(marose #18) don't need no battles, ain't tryna start no war
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2689 POINTS : 80
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
don't need no battles, ain't tryna start no war crédit gifs - vicsdeangelis & thefirstarchitect @Ambrose Constantine & Mavis BarnesSt Vincent's Hospital
"C’est qu’un conseil" "Ça a tout l’air d’un ordre, si tu me demandes mon avis." Et puisque Leon ne lui demande pas son avis, sa réflexion est accueillie avec un regard noir, celui qu’il ne réserve que très rarement à sa progéniture tant elle lui inspire de l’indifférence. Depuis quelques temps cependant, elle a tendance à titiller quelque chose en lui qui le pousse à sortir de ses gonds comme si, soudainement, elle qui a toujours été si raisonnable — du moins, c’est ce qu'il croit, il ne la connait pas autant que ça et ne cherche pas à la connaître, il est trop tard pour ça —, a décidé de tout faire pour les agacer, lui et sa mère. Non seulement, elle a décidé de changer de spécialité à la fin de sa première année d’internat qui arrive à grands pas, mais elle a aussi développé une réserve certaine à l’encontre de son très cher Ruben qu’il trouve illogique, surtout considérant la complémentarité de leur méthode respective de travail qui leur assurait d’être le nouveau duo phare du service de neuro-chirurgie. En plus, elle s’est engagée dans une relation qui le laisse autant perplexe que le reste, mais surtout : elle discute les conseils qu’il lui donne pour sa carrière et ça, ça écorche moins son coeur de père que son ego de neurochirurgien "Tu te trompes, Mavis." "Ça arrive même aux meilleurs, non ? Tu devrais essayer de temps en temps, ça pousse à l’humilité." lui répond-t-elle, se levant du fauteuil disposé dans le bureau de son père qu’elle a investi il y a déjà quelques minutes de ça. Il se trouve de l’autre côté, à l’observer avec un oeil plissé, suivant les contours de sa silhouette qu’il regarde s’éloigner lorsqu’elle ajoute, déterminée à ne pas se laisser impressionner. Ce temps-là est révolu, à croire "Je vais réfléchir à la question." "Pense à tes références, et si tu ne veux pas de mes conseils, remets-en toi au docteur Lahiri. Je suis certain qu’il a beaucoup à dire sur la mise en place d’un projet du même type que son dispensaire." Elle a envie de rire parce que jusqu’à maintenant, Leon a toujours exécré l’idée qu’elle travaille avec un type comme le docteur Lahiri. Elle l’interrompt en pivotant sur ses pieds "Pas ce soir, Ambrose m’attend." Le soupir que son père laisse filer est un indicateur fiable de ce qu’il pense vraiment de sa relation avec Ambrose, mais elle s’en moque. En fait, c’est plutôt étrange, mais depuis qu’ils ont discuté de Marion, elle et son petit ami, quelque chose a mûri en elle, et ça prend la forme d’un nouveau sentiment de liberté dont elle entend bien jouir comme elle en a envie "Bonsoir, docteur Barnes." termine-t-elle en sortant sans regarder en arrière, laisse son père à l’orée d’une nouvelle salve de paroles qu’elle lui fait ravaler en refermant derrière elle.
Elle relâche un souffle dense lorsqu’elle se retrouve de l’autre côté, ne se laisse pas le temps de réfléchir à ce que son père vient de lui conseiller. Elle n’a qu’une idée en tête, c’est de quitter sa blouse et de rentrer. Elle n’a pas menti, Ambrose l’attend, et si elle prend conscience de sa présence à l’accueil de l’hôpital, ce n’est que quelques minutes après avoir lu le message qu’il lui a envoyé qu’elle le rejoint "Je m’attendais au moins à un bouquet de fleurs, je suis peut-être un peu déçue." Elle ne s’attendait à rien du tout, c’est aussi évident qu’ils n’ont pas quatre-vingt ans et le besoin de montrer à quiconque qu’ils s’aiment pour que ce soit vrai. Encore que le baiser qu’elle quémande à celui dont elle s’approche pourrait témoigner d’une envie secrète que quelqu’un les surprenne au passage — et ce quelqu’un n’est autre que Ruben, bien sûr —, mais l’idée file vite, et tandis qu’elle prend déjà la main d’Ambrose dans la sienne, elle feint de geindre en lui avouant dans la foulée "Leon me rend dingue." Elle remonte son sac sur son épaule, se rapproche un peu d’Ambrose dont elle serre les doigts entre les siens "Il me fait payer ma décision de quitter son service en essayant de me mettre dans la tête que j’ai le temps de m’occuper d’autre chose que de mon internat. Mais j’ai déjà à peine le temps de prendre une douche, c’est n’importe quoi." Ça doit être nébuleux pour Ambrose, mais elle n’explicite pas davantage. Elle a juste envie de se plaindre auprès de quelqu'un qui ne la jugera pas de le faire.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Dernière édition par Mavis Barnes le Lun 25 Nov 2024 - 20:11, édité 1 fois
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25356 POINTS : 90
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (08) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › poppy (fb 2021) › channing › mavis #19
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #19 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
L’idée de retrouver si souvent Mavis à l’hôpital est paradoxale pour un homme qui, comme lui, a grandi avec une éternelle crainte de ce genre d’endroit. Il a grandi avec l’histoire d’une mère décédée bien trop tôt, il a grandi avec des visites plus ou moins rapprochées auprès d’un autre parent avec qui la relation est inexistante. Rien ne lui a donné foi en ce genre d’endroit et aujourd’hui encore ses doutes sont nombreux, mais ils n’ont rien à voir avec Mavis ou leur couple. Du moins, ces doutes en question n’ont rien à voir avec Mavis ; parce que des doutes concernant la jeune femme, et uniquement elle, il en a à pléthore. "Je m’attendais au moins à un bouquet de fleurs, je suis peut-être un peu déçue." - « J’en prends note, bonjour à toi aussi. » Il rétorque avec un sourire en coin, sans chercher plus loin. Ambrose est réellement attentionné, il n’aurait pas de mal à lui en offrir davantage ; ce qu’il ne sait pas, c’est quand est-ce que leurs emplois du temps pourraient réellement s’accorder assez pour pouvoir l’anticiper. La question est toute différente, repoussée à plus tard lorsqu’il partage avec elle un bref baiser, se transformant déjà en deux mains nouées s’échappant de l’endroit.
"Leon me rend dingue." Une nouvelle qui n’a rien de nouvelle, il n’en tend pas moins l’oreille pour écouter ce qu’il a pu oser lui dire de différent aujourd’hui. "Il me fait payer ma décision de quitter son service en essayant de me mettre dans la tête que j’ai le temps de m’occuper d’autre chose que de mon internat. Mais j’ai déjà à peine le temps de prendre une douche, c’est n’importe quoi." - « D’autres choses comme quoi ? » Il reste calme et mime de ne pas prendre parti, même si son camp a été défini il y a bien longtemps de ça, sans retour en arrière possible. Son camp est d’autant plus défini qu’il connaît les raisons ayant poussé Mavis à quitter son service pour un autre, et malgré lui il ne peut que comprendre son désir de prendre du recul par rapport à Ruben. S’il en avait eu les couilles, il aurait eu une réaction similaire et aurait agi de la même manière que Mavis, à son niveau, mais cela n’a de toute évidence pas été le cas. Au lieu de ça, il se retrouve à déambuler avec son bras noué autour de celui d’une femme qu’ils aiment tous les deux, nourrissant l’idée que cela n’a rien d’étrange ni de surfait, le tout face à la jalousie démesurée d’un homme dont ils ont cessé de discuter tant cela menait invariablement à des disputes. « Pas une idée qui ait l’air de te plaire, en tout cas. » Il émet l’hypothèse simplement, sans que le fait d’avoir raison ou tort puisse lui être d’une quelconque importance. L’argument qu’elle avance avant toute chose est celui qu’il comprend le mieux : elle n’a pas le temps de se consacrer à autre chose qu’à son métier, et s’il est parfaitement capable de comprendre cette mentalité carriériste, pour nourrir la même de son côté, il aimerait autant ne pas être le passe-temps qu’elle serait prête à sacrifier pour s’adonner à une autre occupation. « Je comprends pas, on arrive à se voir deux heures tous les trois jours en vivant dans le même appartement, tu débordes de temps libre. » Il ironise finalement, sa main caressant le poignet de Mavis pour lui faire comprendre plus aisément qu’il ne fait que s’essayer à un brin d’humour et que cela ne caractérise pas le moindre reproche.
