ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Ton anniversaire n’était qu’une journée comme les autres. C’est quelque chose que tu avais appris très tôt dans la vie, parce que ta mère, ce n’était pas une sentimentale. Certainement pas le genre à vouloir souligner la journée en grand. Gamine, tu étais chanceuse si ta mère se rappelait de la date et t’offrait un jouet acheté dans ces magasins où tout est à un dollar, une carte dans laquelle elle se contentait de signée Love, Mum. et un gâteau en spécial acheter à l’épicerie du coin. Et puis au fil des années, même ces petites attentions avaient fini par disparaître, comme un contraste plus que marquant face aux fêtes d’amies auxquelles tu étais parfois invitée, quand tu étais au primaire. Celles auxquelles tu n’assistais jamais parce que ta mère clamait haut et fort qu’elle n’avait pas d’argent à mettre sur des cadeaux pour des gamins qu’elle ne connaissait pas. Alors de loin, tu observais les autres profiter de cette journée, comme une célébration alors que pour toi, elle n’évoquait rien de particulier. C’était une réalité à laquelle tu n’avais pas véritablement dérogé, même quand tu t’étais tout doucement entourée de gens qui avaient envie de souligner l’occasion de ta naissance, du temps qui passe comme un rappel toujours trop alarmant de toutes ces choses que tu n’as pas encore faites, de tous ces buts que tu n’as pas encore atteints. Yasmin avait été la première à vouloir souligner l’occasion, lors de tes dix-sept ans, et puis quand tu avais atteint ta majorité, tu t’étais laissé convaincre par un groupe d’amis que tu te devais de célébrer en grand le fait que tu étais maintenant légalement une adulte. Une soirée trop bruyante, trop animée à ton goût, un souvenir qui se serait amassé dans une pile comportant bon nombre d’autres soirées dans ce genre-là, si ça n’avait pas été la soirée où tu avais fait la connaissance d’Alistair.
Le timing de son retour dans ta vie ne manquait pas de faire revenir tout un tas de vieux souvenirs à la surface, et recevoir ce bouquet de fleurs de sa part ce part avait témoigné de cette appréhension à la fois vieille et nouvelle de savoir que tu avais son attention. Une attention à laquelle tu ne t’attendais pas, tout comme tu n’aurais jamais pu t’imaginer recevoir une invitation de sa part pour passer la soirée avec lui. Tu étais bien satisfaite des plans, aussi simples étaient-ils, que tu avais fait la veille avec ta sœur. Un film, une commande à votre restaurant italien du coin préféré, Jessie pour te tenir compagnie, tu n'avais pas besoin de bien plus. Tu avais promis à Jessie que tu ne la ferais pas souffrir devant un énième visionnement de Hamilton, mais elle te connaissait assez pour savoir que cette promesse bien particulière, tu n’avais aucun mal à la briser. Elle avait été sauvée par l’offre de l’écrivain avait piqué ta curiosité, surtout qu’il avait mentionné vouloir revoir la revoir et ça, ce n’était pas quelque chose que tu pouvais lui refuser facilement. Pas quand tu avais parfois l’impression de lui devoir les neuf dernières années de souvenirs, sentiment que tu savais ridicule et faussé, mais qui s’imposait plus souvent que tu ne voulais l’admettre. Comme tu le lui avais indiqué dans ton dernier message, tu avais quitté le Walker Group vers 17h, heureuse d’avoir une tenue de rechange pour ne pas être obligée de te rendre chez lui dans un autre uniforme imposé par ton emploi – moins ridicule que celui du bar, mais quand même – avant de prendre direction de la maison de ta mère où Jessie t’attendait impatiemment. Comme à son habitude, ta petite sœur t’avait accueilli d’une embrassade qui t’avait coupé le souffle temporairement, la gamine plus si petite qu’elle avait pu l’être par le passé. C’est un échange sans beaucoup de mots que tu avais eu avec ta mère, lui rappelant que Jessie passerait la nuit chez toi et que tu irais la porter à l’école le lendemain, ce à quoi ta mère n’avait offert qu’un bruit pour témoigner qu’elle t’avait bien entendu. Aucun souhait n’avait été donné à ton égard, pas que tu ne t’y attendais, mais devant le regard déçu de ta sœur, tu t’étais forcée d’afficher un sourire semblant aussi sincère que possible, refusant d’être une cause d’inquiétude pour ta sœur. Non, il n’y avait rien que Kathy Storm ne puisse dire ou faire – ou dans ce cas, pas dire ni faire – qui puisse t’affecter désormais. Tu étais détachée, insensible, inébranlable. Ou du moins, c’est la seule chose que tu te permettais de démontrer devant ta sœur, qui se fiait bien trop à chacune de tes réactions pour que tu ne la laisses croire autrement.
« Où tu vas? Ton appart est pas par là. » Tu avais à peine eu le temps de t’engager dans les routes de la ville que ta sœur avait remarqué le changement de trajectoire. Tu ne pouvais pleinement te l’expliquer, mais tu étais nerveuse à l’idée de retourner chez Alistair, et surtout d’y emmener Jessie. Comme sur beaucoup de choses, tu t’étais confiée à ta petite sœur des quelques rencontres que tu avais eu avec l’écrivain depuis vos retrouvailles, évitant évidemment de mentionner la grande majorité des détails et des ambiguïtés qui persistaient, parce que même si Jessie était la première personne avec qui tu avais envie de tout dire, tu avais encore assez de discernement pour savoir que demander des conseils à une gamine de 11 ans sur tes relations n'était pas l’idée du siècle. « Tu te souviens d’Alistair? L’écrivain qu’on est allé voir l’autre jour, à la librairie? » Elle hoche doucement la tête, des questions pleins les yeux. « Il nous a invité chez lui pour la soirée. Pour souligner mon anniversaire. » Et comme tu le savais, l’idée que quelqu’un d’autre qu’elle veuille souligner ton entrée dans une nouvelle décennie suffit à la satisfaire, un large sourire qui témoigne de son emballement à se rendre chez les Rivers. Elle n’est pas comme toi, Jessie. Elle n’a pas besoin de connaître quelqu’un longtemps avant d’être à l’aise avec eux, témoignant d’une innocence si belle et si douce que tu considères avoir été en mesure de la protéger assez pour préserver le tout. La maison de l’écrivain t’apparaît sous un tout autre angle, à la lumière du jour, et si ta sœur sort de la voiture sans attendre, il te faut prendre quelques secondes de plus pour te préparer mentalement. Votre dernière rencontre avait été éprouvante, et si elle s’était terminée sur une note assez douce, après une heure ou deux d’une promenade qui s’était étirée majoritairement en silence, sans que ça ne devienne lourd ni désagréable. Tu sors de la voiture à ton tour, t’assurant que ta blouse n’a aucun pli avant de rejoindre ta sœur devant l’entrée, cette dernière ayant déjà témoigné de votre présence de quelques coups contre la porte d’entrée. Si la silhouette de l’écrivain se dessine dès qu’il ouvre la porte, c’est la présence du chien à ses pieds qui attire réellement ton attention. « Heeey. » que tu t’exclames, te penchant légèrement pour venir gratter derrière les oreilles du Labrador qui semble se souvenir de toi. Sans jamais lâcher, le canin, tu te tournes doucement vers ta sœur. « Jessie, tu te souviens d’Ali. Et lui ici, c’est Hey. » Tu ne donnes même pas le temps à ta sœur de faire un commentaire que tu rajoutes « Pose pas de question. » et elle s’en contente, déjà prête à rentrer à l’intérieur, suivi par le chien sans doute curieux de cette nouvelle présence humaine dans la maison du vide, vous laissant derrière, Alistair et toi. « Merci encore pour l’invitation. » que tu souffles doucement, ton regard se levant timidement vers le sien.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Il se rappelle très bien que Willow n'a jamais vraiment eu l'habitude de fêter son anniversaire ou d'avoir quelqu'un pour l'inciter à le faire, depuis qu'elle est en âge de le préparer elle-même. Ils se sont rencontrés parce que des amies à elle l'ont plus ou moins forcée à le célébrer pour son dix-huitième anniversaire. Les deux années suivantes, Alistair n'a certainement pas manqué l'occasion de célébrer de nouveau ses anniversaires. Sa famille étant relativement le contraire de la sienne, il apprécie vraiment organiser une fête pour ce genre d'occasion. Elle a donc eu droit à un anniversaire assez romantique pour ses dix-neuf ans. Un dîner chez lui, qu'il a tenu à préparer lui-même. Certes, il a vite abandonné l'idée de lui préparer un gâteau tant c'était hors de ses capacités. Mais il n'a pas manqué d'en acheter un et de préparer un plat digne de ce nom. Pour son vingtième anniversaire, ils ont pris la route et sont allés se perdre sur une plage peu fréquentée où ils ont passé le plus clair de leur journée. Juste tous les deux, dans une bulle qu'ils ont conservée en parfait état jusqu'à la tombée de nuit. Coucher de soleil digne d'une carte postale, puis ils ont enfin daigné rentrer. Pour ces deux anniversaires, Alistair a fait en sorte de lui faire oublier sa vie et ses potentiels tracas. Les difficultés rencontrées dans son rapport compliqué avec sa mère, surtout. Alors il ne sait pas si, pendant toutes ces années, ses habitudes ont changé ou non sur ce point. Il ne sait pas si elle a désormais un tas d'amis avec qui célébrer son anniversaire ou pas. Il ne se demande pas si elle a ou non un petit ami. Il pense avoir déjà compris que ce n'était pas le cas. Qui accepterait que sa ou son partenaire partage le lit d’un·e ex ivre ? Certainement pas Alistair, en tout cas. Qui ne pense pourtant pas être particulièrement jaloux ni possessif quand il est en couple. Mais il pense quand même que certaines choses ne se font pas et cela en fait partie.
Ça ressemble presque à un drôle de hasard qu'ils aient repris contact si proche de son anniversaire. D'abord, ce n'est pas n'importe lequel, d'anniversaire. Une nouvelle décennie atteinte. Même si ce n'est pas tout à fait le hasard, puisque c'est elle qui a décidé de venir le trouver à l'occasion d'une séance de dédicaces. Il n'empêche qu'il ne peut faire mine de ne pas se rappeler. Pas un anniversaire aussi important. Alors, après le bouquet de fleurs à son attention avant qu'elle ne parte au boulot, il lui a demandé les projets de la journée. Pour apprendre que ses habitudes n'ont finalement pas changé, puisqu'elle n'a pas prévu grand chose. Pour ne pas dire rien du tout. Rien de différent de la majorité des autres soirs de l'année, sans doute. Ce qu'il trouve suffisamment dommage pour ne pas résister à la tentation de l'inviter chez lui, avec déjà une petite idée derrière la tête. Histoire qu'elle ne se fasse pas de fausses idées -et que lui-même ne prenne pas le risque de s'en faire non plus-, il invite également sa petite sœur. Il prétendra que c'est parce qu'il se doutait qu'elle ne pouvait qu'être de la partie. S'il y a bien une personne avec laquelle elle doit passer ses anniversaires, c'est elle. Ce qui arrange pas mal l'auteur qui évite ainsi une soirée en tête à tête. Il aurait aussi bien pu décider de l'emmener dans une soirée ou une autre. Mais ce n'est définitivement pas dans ses humeurs du jour. Il préfère encore l'idée de les recevoir toutes les deux chez lui. Même si la vie qu'elles vont inévitablement amener dans la demeure fantôme sera difficile à encaisser pour lui. Elles sont rares, les âmes vivantes, qui se promènent entre ces murs. Et elles ne font généralement que passer. Rapidement mises dehors par le propriétaire des lieux ou par l'ambiance oppressante. Il faut dire que l’endroit est vide et triste au possible. Alistair s’en rend bien compte, même s’il continue de se complaire dans cet endroit qui ne fait que survivre, à son image. Aucun doute qu’il l’alimente par son malheur silencieux.
Mais inviter des gens chez lui, c'est accepter un peu de vie qu'il n'est même pas certain de pouvoir encaisser. Il hésite presque déjà quand il ouvre la porte sur une Jessie qui a tant changé au fil des années. Elle n'a plus rien de la gamine haute comme trois pommes qu'il a connue. Et il peine à lui offrir un sourire tant ça le surprend, cette fois encore. Mais Hey se charge d'alléger l'atmosphère quand il fonce tout de suite en direction de Willow qu'il semble avoir adopté. « Salut Jessie ... » Il est presque impressionné par elle qui n'est encore qu'une gamine. C'est idiot. « Non, ce n'est pas une référence à Moana. » Qu'il croit bon de préciser à la suite de Willow. Avant de faire signe à Jessie, d'entrer dans la maison. En compagnie du chien qui semble curieux de cette nouvelle rencontre. Il l'est à tous les coups. « Attends d'être certaine de ne pas détester la soirée. » Ironie évidente dans la voix, cette fois encore. Il se déplace pour la laisser entrer à son tour dans la maison. « On va aller dans le jardin. » Qui semblera sans doute bien plus intéressant et plus accueillant que l'intérieur. Ce soir tout particulièrement. Hey n'a d'ailleurs pas manqué d'y entraîner Jessie qui s'est arrêtée net devant la déco improvisée. Le projecteur est prêt, l'ordinateur aussi. Mais plus encore, l’amas de couvertures, de coussins, les guirlandes lumineuses et autres petites lampes joliment installées parmi les plantes et fleurs en pot. « Y a tout un tas de Disney qui sont prêts à être lancés. Mais je ne sais pas à laquelle des deux je demande de choisir. » Coup d'œil en coin dans sa direction. Très rapide. Parce qu'il n'est pas certain de complètement assumer son idée du soir. Aucun doute qu'il n'aurait pas fait tout ça si Jessie n'avait pas été de la partie. La chose risquant d'être beaucoup trop intime dans un tel cas de figure. « On se fait livrer le repas dans ... » Coup d'œil à sa montre. « Une heure trente. J'espère que vous aimez l'italien. » Il s’est dit que ce serait beaucoup trop en faire que de cuisiner lui-même. Alors il ne s’est pas "amusé" à se mettre derrière les fourneaux.
