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 (marose #19) whatever you do, don't ever play my game

Ambrose Constantine
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
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(marose #19) whatever you do, don't ever play my game IAeu3cF Présent
ÂGE : 26 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999)
SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde.
STATUT : A Ruben il a proposé un trouple, mais lui veut un harem. Il a donc opté pour un quotidien plus tranquille et normal avec la seule présence de Mavis à ses côtés, plus que suffisante.
MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça.
LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année.
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POSTS : 25759 POINTS : 380

TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocier
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : peru
RPs EN COURS : (10)flora #4ruben #21scarlett #3poppy (fb 2021)channingaugustnicolas (fb 2022)mavis #21

(feu charlie)barbie&ken #6

(feu lily)alfly #18

›› scenario antagoniste

(marose #19) whatever you do, don't ever play my game Bca96b970e1b378dad791c5a94fe96ce1ae4a7e7
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.

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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.

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marose #21 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.

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cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.

RPs EN ATTENTE : cassie #7
RPs TERMINÉS : (beaucoup)

cf. fiche de liens
AVATAR : Damiano David
CRÉDITS : ssoveia (avatar) › chelsearph (gif ruben) › summer (gif mavis) › harley (gif cassie)
DC : Swann & Auden
PSEUDO : Kaelice
Femme (elle)
INSCRIT LE : 28/08/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t45954-
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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptySam 30 Nov - 12:27

Mavis Barnes adore ce message



Ce n’est l’anniversaire ni de l’un ni de l’autre, ils n’ont pas même une quelconque date en particulier à fêter autour de cette période. En réalité, Ambrose n’a pas même mimé chercher une excuse pour proposer à Mavis de passer leur soirée libre en commun au restaurant. Mieux qu’un bouquet, non ? qu’il a cependant essayé de demander en faisant référence au reproche qu’elle avait mimé à son égard il n’y a pas si longtemps, se plaignant de ne pas recevoir de fleurs. Bien sûr qu’il refuserait de se plier à son ordre aussi simplement, ego oblige, mais il n’est pas moins soucieux de son bonheur autant que de l’équilibre de leur couple : si ce ne sont des fleurs alors autre chose, et un repas en tête à tête dans un restaurant particulièrement réputé de la ville représente un plutôt bon début à cela. En réalité, il le lui aurait sans doute proposé même sans leur dernière discussion à propos du peu de temps qu’ils arrivent à grappiller pour être ensemble.

Autour d’eux, le restaurant est un temple de l’élégance et du raffinement, chaque détail méticuleusement choisi pour évoquer le luxe. Les chandelles aux flammes vacillantes diffusent une lumière douce et dorée, projetant des ombres dansantes sur les murs de marbre et les colonnes de pierre polie. Le murmure des conversations s’élève comme une mélodie discrète, ponctuée par le tintement des verres en cristal et des couverts qui s’entrechoquent. Les serveurs, vêtus de costumes noirs impeccables, glissent entre les tables avec une précision presque chorégraphiée, offrant leurs services d’un geste gracieux, toujours à l’affût de la moindre demande. Chacun d’eux est sur son trente et un, Mavis est plus belle que jamais. Sa tenue, merveilleuse sans être indécente, fait disparaître la fatigue qu’il lit quotidiennement dans son regard. Lui doute que son costume puisse en faire de même, mais il a au moins l’avantage de ne pas perpétuellement s’observer dans un miroir. Il pourrait seulement trouver son reflet à travers l’argenterie. Il pose un instant son regard sur les tables adjacentes, sur ces invités parés de tenues sophistiquées : des robes de soie étincelantes, des costumes taillés sur mesure, des accessoires de créateurs dont il connaît les créateurs, justement. Leurs visages, masqués de sourires polis, cachent parfois des intentions moins évidentes. À chaque mot échangé, des regards furtifs se croisent, des rires s’échappent, mais l’atmosphère reste tenue, presque cérémonieuse. Il n’y voit que du paraître et des faux semblants, mais il a appris à vivre avec. Même avec Mavis, finalement, rien n’est totalement transparent ni sincère. Elle l’a été en parlant de sa sœur, et depuis ils savent tous les deux qu’il ne faut plus jamais remettre le sujet sur le tapis : elle sait qu’il sait, c’est bien suffisant, et c’est sans doute déjà trop.

L'air est empli de l’odeur subtile des mets raffinés – des plats délicats, servis en petites portions artistiquement disposées, émettant des parfums qui chatouillent les sens sans jamais se faire envahissants. Le vin, rouge ou blanc, se verse lentement dans des coupes en cristal, chaque gorgée savamment savourée pour la discussion et la contemplation plus que pour le simple plaisir. Il a l’impression d’être tombé dans un monde qui n’a jamais été le sien. Pourtant, ces habitudes sont justement les siennes depuis qu’il a élu domicile chez Norman, c’est-à-dire presque dès sa naissance. Au fond de lui, il y a toujours ce “quelque chose” qui lui rappelle qu’il n’appartient pas à ce monde-là.

Des éclats de rire s’élèvent parfois, comme des bulles dans un champagne rare, mais ils retombent vite, réprimés par la sophistication de l’endroit. L'ambiance est parfaite pour les jeux de pouvoir et les conversations feutrées, où chaque mot semble mesuré, chaque geste calculé. Pourtant, sous cette façade impeccablement polie, on devine les petites rivalités et les ambitions silencieuses qui bouillonnent en coulisses. La soirée, bien que luxueuse, semble n’être qu’un autre terrain de jeu pour ceux qui cherchent à se faire remarquer, à se distinguer, ou à en tirer profit. « Tu crois qu’elle aime sa bedaine, sa calvitie, sa sûrement-incontinence ou bien ses actions chez Total ? » Il ne veut pas appartenir à ce monde-là, alors il s’en moque, il l’utilise, il s’en amuse en jouant à un jeu avec Mavis, en inventant des intentions à des personnes qu’ils ne connaissent ni d’Eve ni d’Adam. La jeune femme citée est pourtant bien trop jeune et bien trop belle pour trouver autre chose à l’octogénaire que son compte en banque bien rempli. Il se mord la lèvre soudainement et se retient de continuer sur sa lancée en lui demandant ce qu’elle avait trouvé, elle, à Ruben. Cela ne le regarde pas ; et il connaît de toute façon la réponse, pour avoir des sentiments similaires. « Vue que je suis terriblement plus vieux que toi, j’espère que j’aurai pas le droit à ce même genre de remarque tout compte fait. » Il reprend avec un rire bref qui dénote avec l’ambiance des autres tables ; eux deux, avec leurs terribles six mois de différence, seront sûrement exemptés de commentaires du genre, même si Ambrose a l’air plus vieux qu’il ne l’est réellement. Dans son milieu, cela l’aide plus qu’autre chose. « Ca existe ce genre de magouilles dans ton milieu, non ? » Un brin plus sérieux, et sans plus penser à Mavis le moins du monde, il se montre curieux de l’envers du décor et surtout des machinations qui peuvent exister dans le monde de la médecine, comme partout ailleurs. Personne ne se doute qu’elles peuvent avoir des conséquences et tous s’arrêtent sans doute au visionnage attentif de Grey’s Anatomy depuis vingt ans. Rien de plus, rien de moins, et en attendant leur premier plat il avance sa main sur la table pour caresser celle de Mavis, conscient de sa chance et de son bonheur de l’avoir (re)trouvée. Entre eux absolument rien n'est parfait mais tout dans leur quotidien et dans leur balance leur correspond.


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Mavis Barnes
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
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ÂGE : 25 ans (11.06.1999)
SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins
STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben)
MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong
LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort
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POSTS : 2752 POINTS : 120

TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #BF8174
RPs EN COURS :
(marose #19) whatever you do, don't ever play my game Yknw
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
(marose #19) whatever you do, don't ever play my game Ytm4
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine


sybil › ambrose#22wesleylandryruben#25clara#1willow#1

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : olivia holt
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©gifpacksbysummer (gifs profil, sign) › ©astra (code)
DC : jo carter & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 20/10/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t46706-mavis-she-had-a-marvelous-time-ruinin-everything
https://www.30yearsstillyoung.com/t46744-mavis-i-ll-stare-directly-at-the-sun-but-never-in-the-mirror
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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptySam 30 Nov - 15:59

Swann Craine adore ce message


spring hill, esquire
novembre 2024

whatever you do, don't ever play my game
crédit gif - crédit/clarawritess
@Ambrose Constantine & Mavis Barnes

