ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
La porte de la petite salle de sport qui jouxte le centre associatif grince sous son ouverture. Dans l’entrebâillement, Jo fait son apparition — et elle est divine, même engoncée dans un ensemble de sport bleu layette qui fait ressortir son bronzage et ses cheveux noirs qui sont maintenus en arrière par un serre-tête aussi épais que la doudoune noire qu’elle porte de guingois, l’arrondi de son épaule brillant de la crème hydratante qu’elle utilise tous les matins. Sans délai, et sans se soucier qu’on l’entende, elle dit avec un dédain notoire, sortant de sa poche un tube de gloss qu’elle débouche pour s’en appliquer une nouvelle couche inutile "Ça sent comme dans la chambre de mes frères." Et force est de constater que, vu la gueule qu’elle tire derrière l’application exagérée de gloss dans laquelle elle se lance, ce n’est pas une bonne chose. Elle rebouche son tube, fait claquer ses lèvres dans un smack qui réparti un peu mieux la matière sur sa bouche, et se redresse pendant que Marcus laisse échapper un rire rauque. Il referme la porte derrière lui en suivant de près sa cliente qu’il attrape par les épaules pour la détendre un peu. Il la secoue légèrement, malaxe les nerfs qu’il sent poindre sous l’épaisseur relative du tissu de sa brassière qui met son décolleté en valeur, et la laisse s’imprégner de l’ambiance des lieux. C’est ici qu’il passe le plus clair de son temps, à taper dans des sacs de frappe et à s’en traîner pour assurer au mieux la sécurité de sa cliente qui, le nez froncé désormais, regarde aux alentours avec un air si peu convaincu que ça le fait encore plus marrer. Ça fait des mois qu’elle suit une thérapie, des mois qu’elle repousse le moment de suivre le conseil de sa psy qui lui rabâche qu’elle a besoin de canaliser son énergie dans autre chose que la scène, et que sa colère, si elle doit l’expulser, elle doit le faire dans sa forme la plus brute, tout en instaurant un cadre qui l’empêchera de dépasser les limites, ce qui est son point faible, on ne va pas se mentir. Elle sait déjà frapper Jo, c’est un constat dont Micah — et d’autres — ont fait les frais tout au long de sa vie, alors au fond, ça ne sera qu’un jeu d’enfant de le faire en face à face avec un sac de sable, mais putain que ça lui coûte de faire l’effort de faire ce qu’on lui dit sans le discuter, consciente quelque part qu’ils n’ont pas tort, tous ces gens, quand ils disent qu’elle doit se faire soigner. Elle essaye, et si elle s’en est remise à Marcus au sujet de la boxe, c’est avant tout parce qu’elle a appris à le connaître, et qu’elle sait que pour lui, cette discipline a eu un impact positif sur sa vie. Elle roule des épaules pour qu’il la lâche, pivote sur le talon plat de ses baskets qu’elle a chaussé à contre-coeur, et lève la tête, défaite de ses centimètres en plus, pour trouver le regard de son protecteur qui lui fait, pince-sans-rire "Je vais te préparer ton petit coin VIP pour que personne vienne te prendre la tête. Agresse personne en attendant." Il lui retourne une légère bourrasque pour la faire basculer sur le côté. Le long souffle qu’elle laisse échapper, il est aussi blasé que soulageant tandis que, d’un oeil plissé, elle regarde autour d’elle pour constater qu’il y a peu de monde ici, et que dans tous les cas, ils seront plutôt tranquilles pour commencer leur toute première séance.
Elle retire sa doudoune qu’elle pose sur ses bras qu’elle tient devant elle, donnant l’impression d’être une sage visiteuse quand à chaque angle de ring, elle juge et critique en silence ; beaucoup de muscles pour rien, qu’elle pense en ricanant intérieurement "Putain, je rêve." murmura-t-elle au bout d’un moment. Jusque-là, elle avançait au petit bonheur la chance, ses pupilles s’acclimatant à l’épais contre-jour qui file au travers des fenêtres obstruées par des feuilles de papier journal histoire de créer une ambiance à la New York des années soixante-dix — et dire qu’on accuse les artistes d’en faire trop, les sportifs ne sont pas mieux dans leur genre. Sur les murs, des posters et affiches de combat célèbres et de tête d’affiche du genre qu’elle ne connait que de nom, et dire qu’elle s’en fout un peu est un euphémisme, puisque sur l’instant, elle remarque la présence de quelqu'un qu’elle connait et qu'elle avait encore moins envie de croiser que le grand méchant loup à l’orée du bois "Hé, Rocky." qu’elle fait à Ollie au loin. Malgré la déconvenue que ça représente à ses yeux, de tomber sur lui, un sourire carnassier fait remonter sa pommette du côté gauche lorsqu’elle voit briller sa peau d’une pellicule de sueur. C’est ça que ça sent partout ici, la sueur et la chaussette, exactement comme dans la chambre de ses frères, comme elle l’a dit en entrant. Ça la choque moins qu’on pourrait le croire, elle a le coeur bien accroché Jo, elle se formalise moins de sentir l’odeur nauséabonde des autres que, au milieu des adhérents qui puent la mort, un nuage de parfum la suit qu’importe l’endroit où elle passe — ça attirera surement les vautours qui s’exciteront de voir une petite nana dans son genre dépasser les portes de cet endroit de malheur, mais ça ne lui fait pas peur. Elle continue son chemin vers le jeune homme, le désigne d’un signe du menton en retrouvant son expression habituelle ; Jo n’est pas soeur-sourire, ça lui évite de se creuser des rides "Qu’est-ce que tu fous là ?" Pas pour faire du tricot, de toute évidence. Sa question est débile, elle s’en rend compte, alors elle complète "T’as besoin de décharger pour éviter d’en coller une à ta meuf ?" Propos controversés. Elle s’en cogne à dire vrai. Elle peut se le permettre, elle sait que ce genre de type c’est tout dans les poings, rien dans le froc, alors elle peut bien verser dans l’humour noir pendant une seconde ou deux, qui lui reprochera ? Personne de présent en tout cas ; elle croit Midas quand il lui dit qu’Harleen n’est que sa baby mama, mais elle ne consent pas à l’apprécier pour autant. Elle peut encore décider de qui elle a dans le nez ou pas, et comme lui-même l’a dit, le fait qu’elle ne réussira jamais à a traiter comme une bonne copine, c’est plus une fatalité qu’un manque de maturité de sa part, et puis c’est bon en vrai, vu les derniers mois qu’elle a passé, elle a bien le droit de rigoler, ouais.
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
:
Dernière édition par Jo Carter le Mer 27 Nov 2024 - 16:14, édité 2 fois
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) SURNOM : Ollie est déjà un surnom, son véritable prénom est Oliver. STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 477 POINTS : 250
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)olive › cleo #2 › connor #1 › jo #2 › nicola #1
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1 › andrewAVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
Positionné face au sac de frappe, il souffle un instant, anticipant le prochain coup qu’il viendra asséner contre le revêtement en cuir. Ses pas glissent sur le sol, légers, mais chargés d’une énergie à peine contenue. Ollie est en colère et cela se ressent dans sa posture : en garde, mais avec les épaules bien trop remontées près de ses oreilles pour que ses coups se veulent efficaces. Dans un coin de sa tête résonnent les multiples conseils de Connor. Ne jamais laisser ses émotions agir à la place de sa tête. C’est pourtant ce qui a fini par se produire, pas plus tard que la veille. Il s’était pointé à la salle de mauvaise humeur, la faute à Harleen, à un client, à son patron. La terre entière avait provoqué son humeur bougonne. Il avait voulu en découdre sur le ring, faisant fi des règles instaurées entre ces murs. Une bagarre avait éclaté parce qu’Ollie avait décidé de frimer, parce qu’il en avait voulu toujours plus, qu’on le frappe pour de vrai, qu’on le laisse exprimer sa colère au travers de ses poings. Habituellement, Connor passe l’éponge, mais pas cette fois. Ce fut la goutte de trop. Il était venu à bout de la patience de son mentor au point de se faire exclure de la salle pour une semaine. Au passage, Connor l’avait défié d’aller voir ailleurs, tester si d’autres patrons de salle seraient aussi patients avec lui. Bien sûr qu’il la prit au pied de la lettre, justifiant alors sa présence dans cette salle miteuse. Rien ne va à ses yeux. Ici, personne ne fait attention à lui. Les coachs sont aux abonnés absents, chacun s’enferme dans son coin en s’imaginant être la prochaine star du ring.
