ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 347 POINTS : 860
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
And in the end I'd do it all again. I think you're my best friend. Don't you know that the kids aren't alright? I'll be yours, when it rains it pours. Stay thirsty like before. Don't you know that the kids aren't alright? I'm not passive but aggressive. Take note, it's not impressive. Empty your sadness like you're dumping your purse on my bedroom floor. We put your curse in reverse and it's our time now if you want it to be. Maul the world like a carnival bear set free. And your love is anemic and I can't believe that you couldn't see it coming from me.
Si leur relation n'est évidemment plus ce qu'elle a été dix ans plus tôt, ils peuvent au moins se bercer d'illusions durant le temps de ce trajet en voiture et peut-être encore un peu après. Parce qu'ils se plongent plus ou moins profondément dans les souvenirs heureux. Parce qu'ils l'étaient, durant tout le temps qu'a duré leur relation. Deux êtres calmes et tendres qui n'ont jamais eu besoin d'élever la voix dans une dispute trop sérieure. Rien que de petites chamailleries plus adorables qu'autre chose quand ils étaient en désaccord. Ce qui arrivait même assez rarement et ça se finissait toujours dans les rires quand ils réalisaient que c'était idiot et que ça ne les menait à rien. Aujourd'hui, ils ne sont sans doute plus que de pâles copies de ce qu'ils ont un jour été tous les deux. Incapables de communiquer aussi facilement qu'ils le faisaient autrefois. Quand leur couple battait son plein et leur faisait du bien à tous les deux. Désormais, il ressemble à un déchet et elle, elle a tout d'une sauveuse. Qui lui évite de se démerder tout seul pour rentrer chez lui en un seul morceau et de rejoindre son lit sans trop de mal. Même s'il a besoin de faire un petit écart par la salle de bain pour ne pas être malade entre les draps de son lit. La situation est ainsi, un peu moins gênante quand même, que si le drame était arrivé dans sa chambre. Ce n'est même pas si gênant que ça quand elle doit venir l'aider parce qu'il est incapable de se débarrasser tout seul de ses vêtements trempés qui pèsent une tonne. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il se laisse faire avec plaisir quand elle l'aide à se relever puis à se débarrasser de ses deux vêtements principaux.
Même si le trouble, arrivé de nulle part, lui tombe lourdement dessus. Il n'aura même pas le culot de prétendre que c'est uniquement à cause de l'alcool qui fait toujours des dégâts dans son organisme. Il sait que c'est plus que ça. Parce qu'elle a un jour eu énormément de pouvoir sur lui, Willow. Parce qu'ils ne se sont pas perdus dans la colère et la rancœur. Ils se sont perdus sous un faux prétexte, de toute évidence. Mais dans le calme et dans le respect qui ont toujours fait partie intégrante de leur relation. Ce sont leurs retrouvailles qui ont été plus douloureuses et violentes que ce à quoi ils se sont habitués l'un et l'autre, dans le fond. Parce qu'il a changé, Alistair, comme il le lui a assez bien dit ce jour-là. Même si ce soir, lui-même semble oublier ce "détail". Parce qu'il retrouve un peu de l'innocence du jeune homme qu'il a un jour été à ses côtés. Quand il la taquine au sujet de sa taille, comme il lui arrivait de le faire autrefois. Elle est pourtant loin d'être petite. Il se contente de répondre par un rire quand elle lui fait remarquer qu'il est en retard. Et, cette fois-ci, ça n'a rien à voir avec leur séparation qui remonte à presque dix ans. Elle avait déjà terminé sa croissance, bien entendu, quand ils se sont rencontrés. Et franchement, s’il trouvait adorable leur différence de taille, aujourd’hui, c’est peut-être ce qui sauve un peu la situation. Ainsi, c’est son front qui est à la hauteur de ses lèvres. Ou le sien, quand il bascule la tête pour la presser contre la sienne. De quoi calmer les émotions qui secouent le corps tout entier. Qui se font menacantes tant l’alcool lui fait presque oublier toute retenue et lui fait plus ou moins oublier sa douloureuse réalité.