Après un maigre silence, Ambrose reprend avec plus de sérieux. « Tu penses qu’il pourrait te faire payer ta décision autrement ?» Il aurait bien des moyens d’y parvenir, raison pour laquelle il ne tente pas réellement de cacher une crainte peu à peu naissante en lui.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2689 POINTS : 80
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
don't need no battles, ain't tryna start no war crédit gifs - vicsdeangelis & thefirstarchitect @Ambrose Constantine & Mavis Barnes
"D’autres choses comme un voyage humanitaire, ou la création d’un truc caritatif, d’un dispensaire ou tu vois, quelque chose de ce genre." L’humour a laissé place à des complaintes. Mavis est ravie qu’Ambrose lui donne l’occasion de se plaindre de son père. A l’époque de Ruben, si tant est qu’elle puisse en parler de cette façon, se plaindre de Leon n’était pas au programme puisque son poulain se refuse, encore aujourd’hui, d’être trop critique à l’encontre de celui qui lui a tout appris. Aujourd’hui, elle peut se permettre d’être le cliché de la fille qui trouve à redire sur sa manière dont ses parentes la traite sans se faire taxer d’être une sombre ingrate, et ça la change autant que ça la soulage, parce qu’elle en a à dire des choses sur ses parents, sur son père en particulier. Elle reprend, expliquant à Ambrose "Il dit que ça étoffera mon CV et que ça parlera à ceux qui se renseigneront sur moi pour m’avoir dans leur service, et je sais qu’il a raison, mais j’ai pas encore trouvé le pouvoir de me dédoubler. Personne ne fait ça durant sa première année d’internat." Ce serait un bon challenge, à dire vrai, et il n’y a encore que ça pour lui faire caresser l’idée qu’en effet, ce ne serait pas si terrible de s’y intéresser, ayant toujours l’impression d’avoir des choses à prouver. Passons sur le fait qu’elle avait une jumelle, qu’elle avait donc reçu le cadeau du dédoublement dès la naissance, ça ne servirait à rien, et puis de toute façon, Marion ne lui aurait été d’aucune utilité. Elles ne s’amusaient pas à ce petit jeu, l’une se faisant passer pour l’autre, et vice versa, alors à quoi bon regretter d’avoir enterré ses chances, littéralement.
Elle pince les lèvres, serre la main d’Ambrose dans la sienne "Et puis de toute façon, admettons que je l’envisage," son fusil change vite d’épaule, peut-être que ça fera sourire le jeune homme, mais elle ne le vérifie pas, le visage tourné vers le sens de leur marche, et pas vers lui, cette fois, "j’ai aucune idée de ce que je pourrais mettre en place." Parce qu’elle n’a pas envie de quitter l’Australie pour un ailleurs où la misère lui rappellera qu’elle a eu de la chance, et que tous les problèmes qu’elle estime avoir aujourd’hui ne sont que des problèmes de petite fille riche ; elle n’est pas Nina, elle n’a pas besoin de polir sa conscience pour se sentir importante et briller : elle brille déjà. Elle secoue la tête à la négative lorsque Ambrose souligne que ça n’a pas l’air de lui plaire "C’est juste que je trouve qu’il choisit bien son moment." Pour la forcer à faire quelque chose qui lui plairait à lui, pas à elle. Leon sent que sa fille — dont il a jusqu’alors accepté son indépendance, soit dit en passant — lui filer entre les doigts. Il n’a pourtant pas besoin d’elle pour que sa réputation le précède, il s’obstine toutefois à vouloir l’entraîner pour qu’elle lui succède — parce qu’il sent que la roue tourne du côté de Ruben qu’il a toujours traité comme son digne héritier ?
Difficile à dire. En tout cas, elle veut garder le contrôle Mavis, elle en a terminé avec son besoin de s’attirer les grâces de son père — vraiment, à qui ment-elle ? Finalement, elle rit aux mots d’Ambrose, fait mine de réfléchir en même temps "Deux heures tous les trois jours, t’es sérieux ?" Elle lui pose la question pour plaisanter, elle connait très bien la réponse. A ce stade, elle est certaine qu’il a passé plus de temps avec le chat qu’avec elle. Cependant, ses traits se parent d’un fugace sentiment d’approbation "Hm, je trouve qu’on progresse, non ? C’était à peine une heure, le mois dernier." Ou à peu près. Est-ce que ça le fait regretter son choix de lui avoir ouvert la porte de l’appartement de son oncle, ce peu de temps qu’ils passent tous les deux ? Elle pourrait lui poser la question, mais elle a peur de la réponse, surtout qu’elle pourrait se baser sur ce qu’il a potentiellement compris de cette discussion sibylline qu’ils ont eue il y a quelques temps, au sujet de sa soeur.
Alors elle ne lui pose pas, continue de marcher à ses côtés jusqu’à la voiture du jeune homme ; elle est venue en transport ce matin, elle a dû sentir qu’il se tramait quelque chose pour choisir de supporter la cohue, les mines ensommeillées des travailleurs matinaux, et les odeurs nauséabondes des sportifs courageux — et pas qu’eux, d’ailleurs —, plutôt que le confort de sa propre voiture. Elle lâche la main d’Ambrose, choisit de ne pas monter tout de suite dans la voiture, et préfère s’adosser contre la portière pour répondre à la nouvelle question qu’il lui pose "Non, je pense qu’il veut juste se sentir en contrôle de quelque chose me concernant et qu’il veut m’aider, mais pas pour les bonnes raisons." Elle arque un sourcil "Il veut certainement pouvoir s’attribuer le mérite de cette nouvelle expérience, quitte même à mettre la main au portefeuille pour qu’il y soit directement associé. Mais je sais pas…" Elle secoue très légèrement la tête de droite à gauche, ne réussit pas vraiment à expliquer ce qu’elle finit par lui dire, ses yeux retrouvant les siens en même temps, sa tête se levant pour ne rien manquer de la douceur qu’elle y trouve chaque fois qu’elle y plonge les siens "Je le sens pas, ça ressemble à un piège." T’es parano, Mavis, c’est ce que la petite voix dans sa tête lui souffle à ce moment-là.
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Dernière édition par Mavis Barnes le Lun 25 Nov 2024 - 20:10, édité 2 fois
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25356 POINTS : 90
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (08) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › poppy (fb 2021) › channing › mavis #19
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #19 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"D’autres choses comme un voyage humanitaire, ou la création d’un truc caritatif, d’un dispensaire ou tu vois, quelque chose de ce genre." D’autres choses qui, à bien y repenser, ne semblent donc pas être aussi terribles que ce à quoi il avait pu s’attendre à première vue. Il n’en comprend pas moins la crainte de Mavis, si bien qu’il n’en est pas déjà à en rire ou à la tourner en ridicule. Un voyage humanitaire veut dire qu’elle ne serait pas en train d’exercer et se perfectionner ; un truc caritatif lui prendrait tout son temps et ferait d’elle, à nouveau, une personne qui a moins de temps pour s’exercer. "Il dit que ça étoffera mon CV et que ça parlera à ceux qui se renseigneront sur moi pour m’avoir dans leur service, et je sais qu’il a raison, mais j’ai pas encore trouvé le pouvoir de me dédoubler. Personne ne fait ça durant sa première année d’internat." Et si elle le faisait, elle sortirait d’autant plus de la masse et rendrait son cher papounet encore plus fier d’elle. Il n’a pas besoin de demander les paroles d’une chanson qui se veut vieille comme le monde. « Si le temps était pas un problème, tu le voudrais ? » Il prend le problème dans l’autre sens, s’intéresse à ce qui se révèle être bien le cadet des priorités de Léon. Il sait que des “et si” peuvent toujours refaire le monde, mais celui-ci peut avoir une portée différente. Celui-ci peut mener à une conclusion différente, aussi. Et si ce n’était pas Léon qui lui proposait, est-ce qu’elle le voudrait davantage ?
Lorsqu’elle serre sa main contre la sienne, il a déjà l’impression qu’elle nuance son discours et son non catégorique. "Et puis de toute façon, admettons que je l’envisage," il ne sait s’empêcher de sourire paisiblement, aidé par l’idée que cette guerre n’est pas la sienne "j’ai aucune idée de ce que je pourrais mettre en place. C’est juste que je trouve qu’il choisit bien son moment." Il choisit bien son moment, c’est une évidence, mais ils seraient naïfs de penser que cela n’est qu’une coïncidence. En réalité, ni lui ni Mavis n’osent même émettre l’idée : Leon est ce qu’il est, ce qui comprend parmi tant d’autres le terme de “calculateur”, à défaut qu’Ambrose aille jusqu’à penser qu’il est aussi calculateur. « Tu aurais le temps d’en discuter, de ça. C’est pas une idée que qui que ce soit réalise du jour au lendemain. » Même en voulant être la meilleure dans la création d’un “truc caritatif”, tout n’a pas à être rapide et définitif. Elle peut avoir une idée, revenir dessus, l’approfondir, l’oublier. Elle en a pleinement le droit.
