ÂGE : 30 ans SURNOM : Jerk, cqfd STATUT : Célibataire, laissez le tranquille, ça vaudra mieux pour tout le monde MÉTIER : répare des vieux appareils électroménagers aussi brisés que lui LOGEMENT : vit à Toowong avec son chien Braco, un Jack Russel un peu dingue, un appart qu'il partageait avec son ex, avant qu'elle s'en aille. POSTS : 57 POINTS : 110
TW IN RP : drogue - agressivité - homophobie, transphobie. TW IRL : NoneGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : a un bracelet electronique suite à une condamnation pour détention et vente de drogue - couvre feu à 21h tous les soirs non négociable - dévore des livres sans le dire à personne - travaille à FixIt, une société qui répart des appareils électroménager car il est grillé dans son secteur de prédilection : la banque - n'a plus de contact avec sa famille avec qui il a coupé les ponts par manque de soutien de leur part après sa condamnation, sauf son cousin débile Roméo. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Jeck grogne en #006666 RPs EN COURS : Marybeth#2
Jeck ouvrit les yeux, la lumière du matin filtrant à travers les stores de sa chambre. Il attrapa son téléphone d’un geste machinal et remarqua une notification. Le message, envoyé par les autorités, était clair : à cause des incendies qui ravageaient les environs de Brisbane, des coupures d’électricité pourraient survenir dans certaines zones. Si cela se produisait, les personnes sous surveillance électronique devaient immédiatement se rendre au commissariat le plus proche pour signaler la panne. Un lien précisait également que ceux concernés seraient transférés dans un centre d’accueil jusqu’au rétablissement du courant. Jeck soupira profondément, ses doigts pianotant nerveusement sur la table de chevet. La journée s’annonçait déjà pénible. Quelques minutes plus tard, il réalisa que l’électricité était bel et bien coupée. Le silence inhabituel de son appartement confirma l'absence des habituels bourdonnements d’appareils électroménagers et son téléphone dont la batterie n'avait pas pleinement chargée durant la nuit aussi.
Enfilant un vieux sweat, il prit ses clés et se dirigea vers le commissariat. À son arrivée, un officier vérifia son identité et confirma la procédure. On lui pointa sur une carte où se trouvait le centre d'accueil de la ville. Un dispositif serait présent sur place pour gérer les cas peu problématiques comme lui. « Prenez ce papier et présentez-vous là-bas immédiatement. »
Une heure plus tard, Jeck se retrouvait assis sur une chaise en plastique dans une salle polyvalente bondée, au milieu de gens tout aussi blasés que lui ou d'autres, paniqués et très inquiets de la situation dehors. Les murs étaient décorés de vieilles affiches d’information, et le café tiède servait d’unique réconfort. « Super journée », marmonna-t-il pour lui-même. Regardant les visages autour de lui, il se demanda combien de temps cela durerait. Pourtant, au fond, il savait qu’il n’avait pas le choix. «Une de ces pannes à la con qui rend la vie encore plus... électrique.» pas peu fier de sa vanne, il en riait jaune tout seul sur sa chaise. Il se demandait combien de temps ça allait durer. Il avait reçu un appel de son référent de l'association The Bridge pour savoir si tout se passait bien pour lui. « T'inquiète, j'suis au centre. Ouais ouais... j'suis passé... ouais, la boite est fermé aujourd'hui, tu t'doutes bien. Ouais... c'est bon Franck, t'es relou là. » il tournait en rond sur lui même, avec son téléphone collé à la joue, il parlait pas trop fort, contrairement à Franck qui insistait bien pour s'assurer que Jeck avait bien signalé à son commissariat qu'il ne pourrait surement pas être chez lui à 21h. « J'vais passer la nuit sur un matelas de fortune, alors t'inquiète que j'aurai préféré être chez moi à 21h ! » il regardait pas trop où il allait, les vas et viens sans cesse, montrant qu'il ne tenait pas en place. « Vas-y, j'raccroche, j'ai plus d'bat- Oh ! fais gaffe non?!» fit-il, sur un ton dur à la personne qui venait de lui rentrer dedans - en réalité, c'est lui qui venait de lui rentrer dedans.
Don't get too close
When the days are cold And the cards all fold And the saints we see Are all made of gold. Don't get too close It's dark inside It's where my demons hide It's where my demons hide.