Le jardin:
(1076 mots)
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
La voix de Jessie qui s’harmonise avec la musique qu’elle a choisi alors que tu conduis disparaît au gré des pensées qui t’assaillent de part et d’autres. C’est étrange, de retourner chez Alistair comme ça, non? D’y emmener Jessie? Il y a la voix de la raison dans ta tête qui s’efforce de te rappeler que c’est ce que font des amis. Ils soulignent les journées importantes, ils organisent des plans spontanés, simplement parce qu’ils peuvent le faire. Ça n’a rien de bien surprenant qu’Alistair ne soit pas impressionné par tes plans de base pour la soirée, qui ne sont en vérité que la manière dont vous avez de passer la majorité de vos soirées ensemble, Jessie et toi. Tu as connu Alistair le soir de ton anniversaire, et pendant la totalité de votre relation, il s’est assuré de rendre cette journée aussi spéciale que possible, même si elle l’était déjà, de part sa simple présence. Tu te souvenais du souper qu’il avait préparé chez lui, puis de la journée que vous aviez passé près de l’océan, loin de tout et de tout le monde. C’étaient des souvenirs qui t’étaient chers, et tu devais faire un effort colossal pour ne pas mêler ce qui allait se passer ce soir dans la même catégorie, parce qu’à cette époque, c’était un Alistair amoureux qui tentait de te faire sentir spéciale et ce soir, ce n’est qu’une soirée entre amis, avec ta sœur jouant le rôle de la médiatrice, pour éviter les idées de s’immiscer trop fort dans ton esprit facilement manipulé. Alors non, tu tentes de te convaincre que ce n’est pas étrange. C’est une simple soirée. Sans arrière pensée. Le bouquet de fleurs qu’une attention d’un ami à un autre. Yasmin aussi, pourrait t’offrir quelque chose de la sorte et tu ne te ferais pas d’idée, alors voilà. C’est la logique tu décides d’appliquer, que tu t’obliges à te répéter encore et encore jusqu’à ce que la voiture ne s’arrête devant la demeure de l’écrivain, là où malgré ta seule et unique visite, repose déjà des souvenirs et des sentiments bien particuliers.
« Salut Jessie… » C’est fascinant de voir Alistair réagir à ta petite sœur, tentant sûrement de faire le point entre le bambin qu’elle était à l’époque et la jeune fille qu’elle est devenue aujourd’hui. Son crâne qui est longtemps resté sans la moindre trace de cheveux est maintenant couvert d’une longue chevelure blonde similaire à la tienne. Ses grands yeux bleus, remplis d’innocence sont en mesure d’en comprendre et d’en voir bien plus que la majorité des enfants de son âge, et malgré un ralentissement de croissance, elle a bien grandi la gamine, déjà presque aussi grande que toi avec encore quelques années au compteur avant d’atteindre sa taille finale. Tu t’assures tout de même de faire les présentations pour une deuxième fois, puisque la rencontre à la librairie remonte à quelques semaines maintenant, bien que c’est plutôt Hey qui semble attirer l’attention de tout le monde. Un drôle de quatuor coincé dans le cadre de porte, alors qu’Ali se sent obligé de préciser: « Non, ce n’est pas une référence à Moana. » ce qui ne manque pas de t’arracher un rire. Jessie disparaît dans la maison, et tu ne peux empêcher ton cœur de s’emballer plus que de raison lorsque tu te retrouves seule en compagnie de l’écrivain, ne serait-ce que pour quelques secondes. C’est traître, de sentir son parfum boisé et d’avoir ton corps qui y réagit aussitôt, mais tu fais fis de tout cela parce que la raison te le rappelle et que c’est sur cette voix particulière que tu dois te concentrer. « Attends d’être certaine de ne pas détester la soirée. » Tu secoues la tête. Comment détester une soirée pour laquelle tu n’étais pas préparée, pour laquelle tu n’avais aucune attente? « On va aller dans le jardin. » Tu entres dans la maison et le laisse te guider, réalisant que tu n’as eu la chance de voir que très peu de la grande demeure. Tu tentes de ne pas t’arrêter sur les photos qui sont toujours bien en vue un peu partout dans la maison, suivant Hey et ta petite sœur vers le jardin, que tu peux apercevoir au travers de la baie vitrée. Puis quand tu aperçois le set up que tu sais organisé par Alistair, pour toi, tu as un léger mouvement de recul, ayant temporairement oublié qu’il se trouvait derrière toi, ton corps entrant dans une douce collision avec le sien. Tu as les yeux écarquillés lorsque ton regard trouve temporairement celui de l’écrivain, choc et surprise s’entremêlent sur tes traits, mais tu finis par reprendre le pas sans rien dire, les mots te manquant complètement.
« C’est trop cool! » qu’elle lance ta petite sœur alors qu’elle met les pieds dans le jardin, suivi de Hey. Ton regard se perd sur les couvertures qui s’empilent un peu partout dans l’espace décoré de lumières en tout genre, créant un espace cinéma qui est cozy au possible, le genre d’espace que tu n’as vu que dans les films et sur les réseaux sociaux, le genre d’espace que tu n’aurais jamais cru voir de tes yeux un jour, surtout pas créer dans le but de te faire plaisir à toi. « Y a tout un tas de Disney qui sont prêts à être lancés. Mais je ne sais pas à laquelle des deux je demande de choisir. » « À moi, à moi! Sinon on va être obligé de regarder Hamilton à répétition. » Tu échappes un rire à cette information partager sans la moindre gêne de la part de ta petite sœur. Tu n’es pas certaine de considérer la comédie musicale comme étant un film Disney, bien que disponible sur cette plateforme, mais tu n’as pas l’intention de faire souffrir Alistair devant Hamilton pendant toute la soirée, ni même un Disney, surtout maintenant que tu sais qu’il ne se forcerait à l’écouter que pour vous faire plaisir, ce qui ne manque pas d’entrer en conflit direct avec ta raison qui tente de te rappeler que tout ça, c’est normal et sans arrière pensée. Hum. « Et si on choisissait autre chose qu’un Disney? » que tu proposes plutôt, non sans rencontrer des remontrances de ta petite sœur qui insiste pour que vous regardiez le nouveau Vice-Versa. En compromis, tu proposes que vous regardiez le premier pour qu’Alistair puisse au moins suivre l’histoire un brin, même si quelque chose te dit qu’il n’aurait pas eu beaucoup de problème à ce que vous commenciez par le deuxième. Tu offres un air désolé à Ali, qui ne semble pas particulièrement perturbé par la scène qui se joue devant lui. « On se fait livrer le repas dans… Une heure trente. J’espère que vous aimez l’italien. » « C’est ce que Will préfère! » Un détail que tu es certaine qu’Ali n’a pas oublié, parce qu’il n’a rien fait au hasard sur cette mise en scène et tu n’en es qu’un peu plus perturbée. « C’est parfait. » que tu commentes, d’une voix plus petite et moins assumée que tu ne le voudrais, l’émotion coincé dans le fond de ta gorge.
Le film est rapidement lancé, pour le plus grand bonheur de ta sœur qui s’enfonce dans les couvertures au point de se perdre dedans, devant un burrito humain à l’attention rivé sur l’écran portatif. Toi, tu peines à suivre les aventures de la jeune Riley, bien trop consciente de la présence de l’écrivain à ta droite. Tu ne cesses de bouger, apparement incapable d’être confortable malgré la quantité de couvertures et de coussins à ta disposition, et tu finis par te tourner légèrement vers Alistair, le ton bas parce que tu connais assez ta sœur pour savoir qu’elle ne se gênera pas pour te dire que tu la déranges si tu parles trop fort. « Au risque de me répéter, t’étais vraiment pas obligé de faire tout ça. Merci Ali. » Tu te mordilles légèrement la lèvre inférieure, posant ton corps sur une guirlande lumineuse derrière Alistair plutôt que de le regarder directement, ce choix te semblant plus judicieux pour ton cœur qui ne manque pas de s’emballer à la moindre petite attention de l’écrivain. « Tu fais une heureuse en tout cas. » que tu commentes alors que tu tournes légèrement la tête vers ta sœur qui est complètement obnubilée pour le film. « Elle saura plus jamais se satisfaire de la minuscule télé chez ma mère et du canapé tout pourri. » que tu rajoutes avec un rire, une touche d’humour drôlement près de la réalité. Moi non plus d’ailleurs.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Il est bien conscient que ce qu'il prévoit pour la soirée peut prêter à confusion. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il a tenu à ce que la petite sœur soit présente. Il ne faudrait quand même pas que Willow s'imagine des choses et se fasse vraiment des idées ... Des mots qu'il n'a eu de cesse de lui répéter avec l'espoir que ça suffise. Ou parce qu'il a besoin de se convaincre lui aussi, dans le fond. Ce dont il est bien inconscient parce que pour l'instant son esprit préfère le protéger de tout ça. Mais jusqu'à quand ? Pour le moment, il fait surtout la mise au point avec la gamine qui apparaît dans son champ de vision quand il ouvre la porte. Jessie n'a plus rien à voir avec le bambin qu'il a connu. Il n'y a que ses yeux bleus qui n'ont pas changé. Mais elle a les mêmes que son aînée. À vrai dire, elle ressemble beaucoup à la Willow de dix-huit ans qu'il a connue. De quoi lui éviter d'être trop perdue face à elle. D'ailleurs, le duo ne manque pas de faire un peu fondre le palpitant de l'écrivain. Leurs échanges de regard feraient presque naître un sourire sur ses lèvres. Surtout quand Willow échappe un rire parce qu'il précise tout de suite que son chien ne s'appelle pas du tout en référence à un certain Disney. La gamine n'en demande pas davantage et file déjà en compagnie du labrador qui l'entraîne tout naturellement du côté du jardin. De quoi forcer un tête à tête entre la blonde et l'écrivain. Rapprochement physique léger quand elle entre à son tour dans le couloir. De nouveau, il est percuté par son parfum délicat. Il n'arrive pas encore à mettre le doigt sur les odeurs précises qui l'accompagnent. Mais il aime bien. Ce qu'il va éviter d'admettre une fois de plus. Il n'a pas envie de se ridiculiser davantage. À moins que le ridicule ne soit devant tout ce qu’il a mis en place côté jardin. Pour lui, ça ne semble pas être grand-chose. Pour Willow et sa sœur, ça pourrait être une autre histoire. Il se trouve dans son dos, quand elle recule d'un pas, apparemment surprise par tout ce qui l'attend / les attend. Un mouvement de recul qui fait se rencontrer leurs corps avec douceur. Il a le réflexe de poser une main sur l'un de ses bras, pour l'alerter de sa présence. Mais lui-même est pas mal perturbé par ce soudain contact physique.
Qui le trouble au-delà de ce qu'il saurait formuler et au-delà de ce qu'il peut admettre, même pour lui-même. D'autant plus qu'une fois encore, son parfum chatouille agréablement les narines. « Ca va ? » Qu'il a le réflexe de l'interroger. Alors que, dans le fond, il est bien conscient que c'est surtout de la surprise. Pour ne pas dire un choc véritable parce qu'elle n'a pas l'habitude que quelqu'un fasse quoi que ce soit pour elle. Heureusement, ils se remettent en mouvement pour s'approcher davantage. « Je ne sais pas ce qu'est Hamilton. » Qu'il se contente d'admettre. La vérité, c'est qu'il a sans doute même oublié la majorité des films d'animation qu'ils ont peut-être eu l'occasion de regarder tous ensemble dans cette autre vie qu'ils ont partagée. Il peine à ne pas sourire quand l'aînée propose de regarder autre chose qu'un Disney. Il a admis n'avoir jamais été un grand fan et n'avoir toujours regardé que pour passer du bon temps en leur compagnie. « C'est ton anniversaire, tu te rappelles ? Ce n'est pas grave si c'est quelque chose qui ne me plaît pas. » Qu'il prend quand même la peine de préciser en lui lançant un bref coup d'œil. Loin de s'émouvoir face au programme qui est finalement choisi, Alistair vérifie surtout l'heure pour s'assurer qu'ils auront le temps de le terminer avant l'arrivée de leur repas. « Ah oui ? » Est-ce qu'il avait oublié que c'était clairement la nourriture préférée de Willow ? Bien sûr que non. « Coup de chance. » Il évite quand même leurs regards à toutes les deux, quand il s'approche de l'ordinateur pour aller récupérer le film qu'il ne tarde pas à lancer. Il ne fait pas encore très nuit, mais le soleil est en train d’entamer sa lente descente. De quoi leur permettre de voir suffisamment l’écran, avant de le voir tout à fait et bien mieux encore. Jessie ne se fait pas prier pour s'installer et s'enrouler littéralement dans une couverture sous le regard plutôt amusé de l'écrivain qui prend place à l'autre extrémité. Histoire de pouvoir se lever et rejoindre rapidement la porte d'entrée quand leur repas sera livré.Il prend le soin d'entasser plusieurs coussins pour pouvoir caler son dos contre et éviter ainsi d'être tout à fait allongé. Il ne faut pas plus de quelques minutes avant qu'il ne remarque que Willow n'a de cesse de remuer à côté de lui. C'est elle qui finit par capter toute son attention.