C’est probablement le résultat de leur dernière conversation, ce dîner aux chandelles. Mavis ne se pose pas la question, elle aime la présence d’Ambrose autant qu’elle aime jouer à la grande personne. Ils ont l’air d’avoir leur vie bien en place ici, au milieu de ce restaurant huppé, où la moyenne d’âge est loin de la leur. Ceux de leur génération préfèrent passer leur soirée en amoureux dans un environnement moins guindé que celui-ci, pourtant, eux, ils ont l’air de se complaire dans ce vivier aux apparences, la leur restant aussi impeccable qu’ils ont l’habitude d’y naviguer en ne craignant pas les requins, s’exerçant auprès d’eux pour aspirer à devenir tout aussi redoutables. Ils ont de l’avenir dans ce domaine, Mavis l’a compris la dernière fois, lorsque Ambrose est devenu l’instigateur d’un mensonge qu’ils sauront exploiter en temps voulus. En attendant, la soirée est douce, le temps est clair, tandis que l’été australien approche à grands pas, et qu’à leurs ambitions s’oppose l’envie évidente de flâner et de passer du temps tous les deux. La proposition de son petit ami est tombé à pic, et elle l’apprécie à sa juste valeur, sirotant un verre qui contient si peu d’alcool qu’elle ne risque pas de finir ivre, mais là n’était pas son intention dans tous les cas. Ils se sont observés un moment, et loin d’être amoureux transis, se lassant sans doute un peu vite aussi, leur attention s’est vite redirigée vers ceux qui les entouraient. Si Mavis s’autorise quelques minutes supplémentaires pour étudier Ambrose qu’elle trouve beau à se damner ce soir, lui semble être accaparé par un examen minutieux de ceux qui les entourent. En silence, elle se demande si c’est plus par curiosité que par stratégie, et si en se montrant aussi attentif à ses semblables, il tache de déceler le moindre de leur besoin en terme de réassurance, celui qu’offre généralement les politiques à leurs électeurs — il n’est jamais en veille en vérité, elle l’a compris en l’examinant soigneusement de son côté. Et ça lui plaît.

Elle se laisse surprendre par sa voix qui résonne de nouveau dans l’espace qui les sépare, puis n’hésite pas à suivre son regard qu’il a posé sur un duo plus loin. De là où elle se trouve, elle imagine un scénario qui les met tous les deux en scène, et qui ne doit pas être très éloigné de celui qui permet à Ambrose de se montrer aussi critique. On les accusera de faire preuve de fermeture d’esprit, de s’enfermer dans des clichés d’un autre temps, mais ils ont vécu, malgré leur jeune âge, et ils savent que dans un lieu comme celui-ci, les sept péchés capitaux forment un ensemble de sales petits secrets dont eux-mêmes sont détenteurs. Elle rit légèrement, repose son verre sur la table, et lui offre un regard qui signifie à ton avis lorsqu’il s’interroge sur les raisons de la présence d’une belle jeune femme comme celle qu’ils regardent tous les deux aux côtés d’un homme qui, disons le, n’a pas grand-chose pour lui si ce n’est le montant de son compte en banque, c’est à n’en pas douter. Elle passe ses doigts dans la mèche de cheveux blonds qui lui barre le regard, la repousse pour la coincer derrière son oreille, et garde son sourire affiché sur son visage à la suite de ses paroles auxquelles là, elle apporte une réponse verbale "Les paris sont sans doute déjà ouverts pour connaître ton âge réel." Puisque Ambrose fait beaucoup plus vieux qu’elle, Mavis a reçu des questions de la part de collègues qui l’ont vue rejoindre ce bellâtre, comme elles disent. A l’hôpital, la vie privée de chacun est une affaire commune — jamais personne n’a su pour elle et Ruben, à croire qu’ils ont excellé pour se cacher "Mais pour ma part, je dirais que tu risques davantage d’être traité de voyou à cause de tu sais, tout ça." Tout ça définissant ses tatouages, ceux qu’elle dessine avec ses doigts à la moindre occasion, et dont elle n’ignore plus rien, si ce n’est certaine signification. D’une voix qui singe celle des tantines rabat-joies pendant les repas de Noël, elle ajoute en grimaçant, l’air pincé qu’elle a sur le visage rendant parfaite son imitation "Qu’est-ce qu’une si douce et talentueuse jeune femme fait avec un voyou pareil ?" C’est risible autant parce que Ambrose n’a absolument rien d’un voyou, que ces bonnes femmes sont aussi fermées d’esprit qu’ils le sont en critiquant un couple qu’ils ne connaissent ni d’Eve ni d’Adam.

Mais c’est jouissif de dire du mal des gens, non ? Surtout avec son amoureux, ça creuse la complicité, ça crée quelque chose que Mavis se surprend à beaucoup aimer au plus le temps passe et qu’elle se voit continuer avec Ambrose autant de temps qu’ils réussiront à se supporter. Elle pouffe doucement, laisse son dos retrouver la courbe élégante de sa chaise sur laquelle elle se tient comme on lui a appris : avec classe et maintien, sa main attrapée par Ambrose qu'elle laisse la caresser "Ce genre de magouilles ? Tu veux dire le proxénétisme ?" Elle est intransigeante, Mavis. La femme dont il parle est habillée comme une traînée, jamais elle n’aurait dû être autorisée à entrer, mais elle l’a été, et ça la débecte. Elle laisse un court silence planer, détourne ses yeux bruns du couple qu’ils fustigent, et se perd brièvement dans ses pensées pour dire au jeune homme dont elle retrouve le regard l’instant d’après, retrouvant tout son côté rationnel pour redevenir plus sérieuse "Je crois que ça veut rien dire l’âge, dans les histoires d’amour." Jusqu’à un certain point en tout cas "Ma mère est plus jeune que mon père. Comme un médecin ne gagne pas grand-chose au début de sa carrière, je crains que ce soit un vrai mariage d’amour, pas un mariage d’intérêt." Encore que, elle les connait si mal, ses parents, qu’elle est peut-être passée à côté de quelque chose sans s’en rendre compte ? Elle hausse les épaules "J’en connais d’autres où l’amour est moins évident que le reste." Bien sûr qu’elle pense à Ruben et Nina "C’est peut-être leur cas, mais qui suis-je pour juger ?" Elle a un sourire en biais. C’est vrai après tout, qui est-elle ?

À nouveau, un silence relatif s’installe entre eux sans que ce ne soit inconfortable. Ça laisse juste le temps à Mavis de s’arrêter sur quelque chose qui la taraude un peu depuis que le nom de Saül Williams a été mentionné par Ambrose — peut-être pense-t-elle a lui parce que, comme cet homme dont Ambrose a fait le portrait si peu flatteur, celui qui a abusé son petit ami lui file la nausée. Ça ne l’empêche pas de lui demander, et ce avec toute la précaution du monde, son corps se redressant davantage, l’un de ses coudes venant trouver le bord de la table pour pouvoir faire reposer son menton dans le creux de sa main "Comment il était ?" D’un oeil à l’autre des siens, ses yeux valdinguent "Saül Williams." Elle ne lui laisse pas le temps de répondre, elle ajoute un ton légèrement en dessous, sa tête s’inclinant pour que cette fois, ce soit sa joue que sa main soutient "T’en parles pas. Ça fait quelques temps qu’on est ensemble maintenant, et considérant nos projets —" Nos futurs projets "— je me dis que c’est plus aussi intrusif qu’au début de te poser la question." Vraiment ? "Mais t’es pas obligé de répondre, et on peut continuer à jouer à ton petit jeu." propose-t-elle, si ce n’est en troisième vitesse, au moins avec assez d’égard pour lui laisser le temps de botter en touche. Elle sait être délicate, ainsi d’un index discret, mais raide, elle lui montre un coin de la salle du restaurant en lui disant, presque tout bas "J’ai repéré une table qui mérite d’être critiquée. Je suis sûre que c’est sa maîtresse." De là à dire que son expérience lui permet de les reconnaître, elle ne s’y risquera pas, mais elle serait prête à le jurer s’il le lui demandait, c’est dire à quel point elle en est profondément convaincue.


    no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.










    :prof::

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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptySam 30 Nov - 20:43

Mavis Barnes adore ce message


S’il y a bien un point sur lequel ils ne sont pas différents des autres couples, c’est qu’ils adorent occuper leur temps à se moquer des autres, justement. Ils se moquent de la différence de standing, ils se moquent de la différence d’âge, et tout serait bien pire encore si les tables n’étaient pas aussi espacées et leur permettaient d’entendre les discussions aux alentours. A défaut, ils doivent donc se concentrer sur les apparences, et leur avis tombe si aisément d’accord que Mavis ne prend pas la peine de répondre à sa question rhétorique par autre chose qu’un regard entendu. Il n’a pas besoin de plus pour la comprendre non plus. "Les paris sont sans doute déjà ouverts pour connaître ton âge réel." - « Par ? » - "Mais pour ma part, je dirais que tu risques davantage d’être traité de voyou à cause de tu sais, tout ça." Le “tout ça”, désigné d’un vague geste de l’index tant il y a d’endroits à montrer, est bien connu d’Ambrose. Il esquisse un sourire amusé, uniquement parce qu’il n’a pas pour habitude d’entendre ce discours-là de la part de Mavis ; elle ne s’est jamais plainte de ses tatouages, bien au contraire. « Même le costume cravate suffit plus, alors ? » Il sourit, s’amuse, mime être outré et avoir ainsi fait tous les efforts du monde pour être respectable. Tout est de la faute de ses derniers tatouages en date qui dépassent sur ses mains et se font voir peu importe la tenue, pas vrai ? Il n’y a que ça. "Qu’est-ce qu’une si douce et talentueuse jeune femme fait avec un voyou pareil ?" A chaque nouveau mot de sa part, il jure être davantage séduit par la douce et talentueuse Mavis. Son sourire s’agrandit encore davantage alors qu’Ambrose joue à l’enfant audacieux. « N’hésite pas à me donner les raisons de ton amour par ordre alphabétique. On a toute la soirée. » Qu’il ironise finalement sans chercher à rentrer davantage dans le jeu de la controverse. Elle l’a choisi malgré son air de voyou, après tout, elle devrait être en mesure d’expliquer pourquoi et lui adorerait évidemment se faire caresser dans le sens du poil, même s’ils ne sont pas là pour ça.

