ÂGE : 39 ans et toutes ses dents (ce qui est un miracle vu qu'il passe pas une journée sans se prendre un coup.) (14 juillet 1985) SURNOM : Mandoline, mais pour le bien de votre intégrité physique il est fortement conseillé de ne pas l'utiliser. Mi vida et Mi Sol par sa grand mère ou pendejo (quand Abuelita est en colère ), Sinon c'est lieutenant Da Silva. STATUT : Autoproclamé Mozart des relations foireuses, il est célibataire – et c’est sans doute mieux pour l’humanité. Hommes comme femmes réalisent rapidement que rien n’est plus important pour Mando que sa grand-mère, son cousin, sa carrière, Yas et sa fille (La fille de Yas et un mister X pas lui...C'est pas le père de la fille de Yas... Comprendo ?) Alors, se faire une place dans tout ça... ce n’est pas une mince affaire. MÉTIER : Lieutenant de police - Souhaite postuler à la brigade anti-gang de Brisbane, mais ne veut pas laisser Yas au milieu des loups. LOGEMENT : Il vit dans une jolie petite maison avec sa grand-mère, au 503 Highland Terrace. Sa grand-mère occupe le rez-de-chaussée, tandis qu’il a entièrement rénové l’étage pour en faire son logement. Cela lui permet de veiller sur elle au quotidien. POSTS : 85 POINTS : 0
TW IN RP : Violence - Drogues - Gang (Il est policier, donc il est parfois impliqué dans des crimes et autres activités, mais je préviendrai.) TW IRL : Parlons-en.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Il a une peur bleue des clowns et parle couramment espagnol. Il rêve d’intégrer la brigade anti-gang et pratique la boxe pour se défouler. Passionné de mécanique, il possède une moto et une vieille voiture qu’il tente de retaper… sur son temps libre (c’est-à-dire, quasiment jamais). DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
The beauty and the beast.
If I was dying on my knees
You would be the one to rescue me
And if you were drowned at sea
I'd give you my lungs so you could breathe Yasmin#1*
I don't have a brother, but if I had to have one, I would choose you
Oh brother, we'll go deeper than the ink
Beneath the skin of our tattoos
Though we don't share the same blood
You're my brother and I love you that's the truth Izan#1
La vie est précieuse. Nous devons la protéger, même si cela signifie risquer notre propre vie pour le faire. Alyson #1
Quand tu t'approches de moi
Ton parfum me fait baisser les yeux
Et si tu touches mes mains
Je m'arrange pour ne pas y penser Mary #1
« Joder de mierda ! » grogna Mando en se prenant violemment le coin du pied contre la table basse du salon. La douleur monta d’un coup, aigüe, électrique, l’obligeant à se pencher en avant tout en serrant les dents. Pourquoi avait-il eu cette idée stupide de ne pas allumer la lumière ? Ah oui… « C’est tellement plus romantique comme ça », qu’elle avait dit. Un sourire faux et coincé lui avait échappé à ce moment-là, mais à présent, tout ce qu’il ressentait, c’était une irritation sourde. Une vraie idée de meuf, ça. Romantique ? Sérieusement ? Il n’en avait rien à foutre de la romance. Ce n’était pas vraiment ça qui l’avait poussé à inviter cette femme chez lui ce soir, et elle le savait sûrement. Mais bon, il voulait bien jouer le jeu du mystère. Jusqu’à un certain point. Là, il tenait à sa foutue table et à ses orteils. Il était presque sûr que le boucan qu’il venait de faire avait réveillé tout la maison. Une angoisse lui serra la gorge, pas question que sa grand-mère débarque en peignoir et bigoudis pour demander ce qui se passait. Il resta immobile un instant, suspendu entre la douleur et la honte, écoutant le silence. Les murs ici étaient fins comme du papier à cigarette. Il y avait une chance que abuela ait entendue. Il imaginait déjà le bruit caractéristique de ses bracelets s’entrechoquant, qu’elle portrait même au lit au cas où la maison prenne feu. Au moins elle ne perdrait pas ses trésors.
Mando n’avait jamais regretté de vivre avec sa grand-mère. En fait, il se trouvait même chanceux. Ils avaient chacun leur espace, et après tout ce qu’elle avait fait pour lui – l’élever seule, le nourrir, le protéger des emmerdes du quartier – il lui devait bien ça. Une petite voix en lui murmurait que s’occuper d’elle était la moindre des choses. Mais il y avait des limites. Il n’avait pas envie que sa grand-mère débarque en plein plan cul. Il se redressa lentement, massant son pied endolori tout en jetant un coup d’œil vers la silhouette floue de la jeune femme dans l’obscurité. Ses cheveux bouclés se mêlaient à l’ombre, et dans le peu de lumière qui filtrait des volets à moitié fermés, ses yeux semblaient briller, amusés. « Tout va bien ? » demanda-t-elle, sa voix douce trahissant un sourire amusé. Mando grogna une réponse indistincte, plus concentré sur la douleur lancinante à son pied que sur la conversation. Sans un mot, il s’approcha d’elle, attrapant doucement ses hanches d’un geste sûr, presque instinctif. Elle le laissa faire, son regard brillant de curiosité dans l’obscurité. Il la guida dans le couloir, poussant doucement la porte de sa chambre du bout de l’épaule. Avec une certaine délicatesse, il la fit tomber en arrière sur le matelas. Tandis qu’elle riait doucement, Mando attrapa le bas de son tee-shirt, l’enleva d’un geste précis, dévoilant son torse bronzé. Mais il n’eut pas le temps d’aller plus loin. Le cri perçant de sa conquête du soir figea son geste. Une montée d’adrénaline s’empara de lui, éveillant son instinct. « QUOI ?! » aboya-t-il, les yeux écarquillés, cherchant dans l’ombre une menace invisible. Il bondit vers l’interrupteur et alluma la lumière, inondant la chambre d’un éclat jaune et cru. Il resta figé, son cerveau peinant à assembler les morceaux du tableau incongru qui se déroulait devant lui. Sur son lit, une silhouette familière était étendue, enroulée dans ses draps. Une ombre qu’il aurait reconnue n’importe où, même dans cette lumière blafarde. Yasmin. Elle n’était pas encore tout à fait éveillée. Ses longs cheveux noirs en bataille encadraient son visage marqué par un sommeil profond. Une de ses jambes dépassait des couvertures. Ses paupières papillonnèrent un instant, et elle se redressa légèrement, clignant des yeux pour s’adapter à la lumière.
