ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
tw :mention d'accident de voiture
Il n’a pas vraiment compris lorsque l’homme derrière le comptoir du centre de rééducation lui a annoncé, un peu penaud, que la personne qu’il était venu chercher ne s’était pas présentée à son rendez-vous, ni à bon nombre de ses précédents d’ailleurs. Pour ainsi dire, George — c’est son nom, ne voyait même pas à quoi Helen pouvait ressembler et, s’il en a senti une profonde colère sur l’instant, Izan a bien été obligé de feindre le malentendu pour ne pas enfoncer davantage son amie, peu scrupuleuse à suivre la rééducation pourtant prescrite par ses médecins. Mais George a dû sentir qu’il était fébrile, l’homme qui s’est naïvement pointé dans son établissement, si bien qu’il s’était excusé sans trop savoir pourquoi et, ne voulant pas s’attarder outre mesure, le pianiste l’avait congédié d’un simple mouvement de la main et d’un sourire qui se voulait apaisé, à peine convaincant pour effacer son humeur troublée. Il n’y est pour rien, George. Ce n’est pas de sa faute si Helen ne prend pas la peine d’honorer ses engagements pour recouvrer toute sa mobilité — il a tout le loisir, sur le trajet, de mûrir sa colère envers sa meilleure amie, et celle-ci atteint son paroxysme lorsqu’il lève le menton pour apercevoir le balcon de son ancien appartement à travers le pare-brise.
Il a un instant d’hésitation qui n’est pas du tout induite par l’affrontement qui se profile, mais qui est l’écho de l’accident qu’ils ont vécu quelques semaines plus tôt. Il s’en remet, le pianiste. Il se force à conduire son véhicule même s’il n’est jamais totalement confortable derrière le volant, même s’il a encore ce sentiment aussi persistant qu’inconfortable dans le ventre chaque fois qu’il doit rentrer dans l’habitacle de la carcasse métallique qui est le monstre de ses cauchemars, même s’il entend encore la tôle qui se froisse, quelque chose qui craque, les cris, le froid, la peur, la douleur. Il a tout ça en tête, il a tout ça au coeur, mais il ne se laisse pas gangréner par la paralysie de l’évitation, parce qu’il a bien conscience que plus il retardera la confrontation de ses angoisses, plus elles prendront de la place. C’est bien pour cela qu’il avait prévu de récupérer sa meilleure amie, pour qu’elle réapprenne, elle aussi, à ne plus avoir peur à chaque bruit de moteur.
Ils devaient se retrouver pour déjeuner ensemble mais, de tout évidence, elle n’a pas anticipé le fait qu’il viendrait la récupérer après sa prétendue séance pour l’emmener directement au restaurant — cette réservation lui semble très loin désormais et, en garant sa voiture en bas de son ancienne résidence, il se formule le conseil de mesurer au possible ses propos, lui qui tend à exploser avant de réaliser les dégâts engendrés par la bombe de son ire. Il se le martèle quand il claque la portière de son véhicule, il se le répète encore quand il parvient sur le palier mais, sitôt qu’il pousse la porte sans prendre la peine de s’annoncer, dès qu’il passe la porte pour retrouver l’avancement familier de ce qui fut son appartement durant de longues années, il oublie toutes ses recommandations et ses prescriptions de tempérance. ’’Alors, ça va ? Pas trop fatiguée avec ta séance de rééducation ?’’ le ton sarcastique de sa voix laisse clairement entendre qu’il possède déjà la réponse mais, repoussant la porte du bout des doigts, il s’avance d’un pas pour la rejoindre, ses yeux braqués sur elle comme pour l’accabler d’une culpabilité dont elle ne pourrait se défendre. ’’J’peux savoir pourquoi tu loupes autant de rendez-vous ?’’ parce qu’il veut comprendre l’attitude de la chirurgienne même si, par avance, il sait qu’aucune explication ne saurait satisfaire son mécontentement ’’T’as conscience que tu pourrais garder de graves séquelles si tu continues comme ça ?’’ bien sûr qu’elle le sait, la chirurgienne, tout comme il sait qu’il n’emploie pas la bonne attitude pour la confronter à ce sujet mais, incapable de faire autrement, il poursuit sur le même ton rigide : ’’Il faut vraiment que tu m’expliques.’’
