ÂGE : vingt-trois ans. combien de temps pourra-t-elle encore se cacher derrière son âge pour justifier ses erreurs. SURNOM : nono. STATUT : célibataire. a-t-elle seulement le temps pour ça ? c'est ce qu'elle se répète, sans savoir que son palpitant bat plus vite en la présence d'un certain garçon. MÉTIER : étudiant en droit. si au départ c'était pour faire plaisir à papa et maman, elle commence à changer d'avis. le domaine du droit est vaste, elle finira par trouver une branche qui lui correspond. également créatrice de contenu, elle a trouvé son audience à travers ses podcasts et sa chaîne youtube. LOGEMENT : appartement au #220 edward street, spring hill POSTS : 1168 POINTS : 80
TW IN RP : pression familiale ; anxiété GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : troisième d'une fratrie de 4 enfants ≈ vient d'une famille aisée, familière des hautes sphères ≈ ses parents, peu présents, lui mettent une pression telle qu'elle n'a pas le choix de s'éloigner d'eux ≈ très secrète vis-à-vis de ses relations familiales ≈ avenante, altruiste, aime être entourée ≈ fort tempérament, susceptible, têtue et fière ≈ passionnée de peinture et de décorationCODE COULEUR : #a874c8 RPs EN COURS : (huit)nieves ≈ axel #2 ≈ kipplin ≈ akira ≈ sung-jin ≈ damon #2 ≈ oscar #3 ≈ eli #2
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(elorah) ⚹ and so many moons that we have seen, stumbling back next to me, i've seen right through and underneath and you make me better
RPs EN ATTENTE : olive #2 ≈ axel #3 ≈ mia ≈ romeo RPs TERMINÉS : rhett ≈ damon ≈ abel ≈ olive ≈ axel ≈ oscar ≈ maxwell ≈ oscar #2 ≈ eliAVATAR : olivia rodrigo CRÉDITS : avatar - sidesnack sur tumblr ; signature - old money ; gifs - sidearthgifs & dailyoliviarodrigo sur tumblr DC : landry chamberlain INSCRIT LE : 21/12/2023
La lumière des lustres éclairait les pièces, se réfléchissait sur le parquet ciré de la demeure Sawyer. Les invités avec leurs vêtements de très bonne facture formaient un tableau vivant où le maître mot était élégance et opulence. Norah, elle, se sentait comme une silhouette en arrière-plan, peinant à se fondre dans cet univers qu’elle n’avait jamais vraiment aimé. Si sa robe d’un bleu nuit rehaussait l’éclat de ses yeux, elle ne parvenait pas à masquer l’ombre qui pesait sur son regard. Elle avait arpenté la salle de réception, croisant des visages connus au détour de conversations légères, mais chaque échange lui semblait vide de sens. Heureusement, elle n’avait pas perdu ses réflexes, revêtait le masque qui allait bien avec les coutumes du milieu. Son sourire était presque sincère puisqu’il était particulièrement rare de la voir de mauvaise humeur, mais il était clair qu’elle ne voulait pas s’éterniser dans de longues conversations avec les amis de la famille. Elle savait pourquoi elle était là. Ce n’était pas une simple soirée, ni même une simple obligation mondaine. Ses parents avaient prévu cette discussion depuis longtemps, celle qui conditionnerait son avenir. Alors à côté du piano où elle s’était autorisée quelques notes, elle aperçut son père, debout près du bar, un verre à la main. Il était entouré d’un petit groupe d’hommes en costumes, son audience habituelle pour un homme aussi expressif et captivant. Il dominait la pièce avec cette assurance qui lui était caractéristique et pourtant, elle s’apprêtait à le couper dans son élan. Elle s’approcha lentement, sentant les regards se poser sur elle alors qu’elle traversait la pièce. Son père la remarqua et lui adressa un signe discret. « Norah, tu tombes bien », dit-il en s’excusant brièvement auprès de ses interlocuteurs. Ils s’éloignèrent dans un coin plus calme, où sa mère les attendait déjà. Elle tenait une coupe de champagne, un grand sourire au visage. Malgré les circonstances et la catastrophe de leur dernière entrevue, elle était tout de même heureuse de revoir ses parents, de revenir à la