"Deux heures tous les trois jours, t’es sérieux ? Hm, je trouve qu’on progresse, non ? C’était à peine une heure, le mois dernier." Il étire un sourire simple et la serre doucement contre lui, conscient d’avoir payé pour ce genre d’emploi du temps avec elle dès le départ. Ambrose serait le dernier à s’en plaindre, même si l’idée de la voir plus souvent ne serait pas pour lui déplaire. Ce ne sera pas au détriment de leurs deux carrières, ça non ; et si elle veut utiliser son temps libre pour ce truc caritatif, alors il ne l’empêchera pas non plus, surtout que son idée fait echo à une semblable, qu’il avait eue il n’y a pas si longtemps que ça. La seule chose dont il se soucie encore, il finit par en faire une question lorsqu’ils arrivent à sa voiture et qu’il la lâche pour qu’elle monte de son côté. Mavis semble avoir comme priorité de lui répondre, cependant. "Non, je pense qu’il veut juste se sentir en contrôle de quelque chose me concernant et qu’il veut m’aider, mais pas pour les bonnes raisons." Une idée qui le dégoûte mais qu’il ne comprend pas moins. Au fond, il espère que son ambition ne dévorera pas jusqu’à la relation qu’il aura avec ses enfants - quand il aura des enfants, donc, à commencer par là. "Il veut certainement pouvoir s’attribuer le mérite de cette nouvelle expérience, quitte même à mettre la main au portefeuille pour qu’il y soit directement associé. Mais je sais pas… Je le sens pas, ça ressemble à un piège." Il attrape son regard au vol et l’observe un instant avant de rentrer dans la voiture, son absence de réponse la poussant à en faire de même si elle veut entendre ce qu’il a à lui dire. En attendant, il prend déjà soin de refermer sa portière et boucler sa ceinture. « C’est le fait qu’il participe financièrement qui te pose surtout problème ? » Il redemande, reformule, va droit au but. Sa voix est toujours calme, posée. Il est conscient qu’en ayant participé de son propre argent à la cause, il serait toujours légitime d’une certaine manière à avoir son mot à dire, ce que personne sauf lui ne veut. « Tu pourras pas lui enlever de l’idée que c’est grâce à lui que t’as fondé un truc, si jamais c’est ce que tu fais, mais… en ce qui concerne l’argent, tu sais que j’ai rien touché de ce que m’a laissé Saül. » Et peut-être qu’elle aurait préféré être pleinement autonome sur cet aspect-là, il n’en doute pas, mais il ne doute pas non plus que les fonds nécessaires dépassent son budget. Avec la fortune du crocodile, cependant, ils n’auraient plus à s’en faire. Et il jure ne pas être aussi horripilant que Leon. « Tu sais que je voulais pas toucher à cet argent sans raison. Et ça, ça pourrait être une raison. » Il ne voulait pas profiter de cet argent sale pour lui, tout comme il ne voulait pas le jeter par les fenêtres à la première association venue. Il voulait y réfléchir ; et c’est ce qu’ils sont en train de faire à deux, dans une voiture dont il n’a toujours pas allumé le moteur. « C’est juste une proposition, okay ? Prends-le temps d’y réfléchir. » Il n’est pas Leon, il n’est pas Leon ; il se le répète, encore et encore. Il n’impose rien, il ne dicte rien. Il agit simplement selon son agenda politique, et la co-création d’une oeuvre de charité du genre serait évidemment une bonne chose à ajouter à son propre CV. « On pourrait réfléchir à la cause à deux. » Ils pourraient aider aux recherches de personnes disparues quand l’Etat n’aide plus assez financièrement, ils pourraient venir en aide aux victimes d’accidents, ils pourraient se concentrer sur les orphelins, les familles d’accueil,... N’importe quoi. Que cela fasse echo à leur histoire ou non, tout serait bienvenu, et ça Mavis le sait autant que lui. « Qui sait, si on travaille ensemble, on pourrait porter le temps ensemble à trois heures. » qu’il finit par ajouter dans un sourire, avant d’enfin appuyer sur le bouton on du véhicule.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2689 POINTS : 80
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
don't need no battles, ain't tryna start no war crédit gifs - vicsdeangelis & thefirstarchitect @Ambrose Constantine & Mavis Barnes
"C’est un bon challenge." Et elle aime un bon challenge, Mavis. Elle hausse les épaules, et ne prend pas tellement le temps de réfléchir à la question d’Ambrose qu’elle sent pourtant intéressé par ce qu’elle est en train de lui dire. Sur l’instant, sa main dans la sienne, son pouce caressant sa peau selon un certain rythme, ça lui donne l’impression qu’ils sont un couple comme les autres, un couple sain, qui essaye de trouver des solutions ensemble à un problème qui, en fait, ne regarde que l’un d’entre eux. Elle ignorait qu’elle avait besoin de ça jusqu’à maintenant, mais elle doit bien admettre que c’est très agréable, et pas uniquement parce qu’elle a le sentiment d’être soutenue, et ce pour la première fois de son existence. Elle fronce les sourcils, fait marche arrière en s’enfonçant brièvement dans ses pensées pour affiner cette notion de challenge qui pourrait lui faire sérieusement envisager de suivre le conseil donné par son père. Dans l’intervalle, elle prend conscience de quelque chose qu’elle n’a pas honte de partager avec son petit ami "J’ai peur que ça m’éloigne de la vraie médecine." De l’exercice, de ce que ça lui procure comme fierté, comme adrénaline, surtout "Ça a été une année compliquée, et j’ai déjà l’impression de lui avoir fait des infidélités à cause de tout ce qui s’est passé." Et si elle ne prononce pas le nom de Ruben, c’est parce que ce dernier n’a pas toujours besoin d’être associé au terme infidélité, lequel a été choisi sans arrière-pensée, d’ailleurs — c’est juste que ça illustrait bien son propos, c’est tout "J’ai envie de me concentrer de nouveau sur ce qu’est vraiment la médecine, tu comprends ? Surtout que je change de spécialité l’an prochain." Pas de gaieté de coeur, mais de ça, elle n’a absolument pas envie d’en parler, craignant de s’emporter contre celui qui l’oblige indirectement à le faire.
Elle gagne des propos rassurants de la part d’Ambrose qu’elle écoute attentivement. Elle aime connaitre son point de vue sur tout un tas de choses, c’est vrai. Il est un homme brillant, intelligent, qui a de la suite dans les idées et la tête sur les épaules ; il veut atteindre le sommet selon des idéaux qu’il a réfléchi au préalable, elle a confiance en son jugement, bien qu’il y a des notions à apporter aux domaines qu’ils couvrent et qui ne font pas toujours l’unanimité chez elle — comme la dévotion qu’il éprouve our Ruben par exemple, mais ce n’est pas le sujet. Elle se mord la lèvre un instant à la suite de ce qu’il lui répond sur l’idée qu’elle avoue ne pas avoir "Mais souvent, ça part de quelque chose qui compte pour celui qui prend en charge la création d’une fondation, par exemple." Et pour elle, rien ne compte véritablement, elle le craint. Elle ne le dit pas de cette façon toutefois, elle est déjà trop souvent taxée d’être froide et insensible pour vouloir enfoncer le couteau dans la plaie maintenant.
Elle est obligée de monter dans la voiture pour continuer à s’abreuver des paroles d’Ambrose, alors elle le fait en roulant juste un peu des yeux, agacée pour de faux. Elle monte à ses côtés, lourde son sac à l’arrière, et boucle sa ceinture en même temps que lui. Finalement, elle regarde devant elle pour faire le point sur ce qui l’indispose vraiment dans l’action de suivre le conseil de son père "Un peu. Je sais que si je le laisse financer quoi que ce soit, ça deviendra sa cause, et qu’il se servira de ça pour ses propres intérêts à la fin." Elle tourne la tête dans sa direction, pose son crâne contre l’appui-tête en même temps que ses yeux trouvent les siens "J’ai pas envie de m’investir dans quelque chose qu’il pourra s’accaparer quand il l’aura décidé." Peut-être croit-elle son père plus joueur qu’il ne l’est véritablement, mais la vérité c’est que, si lui ne la connait pas autant que ça, elle peut en dire autant : ils sont des inconnus, le père et la fille. Elle pince les lèvres, les propos d’Ambrose se calant sur sa pensée qu’il déroule jusqu’à mentionner Saül Williams.
