(da silvas #1) ♪ hay que volar, hay que encontrar su propio futuro
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1416 POINTS : 730
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son p’tit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#1 (fb) & #2 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
hay que volar, hay que encontrar su propio futuro crédits/ wintcrdvst & sophiexrph @Mando Da Silva11/2024 - domicile d’abuela
Il y a, dans cette maison, une odeur d’enfance qui lui donne l’impression de redevenir le bambin qui piquait dans la boite à gâteaux sitôt que les adultes avaient le dos tourné, l’affreux garnement que seule sa grand-mère parvenait à apprivoiser, par sa douceur sans frontière, par ses mots déformés par son accent prononcé, par sa peau qui commençait doucement à se rider, surtout aux coins des yeux, et par la façon tout à fait particulière qu’elle avait de le regarder. Ce que l’on garde en mémoire n’est pas toujours fidèle à la réalité, comme si l’imaginaire avait besoin de déformer, de remodeler, de reconstruire, pour préserver, pour faire perdurer les souvenirs qui ont vraiment compté, ceux qui ont façonné la personne que l’on est devenue. Mais entre ces murs, rien n’a véritablement changé ; il y a toujours cette affreuse horloge qui exulte de graves tic tac à chaque pulsation des aiguilles, ces tableaux typiques ramenés — ou exportés, Izan n’a jamais vraiment su — de leur pays d’origine, ces nappes blanches aux coins savamment brodés par des mains expertes, ces interminables tapis colorés qui se chevauchent parfois, surtout dans le salon, et cette odeur caractéristique des biscuits qui viennent tout juste d’être sortis du four, dont les effluves gourmandes flottent dans l’air en se mêlant aux vents d’encens que Abuela fait brûler à longueur de journée. ‘’On va s’installer dans le jardin ?’’ Elle a le sourire tout aussi généreux que sa cuisine, Abuela, et elle incite, d’un mouvement de la tête, les deux garnements à la suivre dans le jardin ; chez elle, il faut que ça fleurisse, partout, que ça fasse des bourgeons et des boutures, comme s’il lui fallait vivre entourer par des dizaines de variétés de fleurs colorées pour oublier que sa vie n’a pas toujours été aussi paisible… Mais l’est-elle encore quand elle invite ses deux petits-fils chez elle ?
’’C’est ma place.’’ qu’il fait remarquer en poussant Mando d’une tape dans le dos, s’installant alors sur la meilleure chaise disposée autour de la table tandis que la vieille dame dépose le plateau guindé de douceurs au centre de celle-ci, sans perdre le sourire qui est accroché à ses lèvres quelque peu flétries, mais qui sont encore tout à fait disposées à répandre baisers affectueux et mots réconfortants. ‘’Soyez gentils…’’ elle le souffle sans réelle autorité dans la voix, et elle ne voit pas que le plus jeune hausse ses sourcils en direction du plus âgé, simplement pour le narguer. Un instant, elle observe son parterre de fleurs d’un air songeur avant de s’asseoir à son tour, n’ayant guère besoin de donner l’autorisation à Izan pour qu’il se serve une part de gâteau au miel. ‘’Alors, Mando… Toujours pas de bonne nouvelle à m’annoncer ?’' Comme le soleil de cette fin d’après-midi l’importune un peu, Abuela passe la pointe de sa langue sur ses lèvres avant de plisser ses paupières, tournant ensuite son menton vers le policier, au même moment où Izan achève d’enfoncer le clou : ’’Oui, Mando, dis-nous si tu vas bientôt nous présenter quelqu’un.’’ il ricanerait s’il n’était pas en train de se goinfrer de gâteaux, le pianiste, mais il déchante considérablement quand sa grand-mère avance une main câline pour effleurer tout un pan de son visage, d’un geste maternel qu’il n’a que rarement connu. ‘’Tu peux parler, toi ! Que je ne te revois pas dans une voiture de sitôt, ni en pedo.’’ - ’’Je suis venu avec Mando.’’ qui a dû le rassurer durant tout le trajet pour qu’il ne fasse pas une crise d’angoisse, mais c’est une précision qu’il se garde bien d’énoncer devant sa grand-mère. ’’On peut revenir sur la vie amoureuse de Mandoline ?’’ le coin de ses lippes fermées se rehaussant en un sourire espiègle, il attend que son cousin veuille bien partager ses confidences avec eux.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.