En aucun cas, Ollie n’est venu ici pour se comparer aux autres. Il a simplement besoin de se défouler, usant de ses connaissances pour apprivoiser le sac de frappe qui ne cesse de danser devant ses yeux. Son corps oscille légèrement, imprimant une cadence silencieuse, dictée par chacune de ses respirations. Parfois, il avance, lançant un direct vif qui claque contre le cuir du sac, puis recule aussitôt, esquissant une feinte menée par un retrait instinctif. Perdu dans cette régularité de métronome, il ne prête absolument plus attention à ce qui l’entoure. Chaque impact l’aide à se décharger : un crochet ample qu’il aurait aimé décocher au connard qui l’avait provoqué la veille, un pivot du pied maîtrisé qui aurait rappelé à Connor que chacun de ses conseils ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd. Le sac oscille sous ses assauts, la sueur perle sur sa peau, brillant sous la lumière crue du néon au-dessus de sa tête, témoin de la décharge qu’il exprime au travers de ses coups. Ollie ne retient pas sa force, exprimant sa discipline face à un adversaire invisible, dans un échange de force brute et libératrice.
Il aurait pu continuer ainsi pendant des heures, pour se vider la tête, pour mettre de côté ses responsabilités et le monde qui l’attend à l’extérieur. Il aurait aimé pouvoir terminer sa séance sans la moindre distraction, mais il faut croire que le destin en avait décidé autrement. « Hé, Rocky. » Il n’y aurait probablement pas prêté attention si son instinct n’avait pas sonné l’alarme d’une certaine familiarité dans cette intonation de voix. Relevant les yeux de son sac de frappe, il aperçoit la silhouette d’une demoiselle qu’il n’aurait jamais imaginé croiser dans un tel endroit. « Manquait plus que ça. » Qu’il marmonne dans son coin, se replongeant immédiatement dans le pas de deux instauré avec son sac. « Qu’est-ce que tu fous là ? » Ne devrait-il pas lui retourner la question ? On est bien loin de son monde fait d’adoration et de paillettes. Stoppant son mouvement, il retient le sac qui revenait vers lui d’un geste de la main. Il a assez discuté avec la brunette la dernière fois pour savoir qu’elle n’allait pas partir alors qu’il lui adresse un simple regard noir. « T’as besoin de décharger pour éviter d’en coller une à ta meuf ? » Il n’est pas étonné de réaliser qu’elle ne joue pas dans la cour du féminisme. Reine de beauté, mais avec la bouche d’un mec de quartier. « Au cas où je viendrais à croiser ton mec. » Match nul. Balle au centre ? « On va faire ça encore longtemps ? » Il est de notoriété publique désormais que chacun méprise la moitié de l’autre, Ollie finirait presque par s’en lasser. C’est du réchauffé tout cela. C’est bien autour d’un autre point que réside son intérêt. Qu’est-ce qui amène une fille comme elle à fréquenter un tel endroit ? « Déjà lasser du chanteur à midinettes ? T’es venu chercher un homme capable ?! » Et juste pour l’emmerder, il fait danser ses sourcils avant d’user de son avant-bras pour essuyer la sueur qui perle sur son front. D’un geste rapide, il attrape la languette de son gant entre ses dents pour en défaire le scratch et retirer les protections. Ollie est une tête brûlée, mais il a appris depuis bien longtemps que ne pas protéger ses mains et frapper comme un bourrin contre du cuir ne lui apportera strictement rien de bon. « Tu t’es perdue princesse ? »
just a young gun with a quick fuse. i was uptight, wanna let loose. i was dreaming of bigger things and wanna leave my own life behind. not a "yes, sir," not a follower, fit the box, fit the mold, have a seat in the foyer, take a number i was lightning before the thunder
:
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Ollie a l’air ravi de la voir, autant dire que c’est une raison supplémentaire selon le point de vue de Josephine pour s’imposer sans se sentir de trop. Ils n’ont eu en tout et pour tout qu’une seule conversation au cours de leur vie respective, mais le jeune homme ne lui est pas désagréable. C’est un profond sentiment de mauvaise foi qui la pousse à le considérer moins chiant que sa pouff dont la mention est faite par elle-même, pour une fois, en guise d’entame provocatrice qu’elle ne s’excusera pas d’avoir choisi pour approcher l’animal sauvage que lui semble être Ollie. C’est peut-être pour ça qu’elle le trouve sympa finalement, il dégage la même aura agressive qu’elle-même. Elle les sent ces choses-là, Jo. Elle reconnait les gars qu’il ne faut pas beaucoup pousser pour qu’ils sortent de leurs gonds, elle s’amuse avec eux en les craignant nettement moins que celui qui lui a donné l’habilité de contrer les crochets du droits, les gifles et les coups de pied. Ollie ne lui fera jamais autant peur que son père, les autres types dans leur genre non plus d’ailleurs, ce n’est réservé qu’à son géniteur qui a le pouvoir de la rendre docile et craintive. Les autres ? Elle les traite de petits garçons, et là, elle ne peut que se moquer de la mine renfrognée de celui à qui elle s’adresse tandis qu’elle lui demande tout simplement ce qu’il fout ici. Sa réponse lui arrache un léger rire, son regard se déportant de son visage luisant de sueur, le bout de sa langue creusant une dent du fond. Elle est obligée de s’avouer à demi-convaincue par la rhétorique d’Oliver qu’elle gratifie d’un raisonné "Fair enough." qu’elle aurait très bien pu accompagner d’un regard noir alors qu’il soulève la possibilité d’avoir besoin de ses poings face à Midas. Qu'il essaye pour voir, ce sont les siens qu’il trouvera.