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
tw :mention d'accident de voiture
Depuis l'accident, Helen ne se reconnaissait pas ; elle prenait des décisions qui ne lui ressemblaient pas, et elle en prenait conscience un peu plus chaque jour. Ses réactions étaient décuplées, plus vives, plus douloureuses, avec plus d'impact sur sa santé mentale et physique. Elle voulait prétendre qu'elle gérait, aux yeux des autres, mais en fait elle ne maîtrisait absolument rien du tout. Aujourd'hui, elle était enchaînée à ses nouvelles angoisses : la peur d'être seule, la peur de perdre Izan, la peur des voitures -et de tout autre moyen de locomotion susceptible de l'emmener d'un point A à un point B, la peur de mourir, la peur de perdre ses capacités motrices, la peur de reprendre le travail. Des craintes, il en existait beaucoup trop dans ce petit corps, et ça lui faisait faire n'importe quoi... comme par exemple, de ne pas se rendre à ses séances de rééducation. Elle mentait, littéralement, à tous ses proches. Helen n'en était pas fière, elle qui connaissait l'importance de ses séances pour retrouver presque l'entièreté de la motricité de son bras encore bien trop engourdi et douloureux. Quoi de plus normal, en le laissait moisir dans son écharpe, plutôt qu'en le faisant travailler comme on le lui demandait ? La chirurgienne connaissait les risques, elle les mesurait trop bien pour savoir qu'en continuant ainsi, elle ne retrouverait pas sa vie d'avant. Le problème, c'était qu'elle ne le souhaitait pas, de retrouver sa vie d'avant. Cette crainte, intimement liée au fait que son père n'avait pas cherché à lui montrer une once de compassion à son égard pour son accident en prétendant qu'elle pourrait rapidement retrouver travailler, occupait une bonne partie de son esprit, de manière assez constante. Heureusement, la présence régulière de la policière dans les parages lui permettait d'oublier ce tracas, mais lorsqu'elle se retrouvait seule, Helen angoissait rien qu'à l'idée de retrouver sa place de chirurgienne. Y retourner, pour faire plaisir à son paternel, c'était au-dessus de ses forces. La pression qu'il lui mettait, la brune n'en voulait plus. Sauf qu'elle gardait ça pour elle, au lieu d'en parler... elle n'osait même pas en parler à Izan, quitte à lui mentir. Son dernier mensonge datait encore de ce matin ; ils devaient se retrouver pour déjeuner en ville, après sa fameuse séance de rééducation, à laquelle elle ne comptait pas se pointer. Persuadée qu'il n'en saurait, comme pour les précédentes, Helen s'était conforté dans l'idée qu'elle pourrait traîner en jogging (elle ne portait plus que ça à cause de son bras en écharpe, avec les leggings) avant de se rendre innocemment à leur rendez-vous, non sans oublier d'anticiper le fait qu'elle comptait s'y rendre à pieds. Utiliser sa propre voiture, c'était hors de question. Monter dans celle d'une tiers personne, non merci également. Marcher, c'était le meilleur compromis pour elle. Mais ce qu'elle n'avait absolument pas anticipé, c'était la probabilité que son meilleur ami ait l'idée de venir la chercher au centre de rééducation. Elle n'avait pas non plus envisagé qu'il décide de se pointer à l'appartement, avant qu'elle n'ait terminé de se préparer. « Alors, ça va ? Pas trop fatiguée avec ta séance de rééducation ? » Helen était justement en train de sortir de la salle de bain, dans l'optique de rejoindre sa chambre, lorsque la voix grave et orageuse de son meilleur ami se fit retentir dans l'appartement. Son regard trouva aussitôt le sien, et Helen sut tout de suite qu'il connaissait la vérité sur son comportement, pour utiliser ce ton insupportablement sarcastique. Il est en colère, alors ça ne l'étonnait même pas qu'il soit entré dans prendre la peine de frapper. « J’peux savoir pourquoi tu loupes autant de rendez-vous ? » Comment savait-il que ce n'était pas l'histoire que de la séance d'aujourd'hui ? Etait-il en train de bluffer ? Sûrement. « J'avais très mal à la tête en me réveillant... » Elle n'appréciait pas l'idée de lui mentir, la situation inverse la mettrait dans un état pas possible, d'ailleurs. Helen ne supportait pas le mensonge, mais elle ne voulait pas non plus qu'Izan s'inquiète