Mando sentit sa bouche s’ouvrir, puis se refermer. Les mots semblaient s’étrangler dans sa gorge. « Yas ? » finit-il par lâcher, incrédule, en penchant légèrement la tête comme s’il n’arrivait pas à croire ce qu’il voyait. La femme qu’il avait invitée, toujours debout près du lit, le fixait, les bras croisés et le regard chargé d’une colère froide. Ses yeux passaient frénétiquement de Yasmin à Mando, puis de retour à Yasmin, comme si elle tentait de résoudre un puzzle. « C’est une blague ? » finit-elle par lâcher, sa voix tremblant sous l’indignation. « Tu as déjà quelqu’un ? » Elle désigna Yas d’un geste brusque, puis planta son regard dans celui de Mando, ses yeux flamboyants de colère. « Je suis pas chaude pour un plan à trois, hein. Pour une fois que je pensais avoir trouvé quelqu’un de bien… Mais même les flics sont tordus, apparemment ! » Mando ouvrit la bouche pour répondre, mais aucun son n’en sortit. Les mots lui échappaient, embrouillés dans le chaos de la situation. Il leva une main, comme pour calmer la tempête qui grondait devant lui, mais l’éclat furieux dans les yeux de sa conquête le réduisit au silence. Elle éclata d’un rire nerveux, presque incrédule. « Je n’y crois pas ! Tu sais quoi ? Je me casse. »
Mando la regarda se diriger vers la porte, son sac en main, ses talons martelant le sol comme un métronome de colère. Il n’essaya pas de la retenir. Il soupira simplement, l’air las. « Arrête de hurler, » lança-t-il d’une voix posée, sans même se tourner. « Et ne claque pas la porte en partant. Ma grand-mère vit à l’étage du dessous. » Elle s’arrêta une fraction de seconde, suffoquant presque d’indignation, avant de lui adresser une bordée d’insultes cinglantes. Il détourna les yeux vers le lit, où Yasmin commençait à émerger de son sommeil, les paupières encore mi-closes. Il s’approcha doucement et s’assit sur le bord du lit, son poids faisant grincer les vieux ressorts du matelas. En silence, la laissant sortir de sa torpeur.
" ohana " signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié.
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : écrire un nouveau chapitre de sa vie aux côtés d'helen n'était pas au programme, mais elle ne pourrait pas être plus heureuse de tomber un peu plus amoureuse d’elle chaque jour MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 166 POINTS : 800
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière, adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café (ne supporte même pas l’odeur) ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea ¤ accroc à l’adrénaline, casse-cou qui n’a pas peur de foncer dans le tas et ce, en dépit du danger ¤ a caché la paternité de leur fille, avec samuel, pendant deux ansDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
YASMEN #5 & sms ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMET#2 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
Les raisons sont parfois obscures. Pourquoi s’acharnent-ils sur elle de cette façon ? Pourquoi continuent-ils à prendre un tel malin plaisir à la torturer, l’incriminer, l’accabler et l’insulter alors qu’elle a été innocentée il y a déjà plusieurs années ? Qu’est-ce qu’ils ne comprennent pas, dans toute cette histoire ? Dans quelle langue doit-elle leur dire ? Par quel diable langage doit-elle leur faire comprendre qu’elle n’a jamais levé la main sur Derek, qu’elle l’a détesté, certes, mais jamais au point de souhaiter sa mort ? Qu’elle n’est coupable de rien sinon d’avoir perduré à ses côtés malgré ses frasques, ses tromperies, ses mensonges et ses mots blessants ? Elle n’a jamais été l’ogre diabolique hurlant à la mort sur sa victime, Yasmin. Mais elle est pourtant celle que l’on pourchasse, que l’on traque, que l’on accable et que l’on incrimine sans cesse, allant de la plus primitive insulte aux menaces qui, parfois, se matérialisent. Le plus souvent, elle laisse couler ; ce n’est pas si important, qu’elle se dit. Elle se raccroche à l’idée que sa hiérarchie la soutient, et que Mando est une raison suffisante de ne pas abandonner, de ne pas les laisser gagner. Mais ce soir, devant de nouvelles insultes taguées sur son casier, sous les rires moqueurs qui ont fusé quand elle est arrivée dans leur vestiaire, elle a fulminé de colère, incendiant les responsables de noms d’oiseaux peu glorieux, se jouant de leur virilité si facilement fragilisée, qui ne supporte aucune contrariété ; Josh, ne pouvant endurer un tel traitement de la part d’une femme, lui avait alors décroché une droite pour la remettre à sa place.