Elle est déjà là de toute façon, parée au combat sans en avoir l’air. La grosse erreur de ceux qui se fient à son apparence de poupée, c’est de croire qu’elle est précieuse. Elle aime en jouer parfois, comme ici, où elle trifouille dans les poches de la doudoune qu’elle tient dans le creux de son bras pour y dénicher un vaporisateur de poche rempli de son parfum qui coûte un bras, celui dont elle ne donne pas le nom pour ne pas qu’on lui pique sa signature. A distance d’Ollie, elle en vaporise quelques pschitt en faisant la grimace, le disperse dans l’air en agitant une main vaporeuse dans l’espace qui les sépare, puis relève la tête dans sa direction lorsqu’il lui pose une question qu’elle lui renvoie, douée à ce jeu-là "Pourquoi, tu t’avoues déjà vaincu ? T’es pas censé être endurant grâce à ça, là ?" D’un coup de menton dédaigneux, elle désigne le sac de frappe dans lequel il était en train de se décharger avant qu’elle ne vienne l’interpeller. Elle range son vaporisateur, pose sa doudoune sur un banc vers lequel elle marche quelques pas avant de s’y asseoir après avoir toupillé sur elle-même, un nouveau rire goguenard suivant la réplique du jeune homme sur laquelle elle rebondit sans attendre ne serait-ce qu’une seconde, maîtresse dans l’art de manier la répartie comme d’autres manient des couteaux de boucher "Oh, et c’est toi, l’homme capable dans l’histoire ?" Elle s’apprête à dépasser les limites, c’est aussi certain que ça se lit dans ses grands yeux bruns dont la profondeur est accentuée par la longueur de ses cils maquillés. Elle a été élevée avec cinq garçon, elle n’a pas froid aux yeux, et vibre d’une profonde envie de choquer son auditoire. Alors d’accord, ce n’est surement pas très joli dans la bouche d’une sublime femme comme elle, mais elle s’en branle, voilà ce qu’elle fait "Vas-y, baisse ton short. Rien qu’à l’oeil, je pourrais juger si tu l’es ou si tu l’es pas." Comme elle le soupçonne de n’être qu’une couille molle, elle sait parfaitement que sa proposition restera sans réponse. Du coup, elle la contre en ajoutant rapidement, ses paupières s’alourdissant de fausse lassitude, obligée d’entendre la mélodie répétitive du jeune homme qu’elle garde dans le viseur "On sait toi et moi que je porte des talons plus grands que ta bite en fait, te fatigue pas." Charmant "Cherche-moi pas, je viens juste dire bonjour." Bon, c’est elle qui a commencé, mais qui s’en soucie ? Et dire qu’elle fait partie de la liste du top dix des Rising Star de l’année 2025 selon le Billboard. Une chose est sûre, elle ne l’est certainement pas à cause de son langage ; une évidence qu’elle ne prend pas en compte, se levant déjà de son banc pour faire le tour du sac de frappe derrière lequel elle se cale. Elle le prend entre ses mains, y enfonce très brièvement ses ongles taillés en amande, et le fait pivoter de droite et de gauche pour soustraire Ollie à sa vue. Je te vois, je te vois plus, je te vois, je te vois plus… quand soudainement, elle le projette dans sa direction, espérant — pas si secrètement que ça vu le sourire mesquin qui fend son visage — que ses réflexes sont mauvais pour qu’il se le prenne en pleine tronche, ne supportant pas qu’il l’appelle princesse. Connard, qu’elle pense sans le dire, lui répondant à la place "J’ai senti l’odeur du mâle viril à des kilomètres à la ronde, je me suis dit que c’était ma chance pour tester le gang bang de bon matin." Visiblement, elle a misé sur la classe ce matin. Restant on ne peut plus sérieuse toutefois, elle continue "Tu sais ce qu’on dit, y a pas d’heures pour ces choses-là." Certains diraient même que ça remue le sang "Tu fais ça souvent ?" Elle attend que le sac de frappe lui soit de nouveau renvoyé, se trouve maline de préciser, ses lèvres redessinnées au crayon remuant exagérément lorsqu’elle murmure en direction d’Oliver qu’elle regarde avec les paupières plissées "La boxe hein, pas le gang bang."
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
:
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) SURNOM : Ollie est déjà un surnom, son véritable prénom est Oliver. STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 477 POINTS : 250
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)olive › cleo #2 › connor #1 › jo #2 › nicola #1
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1 › andrewAVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
Elle s’impose dans son univers avec ses ongles trop longs et son parfum qui pue une richesse qui lui colle à la peau. Elle détonne dans ce hangar fait de sueur et d’hommes qui cherchent à se prouver qu’ils sont capables de quelque chose. Elle n’appartient pas à ce milieu et durant un instant, il se demande si elle n’est pas venue pour lui proposer un pacte avec le diable. « Pourquoi, tu t’avoues déjà vaincu ? T’es pas censé être endurant grâce à ça, là ? » Il ne prendra pas la peine d’entrer dans son jeu. Elle joue la carte de la provocation, il l’a compris dès le départ. Il n’a aucune idée de ce qu’elle cherche en venant ici, mais il est persuadé d’une seule chose : il aura toujours l’ascendant sur elle dans ce milieu. Qu’importe ce qu’elle pourra dire pour chercher à le déstabiliser. Il a déjà tout entendu, Ollie, mais généralement la provocation provient d’un homme qui cherche à se prouver quelque chose. Les plus idiots se laissent souvent berner par son apparence plutôt frêle comparée à d’autres profils. Ils le confondent bien souvent pour un débutant et généralement, Ollie se fait un plaisir de leur prouver l’inverse sur le ring. Il ne se lassera jamais de jouer à ce jeu-là, pour lire la surprise sur le visage de ceux qui finissent par chialer pour que le combat prenne fin. Il n’a aucunement l’intention de se battre, physiquement, avec une femme. Encore moins avec elle. « Oh, et c’est toi, l’homme capable dans l’histoire ? » Un ricanement lui échappe tandis qu’il s’empare de la serviette qu’il avait laissée sur son sac pour ôter la transpiration qui colle à son visage. « Je suis pas intéressé, princesse. » Il ne se refuse jamais un flirt, mais il connaît également les limites à ne pas franchir. Une part de lui apprécie sincèrement l’honnêteté brutale de la brunette et ce serait bien idiot de gâcher cela pour entrer dans un jeu qui ne sera absolument pas amusant ni pour l’un ni pour l’autre. Elle est déjà prise, amoureuse de l’autre abruti à la mèche blonde. Il le sait. Il s’en fiche. Ce qui l’intéresse en cet instant, c’est de comprendre ce qui a bien pu amener la brunette à s’aventurer dans cette salle de boxe. Est-ce qu’elle est à ce point en manque d’adrénaline ?
« Vas-y, baisse ton short. Rien qu’à l’œil, je pourrais juger si tu l’es ou si tu l’es pas. » Il voit bien dans son regard qu’elle joue la carte de la provocation, bien trop habitué à ce que personne n’entre dans son jeu. Il s’en amuse en réalité, posant lentement sa serviette sur le banc à côté d’elle, se positionnant juste en face de la brunette qui l’observe avec son sourire en coin. Elle l’en croit incapable, il n’est pas difficile de le deviner, et c’est ce qui pousse Ollie à laisser ses pouces glisser sous l’élastique de son short. Il suffirait d’un geste sec pour qu’il se débarrasse du bout de tissu. Il souffle le chaud et le froid, abaissant lentement l’élastique pour laisser deviner le bas de son ventre musclé. « On sait toi et moi que je porte des talons plus grands que ta bite en fait, te fatigue pas. » Bien sûr qu’elle fait marche arrière alors qu’il était sur le point de dévoiler le reste de son pubis. « Petite joueuse. » Elle criera haut et fort qu’elle a gagné la manche, lui ne voit qu’une grande gueule qui n’aurait pas su se dépêtrer dans la situation qu’elle avait pourtant elle-même cherché à créer. « Cherche-moi pas, je viens juste dire bonjour. » Il hausse un sourcil tout en remontant son short sur ses hanches. « Elle est polie par-dessus le marché ! » Il se serait bien passé du simple fait qu’elle le reconnaisse et qu’elle s’invite ainsi dans sa séance.