:
Mando Da Silva
ÂGE : 39 ans et toutes ses dents (ce qui est un miracle vu qu'il passe pas une journée sans se prendre un coup.) (14 juillet 1985) SURNOM : Mandoline, mais pour le bien de votre intégrité physique il est fortement conseillé de ne pas l'utiliser. Mi vida et Mi Sol par sa grand mère ou pendejo (quand Abuelita est en colère ), Sinon c'est lieutenant Da Silva. STATUT : Autoproclamé Mozart des relations foireuses, il est célibataire – et c’est sans doute mieux pour l’humanité. Hommes comme femmes réalisent rapidement que rien n’est plus important pour Mando que sa grand-mère, son cousin, sa carrière, Yas et sa fille (La fille de Yas et un mister X pas lui...C'est pas le père de la fille de Yas... Comprendo ?) Alors, se faire une place dans tout ça... ce n’est pas une mince affaire. MÉTIER : Lieutenant de police - Souhaite postuler à la brigade anti-gang de Brisbane, mais ne veut pas laisser Yas au milieu des loups. LOGEMENT : Il vit dans une jolie petite maison avec sa grand-mère, au 503 Highland Terrace. Sa grand-mère occupe le rez-de-chaussée, tandis qu’il a entièrement rénové l’étage pour en faire son logement. Cela lui permet de veiller sur elle au quotidien. POSTS : 52 POINTS : 70
TW IN RP : Violence - Drogues - Gang (Il est policier, donc il est parfois impliqué dans des crimes et autres activités, mais je préviendrai.) TW IRL : Parlons-en.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Il a une peur bleue des clowns et parle couramment espagnol. Il rêve d’intégrer la brigade anti-gang et pratique la boxe pour se défouler. Passionné de mécanique, il possède une moto et une vieille voiture qu’il tente de retaper… sur son temps libre (c’est-à-dire, quasiment jamais). DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
The beauty and the beast. Yasmin #1 *
I don't have a brother, but if I had to have one, I would choose you Izan#1
Levi #1~ AVATAR : Manny Montana CRÉDITS : Okey Dokey DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson.) + Kipplin Belov (Matt Bomer) INSCRIT LE : 17/11/2024
hay que volar, hay que encontrar su propio futuro crédits/ wintcrdvst & sophiexrph @Izan Da Silva11/2024 - domicile d’abuela
Le policier tendit la main pour attraper le gâteau posé sur la table, mais la grand-mère, vive malgré son âge, lui donna une tape ferme sur les doigts. Une petite lueur malicieuse dans ses yeux trahissait sa vigilance. Il grogna, frottant sa main comme un enfant pris en faute.« Quoi ? Je voulais t’aider, » bougonna-t-il, son ton légèrement vexé. Abuela, imperturbable, attrapa le gâteau avec une aisance qui démentait ses années. Elle jeta un regard sévère, mais affectueux à son petit-fils, puis fit un mouvement du menton vers le pichet de limonade posé à côté. Ses bracelets tintèrent doucement lorsqu'elle désigna la carafe. « Toma la limonada, » ordonna-t-elle, son accent empreint de fermeté, mais aussi de chaleur.