Mais elle est où, sa place ?
Il parait que lorsqu’on se noie, le plus facile est de se laisser couler jusqu’à atteindre le fond, et d’user de ses pieds pour remonter à la surface ; la surface, pour elle, c’est Mando. Il n’était pas là quand elle a usé de la clef qu’il lui a confié pour rentrer chez lui, et elle a été tentée de repartir, elle, son corps glacé, ses joues humides, sa peau rougie par l’empreinte d’une main puissante et ses yeux larmoyants, presque brûlants, et elle a songé à remballer le tout pour rentrer dans sa maison vide, en remerciant le ciel que Derya passe la nuit chez sa marraine mais, elle veut qu’il soit là, elle a besoin qu’il soit là. ’’Mando ?’’ elle a entendu sa voix trembler, mais aucun écho grave et rassurant ne lui a répondu alors, elle a refermé la porte derrière elle en reniflant discrètement, avant de rejoindre la chambre, presque, par automatisme.
Il n’est pas là, Mando, quand elle s’endort sur ses draps, le visage niché entre deux coussins et le corps partiellement recouvert par la couverture, mais il y a son odeur, présence olfactive qui trompe sa solitude, qui lui donne l’impression d’être avec lui, alors les frissons nerveux s’apaisent, les tremblements cessent et les battements de son coeur ralentissent, lui permettant de trouver une sérénité aussi illusoire qu’éphémère puisque, alors qu’elle souffle paisiblement dans son sommeil, un poids contre son corps immobile suivi d’un éclat de voix l’extirpent de ses songes, qu’elle avait sans couleur et sans bruit. ’’Qu’est-ce que…’’ son cerveau mettant quelques secondes à rétablir un schéma de pensée cohérent, elle se redresse d’abord sur son coude en balayant la chambre d’un regard circulaire, sans davantage comprendre ce qui se déroule sous ses yeux. La silhouette de Mando réanime quelque chose chez elle, et Yasmin se redresse alors d’un bond en appuyant ses genoux sur le lit, s’extirpant de la couverture pour dévoiler que, avant de se mettre au lit, elle lui a honteusement piqué un t-shirt qui est trop grand pour elle, qui englobe ses hanches tout en flottant sur le milieu de ses cuisses. « Je n’y crois pas ! Tu sais quoi ? Je me casse. » sa longue chevelure tombant de chaque côté de ses épaules, Yasmin porte son regard sur l’inconnue en fronçant légèrement ses sourcils, n’étant pas totalement insensible à la fureur dont elle est l’hôte. ’’C’est qui ?’’ demande-t-elle d’une toute petite voix en reportant ses yeux rougis sur le lieutenant, ses mains plongées dans l’amas de la couverture, formant une sorte de petite boule avec le bord de la couverture, juste pour chasser un peu de la nervosité qui lui incombe. « Arrête de hurler, et ne claque pas la porte en partant. Ma grand-mère vit à l’étage du dessous. » les insultes pleuvent sur le pauvre mexicain, et l’intruse pince ses lèvres d’un air désolé, en comprenant finalement ce qu’elle vient d’interrompre par sa seule présence, lui faisant déjà regretter de ne pas avoir plié bagages pour rentrer chez elle quand elle le pouvait encore. ’’Je suis désolée…’’ elle le souffle d’une voix enchevêtrée par l’émotion et, profitant de la proximité entre leurs deux corps, elle s’avance en tendant ses bras pour englober sa nuque, n’attendant guère davantage avant de venir se calfeutrer contre son torse, leurs côtes collées et son front appliqué contre sa gorge. ’’Je suis désolée…’’ resserrant instinctivement son étreinte autour de lui, Yasmin bascule ses jambes sur ses genoux afin de se blottir davantage contre son corps, sans encore lui dire pourquoi elle a échoué chez lui ; elle le sait, il serait capable d’aller retrouver Josh sur le champ mais, elle, tout ce qu’elle veut, c’est qu’il la serre dans ses bras afin qu’elle oublie tout le reste, même la marque rouge qui orne encore sa joue.
look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks & your stones, throw your bombs & your blows but you're not gonna break my soul.