maison. « Tu es ravissante ce soir, ma chérie. », commença sa mère. « Merci, maman. » Ils échangèrent quelques banalités avant que son père initie la véritable raison de sa venue d’aujourd’hui. « Parlons sérieusement, Norah. Ta mère et moi avons réfléchi à ton souhait de rester à Brisbane. » Ses mots arrivaient à la surprendre un instant, son palpitant battant la chamade. C’était enfin dit. Son attention tournée vers les lèvres de ses parents, elle s’efforça de garder une expression neutre. « Je vous écoute. », répondit-elle sans trop de turbulence dans sa voix. « Nous savons que tu es attachée à cette ville et nous comprenons que tu aies envie de poursuivre ton chemin là-bas. Alors, nous sommes d’accord mais il y a une faveur que l’on aimerait te demander. » D’abord soulagée, Norah sentait que le sujet de ses préoccupations de ces dernières années se dissipait petit à petit, presque reconnaissante. Elle qui était profondément anxieuse à cause de cela, ses parents avaient fini par l’écouter et la laisseraient vivre où elle le voulait. Mais c’était la fin de sa phrase qui l’inquiétait. Sa mère acquiesça et Norah inspira doucement, s’attendant à un ultimatum, quelque chose qui viendrait ternir la bonne nouvelle. Mais les mots qui suivaient la prirent au dépourvu. « Ton frère... a besoin de soins que nous ne pouvons plus lui offrir ici. Les spécialistes de Sydney ont recommandé une unité médicale à Brisbane, à l’hôpital St Vincent. » Norah resta silencieuse, enregistrant la gravité de la situation. Elle savait que son petit frère, fragile et souvent malade, nécessitait une attention particulière. Toute la famille avait été formée aux gestes de premiers secours justement par rapport à la maladie chronique de son frère. « Tu veux dire qu’il viendrait vivre avec moi à Brisbane ? » demanda-t-elle, sa voix légèrement tremblante. Son père hocha la tête. « Si tu restes à Brisbane, tu seras son pilier. Nous serons là pour te soutenir à distance, bien sûr, mais il aura besoin de toi en premier. » Un choc. Elle avait passé des semaines à défendre son choix de rester à Brisbane, à prouver qu’elle pouvait y construire sa vie. Mais cette victoire - si on pouvait l’appeler ainsi - venait avec un prix qu’elle n’avait pas anticipé. « Bien sûr... C’est juste que... Si je ne suis pas à la hauteur ? Si je fais un mauvais choix pour lui ? », murmura-t-elle les yeux baissés. Bien sûr qu’elle aiderait son cadet, elle avait toujours été très protectrice à son égard et il s’agissait du membre de la fratrie avec lequel elle s’entendait le mieux. Ils étaient presque fusionnels. Sa mère posa une main légère sur son bras. « Nous savons que c’est une grande responsabilité, Norah. Mais tu es forte, et nous croyons en toi. » Elle acquiesça, un poids la quitta pour qu’un nouveau le remplace.
La conversation s’acheva avec des invités interpellant ses parents, sans doute qu’elle finirait par parler des détails de sa nouvelle mission un peu plus tard et en privé. En retournant dans la salle, les éclats de rire et les conversations sans fond contrastaient brutalement avec le poids qu’elle sentait sur ses épaules. Elle erra un moment, incapable de trouver un point d’ancrage. Chaque visage, chaque sourire lui semblait flou. C’est alors qu’elle l’aperçut. Oscar, son camarade de peinture, un verre à la main devant la fenêtre menant à l’extérieur. Norah hésita un instant avant de s’approcher. Leur dernière rencontre, tous les deux, lui revenait en mémoire avec son lot de doutes et de questions laissées en suspens. Mais ce soir, sa présence était une distraction, une échappatoire temporaire à ses nouveaux problèmes. « Je ne savais pas que tu étais invité. », lança-t-elle en arrivant à sa hauteur. « J’espère que la soirée est à ton goût. » Le regard de Norah se perdit un instant dans les reflets des jardins sur la vitre. Peut-être qu’elle aurait des réponses, ce soir-là.