"Ce genre de magouilles ? Tu veux dire le proxénétisme ?" Il se dit qu’elle utilise peut-être un peu trop rapidement les grands mots pour ce qui n’était qu’une question à la volée mais il ne la reprend pas non plus ; parce qu’elle a raison et qu’ils le savent tous les deux. Il observe son regard se durcir aussitôt, il analyse la façon qu’elle a eu de passer du rire aux reproches en un claquement de doigts. "Je crois que ça veut rien dire l’âge, dans les histoires d’amour." Il n’est pas du genre à s’arrêter à l’âge non plus, mais tous deux sont conscients qu’il existe des limites à cette règle. Lui la franchissait volontairement en étant auprès de Ruben à l’époque, et s’il clamerait aujourd’hui qu’il le faisait en connaissance de cause, la loi dirait plutôt qu’il n’avait pas son mot à dire. De ça, évidemment, il préfère ne pas y penser et encore moins en parler à voix haute. "Ma mère est plus jeune que mon père. Comme un médecin ne gagne pas grand-chose au début de sa carrière, je crains que ce soit un vrai mariage d’amour, pas un mariage d’intérêt." Il trouve intéressant que le premier exemple auquel elle pense quand il s’agit d’arrangement sentimental soit ses propres parents. Il ne trouve pas ça amusant, ça non, mais bien intéressant, parce que ce n’est qu’une preuve supplémentaire du dysfonctionnement désormais évident de la famille Barnes. "J’en connais d’autres où l’amour est moins évident que le reste." Le même exemple leur vient sans doute à l’esprit, cette fois. Un exemple qui ne mérite même pas d’être cité. "C’est peut-être leur cas, mais qui suis-je pour juger ?" Ils ne sont personne pour juger mais bon Dieu qu’ils aiment tout de même ce jeu là. « J’imagine que chacun a ses intérêts. » Certains veulent des unions d’amour, d’autres ne recherchent que des unions qui pourraient leur amener pouvoir ou argent ; ou les deux. Ambrose, lui, craint de ne toujours pas savoir exactement où se trouver, si bien qu’il s’efforce de croire que son couple avec Mavis lui apporte les deux et ne le force pas le moins du monde à choisir.

"Comment il était ? Saül Williams."

En parlant d’intérêts. Son nom se faufile dans la discussion, à la plus grande surprise d’Ambrose - ce qu’il ne cache pas. Son regard scrute celui de Mavis, lui demandant par la même occasion si elle est certaine de vouloir parler de Saül maintenant. Ou parler de Saül tout court, en réalité. Elle ne lui laisse pas le temps de rétorquer le moindre mot et reprend déjà. "T’en parles pas. Ça fait quelques temps qu’on est ensemble maintenant, et considérant nos projets je me dis que c’est plus aussi intrusif qu’au début de te poser la question." Lui ne voit pas le rapport entre Saül et leurs projets, mais il comprend cependant l’idée qu’elle cherche à éviter des zones d’ombre dans leur couple. Elle sait ce qu’il s’est passé, vaguement, et jusque-là elle s’en était toujours contentée. Il comprend pourquoi cela ne peut pas éternellement suffir. "Mais t’es pas obligé de répondre, et on peut continuer à jouer à ton petit jeu. J’ai repéré une table qui mérite d’être critiquée. Je suis sûre que c’est sa maîtresse." - « Non, c’est bon. » La réponse est lente et calme, signe qu’il la remercie de discrètement tenter de lui offrir une sortie de secours si le sujet est toujours trop difficile à aborder pour lui. Il n’est toujours pas facile, ça non, mais pour Mavis il peut faire des efforts. « Il était brillant. » S’il est honnête, voilà le premier mot qui lui vient à l’esprit pour définir l’homme qu’il était. Un génie en son domaine, un précurseur. « Mais avide d’argent et de pouvoir. » Ce qui n’est pas un défaut à ses yeux, sauf quand la faim ne connaît aucune limite. Il était avide d’hommes plus jeunes que lui, aussi, de toute évidence. « Manipulateur, menteur, narcissique. » Des mots qui peuvent être associés à beaucoup de génies, pas vrai ? Il tient la liste sans détacher son regard de celui de Mavis et ainsi lui (se) prouver qu’il ne craint pas (plus) de parler de lui. Pas seulement parce qu’il est mort, mais bien parce qu’il a travaillé sur lui et sur ses souvenirs. « Tu veux avoir comment j’en suis arrivé à ça ? » Le “ça” n’a pas besoin d’être précisé, et si elle a sûrement déjà assez d’images d’Ambrose et Ruben ensemble, elle n’a sûrement pas besoin d’ajouter à cela les images d’Ambrose avec un homme de deux fois son âge. La question est sincère et il y répondra comme il a répondu à la première : en réalité, il veut seulement s’assurer qu’elle est prête à entendre toute l’histoire, parce qu’elle n’a rien de plaisante. « C’était pas du proxénétisme, mais c’était de la prostitution. » A son tour de pencher légèrement la tête, ses mots froids se faisant un chemin jusqu’aux oreilles de Mavis avec bien moins d’amusement que lorsqu’il était question de juger des inconnus. « Saupoudré d’un brin d’homophobie, sûrement parce qu’il était plus à ça près. » Il se serait vanté d’avoir une femme pour passer sous son bureau à son bon plaisir, sans doute, mais jamais il n’a évoqué à qui que ce soit l’existence d’Ambrose. Un homme que lui, ça ne pouvait de toute évidence pas aimer les autres hommes. Il valait mieux que ça, le crocodile.


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Mavis Barnes
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la pomme de la discorde
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ÂGE : 25 ans (11.06.1999)
SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins
STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben)
MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong
LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort
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TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends
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RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
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MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine


sybil › ambrose#22wesleylandryruben#25clara#1willow#1

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PSEUDO : ssoveia
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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptyDim 1 Déc - 13:37

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@Ambrose Constantine & Mavis Barnes

Mavis ne veut pas donner de la force à ses collègues qui ont critiqué l’apparence de son petit ami et basés leur opinion à son sujet uniquement sur des tatouages qu’elles ont vu dépasser de ses vêtements bien coupés. Elle ne les cite pas et hausse les épaules, laissant Ambrose dans le flou à ce sujet. A bien y regarder, elle s’en moque de l’avis des autres à propos du jeune homme. Elle le connait depuis la nuit des temps, elle est la plus à même de le critiquer que le reste de la terre entière, et ce sans manquer aucunement d’objectivité, bien que les propos qu’elle lui offre juste après pourraient prouver le contraire. Ce n’est pas le cas. Mavis sait garder la tête sur les épaules, et les gens qu’elle aime, s’ils sont rares, ne sont pas épargnés par son intransigeance "J’ai dit que les autres te traiteraient de voyou. Je suis pas les autres, Ambrose." Elle précise, elle raille un peu, un sourire mi-figue mi-raisin arrondissant sa pommette surplombée d’une légère nuance de blush "J’ai jamais dit que ça me déplaisait. Au contraire. T’as jamais été aussi beau que depuis que t’es avec moi, tu trouves pas ?" Le jeu, ça fait partie de leur relation. Elle ne se souvient plus si c’était déjà le cas lorsqu’ils étaient plus jeunes, mais elle aime à penser que non ; que c’est venu avec le temps, et que s’ils sont des adultes désormais, ils ont toutefois gardé un soupçon d’âme d’enfant qui permet à la flamme de ce qui se passe entre eux de réchauffer l’atmosphère. Elle retient un léger rire, le regarde imiter sa posture et suit la ligne de son sourire qui s’agrandit avec ses yeux qu’elle finit par rouler quand il lui quémande une liste qu’elle ne lui donnera pas, pas sans rien recevoir en retour en tout cas "Si je saute tout de suite à la lettre h pour héritage, tu vas dire que je triche ?" Mavis ne gagne pas grand chose avec son internat, mais elle est une Barnes. De ce fait, c’est presque insultant de prétendre qu’elle puisse être intéressée par Ambrose à cause de son argent, mais elle ne peut s’empêcher de provoquer un peu, restant sur la ligne qu’il a lui-même tracé en parlant de cette femme avec laquelle ils ont été tous les deux trop durs pour leur propre divertissement.

