de pouvoir s’éclater après ce que son futur ex-mari lui avait fait subir.
« Elle vient justement de m'envoyer un message... » … Elle ? Helen venait vraiment de dire « elle » ?! Wow, ça aussi c’était nouveau comme information ! « Moi non plus, je savais pas que j'étais attirée par les femmes. » Ma regard glacé passa de la surprise à l’amusement. « Enfin, pour être honnête, c'est la première fois qu'une femme me fait cet effet-là... j'ai jamais ressenti ça avant. Enfin, je veux dire... J'ai beau regarder d'autres femmes pour voir si y a un truc, et je ressens ça que quand je pense à elle. » Je trouvais ça horriblement mignon et en même temps, d’après ce que je savais de sa famille très stricte, je ne pense qu’elle ait eu l’occasion de véritablement se poser la question de savoir si elle était attirée uniquement par les hommes ou pas du tout. « C’est pas étonnant que tu découvres ça sur le tard… Je veux dire, tu m’avais dit que tes parents étaient très stricts, alors j’imagine que t’avais pas d’autres choix que de fréquenter et te marier à un mec bien. » Mes doigts forment des guillemets imaginaires, parce que Sam n’était clairement pas un mec bien en fin de compte, juste en apparence. « L’essentiel c’est que tu sois heureuse et je te trouve rayonnante ! … Crevée mais rayonnante ! » affirmais-je.
« Elle est vraiment sublime... je dois admettre que c'était assez chaud entre nous, au bal... » Cette fois, je me mettais à battre des mains le plus silencieusement possible pour ne pas réveiller mes enfants mais j’étais sur-excitée ! « T’aurais pas une photo d’elle à me montrer ? » l’interrogeais-je, « Une photo d’elle, habillée bien sûr ! » crus-je bon de préciser en riant, « Vous allez vous revoir quand ? Oh la la, va falloir sortir le grand jeu quand tu vas aller en date avec elle ! » m’écriais-je, un peu comme si c’était moi qui allais avoir ce rencard. Je lui lançais un regard de conspiratrice, teintée de mystère : « Qu’est-ce que je t’avais dit à propos de cette robe ? Je te l’avais dit que t’allais faire un carton ! » Et je ne m’étais pas trompée ! « Moi je dis que ça mérite au moins que tu m’offres une boîte de chocolat et ta nana une autre boîte de chocolat pour me remercier. Parce que – Hé ! – c’est un peu grâce à moi tout ça ! » Pas du tout mais ça m’amusais beaucoup et vraiment, j’étais si heureuse pour elle qu’elle tourne enfin la page de son mariage, de Sam et de toutes ces galères des derniers mois. 909 mots
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Helen Stenfield
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« Tony n’arrêtes pas de se moquer de moi depuis cette soirée. Je tenais déjà pas super l’alcool mais depuis que j’ai eu les jumeaux, j’ai l’impression que c’est encore pire qu’avant. » Et ça pouvait parfaitement s'entendre, avec l'arrivée des jumeaux, le quota de sommeil de son amie n'était probablement pas atteint chaque nuit. Helen imaginait totalement Anthony se moquer de Pénélope à ce sujet... après tout, il fallait malgré tout assumer maintenant qu'elles étaient sorties faire la fête. La chirurgienne supportait plutôt bien le contrecoup pour une simple et bonne raison : Yasmin. Rien que de penser à ce qu'il s'était passé entre elles durant la soirée, ça suffisait à rendre les maux de tête et la fatigue bien plus supportables. Helen n'arrêtait pas d'y songer, se questionnant sur son attirance, ou quand elle allait pouvoir la revoir. Mais pour l'heure, la brune confia finalement à son amie le déroulé des événements du bal d'Halloween, puisque Pénélope avait clairement senti qu'elle n'était pas entièrement présente dans leur conversation. « Le bar c’est toujours le meilleur endroit pour choper. » Elle y serait restée des heures, au bar, si elle avait pu... si la dite Safia ne les avait pas interrompu, au meilleur moment. De longues minutes à