Elle s’entête à s’imposer dans son espace, lui tournant autour tel un félin prêt à poncer sa proie. Il s’en amuse pour l’instant, mais il va très vite se lasser de son petit jeu, alors qu’elle cherche constamment à le déstabiliser. Comme les autres, elle s’imagine qu’il a choisi la boxe pour combler un manque, pour compenser une masculinité bancale. Comme beaucoup, elle se met le doigt dans l’œil. Elle pensait pouvoir lui mettre le sac dans la figure, mais il avait anticipé son coup bien avant qu’elle n’y pense réellement et, alors qu’il use juste de son poing pour repousser le sac de cuir, il a mis assez de force pour l’obliger à reculer. D’un geste, il retient le prochain vacillement et lui adresse un clin d’œil. Elle va s’enrager, il le sait. C’est ce qu’il aime dans l’échange qui prend place. « J’ai senti l’odeur du mâle viril à des kilomètres à la ronde, je me suis dit que c’était ma chance pour tester le gang bang de bon matin. » Il ne va pas s’offusquer de sa vulgarité quand il a toujours parlé ainsi, mais il ne peut s’empêcher de la provoquer à son tour. « Ça lui fait un kink à Midas quand tu deviens vulgaire ? » Est-ce qu’il aime cela, lui qui paraît si prout prout, toujours bien apprêté, toujours le mot juste, toujours le sourire idéal. D’un ennui sans fin si on lui demande son avis. Est-ce qu’elle est venue chercher un challenge et qu’elle est heureuse d’être tombée sur un visage plus ou moins familier ? « Tu fais ça souvent ? » Il hausse un sourcil surpris. « La boxe, hein, pas le gang bang. » Avant de rire face à la précision. « Régulièrement. » Pour ne pas dire tous les jours. « Plusieurs fois par semaine. » Qu’elle ne le prenne pas pour un amateur, sa patience s’en trouverait complètement éteinte. Entre eux, le sac de frappe ne cesse de se balancer, preuve visuelle de cette joute verbale qui les amuse certes, mais qui ne répond pas réellement aux questions qu’Ollie se pose. « La vraie question, c’est qu’est-ce que toi tu viens faire dans une salle de boxe ? » Il ne s’agit pas d’un gym lambda où les filles dans son genre peuvent venir exposer leur cul pour se rassurer sur le fait que les hommes continuent à les regarder. « Parce qu’avec ça… » Il pointe du doigt les ongles de la brunette. « Tu vas pas faire grand-chose dans le coin. » Impossible de lui faire enfiler des gants ou de lui faire frapper quoique ce soit avec, elle finirait par pleurer soit de douleur, soit parce que sa précieuse manicure sera complètement ruinée. « Tu cherches un remplaçant pour le gorille ? » Qu’il demande, désignant d’un signe de tête, l’homme qui les surveille depuis plusieurs minutes désormais. La question qui persiste dans un coin de son esprit est de savoir si elle veut apprendre à se défendre ou apprendre à se battre. « C’est quoi le programme ? »
just a young gun with a quick fuse. i was uptight, wanna let loose. i was dreaming of bigger things and wanna leave my own life behind. not a "yes, sir," not a follower, fit the box, fit the mold, have a seat in the foyer, take a number i was lightning before the thunder
:
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Encore un qui croit que parce qu’elle parle de sexe sans rougir, elle veut passer à la casserole. Il serait déçu d’apprendre qu’elle parle à tout le monde comme elle lui parle à lui, le seul qui a droit à un champ lexical nettement différent, fait de bien plus de poésie et de sentiments, c’est Midas, et à lui, elle se donne toute entière sans grimacer, volontaire sans le moindre signe de sa part, prête à l’action en un battement de ses cils outrageusement longs. Mais soit. Ça fait du bien de rêver, elle le laisse croire à ce qu’il veut tandis qu’il fait mine de l’éconduire alors que à ce stade, Jo ne le toucherait même pas avec un putain de bâton. Elle s’adresse à lui uniquement parce que Marcus l’a laissée vagabonder un instant, et qu’il faut le dire, sa répartie couplée à sa dégaine sont un bon divertissement qui durera le temps qu’il durera, en bonne gamine impossible à canaliser qu’elle est restée. Qu’est-ce qu’il croit ? Elle ne nage pas avec les crapauds, Jo, elle laisse les pouilleuses comme la mère de Posy le faire à sa place.
Elle ricane, suit des yeux le manège du jeune homme qu’elle ne croit pas un instant capable de faire ce qu’il a entreprit sous sa propre provocation. Et bingo, c’était sûr en fait "Et toi, t’as que de la gueule. Il serait déjà sur tes chevilles si t’avais l’intention de déballer la marchandise, du gland." C’est très à propos, comme surnom, non ? Ne jamais remettre en doute la capacité de Jo à aller au bout de ses idées, et en l’occurence, elle en a vu d’autres, certainement d’autres plus impressionnantes que la sienne. Vu que les bonhommes sont du genre à avoir besoin de se prouver à tout bout de champ que c’est eux, les étalons, elle est sûre de ce qu’elle avance : s’il n’en avait pas une minuscule, il serait déjà en train de faire l’hélicoptère avec, ce con. Elle lui reconnait des efforts pour rentrer dans son jeu cependant, et ça la change un peu. Est-ce que ça la déstabilise ? Non, rien ne déstabilise vraiment jamais Jo, elle donne souvent l’impression d’avoir vécu trop de choses pour ne pas savoir comment réagir à tout et n’importe quoi, gardant la même expression impassible qui la rend responsable de l’image qu’elle renvoie ; celle d’une jeune femme blasée par tout, et surtout par tout le monde. La seule chose à laquelle elle ne sait pas réagir, c’est la normalité. Du reste, elle n’a qu’une politique : garder l’avantage, toujours "Je suis pleine de surprise, tu sais." réagit-elle face à l’étonnement soudain d’un Ollie qui souligne sa pseudo-politesse. Alors qu’elle se lève de son banc pour rejoindre le sac de frappe devant lequel il se trouve, elle ajoute en même temps "Ecoute pas ce qu’on dit sur moi, je gagne vraiment à être connue." Elle lui offre un clin d’oeil moqueur, surjoué, ceux qui ont la même portée qu’un doigt d’honneur qu’elle lui collerait sous le nez.
Elle essaye de le piéger en lui balançant le sac de frappe dans la figure, mais il anticipe, et cette fois, elle est soufflée — littéralement, forcée de reculer légèrement tandis qu’il lui renvoie l’appareil. Ça ne l’enrage pas tant que ça, ça l’amuse même un peu. C’est fugace, mais c’est réel, lui faisant dans un sifflement approbateur "Et ben, c’est qu’on a de bons réflexes, Superman." Elle pourrait lui demander s’il compte lui apprendre, mais plutôt crever que de demander à un homme de lui apprendre quoi que ce soit. Encore une fois, ce privilège, il est réservé à celui qu’il mentionne soudain, relevant sa vulgarité en s’intéressant à ce que ça provoque sur celui qui partage sa vie. Elle est à ça de lui dire qu’elle n’a jamais reçu de plainte, même si elle sait que parfois, Midas préférerait probablement qu’elle tourne sept fois la langue dans sa bouche avant de faire preuve d’une brutale éloquence. A la place de ça, sa réplique siffle comme une balle, son sourcil se levant en même temps qu’elle repose son regard sur lui "Et toi, huh ? C’est vraiment les hippies crasseuses qui baisent le premier venu sans capote ton petit kink, Oliver ?" Elle hausse une épaule, un air de dire, tu l’as bien mérité celle-là, et le justifie en lui faisant "C’est simple, tu le mentionnes, je la mentionne. Comme on a déjà déterminé qu’on peut se permettre d’être cash, je compte pas l’encenser pour te faire plaisir. Si j’étais toi, j’éviterais de le mentionner trop souvent si tu veux pas que je la termine chaque fois qu’on se croise." Ça pourrait vite tourner au vinaigre, mais Jo mord suffisamment sur sa chique pour vouloir le faire quand le mec de l’autre illuminée s’amuse à insulter Midas comme si de rien n’était.
Elle s’intéresse à lui, à ce qu’il fait ici. Ça parait évident, mais quitte à être polie, autant gratter les bonnes infos. Elle a toujours été une midinette, Jo. La vie des autres ne l’intéresse pas foncièrement, elle est friande de ragots cependant, et ceux sur Ollie, elle va les chercher avec nonchalance. Revenant plus près du sac de frappe, elle le stabilise de nouveau devant elle, et force un léger sourire inversé à ses lèvres lorsqu’elle apprend qu’il fait ça souvent, la boxe "C’est marrant, t’as pas la dégaine." avance-t-elle, avant de lui demander, suspicieuse pour dire de "T’es bon, genre ?" Quoi que ça veuille dire être bon dans ce genre de discipline. Elle ne respecte pas grand-chose, mais elle respecte la notion de talent ; elle respecte surtout celui qui pousse quelqu’un à vouloir atteindre un niveau tel dans une discipline de prédilection que ça le rend invincible. Elle accentue l’arc de son sourcil lorsqu’il lui pose la question en retour, et baisse les yeux sur ses ongles qu’il désigne en même temps qu’il s’étonne à son tour de sa présence ici "Si tu savais combien j’en ai maté des plus baraqués que toi avec des ongles comme ça, tu dirais pas la même chose. Mais c’est bien, tu prouves que t’es le même cliché ambulant que ta meuf en pensant que celles comme moi ont pas leur place dans un endroit comme ici." Elle s’est cassée deux doigts en début d’année, et même si dans la presse, on a prétendu tout un tas de choses à ce sujet, la vraie vérité, c’est qu’elle a été assez conne pour décocher un crochet du droit à Micah sans enlever ses bijoux avant de le faire. Son lot de consolation à ça, c’est qu’il a souffert autant qu’elle — et qu’elle en éprouve une culpabilité certaine, mais peu importe. Elle lance un petit regard par-dessus son épaule à Marcus qui est désigné par Ollie vers qui elle lance de nouveau le sac de frappe. Si elle hésite à lui révéler réellement la raison de sa venue ici, c’est parce que ça en dirait trop sur elle. Sauf que mentir n’est pas un réflexe qui lui vient naturellement, à Jo, alors elle lui fait finalement "Je cherche un truc pour me canaliser un peu." Elle peut avoir besoin de canaliser tout est n’importe quoi, il n’a pas besoin de savoir quelle émotion au juste "Il m’a proposé de tester la boxe. Je t'avoue que je pars pas avec un bon à priori, mais qui ne tente rien… enfin tu vois quoi, tu connais la suite." qu’elle lui fait, avant d’enchaîner très vite "Et toi alors ? C’est quoi l’histoire ?"