Là, Mavis marque un stop mental. Si c’est la première fois qu’elle l’entend prononcer son nom, c’est aussi la première fois qu’elle se dit qu’elle compte assez pour lui pour que ça lui vienne naturellement, de lui proposer ce genre de choses "C’est beaucoup d’argent, Ambrose." De l’argent souillé, qui plus est. Ça, elle ne le lui dit pas, elle sait tenir sa langue parfois, et se contente de froncer les sourcils en même temps que ses yeux quittent les siens pour se poser sur sa bouche qu’elle regarde remuer en même temps qu’elle l’écoute. Enfin, elle cligne des yeux en se redressant lorsqu’il lui dit qu’elle a le temps d’y réfléchir. En fait, elle l’admet, sur le moment, elle ne sait pas quoi ajouter d’autre. Ainsi, un silence s’installe, bientôt rempli par le presque imperceptible bruit du moteur de la voiture qui avance enfin pendant que Mavis détourne la tête pour regarder au travers du pare-brise. Elle se perd dans sa tête un long moment à dire vrai, la tête légèrement inclinée, la mine chiffonnée par les pensées qui lui frôlent l’esprit sans savoir pourquoi ça la laisse aussi perplexe. Peut-être parce que troquer la fortune de son père pour celle héritée du bourreau de son amoureux, c’est devoir choisir entre la peste et le choléra ? Elle se recentre, profite que la voiture se stoppe devant un feu rouge pour sortir de son silence et demander à Ambrose qu’elle regarde à nouveau un instant avant de réellement lui parler "Tu supporterais ?" Elle laisse filer un très mince sourire, sa main se tendant dans sa direction pour frôler son visage dans une caresse rapide, mais tendre ; son poignet est posé sur son épaule, ses doigts flattent le contour de sa mâchoire taillée à la serpe "De travailler avec moi ?" Demandera-t-il des conseils à Ruben ? Elle chasse ça de sa tête, retombe brièvement dans le silence avant d’ajouter, plus curieuse qu’autre chose "A quel point ça ferait joli sur le tien, de CV, de te consacrer à un truc pareil ?" Ce n’est pas une accusation. Au contraire, si elle l’interroge de cette façon, c’est avec de la complicité dans le son de sa voix.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25356 POINTS : 90
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (08) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › poppy (fb 2021) › channing › mavis #19
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #19 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"C’est un bon challenge." Ce qui auraient pu mettre des mots marquant la fin de l’idée chez certains mais absolument pas chez Mavis pour qui, au contraire, il sait déjà que ces mots résonnent comme une raison supplémentaire de donner sa chance à l’idée plutôt que tout autre chose. Si elle n’aimait pas le challenge, elle n’aurait jamais cherché à devenir médecin ; tout comme si Ambrose n’aimait pas le challenge, il n’aurait pas choisi une voie dans laquelle l’issue n’est pas uniquement liée à ses capacités à être un bon dirigeant. Le mélange est savant, hasardeux. Mavis a au moins la certitude d’être reconnue pour son talent, acquis à la sueur de son front, et de ça il est heureux pour elle - et pour tous ceux qu’elle aidera. « C’est un très bon challenge. » il répète à son tour avec un doux sourire, tentant de lui faire comprendre qu’il n’est pas aussi réfractaire à l’idée soumise par Leon qu’elle peut l’être de son côté. Il ne force à rien et se contente d’avancer simplement qu’elle a ses qualités et qu’elle mérite de ne pas être refusée en bloc simplement à cause de la personne l’ayant proposée. Si Ambrose lui avait tenu le même discours alors tout aurait été différent, pas vrai ?
Que ce soit un challenge n’est pourtant pas la solution à toutes choses, évidemment, si bien que les interrogations de Mavis reprennent auprès d’un Ambrose heureux d’être dans les petits papiers de ses confessions, comme s’il y avait un quelconque véritable mérite à cela. "J’ai peur que ça m’éloigne de la vraie médecine." - « T’as besoin d’avoir d’autres buts à côté. » Cette fois-ci, il parle sans plus aucune casquette en particulier. Il n’est pas particulièrement son petit-ami, pas particulièrement non plus quelqu’un qui tient à elle. Il est une voix qui conseille au mieux sur son épaule et lui rappelle qu’elle n’en est pas moins humaine que tous ceux qui sont moins bons qu’elle et que, de ce fait, elle a le droit mais elle a surtout besoin d’avoir d’autres occupations que son travail. Ce serait mensonger que de dire qu’elle pourrait n’y consacrer que le strict minimum, à ce dispensaire prêt à voir le jour, mais elle peut au moins faire le choix de ne pas se donner corps et âme dans ce projet-là aussi. "Ça a été une année compliquée, et j’ai déjà l’impression de lui avoir fait des infidélités à cause de tout ce qui s’est passé." L’année qu’ils ont vécue n’a pas vocation à se répéter, de ça au moins ils sont assurés. Ambrose est heureux de l’avoir trouvée, mais il comprend que de son côté Mavis n’a que peu de choses dont elle voudrait garder souvenir au sujet des mois écoulés. Tout a été dramatique, tout a été difficile, et il ne parle que de ce qu’il connaît le mieux et qu’ils partagent donc, un pas éloigné du monde de la médecine. S’il essaie de le suivre, Ambrose n’en reste pourtant pas moins conscient qu’il ne s’agit pas de son univers. "J’ai envie de me concentrer de nouveau sur ce qu’est vraiment la médecine, tu comprends ? Surtout que je change de spécialité l’an prochain." Un autre sujet qu’il élude naturellement, pour un nombre infini de raisons différentes. « Je comprends. » Il serait mal placé pour lui dire de donner moins de son temps à son métier, encore moins alors qu’elle a besoin de toujours s’exercer pour ne rien perdre de ses acquis.
Outre le problème du temps et de l’implication qui pourrait être la sienne dans ce projet, subsiste encore un autre sujet difficile : le simple fait que son père s’y soit mêlé. "Mais souvent, ça part de quelque chose qui compte pour celui qui prend en charge la création d’une fondation, par exemple." Dans la majorité des cas, c’est effectivement le cas. Quasiment toujours, le fondateur a une belle histoire à raconter, il inspire autrui, il façonne l’esprit de générations à venir. Officiellement. Officieusement, personne ne sait trop rien de ce qui se passe dans l’esprit d’inconnus dont ils ne savent finalement absolument rien. « C’est une histoire. Les histoires se créent. » Un sourire lui ajoute un brin de chaleur alors qu’il n’y en a pas réellement dans ses mots qui traduisent tout le cynisme du monde : il ne faut pas croire les histoires qui sont racontées. Elle aurait pu avoir une cause à défendre, et ça aurait été tant mieux pour elle, mais même si elle n’en a pas, ce ne sont pas les idées ou les pistes qui manquent. Ambrose le premier pourrait lui en murmurer beaucoup, ce seraient autant de causes qu’il serait bienvenu à son tour de soutenir pour sa propre image. Ils auraient tous les deux à y gagner, sur le plan professionnel autant que personnel ; et en tant que duo, en tant que couple, cela ne pourrait sans doute que les souder - mais sur ce dernier point, Ambrose émet malgré lui une certaine réserve, incapable de pouvoir anticiper ce à quoi leur quotidien pourrait ressembler. Il y réfléchit plus rapidement qu’il n’en parle, preuve en est de sa question qui tourne encore autour de la personne de Leon et à laquelle Mavis répond avec patience. "Un peu. Je sais que si je le laisse financer quoi que ce soit, ça deviendra sa cause, et qu’il se servira de ça pour ses propres intérêts à la fin." Il marmonne pour lui-même, aligné avec la pensée de Mavis. "J’ai pas envie de m’investir dans quelque chose qu’il pourra s’accaparer quand il l’aura décidé." - « Je sais. Tu as raison. » D’un “je comprends”, il change naturellement son discours vers autre chose, caressant la retenue qu’est celle de Mavis. Elle a raison de se méfier, elle a raison de ne pas sauter dans la gueule du loup, même déguisé en son père.
"C’est beaucoup d’argent, Ambrose." Elle ne lui apprend rien. C’est tellement d’argent qu’il a dû lire la somme deux fois ; tellement d’argent qu’il n’a finalement jamais touché à un seul centime. « J’y toucherai jamais sinon. » La mine de dégoût qu’il affiche encore au moment d’aborder le sujet n’en est qu’un indice supplémentaire dont elle n’avait de toute façon pas besoin : elle sait pourquoi il ne veut rien avoir à faire avec cet héritage tombé du ciel ; héritage pour lequel d’autres familles auraient pu s’entre-tuer. Lui ne veut même pas en donner à ses proches, comme inquiet de l’idée de ce qu’un tel argent pourrait leur amener comme malheur.