--- never ever
now i am shivering and withered, we'll never be better. when i met her, she told me she was not a sinner. you said we're not forever.
Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 647 POINTS : 340
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
we tell us stories in order to live Oscar & @Norah Sawyer ☆ crédit/kaceypacks
Oscar n’avait pas la tête à ça. Une soirée mondaine de plus où il lui faudrait coller un sourire factice sur son visage. Habituellement, il s’en amusait, ne se laissait pas distraire par ces problèmes. Mais depuis quelques jours, oublier la morosité de sa vie de couple était devenu presque impossible, et les faux-semblants, de plus en plus difficiles à porter. C’était avec une pointe de satisfaction qu’il s’était rendu compte que sa femme avait décliné l’événement des semaines auparavant, bien avant leur dernière altercation qui l’avait mené à élire domicile dans son bureau. S’il avait hésité à décliner l’invitation en s’inventant une fausse excuse, c’est finalement l’idée d’être à plusieurs heures de la maison pendant toute une soirée qui avait fini par faire pencher la balance. Puis il avait toujours passé d’excellentes soirées dans la résidence des Sawyer et ne doutait pas que celle-là ne ferait pas exception.
Le costume était de mise, Oscar avait opté pour un classique bleu roi, sans fioriture, un nœud papillon et une chemise blanche. De quoi se fondre dans la masse. Si son intérêt pour la mode et les vêtements d’une certaine qualité n’était pas méconnu de la bonne société, il avait toujours une attention particulière à ne pas dénoter lors de ces soirées. Le chic étant de mise. Il avait retrouvé la maison Sawyer sans difficulté, elle n’était pas de celle qui passe inaperçue. S’était frayé un chemin parmi les invités, reconnaissant quelques têtes. La plupart étonnés de ne pas le voir au bras de sa femme. Il était rare qu’Elisa lui refuse une soirée, même s’il savait que pour chacun d’eux cette pièce de théâtre devenait de plus en plus difficile à jour. À une époque, pourtant, il les avait attendus avec impatience, signant les seuls instants où il lui semblait retrouver l’éclat de sa femme. Aujourd’hui, il n’y voyait plus que le mensonge.
Après quelques conversations d’une banalité sans nom, il avait fini par s’exiler un instant, l’envie de sortir prenant le pas. Il s’était pourtant contenté de regarder par la fenêtre, non sans admirer le magnifique jardin de ses hôtes. Qui n’avait pas à pâlir devant le sien. « Je ne savais pas que tu étais invité. » Il se laissa surprendre par la voix qui venait de l’interpeller, se tournant un peu vite, ne réussissant pas à cacher sa surprise. « Oh, Norah, bonsoir. » Elle l’avait sorti de ses rêveries un peu brutalement. Il lui fallut quelques secondes pour raccrocher les wagons et se souvenir du lien de parenté entre l’hôte et la jeune femme. La voir ce soir étant pourtant une surprise des plus agréables. « Tu es ravissante dans ces robes. » Il s’était probablement arrêté un peu trop longtemps sur ses lèvres, remontant son regard vers le sien. Le souvenir de leur dernier entretien faisant naître un malaise chez lui. Ce soir, les traits de ressemblance avec sa femme semblaient lui assigner un coup de poignard, comme pour lui rappeler ce qu’il était en train de perdre. Mais le voile de mensonge était encore assez efficace pour qu’il n’en laisse rien paraître. « J’espère que la soirée est à ton goût. » Il acquiesça poliment : critiquer la soirée en présence de la fille de son hôte serait sans doute malvenu. « La soirée est charmante, comme ton père sait les faire. » Le problème n’était pas la soirée, mais son état d’esprit. « Je me disais simplement que je prendrais volontiers un peu l’air. » Il lui adressa un regard complice, il lui semblait lire un peu de désarroi dans le regard de la jolie brune. « Tu voudrais peut-être m’accompagner, je ne dirais pas non à un peu de compagnie. » Après leur matinée dans le jardin, Oscar avait volontairement fui le contact direct avec la jeune femme. Préférant se concentrer sur sa peinture et s’asseoir quelques tabourets plus loin lors de leurs cours communs. Alors qu’ils se dirigeaient vers une sortie, Oscar osa quand même lui demander. « Est-ce que tout va bien Norah ? » Peut-être que c’était tout simplement son attitude en soirée, il avait été habitué à le rencontrer dans des lieux un peu moins guindés. Mais elle lui semblait un peu fébrile.