pour elle inutilement. Tout irait bien, c'était ce qu'elle essayait de se répéter le plus possible. « T’as conscience que tu pourrais garder de graves séquelles si tu continues comme ça ? Il faut vraiment que tu m'expliques. » L'état d'énervement du pianiste ne présageait rien de bon pour la chirurgienne, qui ne se défilait pas pour autant. Elle avait même le culot de s'enliser dans un mensonge qu'elle considérait insupportable, mais nécessaire. « T'énerve pas, c'est l'histoire d'une séance... » Elle se mordait l'intérieur des joues, pour maîtriser ses émotions. Mentir, elle n'avait pas la prétention de dire qu'elle le faisait parfaitement, mais le ton de sa voix était suffisamment maîtrisé pour qu'elle ait une chance pour qu'Izan la croit. La jeune femme n'aimait pas voir son meilleur ami aussi colérique et suspect à son égard, elle voulait que son regard change ; elle était probablement très égoïste en considérant que c'était son soutien dont elle avait besoin, plutôt que de son ton moralisateur, mais elle le pensait quand même. Ce regard noir devait disparaître, maintenant. « Désolée, j'aurai du te prévenir, je ne pensais pas que tu viendrais me chercher là-bas. » Elle allait apprendre de cette erreur, forcément, pour leur prochain rendez-vous. « Tu avais hâte de me retrouver ? » Elle tentait clairement d'user de cette taquinerie et espièglerie commune entre eux, pour désamorcer la bombe qui ne faisait que faire des petites étincelles, pour le moment.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
Izan questionnera la nécessité de débarquer à l’improviste chez sa meilleure amie — sans frapper de surcroit, une fois qu’il aura obtenu les réponses aux questions qu’il se pose. Certains diront qu’il prend autant à coeur la rééducation de cette dernière parce qu’il est piqué par sa culpabilité, qui lui souffle encore que cette dramatique situation est de son fait et qu’il doit donc en porter la responsabilité, qui va de paire avec la vigilance concernant la guérison de la chirurgienne, mais il n’en est rien ; même sans porter le fardeau d’une inculpation personnelle, le pianiste aurait réagi avec tout autant de véhémence en apprenant le manque d’investissement de la chirurgienne, dont le bien-être est une priorité constante. Prise sur le vif à la sortie de la salle de bain, celle-ci note sa présence sans étonnement et leurs regards s’accrochent l’un à l’autre pendant qu’il arque un sourcil interrogateur, qui semble exiger une réponse sans patience aucune « J'avais très mal à la tête en me réveillant... » il essuie un sourire sarcastique qui semble annoncer un fou-rire mesquin mais, il le rabroue en pinçant ses lèvres, ses deux mains se positionnant sur ses hanches pendant qu’il baisse le menton pour ravaler sa bille ; piètre pédagogue qu’il est, il devine néanmoins que la pourrir pour ses manquements n’est pas la solution « T'énerve pas, c'est l'histoire d'une séance... » - ’’Tu te fous de ma gueule ?’’ ça déborde de ses lèvres comme les étincelles d’une bombe qui explose, et puisqu’il relève un regard froissé vers elle, Izan sent que l’indignation chagrinée vogue quelque part dans ses pensées, en entachant un peu ses bonnes résolutions. Il n’est pas fier de lui avoir menti concernant Sam, mais ce n’est pas pour autant qu’il admet sans concession qu’elle puisse se payer sa tête de cette façon ; pas sur un sujet aussi grave, pas quand son intégrité physique et son autonomie sont en jeu. Ça le heurte profondément, qu’elle puisse vouloir lui faire gober un mensonge pareil simplement pour échapper à quelques remontrances, mais il prend une fine inspiration pour tenter de se calmer, en décidant de lui laisser le bénéfice du doute ; elle va finir par admettre elle-même qu’elle vient de lui mentir, pas vrai ? « Désolée, j'aurai du te prévenir, je ne pensais pas que tu viendrais me chercher là-bas. Tu avais hâte de me retrouver ? » le sourire qu’elle lui pond est une irrémédiable grotesquerie qu’il balaye d’un tic de la langue, et il laisse retomber ses mains le long de son corps en crachant, d’une voix caustique : ’’Totalement, je voulais te faire la surprise. Mais c’est moi, qui ai eu une surprise.’’ et pas une bonne, mais ça, elle doit déjà deviner à l’étincelle noire qui scintille dans ses yeux quand il se rapproche d’elle, puisque l’essor de sa colère n’est pas destinée à s’amoindrir même si elle tente de l’amadouer par leur complicité ’’Ce n’est pas le premier rendez-vous que tu zappes, arrête de me prendre pour un con. Je croyais qu’on ne devait pas se mentir ? Ou alors c’est seulement quand ça t’arrange ?’’ il cherche son menton sur le côté en haussant ses sourcils, cherchant son regard pour que le sien y imprime toute le mécontentement qu’elle lui provoque ’’Tu sais quoi, je m’en fous de ton mensonge. Dis-moi pourquoi tu ne suis pas ta rééducation ?’’ la vraie raison, cette fois.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
tw :mention d'accident de voiture
Le vent provoqué par sa colère la frappe de plein fouet, pourtant ça ne l'empêche pas d'utiliser le mensonge pour expliquer pourquoi elle ne s'est pas rendue à sa séance de rééducation, à peine rongée par le sentiment de culpabilité qui devrait l'envahir. Elle lui en a énormément voulu la dernière fois qu'il lui a menti, à propos de sa blessure au poignet, alors que le mensonge n'a jamais fait partie intégrante de leur amitié, mais elle n'apprend pas des erreurs passées puisqu'elle agit de la même manière que lui aujourd'hui. « Tu te fous de ma gueule ? » Il gronde, il la regarde de ses yeux noirs et durs, parce qu'il comprend qu'elle se fiche de lui, oui. Il n'est pas dupe, il la connait suffisamment bien pour savoir qu'elle n'agit pas comme d'habitude. Helen préfère ne pas répondre, pour ne pas attiser le feu de son agacement. A la place, elle use de cette malice qu'elle aime manifester à l'égard de son meilleur ami, pour dédramatiser la chose. Ce n'est pas forcément mieux, mais elle n'est pas résignée à l'idée d'admettre qu'elle ne se rend presque jamais à ses séances de rééducation. « Totalement, je voulais te faire la surprise. Mais c’est moi, qui ai eu une surprise. » Il n'a pas fini de lui témoigner son mécontentement, elle le sent. Ce n'est que le début ; des choses, il s'apprête à lui en dire, tant il est mu par la déception et l'énervement de ce triste constat à propos de la guérison de son bras. « Ce n’est pas le premier rendez-vous que tu zappes, arrête de me prendre pour un con. Je croyais qu’on ne devait pas se mentir ? Ou alors c’est seulement quand ça t’arrange ? » Son palpitant se serre face à ces mots pleins de vérité ; c'est bien une promesse qu'ils se sont faites et qu'elle brise avec trop de facilité. Elle a le sentiment de se protéger, que c'est nécessaire de mentir pour se préserver de ce qu'elle se répète encore et encore : elle ne veut pas reprendre le travail, elle ne veut pas laisser ne serait-ce qu'une seule occasion à son père pour lui mettre la pression. Pourtant, Izan est à même de comprendre ses peurs... il a toujours été présent pour elle, pourquoi ça changerait aujourd'hui ? Il n'y a aucune raison pour qu'il la juge, le fasse culpabiliser, ou minimise ses émotions. « Tu sais quoi, je m’en fous de ton mensonge. Dis-moi pourquoi tu ne suis pas ta rééducation ? » Les mots restent néanmoins difficiles à sortir, si bien qu'elle s'éloigne pour rejoindre sa chambre. Elle fuit, quelques instants, le regard appuyé de son meilleur ami, parce que dire la vérité lui est insupportable. « Fais chier... » qu'elle peste, plus contre elle que contre Izan, qui fait bien de la confronter à ses bêtises. Elle rejoint sa penderie, pour se chercher des vêtements mais surtout pour se donner une contenance, et fuir ce trouble qui l'envahit de trop. Elle n'a pas d'autres choix que d'assumer, maintenant qu'Izan a bien compris son petit jeu. Elle lui doit la vérité, même si elle la peine. « Je suis désolée, je voulais pas te mentir... » Commencer par des excuses, c'est déjà un bon début, non ? Helen s'en veut, finalement, de l'avoir blessé en lui mentant. C'était bête de sa part, de ne pas lui parler dès le début de ce qui la tracasse, alors qu'ils ont vécu les même traumatismes à cause de l'accident. Elle se retourne de nouveau vers lui, sans avoir été capable d'effectuer un quelconque choix sur des vêtements. « T'es la personne la plus importante pour moi, j'aurai dû t'en parler aussitôt... Je ne veux pas reprendre le