Il pourrait être pris de panique en réalisant l'envie qu'il a de presser ses lèvres contre les siennes. Mais il n'en fait rien. Ni paniquer, ni l'embrasser. Il se contente d'un baiser bien plus sage, qu'il dépose sur son front. Avant de lui faire entendre qu'elle peut quitter la salle de bain. Le peu de conscience qu'il a encore lui permet d'agir de la façon la plus sage qui soit. Il ne la quitte pas du regard quand elle se recule, puis tourne les talons pour quitter la pièce et refermer la porte arrière. Ce n'est qu'après son départ qu'il échappe un soupir de soulagement. En son absence, la tension retombe et c'est un véritable soulagement pour lui. Qui trouve enfin le courage d'abandonner son caleçon avec le reste et de terminer de se sécher. Afin de pouvoir enfiler une tenue sèche et confortable avec laquelle il pourra dormir. C'est en continuant de s'accrocher à tout ce qu'il peut, qu'il prend le temps de se laver les dents et de se rincer une dernière fois le visage à l'eau froide. Il a terriblement chaud et il est persuadé que c'est à cause de l'alcool qui est en train de mettre son corps KO. Ça n'a évidemment rien à voir avec le soudain rapprochement qui s'est opéré avec celle qui est son ex depuis neuf ans. Celle qui n'était pas du tout supposée revenir dans sa vie un jour. Pourtant, elle est belle et bien là. Et elle l'est toujours quand il rouvre la porte et tombe nez à nez avec elle. Il ne fait aucun commentaire alors qu'il rejoint de nouveau son lit avec difficulté et des gestes hésitants. Toujours la même hésitation quand il prête enfin attention au verre d'eau et aux cachets qui attendent à côté. Les mains un peu tremblantes, il les porte à ses lèvres et les avale avec plusieurs gorgées d'eau. Il lève sa main libre pour lui faire signe d'attendre quand elle prend la parole. Parce que cette fois, il va au bout de son verre qu'il repose vide sur la table de chevet.
« T'peux rester là. » Qu'il marmonne dans sa barbe, sans oser la regarder. Parce que les filtres et les émotions "normales" commencent doucement à reprendre place. Assez pour qu'il réalise que l'invitation peut être surprenante. Mais pas assez pour qu'il ne la fasse pas quand même. Et il n'attend d'ailleurs pas vraiment de réponse de sa part, pour se caler à nouveau sur le matelas. Les coussins tassés contre la tête de lit pour éviter d'être complètement allongé. Parce qu'il craint trop que la position horizontale n'ait une nouvelle fois raison de lui et ne le pousse à s'enfermer à nouveau dans la salle de bain. « Au moins j'auraipas b'soin d'gueuler. Si t'es juste là. » Surtout, sa présence pourrait avoir quelque chose de très réconfortant pour lui qui est seul depuis ce qui semble être une éternité. Ne serait-ce que son parfum qui pourrait emplir la pièce et s'étaler dans ses draps. Le Alistair habituel et sobre regrettera très certainement cette décision quand il sera revenu à lui, mais pour l'instant, il préfère largement le repousser et le faire taire parce que ça l'arrange et parce que la réalité reviendra forcément trop tôt de toute façon. « S'tu veux. » Et, comme si sa réponse n'avait finalement pas tant d'importance que ça, il cale son crâne dans ses oreillers pour fermer les yeux. La réalité, c'est que ses oreilles sont tendues et son esprit presque en alerte alors qu'il attend de savoir ce qu'elle fait. Le palpitant affolé à l'idée qu'elle puisse choisir de s'installer à quelques centimètres de lui. Le corps en alerte, à l'idée de pouvoir se caler contre la chaleur du sien, avec toute l'innocence du monde. Mais le besoin tout à fait humain, de trouver un peu de réconfort auprès d'un autre humain. Et pas n'importe lequel. C'est Stormy.