se draguer, à se tourner autour, pour qu'au final Helen ne puisse même pas goûter à la douceur et à la chaleur de ses lèvres, parce que son amie en avait décidé autrement. La frustration avait été immense... Helen s'était sentie comme une gosse qu'on nargue d'un bonbon, et qu'on mange à sa place. Pas top ce sentiment, vraiment pas. La chirurgienne lui avoua alors, très rapidement, que la personne rencontrée était une femme, partageant sa propre surprise à la blonde. C'était soudain, inattendu... mais qu'est-ce que c'était bon, de songer à Yasmin. « C’est pas étonnant que tu découvres ça sur le tard… Je veux dire, tu m’avais dit que tes parents étaient très stricts, alors j’imagine que t’avais pas d’autres choix que de fréquenter et te marier à un mec bien. » S'il y avait bien une chose à laquelle Helen n'avait pas encore pensé, c'était bien... ses parents ! Son attirance pour la policière était si récente, naturelle et excitante, qu'elle n'avait pas envisagé inclure ses géniteurs dans l'équation. Pourtant, Helen allait forcément s'en manger plein la tête, s'ils venaient à l'apprendre. Il ne suffisait qu'à observer leur réaction quand Alyson leur avait annoncé aimer les femmes... mais bon, il valait mieux ne pas y penser pour le moment. « Ils feront probablement une crise cardiaque en l'apprenant... ils ne savent déjà pas pour notre séparation avec Sam, alors imagine... divorcée et lesbienne, en plus de ça. » Elle poussa un bref soupir, tout en tentant de chasser ces sombres pensées de sa tête, puisqu'elle préférait se concentrer sur le positif : la beauté de Yasmin, parmi bien d'autres qualités, évidemment. « T’aurais pas une photo d’elle à me montrer ? Une photo d’elle, habillée bien sûr ! » La précision la fit rire, mais aussi très fortement rougir. Helen n'avait pas de photos de Yasmin peu habillée... est-ce qu'elles auraient déjà du s'en échanger ? La chirurgienne lui avait envoyé une photo d'elle en pyjama (haut de gamme quand même, pas la pyjama pilou-pilou chaussettes montantes), c'était peut-être ridicule ? « On est restées sages sur la photo... tu crois que j'aurai du lui envoyer quelque chose de plus suggestif ? » C'était bien la première fois qu'elle draguait aussi ouvertement une femme, alors les codes... peut-être qu'elle ne les avait pas tous ? « Tiens regarde, je lui ai envoyé cette photo-là... et elle m'a envoyé celle-ci. Avoue qu'elle est divine ? » La chirurgienne faisait défiler les deux photos, en essayant de ne pas trop stresser, alors qu'elle était déjà en train de se demander si elle ne répondait pas à côté de la plaque à la jeune policière. « Vous allez vous revoir quand ? Oh la la, va falloir sortir le grand jeu quand tu vas aller en date avec elle ! » - « Heu bah... on en a pas encore parlé... je pars en week-end détente avec Izan vendredi, mais j'aimerais bien qu'on se revoit après... » Les deux jeunes femmes insinuaient beaucoup vouloir se revoir par messages, mais ni l'une ni l'autre n'avait encore franchi le pas de la proposition. Mais, bizarrement, Helen n'était pas trop inquiète... elle avait le sentiment que ça arriverait. « Qu’est-ce que je t’avais dit à propos de cette robe ? Je te l’avais dit que t’allais faire un carton ! Moi je dis que ça mérite au moins que tu m’offres une boîte de chocolat et ta nana une autre boîte de chocolat pour me remercier. Parce que – Hé ! – c’est un peu grâce à moi tout ça ! » A l'entente du mot "nana", Helen sentit ses joues rosir un peu plus ; elle n'était pas assez confiante sur le sujet pour affirmer que Yasmin allait devenir plus qu'une simple amie, même si l'idée lui plaisait vraiment beaucoup. En tout cas, c'était dans l'optique de vivre plus avec la policière que la chirurgienne utilisait ses charmes, même par message. « ça me fait bizarre de t'entendre dire "nana"... en plus, je t'avoue que je lui