673 mots
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
:
mon équipement :
Norah Sawyer
la cage dorée
ÂGE : vingt-trois ans. combien de temps pourra-t-elle encore se cacher derrière son âge pour justifier ses erreurs. SURNOM : nono. STATUT : célibataire. a-t-elle seulement le temps pour ça ? c'est ce qu'elle se répète, sans savoir que son palpitant bat plus vite en la présence d'un certain garçon. MÉTIER : étudiant en droit. si au départ c'était pour faire plaisir à papa et maman, elle commence à changer d'avis. le domaine du droit est vaste, elle finira par trouver une branche qui lui correspond. également créatrice de contenu, elle a trouvé son audience à travers ses podcasts et sa chaîne youtube. LOGEMENT : appartement au #220 edward street, spring hill POSTS : 1168 POINTS : 80
TW IN RP : pression familiale ; anxiété GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : troisième d'une fratrie de 4 enfants ≈ vient d'une famille aisée, familière des hautes sphères ≈ ses parents, peu présents, lui mettent une pression telle qu'elle n'a pas le choix de s'éloigner d'eux ≈ très secrète vis-à-vis de ses relations familiales ≈ avenante, altruiste, aime être entourée ≈ fort tempérament, susceptible, têtue et fière ≈ passionnée de peinture et de décorationCODE COULEUR : #a874c8 RPs EN COURS : (huit)nieves ≈ axel #2 ≈ kipplin ≈ akira ≈ sung-jin ≈ damon #2 ≈ oscar #3 ≈ eli #2
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RPs EN ATTENTE : olive #2 ≈ axel #3 ≈ mia ≈ romeo RPs TERMINÉS : rhett ≈ damon ≈ abel ≈ olive ≈ axel ≈ oscar ≈ maxwell ≈ oscar #2 ≈ eliAVATAR : olivia rodrigo CRÉDITS : avatar - sidesnack sur tumblr ; signature - old money ; gifs - sidearthgifs & dailyoliviarodrigo sur tumblr DC : landry chamberlain INSCRIT LE : 21/12/2023
Norah, bien que familière des lieux, se sentait un peu flottante dans cette soirée, parmi les rires et les conversations mondaines. Elle connaissait par cœur ces événements et leurs codes, où chaque détail - des fleurs fraîches disposées sur les tables jusqu’aux vins prestigieux - était maitrisé. Pourtant, ce soir, rien ne parvenait à dissiper la légère tension qu’elle portait au creux de sa poitrine. La conversation qu’elle venait d’avoir avec ses parents ne pouvait pas la mettre dans un autre état, partagé entre la joie de pouvoir continuer sa vie à Brisbane et la crainte de devoir s’occuper de son petit frère malade. Quittant la pièce où elle avait confronté ses parents, la robe lui semblait presque inconfortable alors que le grand miroir du salon lui avait renvoyé une image irréprochable. Une jeune femme élégante, héritière des Sawyer - même si elle ne devait être le premier nom dans la liste de succession.