Mando soupira bruyamment, levant les yeux au ciel comme s'il portait le poids du monde sur ses épaules. Mais il s'exécuta tout de même, attrapant le pichet froid. Un rayon de soleil glissa à travers la fenêtre, illuminant les petits éclats de citron flottant à la surface de la boisson. Suivant sa grand-mère dehors, il plissa les yeux pour s’adapter à la lumière aveuglante du patio. Le bruit discret d’un vent léger faisant frémir les feuilles du citronnier. Sur une petite table en fer forgé, un plateau de jeu de dam était installé à moitié. Abuela avait reçu la visite d’un voisin avec qui elle aimait jouer. Mando posa le pichet sur la table avec un geste un peu brusque, faisant cliqueter les verres posés à côté. Mais Abuela, fidèle à son calme habituel, ne fit aucun commentaire. Elle était bien trop concentrée sur son gâteau, qu’elle arrangea soigneusement au centre de la table. Ses gestes étaient précis, presque cérémonieux, comme si elle plaçait un trésor inestimable sur un piédestal.
Le plus vieux des cousins s’approcha, voulant s’asseoir sur une des chaises les plus proches, mais Izan, avec l’agilité d’un chat, se glissa derrière lui et lui donna une tape dans le dos, bien trop forte pour être innocente. « AIIIIE, EUUUUH ! » hurla l’aîné, exagérant sa douleur comme un enfant de cinq ans. Il se tourna vers Izan, le fusillant du regard. Mais Abuela, étrangement, semblait frappée d’un accès soudain de surdité. Elle continuait à ajuster la nappe comme si rien ne s'était passé, ses bracelets tintant doucement à chacun de ses mouvements. Le plus vieux cousin soupira bruyamment, mais aucun regard compatissant ne vint à son secours. Résigné, il alla s’installer sur une chaise en plastique branlante, la moins stable du lot. Il la fit grincer sous son poids, marmonnant à voix basse. « Dès qu’Izan est là, c’est lui qui a droit à tout, » grommela-t-il en croisant les bras, ses sourcils froncés de mécontentement.
Mando se versa un grand verre de limonade, la fraîcheur du liquide condensée en gouttes perlant le long du pichet. Il en prit une longue gorgée, savourant le goût sucré et acide qui venait calmer la chaleur étouffante. Mais à peine avait-il commencé à avaler que la question inattendue de sa grand-mère le prit de court. Surpris, il faillit tout recracher, la limonade lui remontant par le nez dans une toux brutale. Il tapa plusieurs fois sur sa poitrine, essayant de faire passer le liquide qui avait pris la mauvaise route. Mando, jeta un regard assassin à Izan, mais garda le silence. Il observa son cousin un instant, le genre de regard qui aurait fait plier bien des criminels en interrogatoire. Il a de la chance d’avoir récemment traversé une rupture difficile…. « Sinon… » Il laissa planer cette pensée en se concentrant sur sa respiration. Se tournant vers Abuela, il essuya un coin de sa bouche. « Tu veux que je te parle de quoi, Abuela ? Comme bonne nouvelle, j’entends ? »
Mais la grand-mère, imperturbable, n'avait pas l'air de vouloir le lâcher du regard. Pendant ce temps, Izan, qui riait de sa propre blague, continua de jouer les fauteurs de trouble. Il fut rapidement interrompu par un claquement sec : la main ferme d’Abuela s’était abattue sur la table. ‘’Tu peux parler, toi ! Que je ne te revois pas dans une voiture de sitôt, ni en pedo.’’ Mando, de son côté, se permit un petit rire en regardant Izan se faire réprimander. Il croqua tranquillement dans sa propre part de gâteau, appréciant ce moment de répit. Mais le calme fut de courte durée. Abuela se tourna brusquement vers lui, ses yeux plissés trahissant un mélange de reproche et de curiosité.