Le début de la course se fait en silence sans qu’il ne cherche à le briser. Il voit qu’elle réfléchit, il comprend qu’elle a besoin de temps. Il n’a pas besoin de lui déballer tous ses arguments comme s’il s’agissait véritablement d’une négociation : sans trop s’avancer, Ambrose pense pourtant déjà que Mavis est toute acquise à l’idée et à la cause. Il pense même qu’elle l’était dès le moment où elle a abordé le sujet, ayant simplement ressenti le besoin d’être entourée et comprise. Deux idées naturelles chez le Constantine. "Tu supporterais ?" Le sourire de Mavis est la seule chose qui lui fait comprendre qu’elle ne revient pas sur le sujet de l’utilisation de la fortune de Saül, comme il l’avait pensé en guise de première idée suite à sa question. Ainsi, un brin perdu, il la laisse préciser le fond de sa pensée, sa mâchoire caressée sans qu’il ne s’en plaigne. "De travailler avec moi ?" Il sourit instinctivement, la regarde un instant avec espièglerie avant de se concentrer à nouveau sur le feu de circulation. "A quel point ça ferait joli sur le tien, de CV, de te consacrer à un truc pareil ?" Son sourire ne meurt pas, il devient néanmoins plus sage, plus réfléchi. « Ça ferait très joli. » Il s’agit presque d’une condition sine qua non, en réalité. Il a besoin de se montrer humain pour recevoir des votes. « Assez pour que je supporte de travailler avec toi. » Il met l’accent sur le verbe, ironise, utilise sa main libre pour la poser contre la cuisse de Mavis. « On rediscutera du sujet, ça presse pas, hm ? » Elle n’a pas d’histoire à raconter, certes, mais il tient tout de même à ce qu’elle soit d’accord avec ce qui sera finalement choisi, à défaut peut-être de pouvoir se montrer particulièrement enjouée. Il sait qu’elle saura mimer l’être ; elle est douée et redoutable à ce jeu-là. Elle est une alliée inespérée, en réalité. « Si jamais toi aussi tu pourrais supporter de travailler avec moi. » Il reprend avec un sourire en coin, n’en pensant pas moins en réalité. Ils ne se sont jamais connus dans un univers professionnel et ont tous les deux des avis bien assez arrêtés pour que cela puisse permettre des discussions hautes en couleur. Mais cela ne lui fait pas peur. Il s’éclaircit la gorge et reprend déjà. « On pourra dire d’où vient l’argent. On dira avoir utilisé chaque centime pour la bonne cause. » Ca ne doit pas être leur secret, ça ne doit pas être une bombe laissée là prête à exploser. Ils n’ont rien à cacher ou, tout du moins, ils veulent faire croire qu’ils n’ont rien à cacher. « On embauchera quelqu’un. Pour que tu puisses travailler. Et moi aussi. » Personne n’abandonne ses ambitions pour une foutue association dont l’image leur importe déjà bien plus que la cause.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2689 POINTS : 80
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
don't need no battles, ain't tryna start no war crédit gifs - vicsdeangelis & thefirstarchitect @Ambrose Constantine & Mavis Barnes
Le challenge mis à part, le besoin constant de Mavis de prouver de quel bois elle se chauffe est assez prégnant pour que, malgré ses réticences, elle réfléchisse à l’idée soufflée par son père. Elle semble plaire à Ambrose dont elle ne cherche pas l’approbation au demeurant, mais encore une fois, elle n’ignore pas que c’est quelqu’un qui a de la suite dans les idées, et elle lui fait confiance à ce sujet : s’il juge que ça mérite réflexion, pourquoi devrait-elle en douter ? Peut-être à cause de la manière dont, subtilement, il l’incite à mentir pour créer une histoire entourant la création d’une oeuvre de charité ? Elle n’en sait rien, mais qu’il le soulève sans sourciller, que les histoires se créent, ça la fait se mordre la lèvre un moment, et méditer sur le sujet. Elle ne rechigne pas à mentir, elle le fait même depuis des années, ainsi on peut facilement se dire que c’est inscrit dans ses mécanismes de défense, dans ses mécanismes tout court. Non, ce qui la dérange, c’est d’être entraînée dans quelque chose qui nécessitera une concertation, une association, elle qui a toujours eu le contrôle sur ses moindres stratégies, sur ses moindres coups bas.
En parlant de coup bas, la mention de l’héritage de Saül Williams la fait tiquer pour de nombreuses raisons. Difficile de faire l’impasse sur le scandale révélé par son petit ami, difficile aussi d’en discuter au détour d’une conversation. Comme avec Marion, ça semble trop délicat pour devenir un sujet de conversation, alors ils n’en parlent pas, tout simplement. De ce fait, qu’Ambrose propose de se débarrasser du cadeau empoisonné que son bourreau lui a fait ça étonne Mavis autant que ça la gêne, surtout en observant la mine de dégoût qui assombrit les traits parfaits du jeune homme à ses côtés "Tu pourras en faire don, ça reviendrait au même." Elle n’a pas son mot à dire sur la question, mais dans le pire des cas, s’il ne sait pas quoi en faire, si l’idée de l’avoir en sa possession le rebute autant, il récoltera autant de lauriers à le fourguer à la première cause venue, qu’à créer la sienne.
Elle n’en dit pas plus, elle s’enfonce dans sa réflexion, et raccorde le wagon de leur conversation que plusieurs minutes après, quand le silence devient un peu pesant, que ses pensées se perdent, et que pour se rassurer autant que parce qu’elle en a envie, elle vient caresser le visage d’Ambrose en lui posant une question à laquelle il n’hésite pas longtemps avant de répondre. À quel point ce sera positif sur sa carrière de se lancer dans une manœuvre pareille ? Visiblement, c’est à prendre en considération compte tenu de ce qu’il lui répond, et qui la fait rire en fronçant le nez tant il ne cache pas ses intentions — un requin en apprentissage, c’est qu’Ambrose est, elle a tendance à l’oublier "Regarde-nous, aussi cyniques l’un que l’autre. On s’est peut-être bien trouvés finalement." qu’elle lui fait remarquer, ses doigts quittant sa mâchoire pour brièvement remettre en place une mèche de cheveux brun qu’elle glisse derrière son oreille, l’air de rien. Il pose sa main sur sa cuisse, argue que le jeu en vaudrait la chandelle, et que travailler avec elle, il le supporterait sans mal tant ça lui apporterait, tout comme à elle ; elle met de côté le fait qu’ils se supportent parfois à peine en ne travaillant pas l’un avec l’autre, se dit que pour leurs intérêts, ils seraient prêts absolument à tout, même à fomenter un intérêt grandissant pour les panda roux d’elle ne sait quel patelin de la planète dont en fait, Mavis en tout cas, se fout éperdument "Hm, mon cynisme me fait dire que Saül Williams apprécierait moyen qu’on s’intéresse aux victimes de harcèlement en tous genres." Elle dit en tous genre pour ne pas dire sexuel, de toute évidence. Dépasse-t-elle les bornes ? Elle ne sait pas, et elle ne se pose pas la question sur l’instant. Dans tous les cas, elle se stoppe d’elle-même, et ajoute dans la continuité, se recalant dans son siège en ayant d’abord tiré sur sa ceinture de sécurité qui scinde sa poitrine en deux sous son blazer "T’as raison, rien ne presse." Puisque de toute façon, elle reste réticente, quoi que leur discussion laisse sous-entendre.
Elle récupère sa main pour la poser sur celle qu’Ambrose a posé sur sa cuisse, sourit plus largement lorsqu’il se questionne plus ou moins pour savoir si elle, elle supporterait de travailler avec lui "Tu serais d’accord pour me montrer ton côté impitoyable en affaires ? Parce que moi, j’aurais pas de pitié, je te préviens." En doute-t-il ? Elle est sûre que non. L’arrière de la tête posée contre l’appui-tête, elle la secoue à la positive en entendant la suite de ses mots à propos de l’argent de Saül. Un hm-hmm lui échappe, puis elle lui dit "T’as pas peur que les gens prennent ça comme une tentative désespérée de laver son nom, d’utiliser son argent pour une bonne cause ? Ils en penseraient quoi, ses enfants ?" Si tant est que quelqu’un en a quelque chose à faire. Mavis n’est pas sûre de faire partie de ceux-là, mais elle demande, juste comme ça. Son crâne se décolle juste un peu de son appui-tête, un sourire léger remontant ses lèvres quand elle croit apercevoir des plans concrets dans le discours de son petit ami qu’elle regarde en biais, amusée par la conclusion qu’elle tire "Tu me dis de réfléchir, mais de ton côté, ça a l’air d’être tout réfléchi, ou je me trompe ?" Il a l’air enthousiaste. D’une façon mesurée, d’accord. Mais pour déjà songer à embaucher, c’est qu’au fond de lui, l’idée a fait plus que germer, non ? Elle le regarde, laisse un semblant de perplexité envahir son esprit lorsqu’elle songe que l’histoire avec Saül a dû le desservir autant qu’elle a dû le servir. Est-il pris au sérieux, le jeune Constantine, dans son milieu ? De ça non plus, ils n’en parlent pas autant que ça, alors dénotant une sorte de brèche, Mavis s’y faufile, et lui fait "Sois honnête : ça aiderait vraiment beaucoup ta carrière, de faire ça ?"