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Mando Da Silva
l'ombre et la lumière
ÂGE : 39 ans et toutes ses dents (ce qui est un miracle vu qu'il passe pas une journée sans se prendre un coup.) (14 juillet 1985) SURNOM : Mandoline, mais pour le bien de votre intégrité physique il est fortement conseillé de ne pas l'utiliser. Mi vida et Mi Sol par sa grand mère ou pendejo (quand Abuelita est en colère ), Sinon c'est lieutenant Da Silva. STATUT : Autoproclamé Mozart des relations foireuses, il est célibataire – et c’est sans doute mieux pour l’humanité. Hommes comme femmes réalisent rapidement que rien n’est plus important pour Mando que sa grand-mère, son cousin, sa carrière, Yas et sa fille (La fille de Yas et un mister X pas lui...C'est pas le père de la fille de Yas... Comprendo ?) Alors, se faire une place dans tout ça... ce n’est pas une mince affaire. MÉTIER : Lieutenant de police - Souhaite postuler à la brigade anti-gang de Brisbane, mais ne veut pas laisser Yas au milieu des loups. LOGEMENT : Il vit dans une jolie petite maison avec sa grand-mère, au 503 Highland Terrace. Sa grand-mère occupe le rez-de-chaussée, tandis qu’il a entièrement rénové l’étage pour en faire son logement. Cela lui permet de veiller sur elle au quotidien. POSTS : 85 POINTS : 0
TW IN RP : Violence - Drogues - Gang (Il est policier, donc il est parfois impliqué dans des crimes et autres activités, mais je préviendrai.) TW IRL : Parlons-en.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Il a une peur bleue des clowns et parle couramment espagnol. Il rêve d’intégrer la brigade anti-gang et pratique la boxe pour se défouler. Passionné de mécanique, il possède une moto et une vieille voiture qu’il tente de retaper… sur son temps libre (c’est-à-dire, quasiment jamais). DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
The beauty and the beast.
If I was dying on my knees
You would be the one to rescue me
And if you were drowned at sea
I'd give you my lungs so you could breathe Yasmin#1*
I don't have a brother, but if I had to have one, I would choose you
Oh brother, we'll go deeper than the ink
Beneath the skin of our tattoos
Though we don't share the same blood
You're my brother and I love you that's the truth Izan#1
La vie est précieuse. Nous devons la protéger, même si cela signifie risquer notre propre vie pour le faire. Alyson #1
Quand tu t'approches de moi
Ton parfum me fait baisser les yeux
Et si tu touches mes mains
Je m'arrange pour ne pas y penser Mary #1
« No te disculpes querida. » murmura Mando d'une voix basse et apaisante, laissant ses doigts glisser avec douceur dans la cascade brune des cheveux de Yasmin. Les mèches, soyeuses et parfumées d’une odeur délicate de jasmin, s’enroulaient autour de ses phalanges tandis qu’elle se laissait aller contre lui, trouvant refuge dans la chaleur solide de sa présence. Il posa une main ferme mais tendre sur l’arrière de sa tête, malaxant doucement la base de son crâne comme pour délier les nœuds d’une tension invisible. Son souffle, chaud et régulier, caressait l’arc délicat de son oreille lorsqu’il laissa échapper quelques mots murmurés en espagnol, des phrases entrecoupées de soupirs rassurants. Ses paroles roulaient comme une berceuse, leurs intonations réconfortantes s’imbriquant dans le chaos de ses pensées troublées. Yasmin trembla légèrement, luttant contre les éclats persistants d’émotions incontrôlées. Il sentit cette fragilité dans le relâchement de son corps contre le sien, une sorte de capitulation silencieuse. Pour l’instant, il n’était pas nécessaire de comprendre l’origine de sa détresse ni les raisons de sa présence soudaine. Le poids de son désarroi suffisait à tout expliquer. Ce qui comptait, c’était qu’elle retrouve un peu de calme, qu’elle reprenne son souffle. Plus tard viendraient les mots, les explications. Mais pour l’instant, tout ce qu’elle avait besoin d’entendre, c’était sa voix apaisante et tout ce qu’elle avait besoin de sentir, c’était la solidité de ses bras autour d’elle. Il resta immobile dans cette position, un pilier silencieux, jusqu’à ce qu’il sente les tremblements de Yasmin s’apaiser peu à peu contre lui. Ses doigts ne cessèrent pas leurs caresses, dessinant des cercles lents et rassurants sur son cuir chevelu, effleurant parfois la douceur de ses mèches. Peut-être y trouvait-il une excuse, un prétexte pour prolonger cet instant de proximité inhabituelle avec sa collègue. Une chaleur diffuse l’envahissait, mêlée à une certaine culpabilité de profiter d’un moment qui n’appartenait pas vraiment à lui. « Tu te sens mieux, peque ? » murmura-t-il doucement, sa voix grave effleurant presque un chuchotement, teintée d’une inquiétude sincère.