Quand elle aperçut Oscar à travers la foule, une surprise inattendue lui serra le ventre. Elle ne l’avait pas vu depuis plusieurs jours, pas depuis qu’il s’était doucement éloigné à leurs cours de peinture. Cette distance, sûrement imperceptible pour les autres, était flagrante pour elle. Et maintenant, le retrouver ici, vêtu d’un costume impeccablement taillé, presque camouflé parmi les invités, réveillait une curiosité semblable à celle qu’elle avait éprouvé lors de leurs premiers échanges. Le moment de l’aborder sembla se décider sans qu’elle y réfléchisse vraiment et elle ne put s’empêcher de remarquer la surprise dans les yeux d’Oscar lorsqu’il se retourna vers elle. « Oh, Norah, bonsoir. Tu es ravissante dans ces robes. » Elle le salua avec un sourire qu’elle espérait naturel, mais elle sentit un léger tremblement au coin de ses lèvres lorsqu’il la complimenta sur sa tenue, ne sachant pas s’il le pensait réellement ou s’il s’agissait d’une parole qu’il répétait à tout le monde ce soir là. « Merci, Oscar. » répondit-elle avec une voix douce mais teintée d’une retenue qu’elle n’avait pas l’habitude de montrer. Car elle n’était pas que Norah ce soir, elle était aussi la fille des hôtes. Elle se prêtait malgré elle au jeu des conversations sans profondeur, celles qui ne faisaient qu’entretenir la façade de relations intéressées. « La soirée est charmante, comme ton père sait les faire. » Encore une phrase qui figurait dans le registre des plus prononcées, elle prétendrait que cette fois-ci il y avait un fond de sincérité. Ses prunelles croisèrent les siennes, il semblait ailleurs, un peu absent. Elle fit un pas vers lui, rétorquant à sa dernière parole. « Je lui transmettrai le compliment, si tu n’as pas l’occasion de lui dire toi même. » Il était l’homme le plus important de la soirée, il était rare de le voir seul. Même lors de leur moment en famille, ils avaient réussi à être dérangés par des invités qui cherchaient à discuter avec lui. « Je me disais simplement que je prendrais volontiers un peu l’air. Tu voudrais peut-être m’accompagner, je ne dirais pas non à un peu de compagnie. » A la proposition d’Oscar, elle hésita un instant. Quitter l’atmosphère de la salle lui semblait tentant mais elle ne savait pas si rester seule avec lui était une bonne idée, craignant un malaise semblable à celui qu’elle avait ressenti lors de leur dernière session de peinture. Finalement c’est l’idée d’une conversation honnête loin de l’ostentation mondaine qui gagna, hochant doucement la tête pour manifester son accord.
En marchant côte à côte, le calme de la nuit vint apaiser la peur qu’elle avait éprouvée un peu plus tôt. Les conversations de la soirée s’éloignaient à mesure qu’ils avançaient dans le jardin, un jardin bien entretenu avec plusieurs allées, chacune encadrée d’arbustes colorées et harmonieux. Elle se rappelait qu’elle adorait jouer ici quand elle était petite, assise au milieu des lauriers pour gagner la partie de cache-cache. Un grand sourire se dressa sur son visage à la suite de cette pensée nostalgique, la question d’Oscar la prenant au dépourvu. « Est-ce que tout va bien Norah ? » Elle détourna le regard un instant, cherchant ses mots. « Oui ça va. C’est juste que… » Elle hésita, croisant les bras comme pour se protéger de sa propre vulnérabilité. « ... Je crois que je ne suis pas pleinement dans mon élément ce soir. » Elle lâcha un rire léger, un peu nerveux. Elle ne voulait pas casser l’ambiance. « J’ai perdu l’habitude, je pense. Avec les cours et maintenant le stage, je ne vais plus autant qu’avant aux événements de mes parents. » Et c’est à travers cette confidence qu’elle retrouvait la complicité qu’était la leur avant qu’il expédie leurs échanges la dernière fois. Elle ressentait de la compréhension qu’elle trouvait rarement chez les autres. Ils s’arrêtèrent près d’une petite fontaine avant de reprendre. « Et toi ? Tu as l’air préoccupé. » Peut-être était-ce lié à quelque chose qui s’était produit pendant ladite soirée, ou justement à cette fameuse matinée chez lui. Norah décida donc de prendre les devants pour au moins crever l’abcès. Par rapport à ce qui s’est passé après qu’on ait fini la peinture la dernière fois, je suis désolée si j’ai dit ou fait quelque chose qu’il ne fallait pas. Norah n’aimait pas les conflits et elle était prête à accepter ses tords si cela permettait de passer au dessus. En l’occurrence, elle aimerait beaucoup que cela se produise avec Oscar, n’appréciant pas trop la distance qui s’était installée depuis ce moment là. Après tout, il était son binôme de peinture et elle avait beaucoup aimé l’exercice à quatre mains. Elle aimerait que cela se reproduise en tout cas et pour cela, il fallait qu’ils aient cette discussion, et le jardin des Sawyer semblait être l’endroit idéal pour ce faire.