Et quand il tourne le visage dans sa direction, c'est pour la voir se tourner à demi vers lui. « Fallait bien quelqu'un pour te rappeler que t'es en train de vieillir. Et sacrément en plus. » Qu'il préfère ironiser, pour mettre de côté le trouble qui continue de faire rage dans son esprit. Un peu plus fort en cet instant. Tant elle est proche de lui. Assez pour que son parfum soit encore et toujours de la partie. Elle semble éviter son regard, certainement par gêne. Alors à lui, ça lui laisse tout le champ libre pour laisser ses yeux glisser sur son visage. Il ne devrait pas la regarder comme ça. Il ne devrait pas être perturbé par sa présence. Il ne devrait même pas l'avoir ici, dans son jardin. Pourtant, tout ça est bien réel. Cette fois, il ne peut pas mettre quoi que ce soit sur le dos de l'alcool. Vague sourire quand elle ramène le sujet à sa petite sœur. Encore une fois, ça permet de calmer les dangers potentiels. « Tu pourras lui offrir plus, un jour. » Il préfère partir positif sur le sujet. Lui qui n'est même pas capable d'en faire autant quand ça le concerne lui. « J'ai du mal à croire que c'est la même gamine qu'il y a neuf ans. Si ce n'est qu'elle s'enroule toujours dans les couvertures. » Un sourire amusé réapparaît sur ses lèvres. Le ton reste bas, ceci dit. Parce qu’il ne faudrait quand même pas la déranger dans son visionnage. D’ailleurs, ils ne tardent pas à retrouver le silence. Et l’heure qui suit n’a pas beaucoup de sens dans l’esprit de l’écrivain qui peine à s’accrocher au film tant son attention vague et divague dans d’autres directions. « Je suppose qu’on lance le second, pendant le repas ? » Il n’attend pas vraiment de réponse. Il quitte sa place en un temps record pour rejoindre la porte dont la sonnette vient de se faire entendre. Un sac de nourriture et une Pizza entre les mains, il rejoint le jardin et dépose le tout au milieu des couvertures. Un aller-retour par la cuisine lui permet de revenir avec verres, boissons et le gâteau à la vanille. « Je vous préviens, il est interdit que vous partiez d’ici en me laissant de la nourriture. » Quitte à ce qu’elles repartent avec ce qu’il reste. Parce qu’il a tant pris, par crainte de ne pas être capable de choisir pour elles, qu’il en restera forcément.
(1230 mots)
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
« Ça va? » La question est toute simple et tu devrais pouvoir y répondre sans avoir à y réfléchir trop longuement, mais ce n’est pas le cas. Parce qu’Alistair a transformé son jardin en cinéma maison pour ta sœur et toi, pour souligner ton anniversaire, pour te faire plaisir. Parce qu’il y a sa main qui s’est instinctivement posé sur ton bras pour t’empêcher de reculer un peu plus, ton corps déjà en trop grand contact avec le sien. Parce qu’il y a son odeur, partout, et ça te fait tourner la tête légèrement. Tu finis par répondre à sa question d’un simple hochement de la tête, un sourire incertain qui étire tes lèvres pour tenter de camoufler l’intensité des émotions qui t’habitent présentement. Il y a ce mantra qui se répète en boucle dans un coin de ta tête. Ne te fais pas d’idées, ne te fais pas d’idées, ne te fais pas d’idées et tu te concentres plutôt sur la réaction de ta sœur pour t’obliger à oublier la tienne. C’est plus simple et plus sécuritaire ainsi, surtout que cela te permet d’imposer une distance plus que nécessaire avec l’écrivain qui reste légèrement en retrait face à la tornade que Jessie et toi semblez représenté dans son univers si calme qu’il en paraît presque mort. Une pensée qui ne manque pas de t’arracher un léger frisson et qui te rappelle ton seul et unique but lorsqu’il s’agit d’Alistair Rivers : remettre un peu de vie dans son univers, qu’importe la forme que cela puisse prendre.
« Je ne sais pas ce qu’est Hamilton. » Tes yeux s’agrandissent sous le choc, ton visage se tournant aussitôt vers celui de ta sœur qui semble elle aussi choquée de cette révélation. « Ne lui dis pas ça, elle va te chanter la soundtrack au complet, et elle chante faux! » l’averti aussitôt ta petite sœur, et une fois encore, tu aimerais pouvoir lui rappeler qu’il y a bien des choses qu’elle n’a pas besoin de partager avec tout le monde. Non pas qu’Ali soit n’importe qui, mais tu aimerais bien pouvoir conserver un moindrement de dignité devant l’homme avant qu’il n’apprenne tous tes guilty pleasures de la sorte. « On va éviter le concert pour ce soir. » que tu marmonnes, avant de proposer autre chose, ce à quoi Alistair s’oppose aussitôt. « C’est ton anniversaire, tu te rappelles? Ce n’est pas grave si c’est quelque chose qui ne me plaît pas. » Tu secoues doucement la tête, évitant de t’obstiner avec lui, laissant plutôt le choix à ta petite sœur parce que c’est ce que tu fais de mieux : donner le contrôle à Jessie pour lui faire plaisir à elle, d’abord et avant tout. Le programme ce précise lorsqu’Alistair annonce le repas du soir, répondant un innocent « Ah oui? Coup de chance. » que ta sœur va peut-être croire, mais qui ne prend pas avec toi, surtout pas quand tu vois son regard qui fuit le tien le temps de quelques secondes, avant qu’il ne s’éclipse le temps de lancer le film choisi.
Ton incapacité à te calmer n’a rien à voir avec l’environnement dans lequel tu te trouves et tout à voir avec celui qui se trouve à tes côtés, et toute tentative de ne pas le laisser paraître semble bien futile tant tu ne cesses de bouger d’un côté et de l’autre. « Fallait bien quelqu’un pour te rappeler que t’es en train de vieillir. Et sacrément en plus. » Un sourire amusé étire tes lèvres. Comment est-ce possible qu’il puisse te troubler autant une seconde et t’apaiser aussitôt celle d’après? Tu pourrais prétendre ne pas sentir son regard qui s’attarde sur les traits de ton visage, mais tu es bien trop consciente de chacun de ses faits et gestes pour que ce ne soit pas le cas, quand bien même tu prétends le contraire lorsque ton regard retrouve le sien, tes doigts venant légèrement ébouriffer le dessus de ses cheveux. « Tu veux qu’on parle de tes cheveux blancs peut-être? » que tu rajoutes sur un ton de défiance, prétendant lui trouver le moindre ton de gris dans une chevelure qui se veut pourtant encore très foncée. Tu laisses ta main retombée aussi vite qu’elle n’a trouvé le chemin de ses cheveux, il faut vraiment que tu cesses de trouver la moindre petite raison pour mettre ta main sur lui parce que c’est dangereux, trop dangereux. Comme cette proximité entre vous qui ne cesse de revenir malgré tous tes avertissements internes, comme des aimants incapables de résister. « Tu pourras lui offrir plus, un jour. » Tu te pinces les lèvres doucement. Tu as besoin d’y croire, même si tu regrettes de ne pas avoir été en mesure de le faire avant, de ne pas savoir encore quand ce sera possible. « Ma mère est moins pire, avec elle. » que tu te sens obligée de préciser, même si Alistair n’a jamais fait preuve du moindre jugement vis-à-vis de toi ou de la manière dont tu t’occupes de Jessie. « J’ai du mal à croire que c’est la même gamine qu’il y a neuf ans. Si ce n’est qu’elle s’enroule toujours dans les couvertures. » Un rire t’échappe, et tu tournes la tête une fois encore pour l’observer, ton petit burrito. « Elle avait tout le temps froid, quand elle faisait ses traitements de chimio. Elle manquait jamais une occasion de s’enrouler comme ça. » que tu commentes, le souvenir s’échappant de tes lèvres subitement. « Le dernier doudou que tu lui avais acheté, celui avec les chats dessus? Elle l’a encore. » Et Jessie ne l’avouerait jamais, mais tu sais de source sûre qu’elle dort encore avec la plupart des soirs et qu’en sortie comme cette nuit, elle l’a bien cachée au fond de son sac pour pouvoir le sortir à l’heure du coucher.
Le premier film se termine dans un silence plus confortable, ton dos accoté contre un mur de coussins, une couverture désormais partagée entre Alistair et toi, avant que ce dernier ne se lève subitement dès que les crédits se mettent à rouler. « Je suppose qu’on lance le second pendant le repas? » Jessie et toi acquiescez d’un geste de la tête commun alors que l’écrivain disparaît temporairement dans la maison, avant de revenir quelques minutes plus tard avec les mains pleines de nourriture dont l’arôme ne manque pas de te faire saliver aussitôt. « Je vous préviens, il est interdit que vous partiez d’ici en me laissant de la nourriture. » « Tu nous as pas dit et t’as invité une douzaine de personnes ou quoi? » que tu lui demandes, le visage encore une fois figé sur un air de surprise alors que Jessie est déjà occupée à sortir divers plats de pâtes d’un sac brun, une grande pizza aussi à votre disposition. Pour deux filles qui savent trop bien ce que c’est que d’étendre pas grand-chose sur plusieurs jours, cette quantité de nourriture est irréelle, à la limite de l’angoissante tant tu ne sais pas ce que tu es censée faire de tout ça. « C’est beaucoup trop. » que tu souffles, alors que Jessie elle, ne semble avoir aucun mal à s’approprier un plat de pâtes à la carbonara et en prendre une grande bouchée, avant de demander la bouche pleine si vous pouvez enfin mettre le deuxième film. Tu la grondes légèrement alors qu’Ali s’occupe de mettre le film, et tu finis par prendre une pointe de pizza, attendant qu’Ali revienne s’installer à tes côtés avant de commencer à manger. « Tu réalises qu’on va manger des pâtes et de la pizza pour le reste de la semaine avec tout ça? » Non pas que tu t’en plaignes. C’est con, mais c’est un stress de moins, de savoir que tu n’auras pas penser à vérifier le frigo chez ta mère pour quelques jours au moins pour être certaine que ta sœur à quelque chose à se mettre sous la dent. « Et puis Disney, toujours pas un fan? » que tu commentes alors que Riley est devenue adolescente sous vos yeux, avec des problèmes bien différents du premier film, ses émotions en vrac et jamais tu n’aurais cru pouvoir te reconnaître autant auprès d’une adolescente, surtout pas à la journée de tes 30 ans.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Alistair pense ne pas se tromper en se disant que Willow est complètement abasourdie par le décor qui prend place dans le jardin de l'écrivain. Qui n'a été mis en place qu'à l'occasion de son anniversaire. Parce qu'il tient vraiment à ce qu'elle se rappelle de cette journée. Même si pour une décennie, une fête folle devrait être organisée. C'est surtout vrai quand on a une famille et un cercle d'amis qui le permettent. Aux dernières nouvelles, ce n'est pas vraiment le cas de la blonde, malheureusement. Pour ses trente ans, Alistair a eu droit à une fête presque aussi grande que pour son mariage, dans la demeure familiale. Cela a duré un weekend entier et absolument tout son entourage était invité. De quoi créer tout un tas de souvenirs qu'il aura peut-être encore toute une vie pour les chérir. Prendre conscience de combien il chérit ces souvenirs-là le pousse quand même à se poser quelques questions et à se demander si c'est vraiment une si bonne idée que ça d'avoir organisé tout ça pour Willow. D'autant plus que l'atmosphère générale est propice à des rapprochements, apparemment. Il se prend la chose de plein fouet quand elle recule et que son corps rencontre brièvement le sien. Il garde la face en s'inquiétant pour elle. Et il récolte un vague sourire et un hochement positif de la tête de sa part avant qu'enfin elle ne s'éloigne. Ils sont en train de s'installer sur les couvertures et les coussins quand l'écrivain admet ne pas connaître "Hamilton". Devant ses yeux qui brillent soudainement d’une lueur amusée, les deux sœurs échangent un regard pour le moins choqué. « En effet. Ce n'était pas prévu au programme, ça. » Mais c'est son anniversaire, alors si elle tient, qu'elle fasse donc. Ce serait quand même prendre le risque qu'il se foute un peu d'elle si elle chante si faux que ça. S’il n’était pas particulièrement moqueur quand ils se fréquentaient, le temps a fait évoluer les choses. Désormais, il lui arrive -assez régulièrement- de prendre le risque de vexer en taquinant peut-être un peu trop fort. Parce qu’il n’a plus les filtres de la jeunesse. S’il peut les appeler ainsi. Il est, entre autres raisons, arrivé à un âge où il se fiche de ce que l’on pense de lui.
Pour l'instant, c'est quand même lui qui mériterait un peu que l'on se moque de sa personne. En plus de toute cette organisation dans son jardin, il a veillé à commander typiquement le genre de nourriture qu'il sait être ce qu'elle préfère. Même s'il prétend le contraire devant Jessie et sa sœur. Cette dernière ne s'y trompera certainement pas. S'il veille à éviter ses regards autant que possible, il est incapable de détourner le sien de son visage quand il est certain qu'elle ne le regarde pas, tant son attention semble porter sur l'écran devant eux. Très vite, il la taquine sur son âge et, en retour, elle glisse ses doigts dans ses cheveux avec un petit commentaire qui lui fait lever les yeux au ciel. L'esprit en vrac d'être ainsi torturé par le contact qu'elle a de nouveau installé entre eux. Chacun de ses gestes dans sa direction a le don de provoquer un petit quelque chose et ça commence à lui faire vraiment peur. « Je suis certain que tu as remarqué qu'il n'y en avait aucun. » Son père n'a pas eu le moindre cheveux blanc avant l'approche de la cinquantaine. Ce qui signifie sans doute qu'il a encore un peu de temps devant lui avant de commencer à s'en inquiéter. S'il va jusque là lui-même. Leurs échanges dérivent tout doucement et les yeux clairs de l'homme se posent sur les lèvres de la blonde, qu'elle pince en réaction à ses mots. Avant de lui répondre. Il écoute avec attention quand elle confie quelques petites choses au sujet de Jessie. Qui ramènent au doudou qu'il lui a offert quand il l'a rencontré pour la première fois. L'idée qu'elle puisse encore le posséder lui serre le coeur. « Elle ne doit pas savoir qu'il vient de moi ... » Il ne sait pas si ça le peinerait d'apprendre qu'en effet, elle n'en sait rien. « J'ai toujours été doué pour les choix de doudou. » Qu'il souffle, non sans un sourire de nouveau. Sans pour autant aller jusqu'à mentionner celui qu'il prévoyait d'offrir à son fils le jour de sa naissance. Celui qui se trouve encore sous son toit et qu'il sort quand il se sent dériver. Auquel il s'accroche, comme un gamin perdu.