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25356 POINTS : 90
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (08) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › poppy (fb 2021) › channing › mavis #19
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #19 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Tu pourras en faire don, ça reviendrait au même." « J’y ai pensé. »
Il la coupe assez abruptement sur ce sujet, comme s’il cherchait absolument à ce qu’elle comprenne que Mavis n’est pas celle ayant implanté l’idée dans son esprit. Il a pensé à tout ce qu’il pourrait faire avec cet argent, il a pensé aux meilleures et aux pires façon de l’utiliser pour sa carrière. Le don à une association en a évidemment fait partie, et selon le coût réel pour fonder une association il ne met pas cette seconde idée de côté. Mais de toute évidence, il préfère évidemment avoir le devant de la scène pour lui seul, et sur une plus longue durée. Un véritable investissement, donc. "Regarde-nous, aussi cyniques l’un que l’autre. On s’est peut-être bien trouvés finalement." Leurs intérêts communs pour leur propre carrière leur tire un sourire amusé. D’autres auraient pu être outrés de la conclusion dessinée par Mavis mais ce n’est de toute évidence pas son cas, pas alors qu’il tend au contraire vers une certaine fierté plutôt qu’autre chose à ainsi l’écouter. « Tu en doutes encore ? » qu’il souligne sans chercher le conflit. Ils se sont trouvés une première fois, retrouvés une seconde ; cela suffit à Ambrose pour qu’il pense que le Destin a joué son jeu et qu’ils ont fait le reste en décidant de ne plus se perdre de vue. A tort ou à raison, c’est un débat différent sur lequel il refuse de s’avancer.
"Hm, mon cynisme me fait dire que Saül Williams apprécierait moyen qu’on s’intéresse aux victimes de harcèlement en tous genres." Il l’entend prendre des pincettes sans même avoir à l’observer et s’il agit avec décontraction sur le sujet, il n’en reste pas moins affecté par toute cette histoire. Face à elle, pourtant, il se sent un peu plus libéré d’en parler, à défaut de se sentir à l’aise. « Je me suis demandé si ce serait une vraie bonne idée ou se tirer une balle dans le pied. Et j’y réfléchis encore. » A quel point cela pourrait-il être mal perçu, c’est ce qu’il se demande surtout. A cela, il n’a pas encore trouvé de réponse. "T’as raison, rien ne presse." Elle leur offre naturellement une issue de secours, il la prend sans chercher à gratter le sujet. Williams ne mérite même pas qu’on utilise encore son nom, surtout pas après sa mort. Lorsqu’elle pose sa main par-dessus la sienne, Ambrose vrille lentement sa paume pour nouer ses doigts aux siens. "Tu serais d’accord pour me montrer ton côté impitoyable en affaires ? Parce que moi, j’aurais pas de pitié, je te préviens." Une partie de sa personnalité qu’il admire sincèrement mais qui a parfois aussi le don de l’effrayer, quand il n’est plus certain de reconnaître la femme qu’il aime. Il se dit que le contraire est parfois similaire pour Mavis à son égard, aussi. Il l’espère, en réalité, parce qu’il veut être aussi impitoyable qu’elle sait parfois l’être. Avoir de la pitié ne fait pas gagner des élections ; laisser ses ennemis en vie n’est jamais une bonne solution. « Est-ce que c’est pas ce par quoi passent tous les power couple ? » Il s’en amuse, pourtant l’idée lui donne envie. Bien sûr qu’il a envie qu’ils soient l’un d’eux, bien sûr qu’il veut avoir cette étiquette ci. Pour lui autant que pour Mavis, ce serait une bonne chose.
Déjà, pourtant, le sujet de Saül revient entre eux malgré son statut de personne décédée. "T’as pas peur que les gens prennent ça comme une tentative désespérée de laver son nom, d’utiliser son argent pour une bonne cause ?" Il ne réfléchit pas davantage avant de faire tourner sa droite de droite à gauche. Il n’a pas peur de ça, non, parce qu’il lui semblait déjà évident qu’il prendrait le temps d’expliquer l’origine de cet argent mais surtout de stipuler qu’il s’agit de sa décision à lui seul. Sauver l’âme de Saül ne l’intéresse pas, et bien au contraire. S’il pouvait piétiner son corps, il le ferait. « Je te dirais bien qu’il peut aller crever mais il l’a déjà fait. » Et en parlant de cynisme, c’est avec un très haut degré de ce dernier qu’il répond, sans une once d’empathie dans la voix. "Ils en penseraient quoi, ses enfants ?" Ce sujet là, cependant, est bien différent. Il ne pense pas à ses autres enfants mais au moins à Damon, qu’il n’est même pas certain d’être sur le testament de son père. Il n’a tout simplement pas abordé le sujet avec lui, sans doute parce qu’ils ne se sont pas adressés la parole depuis des mois. Sans doute parce qu’il ne veut pas être l’incarnation d’images horribles l’associant à son père à chaque fois qu’ils pourraient se voir, aussi. « C’est pas leur argent. » Il ne veut pas savoir ce qu’en penseraient ses enfants, voilà ce qu’il en dit. Ses lèvres se pincent, signe que son cœur n’est pas en adéquation totale avec ses paroles. Il ne peut pas se permettre d’agir autrement et de demander l’accord des descendants : même s’ils refusaient, Ambrose irait au bout de son idée. « Je les connais pas, je leur dois rien. » Ce n’est qu’un demi mensonge, il ne connaît que Damon.
"Tu me dis de réfléchir, mais de ton côté, ça a l’air d’être tout réfléchi, ou je me trompe ? Sois honnête : ça aiderait vraiment beaucoup ta carrière, de faire ça ?"
Il y réfléchit en prenant une lente inspiration et en reprenant sa main pour la poser sur le volant. « Ça aiderait, oui. “Vraiment beaucoup”, ça, j’en suis pas certain. » Les retombées sont difficilement quantifiables de façon scientifique mais il anticipe que ce serait positif. A quel point cela pourrait l’être est un autre sujet, l’éternelle incertitude du monde dans lequel il évolue. « C’est moins une science exacte que la médecine. » Il précise avec un sourire, faisant le lien avec le monde de Mavis, tentant aussi de lui expliquer un point sur lequel elle a été habituée différemment. « Je me dis que ce serait l’occasion d’avoir un projet commun et je pense sincèrement que ça serait une bonne chose pour toi, mais je te l’impose pas. » L’idée est toute réfléchie pour lui, ça oui, mais il ne l’imposera pas pour Mavis à son tour. Il fondera sans doute une association, qu’il soit seule dans le projet ou non, et il se contente pour l’heure d’espérer qu’elle soit à ses côtés pour un tel projet ; parce qu’il en a envie autant que parce qu’il pense que ce serait une véritable plus value. « Je veux pas être ton père. » Et s’il n’oubliera jamais son ambition au sein de son couple, il veut laisser une place à l’amour simple et désintéressé. « L’association Marion Barnes ? » Il marche sur des oeufs et le sait. Ils n’avaient jamais abordé à nouveau le sujet de sa soeur depuis la dernière fois. Il reprend rapidement pour ne pas lui laisser le temps de parler. « M. Barnes dans le quotidien. Parce que le harcèlement n’a pas d’âge, parce qu’il a parfois des conséquences terribles. » Parce qu’il vaut mieux laisser sous-entendre qu’elle aurait pu se laisser tomber elle-même de cette falaise plutôt qu’autre chose, elle que tout le monde aimait tant, elle qui n’était certainement pas harcelée. Ils peuvent l’avoir aussi simplement que ça, leur histoire.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2689 POINTS : 80
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
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Elle a compris que la question de l’argent légué par Saül Williams est une source de réflexion de la part d’Ambrose qui lui coupe trop abruptement la parole pour qu’elle ne fasse pas le rapprochement entre son ton et le sujet duquel ils parlent tous les deux. Elle ne relève pas, se contente de hocher la tête de façon mécanique, même si elle n’apprécie pas d’être réduite au silence de cette façon. Elle consent toutefois à lui laisser la main parce qu’elle n’est pas stupide, qu’elle sait que le poids de cet héritage pèse sur ses épaules. Ils en parleront certainement plus tard, non ? Pour l’heure, ils parlent d’autre chose, en l’occurence, du cynisme qu’ils ont en commun, détail relevé par Mavis qui s’en amuse et en fait une raison pour laquelle ils semblent si bien s’entendre et s’aimer. Ambrose n’est pas surpris que ça les réunisse. Ça ne surprend pas non plus Mavis en vérité, mais ça la fait sourire et lui répondre sur cette même ordre d’idée "Pas le moins du monde." À une ou deux nuances près, est-ce utile toutefois de le mentionner ?