Elle se mord la lèvre pour faire disparaître son sourire, lequel s’éclipse en même temps que la légèreté de leur échange. Un interlude sérieux mène à un autre : Saül Williams, rien que par son nom, fait peser quelque chose de lourd au-dessus de leur tête tandis que Mavis le mentionne sans crier gare. Elle laisse le choix à Ambrose de répondre à sa question ou pas, mais ce n’est que par politesse, parce qu’elle ne s’en veut pas au fond, d’avoir osé invoqué le démon en prononçant son nom à haute et intelligible voix. Une partie d’elle se dit qu’elle tient là une vengeance toute trouvée, celle qu’elle mérite après qu’il se soit tant obstiné à vouloir parler de Marion. Il n’y a pas de carton à déballer cette fois, juste un article qui relate les méfaits d’un homme dont le pouvoir lui est monté à la tête, comme c’est souvent le cas, et ce dans tous les domaines possibles et imaginables. Avant qu’Ambrose n’accepte de parler, Mavis lui précise "J’ai pas lu l’article." Mais les gens parlent. Souvent sans savoir. Souvent par méchanceté gratuite. Souvent par curiosité malsaine ; quand le voile a été levé sur l’identité de son petit ami, à l’hôpital, elle en a entendu des murmures à son sujet à son passage, c’est ça aussi qui la fait soulever la question, parce qu’elle à beau se ficher de ce qu’on pense de l’homme avec qui elle vit, elle n’est pas moins soucieuse de préserver sa propre réputation. Elle ne veut pas que ses efforts pour avoir gardé son aventure avec Ruben secrète soient détruits par le scandale de quelqu’un d’autre, surtout un scandale comme celui-ci.

Avec zèle, elle affronte ses yeux "Tout ce qu’il faut pour réussir, en somme." commente-t-elle après la description qu’il fait de son bourreau. Si elle n’était pas sûre que ça finirait par lui éclater au visage, elle en viendrait à lui faire remarquer que, minus la partie concernant l’argent, les adjectifs qu’il a choisi peuvent aussi être attribués à Ruben. Est-ce qu’il n’aurait pas le chic pour s’attirer les faveurs de ce genre d’individus, Ambrose ? Elle ne veut pas la réponse à cette question pour une simple raison : ça lui demanderait un peu d’introspection, et elle n’est pas certaine d’aimer ça, encore moins d’aimer le résultat de cette analyse poussée qui, bien sûr, la rapprocherait du type de personnes qui semblent attirés par la personnalité du jeune homme qui lui fait face. Elle se redresse sur sa chaise, secoue la tête à la négative quand il lui demande comment il en est arrivé à ça, et retrouve sa posture initiale ; coude vissé au bord de la table, menton dans la paume de sa main "Non, je veux savoir s’il te dégoûtait autant que tu le prétends." Elle est frontale, Mavis "Je te connais, je sais que c’est généralement pas aussi simple que ça." Et qu’il est masochiste, Ambrose "Je te juge pas. Je veux juste être certaine d’avoir toutes les cartes en main pour comprendre." Elle ne peut pas le juger, elle a fait la même chose avec Ruben, à la différence près que c’est elle qui a mené le jeu, et qu’à terme, les sentiments se sont invités, lui faisant oublier tous les intérêts qu’elle espérait gagner en se mettant à la disposition de quelqu’un avec autant d’influence que le docteur Hartfield. A l’image d’une maman un peu sévère, elle incline la tête et fronce les sourcils à la suite des paroles du jeune homme. Sa main se baisse pour se poser sur ses propres genoux "T’exagères pas un peu, non ?" A propos de la prostitution. Elle comprend sa colère, mais les mots ont en sens, et celui-ci lui semble refléter une hyperbole qui l’indispose — peut-être parce qu’elle se souvient de disputes qu’elle a eu avec Ruben où elle se défendait elle-même de ne pas être une pute. Du reste, elle ne connaissait pas Saül Williams, elle ne peut le juger que d’après le récit qu’on lui fait de la personne qu’il était et qui, de loin en tout cas, ne diffère pas vraiment des grands hommes qu’elle a déjà eu l’occasion de côtoyer dans son milieu. Elle pince les lèvres, baisse un moment les yeux sur l’espace qui est réservée à son assiette, et les relève brusquement vers lui pour lui demander, directe "Ça t’a ouvert beaucoup de portes de faire ça ?"


    no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.










    :prof::

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Ambrose Constantine
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le vilain petit secret
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ÂGE : 26 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999)
SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde.
STATUT : A Ruben il a proposé un trouple, mais lui veut un harem. Il a donc opté pour un quotidien plus tranquille et normal avec la seule présence de Mavis à ses côtés, plus que suffisante.
MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça.
LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année.
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POSTS : 25759 POINTS : 380

TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocier
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : peru
RPs EN COURS : (10)flora #4ruben #21scarlett #3poppy (fb 2021)channingaugustnicolas (fb 2022)mavis #21

(feu charlie)barbie&ken #6

(feu lily)alfly #18

›› scenario antagoniste

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constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.

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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.

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marose #21 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.

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cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.

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AVATAR : Damiano David
CRÉDITS : ssoveia (avatar) › chelsearph (gif ruben) › summer (gif mavis) › harley (gif cassie)
DC : Swann & Auden
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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptyDim 1 Déc - 19:13

Mavis Barnes adore ce message


tw : mention de relation sexuelle

Son nom est évoqué et, avec lui, il n’est même plus question de se moquer de l’héritage obtenu par l’un et de l’entêtement de l’autre à aller contre le désir de ses parents. Avec son nom, ils parlent des sujets d’adultes. "J’ai pas lu l’article." Il n’aurait même jamais pensé lui poser la question, tant il lui semblait évident qu’elle l’avait lu. Ambrose hoche la tête, sans trop savoir comment analyser cette réponse. Elle ne l’a pas lu par manque d’intérêt, comme le prouve la question qu’elle lui pose maintenant, mais elle l’a sûrement lu par respect pour lui. Ou peut-être bien parce qu’elle ne voulait pas avoir une vision de lui différente, pas après l’avoir tant connu durant leur enfance et adolescence. Le Ambrose de l’époque n’est pas celui de l’article, de toute évidence. "Tout ce qu’il faut pour réussir, en somme." Ambrose reste impassible face à elle. Évidemment qu’il avait tout pour réussir, et c’est justement pour cette raison que Constantine a osé faire un tel arrangement avec lui. Il n’aurait pas risqué son honneur pour autre chose que tout l’or du monde ou, dans le cas présent, tout le pouvoir du monde. « Un bon parti. » A une autre époque, une bonne famille aurait envoyé sa fille avec joie dans les bras du crocodile.

"Non, je veux savoir s’il te dégoûtait autant que tu le prétends."
« Pourquoi ? »

Il va répondre à sa question, il s’est promis de ne garder aucun secret pour elle, mais il doit bien avouer qu’elle est la première à oser lui poser une telle question et qu’il anticipe déjà qu’elle sera bien la dernière. Personne ne veut savoir ce qu’il en pensait, ce qu’il ressentait. Tout le monde préfère passer outre cette partie de l’histoire et il les comprend, parce qu’il n’aurait pas voulu savoir non plus et qu’il n’aime pas en parler alors qu’il est le personnage principal partageant l’affiche avec Saül. Il sait que de cette histoire, il n’a rien à tirer. "Je te connais, je sais que c’est généralement pas aussi simple que ça." Et elle a raison, c’est bien ce qui le dérange le plus dans cette histoire, qu’elle soit capable de lire en lui aussi simplement. "Je te juge pas. Je veux juste être certaine d’avoir toutes les cartes en main pour comprendre." Encore une fois, il se demande pourquoi et il se demande comment avoir toutes les cartes en main pourrait l’arranger ; ou même, pourquoi aurait-elle besoin de cartes en sa possession. « Ça me semblait pas si terrible que ça, au début. » Peut-être qu’au fond l’idée lui semblait même un brin excitante, il doit l’avouer. Saül avait été un bel homme, il pensait n’avoir qu’à se souvenir de ce moment-là, il pensait n’avoir qu’à faire sa part du deal pour ensuite obtenir monts et merveilles. Peut-être même qu’il pensait qu’il y prendrait du plaisir, et il l’a au moins trouvé dans les prémices du plan, quand il s’est senti désiré et digne d’intérêt par un comparse. Quand quelqu’un lui a donné de la valeur, pas pour la première fois de sa carrière mais pas loin non plus. Tout était un joli rêve fourre-tout dans lequel il a plongé. « Le plan était tordu dès le départ, mais les premières fois c’était pas si déplaisant. » Il n’ira pas jusqu’à utiliser autre chose que de la négation, il n’ira pas jusqu’à dire que c’était plaisant, mais il fait comprendre à Mavis la réalité plus nuancée des choses, comme elle le demande. « Mais ça a vite changé. » C’est de ce changement dont il garde toujours le souvenir, de la violence qu’a été celle de Saül, de son avidité aussi. Il en voulait toujours plus, et c’est ce qui pousse Ambrose à ne garder qu’en souvenir le dégoût de ces échanges avec l’italien. « Il me dégoûte autant que je le prétends. » Il l’assure enfin, les yeux dans les yeux. Ses iris accusent encore un tremblement à peine perceptible, parce que de l’eau a coulé sous les ponts mais qu’il ne sera jamais capable d’oublier. Même mort, Saül représente un talon d’Achille conséquent.