Olive Sterling
les cendres du passé
ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7410 POINTS : 290
TW IN RP : Dépression TW IRL : A discuter par mp si besoin.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #c46f84 RPs EN COURS :
Aaron #3 ♡ I'm dancing in the dark with you between my arms, barefoot on the grass, listening to our favourite song. When you said you looked a mess, I whispered underneath my breath, but you heard it, darling, you look perfect tonight.
Nina ♡ Family isn't defined only by last names or by blood it's defined by commitment and by love. It means showing up when they need it most. It mens having each other's backs. It means choosing to love each other even on those days when you struggle to like each other. It means never giving up on each other.
Lucas #4 ♡ Took a while, was in denial when I first heard that you moved on quicker than I could've ever, you know that hurt swear for a while I would stare at my phone just to see your name but I don't really care how bad it hurts, when you broke me first.
Hélen #4 ♡ Feeling like a drop in the ocean that don't nobody notice maybe it's all just in your head. Feeling like you're trapped in your own skin and now your body's frozen. broken down, you've got nothing left
Olive a la désagréable sensation de revivre un nouvel événement terrifiant qui viendra sans aucun doute chambouler l'intégralité de son quotidien. Le mois de décembre s'annonçait pourtant beau, jusqu'à cet incendie du moins. Elle n'avait rien remarqué jusqu'au message prévenant les habitants de être extrêmement vigilant. Alors, elle avait lentement levé les yeux de son ouvrage pour prendre pleine conscience de la situation en route au dehors. Le ciel avait prit une teinte bien différente, ne pouvant que faire imaginer le pire à la jeune femme qui s'inquiéta aussitôt pour les membres de sa famille. Elle avait l'impression d'avoir raté un épisode entier de sa propre vie tant elle était restée enfermer dans sa chambre pour potasser. Autant dire que le retour à la réalité était plus que effrayant. Une fois rassurée de savoir ses proches en sécurité, Olive s'attarda encore quelques instants sur son téléphone pour prendre pleinement conscience de l'urgence de la situation. Ce qui ne manqua pas de l'impressionner. Elle avait tout d'un coup l'impression d'être une petite tache gênante alors que l'univers entier soufflait sur Brisbane des cendres aux couleurs vermeil. Un décor d'apocalypse impressionnant. Dans la foulée de l'urgence, Olive tapota quelques mots à ses connaissances dans le milieu médical, après tout cela, il était certain qu'elle ne voulait pas garder les mains dans ses poches, et encore moins la tête dans les leçons alors que le pire se produisait. Olive n'était pas du genre à rester passif, encore moins alors que sa ville partait en fumée petit à petit. Hors de question de ne pas se rendre utile pour ceux qui en ont besoin, un programme qui de toute évidence lui convient bien mieux sur l'instant.
La brune se présente timidement au centre d'accueil pour se porter volontaire après les indications de son amie infirmière. Elle ne sait pas encore à quoi s'attendre, mais elle est prête à tout, c'est une certitude. Du moins, tant que ces possibilités rentrent dans ses cordes. Remettre des couvertures aux nouveaux arrivants, se tenir disponible pour bavarder et rassurer chacun, même si elle en doutait elle-même au vu de la situation. Mais c'était son rôle de prendre les choses à la légère et d'être une voix rassurant pour ceux qui en ont besoin. Olive a les bras chargés de nouvelles couvertures que des bénévoles viennent de mettre à disposition du centre d'accueil. Elle circule dans les allées afin de déposer le tout à ceux qui n'en auraient pas encore la chance quand un poids la bouscule. « Oh ! fais gaffe non?!» La brune rattrape les couvertures qu'elle a malencontreusement lâcher dans l'accident avant de planter son regard dans l'inconnu. « Je vous demande pardon? » Parce que l'Australienne, elle était persuadée d'avoir fait attention à ce qui l'entourait à la différence de cet énergumène. « N'hésitez pas à être plus sympa, vous verrez ce sera plus agréable pour tout le monde. » Olive n'était pas en colère, mais il n'était pas question qu'elle soit le problème de cette bousculade alors que l'homme semblait tout simplement en position de force sur elle juste pour le plaisir.
i'm stronger now
Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..