La réflexion est le mot d’ordre de ce que Leon a réussi a semé sans même être présent dans cette voiture qui roule et roule encore. Si Mavis songe à la cause qu’ils pourraient choisir de servir en tachant de faire comprendre à Ambrose que ce serait une bonne chose de faire un pied de nez à Williams et à ce qu’il lui a fait subir, elle entend qu’il marche sur des oeufs de son côté "On va réfléchir ensemble." Maintenant qu’ils sont impliqués, difficile d’y échapper. Ça va finir par les obséder, elle en est persuadée "Quitte à faire des tableaux de pour et des contre, hm ?" Ils s’entraideront, ils sauront penser à tout pour qu’on ne leur reproche pas de faire les choses pour les mauvaises raisons, bien que sur le fond, ces dernières le sont, entreprise égoïste qui ne servira en vérité qu’à redorer leur blason et montrer au monde entier que s’ils sont fait pour régner sur le monde, c’est parce qu’ils sont bons envers autrui. Oh, quelle douce ironie "Je suppose que si." Fait-elle dans un léger rire en pensant aux puissants qui, à leurs côtés, ont toujours une femme de poigne pour les aider "En tout cas, j’aime bien l’étiquette de power couple." Un sourire à la limite du carnassier sur le visage, c’est ce qu’elle ajoute. Et elle pense à Jackie, à Hillary, à Michelle — l’image de la deuxième s’implante dans sa tête alors qu’elle fait un parallèle entre les frasques de Bill et les penchants de son propre petit ami. Est-ce qu’elle serait du genre à brader sa dignité pour permettre à Ambrose d’atteindre les sommets ? Serait-elle prête à revendiquer leur histoire contre vents et marées en omettant celle qui leur a déjà mis tant de bâtons dans les roues pour sauver les meubles ? Deviendrait-elle celle qui lui essuie le coin de la bouche après qu’il soit passé sous le bureau de Ruben sans ciller ? Elle l’a déjà fait à sa manière, elle sait de quoi elle est capable, et ce qu’elle est capable de supporter.
Néanmoins, la manière presque insensible qu’il a de prendre en considération les enfants de Saül la surprend. Qu’il parle aussi crument de sa mort non, en revanche, elle trouve même ça un tantinet charmant, pour ne pas dire autre chose. Elle tourne la tête vers lui, fronce légèrement les sourcils, et se demande si c’est une bonne idée de songer à lui demander pourquoi il semble tant en colère à l’égard d’individus qu’il dit ne pas connaître, et donc ne rient leur devoir. Plus tard, ils en parleront plus tard, de ça aussi. En fait, ça intéresse moins Mavis que l’impact qu’aurait tout ça sur la carrière de son petit ami qui se défend de lui imposer quoi que ce soit "Je sais, on fait qu’en discuter." souligne-t-elle, avec un semblant de mauvaise foi adorable qui lui fait lui donner un sourire doux qui se change en légère perplexité à l’ajout qu’il appose juste après "Non, bien sûr. Je le prends pas de cette façon, sois rassuré." Elle tend la main pour la poser sur sa nuque, caresse les cheveux qu’elle sent au bout de ses doigts, et complète "J’entends que tu veux l’empêcher d’intervenir dans quelque chose qui pourrait faire du bien à ma carrière, et comme ça pourrait faire du bien à la tienne, t’es prêt autant à m’aider qu’à t’impliquer." Voir les choses de cette façon, ça la fait relativiser sur l’idée que ça les divisera à un moment où un autre. Ce sera dans leur intérêt respectif de ne pas le faire, ainsi elle n’a pas de mal à lui assurer dans le même temps "Si on le fait pour de bon, ça deviendra pas une source de conflits." Elle ne peut pas le jurer non plus, mais dans la seconde, elle se dit qu’étant tous les deux aussi ambitieux l’un que l’autre, ils sauront se comporter comme tels lorsqu’il s’agira de leur projet. Elle sait qu’elle en est capable, elle l’a déjà fait avec Ruben.
Elle continue à caresser sa nuque un moment, mais marque un stop à l’annonce de ce qui lui trotte dans la tête "Je —" Elle ne sait pas quoi répondre. Une association au nom de sa soeur ? C’est aussi tentant qu’elle n’a pas envie d’en faire une martyre — tentant, parce que ça prouverait encore un peu plus qu’elle, elle a su rester vivante et prospérer, tandis qu’elle, sa dépouille s’est faite dévorer par les pires bestioles marines qui existent. Elle récupère sa main, marque de nouveau un temps de silence en se laissant envahir par quelque chose d’étrange, de malsain, alors qu’à ses côtés, Ambrose prononce les prémices d’un mensonge qui n’en sera qu’un de plus pour Mavis : Marion n’a jamais été harcelée, c’était elle, la harceleuse. Doucement, presque au ralenti, elle repose ses yeux sur son profil et profite qu’ils soient arrivés à destination pour espérer les plonger dans les siens. S’il lui en laisse l’occasion, il verra dans son regard qu’elle a compris que quelque part, il lui établi une raison, celle dont elle n’a jamais eu besoin jusqu’alors parce qu’on a compté sur sa pseudo-tristesse pour expliquer qu’elle ne soit pas capable de mettre des mots sur l’accident de sa soeur ; c’est arrivé, point final. Ce qu’il lui offre, c’est tacite, c’est une preuve en plus de quelque chose qu’elle ne cherche plus à comprendre tant ça prend de la place entre eux depuis quelques temps, et quand elle retrouve sa voix, c’est juste pour lui dire en hochant la tête une nouvelle fois "C’est pas une mauvaise idée. Et puis, c’est dans l’air du temps au fond, on voit et on entend parler que de ça sur les réseaux sociaux…" Sa phrase reste en suspens, mais son regard, lui, s’accroche à celui d’Ambrose sans oser en venir à la conclusion : il sait.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25356 POINTS : 90
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (08) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › poppy (fb 2021) › channing › mavis #19
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cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"On va réfléchir ensemble." L’idée n’est pas abandonnée, l’idée n’est pas trop vite acceptée non plus. Ils vont y réfléchir; ils le disent et il sait qu’ils le feront bel et bien. Il hoche la tête, la réponse lui convenant pour l’heure. "Quitte à faire des tableaux de pour et des contre, hm ?" Ambrose note les efforts qui sont les siens, raison pour laquelle il décoche un simple sourire en sa direction. Cette décision n’est pas à prendre à la légère et si Mavis tente justement de faire un peu d’humour, lui n’est pas si certain que ça qu’ils n’en viendront pas à créer ledit tableau. Cela ne leur coûterait rien, ce serait du temps passé ensemble à réfléchir à leur avenir commun. Autrement dit, ce serait du temps bien utilisé, rentabilisé. "Je suppose que si. En tout cas, j’aime bien l’étiquette de power couple." - « Tant mieux, j’aimais bien aussi. » Il n’avait jamais pensé au terme jusqu’à maintenant mais il est évident qu’il ne risque désormais plus de le sortir de son esprit. Les exemples qui lui viennent à l’esprit sont nombreux, grisants. Il veut marcher dans leurs pas et est certain que Mavis n’en a pas moins envie, dans son propre domaine avant tout, dans celui d’Ambrose par extension aussi pourquoi pas. Il ne peut pas prétendre à la médecine, mais elle peut prétendre aux lumières de l’exposition médiatique.