parle comme si j'avais l'habitude de draguer des femmes, ou que... enfin, tu vois quoi, mais en vrai, j'ai jamais rien fais avec une femme. » Le côté drague, Helen considérait se débrouiller pas trop mal... mais le reste, ça restait l'inconnu total à ses yeux. « Elle va finir par comprendre que j'ai aucune expérience et je vais probablement me ridiculiser. » Elle afficha une moue gênée ; Yasmin n'était probablement pas du genre à se moquer, mais Helen avait néanmoins cette petite appréhension, d'avance, à l'idée que la policière se rende compte de l'entourloupe : s'il fallait que ça aille plus loin entre elles, ce serait sa première fois, et ça l'intimidait, clairement.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3224 POINTS : 530
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (08) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Oscar#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 › Pony#34 ›
« Ils feront probablement une crise cardiaque en l'apprenant... ils ne savent déjà pas pour notre séparation avec Sam, alors imagine... divorcée et lesbienne, en plus de ça. » Le soupir d’Helen m’arracha une grimace désolée. J’étais désolée pour elle qu’elle ne puisse pas être qui elle veut, en présence de ses parents. Je sais qu’elle a un frère et une sœur, mais elle n’en parle quasiment jamais. Alors je me dis que sa relation avec eux ne doit pas être au beau fixe également. « Oh … tu leur as toujours pas dit ? » Dans la seconde qui suivit, je m’en voulus de ma maladresse. Je ne voulais pas qu’elle se sente jugée, parce que ce n’était pas mon intention. « Je te juge pas hein … Mais, comment tu vas faire pour les fêtes pour ton anniversaire ? Ils vont se demander pourquoi tu amènes pas ton mari. » C’était, malheureusement, un don, une malédiction chez moi de mettre les pieds dans le plat.
Les priorités de la belle brunes avaient changé et j’étais ravie de voir qu’elle tournait la page. Quoi de plus important et de plus sain qu’une nouvelle relation ! La surprise était, cependant, totale parce qu’elle n’avait jamais évoqué son attirance pour les femmes jusqu’à présent et quand bien même, elle aurait pu en éprouver, je ne suis pas certaine que sa famille hyper stricte lui aurait permis de se sentir à l’aise avec ça. Et parce que j’étais très curieuse, je lui demandais rapidement si elle avait une photo de cette femme... Mais habillée bien sûr ! La précision me fit éclater de rire et mon rire ne fit que redoubler quand j’aperçus la légère teinte rosée des joues de ma meilleure amie. « On est restées sages sur la photo... tu crois que j'aurai du lui envoyer quelque chose de plus suggestif ? » J’haussais les épaules pour lui faire comprendre que je n’en avais aucune idée. « Ch’ai pas ... Tu te sens à l’aise avec l’idée de lui envoyer ce genre de photos ? Et elle, elle t’en a envoyé ? » A titre personnel, je n’étais pas une adepte des nudes … j’en avais envoyé très peu, même à Tony. Et je pense que ce n’est pas qu’une question de confiance envers son/sa partenaire. « Tiens regarde, je lui ai envoyé cette photo-là... et elle m'a envoyé celle-ci. Avoue qu'elle est divine ? » Elle faisait défiler sous mes yeux une première photo d’elle, puis je découvrais enfin la fameuse. Une femme magnifique ! « Elle est canon mais toi aussi tu l’es, vous allez faire un couple très sexy ! » lui assurais-je avec un grand sourire. « Elle s’appelle comment ? »
Plus important encore, quand allaient-elles se revoir ? Faire monter la température, c’est bien mais à un moment donné, il faut passer à l’action ! « Heu bah... on en a pas encore parlé... je pars en week-end détente avec Izan vendredi, mais j'aimerais bien qu'on se revoit après... » - « C’est toujours stressant les premiers rencards mais… elle te plait alors y’a pas de raison que ça se passe pas bien. » essayais-je de la rassurer.