Plus le film avance devant eux, plus Alistair a la sensation de se perdre dans un nuage de coton. Plus, il a le sentiment, surtout, qu'ils sont dangereusement en train de se rapprocher avec Willow. Sensation accentuée par la couverture qu'ils partagent. Et c'est bien pour ça qu'il prend la fuite aussi rapidement quand il est l'heure d'aller récupérer la commande à la porte de sa demeure. Quand il est de retour, il a forcément droit à une remarque de la part de Willow qui est forcément choquée par la quantité de nourriture avec laquelle il revient. Il lui lance un regard aussi noir que possible pour lui faire comprendre que sa "plaisanterie" ne l'amuse pas particulièrement. « Ecoute, je n'étais pas certain de ce que vous voudriez. On ne va pas en faire un drame. » Qu'il gronde un peu avant d'aller lancer le film avant que Jessie ne s'impatiente de trop. Après quoi, il retrouve sa place à côté de Willow. « Et alors ? Je ne suis pas certain que Jessie s'en plaigne. » Il ne sait pas du tout si l'achat de nourriture est un sujet pour elles ou non. Si c'est quelque chose qui provoque une certaine angoisse parfois, parce que les sous ne sont pas toujours là et pas forcément la bonne quantité pour vraiment se faire plaisir. « Ça va. Celui-là n’est pas si mal. » Qu’il admet en attrapant une boîte de nourriture. La réalité, c’est quand même qu’il n’a pas prêté attention à toute l’histoire qui se déroulait sous leurs yeux. Il était plus occupé à observer sa voisine. Celle qu’il évite à nouveau de trop regarder tandis qu’il daigne se remplir correctement l’estomac. Coup d’oeil en direction de Jessie qui semble passer un bon moment, entre la nourriture et le film qui a tout l’air de la captiver. « Tu vas t’en rappeler de ton anniversaire ou il faudrait en rajouter encore un peu ? » La réalité, c’est qu’il espère que ça suffira comme ça. Avec le dessert à la vanille comme promis, histoire de bien finir. Sans doute après le film, histoire de faire durer la soirée encore un petit peu. Parce qu’il va avoir du mal à l’admettre, mais il n’a pas hâte de les voir s’en aller. Le simple fait de penser à ce moment qui finira par arriver, suffit à provoquer un petit coup de nostalgie désagréable chez lui.
(1147 mots)
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
« En effet. Ce n’était pas prévu au programme, ça. » Tu évites bien de lui dire que ce n’est jamais au programme pour toi de t’humilier en prétendant être la star d’une comédie musicale pour laquelle tu peux chanter les paroles de toutes les chansons sans jamais être capable de tenir la moindre note. Ce n’est pas le genre de détails que tu partagerais d’emblée avec Alistair si ce n’était pas de ta petite sœur, mais tu la laisses parler et t’efforces de changer le sujet autant que possible, quitte à accepter de mettre un Disney tout en sachant que c’est loin d’entrer dans les préférences de l’écrivain. Il y a plusieurs choses comme ça qu’il vaut mieux que tu associes à un hasard ou une simple pensée gentille de la part d’Alistair, comme le set up complet ou le choix de menu qui est à ton goût. Les scènes du film se déroulent sans que tu ne sois en mesure de suivre l’histoire, malgré ton intention formelle de ne regarder nulle part ailleurs que sur l’écran du projecteur. Du moins, c’était le cas avant qu’un semblant de conversation ne débute entre Ali et toi, dans des murmures qui vous forcent à vous rapprocher l’un de l’autre pour bien vous entendre sans gâcher l’expérience cinématique pour ta petite sœur.
Quand il commente ton âge, tu ne résistes pas à l’idée de prétendre lui trouver des cheveux blancs, ce à quoi il répond aussi de yeux qui roulent, sachant pertinemment que tu dis n’importe quoi. « Je suis certain que tu as remarqué qu’il n’y en avait aucun. » La vérité c’est que tu as certainement passé une quantité de temps bien trop longue à mémoriser chaque trait de sa personne, particulièrement lors de cette soirée où il était ivre et qu’il t’avait offert un accès à lui que tu sais ne t’appartient plus, depuis le temps. Alors tu ne dis rien de plus, te contente de remettre un peu de distance entre vous et de l’ordre dans tes idées, bien que la tâche soit particulièrement complexe lorsque ses yeux se posent sur tes lèvres. Est-ce que les pensées de l’écrivain dérivent autant que les tiennes, ou bien est-ce seulement le fruit de ton imagination, de choses que la Willow d’il y a dix ans voudrait encore percevoir? « Elle ne doit pas savoir qu’il vient de moi. » Tu hausses doucement les épaules, un sourire incertain sur les lèvres. « Elle sait qu’il vient de toi, mais jusqu’à maintenant, elle ne gardait aucun souvenir de qui tu étais. » Et ce soir, cela allait changer et tu voulais croire qu’une relation entre Alistair et Jessie était quelque chose qui pourrait faire du bien autant à l’un qu’à l’autre, même si tu ne pouvais pas prétendre que tu ne craignais pas de le voir s’effacer de vos vies, laissant un nouveau vide dans l’univers de ta sœur. « J’ai toujours été doué pour les choix de doudou. » « Un de tes nombreux talents. » que tu commentes avec légèreté, avant de retourner ton semblant d’attention sur le film, sans chercher à remettre un peu de distance entre vous comme tu le devrais.
Quand le film se termine et qu’Alistair s’éclipse pour aller chercher le repas, tu ne peux camoufler le choc de le voir revenir avec autant de nourriture que tu es persuadée qu’il pourrait nourrir une dizaine de personnes supplémentaires à vous trois. Tu te surprends de voir son regard s’assombrir face à tes commentaires que tu ne pensais pas offensant, soudainement sur tes gardes. « Écoute, je n’étais pas certain de ce que vous voudriez. On ne va pas en faire un drame. » Sous le choc, tu ne dis rien de plus, heureuse de voir que ta sœur elle est déjà distraite par le deuxième film qui vient de commencer. « Et alors? Je ne suis pas certain que Jessie s’en plaigne. » « C’est pas ce que j’ai dit Ali, je suis juste… » Bouche bée. Sans mot. Peut-être légèrement mal à l’aise parce que tout ça, c’est beaucoup, bien plus que tout ce à quoi tu es habituée et tu n’es pas certaine de savoir quoi faire pour lui rendre la pareille, même si tu connais assez le Rivers pour savoir que ce n’est pas quelque chose qu’il attend de ta part. « Juste, merci. » Ce que tu voudrais lui dire vraiment, c’est que tu ne veux pas qu’il pense que Jessie et toi avez besoin d’une quelconque charité, ou qu’il doit se sentir obligé d’en faire autant, mais ce serait te répéter une fois encore et tu préfères éviter. Pour garder l’ambiance aussi douce et légère que possible. Parce que tu ne veux conserver que de bons souvenirs de ton entrée dans cette nouvelle décennie et aborder des sujets comme l’argent, de manière aussi subtile qu’au cours d’une facture de restaurant, ça ne fait pas partie des choses qui te font envie. « Ça va, celui-là n’est pas si mal. » « C’est l’absence de chansons, avoue? » que tu lui demandes, curieuse de savoir si cela fait vraiment une différence ou si les films d’animations sont seulement quelque chose qu’il préfère éviter de manière générale.
« Tu vas t’en rappeler de ton anniversaire ou il faudrait encore en rajouter un peu. » Tu finis ta première pointe de pizza, venant essuyer le coin de tes lèvres à l’aide d’une serviette avant d’offrir un regard curieux à l’écrivain qui s’est lui aussi servi dans la variété de nourriture. « Ça dépend, t’as d’autres surprises de prévues comme ça? » Non pas que tu aies besoin de quoique ce soit de supplémentaire pour faire de cet anniversaire un que tu n’oublierais pas de sitôt. « On m’aurait dit que j’aurais la chance de partager un autre de mes anniversaires avec toi un jour et j’y aurais pas cru. » que tu lui avoues d’une voix douce, presque un murmure, de cette manière que ta voix a de disparaître chaque fois que tu offres une vérité particulièrement vulnérable à l’écrivain. Tu relèves le regard vers l’écrivain, assis à peine quelques centimètres de toi, et dans un geste impulsif, tu viens poser tes lèvres sur sa joue. « Merci de m’avoir invité. Et d’avoir penser à inclure ma sœur. Ça lui fera de beaux souvenirs, à elle aussi. » Et ça, c’était presque plus précieux à tes yeux que tes propres souvenirs. Consciente que tu le regretterais peut-être plus tard, tu attrapes à ton tour un plat de pâtes, et viens te blottir non loin d’Alistair, à la recherche de sa chaleur et d’une proximité dont tu ne saurais plus te passer désormais, prête à prétendre t’intéresser aux angoisses qui se multiplient de la petite Riley.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Dernière édition par Willow Storm le Dim 24 Nov 2024 - 4:37, édité 1 fois
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Il en a beaucoup trop fait pour cet anniversaire et il en est de plus en plus conscient alors qu’ils sont maintenant tous les trois installés pour profiter d’une soirée films. Qui est en train de dériver vers d’autres choses, cependant. Parce que, aussi bas que possible pour ne pas déranger Jessie, ils discutent tous les deux. Les corps relativement proches l’un de l’autre pour être certains de bien s’entendre. Un peu plus encore quand elle s’amuse à perdre les doigts dans les cheveux châtains de l’homme. Il ne sait pas pourquoi il aime autant ce geste. Sans doute parce que c’est le genre de geste que personne d’autre n’a jamais eu à son égard. Parce que ça ne peut donc pas le ramener à sa défunte épouse. Même si, en l’occurrence, ce geste se joint à une petite provocation de sa part. Qui tombe relativement à plat, puisqu’il ne se sent pas concerné Alistair. Il n’a pas encore de cheveux blancs. Et la réalité, c’est qu’il ne sait même pas s’il aura le temps d’en avoir. Lui qui est toujours persuadé que sa vie s’achèvera relativement tôt. Pour lui permettre de rejoindre les êtres qui l’ont quitté bien trop tôt. Ce qu’il évite de verbaliser alors qu’il taquine Willow. Ça provoque ce pincement des lèvres qu’il regarde sans vraiment y penser. Il ne réalise pas ce que ce regard pourrait laisser entendre. Il ne pense même pas qu’elle le remarque. Alors que le sujet dérive en direction de Jessie et de ce doudou qu’elle semble encore posséder. Ça le touche plus qu’il ne saurait l’admettre, Alistair. Tout comme d’apprendre que Jessie sait qu’il vient de lui, ce fameux doudou. Quand bien même, elle ne gardait pas le moindre souvenir de lui. Il ne sait pas s’ils auront vraiment l’occasion d’en créer d’autres comme ce qu’ils font ce soir. Peut-être qu’il regrettera un peu de l’avoir invitée quand il sera tenté de disparaître de nouveau et qu’il prendra ainsi le risque de la décevoir. Parce que si Willow est assez mature pour encaisser une déception de ce genre, c’est une toute autre histoire pour Jessie, encore si jeune.
Il prend tout à fait conscience des répercussions que cela pourrait avoir sur elle et il ne l’avait pas vraiment anticipé. Willow aussi risque de le lui reprocher et de sacrément lui en vouloir s’il déçoit sa petite sœur. Parce qu’elle fait forcément tout son possible pour lui éviter tristesse et déceptions. « Mais n’imagine pas que je compte t’offrir un doudou ce soir. J’en ai assez fait, je trouve. » Qu’il rétorque, plus pour détendre l’atmosphère qu’autre chose. Pourtant, celle-ci est mise à mal par les commentaires de la blonde au sujet des surplus de nourriture qu’il a achetés. Il ne l’a pas fait en pensant au fait que ça leur permettrait d’avoir de quoi se nourrir durant les prochains jours. Il est sincère quand il commente sa crainte de ne pas savoir choisir pour elles en leur absence. Alors, très vite, il est sur la défensive quand elle insiste trop à son goût sur le sujet. « T’as pas besoin de me remercier autant. C’est une occasion particulière. » Et il espère qu’elle en restera là avec la surprise qui est encore peinte sur son visage. Qu’elle se contentera de profiter sans se poser trop de questions. Ce qu’elle semble bel et bien vouloir faire quand elle l’interroge au sujet des Disney. Elle semble avoir beaucoup de mal à digérer sa révélation au sujet de ces films d’animation dont il n’est vraiment pas fan. Pourtant, pas de quoi en faire un drame, là non plus. Il est peut-être trop adulte pour ça. Trop désabusé par la vie. Et ce n’est pas pour autant qu’il ne passe pas une agréable soirée, devant ce film d’animation qui est loin d’être aussi enfantin qu’il aurait pu l’imaginer et le craindre. Rien à voir avec certains autres qu’ils ont eu l’occasion de regarder par le passé et qu’il n’a vraiment pas apprécié. Il a les sourcils qui se lèvent quand Willow fait remarquer l’absence de chansons. « Tu sais quoi ? Je crois que ça y joue, oui. » Il n’avait pas forcément réalisé cette absence de musique, mais maintenant qu’elle le dit, oui. Et en effet, ça enlève une petite note de gêne qui peut se faire ressentir quand des personnages se mettent à chanter dans un contexte qui ne s’y prête absolument pas. Elle vient peut-être de mettre le doigt sur ce qui lui pose vraiment problème dans tout ça.