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
:
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) SURNOM : Ollie est déjà un surnom, son véritable prénom est Oliver. STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 477 POINTS : 250
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)olive › cleo #2 › connor #1 › jo #2 › nicola #1
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1 › andrewAVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
« Et toi, t’as que de la gueule. Il serait déjà sur tes chevilles si t’avais l’intention de déballer la marchandise, du gland. » Il ricane à sa suite, conscient de l’avoir déçu. Au simple regard qu’elle lui jette, il sait qu’elle est en train de glisser son portrait sous la colonne "poule mouillée" et cela ne lui fait ni chaud, ni froid. Elle se pense maline, il ne voit chez elle qu’un désir constant de repousser les limites. C’est quelque chose qui pourrait finir par lui plaire. « J’ai déjà épuisé mon quota de passage au poste de police ce mois-ci. » Il hausse les épaules nonchalamment, remettant l’élastique de son short sur ses hanches. « Puis contrairement à toi, j’aimerais pouvoir continuer à fréquenter cet endroit. » Pas réellement, mais si Connor s’obstine dans ses humeurs passagères, il va bien devoir revenir dans le coin. S’il pouvait éviter d’avoir son portrait placardé à l’entrée pour exhibitionnisme, ce serait toujours un gain de temps. « Je suis pleine de surprises, tu sais. » Il hausse un sourcil amusé l’observant se déplacer jusqu’à lui. « Écoute pas ce qu’on dit sur moi, je gagne vraiment à être connue. » Une fois encore, il s’amuse de ses répliques toujours parfaitement desservies. « Il faut croire. » Il avait déjà compris qu’elle était bien plus que ce que les magazines racontent à son sujet, bien plus qu’une petite chanteuse issue d’un télé-crochet. Et il a bien l’intention de faire la connaissance de la véritable Josephine.
Dans le fond, ils ne connaissent rien l’un de l’autre. Si ce n’est des rumeurs de couloirs et des clichés parfaitement assumés liés à leur fréquentation mutuelle. Elle pense le surprendre en jetant le sac de frappe dans sa direction et il voit bien qu’elle est réellement surprise de son réflexe. « Et ben, c’est qu’on a de bons réflexes, Superman. » Elle n’a aucune idée d’avoir pénétré dans le seul domaine qu’il maîtrise réellement. Pas pour la blague, mais bel et bien quelque chose qu’il prend au sérieux. Derrière son apparence lisse, se cache une fille qui jure comme un charretier, et il faut dire que cela l’étonne. Il a toujours pris Midas pour un petit bourgeois coincé et quelque chose lui dit qu’il n’apprécie pas toujours la manière de s’exprimer de sa moitié. Visiblement, il a touché un point sensible. « Et toi, huh ? C’est vraiment les hippies crasseuses qui baisent le premier venu sans capote ton petit kink, Oliver ? » Elle pense le blesser, mais il n’en a que faire. « Je les aime sauvages. » Qu’il insiste, faisant danser ses sourcils de manière suggestive. « C’est simple, tu le mentionnes, je la mentionne. Comme on a déjà déterminé qu’on peut se permettre d’être cash, je compte pas l’encenser pour te faire plaisir. Si j’étais toi, j’éviterais de le mentionner trop souvent si tu veux pas que je la termine chaque fois qu’on se croise. » C’est qu’elle pourrait mordre en plus. Il pourrait s’en amuser, il est vrai. Contrairement à elle, il n’a juré fidélité à personne. Cette semaine, il se considère comme célibataire, Harleen ayant joué une fois de trop avec ses nerfs. Il ne la reverra probablement pas avant plusieurs jours et il n’est clairement pas d’humeur à défendre son honneur, pour une fois. Mais ce serait donner des billes à Jo que d’avouer cela, autant lui sourire de la manière la plus faux-cul qu’il connaisse. « Ça va, Joséphine, pas besoin de monter sur tes grands chevaux. » Donnant-donnant après tout, pas vrai ?
Il s’étonne presque qu’elle s’intéresse encore à lui. Autant qu’elle semble surprise par sa réponse. « C’est marrant, t’as pas la dégaine. » - « Met toi à la file, t’es pas la première à me le dire. » Il le sait. Il n’a pas la dégaine, on ne dirait pas en le voyant, et pourtant c’est une discipline qu’il s’impose depuis plus de dix ans déjà. « T’es bon, genre ? » - « Je me débrouille. » Il ne lui donnera pas le plaisir de pouvoir se moquer ouvertement. « Au bout de dix ans, ce serait temps, non ? » Elle n’a sûrement aucune conscience de ce que ce sport implique, de la constance qu’il applique à sa pratique, mais il n’a rien à lui prouver. Ollie sait ce qu’il vaut sur un ring, ce n’est pas une midinette qui viendra lui dire le contraire. Il aime la boxe et il ne laissera personne lui retirer ce plaisir.