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« Merci, Oscar. » Norah semble différente, comme une autre personne dans cette robe, avec cette attitude un peu réservée. Elle lui semble moins douce, plus dure, peut-être un peu plus fermée. Mais il ne peut pas exclure que ça soit le résultat de son attitude avec elle dernièrement qui induise cette réserve. « Je lui transmettrai le compliment, si tu n’as pas l’occasion de lui dire toi-même. » Pas certain que le père Sawyer en ait besoin, à n’en pas douter, il sait déjà que cette fête est une réussite, n’a pas besoin de l’entendre de la bouche d’Oscar. « C’est gentil. » Il répond tout de même, parce qu'elle aura plus de facilité à accéder à lui. Ce soir, pourtant, il n’a pas envie de parler du père de Norah, sent le besoin de l’exiler un peu, lui propose une escapade avec lui, non sans noter l’hésitation de la jeune femme qui finalement l’accompagne dehors. Respirer l’air frais lui fait du bien, marcher à côté de Norah lui inspire étonnamment une sorte de confiance réconfortante. Assez pour qu’il ose la questionner sur ses états d’âme. L’impression tenace qu’elle n’est pas dans la meilleure de ses formes. « Oui, ça va. C’est juste que… »Tout le corps de Norah qui semble transpirer une sorte de malaise, qu’il n’a jamais observé chez elle auparavant. « … Je crois que je ne suis pas pleinement dans mon élément ce soir. » Le rire de la jeune femme sonne un peu faux, mais il lui rend un sourire complice comme pour l’inciter à continuer. « J’ai perdu l’habitude, je pense. Avec les cours et maintenant le stage, je ne vais plus autant qu’avant aux événements de mes parents. » Il acquiesce à ces mots. Tente d’en comprendre toute la symbolique. « Je comprends, ces soirées sont particulières… Il y a beaucoup de faux-semblants. Je me demande parfois pourquoi je m’inflige ça. » Pourquoi il y prend même plaisir parfois. À son tour, un rire un peu triste franchit ses lèvres. « C’est comme… Si, l’espace d’une soirée, on était une personne un peu différente. » Son ton est songeur, pour lui, ce n’est pas négatif, ça lui fait du bien de devenir cet homme sûr de lui à nouveau, de parler sans contrainte, de jouer le jeu du couple parfait. C’est ce qui s’approche le plus du bonheur dans sa vie actuelle. « Mais j’imagine que quand c’est un exercice imposé… C’est différent. » Lui a le choix, est-ce le cas de Norah ? Rien n’est moins sûr, elle est la descendance, celle qui se doit de paraître et de la faire bien.