(1264 mots)
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 785 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
And in the end I'd do it all again. I think you're my best friend. Don't you know that the kids aren't alright? I'll be yours, when it rains it pours. Stay thirsty like before. Don't you know that the kids aren't alright? I'm not passive but aggressive. Take note, it's not impressive. Empty your sadness like you're dumping your purse on my bedroom floor. We put your curse in reverse and it's our time now if you want it to be. Maul the world like a carnival bear set free. And your love is anemic and I can't believe that you couldn't see it coming from me.
Pendant quelques instants, tu dois te concentrer sur ta respiration, pour tenter de retrouver un rythme normal, pour rappeler à tes poumons comment ils sont censés faire le travail qu’ils ont depuis que tu as poussé ton premier cri. Inspirer. Expirer. Forcer ton palpitant à reprendre un rythme qui ne ressemble pas à celui d’un coureur en train de faire son dernier sprint. Il n’y a aucune raison à ce que ton corps n’agisse de la sorte, du moins, c’est ce que tu ne cesses de te répéter, alors que tu as quitté la salle de bain embrumé, là où se trouve encore Alistair Rivers, à moitié nu, son corps une image dont tu n’as jamais su te défaire malgré les années qui ont passé. Mais il n’y a pas que son personnalité qui a changé, en neuf ans. Son corps a vieilli, s’est défini d’une manière nouvelle, et tu ne contrôles pas pleinement le courant de tes pensées, certainement pas celles qui te disent en boucle à quel point elles auraient aimé que tu t’attardes plus longuement sur la sensation de sa peau sous tes doigts, pour redécouvrir chacun des traits, des vallées et des monts qui dessinent son torse et son abdomen, si tu aurais été capable de lui arracher le même genre de frissons, comme avant. Non. Alistair n’a pas besoin de ça, n’a pas besoin de toi comme ça alors c’est le feu dans ton corps en entier que tu t’efforces d’éteindre pendant les quelques minutes que ça lui prend de finalement finir de se sécher et de se changer. Malgré l’envie incontrôlable de vérifier à plus d’une reprise qu’il est toujours ok, qu’il est encore capable de mettre quelques vêtements, tu n’en fais rien. Tu t’efforces de rester assise sur son lit, tes mains sous tes fesses pour t’empêcher de jouer nerveusement avec les premières choses qui pourraient te tomber sous la main, comme ce calepin sans doute rempli d’idées et de dialogues en tout genre de l’écrivain. Ce n’est pas ta place de mettre ton nez dans ses affaires, alors tu attends, impatiente, calmant toute impulsivité sous des pensées toutes plus tortueuses les unes des autres, qui te rappellent qui il est, et surtout qui tu es pour lui désormais et cela aide ne serait-ce qu’à remettre tout de cette situation en perspective.
Mais ça ne suffit pas à te convaincre de prendre tes jambes à ton cou et le laisser seul pour le reste de la nuit, non. Rester proche semble toujours être la meilleure des idées, vu la quantité d’alcool qu’il a ingéré, et c’est ainsi que tu te convaincs que le mieux que tu puisses faire pour le reste de la nuit, c’est d’aller t’allonger quelques heures sur le divan, tenter de trouver le sommeil avant de devoir parti au petit matin et retourner dans ta vraie vie, celle dans laquelle Alistair n’est plus un élément du quotidien. Tu souhaites tout de même t’assurer d’avoir son accord avant d’aller t’installer dans le salon, histoire qu’il se souvienne - avec un peu de chance - qu’il a accepté que tu restes encore un peu. Tu l’observes avalé son verre d’eau à coup de grandes gorgées, rassurée de le voir prendre les cachets que tu as préparé dans la foulée et tu es sur le point de prendre son silence comme un accord sur ta présence, mais il finit par parler. Et les mots qui quittent ses lèvres ne sont pas de ceux auxquels tu t’attendais. « T’peux rester là. » Là? Ici? Dans sa chambre? Dans son lit? Il y a toutes sortes d’alarmes qui se mettent à sonner dans ton esprit, qui tiennent à te rappeler ce qui s’est presque passé il y a quelques minutes à peine, dans la salle de bain, quand Alistair n’était vêtu que d’un caleçon et que tu peinais à faire la distinction entre le bien et le mal, l’esprit soudainement flouée comme si toi aussi, tu avais