Il inclina légèrement la tête pour reculer juste assez, brisant à contrecœur l’étreinte pour l’observer. Ses yeux parcoururent rapidement son visage, qu’il n’avait qu’à peine vu jusqu’alors. C’est alors qu’un détail attira son attention : une tache rouge, discrète mais vive, marquait sa joue pâle. Son cœur se serra imperceptiblement, une vague de colère monta en lui avant même de savoir ce qui s’était passé. Avec une précaution infinie, comme s’il craignait de l’effrayer ou de la blesser davantage, il leva la main. Son index effleura une mèche sombre, qu’il écarta avec douceur, révélant un peu plus le visage fatigué de son amie. Ses yeux sombres, embués d’émotions contenues, vinrent chercher les siens, comme pour y trouver des réponses. « Qui ? » demanda-t-il enfin, sa voix basse, tendue, mais maîtrisée. Une fausse sérénité qui masquait mal la tempête grondante sous la surface. Le pourquoi, il pouvait l’imaginer sans effort. Yasmin n’avait jamais manqué de lui raconter, par fragments ou en sourires résignés, les humiliations et les remarques acides qu’elle subissait. Mais le qui, c’était différent. Ils étaient nombreux à s’acharner sur elle, chacun à sa manière, et une vague de culpabilité l’assaillait alors qu’il se rappelait sa décision de prendre cette soirée pour lui. Il inspira profondément, luttant pour garder son calme, mais son regard sombre ne quittait pas le sien, comme s’il voulait y lire une réponse avant qu’elle n’ait besoin de parler. Sa main glissa instinctivement sur son épaule, un geste protecteur, tandis qu’il poursuivait . « Je ne te laisse plus seule. Je vais demander à changer mon emploi du temps. Peu importe les heures ou les jours. Peu importe ce que ça coûte. Mais d’abord... tu me dis qui. »
Il recula à peine, juste assez pour croiser son regard et y planter le sien, une promesse silencieuse. Une promesse de justice. De revanche, peut-être. Ses doigts tremblèrent légèrement lorsqu’il les serra en un poing, comme s’il s’efforçait de retenir la rage montante. Mando n’était pas un homme impulsif. Il pesait ses mots, ses actes. Mais là, alors que son imagination peignait les scènes possibles de ce qui avait pu se passer, tout ce qu’il voulait, c’était un nom. Un nom qui deviendrait, ce soir même, le problème d’un Mexicain furieux et déterminé. « Dis-le-moi, peque. » Sa voix, grave et douce, se fit plus basse encore, comme une prière ou un ordre murmurés. « Qui ? »
" ohana " signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié.
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : écrire un nouveau chapitre de sa vie aux côtés d'helen n'était pas au programme, mais elle ne pourrait pas être plus heureuse de tomber un peu plus amoureuse d’elle chaque jour MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 166 POINTS : 800
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière, adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café (ne supporte même pas l’odeur) ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea ¤ accroc à l’adrénaline, casse-cou qui n’a pas peur de foncer dans le tas et ce, en dépit du danger ¤ a caché la paternité de leur fille, avec samuel, pendant deux ansDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
YASMEN #5 & sms ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMET#2 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
« No te disculpes querida. » elle aime quand il lui parle dans sa langue maternelle, puisque sa voix grave baisse naturellement d’une octave et qu’elle roule comme une caresse sur sa peau, si bien qu’elle se laisse câliner par son timbre en fermant les yeux, ses bras enroulés autour de sa nuque comme s’il était la dernière attache qu’il lui restait avant de sombrer — et c’est peut-être le cas, en un sens, raison pour laquelle ses pas l’ont conduite jusqu’ici après le chaos. Elle l’écoute, cette berceuse de paroles suaves qu’elle ne comprend pas toujours, mais elle s’en fiche pas mal de deviner les mots qui se cachent derrière ces syllabes roulantes, puisque son coeur s’apaise quand même à leur contact et que, peu à peu, sous ses doigts qui filent dans ses cheveux, sous son odeur masculine qui vient effleurer ses narines et sous le contact de sa peau contre la sienne, la lieutenant retrouve peu à peu son calme, grâce à lui, uniquement grâce à lui. « Tu te sens mieux, peque ? » est-ce qu’elle se sent mieux ? Elle est bien consciente à l’intérieur de son propre corps, lucide sur les émotions qui traversent le paysage derrière sa peau mais, sur l’instant, Yasmin n’est pas capable de livrer une réponse probante, et il lui faut quelques secondes pour faire une analyse de ses ressentis : elle n’a plus cette boule d’angoisse qui lui strie la gorge et elle remarque que sa respiration est plus sereine à présent mais, le temps qu’elle se formule toutes ces idées, pendant que son regard s’éparpille sur leurs corps enlacés, il reprend la parole d’un ton plus nerveux, sans qu’elle ne comprenne tout de suite pourquoi « Qui ? » incongrue, elle lève des yeux hagards sur le visage de Mando, ses billes sondant un oeil puis l’autre tandis qu’elle fronce progressivement les sourcils, incapable de faire le rapprochement entre l’éraflure sur sa joue et la colère silencieuse qui commence à parcourir ses veines ’’De quoi tu parles ?’’ qu’elle lui demande dans un souffle désarticulé, sa voix semblant épuisée par les enchevêtrements d’émotions qui s’étalent dans son coeur, et qui l’obligent à refermer brièvement les yeux pour que l’une de ses mains vienne frotter ses paupières, devenues lourdes malgré ces quelques heures de sommeil volées.