C’est donc devant le second film qu’ils sont à nouveau installés et qu’ils font honneur au repas, tous les trois. « Je sais pas ... Mais potentiellement, j’ai aussi prévu un cadeau. » Il balance ça comme si ce n’était pas une absolue certitude. Comme s’il n’y avait pas bel et bien un paquet cadeau qui l’attendait quelque part. Mais il attend qu’elle soit sur le départ pour le lui offrir. Ne serait-ce que parce qu’elle semble avoir un peu de mal à accepter tout ce qu’il a fait et préparé pour cette occasion. Il n’a pas envie de la voir encore une fois terriblement gênée et incapable de juste le remercier avec politesse. Il la regarde avec beaucoup de sérieux, quand elle souffle quelques mots qui touchent plus qu’il ne faudrait. Elle estime avoir "de la chance" de partager un nouvel anniversaire avec lui. Lui non plus, il ne pensait pas du tout que ça pourrait arriver de nouveau. Parce qu’il était tout à fait persuadé que c’était terminé et que jamais plus ils n’auraient l’occasion de se revoir tous les deux. « Je suis content d’être là pour celui là. » Parce que ce n’est pas n’importe lequel, par-dessus le marché. Il estime que le trentième est le plus joli et le plus important, Alistair. C’est le moment des grandes prises de décision et de la réalisation d’un paquet de rêves. Ce qu’il était bien décidé à faire avec celle qu’il avait déjà épousée à cet âge-là. La ferme intention de commencer à fonder cette famille qu’ils désiraient avoir ensemble. Le destin s’est chargé de foutre tout ce plan en l’air, désormais, et il est certain qu’il n’aura pas la force ni l’envie de recommencer. Alors que Willow pourrait avoir cette occasion et ce désir profond. Elle le mérite, sans l’ombre d’un doute. La douce Willow qui s’approche de lui pour déposer un baiser sur sa joue. Ça fait baisser les paupières et ça coupe le souffle à l’écrivain qui n’a pas vraiment le temps de réaliser, puis de réagir. Il prend. Simplement, il prend. Troublé, pour ne pas changer, par ce soudain rapprochement. « Je suis content qu’elle soit là. » Qu’il confit, le souffle un peu court. Le cœur emballé. Le regard qui dévie tant bien que mal en direction de l’écran. Mais il est terriblement conscient du corps féminin qui se rapproche un peu plus. Pas trop à son goût. Pas même quand leurs bras se frôlent dans chacun de leurs mouvements et que leurs châleurs se mélangent. Parce qu’il est obligé d’admettre, même pour lui-même, qu’il apprécie tout ça et n’a pas la moindre hâte que ça s’arrête. « Par contre, on parie combien qu’elle s’endort avant la fin du film ? » Il s’est approché davantage encore, pour souffler ces quelques mots. Poser cette question plutôt rhétorique. Parce que Jessie semble avoir suffisamment mangé et est de nouveau enroulée dans une couverture. Ali s’est surtout trouvé une nouvelle excuse pour être au plus près de Willow et de son parfum fruité.
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Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
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stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Il est impossible de partager un moment avec l’écrivain sans qu’un brin de nostalgie ne s’installe entre vous, dans le peu de distance qui reste tant vos corps semblent décidé pour vous qu’ils se doivent d’être en contact en tout temps, de tes doigts qui se mêlent dans ses cheveux, de vos bras qui se frôlent à la moindre occasion jusqu’à la couverture partagé entre vous deux, vos cuisses se trouvant collées l’une contre l’autre pour le reste du premier film sans qu’aucun de vous ne tente de bouger alors que vous échangez chuchotements et confidences sans déranger ta sœur qui est complètement emballée par le film. « Mais n’imagine pas que je compte t’offrir un doudou ce soir. J’en ai assez fait, je trouve. » Il en a déjà trop fait, mais tu évites bien de lui dire une énième fois, prétendant plutôt jouer d’une fausse déception parce que c’est bien plus facile de prétendre et tourner tout en humour que de lui témoigner l’intensité de ta reconnaissance face à cette soirée qui n’a rien de simplement improvisé. « Quelle dommage, c’est la seule chose que j’espérais vraiment. » que tu ironises, ton esprit s’imaginant déjà le cadeau qui aurait tout de ridicule pour quelqu’un de ton âge, mais qui te rappelle ce chandail que tu lui as volé, il y a une décennie de cela. Celui que tu as gardé, mais qui a depuis longtemps perdu son odeur.
Quand la nourriture arrive et s’étend sous vos yeux, tu ne peux t’empêcher de paniquer légèrement, une réaction qui ne s’explique pas très bien, mais que peut-être Alistair comprendra, parce qu’il sait, l’écrivain, la manière dont tu as grandi et les problèmes financiers qui persistent malgré tes bonnes intentions de vous en sortir, Jessie et toi. « Tu n’as pas besoin de me remercier autant. C’est une occasion particulière. » Une occasion qui ne l’aurait pas réellement été s’il n’avait pas fait point que ça en devienne une, mais rien ne sert de persister à lui rappeler. Vous êtes là, et l’important que c’est que tout le monde autour de toi semble en profiter et c’est vraiment ça qui compte le plus à tes yeux. « Tu sais quoi? Je crois que ça y joue, oui. » « Tu vas détester Hamilton. » que tu commentes avec un rire, comme s’il s’agissait d’une évidence qu’à un moment ou un autre, tu allais lui faire découvrir cette pièce musicale incroyable. Ce n’en est pas une pourtant, d’évidence, que l’occasion se présentera à nouveau, ni même qu’il acceptera à un moment ou un autre de se prêter au jeu, surtout pas après que ta sœur lui ait vanter l’absence de tout talent musical chez toi. « J’veux pas manquer ça. » qu’elle renchérit ta sœur d’ailleurs, vous rappelant que même si elle semble concentrée sur l’écran devant vous, elle semble tout de même attraper des bribes de votre conversation à l’envol, ce qui t’attache un rire. Évidemment qu’elle veut se moquer la gamine, et tu te demandes ce que ça lui fait à l’écrivain, d’entendre que ta sœur espère elle aussi le revoir bientôt.
Il te demande si cette journée est assez mémorable ou si tu as besoin de plus, toi qui partais déjà avec l’idée que ce ne serait qu’une journée comme une autre, un anniversaire sans artifice parce que c’est ainsi que tu les passes depuis plusieurs années maintenant, mais tu dois admettre être curieuse de vouloir savoir ce qu’il pourrait avoir préparé de plus après tout ça. « Je sais pas… Mais potentiellement, j’ai aussi prévu un cadeau. » Tu fronces légèrement les sourcils, intriguée par la tournure de phrase particulière de l’écrivain. « Potentiellement? Est-ce que je le reçois seulement si je suis sage ou un truc du genre? » Ou est-ce qu’il hésite à cause de tes réactions potentiellement considérées démesurées tant tu peines à comprendre pourquoi il se donne tant de mal pour toi? Tu ne peux pas lui en vouloir après tout, ça doit bien faire une dizaine de fois que tu le remercies depuis les fleurs de ce matin, mais tu n’as jamais l’impression que ce soit suffisant comparativement à tout ce qu’il est en train de t’offrir. Dans tous les cas, tu n’as pas besoin d’un cadeau supplémentaire. Tu n’avais besoin de rien à la base et là, ton cœur est rempli, de voir ta sœur si à l’aise et confortable dans cet environnement, le genre que tu rêves pouvoir lui offrir un jour. Rempli aussi d’avoir la chance de créer de nouveaux souvenirs avec l’écrivain, toi qui étais persuadée avoir mis un point final à toute histoire entre vous. « Je suis content d’être là pour celui là. » Est-ce que c’est seulement parce que c’est le trentième et il se doute qu’il ne sera pas là pour les suivants? Est-ce que c’est ridicule de ta part de croire, de vouloir plus fort que tout que ce soit possible qu’il fasse encore partie de ta vie à pareille date l’an prochain? Tu te demandes comment s’est déroulé son trentième anniversaire. Tu espères qu’il était entouré. Qu’il n’a jamais douté de l’amour qu’on lui portait, que ce soit cette journée, ou n’importe quelle autre de l’année. « Est-ce que tu me raconteras un jour, ce que t’as fait à tes trente ans? » que tu lui demandes, lui laissant complètement l’opportunité de le faire ou non, et de choisir le moment si l’envie lui vient, s’il se sent un jour capable de te partager de beaux moments impliquant sa femme, comme tu le lui avais suggéré la dernière fois. Tu ne sais pas si cette idée a fait du chemin dans sa tête, dans les derniers jours, ou s’il se refuse toujours complètement à cette dernière. Tu espères simplement qu’il ne verra pas ta demande comme une envie de le pousser trop vite, mais plutôt comme une simple curiosité d’en apprendre, petit peu par petit peu, sur tout ce que tu as pu manqué dans les neuf dernières années.
Comme le reste du temps, tu refuses de réfléchir trop longtemps au pourquoi du comment, quand tu viens naturellement posé tes lèvres sur la joue d’Alistair, étirant le contact au possible avant de reprendre ta place sur l’amas de coussins que tu as clamé comme étant tien. Quand tes yeux se reposent sur son visage, tu ne peux t’empêcher de te demander si ça lui fait à lui ne serait-ce qu’une parcelle de ce que ça te fait à toi, d’être si près? Si chaque contact entre vous, aussi innocent soit-il, laisse indéniablement une trace sur son être comme sur la tienne? Malgré ce qu’il dit, malgré cette insistante que tu ne te fasses pas d’idées. Ton cœur s’est emballé à cette simple marque d’affection, et aucun discours intérieur ne pourrait te convaincre que tu es toute seule à replonger dans de vieilles choses que tu te refuses pourtant de nommer. « Je suis content qu’elle soit là. » te rassure-t-il alors que vos regards se quittent en même temps pour se concentrer à la fois sur ta sœur et sur l’écran, l’attention se reportant sur le film qui joue, mais qui n’est réellement qu’un bruit de fond auquel tu ne comprends pas grand chose. Vous finissez de manger dans un silence complet, bien trop consciente de chaque mouvement qui met ton corps en contact avec celui de l’écrivain, et puis de ta sœur qui délaisse toute nourriture pour s’enrouler à nouveau dans les couvertures. Une dizaine de minutes, et puis une autre avant que la voix d’Alistair ne s’élève à nouveau entre vous, un énième rappel de sa présence frôlement près de toi, quand tu peux sentir son souffle près de ton oreille, sa voix un murmure dédié seulement pour toi. « Par contre, on parie combien qu’elle s’endort avant la fin du film? » La tête de ta sœur a trouvé un coussin, et tu peux voir ses yeux qui se font de plus en plus lourd malgré son entêtement à ne pas s’endormir si vite. « Je lui donne un autre 5 minutes, pas plus. » que tu enchéris, avant de tourner la tête vers Alistair et réaliser que son visage était encore bien plus proche du tien que tu ne le croyais. C’est un déjà-vu qui te prend de plein fouet, si similaire à cette scène dans sa salle de bain, quand tu étais persuadée qu’il allait t’embrasser avant de finalement terminer son chemin contre ton front. Tu ne bouges pas d’un pouce, incapable d’être celle qui prend une décision une fois encore, un simple « Hey. » s’échappant de tes lèvres, ton souffle pratiquement mêlé au sien. Un simple mot qui attire pourtant l’attention du chien, désormais délaissé des caresses de ta petite sœur qui oui, semble être sur le point de sombrer. Hey s’incruste entre Ali et toi, obligeant ton esprit à te rappeler la seule et unique règle qui règne entre vous. « Tu te sens délaissé, c’est ça? » que tu demandes au labrador dont la queue s’agite dès que tes doigts viennent gratter derrière ses oreilles et silencieusement, tu le remercies autant que tu lui en veux d’avoir interrompu le moment, sa finalité désormais éternellement incertaine. « Tu veux qu’on mette un film différent, maintenant que Jessie dort? » que tu lui proposes d’une voix soudainement trop réveillée, trop agitée, bien loin des murmures que vous avez échangé tout le long de la soirée. « Sauf si tu préfères pas commencer autre chose. Je comprendrais, on veut pas s’imposer non plus. » Même si la vérité, c’est que tu n’as pas la moindre envie de partir et de voir ta journée, cette journée si spéciale finalement tirer à sa fin.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Il aurait pu organiser n'importe quel type de soirée d'anniversaire, qui n'aurait pas permis le moindre rapprochement physique entre eux. Mais il n'est plus très fan des soirées trop animées. Il n'apprécie plus non plus le trop plein de gens et l'effervescence qui vient avec. Il n'ira pas jusqu'à dire qu'il préfère la solitude de sa maison ... Mais quand même un peu. La seule difficulté qui se présente à eux ce soir, c'est que son organisation provoque des rapprochements physiques qu'il n'avait pas vraiment anticipés et qu'il ne sait pas comment gérer. Parce que la présence de ses doigts dans ses cheveux un peu trop longs est bien trop agréable pour qu'il cherche à l'éviter. Au contraire, il ne bouge pas d'un pouce pour l'inciter à continuer et, de toute évidence, elle ne se fait pas prier. Parce que ce n'est pas la première fois depuis qu'ils se sont retrouvés qu'elle se permet ce genre de mouvement et que lui se laisse faire. Tout comme ils semblent tous les deux chercher un peu plus de contact, à chaque fois que leurs bras se frôlent sans qu'aucun des deux n'ait l'air de vouloir l'éviter. C'est même tout le contraire, car ça n'a l'air d'être un problème pour aucun. Des frôlements qui peuvent laisser penser que rien n'est vraiment prémédité de leur part. Ils peuvent poursuivre leur petite soirée sans commenter la chose et en continuant de faire mine de rien. « Vraiment navré d'avoir raté ton anniversaire alors. » Même les réponses d'Alistair sont soufflées d'une voix douce et chaude. Comme des confessions qui ne sont que pour elle et dans le fond, c'est bien le cas, puisqu'ils cherchent surtout à ne pas déranger Jessie qui est plongée dans le visionnage du film. Willow trouve quand même le moyen de gâcher un peu l'ambiance quand elle affiche une réaction un peu excessive à la vision de la quantité de nourriture un peu folle que l'écrivain a prévue. Il est très loin de comprendre ce qui la met dans cet état. Il n'a rien fait pour compenser un potentiel manque d'argent chez elle. Il ne s'est même pas vraiment posé la question, lui qui est à mille lieux d'évoluer encore dans ce genre de monde où l'argent peut parfois manquer. Il a connu ça, mais au milieu de la vingtaine, ce n'était plus du tout un sujet pour lui. Alors il ne se souciait pas particulièrement de la chose avant qu’elle n’ait cette réaction qui pourrait presque le blesser s’il était encore capable de ressentir la moindre peine ou déception supplémentaire à celles avec lesquelles il vit.