:
Jeck Tucker
le second souffle
ÂGE : 30 ans SURNOM : Jerk, cqfd STATUT : Célibataire, laissez le tranquille, ça vaudra mieux pour tout le monde MÉTIER : répare des vieux appareils électroménagers aussi brisés que lui LOGEMENT : vit à Toowong avec son chien Braco, un Jack Russel un peu dingue, un appart qu'il partageait avec son ex, avant qu'elle s'en aille. POSTS : 57 POINTS : 110
TW IN RP : drogue - agressivité - homophobie, transphobie. TW IRL : NoneGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : a un bracelet electronique suite à une condamnation pour détention et vente de drogue - couvre feu à 21h tous les soirs non négociable - dévore des livres sans le dire à personne - travaille à FixIt, une société qui répart des appareils électroménager car il est grillé dans son secteur de prédilection : la banque - n'a plus de contact avec sa famille avec qui il a coupé les ponts par manque de soutien de leur part après sa condamnation, sauf son cousin débile Roméo. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Jeck grogne en #006666 RPs EN COURS : Marybeth#2
Il stoppa net, le choc fit voler quelque chose, comme une ombre qui passait devant ses yeux et il remarqua que c'était des couvertures quand il baissait la tête. Il leva les yeux, toujours le téléphone à l’oreille. Il se pencha légèrement pour ramasser l’un des tissus tombés, mais une voix féminine, claire et étonnamment calme, répliqua avant qu’il n'ait pu en dire plus. « Je vous demande pardon ? » Il se redressa complètement et croisa le regard d’une femme chargée de couvertures. Son visage exprimait un mélange de surprise et de reproche, mais elle gardait une contenance impeccable. Jeck, toujours au téléphone, lâcha un soupir agacé. « Attends, Franck. » Il baissa l’appareil un instant pour répondre à la jeune femme. « Vous pouviez pas faire attention, non ? J’suis pas transparent, hein. » Elle ne se démonta pas, haussant légèrement un sourcil. « N'hésitez pas à être plus sympa, vous verrez, ce sera plus agréable pour tout le monde. »
La répartie lui fit un effet étrange. Il ouvrit la bouche pour répondre quelque chose de cinglant, mais s’arrêta. Franck, toujours en ligne, lui parlait dans un brouhaha indistinct, Jeck ne comprenait pas ce qu'il disait et en même temps, il n'écoutait pas. Jeck se ressaisit. « Ouais, ouais, attends deux secondes. » Il coupa enfin l’appel d’un geste brusque, glissant son téléphone dans sa poche. Franck allait sans doute rappeler, quelques secondes plus tard pour s'assurer que Jeck ne venait pas de lui raccrocher au nez pour de vrai et surtout, pour s'assurer qu'il allait bien rester au centre jusqu'à ce qu'on lui dise qu'il pouvait rentrer chez lui. Il n'était pas question qu'il profite de n'avoir pas le signal de son bracelet relié à son récepteur pour aller se promener après 21h. De toutes façons, Franck lui trouverait surement une mission à faire pour que ça n'arrive pas. Mais là, Jeck ignorait avec plaisir son téléphone qui vibrait à nouveau dans sa poche. Son regard revint sur la jeune femme. Elle avait déjà récupéré les couvertures tombées et semblait prête à repartir, mais il ne pouvait pas s’empêcher de dire quelque chose. « Désolé, c’était pas… Enfin bref, désolé. J’suis juste... sur les nerfs, OK ? Vous êtes volontaire ici, c’est ça ? » demanda-t-il d’un ton presque maladroit, comme pour combler le silence et apaiser un peu la tension. « Donne moi ça, j'vais t'aider. » Jeck, persuadé qu'une femme ne pouvait s'en sortir toute seule avec cette enorme charge que représentait les couvertures. Au moins 3 paquets de farines, oh oui, c'était trop. Il se chargait également les bras et serait capable de demander une photo pour l'envoyer à Franck, histoire qu'il arrête de lui coller les basques deux minutes. « t'allais où comme ça ? »
Don't get too close
When the days are cold And the cards all fold And the saints we see Are all made of gold. Don't get too close It's dark inside It's where my demons hide It's where my demons hide.