"T’exagères pas un peu, non ?" Elle a beau le demander avec retenue, la question passe difficilement pour Ambrose, qui répond du tac au tac. « Je le suçais pour qu’il me présente à d’autres personnes, Mavis, y’a pas beaucoup d’autres définitions à ça. » Il était son gigolo et il le sait. Ce n’est sans doute pas la façon dont elle veut définir son petit-ami, et il l’entend évidemment, mais ce n’en est pas moins la réalité de ce qu’il a été pour le compte de Saül. Il l’a choisi ; il a même trouvé l’idée plutôt bonne, au début. "Ça t’a ouvert beaucoup de portes de faire ça ?" - « Tu veux savoir si ça en a valu la peine ? » A nouveau, sa colère est redescendue, il pose la question avec la même franchise dont elle fait preuve à son égard. Elle a le droit de poser des questions, lui aussi. « Oui. Énormément. » Il a gagné des années de parcours politique grâce à ces connaissances, et à d’autres qui s’en sont suivies de fil en aiguille. Saül lui a donné un vivier dont il a tout puisé avec soin. « J’en ai perdu certains quand le scandale a éclaté mais même avec ça, j’aurais jamais pu accéder à beaucoup d’entre eux. » Et si Saül n’avait pas été plus gourmand au point de lui-même vouloir le pouvoir de la politique, sans doute que le deal aurait pu continuer encore longtemps. « Pourquoi tu voulais pas lire l’article ? » qu’il demande finalement, jugeant sans doute ne pas être à une question près. Elle veut le connaître dans les moindres détails, jusqu’aux nuances de sa morale et de la façon dont son cerveau réfléchit et il en est de même en retour pour Ambrose. Après tout, avec Ruben tout était différent mais tout était aussi semblable pour elle. Il ne lui fera pas l’affront d’une comparaison, pas comme ça, pas maintenant, mais il n’en pense pas moins dans un coin de sa tête.


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MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong
LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort
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GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends
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RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
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MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine


sybil › ambrose#22wesleylandryruben#25clara#1willow#1

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : olivia holt
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©gifpacksbysummer (gifs profil, sign) › ©astra (code)
DC : jo carter & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 20/10/2022
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Ambrose Constantine adore ce message


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@Ambrose Constantine & Mavis Barnes

Ça passe du tout au rien, entre Ambrose et Mavis. Un moment, ils se charrient sur des menus détails puériles, et le moment d’après, ils se fixent avec intensité en essayant de garder la main sur la partie d’un jeu lancé à la volée. C’est moins un jeu qu’un interrogatoire au final. Comme Mavis n’est pas connue pour faire dans la demi-mesure, elle endosse surement le rôle de bad cop avec ses questions incisives, à la limite de la provocation, quand la situation aurait en fait méritée un peu plus de tact ; ou pas tant elle embaume le vice et la perfidie, deux adjectifs qu’Ambrose n’a pas utilisé pour qualifier Saül Williams, mais qui collent assez bien à sa réputation d’homme pour qu’elle se risque à les ajouter à la liste qu’elle dresse en silence, attentive à la moindre micro-expression de son petit ami.

Il ne détourne pas les yeux, affrontant les siens avec une impassibilité sur laquelle elle se questionne, mais qui ne la choque pas. Rien ne la choque en vérité dans ce scandale, certainement parce qu’elle en a connu un qui aurait pu autant mal tourner, allez savoir. Elle hausse les épaules quand il lui demande pourquoi elle veut savoir s’il le dégoûtait autant qu’il le prétend, lui explique juste après en se basant sur ce qu’elle connait d’Ambrose et de sa psyché, mais aussi de ce qu’elle-même connait du monde malgré son jeune âge. Le noir et le blanc existe à peine, surtout dans les domaines dans lesquels ils évoluent où le camaïeu de gris colore le ciel et justifie que mal se comporter est parfois moins un choix qu’un instinct de survie. Elle ne compte pas juger Ambrose, elle veut juste savoir à quel point il avait conscience de mal agir, quand bien même le faisait-il sous la menace du claquement des mâchoires du crocodile prêt à le dévorer tout cru "T’avais des sentiments pour lui ?" Elle est prête à essuyer le courroux d’Ambrose, mais si elle ne pose pas ces questions, ils continueront à tourner autour et à laisser le doute planer. Mavis ne veut pas se torturer l’esprit en se demandant si, à nouveau, elle doit le partager avec quelqu’un, qu’importe qu’il soit mort. Ils se sont promis de ne plus rien se cacher. Et puis encore une fois, elle est passée par là, elle sait ce que c’est ; les hommes puissants sont séduisants, les hommes puissants savent vous donner l’impression que vous êtes aussi importants qu’ils le sont. Elle n’a pas moyen de savoir exactement ce que Saül a promis a Ambrose pour qu’il consente à se laisser manipuler comme il l’a fait, mais elle sait que, les gens comme eux, quand ils reçoivent de l’attention, sont prêts à tout supporter pour en avoir encore plus. Au terme des explications d’Ambrose, elle est, en vérité, en droit de se demander s’il n’y avait pas un peu de sentiments dans tout ça — c’est comme recevoir un coup de poing dans l’estomac, que de penser fugacement que ça pourrait être elle à sa place, dépeignant sa relation avec Ruben en expliquant que malgré le caractère branlant du plan de base, ce qui avait été mis en place n’était pas si déplaisant. Elle comprend qu’il choisit cette tournure de phrase pour ne pas lui donner l’impression d’avoir aimé ce qui se passait, mais Mavis n’est pas idiote, bien qu’elle reconnaisse ici la virtuosité du jeune homme à tordre un discours pour le rendre plus acceptable, en bon politique qu'il est. Elle le fixe plus intensément encore, la tête légèrement inclinée, le corps relâché, mais les sourcils froncés parce qu’elle se concentre pour ne rien louper, son cerveau autant focalisé sur ses paroles que sur sa manière de se tenir quand il soulève un changement dans sa façon de prendre les choses au bout d’un moment donné. Ça a vite changé "Dans quel sens ? Je veux savoir." Elle est impitoyable, Mavis. Ainsi, la question qu’elle lui pose après, elle est aussi indélicate qu’elle est brutale "Il t’a forcé ? A quoi ?" Certainement à faire elle ne sait trop quoi, mais sans avoir vraiment envie de le savoir, elle a une imagination assez prolixe pour anticiper quelle chose exactement Saül aurait pu le forcer à faire. Elle perçoit le tremblement de ses yeux, elle perçoit sa force et sa détermination à rester droit et fort ; elle perçoit surtout la sincérité de sa conclusion qu’il lui donne en reprenant ses mots, ceux qu’elle ne prononce pas sur le moment se voyant transformés par un hochement de tête qui veut dire parfait, question suivante.

Parce qu’elle ne compte pas taire ses autres questions. Sa langue claque contre son palais quand, soudainement, elle sent qu’il est agacé. Rien ne la choque, en effet, elle reste néanmoins mal à l’aise face à la vulgarité, et celle dont fait preuve Ambrose sur l’instant pour mieux expliciter ce qui se passait entre lui et son bourreau, elle la rend prompte à, elle aussi, s’agacer. Elle se redresse sur sa chaise, fronce plus fort les sourcils "Je t’en prie, sois pas si vulgaire." Les murs ont des oreilles. Quand bien même ils sont à l’abri des autres clients du restaurant, ils restent dans un lieu public — elle n’a pas envie qu’on surprenne une conversation de cet acabit. Elle marque un temps de silence, celui dont elle a besoin pour chasser de sa tête l’image d’Ambrose et de Saül. Ça lui fait plus de mal qu’elle ne l’imaginait, mais elle l’a bien cherché, et finalement, après quelques instant à cogiter, elle ose lui demander "Y avait que ça ?" Elle ne reprendra pas ses termes, elle ne s’abaissera pas à ça.