passé la soirée a abusé de l’alcool. Ce n’est pas une bonne idée, tu le sais, mais une fois encore, ton corps te trahit, ta gorge trop sèche pour offrir la moindre réponse à l’écrivain qui prend ton silence comme une réponse, une raison d’ajouter à sa proposition. « Au moins j’auraipas b’soin d’gueuler. Si t’es juste là. » « Ton salon est pas si loin… » que tu tentes de relativiser alors que l’écrivain s’installe déjà plus confortablement dans son lit, la tête légèrement relevé sur des coussins pour éviter de se retrouver complètement à plat, ce qui est sans aucun doute la meilleure des idées dans les circonstances. Le lit est grand, tu pourrais certainement t’y glisser sans risquer d’entrer dans sa bulle, mais tu crains qu’une fois encore, les souvenirs d’antan emmènent à des gestes que vous pourriez regretter dès la levée du soleil. Mais quand il rajoute un dernier « S’tu veux. » avant de fermer les yeux, laissant son corps se mouler sous la couverture, tu laisses tomber toute prétention qui dit que tu n’as pas envie de venir t’allonger à côté de lui. « Si t’es certain… » que tu murmures, avant de te départir de tes bas mouillés mais gardant le reste de tes vêtements. Tu te glisses sous les couvertures, et comme dans tes souvenirs, la chaleur qui émane du corps d’Alistair te heurte de plein fouet, comme ça a été le cas des centaines de fois par le passé. Tu t’installes sur l’oreiller à côté du sien, celui sans aucun doute délaisser depuis longtemps, et sans pouvoir t’en empêcher, tu te tournes sur le côté, ton regard posé sur lui, son corps soudainement immobile, son regard apaisé d’une manière que tu n’avais pas vu depuis longtemps. « Tu m’as pas dit Ali, si tu te sentais un peu mieux. » que tu répètes ta question de tout à l’heure, pas certaine s’il va avoir le courage d’y répondre avant de sombrer dans les bras de Morphée. Pour l’instant, tu es bien trop réveillée pour te laisser aller au sommeil, satisfaite à l’idée de simplement l’observer encore un peu, chacun de ses traits se dessinant mentalement dans ton esprit. Tel un souvenir que tu te refuses d’oublier un jour.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 347 POINTS : 860
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
And in the end I'd do it all again. I think you're my best friend. Don't you know that the kids aren't alright? I'll be yours, when it rains it pours. Stay thirsty like before. Don't you know that the kids aren't alright? I'm not passive but aggressive. Take note, it's not impressive. Empty your sadness like you're dumping your purse on my bedroom floor. We put your curse in reverse and it's our time now if you want it to be. Maul the world like a carnival bear set free. And your love is anemic and I can't believe that you couldn't see it coming from me.
Quand il reviendra à lui-même, il ne fait aucun doute qu'Alistair se dira que tout ça n'a rien de sain. Que tout ça n'aurait jamais dû prendre une telle tournure. Mais pour l'instant, il ne pense qu'au sentiment de bien-être qui s'est installé dans son esprit et dans son corps tout entier quand il a eu le sien tout proche. Un rapprochement physique qu'il n'a eu avec personne d'autre que quelques membres de sa famille et de celle de son épouse durant les jours qui ont suivi son décès. Depuis, il maintient tout le monde à bonne distance parce qu'il ne supporte plus la sollicitude des uns et des autres. Et parce qu'il se dit que si quelqu'un venait à le prendre dans ses bras pour une raison ou pour une autre, il pourrait réaliser à quel point il est désormais vide. Vide de vie. Vide de joie. Vide d'avenir. Pourtant, il a laissé s'approcher Willow et il a même fait en sorte de créer un peu de contact. Certes, très innocent et de très courte durée. Mais quand même, c'est plus que ce qu'il a pu accepter et encaisser depuis bien longtemps. Et maintenant que c'est terminé parce qu'elle a quitté la pièce pour lui laisser un peu d'intimité ... Il a envie de recommencer. Il veut ses doigts perdus dans ses cheveux, comme elle n'a eu de cesse de le faire cette dernière heure et comme elle le faisait si souvent autrefois. Il a envie de son souffle chaud contre sa peau et de son corps reposant contre le sien. Il a envie de tout ça sans savoir s'il en a le droit et sans être certain qu'il aura le courage de le lui faire savoir.