« Je t’ai entendu, hier soir, » commença-t-elle, son ton grave. « Tu avais emmené une de tes rameras avec toi. » Mando s’arrêta net, part de gâteau à mi-chemin de son assiette. Son sourire s’élargit doucement, presque imperceptiblement. Il prit son temps pour finir de mâcher, savourant chaque seconde avant de répondre. « Alors, d’abord, » dit-il en posant calmement sa fourchette. « C’était une femme tout à fait respectable, Abuela. » Il marqua une pause, levant un sourcil, comme s’il pesait ses mots pour en maximiser l’effet dramatique. Puis, avec un petit sourire en coin, il ajouta : « Et ensuite… sache qu’elles étaient deux. »
Un silence tomba sur la table, lourd et chargé de tension. Les yeux d’Abuela s’écarquillèrent, mêlant choc et une touche de dépit théâtral. Mando, imperturbable, croisa les bras et s’adossa à sa chaise, un petit sourire en coin trahissant son amusement. Il semblait attendre, presque impatient, de voir comment sa grand-mère allait réagir à sa déclaration. « ¡Hijo mío! » finit-elle par s’exclamer en levant les bras au ciel. « Tu finiras par me rendre folle ! ¿Cómo que dos ?! Je ne t’ai pas éduqué comme ça ! Que doit penser ton grand-père depuis là-haut ?! » Sans attendre de réponse, Abuela se mit à le frapper doucement sur les bras avec ses mains, des petits coups rapides et indignés. Mais son visage trahissait un mélange d’agacement et de malice. Mando, lui, éclata d’un rire franc, incapable de prendre la situation au sérieux. « Cálmate, Abuela, cálmate, » dit-il en levant les mains en signe de reddition, bien qu’un large sourire continuait d’éclairer son visage.
Elle s’arrêta un instant, posant ses mains sur ses hanches, ses sourcils froncés d’une manière qui avait fait trembler bien des petits-enfants avant lui. Mando, reprenant son souffle, reprit sur un ton plus calme, bien qu’encore amusé. « Si tu prenais l’habitude de fermer les portes correctement, ça ne serait pas arrivé. » Abuela plissa les yeux, visiblement prête à lui envoyer un autre sermon, mais Mando poursuivit rapidement. « Yasmine était dans mon lit. » Mando leva un doigt menaçant. Avant que Izan ou leur grand-mère puisent dire quoi que ce soit. « Y antes de que tú o el otro idiota ne disiez quoi que ce soit… Elle avait juste besoin de réconfort. Rien de plus. »
Abuela le regarda avec une méfiance manifeste, scrutant chaque détail de son visage, comme si elle cherchait le moindre signe de mensonge. Ses yeux plissés, son silence prolongé, tout dans son attitude trahissait sa réflexion intérieure. Après une longue pause, elle secoua finalement la tête, marmonnant dans un souffle : « Estos jóvenes de hoy. Pourtant, une lueur d’amusement brilla dans ses yeux, un éclat discret qu’elle s’efforça de dissimuler derrière son habituel air sévère. Elle eut cependant le bon sens de ne rien ajouter, préférant se tourner vers Izan. « Et toi, idiota ? » lança-t-elle d’un ton brusque, mais pas dénué de tendresse. « Tu vas mieux ? » Elle posa une main sur la table, ses doigts tapotant doucement le bois dans un geste pensif. Puis, d’une voix plus douce, presque inquiète, elle continua : « Tu sais, je m’inquiète pour toi tout seul là-bas… Tu pourrais venir vivre ici quelque temps. » Elle marqua une pause, attendant sa réaction, puis ajouta. « Tu sais, à cause de l’accident ? Il y a des chambres libres, et la maison ne manque pas d’espace. »
everything
Born to serve and protect
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1416 POINTS : 730
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents qui ont exploité ses talents lorsqu’il était enfant ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son p’tit préféréDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#1 (fb) & #2 ¤ call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me. we've got our wild love raging, raging, holding on the wind with you forever, holding onto us for worse or better, we've got our wild love raging, raging
IZEN#12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
hay que volar, hay que encontrar su propio futuro crédits/ wintcrdvst & sophiexrph @Mando Da Silva11/2024 - domicile d’abuela
Il y a le regard de Mando et le rire d’Abuela, leurs parfums qui se mêlent en une bulle réconfortante, ces présences dont il s’est longtemps tenu éloigné, puisque le mot « famille » ne lui évoque rien d’autre que des combats incessants, la haine qui s’est répandue comme un poison, l’absence, l’indifférence, des blessures interminables qui jalonnent les coulisses de sa peau comme le squelette tranchant d’une montagne. Il en faut, du temps, parfois, pour permettre à certaines personnes d’atteindre notre coeur ; des secondes, des minutes, des heures, voire des années, et puis la porte s’ouvre enfin, et l’on découvre que la montagne n’est pas aussi tranchante qu’il n’y paraît.