En revanche, elle s’abaisse à autre chose, et c’est au soupçon infondé "Je veux savoir si c’est la vérité, s’il s’est vraiment passé ce que tu dis, et si cet article n’est pas une tactique de ta part pour t’attirer la sympathie du grand public en te rangeant dans la case des victimes." C’est tendance, d’être victime, non ? Qu’il lui en veuille de l’envisager, elle a ses raisons, et elle prend la forme d’une entité qui s’appelle Ruben. Aussi, c’est vrai qu’elle veut savoir ce qu’il a gagné en acceptant le chantage de cet homme dont Mavis ne veut rien savoir, et Ambrose ne lésine pas sur l’honnêteté lorsqu’il lui répond : il a profité de cette histoire pour gagner de vrais avantages. Elle ne peut s’empêcher d’être amère à ce propos, de penser qu’il a mieux avancé son pion qu’elle avec Ruben puisqu’elle, elle n’a pas gagné grand-chose à écarter les cuisses en pensant que ça lui donnerait accès à tout l’or du monde ; elle a des choses à apprendre de lui, c’est une certitude qui la vexe, mais dont elle ne dit rien, continuant à le regarder lorsque sa dernière question l’effleure, et qu’à nouveau, elle se perd un instant dans le silence. La réponse qu’elle a à lui accorder est vaste. Elle n’a pas lu l’article pour des tas de raisons, la première étant le respect qu’elle lui accorde, l’affection qu’elle lui a toujours réservée, et l’amour qui, de plus en plus, s’infiltre dans les ramifications alambiquées de cette relation qu’ils ont tissée. Il y a aussi la certitude qu’elle a que ça l’aurait heurtée, au fond, d’être forcée de faire un parallèle entre cette histoire et celle qu’elle a vécu avec Ruben, bien que dans une moindre mesure qui a toutefois le mérite d’être existante, il y a des différences notoires. Mais globalement, le schéma n’est pas bien différent, et la vérité, c’est qu’au plus le temps passe, au plus elle a honte, et au plus elle regrette tout ce qui s’est passé. Elle déglutit doucement, finit par rouler sa langue contre ses lèvres pour les humecter, ses doigts s’amusant à faire glisser son verre à pied, pour enfin lui dire, une inspiration lui faisant remonter la tête pour affronter ses yeux "Je l’ai pas lu, parce que j’estime qu’un secret est un secret, et que laver son linge sale en public, c’est obscène." Elle ne fera jamais rien d’autre qu’être honnête avec Ambrose, même quand son opinion ne tourne pas à son avantage "Y a d’autres méthodes que celle-ci pour dénoncer quelqu’un avec des mauvaises intentions." ajoute-t-elle, quand un léger rire s’invite dans l’espace qui les sépare "Et puis je préfère en parler avec toi que subir la prose qu'on réserve aux grands articles de journaux." Elle est sûre qu’il n’a pas relaté grand-chose de ce qui s’est passé dans cet article, de toute façon ; elle veut plus de détails, même s’ils la torturent. A nouveau, elle le fixe et lui demande "Pourquoi t’as choisi d’en parler par ce biais ?" Ça aurait pu se régler en interne, ils le savent tous les deux.


    no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.










    :prof::

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Ambrose Constantine
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le vilain petit secret
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ÂGE : 26 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999)
SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde.
STATUT : A Ruben il a proposé un trouple, mais lui veut un harem. Il a donc opté pour un quotidien plus tranquille et normal avec la seule présence de Mavis à ses côtés, plus que suffisante.
MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça.
LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année.
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PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocier
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constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.

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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.

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marose #21 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.

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cassos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.

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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptyMar 3 Déc - 19:30

Mavis Barnes adore ce message


Après s’être petit à petit penché sur la table sans même s’en rendre compte au cours de ses questions précédentes, il se redresse suite à la dernière en date. "T’avais des sentiments pour lui ?" Ses lèvres se fendent d’un sourire amusé, lequel se veut paradoxalement plus froid que jamais. Cette question est sûrement celle à laquelle il peut répondre le plus aisément, sans avoir à y réfléchir à deux fois. « Non. » Cela n’a pas effleuré son esprit, jamais. Tout était stratégique, réfléchi. Il aime les problèmes, mais sans doute pas encore à ce point-là. Elle fait sans doute le parallèle avec Ruben, et il mentirait s’il disait ne pas lui en vouloir de penser à lui dans ce contexte, mais il fait le choix une fois de plus de ne pas amener son prénom ni sa mention dans la discussion. Avouer que sa relation avec Saül n’était pas dégoûtante à ses yeux, au début du moins, représente le maximum des efforts possibles pour ne pas dépeindre un portrait trop hideux du crocodile. "Dans quel sens ? Je veux savoir. Il t’a forcé ? A quoi ?" Le monde autour d’eux avait cessé d’exister tant il se focalisait sur son regard impitoyable et lui en revoyait un semblable en retour, sans que cela soit à connoter négativement. La question qu’elle pose, et le besoin qu’elle a de chercher à savoir comment Saül a fait vriller la maigre excitation du jeu de rôle qui pouvait exister entre eux en un arrangement purement pervers ne l’aidera en rien. Ce n’est qu’une curiosité qui n’a pas sa place entre eux, et sur ce point il se montre intransigeant. « Non. » A nouveau, Ambrose répète. Il croise les bras, clos un très court instant ses paupières pour se focaliser de nouveau sur elle juste ensuite. Peu importe ce qu’elle a derrière la tête à lui poser ces deux questions là, Ambrose juge déjà que c’est trop tordu pour qu’il veuille jouer à ce jeu. « T’es pas stupide. » Encore moins naïve. Elle se doute déjà de ce qu’il tente de lui dire quand il explique que Saül a été violent et qu’il a été trop loin ; ce qu’il veut dire, aussi, quand il explique que leur arrangement a vite changé et que cela n’avait plus rien pour lui plaire un tant soi peu. « Je t’expliquerai pas, Mavis. » Pas par manque de confiance, mais bien parce qu’il refuse d’aborder le sujet, que ce soit avec elle ou avec n’importe qui d’autre. Il n’aurait pas cherché à expliquer dans davantage de détails les autres relations sexuelles qu’il a pu avoir au cours de sa vie, celles avec Saül ne seront jamais l’exception pouvant confirmer la règle.

Et quand il lui explique certains aspects, elle est celle qui botte en touche. "Je t’en prie, sois pas si vulgaire." qu’elle gronde et réprimande, la parfaite Mavis. Ambrose n’en dit rien de plus, il ne creuse pas davantage, mais au fond il est fier comme un enfant ayant réussi à agacer sa mère et à la pousser à bout. "Y avait que ça ?" Elle demande une fois de plus, désormais plus retenue dans ses émotions. Lui aussi reste sur cette même base neutre. « C’était assez. » Il n’y avait que ça, il n’y a toujours eu que ça. C’était sa propre limite et, comme il le dit, c’était aussi déjà bien assez, tant pour contenter le crocodile que pour se sentir impropre. "Je veux savoir si c’est la vérité, s’il s’est vraiment passé ce que tu dis, et si cet article n’est pas une tactique de ta part pour t’attirer la sympathie du grand public en te rangeant dans la case des victimes." Et s’il lui en veut d’avoir cherché à obtenir les détails de ses rapports sexuels avec Saül, de cette question-là il se trouve au contraire être paradoxalement heureux de sa formulation. Ou sans doute qu’heureux n’est pas le terme, en réalité, mais il est satisfait qu’elle ne semble pas craindre de la lui poser, là où personne d’autre n’aurait jamais osé formuler de tels mots le concernant. Et encore moins face à lui directement. Cette audace lui vaut une réponse aussi développée que possible, en plus de se montrer évidemment véridique. « C’est la vérité. » L’article a été écrit par un bon journaliste, les tournures de phrases ont été trouvées pour pencher en la direction d’Ambrose à coup sûr, mais ça n’en reste pas moins la vérité. L’affaire conclue d’un commun accord devenue véritable piège ; c’était vrai. Mais. « Mais c’était aussi une stratégie, oui. » Certain que personne ne les entend autour d’eux, il l’avoue calmement, sans culpabilité. « Saül était devenu trop instable, je savais qu’il allait finir par jouer au chantage. J’avais besoin de le devancer. » Et rien de mieux pour cela que de le faire dans un article facilement relayé, dans lequel il a pu choisir la tournure de chaque phrase et ainsi s’assurer de sa bonne image. Quoi de mieux pour le devancer que de l’humilier publiquement en en faisant un prédateur, un homme immonde - quoiqu’aux yeux d’Ambrose, ces points-là n’ont guère eus à être exagérés dans le récit. « J’ai choisi de m’exposer mais de choisir dans quelle mesure. » Elle a eu droit à des détails que le grand public ne connaîtra jamais, par exemple. « Je suis pas une victime, j’ai juste voulu jouer trop rapidement dans la cour des grands. » Saül n’est pas le loup noir, lui n’est pas la frêle brebis. Tout est bien plus nuancé que ça, n’en reste pas moins qu’il a échangé du sexe contre des faveurs, n’en reste pas moins qu’il l’a frappé, n’en reste pas moins qu’il a été l’acteur de certains de ses cauchemars les plus prenants. Aussi transparent est-il, il n’en reste pas moins un homme, et il est bien connu que les hommes n’ont pas peur, ne sont pas faibles, ne se font pas avoir. Jamais. « Et lui s’est brûlé les ailes. » Ambrose ayant porté le briquet près de ses plumes.