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ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7410 POINTS : 290
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Nina ♡ Family isn't defined only by last names or by blood it's defined by commitment and by love. It means showing up when they need it most. It mens having each other's backs. It means choosing to love each other even on those days when you struggle to like each other. It means never giving up on each other.
Lucas #4 ♡ Took a while, was in denial when I first heard that you moved on quicker than I could've ever, you know that hurt swear for a while I would stare at my phone just to see your name but I don't really care how bad it hurts, when you broke me first.
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Peut-être que oui, elle aurait pu faire davantage attention à ce qui semblait être autour d'elle. Olive était persuadée de faire tous les efforts nécessaires pour ne percuter personne malgré ses bras chargées de couvertures à distribuer. Alors oui, elle était assez surprise qu'on lui indique de faire attention, surtout avec ce ton. Après tout, elle ne faisait que son "travail" Olive, ce n'est pas comme si elle était en vadrouille, circulant dans les pieds des gens sans la moindre excuse. « Attends, Franck. » Le regard d'Olive se balade entre le téléphone et le visage de l'inconnu qui ne semble pas le moins du monde désolé d'être un boulet. « Vous pouviez pas faire attention, non ? J’suis pas transparent, hein. » La bouche d'Olive s'ouvrit dans un grand O pour signifier sa surprise. Décidément, il ne manquait pas de culot celui-là. « Vous savez où vous êtes monsieur ? » Parce qu'il n'avait clairement pas l'air de prendre conscience de l'endroit où il était, à se promener ainsi le téléphone à l'oreille sans esquisser un regard pour ceux qui se démènent dans cet enfer. S'il voulait profiter d'un camp de vacances, il n'avait qu'à se retrouver un autre centre d'accueil après tout.
« Ouais, ouais, attends deux secondes. » Olive aurait été plus que ravie de pouvoir mettre ses mains sur ses hanches si les couvertures dans ses bras ne prenaient pas autant de place devant le comportement grossier de l'inconnu. Elle n'était clairement pas du genre à tenir tête aux autres, mais il exagérait drôlement les choses avec son air nonchalant. Pourtant, d'autres avaient besoin d'elle, et il n'était pas question de se prendre la tête avec cet homme qui n'en valait clairement pas la peine. Au mieux, il serait simplement privé d'une couverture pour la nuit et ce serait une punition suffisante aux yeux de la jeune femme. Profitant d'une distraction, Olive récupéra les objets à ses pieds pour remettre le tout dans ses bras, priant pour qu'une nouvelle chute n'intervienne pas de si tôt. Un pas en arrière, elle s'apprêta à repartir pour mener à bien sa mission. « Désolé, c’était pas… Enfin bref, désolé. J’suis juste... sur les nerfs, OK ? Vous êtes volontaire ici, c’est ça ? » Un sourcil s'arqua sur le visage de la brune qui ne comprenait pas ce changement de ton. « Mh, oui. » Il n'était pas question d'excuser les agissements du jeune homme, mais il n'était pas non-plus question qu'elle se retourne sans au moins une réponse à sa question. « Donne moi ça, j'vais t'aider. » La réaction d'Olive reste sans retour alors que les couvertures disparaissent de ses bras pour tomber dans ceux de l'homme. « t'allais où comme ça ? » Si la vie était un cartoon, Olive aurait la mâchoire qui se décrocherait jusqu'au sol à cet instant. « A quoi vous jouez au juste ? » Ce revers de comportement en lui indiquait rien de bon. Et elle était certaine que cet homme n'était pas un bénévole non-plus, elle n'avait donc pas besoin qu'il vienne tout d'un coup à son secours. « Vous n'avez pas mieux à faire d'ailleurs? » Comme disparaitre de son champs de vision pour le reste de la journée? Son ton était calme, elle cherchait simplement à comprendre ce qui maintenant avait l'air d'avoir de l'importance pour le blond.