Il est bien moins capable d’ironie sur le sujet de Saül, qu’il aborde aussi froidement que l’est son corps. Son argent lui sera sans doute bien utile, ça oui, mais Ambrose refuse de parler positivement de lui et son dégoût va jusqu’à s’étendre à sa progéniture, qui n’a pourtant rien fait de mal si ce n’est être né dans la mauvaise famille. "Je sais, on fait qu’en discuter." Peut-être que le fait qu’ils n’aient de cesse de répéter qu’ils ne font qu’en discuter devrait les laisser avec un certain doute mais il n’en est rien. Au contraire, du côté d’Ambrose cela le pousse à être éternellement rassuré par leur discussion et à ainsi croire qu’ils ne font qu’explorer les différentes pistes offertes et les autres qu’ils créent : sans conséquence jamais. Ils tâtent, ils explorent, mais ils peuvent encore se reprendre. Pas abandonner, ça non, uniquement reculer pour mieux sauter. "Non, bien sûr. Je le prends pas de cette façon, sois rassuré." Sans jamais vouloir afficher un Talon d’Achille, il n’est pas moins sincèrement rassuré par la main qu’elle pose contre sa nuque ; il n’en aime pas moins non plus ses doigts qui caressent ses cheveux et l’apaisent. « Je m’inquiétais pas. » Cette fois-ci, il reprend sans amertume, sans chercher à enterrer le sujet non plus. Il n’était pas inquiet, sincèrement, mais il tenait à apaiser le sujet pour qu’il ne risque pas de devenir un possible problème. S’il est d’avis que de nombreuses autres disputes les attendent encore, il refuse que l’une d’elles puisse le comparer à son père à qui il trouve tant de défauts. Il a beaucoup de modèles dans la vie mais il a aussi beaucoup d’exemples dont il ne veut pas se rapprocher de près ou de loin. "J’entends que tu veux l’empêcher d’intervenir dans quelque chose qui pourrait faire du bien à ma carrière, et comme ça pourrait faire du bien à la tienne, t’es prêt autant à m’aider qu’à t’impliquer." Le résumé est factuel, Ambrose ne va pas à son encontre. Il nourrit en effet une idée qui pourrait les arranger tous les deux à plusieurs niveaux, si bien qu’à ses yeux il s’agit là de la solution parfaite. « On aurait tous les deux à y gagner. » Il rajoute des faits à son tour, bien qu’il soit déjà évident qu’elle pouvait en venir à la même conclusion que lui, sans aucun mal. "Si on le fait pour de bon, ça deviendra pas une source de conflits." Ils s’éloignent des faits simples avec cette nouvelle idée et lui n’est pas aussi assuré de ce fait que Mavis semble l’être. Il veut le croire, sincèrement, mais il ne s’avancera pas davantage sur l’idée. « Si on fait ça, on le fait bien. » Même en “le faisant bien”, cela ne peut pas les protéger de disputes. Et quand bien même, elles font partie du processus, ils devront en passer par là, comme leur couple est aussi passé par là - et a risqué d’imploser à quelques reprises aussi.
En parlant de disputes, justement, il tâte les limites de leur discussion en proposant le nom de l’association en même temps que le thème, le tout par dessus un tissu de mensonges dont ils sont tous les deux parfaitement conscients. "Je —" Elle qui a toujours une diction et une répartie parfaite ne sait plus quoi répondre et il ne lui en veut pas. L’annonce tombe de nulle part, elle est dure, elle est machiavélique mais elle est aussi parfaite. Elle n’en reste pas moins qu’une simple proposition, même si Ambrose est déjà certain qu’ils ne pourraient pas trouver mieux ailleurs, peu importe le temps qu’ils pourraient s’accorder à la réflexion. Il pose malgré tout un rapide regard en sa direction pour jauger sa réaction, qu’il est rassuré d’observer : elle n’est pas horrifiée, et c’est tout ce qui lui importe. "C’est pas une mauvaise idée. Et puis, c’est dans l’air du temps au fond, on voit et on entend parler que de ça sur les réseaux sociaux…" Elle ne dit pas oui, elle ne dit pas non non plus. Lui arrête le moteur, engage le frein à main, détache sa ceinture pour mieux embrasser brièvement Mavis. L’affaire n’est pas officiellement conclue mais ils sont en bonne voie, il leur laisse le temps nécessaire. Après tout, la justice ne l’intéresse pas. Le pouvoir, en revanche, brille au bout du chemin. Marion ne reviendra pas peu importe ce qu’ils disent d’elle, alors autant qu’elle serve la cause des vivants. Le sujet permettra à son père d’avaler la pilule qu’ils n’auront pas besoin de son argent, qui plus est. Le sujet permet aussi à Ambrose de s’enfoncer davantage dans le mensonge ou, il ne sait pas encore, de s’octroyer une excuse si jamais il devait un jour pousser Mavis sous les roues du train de la justice pour se sauver lui-même. Il espère qu’il n’aura jamais à y penser réellement, car elle n’en reste pas moins une alliée de taille qui n’a pas d’égal, encore moins dans l’affection qu’il lui porte. « On a le temps de voir les détails et d’y réfléchir. » Elle n’a pas signé, il en est conscient, il tempère sa victoire. « Tu me diras quand tu veux en reparler, ok ? » Elle gère les deadline, il luif ait confiance pour ça.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2689 POINTS : 80
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
don't need no battles, ain't tryna start no war crédit gifs - vicsdeangelis & thefirstarchitect @Ambrose Constantine & Mavis Barnes
Tout ça ressemble aux prémices d’une machination, pense Mavis en raccordant les fils de la discussion qu’ils ont avec Ambrose. Elle déteste l’idée que son père en a été le point de départ, mais avec le concours de son petit ami, elle sait que le tout sera détourné de façon habile pour que personne ne pense jamais que leur projet est le fruit d’un conseil venant de l’éminent docteur Barnes. Ce n’est pas une honte au demeurant, c’est juste qu’elle en a assez Mavis, de se sentir obligée d’exister selon le prisme des idées et idéaux de son père. Oh, elle est certaine que s’ils mettent véritablement ce projet en route, il se gargarisera d’en avoir semé les graine auprès de si douce et si talentueuse fille, mais elle se sait parfaitement équipée pour le remettre à sa place, et arguer qu’il lui a moins donné l’idée qu’il le pense, que c’est en vérité Ambrose qui a su déplacer son pion pour la contraindre à réfléchir à une stratégie solide dont, tous les deux, ressortiront les grands gagnants.
Il n’y a plus grand chose à dire sur le sujet, en vérité. C’est en cours de réflexion, et ça a beau être insidieux, Mavis étant du genre à hyperfixer sur son avenir autant que sur ses ambitions, ça restera en sommeil jusqu’à ce qu’ils se décident pour de bon. Et puis de toute façon, Ambrose lui a coupé la chique en mentionnant Marion et cette pseudo-cause qu’elle leur inspirera peut-être. Elle essaye de lire dans se yeux ce que sa proposition signifie réellement, s’il tache de lui faire passer un message par télépathie en revenant de manière détournée sur le sujet qui leur a tant causé de disputes au cours des dernières semaines, mais à nouveau, elle se rend compte qu’elle n’est pas tout à fait prête pour découvrir si oui ou non, ce qu’Ambrose a cru comprendre de sa confession à demi-mots lui a donné matière à revoir son jugement à son égare. La garde-t-il dans son sillage davantage parce qu’il craint ses actions, ou parce qu’il l’aime vraiment ? La question lui traverse l’esprit, mais elle la bloque, et détourne brièvement le regard lorsque la voiture s’arrête ; lui se détache, la surprenant avec un baiser-surprise qu’il lui donne, et qui a beau être bref, qui ne reste pas moins tendre pour autant : ils sont un vrai couple, elle n’a pas besoin de remettre ça en question, pas alors qu’ils chérissent tous les deux l’idée d’en devenir un qui compte dans le paysage de Brisbane.
"D’accord, on va prendre le temps." Elle s’accorde sur sa ligne, se demande en même temps comment ils vont trouver le temps d’y réfléchir tandis que leur vie respective les astreint à tant de choses à accomplir qu’ils vont bientôt devoir se donner rendez-vous pour se voir. Ambrose lui laisse la responsabilité du créneau à accorder à leur discussion sur la question — parce qu’elle travaille le plus sans que ce ne soit un reproche, aussi parce que c’est elle qui a amené le sujet sur le tapis. C’est à son tour de l’embrasser aussi brièvement qu’il la fait que tout à l’heure, mais pas moins tendrement. Se détachant enfin à son tour, elle se contorsionne pour récupérer ses affaires à l’arrière. Elle laisse un petit rire filer de sa gorge, et en descendant de la voiture, sa portière claquant sous la force gracile de son geste, elle répond à sa dernière question "Je t’enverrai un texto quand je serai prête à aborder le sujet à nouveau, ça te va comme ça ?" Elle plaisante, c’est aussi flagrant qu’elle le gratifie d’une langue pendue en contournant la voiture, sa main se tendant dans sa direction pour qu’il la saisisse. Ils vivent dans le même appartement, partagent le même lit et bien plus encore ; tout se fera naturellement, elle tend à le croire, préférant omettre pour l’heure qu’ils s’apprêtent à, plus dangereusement que jamais, jouer avec le feu.
rp terminé.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.