« AIIIIE, EUUUUH ! » théâtralisant l’autel de sa douleur, davantage que l’affront qui lui est porté, le plus âgé fulmine sous l’agression somme toute modeste et dérisoire qu’on vient de lui provoquer, une broutille sans nom dont Abuela ne relève même pas la gravité, si bien que le policier ne tarde pas à faire remarquer, d’une voix étouffée dans son mécontentement plaintif : « Dès qu’Izan est là, c’est lui qui a droit à tout, » de l’autre côté de la table, le prétendu privilégié fait danser ses sourcils sur son front d’un air narquois, sans que leur grand-mère ne relève la querelle qu’il propage, principalement parce qu’elle est bien trop habituée à leurs chamailleries pour y prêter encore attention aujourd’hui ; ses petits-fils ne passeront jamais le stade de la maturité puisqu’ils régressent dès qu’ils se retrouvent tous deux entre ces murs ‘’Il me reste des paletas, vous en voulez ?’’ extirpant ses poignets de dessous la table pour que l’une de ses mains s’avance déjà vers les assiettes garnies afin de les alléger de quelques biscuits, Izan décline d’un simple hochement du menton, désireux que sa grand-mère reste avec eux. L’occasion, pour cette dernière, d’entamer la partie de la conversation qu’elle maîtrise le mieux : l’interrogatoire. Heureusement, pour ce début de valse intrusive, c’est Mando sa cible, permettant à Izan de dévorer les gâteaux qu’elle a concocté avec amour, que même le regard noir de son cousin ne parvient pas à ternir « Sinon… Tu veux que je te parle de quoi, Abuela ? Comme bonne nouvelle, j’entends ? » - ’’Elle veut chavoir si t’as quelqu’un.’’ il a parlé la bouche pleine parce que l’occasion d’enfoncer le clou était trop belle, et sa grand-mère l’appuie en venant distraitement caresser son bras, puisque les yeux striés de quelques rides sont scotchés sur le policier. Il se croit à l’abri, Izan, persuadé que Abuela ne va pas changer de proie avant un long moment mais, le poing encore solide qu’elle abat sur la table lui fait même ralentir l’action de ses mâchoires, qui cessent de mâcher, et il tourne un regard surpris vers son aïeule ’’Yo no estaba conduciendo !’’ il le répète pour la dixième fois en ouvrant ses paumes sur la table, désireux de faire reconnaître que cet accident — le seul de toute sa vie, au passage — n’est absolument pas de son fait. Ce n’est quand même pas de sa faute si une voiture a foncé sur leur taxi au milieu de nulle part, si ? ’’Deja de reírte.’’ qu’il ordonne à son cousin en effectuant une singerie enfantine, qui arrache un petit rire soufflé à leur grand-mère.