Mais en ouvrant de nouveau les yeux, Yasmin voit bien que les traits du Da Silva ont prit une teinte orageuse, le connaissant suffisamment pour deviner que, sous le couvercle qu’il applique à son expression, le tonnerre gronde au loin. Elle glisse alors l’une de ses paumes tièdes sur sa joue, happant son regard du sien en espérant que l’attention qu’elle lui réclame soit suffisante pour le détourner de sa colère, dont elle sait être le porte-drapeau ; elle ne veut pas, Yasmin, qu’il soit mêlé à toutes ces histoires, désireuse de le protéger et de l’épargner des mauvais traitements qu’elle endure, c’est pourquoi elle n’avait pas prévu de faire l’étalage de confidences sur ceux subis ce soir. Mais il a deviné, pas vrai ? « Je ne te laisse plus seule. Je vais demander à changer mon emploi du temps. Peu importe les heures ou les jours. Peu importe ce que ça coûte. Mais d’abord... tu me dis qui. » - ’’Personne.’’ elle déteste lui mentir mais elle ne pense pas avoir le choix, redoutant ce qu’un face-à-face entre Mando et Josh donnerait. À cette idée angoissante, elle resserre inconsciemment son bras autour du mexicain, son pouce se mettant à tendrement caresser sa joue pendant qu’elle hoche son menton de gauche à droite dans de toutes petites oscillations, se refusant à avouer l’identité du coupable ’’Non…’’ parlant d’une voix basse et douce, tout comme lui, comme si elle craignait de briser le silence et la quiétude de sa chambre, la main de Yasmin quitte la joue de Mando pour se déposer sur la sienne, qu’il tient en un poing justicier, ses doigts cherchant à se mêler à ses phalanges masculines pour défaire le symbole de sa colère, qu’elle tente d’apaiser « Dis-le-moi, peque. » elle refuse d’un mouvement du menton, en déglutissant avec difficulté puisque l’insistance de Mando commence à fracturer sa détermination, déjà élimée par la fatigue et le chagrin « Qui ? » - ’’Promets-moi que tu n’en feras rien.’’ elle l’exige en plaquant ses deux mains sur les joues de Mando afin d’encadrer son visage, ses yeux glissant dans les siens comme pour sonder l’humeur de son regard, désireuse d’obtenir la confirmation de ce qu’elle vient de demander : que cette révélation ne conduira pas à un désastre entre les deux hommes et, surtout, qu’il ne paye pas le tribut des attaques qui lui sont destinées ’’Josh.’’ les sanglots se mêlent à sa voix mais, les ravalant par fierté, elle appuie son front contre celui du mexicain en soupirant, le voile de ses paupières s’abaissant pendant qu’elle tente de remettre de l’ordre dans son esprit, en se sentant plus légère à présent. ’’Il va finir par se lasser…’’ pas vrai ?
look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks & your stones, throw your bombs & your blows but you're not gonna break my soul.
:
Mando Da Silva
l'ombre et la lumière
ÂGE : 39 ans et toutes ses dents (ce qui est un miracle vu qu'il passe pas une journée sans se prendre un coup.) (14 juillet 1985) SURNOM : Mandoline, mais pour le bien de votre intégrité physique il est fortement conseillé de ne pas l'utiliser. Mi vida et Mi Sol par sa grand mère ou pendejo (quand Abuelita est en colère ), Sinon c'est lieutenant Da Silva. STATUT : Autoproclamé Mozart des relations foireuses, il est célibataire – et c’est sans doute mieux pour l’humanité. Hommes comme femmes réalisent rapidement que rien n’est plus important pour Mando que sa grand-mère, son cousin, sa carrière, Yas et sa fille (La fille de Yas et un mister X pas lui...C'est pas le père de la fille de Yas... Comprendo ?) Alors, se faire une place dans tout ça... ce n’est pas une mince affaire. MÉTIER : Lieutenant de police - Souhaite postuler à la brigade anti-gang de Brisbane, mais ne veut pas laisser Yas au milieu des loups. LOGEMENT : Il vit dans une jolie petite maison avec sa grand-mère, au 503 Highland Terrace. Sa grand-mère occupe le rez-de-chaussée, tandis qu’il a entièrement rénové l’étage pour en faire son logement. Cela lui permet de veiller sur elle au quotidien. POSTS : 85 POINTS : 0
TW IN RP : Violence - Drogues - Gang (Il est policier, donc il est parfois impliqué dans des crimes et autres activités, mais je préviendrai.) TW IRL : Parlons-en.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Il a une peur bleue des clowns et parle couramment espagnol. Il rêve d’intégrer la brigade anti-gang et pratique la boxe pour se défouler. Passionné de mécanique, il possède une moto et une vieille voiture qu’il tente de retaper… sur son temps libre (c’est-à-dire, quasiment jamais). DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
The beauty and the beast.
If I was dying on my knees
You would be the one to rescue me
And if you were drowned at sea
I'd give you my lungs so you could breathe Yasmin#1*
I don't have a brother, but if I had to have one, I would choose you
Oh brother, we'll go deeper than the ink
Beneath the skin of our tattoos
Though we don't share the same blood
You're my brother and I love you that's the truth Izan#1
La vie est précieuse. Nous devons la protéger, même si cela signifie risquer notre propre vie pour le faire. Alyson #1
Quand tu t'approches de moi
Ton parfum me fait baisser les yeux
Et si tu touches mes mains
Je m'arrange pour ne pas y penser Mary #1
« De quoi tu parles ? » ose-t-elle lui demander, de cette voix qu'il aime tant entendre. Une voix douce, légère, presque musicale, semblable à celle d’un oiseau posé sur une branche, vacillant au gré du vent. Mais aujourd'hui, Mando refuse de se laisser séduire. Ni par son ton enivrant, ni par ses longs cils qui battent comme des ailes de papillon, ni par les courbes harmonieuses de son visage qui évoquent une peinture. Il sait ce qu'il ressent pour Yasmin. Il sait que ces sentiments, qu’il s’efforce pourtant d’enterrer au plus profond de lui, le poussent à des actions qui dépassent largement les frontières de l’amitié, même la plus intense. Il le sait, il en a pleinement conscience. Et pourtant, pour l’instant, il ne ressent pas le besoin de mettre une distance, de construire un mur entre eux.