C'est finalement quand elle soumet l'idée d'aller dormir sur le canapé du salon, qu'il trouve le courage de proposer un autre genre d'idée. Il sait que c'est très étrange et que ça semble venir de nulle part. Pourtant, il ne résiste pas et il fait ensuite mine de rien pour lui laisser l'opportunité d'encaisser la chose. Parce qu'elle ne réagit pas, il balance la première excuse qui lui passe par la tête. Il n'aura pas besoin de gueuler pour l'appeler à l'aide, si ça ne va vraiment pas au cours de la nuit. Ou de ce qu'il en reste. Il hausse juste les épaules en guise de réponse quand elle lui fait remarquer que le salon n'est pas très loin. Il n'insistera pas, si elle n'a pas envie de dormir à côté de lui. Au contraire, il comprendrait. Et peut-être même que la version sobre de lui-même lui en sera reconnaissante quand il sera revenu. Ce n'est pas encore le cas et pour l'instant, même s'il en est conscient, il a presque l'air boudeur à l'idée qu'elle ne reste pas là. Les bras croisés sur le torse après qu'il se soit installé dans le lit et ait fermé les yeux pour tenter de trouver le sommeil. Il ne sait pas s'il aura du mal à le trouver ou pas. Il sait juste que la situation est étrange et qu'il n'a aucune idée de comment la gérer. Et il ne peut s'empêcher d'afficher un petit sourire satisfait quand elle a l'air de capituler. Sourire qui s'accentue quand il sent le matelas s'affaisser, signe qu'elle vient de grimper dessus.
Elle reprend la parole, apparemment désireuse de savoir comment il se sent. Dans un premier temps, au lieu de lui répondre, il rouvre les yeux et tourne la tête pour ramener son regard sur elle. Il est presque surpris de la trouver tournée vers lui et occupée à le regarder. Même s'il songe assez rapidement, qu'elle se contente de vérifier qu'il va bien et qu'il n'est pas sur le point d'être à nouveau malade. Il marmonne un vague "hum" avant de détourner le regard une nouvelle fois. Cette fois, il appuie sur le bouton à portée de main pour éteindre les lumières de la chambre. Qui n'est pas tout à fait plongée dans l'obscurité grâce à la douce lueur de la lune qui entre à flot par les grandes baies vitrées. Il profite de cette presque totale obscurité pour se rapprocher d'elle. Il abandonne la position qui lui évite d'avoir la tête qui tourne pour se rouler à moitié en boule contre elle. Sans chercher à trop en faire et à prendre trop de place. Sans refermer un bras autour d'elle, sans se coller tout à fait à elle. Juste assez près pour avoir conscience de sa présence chaude près de lui. Assez pour entendre son souffle et le sentir qui se perd dans ses cheveux encore humides. Assez pour que son parfum le rassure un peu, lui aussi. « Mieux maintenant. » Qu'il confesse avant d'avoir eu le temps d'envisager de se taire et de garder cette confession sous silence. Parce que les raisons de ce bien-être temporaire sont évidentes.