Mais l’amusement paisible ne s’éternise pas puisque, très vite, la grand-mère reprend la ficelle qu’elle avait relâché ; à croire qu’elle tient tout particulièrement à casé le plus vieux des cousins avant de ne plus être capable d’assister à son mariage. ’’Je t’ai entendu, hier soir,’’ commence-t-elle à dire en suivant des yeux Izan qui, après s’être gavé de biscuits, s’emploie désormais à remplir son verre avec la limonade ’’Tu avais emmené une de tes rameras avec toi.’’ haussant ses sourcils si haut sur son front que ce dernier se retrouve brièvement recouvert de plis, Izan balaye un visage puis l’autre en prenant son verre dans sa paume, sans se douter que la suite est encore pire « Alors, d’abord, c’était une femme tout à fait respectable, Abuela. » il s’apprête à demander « comment elle s’appelle » mais il préfère approcher son verre de ses lèvres pour en boire une gorgée, sans totalement effacer le sourire amusé qu’il porte « Et ensuite… sache qu’elles étaient deux. » si Abuela est tant atterrée que le silence s’abat sur sa bouche comme une chape de plomb, Izan tourne son menton sur le côté pour recracher sa limonade sur les rosiers plantés juste à côté de lui, en ne sachant pas très bien si la brûlure éprouvée dans le milieu de son thorax est dû à l’acide du citron ou de la révélation ’’Qu’est-ce… Qu’est-ce que t’as dit ?’’ qu’il demande entre deux quintes de roux, sa grand-mère se levant de sa chaise pour venir tapoter dans son dos pendant qu’elle incrimine le plus âgé ’’¡Hijo mío! Tu finiras par me rendre folle ! ¿Cómo que dos ?! Je ne t’ai pas éduqué comme ça ! Que doit penser ton grand-père depuis là-haut ?!’’ ayant essuyé les contours de sa bouche pendant le laïus de sa grand-mère, Izan pousse l’assiette de gâteaux vers son cousin en parlant d’une voix basse mais joyeuse ’’Reprends des forces, vas-y.’’ il fait le gentil parce qu’il veut des informations croustillantes, bien sûr, si bien que la déception est grande quand il entend que « Yasmine était dans mon lit. Y antes de que tú o el otro idiota ne disiez quoi que ce soit… Elle avait juste besoin de réconfort. Rien de plus. » affichant une petite moue déconfite, Izan abaisse ses épaules de quelques degrés en sentant son intérêt retomber comme un soufflé ; dire que cette histoire commençait si bien ’’Et tu l’as réconforté comment ?’’ vu le regard noir que Abuela lui lance, il se reprend aussitôt ’’Enfin, je veux dire… C’est bien que tu sois là pour elle, l’amitié, tout ça, tout ça quoi…’’ un regard lancé en direction de sa grand-mère pour vérifier qu’il s’est bien rattrapé, Izan tord le coin de sa lèvre inférieure dans une grimace discrète, qui n’alarme point la vigilance de la vieille dame. De toute façon, avec ce que Mando vient de balancer, Izan est assuré d’avoir le beau rôle pour le reste de la journée — petit ange tombé du ciel qu’il est, n’est-ce pas.
Enfin, peut-être pas pour longtemps. ’’Et toi, idiota ?’’ comme il ne comprend pas tout de suite qu’on s’adresse à lui, Izan continue de siroter sa limonade en fouillant dans la montagne de biscuits pour dérober le dernier à l’avoine ’’Tu vas mieux ?’’ ses yeux effectuant un rapide ping-pong entre Mando et Abuela, il fronce légèrement les sourcils en répondant, sincère : ’’Bah oui, pourquoi ?’’j’ai une si mauvaise gueule que ça ?’’Tu sais, je m’inquiète pour toi tout seul là-bas… Tu pourrais venir vivre ici quelque temps.’’ il a envie de lui rappeler qu’il est un grand garçon qui va bientôt fêter ses trente-trois ans, mais il sait que pour sa grand-mère, il sera pour toujours et à jamais l’enfant dont elle se languissait et qu’elle n’a pas pu protéger comme elle l’aurait voulu ’’Tu sais, à cause de l’accident ? Il y a des chambres libres, et la maison ne manque pas d’espace.’’ passant la pointe de sa langue sur le coeur d ses lèvres au goût d’agrume, Izan repose calmement son verre avant de prendre délicatement la main d’Abuela entre les siennes, sa peau lisse rencontrant la surface plissée de son épiderme flétri par le temps, mais les années qui courent sur son visage n’ont rien terni de sa beauté, puisque celle-ci vient de son coeur. Ça l’émeut forcément, de constater que sa grand-mère se préoccupe encore de son sort au point de vouloir l’accueillir chez elle, et il aurait probablement accepté s’il n’était pas retenu par le prisme d’une loyauté qui, elle non plus, ne sera jamais abîmée ’’J’aimerais beaucoup, Abuela…’’ les contours du mais se dessine sur sa bouche, mais il craint tant de décevoir sa grand-mère qu’il hésite, un instant, à formuler ouvertement son refus ’’…Mais je ne peux pas m’éloigner de Jayden, pour l’instant. Il a besoin de moi.’’et j’ai besoin de lui il se met à caresser sa main avec son pouce, tout en partageant son regard entre Abuela et Mando ’’Il était là, à l’hôpital. Premier arrivé et dernier parti.’’ il le ferait aussi si la situation l’exigeait, mais il est évident qu’il préfère éviter les scénarios qui le pousseraient à retrouver son meilleur ami sur un lit, perfusé de tous les côtés après une nouvelle tentative ’’Mais je peux venir quand il est en tournage. Je suis sûr que Mando sera ravi de m’avoir dans les parages… Pas vrai cousin ?’’ tout sourire flânant aux lèvres, il tourne son menton vers son cousin en attendant de voir s’il va oser dire le fond de sa pensée ou non.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come. when you feel my heat look into my eyes, don't get too close, it's dark inside, it's where my demons hide.