Heureusement, elle fait en sorte d'alléger de nouveau l'atmosphère en mentionnant un film que l'écrivain n'a pas vu pour la simple et bonne raison qu'il n'aime pas particulièrement les comédies musicales. À sa réponse amusée, il comprend qu'elle a bien l'intention de lui faire regarder ce film. À une autre occasion qui pourrait se présenter à eux. Et comme ça ne tient qu'à eux d'organiser ça, peut-être qu'ils feront en sorte que ça arrive bel et bien. Et que Jessie soit présente, puisqu'elle a l'air de le souhaiter. « J'ai l'impression que vous vous liguez contre moi. » Qu'il fait remarquer, non sans une pointe d'amusement dans la voix. Pas de quoi le vexer ou le forcer à se renfrogner. Le sujet est plus apaisé que le précédent qui commençait à devenir dangereux pour la bonne ambiance installée. Et la suite demeure toujours aussi calme. Il est question d'un cadeau d'anniversaire qu'il a en sa possession, mais semble encore hésiter à lui offrir. « C'est presque ça, en effet. Si tu arrêtes de me remercier toutes les trois minutes et d'exprimer le fait que tout ça ce soit trop, alors tu auras le droit de repartir avec. Dans le cas contraire ... » Il hausse les épaules. Pas besoin de terminer sa phrase pour qu'elle la devine. Dans le cas contraire, ce fameux cadeau restera sagement à sa place ici. Et potentiellement, il finira complètement oublié dans les cartons qui jonchent le sol du grenier. Mais il préférerait qu'elle reparte avec et ait de quoi ne jamais oublier ce trentième anniversaire qu'il a organisé pour elle. Parce qu'il ne se projette plus du tout Alistair et ne s'imagine donc pas un seul instant être encore présent l'année suivante pour faire en sorte qu'elle passe un nouveau joyeux anniversaire. Que ce soit présent dans sa vie ou présent, plus largement, dans cette vie. « Hm. Peut-être. Oui. Peut-être aussi que je te montrerai des photos. » Est-ce qu'il est réellement prêt à lui ouvrir aussi grande la fenêtre qui donnerait un aperçu grandiose sur ce qu'a été sa vie ces neuf dernières années ? Il n'est toujours sûr de rien, mais il a envie de croire qu'il sera capable de faire ça. S'ils trouvent encore l'occasion de se voir tous les deux. Avant qu'il ne se referme, pris de panique et qu'il ne fasse tout son possible pour disparaître aussi vite qu'il est revenu dans la vie de la blonde. Il n'est plus sûr de grand chose. Si ce n'est le plaisir qu'il prend à être en leur compagnie, à toutes les deux, ce soir.
Le silence retombe complètement entre eux quand ils se concentrent sur le repas autant que sur le film qui continue sa diffusion devant eux. Ils terminent de manger une portion raisonnable de nourriture, quand Alistair fait une remarque au sujet de la gamine qui ne va clairement pas tarder à s'endormir. Ce à quoi sa sœur aînée répond avec la même certitude que lui. Après sa réponse, elle tourne la tête dans la direction de l'homme. Qui se fige de la tête aux pieds et qui oublie de respirer durant de longues secondes. Il n'avait pas vraiment réalisé que leurs visages étaient aussi proches l'un de l'autre avant qu'elle ne tourne la tête dans sa direction. Il peut difficilement passer à côté de cette distance si restreinte que leurs souffles se rencontrent quand enfin il se rappelle qu'il doit respirer. Le bleu de leurs yeux se percutent tout aussi gravement. Avant que les siens ne glissent, par réflexe, en direction de ses lèvres. Rien qu'une seconde ou deux -mais des secondes de trop- il se demande si elles ont gardé leur douceur de l'époque. Si l'embrasser lui procurerait les mêmes choses que par le passé. Et heureusement, que le labrador brun apparaît à ce moment-là. Sans quoi, il est à peu près certain qu'il aurait fait la bêtise d'aller vérifier et qu'il aurait ainsi tout gâché. Parce qu'il aurait forcément regretté et pris la fuite pour de bon dans la foulée. Qu'il aurait tout fait pour que ce lien, en train de se construire, disparaisse plus fort que jamais et de manière définitive. Avec Hey entre eux, il tente d'effacer le trouble certain qui est de retour. Il n'est pas vraiment certain de comprendre ce qui vient de se passer. Si le "hey" était pour le ramener sur terre ou pour appeler l'animal qui prend maintenant toute la place et les éloigne l'un de l'autre. Alistair peut au moins détourner le regard. Les yeux sur l'écran à nouveau. Les joues sans doute un peu rouges. Les poumons qui manquent d'air. Le cœur un peu serré par la frustration et le millier de questions qui vont probablement le tourmenter pendant des journées entières. Il a les oreilles qui bourdonnent un peu et il en prend conscience quand la blonde prend la parole et l'interroge. Mettre un autre film ou mettre fin à la soirée ? La décision s'impose très rapidement dans son esprit. « Mettons un autre film. » Qu'il confirme sans la regarder. Ce n'est pas elle qu'il fuit. Plutôt la chaleur qui s'est logée au creux de son cœur quelques secondes plus tôt et qui pourrait finir par le faire paniquer s'il n'y prend pas garde. Il n'a pas le droit de ressentir ça. « Tu veux regarder quelque chose en particulier ? » Pitié, ni une comédie romantique qui serait forcément gênante, ni un drame qui pourrait gâcher la presque légèreté de cette soirée. Il la laisse donc choisir, avant de lancer le film. Et de venir retrouver sa place à côté de Hey. Ses doigts, à lui aussi, ne tardent pas à se perdre dans le pelage de l’animal qui semble sacrément heureux de recevoir autant d’attention. Ali, ça l'apaise toujours autant de l'avoir contre lui. Et, dans le fond, il lui est reconnaissant d'être arrivé à ce moment très précis.
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Chaque murmure échangé réchauffe ton cœur, rappelle à une époque révolue, ramène à deux jeunes gens que vous n’êtes plus. L’occasion soulignée le rappelle assez bien par elle-même. Tu as trente ans aujourd’hui. Plus les vingt que tu avais lorsque vos chemins se sont séparés. Et quelques commentaires de ta part te force à te souvenir que vous n’avez pas orbiter dans la vie de l’autre dans la dernière décennie et que ça paraît. Ce qui ne semble être pas grand chose pour l’écrivain est un geste qui te rendrait presque mal à l’aise, quand bien même tu le connais assez pour ne pas lui attribuer d’intentions hors le but de vous nourrir ce soir et s’assurer que Jessie ayez quelque chose qui vous plait. Le sujet est rapidement écarté, sans aucun doute pour le mieux, et ta tentative de distraction se veut de revenir sur les Disney, toi qui ne savais pas jusqu’à récemment que ces derniers n’avaient jamais été des favoris pour l’écrivain. Si l’aspect musical lui déplaît, il est évident qu’une comédie musicale ne tombera pas dans ses goûts non plus, mais tu es bien trop curieuse de voir sa réaction face à celle que tu préfères pour résister à l’idée de lui infliger à un moment ou un autre, une idée qui plaît tout autant à ta petite sœur qui enchaîne de son coin du jardin. « J’ai l’impression que vous vous liguez contre moi. » « C’est pas qu’une impression. » chantonne ta sœur, ce qui ne manque pas de te faire rire un peu plus fort. S’il y a bien une chose qui ne changera jamais, c’est que c’est Jessie et toi contre le reste du monde. Rien ni personne ne saurait se mettre en vous, et ce dès la première fois où une infirmière l’a mise dans tes bras, quelques heures seulement après sa naissance. Tu échanges un regard complice avec cette dernière, si fière de la jeune fille qu’elle est en train de devenir, plus forte et plus résiliante que quiconque et tu ne peux t’empêcher d’espérer qu’Alistair aura la chance d’apprendre à la connaître telle qu’elle est devenue, pour complimenter les images qu’il garde d’elle enfant.
« C’est presque ça, en effet. Si tu arrêtes de me remercier toutes les trois minutes et d’exprimer le fait que tout ça soit trop, alors tu auras le droit de repartir avec. Dans le cas contraire… » Tu lèves les mains dans les air, comme une personne qui s’empresse de plaider l’innocence. « C’est bon, j’ai compris, je dis plus rien. » que tu concèdes, non sans un sourire, parce que tu continues de penser qu’il exagère, mais plutôt que de le dire et redire, tu tentes de faire au mieux pour simplement en profiter parce que c’est l’intention première tout ça, et tu lui dois bien ça. Tu es curieuse de savoir ce qu’il peut bien t’avoir trouvé comme cadeau, mais tu n’es pas assez impatiente pour lui demander d’aller le chercher tout de suite, bien trop confortable perdue entre les coussins et les couvertures pour avoir envie de bouger de toute façon. Avec un peu de chance, peut-être que tu pourras être là pour le prochain anniversaire d’Ali, et avec un peu plus de chance encore, peut-être que dans un an, vous serez ici à nouveau, à créer un semblant de tradition entre deux simples amis. Oui, bien sûr, qu’elle chantonne ta raison, de moins en moins convaincue par ton plan de match. « Peut-être. Oui. Peut-être aussi que je te montrerai des photos. » « J’aimerais ça, oui. » que tu te contentes de spécifier, parce qu’il n’a pas fermé la porte complètement et c’est tout ce que tu peux demander. La chance de voir des photos de l’joke qu’il est devenu, la version heureuse avec la vie devant lui, son univers autour si grand et si précieux et si près de s’agrandir, sans que la chance ne lui soit offerte. Ça ne change pas le fait que tu veux entendre les histoires, les anecdotes, toutes ces choses qu’il a réalisé quand tu ne faisais plus partie de son quotidien. Tu veux tout connaître, ne serait-ce que pour te donner l’impression que tu n’as pas perdu tout ce temps sans lui.
Le temps se fige soudainement, quand un pari sur ta sœur se transforme en un rapprochement inattendu, comme si vous n’aviez pas réalisé ni l’un ni l’autre l’absence de distance persistant entre vous. Vos yeux se trouvent, s’accrochent, bleu contre bleu alors que vos lèvres sont si près que même sans se toucher, tu es persuadée que tu peux sentir encore la chaleur qui émane des siennes, que tu peux encore en retrouver le goût même après autant de temps. Prise dans le moment, tu suis ses yeux qui se posent sur tes lèvres, les tiens qui s’arrêtent sur les siennes dans une bulle hors du temps qui ne manquera pas d’éclater au moindre mouvement, à la moindre réaction. Et tu ne sais pas trop ce que tu penses faire quand tu souffles un simple Hey parce que ton esprit est vraiment très loin de se porter sur l’animal qui prend tout de même cela comme un appel à rompre le moment. C’est pour le mieux, tu le sais, même si ça ne t’empêche pas de ressentir un pincement au cœur de voir la distance s’installer à nouveau, pour prouver le contraire de ce qui semble pourtant être une évidence. Ce que vous aviez il y a dix ans, cette chimie, elle n’a pas disparu. Malgré le temps, malgré les circonstances et les changements chez l’un comme chez l’autre. Mais tu prétends que tout va bien, que rien ne vient de se produire, quand tu tournes ton attention sur le chien agissant désormais comme une barrière entre vous deux. Partir ou rester, c’est le choix que tu finis par lui offrir, bien trop consciente que si tu restes encore, la tension ne risque qu’augmenter et pourtant, tu n’as aucune envie de reprendre le chemin de chez toi sitôt, surtout pas maintenant que ta sœur s’est endormie paisiblement. « Mettons un autre film. » qu’il décide pour toi, et tu acceptes d’un léger sourire. « Tu veux regarder quelque chose en particulier? » « La première comédie que tu trouves sur Netflix? » que tu lui proposes, quelque chose de léger et de drôle pour venir à bout de ce qui bouille un peu trop vivement entre vous deux. Il est plus évident que vous ne tenez pas particulièrement à ce qui joue sur l’écran, mais plutôt au fait de poursuivre le moment sans laisser les doutes et les questions prendre trop de place.