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Jeck Tucker
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ÂGE : 30 ans SURNOM : Jerk, cqfd STATUT : Célibataire, laissez le tranquille, ça vaudra mieux pour tout le monde MÉTIER : répare des vieux appareils électroménagers aussi brisés que lui LOGEMENT : vit à Toowong avec son chien Braco, un Jack Russel un peu dingue, un appart qu'il partageait avec son ex, avant qu'elle s'en aille. POSTS : 57 POINTS : 110
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« Vous savez où vous êtes monsieur ? » Ayant raccroché avec Franck, laissant l’autre homme au bout du fil sans pouvoir terminer sa phrase, Jeck posait ses yeux sur la demoiselle. Il regarda autour d’eux, le prenait-elle pour un idiot? Il avait surement pris bien plus la mesure que tous ceux qui se trouvaient ici. Non seulement, il se retrouvait hors de chez lui, pour une simple coupure de courant mais en plus, il était obligé, plus que quiconque ici, à rester dans cette salle pour les heures voir les jours à venir. Alors oui, il savait où il était, dans une prison. Sa prison. Donc non, ça ne l’enchaitait pas d’être dans le coin mais il était hors de question que cette jeune femme puisse porter le moindre jugement négatif sur sa personne, pour la seule raison qu’il avait un bracelet electronique qu’il s’efforçait de garder bien caché sous son pantalon. Pantalon pour lequel il se serait bien passé aussi vu les températures suffocantes autour d’eux, encore plus pénible avec cet incendie aux portes de la ville. Mais Jeck avait pris l’habitude depuis un an et demi à ne plus se déshabiller en public, ou du moins, ne plus montrer ses jambes. Il détourna les yeux un instant, tentant de calmer les pensées parasites qui l’envahissaient. L’endroit, bruyant et chargé de tension, ne faisait qu’alimenter son malaise. Pourtant, quelque chose le retenait là, l’empêchait de juste balancer les couvertures sur une table et de reprendre ses mouvements incessants à travers le centre. Pour ne pas entrer en conflit avec la première venue et surtout ne pas être à découvert, il ravala sa fierté et s’excusa, allant même jusqu’à proposer son aide. La jeune femme, calme mais visiblement agacée, n’avait pas bougé d’un pouce. Son assurance silencieuse le déstabilisait, et il sentit une vague frustration monter en lui. « A quoi vous jouez au juste ? » la question le surpris, lui qui pensait pouvoir être serviable en se rattrapant, elle le désarmait, lui, qui avait l’habitude des reproches bruyants ou des confrontations directes. Il ouvrit la bouche pour répondre, mais elle enchaîna sans lui laisser le temps. « Vous n’avez pas mieux à faire d’ailleurs ? » Elle disait ça presque avec détachement, mais il perçut le sous-texte. Elle voulait qu’il parte. Qu’il disparaisse de son champ de vision, comme un problème qu’on écarte pour mieux se concentrer sur ce qui compte. Cette pensée le piqua plus qu’il ne l’aurait cru. Il hésita un instant, le regard baissé vers les couvertures qu’il tenait encore. Il aurait pu s’éclipser, se retirer discrètement et laisser derrière lui ce bref moment d’échange. Mais il n’en fit rien. Ce calme tranchant, cette assurance… Ça l’irritait autant que ça l’intriguait. « Non, pas vraiment, » répondit-il finalement, sur un ton plus posé qu’il ne l’avait prévu. Il releva les yeux vers elle, cherchant à capter son regard.« En fait, c’est ça le problème. J’ai rien à faire. Alors ouais, peut-être que je traîne là, à t'filer un coup de main que t'as pas demandé. Mais tu crois quoi, que j’ai choisi d’être ici ? » Il fit un pas en arrière, son ton se durcit légèrement, mais pas assez pour basculer dans l’agressivité. « tu veux savoir ce que je joue ? Rien. J’essaye juste de passer cette foutue journée sans devenir dingue. » Il lâcha un soupir et posa les couvertures sur une table voisine avec un geste plus brusque qu’il ne l’aurait voulu. Puis, il croisa les bras, la défiant presque de le renvoyer à nouveau. « Alors ouais, peut-être que j’ai pas ma place ici. Mais tu sais quoi ? toi non plus, t'as pas à t'mettre sur mon dos comme ça. J’essaie juste de… » Il s’arrêta, incapable de finir sa phrase, ses propres mots lui échappant. Après une pause, il détourna le regard et haussa les épaules. « Bref. Si ça t'dérange que je sois là, suffit de le dire. » Mais il ne bougea pas, ses pieds enracinés au sol, comme si une partie de lui attendait encore quelque chose de cet échange.
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