L’article, donc. Lui aussi se montre curieux, surtout sur un bout de quelques centaines de mots lui ayant donné tant de mal à écrire et conter auprès de son frère. "Je l’ai pas lu, parce que j’estime qu’un secret est un secret, et que laver son linge sale en public, c’est obscène." Il comprend son point de vue. Il n’adhère pas, ses méthodes sont différentes, mais il trouve assez véridique l’idée selon laquelle les femmes trouvent souvent davantage le moyen d’attaquer autrui par des biais détournés plutôt que frontalement. Ce n’est pas un reproche, bien au contraire. "Y’a d’autres méthodes que celle-ci pour dénoncer quelqu’un avec des mauvaises intentions." D’autres ont été étudiées, il mentirait s’il affirmait le contraire. "Et puis je préfère en parler avec toi que subir la prose qu'on réserve aux grands articles de journaux." Elle veut en savoir plus que n’importe quel lecteur lambda ayant pu tomber sur l’article, surtout. Elle veut conforter l’idée selon laquelle sa position privilégiée auprès d’Ambrose lui ouvre des portes. "Pourquoi t’as choisi d’en parler par ce biais ?" - « C’était supposé aider à lancer la carrière d’August. » Son nom est écrit en bas de page, après tout. Il a écrit ce papier qu’elle n’a jamais voulu lire ; elle ne sait donc peut-être pas que son frère l’a signé. « C’était aussi une bonne excuse pour pouvoir en parler à mon frère et pas à un inconnu. » Tout comme cela lui a permis de le préparer avant de tout rendre publique, une délicatesse qu’il n’aurait peut-être pas pris le temps d’avoir si les circonstances avaient été différentes. « Je pouvais pas le faire frontalement. Je voulais pas non plus me pointer dans une manifestation ou une conférence. » laquelle aurait été portée sur les violences sexuelles ou un thème du genre ; là-bas, en effet, il se serait senti tel un imposteur, il l’avoue. « C’est obscène mais c’est œil pour œil et dent pour dent. » C’était aussi obscène quand il baissait son pantalon, mais de ça personne n’en parle réellement. Ambrose refuse de se sentir coupable dans cette situation. « Tu m’as regardé différemment, après cette histoire ? » Il s’interroge à son tour, se demande quel a été le cheminement de pensées plus précis dans l’esprit de Mavis. Il y a eu un avant et un après, c’est certain, mais est-ce qu’au final ce n’est pas cet article qui a aidé à mettre davantage la lumière sur lui ? Qu’il l’a poussée un petit peu plus dans ses bras, à nouveau ?


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Mavis Barnes
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@Ambrose Constantine & Mavis Barnes

"Tu peux pas m’en vouloir de te poser la question." Au sujet des sentiments qu’il n’avait donc pas pour Saül Williams. Elle n’a pas besoin d’expliciter pourquoi il ne peut pas lui en vouloir. Lui non plus n’est pas stupide, il sait parfaitement quel genre de corrélations elle est tentée de faire pour expliquer qu’il semble toujours se fourrer dans des relations dans lesquelles il endosse à chaque fois, ou c’est comme ça qu’elle le perçoit de l’extérieur en tout cas, le rôle du dominé. D’ailleurs, forcée de supporter son refus de lui en dire plus sur ce que Saül l’a contraint à faire, elle rompt le pacte tacite qu’ils ont passé il y a des lustres maintenant, et mentionne l’autre entité qu’ils s’obstinent à tenir loin de leur couple depuis qu’ils se sont aperçus qu’il lui était néfaste, et lui demande "Tu lui as expliqué, à lui ?" A Ruben. Est-ce qu’Ambrose a fait ce qu’il fait à chaque fois qu’il a besoin qu’on le caresse dans le sens du poil, et est allé se rouler en boule auprès de lui pour lui donner tous les détails qu’il refuse donner à Mavis ? Ce n’est pas de la jalousie qui l’incite à lui poser cette question, plus le sentiment qu’Ambrose choisit soigneusement avec qui jouer la vierge effarouchée pour récolter mots doux et caresses étant donné qu’elle, malgré son égard pour lui, elle n’est pas assez émotive pour juger bon le plaindre et le dorloter en conséquence.

La preuve avec l’explication qu’elle lui donne. Elle veut connaître la vérité, savoir si ce qu’Ambrose a raconté dans cet article peut être placé dans cette catégorie, et si son récit n’est pas calqué sur la vendetta mondiale qui rend coupable de harcèlement, et autre, le moindre homme dont les yeux ont le malheur de trop s’attarder sur un décolleté ou sur une chute de reins. Il ne s’offusque pas qu’elle soit si frontale, et sans lui faire plaisir, ça la soulage néanmoins ; elle ne veut pas le heurter, elle juge quand même que c’est pour son bien, de ne pas le traiter avec pitié et complaisance. Et puis de toute façon, elle a joué à la gentille fille accommodante pendant trop longtemps pour vouloir continuer à marcher sur des oeufs aujourd’hui, surtout avec un petit ami qui, avant de le (re)devenir, avait été un ami à qui elle était sûre de pouvoir parler — pas de tout, mais presque. Elle l’observe fixement, sonde son âme en plongeant ses yeux à distance dans les siens pour tacher d’anticiper la réponse qu’il s’apprête à lui fournir et qui table sur une vérité, donc. Mouais, qu’elle pense en ne le disant pas. Elle penche la tête sur le côté, plisse très brièvement les paupières pour l’encourager à continuer puisque, il l’a souligné quelques instants plus tôt, elle n’est pas stupide, et qu’elle sait au plus profond de son être, ce sans comprendre vraiment pourquoi toutefois, que ce n’est pas aussi simple que ça, et qu’il y a un mais qui mérite d’être soulevé.

Bingo. Il la devance avant qu’elle ne le prononce du bout des lèvres, celles qui se fendent d’un léger sourire lorsque, entendant ses paroles, elle se permet de commenter, flegmatique "T’as bien avancé ton pion, c’est plutôt malin." S’il a besoin de la preuve qu’elle n’est pas dans une démarche de jugement, il l’a là. Mavis veut connaître les tenants et les aboutissants de tout ça pas pour son plaisir personnel — elle n’en ressent aucun à l’idée d’imaginer Ambrose et cet homme faire ce qu’il l’a forcé à faire, bien au contraire. Elle veut connaître les tenants et les aboutissants de tout ça pour savoir si Ambrose n’a réagi qu’en victime, ce qui serait à ses yeux, plus insupportable encore que d’imaginer qu’il avait été assez faible pour se laisser dicter la marche à suivre par un pervers narcissique. Elle ne le lâche pas du regard "Personne te le reproche." D’avoir voulu jouer trop rapidement dans la cour des grands. L’intensité du contact visuel s’intensifie pendant qu’elle continue à sa suite "Exactement. Toi, t’es encore là, et t’as la vie devant toi. Il ne peut clairement pas en dire autant." Elle sait qu’une partie d’elle fait un transfert, et que ricaner du sort mortifère de Saül Williams, c’est ricaner du sort de celui de sa soeur en même temps. Mais comment se priver de savourer d’avoir su provoquer le destin pour retourner la vapeur et rétablir un certain ordre ? Sans y penser, elle complète "Il doit surement manquer à personne." Pas comme Marion qui manque à tout le monde. Mais à ça, elle ne préfère pas y penser.

Elle préfère s’étendre sur ce qui l’a poussé à ne pas lire l’article dans lequel est relaté ce qu’Ambrose a subi "C’est lui qui l’a écrit ?" Elle n’a pas lu l’article, elle ne sait pas que l’entourage d’Ambrose est impliqué. Bien sûr qu’à la mention d’August, elle réalise qu’il a voulu non seulement donner un coup de pouce à sa carrière, mais pas seulement. Elle arque un sourcil "Il l’a pris comment ?" Si tant est qu’il soit autorisé à le prendre d’une façon ou d’une autre "Ça a dû être difficile." Elle imagine sans mal que la démarche d’Ambrose n’a pas été facile, qui plus est en racontant ce genre de faits à quelqu’un d’aussi proche de lui. Discrètement, elle tend le bras dans sa direction, ce dernier longeant le pourtour de leur table pour que sa main vienne délicatement, tendrement, se poser sur l’avant-bras d’Ambrose. Ses doigts s’arrêtent à son poignet, se glissant doucement sous la barrière épaisse de la manche de sa veste pour le caresser du bout des doigts, s’autorisant enfin à réagir davantage comme une petite amie que comme une enquêtrice chevronnée ; elle a peut-être raté sa vocation, finalement. Elle relève les yeux à sa dernière question, hoche la tête à la négative avant toute chose "Pourquoi je t’aurais regardé différemment ?" Elle l’a fait un tout petit peu, en vérité. Sans ses explications, elle avait été tenté de le juger à la même hauteur que tous les pleutres de cette planète, ceux qui pleurent pour un oui pour un non, mais avec ses explications dument acquises ? Elle ne peut que saluer sa force de caractère et son jeu "Il arrive des choses horribles à plein de gens tous les jours. Certains se complaisent dans ça et en font une bonne excuse pour se reposer sur leurs lauriers et justifier leur manque d’ambition ; toi, t’as repris le contrôle du récit, et t’as utilisé ce qui t’es arrivé pour en tirer quelque chose qui nourrit tes intérêts." Elle hausse les épaules, son index continuant de suivre la ligne de son poignet sous le liseré de sa manche boutonnée. Pour certaines personnes, la manière dont Ambrose a renversé la vapeur serait une preuve d’une forme de vice qui ne rebute pas Mavis dont les yeux restent accrochés aux siens lorsqu’elle ajoute, plus sérieuse que jamais "Je te vois pas comme une victime, encore moins comme un opportuniste. Je suis plutôt fière de toi, en fait." admet-elle, lâchant enfin son poignet pour récupérer sa main, et la glisser sous son menton qu’elle maintient dans sa paume en posant son coude au bord de la table "C’était toi ou lui. T’as fait ce qu’il fallait." conclut-elle, son attention toujours entièrement dirigée vers lui.


    no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.