Ce soir, cependant, il y a autre chose. Il perçoit une douleur dans son regard, une fragilité inhabituelle. Il sait qu’elle souffre. Il sait que quelqu’un a osé lever la main sur elle, marquant non seulement sa peau mais aussi son âme. Cette idée lui brûle les entrailles. Il ne trouvera aucun repos tant qu’il n’aura pas réglé son compte à ce lâche. Yas est une femme forte, il ne le sait que trop bien. Elle est tout à fait capable de se défendre. Il ne la qualifierait jamais de sans défense, pas elle, qui a su surmonter des tempêtes que d’autres n’auraient même pas osé affronter. Mais il sait aussi que chaque mot dur, chaque insulte acérée lancée contre elle, érode un peu plus sa carapace. Lentement, imperceptiblement, mais sûrement. Alors aujourd’hui, Mando a décidé qu’il est temps pour lui d’enfiler son costume et de sauter dans l’arène. Pas question de rester en retrait. Il se fiche des conséquences. Il n’a pas peur. Mando n’a jamais peur. Cette intrépidité, cependant, n’est pas sans inquiéter ceux qui l’aiment, notamment sa grand-mère. Elle vit dans une terreur sourde, celle de recevoir un jour un appel, de devoir aller identifier son petit-fils à la morgue un beau matin. Mais pour Mando, ces préoccupations ne comptent pas. Il ne vit que pour ça : pour le frisson qui court dans ses veines, pour l’adrénaline qui tambourine dans sa poitrine, et pour une justice qu’il considère comme la sienne. Et surtout, Mando est loyal. Inflexiblement, indéfectiblement loyal. Si l’on touche à un de ses amis, il répond. C’est plus fort que lui, presque instinctif. Parce que toucher à quelqu’un qu’il aime, c’est commettre la plus grave, la plus mortelle des erreurs. « Personne. » Elle continue de lui mentir, et Mando n’aime pas ça. Pourquoi ? Pense-t-elle qu’il ne peut pas gérer ? A-t-elle peur pour lui ? Quelle sottise. C’est elle qui souffre, et il refuse de rester les bras croisés. Cela a déjà trop duré. Il compte bien mettre fin à tout ça, une bonne fois pour toutes. Quitte à risquer son badge, s’il le faut. Pourtant, malgré la colère qui gronde en lui, il laisse la jeune femme l’attendrir. Il ne peut pas s’en empêcher. Il voit la fragilité dans ses yeux, cette fragilité qu’elle essaie tant bien que mal de masquer derrière des mots qu’elle veut convaincants. Il relâche son poing fermé, et ses doigts viennent timidement s’entrelacer avec ceux de Yasmin. Ce simple contact, doux et brûlant à la fois, suffit à calmer, temporairement, la tempête intérieure.
Mando ferme les yeux, respire profondément. Il ne veut pas regarder Yasmin, pas maintenant. Il ne veut pas voir son visage si proche du sien, ses lèvres qui bougent à peine lorsqu’elle parle. Il ne veut pas sentir son odeur, un mélange délicat de fleurs et d’épices, qui l’enveloppe et trouble son esprit. Chaque fibre de son être lui crie de franchir une ligne qu’il s’est juré de ne pas dépasser. Il lui faut mobiliser tout le contrôle qu’il a sur lui-même pour rester immobile, pour ne pas céder à cet élan qui le consume. C’est une lutte constante, un duel silencieux entre son cœur et sa raison. Mais ce n’est pas le moment de faiblir. Pas maintenant. Il y a une priorité plus urgente : protéger Yasmin. Quant à son cœur, Mando savait qu’une bonne séance de boxe demain suffirait à le calmer. À chaque coup porté contre le sac, il pourrait évacuer cette frustration brûlante qui le rongeait. « Promets-moi que tu n’en feras rien. » Sa voix tremblait légèrement, et Mando sentit qu’elle commençait à craquer. Il la connaissait trop bien pour se laisser duper par cette façade de calme qu’elle s’efforçait de maintenir. Elle était à bout, et ça le tuait. Il ne voulait pas lui mentir. Il n’avait jamais menti, surtout pas à Yasmin. Alors, il se contenta d’un petit signe de tête, accompagné de quelques mots, sobres et mesurés. « Ce soir, je te jure que je ne ferai rien. » Ce soir. Le mot flottait entre eux, comme une ombre dans la pièce. Mando savait pertinemment qu’il ne pourrait pas faire la même promesse pour demain. Parce que demain, si le destin voulait qu’il croise Josh, il n’hésiterait pas. « Josh… Il va finir par se lasser… » Sa voix était faible, presque murmurée, comme si elle essayait de s’en convaincre elle-même. Mais Mando ne répondit pas. Il ne croyait pas à ces paroles, et il savait qu’elle non plus. S’il ne se lassait pas de lui-même, alors Mando se chargerait de lui ôter toute envie de s’en prendre à elle.
Il resta silencieux, le regard sombre, avant de poser doucement une main ferme mais rassurante sur son épaule. Sans un mot, il la poussa doucement pour qu’elle s’allonge. « Oui, il finira par se lasser, » murmura-t-il finalement. Il avait prononcé ces mots comme une promesse. Une promesse froide et déterminée, mais enveloppée dans la douceur trompeuse de son sourire. « Je vais te faire un chocolat. » Sa voix s’était radoucie. « Si tu veux dormir ici, tu peux. Je prendrai le canapé. » Il laissa ces mots en suspens, avant de se relever. L’hispanique se détourna, les poings serrés à nouveau. Ce sourire qu’il lui avait offert, bien qu’apaisant en apparence, dissimulait une résolution implacable. Peu importait ce que demain réservait, il était prêt à tout pour elle.