« ça me fait bizarre de t'entendre dire "nana"... en plus, je t'avoue que je lui parle comme si j'avais l'habitude de draguer des femmes, ou que... enfin, tu vois quoi, mais en vrai, j'ai jamais rien fais avec une femme. » Je lui adressais un sourire attendri. « Elle va finir par comprendre que j'ai aucune expérience et je vais probablement me ridiculiser. » J’affichais une moue taquine avant de tourner la tête pour regarder quelques seconde l’horizon. Tout ça, c’était nouveau pour elle et je comprenais qu’elle soit nerveuse. « Elle a p’t’-être pas plus d’expérience que toi ? » hasardais-je sans pour autant cesser de fixer un point de l’océan, c’était si apaisant, « Et vous devriez peut-être en parler avant que ça aille plus loin ? Je veux dire, y’a pas de honte à avoir, ce sera ta première expérience avec une femme mais on a tous eu des premières fois hein ? Et ce sera peut-être sa première expérience à elle aussi ? Y’a rien de mal ni de honteux à ça. » finis-je par lui dire avant de tourner la tête vers elle, « Et si elle se moque de toi, ça voudra dire qu’elle te mérite pas c’est tout ! » conclu-je avec la plus grande des convictions.
The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1854 POINTS : 360
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
@Pénélope Danbury - novembre 2024 - sirromet wines ¤¤¤ crédits gifs (wildcmbcrsmuses) / code (boté du sud )
Annoncer à ses parents qu'elle est en procédure de divorce avec Sam, ça ne fait pas partie de ses plans, à vrai dire. Au fond, ça ne les concerne pas, n'est-ce pas ? Et Helen sait d'avance qu'ils vont réussir à la faire culpabiliser, peut-être même à vouloir la convaincre de le récupérer, alors qu'elle n'en a pas envie... DU TOUT. Jamais de la vie, la jeune femme n'envisage de le récupérer... encore moins depuis qu'elle a rencontré Yasmin, qui a gagné son cœur au moment où elle s'y attendait le moins, la chirurgienne. « Oh … tu leur as toujours pas dit ? Je te juge pas hein … Mais, comment tu vas faire pour les fêtes, pour ton anniversaire ? Ils vont se demander pourquoi tu amènes pas ton mari. » Evidemment qu'elle se prépare à recevoir des questions à propos de son absence, elle a déjà du inventer des excuses bidons durant l'anniversaire de mariage de ses parents, il y a quelques semaines de ça. « Pour le moment, je temporise, et je mens. Je suis pas encore prête à me prendre dans la tête à quel point il faudrait que je lui pardonne son infidélité, parce que tu comprends, ce sera de ma faute, pas de la sienne. » Des ressentiments pour ses parents, ça déborde chez la brune. Elle connaît ses parents par cœur, à tel point qu'elle est capable d'anticiper leurs paroles...