:
Mando Da Silva
ÂGE : 39 ans et toutes ses dents (ce qui est un miracle vu qu'il passe pas une journée sans se prendre un coup.) (14 juillet 1985) SURNOM : Mandoline, mais pour le bien de votre intégrité physique il est fortement conseillé de ne pas l'utiliser. Mi vida et Mi Sol par sa grand mère ou pendejo (quand Abuelita est en colère ), Sinon c'est lieutenant Da Silva. STATUT : Autoproclamé Mozart des relations foireuses, il est célibataire – et c’est sans doute mieux pour l’humanité. Hommes comme femmes réalisent rapidement que rien n’est plus important pour Mando que sa grand-mère, son cousin, sa carrière, Yas et sa fille (La fille de Yas et un mister X pas lui...C'est pas le père de la fille de Yas... Comprendo ?) Alors, se faire une place dans tout ça... ce n’est pas une mince affaire. MÉTIER : Lieutenant de police - Souhaite postuler à la brigade anti-gang de Brisbane, mais ne veut pas laisser Yas au milieu des loups. LOGEMENT : Il vit dans une jolie petite maison avec sa grand-mère, au 503 Highland Terrace. Sa grand-mère occupe le rez-de-chaussée, tandis qu’il a entièrement rénové l’étage pour en faire son logement. Cela lui permet de veiller sur elle au quotidien. POSTS : 52 POINTS : 70
TW IN RP : Violence - Drogues - Gang (Il est policier, donc il est parfois impliqué dans des crimes et autres activités, mais je préviendrai.) TW IRL : Parlons-en.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Il a une peur bleue des clowns et parle couramment espagnol. Il rêve d’intégrer la brigade anti-gang et pratique la boxe pour se défouler. Passionné de mécanique, il possède une moto et une vieille voiture qu’il tente de retaper… sur son temps libre (c’est-à-dire, quasiment jamais). DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
The beauty and the beast. Yasmin #1 *
I don't have a brother, but if I had to have one, I would choose you Izan#1
Levi #1~ AVATAR : Manny Montana CRÉDITS : Okey Dokey DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson.) + Kipplin Belov (Matt Bomer) INSCRIT LE : 17/11/2024
hay que volar, hay que encontrar su propio futuro crédits/ wintcrdvst & sophiexrph @Izan Da Silva11/2024 - domicile d’abuela
Mando râle beaucoup. Il boude, souffle de mécontentement, et siffle souvent entre ses dents. Malgré son attitude maussade, il aime profondément Izan. Ils ne sont simplement pas du genre à l’exprimer en mots. Non, ils préfèrent se le montrer, maladroitement parfois, mais toujours avec sincérité. Une tape sur l’épaule, une phrase lancée à la volée, un gâteau laissé à moitié mangé pour l’autre : des gestes qui, pour eux, valent plus que n’importe quelle déclaration. Cependant, soyons clairs : la première personne qui oserait ne serait-ce que frôler un cheveu corbeau du pianiste se heurterait à un mur. Mando risquerait tout : son badge, son honneur, et même sa vie, pour défendre ou venger son cousin. Et Abuela ne serait sûrement pas loin derrière. Elle entrerait dans la mêlée avec une ferveur inébranlable et une détermination sans pareille. Mando, quant à lui, prierait silencieusement pour l’imbécile assez fou pour s’en prendre aux petits-enfants d’Abuela. Ce serait sa dernière erreur.