Un bien-être si fort qu'il ne tarde pas à sombrer dans le sommeil. Trop fort. Trop profond. Accentué par les effets de l'alcool qui sont dévastateurs et qui ne tardent pas à se rappeler à lui et à son corps. Quelques heures de sommeil lui sont quand même offertes avant qu'il ne soit réveillé par un mauvais rêve qui le fait se redresser dans le lit. Trop soudainement. La nausée le frappe de plein fouet et il quitte le lit avec la même soudaineté que quelques heures plus tôt. Porte qui claque, toilettes qui l'accueillent. Estomac tout à fait vidé cette fois. Nouvelles floppées d'eau froide qu'il se balance au visage, nouveau nettoyage des dents. Quelques minutes passées dans la salle de bain, à bout de souffle et la conscience qui continue de revenir. Lentement, mais sûrement, la réalité lui revient en pleine tronche. Surtout quand il croise son propre regard dans le miroir. Il hésite. Il est plus paumé que jamais. Le ventre vide. Le cœur percé. Le corps tremblant et moite. En équilibre précaire sur ses jambes, il rejoint la chambre. Le lit. Willow certainement réveillée par son départ précipité. Il est assez conscient pour se dire qu'elle ne devrait pas être là. Qu'il ferait mieux de l'inviter à partir. Au lieu de ça, il se glisse sous les draps et ramène sa carcasse contre son corps. Tente de voler encore un peu de temps à la réalité en allant chercher sa chaleur, lui qui se sent frigorifié. Qui tremble de tous ses membres et lutte contre le mal-être physique qui se retrouve accentué par le retour de la conscience. De la douloureuse réalité qui semble l'être un peu moins quand il se perd contre le corps féminin. Stormy est toujours là. C’est mal, mais il la cherche dans la nuit au lieu de la fuir.
(1122 mots)
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 785 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
And in the end I'd do it all again. I think you're my best friend. Don't you know that the kids aren't alright? I'll be yours, when it rains it pours. Stay thirsty like before. Don't you know that the kids aren't alright? I'm not passive but aggressive. Take note, it's not impressive. Empty your sadness like you're dumping your purse on my bedroom floor. We put your curse in reverse and it's our time now if you want it to be. Maul the world like a carnival bear set free. And your love is anemic and I can't believe that you couldn't see it coming from me.
Peut-être que si vous ne veniez pas de partager un moment chargé dans la salle de bain, tu aurais plus de discernement que tu n’en as présentement. Sûrement que s’il ne s’agissait pas d’Alistair Rivers, tu saurais plus facilement faire le discernement entre ce qui est bien et mal. Venir t’allonger à côté de lui cette nuit, c’est une très mauvaise idée et tu le sais, pourtant, tu es trop aisément convaincue de pas grand chose, ayant besoin plus que tu ne veux l’admettre de poser ta tête sur l’oreiller toi aussi, d’arrêter les tourments qui tournaient dans ta tête avant même qu’Alistair ne change le déroulement de ta soirée. Tout ce qui vient de se produire - ou ne pas se produire, vraiment - ne fait qu’ajouter une couche de confusion au reste de ton existence et tu n’es pas certaine d’avoir la force mentale de démêler tout ça ce soir. Alors tu cèdes à la tentation, à la simple envie de t’endormir dans le même lit que lui, ne serait-ce que pour quelques heures. De calquer ta respiration à la sienne sans te questionner à savoir ce que cela peut bien vouloir dire. Le lit est confortable, ton corps s’y moulant naturellement et si tu étais persuadée de ne pas trouver sommeil rapidement, tu jurerais que le matelas s’apprête à faire de toi une menteuse tant tu t’y sens bien. Ou bien est-ce que cela est du à la proximité de l’écrivain qui semble apaisé pour la première fois depuis que tu l’as retrouvé? Tu ne sais pas s’il va te répondre, mais tu veux vraiment savoir comment il va en ce moment, s’il se sent mieux après avoir vomi une bonne partie de ses excès de la soirée. Le silence s’étire et tu penses qu’il s’est endormi, et puis il ouvre finalement les yeux, se tournant sur son côté, dans une position se faisant miroir à la tienne pendant quelques secondes où vos regards disent tout ce qu’il y a à dire. Il se retourne légèrement, ferme les lumières de la chambre et tes yeux se font plus lourds dans la noirceur soudainement de la pièce. Et puis tu le sens qui bouge doucement dans le lit, qui s’approche de toi sans vraiment envahir ton espace, sa chaleur comme un voile dans laquelle toute ta personne peut se reposer, et si l’odeur d’alcool persiste, c’est sur cette odeur qui est entièrement sienne que tu te concentres, quand ses mots sont ce que tu entends tout juste avant de t’endormir. « Mieux maintenant. » Toi aussi, tu vas mieux maintenant.