Helen aborde alors le sujet sensible de la policière qui a réussi l'exploit de faire céder toutes ses défenses en matière d'amour, puisqu'elle l'a complètement conquise, il faut bien l'admettre. Quand elle pense à Yasmin, la chirurgienne ressent cette boule de chaleur au creux de son ventre, qui semble être incapable de réchauffer son cœur et son être tout entier. La conversation qu'elles tiennent par message est stimulante, voire même excitante, c'est certain... mais la brune a peur de mal faire, évidemment. C'est la première fois qu'elle est amenée à draguer une femme, véritablement, elle cherche à lui plaire, alors elle craint que son inexpérience ne se remarque. « OCh’ai pas ... Tu te sens à l’aise avec l’idée de lui envoyer ce genre de photos ? Et elle, elle t’en a envoyé ? » - « Non, elle m'a rien envoyé de plus suggestif... je me dis que, c'est plus excitant quand on dévoile un peu, mais pas trop, non ? » Ainsi, elle dégaine son téléphone pour lui montrer la photo d'elle en pyjama, fraichement envoyée la veille. Au passage, Helen lui présente le visage absolument croquant de cette femme qui continue de la faire vibrer, rien qu'en revoyant sa photo pour la énième fois : « Elle est canon mais toi aussi tu l’es, vous allez faire un couple très sexy ! Elle s’appelle comment ? » ça ne rate pas, ses joues recommencent à rosir quand sa meilleure amie utilise le mot 'couple' ; elle a le sentiment d'être encore assez éloignée de l'idée, mais au fond, c'est qu'elle espère vraiment qu'il se passe quelque chose entre Yasmin et elle. « Yasmin... rien que son prénom est sexy, hein ? » Elle apprécie le compliment qu'elle lui a fait et lui adresse ce sourire radieux, compatissant, de l'amie qui se sent rassurée par ses douces paroles. Elle sait y faire, Pénélope, pour lui donner ce sentiment de sécurité dont elle a besoin, alors qu'elle évoque clairement ses doutes. « C’est toujours stressant les premiers rencards mais… elle te plait alors y’a pas de raison que ça se passe pas bien. » C'est bien vrai, ça. Yasmin a l'air également sérieusement intéressée par elle en retour, alors pourquoi est-ce que les choses tourneraient mal ? Il n'y a aucune raison, en réalité. Excepté le fait qu'elle lui laisse clairement sous-entendre qu'elle est douée avec les femmes, alors qu'Helen n'a aucune expérience avec elles... « Elle a p’t’-être pas plus d’expérience que toi ? Et vous devriez peut-être en parler avant que ça aille plus loin ? Je veux dire, y’a pas de honte à avoir, ce sera ta première expérience avec une femme mais on a tous eu des premières fois hein ? Et ce sera peut-être sa première expérience à elle aussi ? Y’a rien de mal ni de honteux à ça. Et si elle se moque de toi, ça voudra dire qu’elle te mérite pas c’est tout ! » Elle hoche doucement la tête de haut en bas, en l'écoutant très attentivement. Elle a encore une fois su trouver les mots justes pour la rassurer, ça lui fait beaucoup de bien. « Tu as raison, je lui en parlerai... il vaut mieux que je lui dise avant qu'elle ne le remarque. Je n'ai pas envie que le mensonge s'invite dans cette nouvelle relation... » Elle a assez donné, avec Sam. « Elle est pleine de bienveillance, je ne l'imagine pas se moquer... vraiment, elle a de belles valeurs, qu'elle a l'air de bien inculquer à sa fille... oui, elle est maman. » Ce détail la fait sourire, alors que d'autres auraient pu grimacer en avouant cela... Mais la chirurgienne n'est pas dérangé par l'idée. En tout cas, ce n'est absolument pas un frein pour le fait d'être attirée par Yasmin. « ça ne me dérange pas, si tu te poses la question... j'adore les enfants, et ce serait bête de ma part de ne pas accepter qu'elle ait pu avoir une vie avant moi... avec Sam aussi, on aurait pu avoir des enfants, et malgré tout se séparer à cause de ce qu'il a fait. » Parce que l'issue aurait été la même, enfants ou pas, elle en est persuadée.
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Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3224 POINTS : 530
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (08) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Oscar#1 (UA Jurassique) › Helen#2 › Pony#33 › Pony#34 ›
« Pour le moment, je temporise, et je mens. Je suis pas encore prête à me prendre dans la tête à quel point il faudrait que je lui pardonne son infidélité, parce que tu comprends, ce sera de ma faute, pas de la sienne. » Mes sourcils se lèvent. Je ne pensais pas que c’était à ce point-là avec sa famille. Au point, où ils lui reprocheront son divorce et qu’ils la penseront fautive dans l’échec de son mariage. « Et tu peux pas compter sur ton frère ou ta sœur ? » l’interrogeais-je, « Vos relations sont pas au beau fixe mais eux, ils t’enfonceraient pas à ce sujet si ? » Je faisais le parallèle avec ma relation avec Gayle. Nous étions très différentes toutes les deux mais je savais que je pouvais compter sur elle. Oui elle avait son caractère et n’acceptait pas ma relation avec Tony mais si je débarquais chez elle, je sais qu’elle ne me laisserait jamais tomber et que sa première question ça serait : Qui est-ce je dois aller buter ? Si, à l’époque où mon père était encore vivant, j’avais divorcé, Gayle aurait la première à me soutenir face à tout ça et face à notre père qui m’aurait certainement demandé qu’est-ce que j’avais fait pour finir en échec.