Pour l’heure, cependant, Mando n’avait pas de grands gestes héroïques à accomplir. Il devait bien avouer que là, tout de suite, il avait juste envie d’enfoncer la tête d’Izan dans les gâteaux posés sur la table. Qu’il s’étouffe avec, tiens. Alors que le pianiste, un léger rictus s’étirait sur ses lèvres et qu’il balançait. “Et tu l’as réconfortée comment, au juste ? Enfin, je veux dire… C’est bien que tu sois là pour elle, l’amitié, tout ça, tout ça quoi…” Heureusement pour Mando et un peu pour le nez d’Izan, Abuela, qui ne laisserait jamais l’esprit grivois du plus jeune des cousins entaché Yasmin qu’elle aimait comme sa petite-fille, était là pour calmer les esprits. De toute façon, tout le monde savait que Mando tenait trop à Yasmin pour tolérer la moindre insulte, même voilée, à son égard. “J’ai parlé avec elle. Et je lui ai fait un chocolat chaud. Parce que je suis un caballero…” Il avait dit cela d’un ton presque trop innocent pour être crédible, son sourire malicieux ajoutant une pointe d’espièglerie à ses paroles. Pourtant, quiconque le connaissait savait que sous cette légèreté apparente se cachait une loyauté féroce. Mando ne laisserait jamais rien arriver à Yasmin sans intervenir. Abuela, de son côté, observait les deux hommes avec son regard perçant. Parfois, elle haussait les sourcils en voyant Yasmin et Mando ensemble, essayant sans subtilité d’en apprendre plus sur les sentiments de son petit-fils. Mais Mando, maître de la dissimulation émotionnelle, ne laissait jamais rien paraître d’autre qu’une profonde amitié envers sa collègue.
Mando s’enfonça dans sa chaise branlante et pu enfin croquer dans un gâteau tout en avalant doucement une gorgée de limonade. Le sujet dériva naturellement. Lui laissant enfin du répit et se fût au tour d’Izan d’être sous le feu des projecteurs. “J’aimerais beaucoup, Abuela”, soupira Izan. “Mais je ne peux pas m’éloigner de Jayden, pour l’instant. Il a besoin de moi. Il était là, à l’hôpital. Premier arrivé, dernier parti.”
Abuela, touchée par la sincérité de ses paroles, attrapa les mains de son petit-fils, les serrant avec une tendresse implacable. “Oui, un jeune homme bien éduqué. Bien que… mal coiffé. Et beaucoup trop habillé comparé à la pub qu’on voit à la télé ! Mais il tient beaucoup à toi.” Mando fronça le nez, une expression mi-amusée, mi-agacée sur le visage. “Il n’a même pas voulu me donner son numéro.” Un claquement de langue sonore coupa court à sa remarque. Abuela n’aimait pas que son petit-fils parle comme ça. Elle se tourna alors vers Izan, un sourire bienveillant aux lèvres. “Tu seras le bienvenu autant que tu le voudras, Izan.”
Le policier hocha la tête en signe d’assentiment, un coin de sa bouche se soulevant en un sourire amusé. “Ouais, même si je suis sûr que tu es le coloc le plus chiant de la terre… Mais tu sais qu’il y a toujours une chambre prête pour toi, Hermano.” Mais cela n’empêcha quand même pas Mando de prendre le dernier gâteau chocolat et de vite l’engouffrer dans sa bouche.