« Si tu savais combien j’en ai maté des plus baraqués que toi avec des ongles comme ça, tu dirais pas la même chose. Mais c’est bien, tu prouves que t’es le même cliché ambulant que ta meuf en pensant que celles comme moi ont pas leur place dans un endroit comme ici. » Levant les yeux au ciel, il soupire bruyamment. « C’est fatiguant à la longue. » Est-ce qu’elle est obligée de se braquer dès que quelqu’un s’adresse à elle. « Que tu prennes tout comme une attaque personnelle. » Certes, il a fait un commentaire sur sa manucure. Certes, il n’a pas été le plus loquace sur la question, mais ce n’était pas pour lui dire qu’elle n’était pas capable. Il juge rapidement les gens, mais tout de même, à elle, il voulait encore bien lui laisser le bénéfice du doute. « J’en ai rien à branler de ta petite manucure, mais avec des ongles longs, je parie que tu caches ton pouce sous le reste de tes phalanges pour frapper ? » Il lève un sourcil, comme s’il attendait une confirmation, mais il n’en a pas besoin pour savoir que c’est le cas. Erreur classique de tous les débutants et encore plus des dames qui cherchent à ne pas se casser un ongle. « Au mieux, tu te casses un ongle et c’est pas la fin du monde, mais c’est surtout les phalanges que tu vas te péter pour protéger ta petite déco. » Est-ce qu’elle va comprendre ou elle va immédiatement chercher à se braquer une fois de plus ? Soupirant, il se redresse face à elle, tendant légèrement le bras, pour lui présenter son poing et la manière correcte de placer ses doigts. « Meilleur moyen de péter un nez et de t’en sortir sans la moindre égratignure. » Et là-dessus, elle ferait mieux de le croire sur parole, cela fait bien longtemps qu’il a arrêté de compter le nombre d’os qu’il a pu casser chez ses adversaires. Et d’un coup, il n’est plus réellement question de parler de leur moitié, mais bien de se concentrer sur ce qui les amène à se rencontrer dans cette salle de sport. « Je cherche un truc pour me canaliser un peu. » Il n’est pas franchement étonné et s’abstient de commenter. Il connaît ce genre de besoin, c’est ce qui l’a amené à se donner à cent pour cent dans ce sport. « Il m’a proposé de tester la boxe. Je t'avoue que je pars pas avec un bon à priori, mais qui ne tente rien… enfin tu vois quoi, tu connais la suite. » Il hoche de la tête, s’éloignant un instant de la brune pour aller chercher une nouvelle bande dans son sac. Quelque chose lui dit qu’il va se remettre à frapper à ses côtés. Et cela fait bien longtemps qu’il a cessé de frapper dans un sac en cuir sans prendre quelques précautions. « Et toi alors ? C’est quoi l’histoire ? » D’un coup de dent, il défait le plastique qui protège le bandage et vient lentement le dérouler sur ses phalanges. « Paraît que je fais des crises de colère. » Elle a été franche avec lui, il s’est abstenu de faire un commentaire. Donnant-donnant à nouveau. Il lui adresse un léger sourire en relevant les yeux vers elle. « À la base, c’était juste pour canaliser, mais j’ai été piqué. » Il n’a jamais cessé de pratiquer, devenant accro à la discipline au fur et à mesure qu’il s’améliorait dans sa technique. « Il n’existe rien de plus satisfaisant. » Frapper sans se soucier de rien. Un sac de cuir n’aura jamais la moindre blessure, et pourtant la colère aura été expulsée d’une manière plus ou moins saine. Usant une fois de plus de ses dents, il déchire la bande qu’il finit d’appliquer sur sa deuxième main avant de lever le rouleau dans la direction de la brune. « Tu veux essayer ? »
just a young gun with a quick fuse. i was uptight, wanna let loose. i was dreaming of bigger things and wanna leave my own life behind. not a "yes, sir," not a follower, fit the box, fit the mold, have a seat in the foyer, take a number i was lightning before the thunder
:
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Le roulement d’yeux qu’elle offre à Oliver veut tout et rien dire. Elle aurait bien envie de lui cracher à la gueule qu’il peut se détendre la nouille et arrêter de vanter son alter de bad guy qu’il tente de lui survendre, parce que ça ne lui fait ni chaud ni froid. Son type, à Jo, ce sont les gentils garçons — c’est elle, le bad guy, duh. Mais ce serait brassé trop de vent pour pas grand-chose. Elle a le sentiment d’avoir trouvé, si ce n’est un adversaire à sa taille, quelqu’un qui se cale plutôt facilement sur sa manière d’envisager le dialogue et de mener une conversation qui n’a pas vocation à être sérieuse de prime abord, qui le devient juste un peu lorsqu’elle s’intéresse davantage à ce qu’il fout dans le coin, et ce que ça raconte sur lui. Il n’est pas là par hasard, c’est ce qu’elle entend et ce qu’elle conclut quand il répond à sa question concernant son niveau en boxe "T’as le droit de dire que t’es bon sans chercher à le minimiser ou à te justifier. Surtout si c’est le cas, et que tu le sais." rétorque-t-elle en haussant les sourcils et en lui accordant une oeillade plus fixe que les autres fois. Elle ne comprend pas la fausse-modestie, Jo. Elle comprend l’humilité, dans une certaine mesure, loin d’être dotée de cette qualité pourtant, aussi amoindrir son talent pour éviter de laisser croire à qui que ce soit qu’on se surcôte ? Elle ne l’encourage pas : elle est viscéralement partisante de l’idée que c’est à soi-même qu’on doit ses capacités, qu’y croire permet de les maximiser, et que ça ne sert à rien de prétendre être mauvais quand on est un putain d’as. Elle fait faire un drôle de mouvement à sa bouche enduite de gloss fruité, induit par la morsure qu’elle s’inflige en s’attaquant à l’intérieur de ses joues, le toisant en essayant de l’imaginer sur le ring. Après quelques secondes, ses paupières plissées l’aidant à faire la focale, elle le questionne à nouveau "Tu fais des… comment ça s’appelle ? Des matchs, des combats ? C’est quoi ton palmarès des dix dernières années ?" Elle n’a pas la bosse des maths, la chanteuse, elle sait cependant ce que veulent dire les chiffres dont elle a personnellement besoin pour comprendre que sa carrière prend de l’essor.
Il s’offusque de son agressivité, et à nouveau, ça provoque chez elle un sentiment qui lui fait rouler des yeux sans le moindre délai "Ouin, ouin, Oliver. Tu veux un mouchoir peut-être ?" Elle fait le geste qui va avec ses fausses jérémiades, serre ses petits poings devant ses yeux pour s’essuyer son chagrin qu’elle renifle en retrouvant vite fait, bien fait, une mine aussi neutre que son ton rauque qui claque dans l’espace qui les sépare "T’es pas le premier à chialer sur ma susceptibilité, sois plus original que ça si tu cherches à m’impressionner." Franchement, elle en a soupé des remarques sur sa capacité à monter dans les tours en un claquement de doigts. Elle travaille dessus, c’est bien pour ça qu’elle est là après tout, et pas pour se faire reprocher d’avoir des ongles trop longs. Qu’est-ce que ça peut lui foutre, à l’autre ? Soudain, ça semble être le centre d’intérêt tout trouvé d’Ollie qui en fait un point de départ à des conseils qu’elle n’écoute que d’une oreille et auxquels elle évite de répondre dans la seconde. Peut-être qu’elle place ses doigts comme il le soupçonne, et peut-être que c’est pour préserver ses ongles, toujours est-il que la dernière fois, ce n’est pas à cause de ça qu’elle s’est pétée des doigts, et c’est presque avec fierté qu’elle le lui fait savoir, se redressant de toute sa petite taille, un peu comme une gamine qui veut prouver quelque chose, allez savoir quoi "Je me suis cassée deux doigts en début d’année, mais c’était pas à cause de ça, c’était à cause de mes bijoux. Je les ai laissés à la maison aujourd’hui." Elle lui montre ses doigts en question, l’index et le majeur de la main droite, dont elle ne souffre plus aujourd’hui, ayant été très vite prise en charge, merci Midas — et Ruben "Une chance que je sois gauchère, ça a duré des plombes. Tiens, c’est un fun fact que tu pourras ressortir dans les dîners mondains, tu feras sensation." Vu la tronche de gueux qu’il se tape, le seul dîner mondain auquel il peut aspirer, c’est l’arbre de Noël des réunions des alcooliques anonymes. Et encore.
Sauf qu’il est sympa au fond, Ollie. Il lui donne de vrais conseils qui la font légèrement ricaner, puisque quelque part, elle doute de quelque chose qu’elle partage avec lui en levant la tête dans sa direction pour mieux regarder sa gueule de travers "En vrai, je crois pas que ce soit une bonne idée de me donner autant de conseils pour péter des nez." Et pour cause "Je rigole pas, tu sais. J’ai un vrai historique." Historique qui trouve sa source dans ses gènes, très certainement — et pour ce qu’elle en sait, elle n’est peut-être pas la seule "Des crises de colère, hm ?" répète-t-elle après lui "Pas cool" Ne se vantant pas des siennes qui sont aussi légendaires qu’une fois sur deux, elle les regrette du plus profond de son coeur, elle murmure presque. Est-ce que c’est son cas, les regrette-t-il ? Elle en est sûre, sinon il ne ferait pas l’effort de tenter de les canaliser d’une manière ou d’une autre. Un instant, ça la laisse muette, la forçant à s’enfoncer dans sa propre tête, ses yeux se délogeant de ceux d’Oliver pour se reposer sur ses doigts. Restée à côté du sac de sable, elle plie et déplie sa main anciennement blessée qu’il a délaissé pour aller trafiquer elle ne sait quoi avec une bande dont il recouvre sa main, et l’écoute dire qu’il ne voit rien de plus satisfaisant à frapper. Ouais, mon père serait d’accord avec toi, qu’elle pense sans le dire, refusant d’admettre tout haut ce qui s’ajoute à ça et qui lui fait valider ce que le jeune homme lui dit : il n’a pas tort. Elle l’a expérimenté elle aussi, et ce au point, donc, de se casser quelque chose. S’échappant à nouveau de ses pensées, c’est de son poids plume qu’elle s’appuie nonchalamment sur le sac de sable. Elle relève la tête en même temps que lui à la proposition qu’il lui fait dans la continuité. Surprise, elle lui fait "Je sais pas comment ça se met." L’aveux ne la gêne pas, et elle se met en marche d’une poussée de la hanche pour s’approcher de lui. Arrivée à sa portée, elle reprend en lui tendant naturellement sa main dominante pour qu’il accomplisse son oeuvre "Tu coaches, ou tu laisses ça aux autres ?"