J’étais, cependant ravie qu’elle tourne la page « Sam » et qu’elle recommence à voir quelqu’un .. En tout cas, elle vivait les prémices d’une relation avec cette femme et elle semblait bien plus épanouie et heureuse qu’elle ne l’avait été depuis longtemps. En tout cas, je ne l’avais jamais vu dans cet état quand elle était avec son futur ex-mari. C’était bon signe. Très bon signe. Elles s’envoyaient, d’ailleurs, de nombreux messages et des photos. Tout était soft et mignon pour le moment. « Non, elle m'a rien envoyé de plus suggestif... je me dis que, c'est plus excitant quand on dévoile un peu, mais pas trop, non ? » Mon regard clair se pose sur la photo qu’elle me montre d’elle, en pyjama. « Je trouve aussi que pas tout dévoiler, ça fait vite monter la température. » lui répondis-je sans aucune hésitation avec un petit sourire entendu. La brunette me montra, ensuite, le visage de cette mystérieuse femme. Elle avait raison, elle était vraiment très belle… « Yasmin... rien que son prénom est sexy, hein ? » Son sourire radieux fait plaisir à voir, « Elle est magnifique ! ça fait très Aladdin et Jasmine tout ça … » Mon but : détendre l’atmosphère. Helen se posait beaucoup de questions et c’est normal, c’était la première fois qu’elle ressentait ça pour une femme. Une telle attirance. Le seul conseil que je lui donnais, c’était de se montrer honnête envers la jolie brune. « Tu as raison, je lui en parlerai... il vaut mieux que je lui dise avant qu'elle ne le remarque. Je n'ai pas envie que le mensonge s'invite dans cette nouvelle relation... » Je lui adresse un sourire compatissant, « L’honnêteté, c’est la meilleure des bases pour une relation saine. » Et je le pensais vraiment, les mensonges finissaient toujours par se savoir un jour ou l’autre, « Elle est pleine de bienveillance, je ne l'imagine pas se moquer... vraiment, elle a de belles valeurs, qu'elle a l'air de bien inculquer à sa fille... oui, elle est maman. » Mes lèvres forment un « o » d’étonnement. Et sans que je ne rajoute rien, Helen répond déjà à mon interrogation silencieuse, « ça ne me dérange pas, si tu te poses la question... j'adore les enfants, et ce serait bête de ma part de ne pas accepter qu'elle ait pu avoir une vie avant moi... avec Sam aussi, on aurait pu avoir des enfants, et malgré tout se séparer à cause de ce qu'il a fait. » Je ne voyais pas la brunette se bloquer parce que Yasmin avait un enfant, mais j’étais rassurée de voir qu’elle s’était posée la question. Ça voulait dire qu’elle se projetait dans cette relation, qu’elle ne voulait pas rester bloquée dans sa vie d’avant. « Tu t’en sortiras à merveille avec sa fille et dans cette relation, j’en suis sûre ! Tant que tu es heureuse – et cette Yasmin te rend heureuse, ça se voit ! – c’est le plus important à mes yeux ! » Lui dis-je en posant une main sur son avant-bras. « J’ai hâte de faire sa connaissance ! » lui confiais-je avec un petit clin d’œil, « On se fera une soirée fille et tu l’amèneras avec toi ! … Elle me plait déjà ta Yasmin ! »
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