Ali revient s’installer après avoir lancé un film dont le nom t’échappe avec Adam Sandler, et ses doigts viennent jouer dans le pelage de son chien, au même titre que les tiens, et pendant quelques instants, vous semblez être tous les deux minutieusement conscients des mouvements de l’autre, jusqu’à ce que Hey ne s’endorme entre vous à son tour, vos doigts se trouvant naturellement au milieu de ses poils. Cette fois-ci, tu n’oses pas un regard vers Ali, te contentant de la sensation agréable que provoque le contact, qui s’intensifie au point que bientôt, vos mains se sont liées loin de Hey qui ronfle doucement à vos pieds. Le soleil qui était encore présent à votre arrivée à désormais laisser sa place à la lune qui brille au-dessus de vos têtes, et le calme qui émane du jardin fini par avoir raison de toi aussi, suivi par les douces caresses procurées par les doigts de l’écrivain sur le dos de ta main. Sans même le réaliser, tu sombres dans un sommeil calme et apaisant, ta tête ayant trouvé le chemin des cuisses d’Ali au passage. Il t’est impossible de dire combien de temps s’est écoulé quand tu retrouves un semblant de conscience, refusant de bouger ou d’ouvrir les yeux tant tu es bien dans ce cocon nouveau où tu aurais bien envie de faire ton nid. « Quelle heure il est? » que tu demandes d’une voix endormie, le corps lourd d’un sommeil que tu n’as pas totalement envie de quitter.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Ce soir, il est facile d'oublier ce qu'ils ne sont plus supposés être l'un pour l'autre. Il n'ira pas jusqu'à prétendre non plus qu'il parvient à ne plus penser à sa triste réalité, mais il est obligé de reconnaître qu'il se laisse aller avec plaisir dans ces sensations folles que la soirée provoque chez eux / chez lui. Il n'ira pas jusqu'à dire qu'il a l'impression de retrouver la place qu'il occupait neuf ans plus tôt, non plus. Mais il pourrait presque s'y perdre. Même si les deux sont à se liguer contre lui. Comme le confirme Jessie, d'une remarque qui provoque le rire de sa sœur et le sourire chez lui. Ses yeux clairs glissent de l'une à l'autre, sans qu'il ne réponde quoi que ce soit. Parce qu'il n'y a probablement rien à y ajouter. Il se contente d'apprécier la complicité évidente qui s'est installée entre elles au fur et à mesure des années. De se dire que c'est beau à voir. D'être heureux que Jessie ait traversé tout ce qu'elle a eu à traverser, en présence d'une personne comme Willow. Une Jessie qu'il a l'espoir de pouvoir continuer à voir pour apprendre à la connaître un peu plus et découvrir par lui-même ce qu'elle est devenue. Il n'a pas le moindre doute quant au fait qu'elle soit une gamine tout à fait intéressante, intelligente et drôle. Peut-être même un peu plus que son aînée ne pouvait l'être quand ils se sont connus tous les deux. Parce qu'elles ne semblent pas avoir exactement le même vécu. Et c'est logique, Willow n'a pas eu l'occasion d'avoir une grande sœur pour la protéger de leur mère si imparfaite. Tout ce à quoi elle a eu droit, c'est la présence d'Alistair durant deux petites années à peine. Qui n'a pas eu, non plus, l'occasion de révolutionner toute sa vie. Seulement d'être un soutien indéfectible aussi longtemps qu'elle a permis à leur relation d'exister.
Les échanges entre eux restent étonnamment tendres et doux, une fois que les sujets épineux sont passés. Ils parlent à voix basse comme s'ils se confiaient l'un à l'autre. La réalité, c'est surtout qu'ils n'ont pas envie de gâcher le plaisir de Jessie qui est concentrée sur le programme en cours. Alistair semble disposé à ouvrir une fenêtre sur sa vie passée à Willow, lors d'une prochaine occasion. Sans doute pas ce soir, parce qu'il craint beaucoup trop de mettre le nez dans ses souvenirs. Il est à peu près certain que ça revient à prendre le risque de tout gâcher, à commencer par l'ambiance légère qui lui fait un bien fou. Parce que ce soir, tout lui semble presque facile. Presque normal. Elle confirme son envie d'en savoir plus et même de découvrir tout ça par des photos. Il ne répond pas. Il se contente d'un sourire et d'un hochement positif de la tête. De toute façon, il semble de plus en plus évident qu'ils auront à nouveau l'occasion de se revoir tous les deux. Pour vraiment préserver et faire durer cette relation amicale qui semble pouvoir s'installer entre eux. Plutôt que de se perdre de façon définitive. Une amitié, s'ils ne gâchent pas tout avec les tensions et l'attirance du passé qui semble pouvoir revenir à tout moment. C'est la réflexion qui s'impose à son esprit quand ils se retrouvent soudainement beaucoup trop proches l'un de l'autre, pour ne pas être conscients de l'air qui se charge en électricité. C'est une surprise pour lui qui pensait être intérieurement mort depuis près de deux ans. Qui ne pensait plus pouvoir ressentir la moindre émotion positive et délicieuse de ce genre. C'est pourtant bien le cas et il ne peut pas faire semblant de ne pas remarquer. Comme la chaleur qui grimpe dans le corps, les fourmillements dans les membres et toute l'attention qui est portée sur elle et qui se remémore la sensation de leurs baisers. De l'état dans lequel ça pouvait les mettre tous les deux quand ils se perdaient l'un contre l'autre.
Il ne peut que s'imaginer que c'est de façon très consciente qu'elle met à mal ce moment, Willow. Quand elle prend la parole et que le chien se glisse entre eux. Quand l'animal fout en l'air toute la tension qui était en train de s'installer. Elle doit être consciente que tout ça, ça ne peut pas se produire. Elle doit peut-être même penser que ce serait prendre le risque de faire fuir pour de bon l'écrivain. Pour l'heure, il se contente d'un "hm hm" pour toute réponse, quand il s'éloigne pour aller choisir un nouveau film. La première comédie qu'il trouve, donc. Ça n'a rien de bien compliqué, de trouver un programme qui devrait leur éviter de trop réfléchir. Le film lancé, Alistair retrouve sa place non loin de Willow, mais en évitant bien de la regarder. Dans la foulée, sa main se perd dans les poils bruns du chien qui se laisse faire avec un plaisir pour le moins évident. Pourtant, très vite, les deux personnes qui lui offrent un peu d'intérêt semblent concentrées sur autre chose. Aussitôt que leurs doigts commencent à se frôler. Sans qu'ils ne cherchent le regard de l'autre pour autant. Sans qu'ils ne s'éloignent l'un de l'autre, non plus. Finalement, leurs mains se rejoignent tout à fait. Entremêlées. Avec le pouce de l'auteur qui trouve le dos de sa main et qui caresse avec tendresse. Les regards toujours accrochés à l'écran. Faire comme si ce n'était pas en train de se produire. Comme s'ils ne faisaient rien de mal en trahissant leur décision d'être amis. En soi, ce n'est pas le geste le plus intime qui soit non plus, pas vrai ? C'est une autre histoire quand Willow commence à remuer et qu'elle échoue, la tête sur les cuisses de l'homme. Malgré tout, il laisse faire. Le regard un peu surpris qu'il pose sur elle et le corps qui reste immobile durant plusieurs secondes. Quand finalement il bouge, c'est pour se redresser et attraper la couverture qu'il ramène tout à fait sur son corps. Une fois réinstallé contre sa pile d'oreillers, il vérifie que Jessie est également bien couverte, à moins d'un mètre d'eux. Elle dort profondément et désormais, Willow semble faire de même. En tout cas, elle ne réagit pas quand il ose perdre une main dans ses cheveux. Geste tendre qu'il aimait à avoir quand elle s'endormait de la sorte alors qu'ils étaient installés devant un programme. Alors ses doigts se faufilent. Caressent et massent le cuir chevelu avec douceur, d'une main. L'autre reste sagement sur son épaule, mais son pouce caresse lentement la peau découverte. Contrairement à elle, il est incapable de s'endormir. En partie parce qu'il essaie à tout prix de ne pas le faire. Il n'a pas envie de perdre une seconde de cette scène qui se joue dans son jardin. Il n'est que trop conscient du vide qui risque de l'aspirer tout entier quand elles s'en iront. Alors quand elle remue et prend la parole, il a l'estomac qui se noue. « Il est encore tôt, t'en fais pas. » En témoigne le film qui n'est pas encore terminé. Il est fort probable que le générique de fin, quand il arrivera, marquera la fin de cette soirée hors du temps. Pour l'instant, Ali est incapable de se raisonner et de libérer le corps féminin qui repose ainsi à demi sur le sien. Il le faudra bien, si elle décide d'elle-même de s'éloigner.
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Dans un autre scénario, dans une autre vie peut-être, tes lèvres n’auraient pas hésité à venir trouver celles de l’écrivain. Si les circonstances étaient différentes. Si le cœur d’Alistair n’était pas encore en vrac à la suite du décès de sa femme. Si le tien n’était pas si fragile, malmené par des années de négligences et d’abus des personnes censées s’occuper de toi, celles qui étaient censées te protéger de tout et n’importe quoi. Dans une autre vie, à une autre époque, il n’y aurait pas de retenu face à cette tension qui ne fait qu’augmenter de seconde en seconde. Le rappel des corps suffirait à aller vérifier si c’est encore possible, si tes lèvres connaissent encore aussi bien les siennes, la manière dont elles répondent à tes mouvements, à cette danse lascive qui a rapidement su devenir ta préférée, dans un autre monde. Tu as beau être consciente de tout ce qui ne se peut pas, ça n’empêche pas les souvenirs de prendre toute la place, de te rappeler que c’est avec l’homme à quelques centimètres de toi à peine que tu as tout appris, que tu as tout découvert. De la première fois où tu as laissé tes doigts glisser entre les siens, jusqu’à la première rencontre de vos corps, dans cette intimité ultime. Tes joues s’enflamment, et puis la bulle éclate aussi vite qu’elle ne s’est installée entre vous, force à remettre plusieurs centimètres de sécurité entre vous, aidé par la présence du chien qui rempli le rôle de médiateur maintenant que ta petite sœur n’est plus consciente pour le faire. Les mots s’échangent avec moins d’aisance entre vous, et tu te demandes s’il est aussi troublé que toi, l’écrivain, par ce qui vient de se passer, ou par ce qui aurait pu se passer, si Hey n’était pas venu se glisser entre vous au moment même où il l’a fait.
Un troisième film est lancé, de quoi avoir bien profiter de ce cinéma improvisé, même si tu n’es pas certaine de pouvoir dire avoir porté une grande attention à aucun des films qui a joué sous vos yeux, malgré tes yeux qui suivent l’écran une fois encore comme si tu étais absorbée par l’histoire qui y prend place. Tu n’as aucune idée du sujet qui entoure la comédie choisie au hasard par Alistair, parce que bien vite, tes doigts retrouvent ceux de l’écrivain et chaque parcelle de ton être semble être concentrée sur les mouvements et les sensations que ce simple geste te procure. Ce n’est rien et ça ne veut rien dire, mais c’est tout à la fois, tant il y a longtemps que tu ne t’es pas permis une telle proximité avec qui que ce soit. Les caresses, aussi légères soient-elles, suffissent à calmer ton système en entier, au point que tu te laisses emporter par le sommeil, ton corps trouvant refuge là où il l’a si souvent fait par le passé : contre celui d’Alistair. Tu es quelque part entre la conscience et l’inconscience lorsque tu sens ses doigts qui viennent jouer dans tes cheveux, dans un geste qui suffit à te faire sombrer complètement, avec un sentiment de quiétude si grand que tu n’espère que rien ne viendra gâcher tout ça. Tu n’as d’ailleurs aucune conscience du temps qui a filé, volé par le sommeil quand tu bouges légèrement, pourtant si confortable emmitouflée dans une couverture, la tête contre les cuisses de l’écrivain. « Il est encore tôt, t’en fais pas. » Tu en doutes, mais tu n’as pas envie de bouger pour vérifier. Des voix et des rires se font entendre en bruit de fond, rappelant que votre film choisi n’est pas encore terminé. « C’est encore mon anniversaire? » que tu lui demandes, soudainement doutant de l’espace-temps qui existe autour de vous. Ses doigts sont encore dans tes cheveux, et tu échappes un léger soupir d’appréciation. « Veux pas bouger, suis bien. » que tu ajoutes, d’une voix toujours aussi endormie, l’esprit ramollie par le sommeil et l’ampleur des émotions que tu as pu ressentir dans les dernières heures. Tu tournes la tête, ton visage tourné d’abord vers l’écran désormais tourné vers l’écrivain, tes yeux toujours clos. « J’ai été assez sage pour recevoir mon cadeau? » que tu demandes finalement, un sourire étirant tes lèvres doucement alors que d’un mouvement qui se veut plus difficile que tu ne l’aurais cru possible, tu ouvres lentement les yeux, ayant besoin de quelques secondes pour que ta vue s’ajuste à la noirceur autour de vous. C’est drôlement soulageant, d’avoir le visage d’Alistair comme première vision dès que tu ouvres les yeux, dans un angle qui peut paraître peu flatteur, mais qui ne t’empêche pas de souffler « T’es beau. » avant que tu ne refermes les yeux, n’assumant qu’à moitié cette vérité qui t’a échappé.
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Alistair Rivers
la dérive de l'âme
ÂGE : 34 chapitres dont l’encre s'est mêlée aux larmes et à la poussière des souvenirs. SURNOM : Ali, surnom court, presque un souffle. STATUT : Veuf depuis ce jour où son monde s’est effondré. Il porte en lui les échos d’une famille qui n’a jamais eu la chance de vivre. MÉTIER : Écrivain de renom, il manie les mots comme un peintre les couleurs, mêlant ombre et lumière pour exprimer ce que d'autres taisent. Sa plume, pour seul rempart entre lui et le vide. LOGEMENT : #502 BAYSIDE. Dans une charmante maison à étage. Grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur l'étendue d'eau à ses pieds. Maison surtout trop grande pour lui tout seul désormais. POSTS : 348 POINTS : 870
TW IN RP : Deuil, accident de voiture mortel, perte d'épouse (enceinte) mélancolie, dépression, alcool ... TW IRL : Aucun si prévenue au préalable.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : BurlyWood. RPs EN COURS : # Elisa # Willow (fb1) # Greta # Min
# Willow (5) & SMS And I'd give up forever to touch you 'cause I know that you feel me somehow. You're the closest to heaven that I'll ever be and I don't want to go home right now. And all I can taste is this moment. And all I can breathe is your life 'cause sooner or later it's over. I just don't want to miss you tonight. RPs TERMINÉS : # Willow (4) # Willow (3) # ft Willow (2) # Willow (1)AVATAR : Brandon Sklenar CRÉDITS : starrynightavatars DC : Wesley Bishop, tatoueur d'âmes. PSEUDO : Crépuscule. INSCRIT LE : 09/11/2024
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Alistair sait très bien que tout ça ne devrait rester que dans son esprit pour ne pas prendre le risque de faire ou dire quoi que ce soit qui serait susceptible de créer l'effet inverse de ce qu'ils ressentent tous les deux. L'écrivain sait très bien qu'il ne peut pas prendre le moindre risque de faire trois pas en arrière et de foutre en l'air cette délicieuse entente qui est en train de se réinstaller entre eux. Parce que ça lui fait beaucoup plus de bien qu'il ne se sent capable de l'admettre. Tout autant le retour de Willow que celui de sa petite sœur. Un peu de légèreté dans sa vie qui en manque cruellement ne peut lui faire le moindre mal. Même s'il sait que ça ne lui évitera pas toutes les rechutes qui menacent d'arriver à tout moment. Probablement même que cette soirée sera le déclencheur d'une période de plusieurs jours durant laquelle il n'aura pas la force ni le courage de ressortir de son lit. Il tâche de se préparer à cette éventualité pour éviter d'être trop durement touché, si ça venait vraiment à se produire comme il se l'imagine. Il ne peut pas se permettre d'être secoué sans être préparé un minimum à cette éventualité. Pour l'instant, pourtant, il ne souhaite rien d'autre que profiter aussi fort que possible de la présence des deux filles chez lui. Avec une Willow qui ne tarde pas à échouer sur ses cuisses, plus ou moins endormie. En tout cas, elle donne l'impression de l'être alors qu'elle se laisse complètement aller sous les mains de l'homme qui entreprend d'innocentes caresses dans ses cheveux clairs répandus sur lui. Vraiment pas de quoi lui donner envie de la voir repartir tout de suite. Et pourtant, à la fois, il reste conscient de l’interdit de la situation. L’interdit vis-à-vis de ses propres promesses et plans.