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
:
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) SURNOM : Ollie est déjà un surnom, son véritable prénom est Oliver. STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 477 POINTS : 250
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)olive › cleo #2 › connor #1 › jo #2 › nicola #1
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1 › andrewAVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
« T’as le droit de dire que t’es bon sans chercher à le minimiser ou à te justifier. Surtout si c’est le cas, et que tu le sais. » Il serait presque surpris par ses propos. Ollie est une grande gueule, mais dès qu’il s’agit de son sport, il aurait tendance à minimiser ce qu’il est capable d’accomplir. Il n’a jamais été à la recherche des compliments et ce n’est pas ce qui l’attend de la brune. Il s’en fiche. Il ne pratique pas pour être célèbre ou pour attirer les regards. C’est bien souvent ce que l’on pense de lui, à tort, mais ce n’a jamais été son intention. « Tu fais des… comment ça s’appelle ? Des matchs, des combats ? C’est quoi ton palmarès des dix dernières années ? » - « Des combats. » Qu’il corrige sans mesquinerie. Il a bien du mal à saisir le soudain intérêt qu’elle porte à sa discipline. Il pourrait se contenter d’une remarque acerbe ou bien de gonfler ses stats, mais une fois encore, il se fiche bien de tout cela. Il n’a pas besoin qu’elle l’applaudisse. « 18 combats, 10 victoires par KO, 1 défaite. » Connor ne cesse de lui répéter qu’il avait de quoi s’introduire dans le circuit officiel, mais Ollie continue à refuser une telle option. Il n’a pas envie de s’imposer un régime strict, refuse de confier son image à des sponsors et surtout… Ollie ne pourrait supporter le rapport de force imposé par la fédération.
Elle s’en tape de tout cela, Josephine. Elle préfère s’offusquer d’un rien, au point de lui faire perdre patience. « Ouin, ouin, Oliver. Tu veux un mouchoir peut-être ? » Qu’elle se moque, ce n’est pas ce qui changera son opinion d’elle. Elle gueule fort, Jo, mais il a déjà compris qu’il se cache bien plus que cela derrière sa carapace. « T’es pas le premier à chialer sur ma susceptibilité, sois plus original que ça si tu cherches à m’impressionner. » Il échappe un rire mauvais, haussant un sourcil dans sa direction. « Tu penses sincèrement que j’ai que ça à faire ? » Il n’a jamais voulu l’impressionner, cela ne fonctionne que dans son imaginaire. « T’as dû me confondre avec l’une de tes groupies. » Il n’en a rien à branler qu’elle soit célèbre. Il s’en moque comme de sa première chemise qu’elle puisse redorer son image auprès de Midas. En réalité, il pourrait juste se barrer et cela ne changera rien à sa vie. Mais Jo, elle arrive à l’intéresser, juste un peu, malgré tout. « Je me suis cassé deux doigts en début d’année, mais c’était pas à cause de ça, c’était à cause de mes bijoux. Je les ai laissés à la maison aujourd’hui. » Il aurait pu parier qu’elle s’était déjà blessée dans son impulsivité. « Une chance que je sois gauchère, ça a duré des plombes. Tiens, c’est un fun fact que tu pourras ressortir dans les dîners mondains, tu feras sensation. » Levant les yeux au ciel, il s’éloigne d’elle pour retourner vers son sac. « Tu t’aimes un peu trop. » Au point de penser que le monde des autres ne tourne qu’autour de sa petite personne. « News flash : t’es pas mon sujet favori. » Et elle aura beau tenter, elle ne le sera jamais. Et si elle avait deux sous de jugeotte derrière son apparence parfaite, elle saurait que les dîners mondains : très peu pour lui.
Il ne sait pas réellement ce qui lui prend de lui délivrer des conseils, mais puisqu’elle est là et qu’elle semble vouloir s’imposer. Peut-être espère-t-elle pouvoir s’en servir contre lui, à un moment, ou un autre. Il pourrait en rire, mais quelque chose lui dit que derrière son make up parfait, se cache une véritable enragée. « En vrai, je crois pas que ce soit une bonne idée de me donner autant de conseils pour péter des nez. » - « Ça pourrait se retourner contre moi. » Il connaît la réponse. S’il pousse trop loin avec Midas, elle n’hésitera pas une seule seconde. « Je rigole pas, tu sais. J’ai un vrai historique. » Parce qu’elle a foutu une trempe à un bonhomme une fois dans sa vie ? « Ça tombe bien, moi aussi. » Et il n’est pas difficile d’imaginer que son record est cent fois plus imposant que le sien. « Tu veux comparer nos palmarès ou frapper un peu ? » Il voit bien, dans son regard, que le fait de frapper ne l’excite pas tant que cela. Il devine quelque chose. Une similarité dans leur histoire, mais s’abstient de tout commentaire. Il tient à la vie un minimum, merci bien.
Il ne sait pas réellement ce qu’elle est venue chercher, ce qu’elle attend de cet endroit, mais les minutes défilent et il aimerait retourner à son entraînement en paix. « Je sais pas comment ça se met. » Levant les yeux au ciel, il lui indique comment placer sa main, avant de s’approcher d’elle. « On va éviter que tu te casses encore les doigts. » Midas pourrait avoir sa peau si c’était le cas. Fouillant dans son sac, il sort une paire de gants, genre de mitaine laissant apparaître les doigts et avec un espace rembourré au-dessus des jointures. « Enfile ça. » Elle pourra se frapper sans se faire mal, pour commencer. Par précaution, il vient lier les deux doigts qu’elle s’était cassés par le passé pour leur éviter de trop bouger. « Plie. » Qu’il demande tout en finissant son œuvre pour qu’elle puisse se mouvoir sans difficulté. « Tu coaches, ou tu laisses ça aux autres ? » Relevant les yeux pour croiser son regard, il finit par hausser les épaules. « Si tu promets d’être sage, je peux faire une exception. » Elle ne le sera pas, il le sait. Dès qu’elle en aura l’occasion, elle essayera de lui en mettre une. Mais le challenge l’intéresse et c’est pour cela qu’il retourne à nouveau vers son sac pour attraper deux coussins qu’il passe à chacune de ses mains. « On va voir ce que t’as dans le ventre un peu. » Il est certain que son verbe haut la définit comme une fille tenace et enragée, est-ce que ce sera le cas dans sa façon de frapper. « Pas de coup en dessous de la ceinture. » Il préfère prévenir, il n’a pas envie de se retrouver KO dans cinq minutes parce qu’elle aura décidé de tester son meilleur high kick. « Et je réplique pas. » Il veut voir de quoi elle est capable, mais il ne rendra pas les coups. Ollie n’a pas de véritable code d’honneur, mais une chose est certaine, il ne frappe pas les femmes. Rien ne le fera déroger à cela. Se mettant en position, il lui adresse un regard de défi, et simplement pour la faire démarrer au quart de tour, il lui lance avec un clin d’œil : « T’attends quoi, Josephine ? »
just a young gun with a quick fuse. i was uptight, wanna let loose. i was dreaming of bigger things and wanna leave my own life behind. not a "yes, sir," not a follower, fit the box, fit the mold, have a seat in the foyer, take a number i was lightning before the thunder
:
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Si elle savait ce que représentent réellement les statistiques qu’Ollie lui déroule à sa demande, elle prendrait le temps d’être impressionnée. Mais si elle doit rester complètement sincère — et elle le restera, quoi que ça coûtera à l’ego de mâle dominant de son interlocuteur —, ça reste quand même putain de nébuleux tout ça. Tellement au fond, que ça la fait marquer une pause contemplative, réfléchissant un instant aux chiffres qu’il partage avec elle. Silencieusement, elle conclut qu’un trophée reste un trophée, que gagner, c’est assez dur comme ça pour qu’une seule victoire soit sous-estimée — et à ce sujet, elle sait de quoi elle parle. Seulement, elle est exigeante Jo. Ainsi, elle compare sans vraiment le vouloir, le monde dans lequel elle évolue étant peuplé d’artistes multi-récompensés, de sommités aux étagères remplies de récompenses — certains, comme Midas, ont même des pièces dédiées à leurs accomplissements. Elle se dit qu’en une dizaine d’année, Oliver aurait dû remporter plus de victoires que ça, non, surtout s’il combat régulièrement ? Sauf qu’elle n’en sait rien, merde, et que son but en lui demandant de se vanter un peu, il se situait dans la curiosité qui est la sienne lorsqu’elle tente d’établir un profil précis de la personne qui se trouve en face d’elle, pas d’en avoir quelque chose à foutre. Il jouera à qui à la plus grosse avec Midas si ça lui chante, c’est déjà un truc qu’ils font sans en avoir l’air, l’autre ronchonnant parce que l’un passe trop de temps avec sa fille, l’autre rongeant son frein parce que l’un a déjà accompli bien plus de choses dans sa vie qu’il n’en accomplira jamais en se faisant entretenir, dépourvu de tout amour propre. Enfin. Elle ne réagit pas autrement que par un nouveau sourire inversé, sa tête remuant pour appuyer les dires d’Ollie qu’elle regarde, qu’elle moque aussi, surtout quand il lui donne le sentiment d’être aussi susceptible qu’elle ne l’est.