" ohana " signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié.
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : écrire un nouveau chapitre de sa vie aux côtés d'helen n'était pas au programme, mais elle ne pourrait pas être plus heureuse de tomber un peu plus amoureuse d’elle chaque jour MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 166 POINTS : 800
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité, harcèlement et intimidation, misogynie au travail. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière, adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café (ne supporte même pas l’odeur) ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea ¤ accroc à l’adrénaline, casse-cou qui n’a pas peur de foncer dans le tas et ce, en dépit du danger ¤ a caché la paternité de leur fille, avec samuel, pendant deux ansDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS :
YASMEN #5 & sms ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
MANDO#1 ¤ 'cause i've seen the dark side too when the night falls on you, you don't know what to do nothing you confess could make me love you less, i'll stand by you, won't let nobody hurt you, i'll stand by you
HIKWELLS#2 (fb) & #3 ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMET#2 ¤ for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
Évidemment, elle regrette sa prise de parole sitôt que le prénom du coupable est lâché comme le plus faible des gladiateurs au milieu d’une arène. Elle le regrette parce qu’elle ne veut pas jeter de l’huile sur le feu de cette colère dévorante qui accable Mando, mais surtout parce qu’elle refuse d’être la raison pour laquelle il s’attire des ennuis en cherchant à confronter l’un de ses collègues ; Josh ne comprendrait même pas pourquoi le mexicain se donne cette peine, d’ailleurs, alors est-ce que cela servirait vraiment à quelque chose ?
Yasmin ne se pose pas la question car elle n’est pas venue trouver Mando pour qu’il soit la main armée de sa vengeance, non, elle est venue le chercher parce qu’il lui offre un sentiment de sécurité auquel elle n’est que trop peu habituée, mais dont elle quémande quelques miettes, ce soir. Après la gifle reçue, elle a besoin de sa présence qui est synonyme de douceur, elle a besoin de sentir ses mains câlines et protectrices ériger un bouclier autour de son corps pour l’isoler du reste du monde qui la terrifie. D’ordinaire, elle est capable d’encaisser les injures, les regards mauvais, les bruits de couloir qui se faufilent dans ses pas en médisant à son propos, les mots dédaigneux gravés sur son casier mais… La violence physique, c’est bien la première fois que Josh ose franchir cette frontière. Elle est sous le choc, Yasmin, et elle s’accroche à la seule personne capable de distiller ce sentiment de malaise intérieur même si, sur l’instant, il lui communique une angoisse qui semble être une bombe à retardement ’’Tu ne vas rien faire, ni ce soir, ni demain, ni jamais. Promets-le.’’ sa main accroche son bras en même temps que ses yeux agrippent les siens, avec la teneur de l’exigence : il faut qu’il lui assure que ce qui est dit dans cette chambre restera entre ces murs, et qu’il ne fera pas une vendetta de l’affront qui lui a été porté. ’’Mando… Promets-le moi…’’ sur la fin, sa voix n’est qu’une complainte brisée par la fatigue et l’anxiété, mais elle concède à s’allonger sous l’impulsion de la main masculine qui exerce une pression sur son épaule, même si elle ne le quitte pas des yeux pour autant. ’’S’il te plaît…’’ - « Oui, il finira par se lasser, » il n’y croit guère plus qu’elle, et Yasmin sent que les larmes redoublent derrière la démarcation de ses paupières, mais elle les comprime puisqu’elle sent bien qu’elle n’a pas la force d’appuyer autre chose que la défaite, ce soir. « Je vais te faire un chocolat. » la voix du mexicain s’est radoucie mais l’expression froide de son visage ne trompe pas, et elle le connaît suffisamment — pour ainsi dire, elle porte chacun de ses traits avec une précision implacable dans son coeur, pour déceler la colère qui répète sa tirade en coulisse, en attendant d’avoir le premier rôle sur scène. ’’Tu reviens ?’’ il faut qu’il revienne « Si tu veux dormir ici, tu peux. Je prendrai le canapé. » - ’’Non.’’ elle n’a pas élevé la voix mais son ton s’est fait plus ferme, l’obligeant à se redresser sur le lit pour s’y asseoir, une main enfouie dans la fibre de la couverture ’’Je…’’ est-ce qu’elle a le droit de lui demander une telle chose ? Elle hésite, consciente qu’il n’a aucune raison d’accepter de demeurer auprès d’elle dans ces circonstances mais, elle a trop besoin de lui, de sa présence, de sa voix et de son odeur, pour laisser sa lucidité dicter sa conduite, ce soir. ’’Reste. Avec moi.’’ les yeux porteur d’une émotion vivace, qui allongent ses longs cils noirs sur les larmes déjà versées, Yasmin le fixe en le suppliant presque silencieusement de ne pas s’éloigner. Jamais.
look at me, i'm sparkling a firework, a dancing flame, you won't ever put me out again i'm glowing. this is the part of me that you're never gonna ever take away from me, throw your sticks & your stones, throw your bombs & your blows but you're not gonna break my soul.