    :prof::

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Ambrose Constantine
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le vilain petit secret
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ÂGE : 26 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999)
SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde.
STATUT : A Ruben il a proposé un trouple, mais lui veut un harem. Il a donc opté pour un quotidien plus tranquille et normal avec la seule présence de Mavis à ses côtés, plus que suffisante.
MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça.
LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année.
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PSEUDO : Kaelice
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Message(#)(marose #19) whatever you do, don't ever play my game EmptyJeu 5 Déc - 12:25

Mavis Barnes adore ce message


"Tu peux pas m’en vouloir de te poser la question."
« Si, Mave. »

Elle ne sera pas celle qui lui dictera ce qu’il peut ou ne peut pas ressentir, et elle sera encore moins celle qui érige des barrières dans la susceptibilité d’Ambrose. Il n’en fera pas une scène, il ne cherchera pas à creuser, mais il continuera de lui en vouloir si de l’autre côté elle continue d’utiliser la moindre opportunité se présentant à elle pour imaginer que son petit-ami a eu des sentiments malvenus. Il y a Ruben, il ne l’a jamais nié, mais il n’y a que Ruben et s’il n’est pas tout lisse, il n’est pas du genre à aller voir ailleurs, quand bien même l’histoire avec Saül ne se superpose avec aucune relation amoureuse - et justement, il y avait bien une raison à ça. "Tu lui as expliqué, à lui ?" Son visage vrille légèrement, l’air de lui demander si t’es sérieuse là ?. De toute évidence, elle l’est, alors il continue de jouer le jeu de la sincérité. « Non. » Ce n’est pas une question de savoir qui des deux est son préféré, ce n’est pas non plus question de savoir qui a gagné cette bataille là à défaut de la guerre. Il refuse d’en parler pour des raisons personnelles, d’ego autant que de simple estime de soi, et à ça même Ruben ne fait pas exception, elle peut en être rassurée. « Vous avez pas besoin de savoir. Ni l’un ni l’autre. » Tout comme lui, en retour, n’a donc pas besoin d’en faire une partie de ses confessions. A l’un ou à l’autre, ou à n’importe qui d’autre dans cette foutue ville. Peut-être que Mavis aurait pu oser jusqu’à aller demander à Saül mais, de toute évidence, elle ne le peut déjà plus. Tant mieux, dans tous les sens du terme.

"T’as bien avancé ton pion, c’est plutôt malin." Il aurat pu largement mieux jouer mais il a au moins fait de son mieux pour éviter davantage de pots cassés, quitte à contenir dans ces derniers Damon et sa femme. Ils sont des victimes collatérales, ils ne sont donc pas le problème d’Ambrose. "Personne te le reproche." Lui seul le fait, il en est conscient. Cela ne l’a pourtant pas poussé à abandonner son rêve d’appartenir à la cour des grands. Jamais. "Exactement. Toi, t’es encore là, et t’as la vie devant toi. Il ne peut clairement pas en dire autant. Il doit surement manquer à personne." Non. Il n’était pas une bonne personne, c’est une évidence connue de tous. Pour que son propre fils se soit allié à l’article, il n’était vraiment pas une bonne personne. « Tout le monde est mieux sans lui. » Ambrose, Damon, la ville sur laquelle il avait soudainement pour ambition de régner, sans que quiconque puisse penser qu’il aurait su davantage mieux mener la barque qu’il en a été le cas sur les dernières années de son entreprise.

"C’est lui qui l’a écrit ?" Il hoche la tête. Ambrose a aidé, il a murmuré des idées, mais August est celui qui a écrit l’article. Il a su trouver les tournures, il a su être incisif ; il est bon, sincèrement, mais il ne vise jamais assez haut dans ses ambitions pour que le reste du monde le sache. "Il l’a pris comment ? Ça a dû être difficile." Elle semble abandonner l’interrogatoire pour se concentrer un temps sur une question plus personnelle, plus souvent associée aux sujets de couple, justement. « Il était plus bas que terre. » Il est le grand frère qui avait eu l’impression de ne pas avoir su le protéger et, qui plus est, de ne pas avoir su lui apprendre la limite entre le bien et le mal et une bonne et une mauvaise idée. Puisqu’il ne lui a rien appris, néanmoins, cela n’aurait jamais dû être une surprise. August ne le connaît que très peu ; tout comme Ambrose ne le connaît que très peu aussi. Ils partagent un sang commun, une apparence semblable, et c’est sans doute le maximum qui puisse les unir. « Mais il a pas eu le même discours que toi. » Face à August, il n’était qu’une victime, un gamin à qui on avait promis une sucette avant de l’enfermer dans une camionnette. Il y avait eu de ça, brièvement, très brièvement, mais c’est ce sur quoi il a fondé toute son histoire, au contraire de ce qu’il dit face à Mavis. Elle a le discours plus exhaustif, de toute évidence ; ce même discours qu’il n’aurait jamais pu partager avec son frère. Ses mots s’ajoutent les uns aux autres en même temps qu’il caresse doucement sa peau au passage de ses doigts contre sa propre peau. Ils sont durs l’un envers l’autre, mais il ne doute pas de la sincérité de leurs sentiments respectifs. "Pourquoi je t’aurais regardé différemment ?" - « Pour plein de raisons. » Face à elle, il ne jouera pas l’innocent. Face à elle, il n’agira pas non plus comme si de rien n’était et comme si tout ce qu’il vient de lui avouer est purement anodin et sans conséquences. Ce n’est pas le cas, les adultes qu’ils sont devenus le savent parfaitement. Il lui a avoué des atrocités en gardant la tête haute, et si elle a fait bien pire, il aurait pu comprendre que son regard change. Néanmoins, il est bel et bien rassuré que ce ne soit pas le cas.

Pourtant, elle prend le temps d’expliquer davantage son point de vue et il l’écoute avec curiosité autant qu’avec attention. "Il arrive des choses horribles à plein de gens tous les jours. Certains se complaisent dans ça et en font une bonne excuse pour se reposer sur leurs lauriers et justifier leur manque d’ambition ; toi, t’as repris le contrôle du récit, et t’as utilisé ce qui t’es arrivé pour en tirer quelque chose qui nourrit tes intérêts." Il a fait ce qu’il a pu avec ce qu’il avait, tout en cherchant à continuer à nourrir ses ambitions. Le récit n’est pas aussi prodigieux que ce qu’elle tente de lui raconter mais, dans l’idée, c’est bien ce dont il est question. Ambrose ne lui donne pas tort, justement parce qu’elle n’est pas en tort. "Je te vois pas comme une victime, encore moins comme un opportuniste. Je suis plutôt fière de toi, en fait. C’était toi ou lui. T’as fait ce qu’il fallait." Un mince sourire s’impose désormais sur le visage de l’australien. Qu’on soit fier de lui, c’est toujours une idée qui lui procure une satisfaction immense, différente de toute le reste. Il adorait quand Norman était fier de lui. « J’ai fait ce que je devais faire. » Son poignet se vrille légèrement pour que ses doigts puissent accéder au poignet de Mavis et le caresser avec une douceur dénotant tout particulièrement la froideur de son discours. Elle sait, maintenant, que la force de ses convictions est à la seule hauteur de ses ambitions et qu’il ne laissera rien ni personne lui mettre de barrières. « Je ferai toujours ce que je dois faire. » Pour se protéger lui, d’abord, pour protéger les autres, ensuite. Sur ce point, il anticipe déjà que Mavis le comprendra parfaitement. « Tout a un prix, on le sait. » Au-delà de le savoir, ils sont surtout tous les deux prêts à le payer au besoin, et cela n’a rien d’un reproche qu’il tente ainsi de lui inculquer. Leur plat finir par arriver, marquant sans doute à sa façon le lent changement de direction de leur discussion.


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