Décidément, il semblerait qu’ils aient beaucoup de choses en commun. Du bout de l’index, Jo suit le trajet d’une fausse larme qui roule sur sa joue, Oliver versant dans la rhétorique de cour de récréation sans qu’elle ne sente obligée de rétorquer, bien trop amusée par la manière qu’il a de croire qu’elle en a quelque chose à cogner qu’il s’intéresse à elle ou pas. Il a certainement mieux à faire, tout comme elle d’ailleurs, mais la provocation épaissit le sang d’une Jo qui ne dit jamais non à la surenchère. Plus que l’amour que tout un chacun lui porte quand elle réussit à montrer ses qualités, les vraies, celles qu’elle cache par pudeur, c’est l’idée qu’on la déteste qui la fait kiffer, alors elle exagère, elle titille, elle défie. Tu t’aimes un peu trop "Evidemment, tu m’as bien regardé ?" Elle se déhanche, une main venant épouser la courbe de sa taille dénudée par l’ensemble de sport qu’elle porte sur le dos. Son épaule se hausse, son menton se pose nonchalamment dessus pour offrir à Ollie l’un de ses profils. Et l’un n’est pas meilleur que l’autre, ils sont tous les deux assez parfaits pour que personne ne s’échine à lui demander de quel côté elle préfère être photographiée. Elle bat des cils, ils fendent l’air selon un rythme cadencé, elle minaude avec talent, et sans même bouger, elle réussit à remplir l’espace qui devient le sien. Le charisme est un don, au même titre que celui qu’elle a pour la chanson. Bien sûr qu’elle s’aime : elle va passer le reste de sa vie avec elle-même, si elle ne s’aime pas, personne ne le fera à sa place, surtout pas dans un monde où la célébrité, celle qu’elle convoite, celle qu’elle est enfin devenue, est aussi éphémère qu’un coup de vent. Midas l’aime surement plus qu’elle ne s’aime elle-même, c’est une certitude. Mais Midas l’aime différemment. Là n’est pas le sujet — c’est elle le sujet, en l’occurence, celui qu’Oliver annonce comme la source de son indifférence. Elle se redresse avec, sur le visage, l’air de ceux qui préparent un mauvais coup "Hmmm, pas encore Oliver, pas encore." annonce-t-elle dans un murmure théâtrale, prophétie qu’elle dévoile de sa voix chaude, un sourire mi-figue mi-raisin fendant ses lèvres.
Tournant autour du sac de sable contre lequel elle finit par s’appuyer, elle s’étonne de la générosité du jeune homme qui, loin d’être avare en conseils, paraît même déterminé à la faire se bouger un peu "Ça pourrait, qui sait." Se retourner contre lui. Elle n’ajoute pas qu’elle n’a pas besoin de cours pour lui défoncer la gueule en vrai ; que ses ongles, ceux qu’il a critiqué tout à l’heure, sont un avantage qui pourrait lui valoir des soins infirmiers sur la durée si elle appuyait assez fort pour atteindre plus que son épiderme — qu’il pense ce qu’il veut finalement, elle ne dormira pas plus mal cette nuit. Elle s’approche sous le défi qu’il lui lance, prête à lui céder sa main qu’elle lui tend pour qu’il l’équipe, pas gênée de lui avouer qu’elle ne sait pas comment faire. Jo n’a jamais frappé personne autrement qu’à mains nues "Ouais, vaut mieux éviter. J’en ai besoin pour la deuxième partie de ma tournée." Elle ne le laisse pas répliquer, et ajoute dans la foulée "Je sais, tu t’en carres, mais pas les assurances, alors sois délicat si tu veux pas avoir de comptes à rendre s’il m’arrive un truc, et je parle pas de Midas, là." Elle lui donne un sourire toutes en quenottes fendillées sur le devant, puis elle se laisse pouffer d’un tout petit rire à la réponse qu’il lui donne à propos de ce rôle de coach qu’elle lui a demandé s’il tenait ou pas "T’as l’air de t’aimer pas mal, toi aussi, nan ?" Encore un peu, et elle lui demanderait son signe astro, à ce bouffon "Je t’ai demandé si tu coachais, je t’ai pas demandé de me coacher moi. J’ai déjà Marcus, c’est un bon." Marcus qui a disparu de la circulation, d’ailleurs. En même temps, elle se fait la réflexion que pour quelqu’un qui dit avoir autre chose à faire, Ollie a l’air drôlement volontaire quand même. Mais ça aussi, est-ce utile de le lui faire remarquer ? Surement pas maintenant qu’il a terminé et que lui-même s’équipe pour parer les coups que Jo s’apprête à lui donner. Reculant d’un pas, elle frappe dans ses mains pour prendre la mesure du gainage de ses poignets, a une drôle de sensation d’oppression au niveau de ses paumes, ses doigts trop serrés les uns aux autres — elle sent l’arrondi de ses ongles rentrer dans sa peau, elle comprend un peu mieux pourquoi il vaut mieux les avoir courts, maintenant. Ça l’indispose, mais pas princesse pour un sou malgré les apparences, elle la boucle, et se met en position temporairement après avoir remonté son serre-tête pour maintenir ses cheveux bien en place. Les genoux fléchis, les mains en position d’attaque, elle doit avouer que ça lui donne envie de rire à nouveau, mais elle ne le fait pas, et jette un regard à Ollie qui revient vers elle avec son attirail et ses ordres, ceux qui la font maugréer, mais accepter dans un roulement d’yeux caractéristique "OK, pas touche aux bijoux de famille." Dommage, c’est son meilleur coup : celui que ses cinq frères, sans exception, ont reçu quand ils étaient encore tous si jeunes et qu’ils pensaient qu’elle était une petite chose fragile, leur petite-soeur — ça ne les a pas empêché d’avoir des gamins, malheureusement. Mimant l’attendrissement, elle incline la tête sur le côté "Aw, tu frappes pas les femmes, c’est ça ? Tu me feras pas croire ça." s’amuse-t-elle à peine, commençant à sautiller sur place plus par bravade à l’encontre d’Oliver qu’autre chose, son nez se fronçant par le haut quand, de plus en plus chaude pour en découdre, elle donne son premier coup du gauche au jeune homme qui la défie, c’est clair. Elle ne sait pas ce que ça donne, mais brusquement, elle se stoppe net dans son élan "Hé, tu m’en veux si c’est la tête de ta copine que j’imagine sur ces machins ?" lui lance-t-elle avant de reprendre sa danse sautillante, sa langue s’intercalant dans l’écart qu’elle a entre les deux dents de devant. La provocation comme moteur, toujours.
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.