« Et toi ? Tu as l’air préoccupé. » Son regard sur la fontaine, il ne le relève pas sur la jeune femme en répondant un semblant de vérité. « Disons juste pensif… » Pourtant, préoccupé est sans doute un mot plus adéquat, mais c’est une vérité qu’il n’est pas encore prêt à avouer. « Par rapport à ce qui s’est passé après qu’on ait fini la peinture la dernière fois, je suis désolée si j’ai dit ou fait quelque chose qu’il ne fallait pas. » Les mains dans les poches, Oscar lève un regard un peu étonné sur la jeune femme. La surprise s’y lit, comme s’il avait imaginé que son attitude n’aurait aucun impact sur la jeune Norah. « Non, ne t’excuse pas, tu n’as rien fait de mal… » À nouveau, il détourne le regard, qui se pose cette fois sur les allées d’arbustes entretenues à merveille. « Ça ne concerne que moi. J’étais… troublé… » Il sait pourtant que les mots sont sans doute insuffisants. Que Norah a besoin de comprendre et d’appréhender mieux son attitude, mais ne sait pas comment lui donner ces informations si personnelles sans avoir à se livrer sur les douleurs qu’il garde en lui. « Tu ressembles beaucoup à ma femme Norah. » Il lui livre tout de mème cette info, son regard un peu triste se posant sur elle. « Enfin, à ce qu’elle était quand je suis tombé amoureux d’elle. » Il lui semble que dans ses mots, une vérité dure se cache, celle qui lui fait si mal. Sa femme a changé, ou c’est lui, leur couple, leur connexion… « C’est un peu étrange et cette peinture ensemble m’a un peu... Disons perturbé. » Il se retrouve pourtant incapable d’exprimer vraiment le fond de sa pensée. « J’ai ressenti le besoin de prendre un peu de distance. » Il ne lui avouera pas le fond du problème, les sensations ressenties, le fait qu’elle est celle qui a fait renaître son inspiration. « Mais je suis désolé si ça t’a blessé. » Il avait sans doute été égoïste sur le coup, n’avait pas pris en compte le ressenti de Norah. Il s’en voulait ce soir.
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(elorah) ⚹ and so many moons that we have seen, stumbling back next to me, i've seen right through and underneath and you make me better
RPs EN ATTENTE : olive #2 ≈ axel #3 ≈ mia ≈ romeo RPs TERMINÉS : rhett ≈ damon ≈ abel ≈ olive ≈ axel ≈ oscar ≈ maxwell ≈ oscar #2 ≈ eliAVATAR : olivia rodrigo CRÉDITS : avatar - sidesnack sur tumblr ; signature - old money ; gifs - sidearthgifs & dailyoliviarodrigo sur tumblr DC : landry chamberlain INSCRIT LE : 21/12/2023
Soucieuse du respect des us et coutumes de son milieu malgré sa répulsion le concernant, elle se devait de faire bonne figure et ce, bien qu’elle était encore sous le choc de l’annonce de ses parents. Se prêtant volontiers au jeu des flatteries avec Oscar, peut-être que cela pourrait la distraire suffisamment pour ne plus y penser, à la dernière conversation avec ses géniteurs mais aussi à leur dernière session de peinture. « C’est gentil. » Elle lui sourit au travers du masque des bonnes manières, elle serait volontiers passée dans sa chambre d’enfance pour crier dans ses oreillers avant de venir lui parler. Mais peut-être que croiser sa route à cet instant était prédestiné et que la conversation qu’elle aurait avec lui serait bénéfique, pour elle mais aussi pour leur relation. Pour autant, elle disait la vérité. Elle irait répéter les compliments de son interlocuteur à son père. Car c’était comme cela entre eux, ils pouvaient se déchirer mais le cours des choses faisait qu’elle finirait toujours par lui revenir. Peut-être que cette emprise n’était pas saine, en tout cas elle en était consciente depuis leur dernière dispute de l’été dernier. Elle réagissait par automatisme, ses mouvements et son attitude étaient différents, forcés. C’était imperceptible pour les autres puisqu’ils ne la connaissaient pas, ne la côtoyaient dans son quotidien, quand elle pouvait être elle-même. Malgré tout, elle ne faiblissait pas son rôle, même si Oscar faisait partie de ceux qui verraient que quelque chose cloche. « Je comprends, ces soirées sont particulières… Il y a beaucoup de faux-semblants. Je me demande parfois pourquoi je m’inflige ça. » Et il ne suffit que d’une phrase pour fendre le déguisement qu’elle revêtait, s’autorisant un rire. « Je me pose la même question et ce, depuis que j’ai l’âge de parler avec les grands. Mais on y mange bien et parfois les rencontres sont surprenantes, donc il y a pire, tu ne penses pas ? » En retour, elle lui exposait la dualité qu’était la sienne, tiraillée entre l’envie de se défaire de ces obligations et l’incapacité de décliner une invitation de son père. Et au final, quand elle pesait le pour et le contre, elle se rendait compte qu’elle en sortait avec plus de positif qu’elle ne l’avait imaginé. Ou c’est juste son naturel optimiste qui faisait bien les choses. « C’est comme… Si, l’espace d’une soirée, on était une personne un peu différente. » Elle croisa le regard de son interlocuteur, un sourire aux lèvres qui se voulait de plus en plus sincère. « Comment trouves-tu la Norah des soirées mondaines ? En tout cas, cet Oscar sait se mêler dans la masse. C’est ton expérience dans l’architecture ou c’est à force de côtoyer mon père qui t’a rodé ? » Elle osait la blague, acceptant de retirer le masque quelques instants, loin des regards et de l’effervescence fictive de la soirée. « Mais j’imagine que quand c’est un exercice imposé… C’est différent. » - « Je ne suis pas sûre, l’exercice est vraiment le même. » Elle n’avait les parents les plus insistants mais dans d’autres familles, c’est la terreur qui était le principal moteur. Donc elle était chanceuse, quelque part.