Contrairement à elle, à aucun moment il ne s'endort. Le regard tantôt porté sur l'écran devant eux, tantôt sur son visage aux traits apaisés. Il ne veut pas perdre une seule petite seconde de cette soirée et il tient à être capable de se la remémorer quand ça n'ira pas. Ce qui arrivera forcément trop tôt à son goût. Peut-être même qu'ils se perdront à nouveau, plus tôt qu'il ne pourrait l'imaginer, tous les deux. Tous les trois. Parce que Jessie, en direction de qui il lance un nouveau bref coup d'œil, fait partie de l'équation. Un frisson longe l'échine de l'homme quand Willow revient à la réalité et s'inquiète de l'heure qu'il est. Il en a le palpitant qui s'affole. Il réalise qu'elles ne vont sans doute pas tarder à lever le camp. Coup d'œil à sa montre quand elle lui demande si c'est encore son anniversaire. « Oui. C'est encore ton anniversaire. » Qu'il se contente de lui confirmer en ramenant tout naturellement les yeux sur elle. Elle remue et se presse plus encore contre lui. Elle ressemble à un adorable chaton qui se roule en boule pour profiter pleinement de sa sieste. « T'as dormi. Tu pouvais difficilement faire autrement que d'être sage. » Ce n'est pas tout à fait la réponse à sa question, mais quand même un peu, et ça devrait faire l'affaire. Parce qu'il ne s'imagine pas ne pas lui offrir ce fameux cadeau qu'il est allé retrouver dans son grenier, la veille au soir. En se demandant s'il aurait réellement l'occasion de le lui offrir, ou non. Il ne l'aurait sans doute pas fait si elle n'était finalement pas venue passer la soirée chez lui. Parce qu’il n’aurait sans doute pas provoqué d’autre occasion de le lui faire, ce cadeau. Il aurait sans doute, au passage, perdu toute trace de courage pour aller au bout de son geste.
Il a de nouveau le cœur qui s'affole, quand elle lui souffle un compliment. Il ne sait pas comment le considérer. Il sait juste qu'ils ne devraient pas jouer à ce genre de petit jeu. Alors, avec tout de même un sourire qui se veut amusé au coin des lèvres, il pose une main en travers de ses yeux. « Arrête tes bêtises. T'as une sale vision de moi dans cette position. » Qu'il ne manque pas de lui faire remarquer, avant de quand même retirer sa paume de son visage. « Si tu veux ton cadeau, il faut que je puisse me lever. » Même si ça le frustre quelque peu, il attend qu'elle se soit déplacée et ait libéré ses cuisses de son crâne, pour pouvoir se lever. Ce qui lui demande quand même un peu d'effort, après le temps qu'il vient passer dans cette position sans bouger. Dans le mouvement, il réveille Hey. L'animal n'appréciant que moyennement d'être sorti de son sommeil, se lève et s'éloigne d'eux pour aller se perdre un peu plus loin dans l'obscurité du jardin. Pendant ce temps, Alistair rejoint l'intérieur de la maison. Direction son bureau, d'où il revient ensuite avec un cadeau recouvert de papier bleu. À l'intérieur, un carnet couleur marine, aux pages noircies par l'encre. Il le lui tend quand il retrouve sa place à côté d'elle, assis en tailleur. Il attend qu'elle l'ait ouvert et ait pris le temps de réaliser que c'est l'un de ces fameux carnets dans lesquels il ne manque jamais de prendre tout un tas de notes. Celui-là est particulier. « C'est celui qui m'a aidé à écrire mon troisième livre. » Le premier qui a connu un certain succès. « Ne le lis pas ici. » Précision qu'il ajoute en déposant sa main sur le carnet perdu entre ses doigts, avant qu'il ne lui prenne l'envie de le feuilleter. Il s'agit de l'un des nombreux carnets dans lesquels il a pris tout un tas de notes, tout au long de leur relation. Certaines phrases -un paquet de phrases- ne tournent qu'autour d'elle et de leur vie à deux / à trois. « Il sera mieux avec toi qu'enfermé dans une boîte dans mon grenier. »
Fade To Black
Life it seems, will fade away, drifting further every day. Getting lost within myself. Nothing matters no one else. I have lost the will to live. Simply nothing more to give. There is nothing more for me. Need the end to set me free.
Willow Storm
la tempête du cœur
ÂGE : trente ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. stormy, pour un fantôme de son passé qui prend de plus en plus de place. STATUT : célibataire, des sentiments du passé refont surface, tout en sachant parfaitement qu'elle ne peut pas se le permettre. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 788 POINTS : 880
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #6 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
I've got my money on things goin' badly. Got a history of stories ending sadly. Still hoping that the fire won't burn me, just one time. All I know is this could either break my heart or bring it back to life. Got a feelin' your electric touch could fill this ghost town up with life. And I want you now, wanna need you forever. I've been left in the rain, lost and pining. I'm tryin' hard not to look like I'm trying. 'Cause every time I tried hard for love, it fell apart. I've gotten used to no one callin' my phone. I've grown accustomed to sleepin' alone. Still, I know that all it takes is to get it right, just one time.
Jamais tu n’aurais pu t’imaginer en te rendant chez Alistair ce soir que tu finirais endormie sur ses cuisses. Pourtant, c’est bien la réalité dans laquelle tu sembles te réveiller, une réalité dans laquelle tu es confortable, en sécurité. Un sentiment qui t’échappe depuis si longtemps que tu voudrais tout simplement t’envelopper dans ce dernier pour ne jamais le perdre. Tu sais que ce n’est pas possible. Tu sais qu’il y a plusieurs des choses qui se sont produites ce soir qui n’auraient pas dû être, qui se devront de rester ici, dans ce moment bien précis. Dans ce jardin où chaque opportunité manquée se doit de ne pas être analysé en long et en large, où chaque geste qui vous rapproche l’un à l’autre est simplement ce qu’il est, un besoin de part et d’autre de retrouver quelque chose qui manque à vos vies, à des niveaux bien différents, ou peut-être plus similaires que vous ne le croyez, c’est dur à dire. Surtout quand tout s’efforce d’être fait dans un silence complet, où seules les mains parlent doucement, d’abord liées ensemble, et puis ses doigts dans tes cheveux, contre ton épaule, à créer un amas de frissons que tu nieras plus tard avoir ressenti, prisonnière quelque part entre la réalité et le sommeil. Tu sais qu’il serait irresponsable pour toi de t’endormir ici, même si l’idée de passer une autre nuit où ton corps est en contact constant avec celui d’Alistair en est une qui te charme plus que tu ne veux l’admettre. Alors même si Ali que te confirme qu’il n’est pas encore trop tard, tu sais que si tu te rendors, les chances que tu veuilles bouger d’ici deviendront minces, voire nulles et ça, c’est une très mauvaise idée. « Oui, c’est encore ton anniversaire. » Alors tu peux encore en profiter un petit peu. Parce qu’une fois que les douze coups de minuit auront sonné, que le vingt-six novembre laissera place au vingt-sept novembre, tout reprendra sa place normale et les lignes devront se redessiner autour de cette amitié sur laquelle vous vous êtes entendus. Mais comme c’est toujours ton anniversaire, tu juges avoir le droit de lui demander pour ce cadeau mentionné plus tôt. « T’as dormi. Tu pouvais difficilement faire autrement qu’être sage. » « Tu serais surpris. » que tu ajoutes avec un sourire amusé, comme si tu étais en mesure de comploter dans ton sommeil.
Tu aimes ce ton léger, le fait d’ouvrir les yeux et qu’il soit la première chose que tu vois. Le compliment s’échappe comme une autre de ces vérités qui ne peut exister qu’ici, ce soir. Et pour le simple fait de le voir sourire de la sorte, tu ne regrettes pas d’avoir les mots filer d’entre tes lèvres. « Arrête tes bêtises. T’as une sale vision de moi dans cette position. » Il pose une main sur tes yeux, et un rire t’échappe alors que ta main vient repousser la sienne, et si tu allais au bout de tes pensées impulsives, tu attraperais ses doigts pour venir y déposer un baiser. Mais tu ne vas pas jusque-là, parce qu’il faut savoir mettre la ligne dans le sable avant que les conséquences de tout ça ne soient trop grandes. « Si tu veux ton cadeau, il faut que je puisse me lever. » Tu grognes doucement, la simple idée de devoir bouger une réelle torture, mais la curiosité fini par l’emporter sur ton confort, et tu bouges enfin, laissant ainsi la chance à Alistair de se lever. Encore emmitouflée dans une couverture, tu t’assois, t’étirant au maximum avant de frotter le restant de sommeil qui te colle les yeux. L’écrivain ne met pas longtemps avant de revenir, s’installant de nouveau à tes côtés, t’offrant un paquet que tu devines être un livre, si tu te fis seulement à la forme. Tu te retiens bien de lui dire que tu possèdes déjà une copie (ou plusieurs) de ses livres, venant ouvrir délicatement le papier emballant le cadeau. Tu ne mets que quelques secondes à reconnaître le modèle des cahiers qu’Alistair a toujours l’habitude de tenir, ceux dans lesquels il inscrit chaque parcelle d’inspiration et d’idées qui lui passe par la tête. Tes doigts flattent doucement la couverture avant que tu ne relèves la tête vers Alistair, des questions pleins les yeux. « C’est celui qui m’a aidé à écrire mon troisième livre. » Tes lèvres s’ouvrent doucement, sans qu’aucun son n’en sortent, la surprise te rendant bouche bée une fois de plus. Tu le connais mieux que les autres, le livre dont il parle. Dont la dédicace t’est adressée. Et de savoir que tu tiens entre tes mains un accès direct à ses pensées, c’est précieux, mais surtout, drôlement troublant.
Tu vas pour l’ouvrir, mais Alistair t’en empêche, ses doigts s’arrêtant à son tour sur la couverture. « Ne le lis pas ici. » Ce qu’il veut dire vraiment, c’est qu’il ne veut pas que tu le lises devant lui. Et tu résistes à la tentation, de peine et de misère. Il n’a pas la moindre idée de ce qu’il vient de faire, Alistair. De ce que représente ce que tu tiens entre tes doigts. De l’effet que ça te fait. « Il sera mieux avec toi qu’enfermé dans une boîte dans mon grenier. » « Je vais en prendre soin. » C’est bien la seule chose que tu peux lui promettre. L’envie de découvrir ce qui noircit les pages te brûle les doigts, mais elle est accompagnée d’une inquiétude de ce que tu vas y trouver. « J’ai jamais eu la chance de te remercier, pour la dédicace. » que tu souffles doucement. « Et ce merci, j’ai le droit de le dire. Ça a rien à voir avec ce soir. » Ou du moins, ça n’avait rien à voir jusqu’à ce qu’il t’offre ce cahier, que tu vas chérir, éplucher, mémoriser sans aucun doute, toi qui as toujours été fascinée par la manière dont son esprit fonctionne. Pour tout remerciement, tu finis par passer tes bras autour de l’écrivain, dans une étreinte qui témoigne de toute la reconnaissance que tu lui portes, pour le cadeau, pour la soirée, pour tout le reste aussi. Tes bras autour de son cou, corps contre corps encore une fois, une dernière fois. « Will? » La voix de ta sœur est la dernière interruption, celle qui fait éclater une bonne fois pour toute la bulle autour de vous et tu défais de l’étreinte d’Ali pour finalement te lever et t’approcher de ta sœur. « Hey petite marmotte, tu t’es endormie pendant ton film. » Elle grogne à son tour, encore à moitié endormie, et tu viens passer une main dans ses cheveux, comme tu as l’habitude de le faire depuis qu’elle est toute petite. « On va rentrer, d’accord? » Elle hoche doucement la tête, et tu l’aides à se lever. Elle prend appui sur toi, la grande pré-ado, et tu n’as pas le moindre doute qu’elle va se rendormir dans la voiture avant même que tu n’aies démarré le moteur. « Merci Ali, c’était trop cool. » qu’elle lui dit en guise d’aurevoir, osant même lui faire une embrassade comme si elle le connaissait depuis toujours. « C’est pas moi qui la dit. » que tu mimes de tes lèvres vers Ali, un nouveau sourire amusé ornant tes lèvres. Le temps n’est pas assez long, du jardin jusqu’à l’entrée. Tu ne veux pas partir, mais c’est le moment. Alors tu offres un dernier regard à Ali, retiens un énième merci pour ne pas le faire grogner une fois de plus, te contentant d’un doux « Dors bien. », le cœur drôlement serré à l’idée de le laisser seul dans sa grande maison.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.