Du moins, jusqu’à ce que ton sommeil ne soit couper court par le corps de l’écrivain qui se lève en trombe, une fois encore jusqu’à la salle de bain. Cette fois-ci, tes réflexes sont plus lents, l’inquiétude moins importante, maintenant que tu sais que son corps a ingéré ou rejeter une bonne partie du contenu toxique, le laissant avec ce qui semble être une bien mauvaise gueule de bois. C’est une répétition de ce qui s’est passé plus tôt, entre les vomissements et les bruits d’eau qui sont entendre, le robinet ou la douche, tu n’en es pas certaine, mais il n’appelle pas ton nom cette fois, alors ton cerveau endormi juge que cela veut dire que tu peux rester coucher dans son lit qui sent comme lui, emmitouflée dans cette doudou qui te rappelle sa présence, sa chaleur, son odeur. La porte de la salle de bain s’ouvre à nouveau et tu lèves légèrement la tête pour apercevoir Alistair, qui semble avoir autant de mal que la veille à tenir sur ses jambes. Tu vois l’hésitation dans ses pas, mais tu vois aussi le moment de résolution quand il décide de se glisser à nouveau entre les bras, son corps s’approchant du tien, et cette fois-ci, tu ne te contentes pas d’une prétention d’embrassade, ton dos se collant contre son torse, tes jambes s’entremêlant aux siennes et l’invitant à passer un bras sur l’avant de ton corps, devenant officiellement la grosse cuillère de ta petite cuillère. Il est moite et tremblant, Alistair, et tu t’assures que vous êtes tous les deux emmitouflés dans les couvertures avant de te laisser porter à nouveau vers un sommeil sans rêve, la présence de l’écrivain remplissant l’entièreté de ton subconscient.
Quand tu es réveillée à nouveau, c’est par l’une de tes nombreuses alarmes qui te rappelle que tu ne devrais pas être ici. Tu mets quelques secondes d’ailleurs, à te souvenir où se trouve ici, jusqu’à ce que tu n’enregistres les bras d’Ali qui ne t’ont pas lâché même dans votre sommeil, vos corps encore entremêlés l’un contre l’autre. Il est moins moite que lorsqu’il s’est endormi, le sommeil sans doute bien réparateur après les excès de la veille, et c’est aussi silencieusement que possible que tu t’extraits de son étreinte. Une fois levée, tu t’assures qu’il est encore profondément endormi, avant d’attraper son verre désormais vide, et tu prends le chemin jusqu’à la cuisine. Cette fois-ci, il n’y a rien pour interrompre l’attention que tu portes aux nombreuses photos sur les murs, sur les portraits après portraits de la femme qu’Alistair a aimé, et tu es forcée de réaliser avec force la bêtise que tu as fait, de penser que tu avais le droit de rester ici pour la nuit, dans sa maison à elle. Soudainement pressée d’en sortir, tu remplis le verre d’eau, sors deux nouveaux cachets du paquet d’analgésique que tu avais trouvé la veille - ou plus tôt ce matin, vraiment - et tu viens déposer le tout sur la table de chevet de l’écrivain. Sans trop y penser, tu attrapes son calepin sans en lire les autres notes, et te contentes d’écrire ton numéro de téléphone, à côté duquel tu dessines un éclair. Il comprendra, l’écrivain. Et tu espères qu’il ne t’en voudra pas, de partir sans un mot, mais tu as besoin de sortir. Cette fois-ci, c’est toi qui aies besoin d’air et tu espères sincèrement qu’il se décidera à utiliser ton numéro.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.