« Disons juste pensif… » Le lieu était propice à la contemplation. Le jardin parfaitement entretenu des Sawyer, l’eau de la fontaine qui reflétait la lumière des lampadaires et le ciel étoilé comme le seul témoin de leur conversation. color=#999900]« Non, ne t’excuse pas, tu n’as rien fait de mal… Ça ne concerne que moi. J’étais… troublé… »[/color] Un marque d’inquiétude sur son visage, Norah se demandait ce qui aurait pu le troubler, au point d’écourter leur moment de création. « Tu ressembles beaucoup à ma femme Norah. Enfin, à ce qu’elle était quand je suis tombé amoureux d’elle. » Au début, elle crut mal entendre, ou elle crut qu’il lui faisait une blague. Mais il semblait bien sérieux, bien trop même. Elle ne savait pas comment réagir, elle en avait déjà trop entendu et elle n’avait pas la force de rebondir. Alors, comme à son habitude, elle encaissa, un simple « Oh. » s’échappant de ses lippes. Elle trouvait ça malsain, elle se disait qu’il n’était comme ça avec qu’elle juste parce qu’elle lui rappelait sa femme dans sa jeunesse. C’était réducteur, blessant, d’être écoutée juste parce qu’elle était l’écho d’un passé qui n’était pas le sien. « C’est un peu étrange et cette peinture ensemble m’a un peu... Disons perturbé. » Et elle était perturbée par le fait de connaitre la vérité. Cela ne faisait pas partie de la liste qu’elle avait dressé après être rentrée chez elle ce jour-là. La réaction d’Oscar avait provoqué chez elle de nombreux questionnements, au point qu’elle était paralysée à l’idée de retourner aux cours de peinture, juste parce qu’elle risquait de croiser son regard. « J’ai ressenti le besoin de prendre un peu de distance. Mais je suis désolé si ça t’a blessé. » Elle se râcla la gorge, elle devait rompre son silence et éviter le malaise ambiant. « Je ne sais pas trop quoi te dire, Oscar. » La vérité parvenait à prendre le contrôle de ses lèvres, elle reprit avec sincérité. « Je suis quand même soulagée que ça ne soit pas de ma faute mais... » Elle prit une pause. Elle restait une grande empathique et malgré la situation, elle se souciait de ce qui l’avait provoquée. « Qu’est-ce que ça vaut dire Oscar ? » Elle s’en voulait d’avance de poser la question tellement elle faisait référence au cliché des psychologues qui tournaient en rond jusqu’à ce que les clients passent à la caisse. « Il y a des soucis entre ta femme et toi ? » Elle savait que c’était déplacé de se mêler des affaires de couple des autres, surtout qu’elle ne le connaissait véritablement que depuis peu. Mais sans qu’elle le décide, elle y était propulsée. En tout cas, elle se montrait à l’écoute. Après tout, elle pourrait peut-être l’aider et plus vite elle le ferait, plus vite ils pourraient oublier cette histoire.
--- never ever
now i am shivering and withered, we'll never be better. when i met her, she told me she was not a sinner. you said we're not forever.