travail. » Comme trop souvent ces derniers temps, la chirurgienne sent l'émotion la submerger, elle tente alors de freiner la montée des larmes dans ses yeux en se frottant le coin des paupières, et en se mordant l'intérieur des joues. Elle ne veut pas se mettre à pleurer, mais Helen sent que c'est inévitable. « Je me dis que, si je n'arrive pas à retrouver toutes mes facultés, je ne pourrais plus opérer et... mon père daignera enfin me laisser tranquille. » Elle ne dit pas que sa manière de penser est la plus juste, mais c'est celle qui lui convient, pour supporter la situation. « Je n'arrive plus à supporter la pression qu'il me met... j'en ai marre, il me pousse à bout. » Perçoit-il la souffrance dans son cœur ? Jusqu'à aujourd'hui, elle n'a jamais mis de mots dessus, de cette manière, avec tant de peine et d'appréhension. Rien de va depuis cet accident, elle a besoin d'aide ; elle a besoin qu'Izan attrape cette main qu'elle lui tend, même si c'est parce qu'elle y a été forcée.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
« Fais chier... » elle comprend que le voile qui recouvrait ses mensonges est transparent, révélant la supercherie aux yeux de celui qui s’insurge de ce manque d’implication ; il est le premier à ressentir la paresse lorsqu’il doit honorer ses rendez-vous pour sa rééducation mais, n’a-t-elle pas conscience de ce qu’elle risque de perdre ? De tout ce qu’il lui faudra renoncer si elle ne cherche pas à recouvrir toutes ses fonctions ? Il ne comprend pas, Izan, puisque des deux, Helen a toujours été la plus fiable, la plus mesurée et la plus raisonnable : être dans le rôle de celui qui détient la parole de la sagesse le met dans une position qu’il n’avait que trop peu expérimenté entre eux et, comme bien souvent, c’est par la colère qu’il s’exprime, incapable d’user d’autre chose pour se faire entendre ’’Comme tu dis, ouais.’’ qu’il répond sans fantaisie après l’avoir suivie jusque dans la chambre — celle qui était jadis la sienne, appuyant son épaule contre l’encadrement de la porte sans s’avancer dans la pièce, sans nourrir le moindre élan pudique car ce n’est plus vraiment d’actualité entre eux et, de toute façon, il est tellement furieux qu’elle pourrait se pavaner en nuisette qu’il ne le verrait même pas ’’Je comprends que tu sois traumatisée, d’accord, je ne cherche pas à te blâmer’’ même si ça en donne drôlement l’impression, oui ’’Mais là tu fais n’importe quoi, Hel.’’ et ce « n’importe quoi » aura des conséquences désastreuses sur sa vie si elle continue en ce sens « Je suis désolée, je voulais pas te mentir... » - ’’Mais tu l’as fait.’’ il ne remue pas le couteau dans la plaie par plaisir, mais simplement parce qu’il a du mal à comprendre pourquoi elle a ressenti le besoin de le prendre pour un con comme ça, même si rien ne justifie vraiment qu’elle s’adonne à de telles malversations verbales, qui n’entache pas la confiance qu’il lui alloue mais qui met durement à l’épreuve sa capacité à garder son calme ; il songe alors, avec un brin d’égoïsme, qu’il lui serait légitime d’être aussi abrupt qu’elle lorsqu’elle avait découvert les facéties qu’il avait pondu concernant Sam mais, quelque chose de brisé, de fragile, chez elle, l’empêche de l’enfoncer davantage. « T'es la personne la plus importante pour moi, j'aurai dû t'en parler aussitôt... Je ne veux pas reprendre le travail. » il plisse légèrement ses paupières en fronçant ses sourcils, dans l’incompréhension la plus totale puisque l’idiot qu’il est ne voit absolument pas le rapport entre les deux sujets ’’Et ? Ça justifie que tu fasses ces conneries ?’’ croisant ses bras contre son torse, il essuie l’annonce sans sur-jouer la surprise puisqu’il n’en a aucune : il sait depuis longtemps que ce n’est pas le travail de ses rêves, mais celui de ses parents « Je me dis que, si je n'arrive pas à retrouver toutes mes facultés, je ne pourrais plus opérer et... mon père daignera enfin me laisser tranquille. Je n'arrive plus à supporter la pression qu'il me met... j'en ai marre, il me pousse à bout. » l’idée qu’elle ne lui ait pas dit la vérité par crainte de subir le même sort de sa part le blesse un peu, parce qu’il pensait que sa meilleure amie le connaissait suffisamment pour savoir qu’elle possède son soutien sans compromis, mais il tâche de chasser ces idées centrées sur sa propre personne pour se concentrer sur son ressenti à elle : après avoir passé ses mains sur son visage, il prend une courte inspiration et lâche, sans trop de délicatesse : ’’Tu mélanges tout, Hel. Tu te rends compte que t’es prête à sacrifier la pleine mobilité de ton bras simplement pour ne pas faire un boulot que tu détestes ?’’ il arque un sourcil, cherchant à imprimer la gravité de cette question dans le regard prolongé qu’il lui accorde, avant de décrocher ses bras pour se rapprocher d’elle, adoucissant l’empreinte de ses yeux autant que de ses mots ’’Si tu ne veux plus exercer la médecine, tu as le droit. Personne ne peut t’y obliger, pas même ton père. Mais t’as pas besoin de sacrifier ton bras pour ça.’’ mais ça en dit long sur l’emprise du paternel sur sa fille, et cela lui donne au moins une raison supplémentaire de le détester ’’T’as vraiment envie de finir avec un bras handicapé ?’’ même pour s’extraire de son métier, non, ça n’en vaut clairement pas la peine.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
tw :mention d'accident de voiture
Sa main libre cherche des vêtements sans vraiment les chercher, mais ça maintient occupé son corps qui aimerait disparaître à l'heure actuelle, malgré les sentiments sincères et amicaux qu'elle a pour le pianiste, Helen a envie d'être ailleurs sauf ici, maintenant qu'il a compris son petit manège avec sa rééducation. Il gronde devant elle, comme un maître qui râle auprès de ses élèves en train de faire du bruit dans la classe, ou parce qu'ils ont mal écrit dans leur cahier, ou parce qu'ils n'ont pas appris leur poésie. Il lui tape sur les doigts, mais c'est amplement mérité, elle en a conscience. Ce qu'elle fabrique, c'est n'importe quoi, même si à ses yeux, elle a une très bonne raison de le faire. « Je comprends que tu sois traumatisée, d’accord, je ne cherche pas à te blâmer. Mais là, tu fais n'importe quoi, Hel. » Elle s'en veut de faire n'importe quoi, ce n'est pas non plus une question de plaisir, en réalité. Cet accident de voiture, elle ne l'a pas demandé... et elle n'a pas non plus demandé à avoir le bras immobilisé et de craindre de reprendre le travail à cause son père. La chirurgienne subit tout ça, en silence, en craignant de dire ce qu'elle a vraiment sur le cœur, même à son meilleur ami, qui a toujours été présent pour elle. Alors, Helen commence déjà par s'excuser auprès de lui, parce qu'elle l'a blessé, ça se ressent. « Mais tu l'as fait. » - « Je sais, je m'en veux. Vraiment. » C'est sincère, elle ne ment pas, cette fois. Elle n'est pas friande des mensonges qui se sont immiscés entre eux, alors elle lui fait la promesse de ne plus jamais recommencer. Elle lui déclare une énième fois cet amour sincère qui circule dans son coeur depuis tant d'années, puis la chirurgienne finit par lui avouer ses tracas : « Et ? Ça justifie que tu fasses ces conneries ? » Il a cet air fermé qui l'angoisse un peu ; Izan ne l'a jamais jugé sur quoique ce soit, elle n'est pas certaine qu'il commence aujourd'hui mais... il n'a déjà pas l'air très convaincu par le début de ses aveux, alors elle poursuit, penaude et bouleversée : « Tu mélanges tout, Hel. Tu te rends compte que t’es prête à sacrifier la pleine mobilité de ton bras simplement pour ne pas faire un boulot que tu détestes ? » Elle n'a pas le sentiment de tout mélanger, parce que tout est intimement lié dans sa tête ; son père, ça va de paire avec son travail, puisque c'est lui qui l'a poussé vers cette voie, quelques années plus tôt, alors qu'elle a toujours souhaité exercer autre chose. Il peut lui adresser cet air grave, Helen ne se considère pas en tort, et elle va probablement se montrer têtue sur la question. Izan se rapproche d'elle, et au fond elle espère qu'il l'enlace, malgré la pauvre et unique serviette qui entoure sa poitrine et sa taille. Elle a besoin de lui, elle a besoin de sa proximité pour supporter les idées qui vagabondent douloureusement dans sa tête. « Si tu ne veux plus exercer la médecine, tu as le droit. Personne ne peut t’y obliger, pas même ton père. Mais t’as pas besoin de sacrifier ton bras pour ça. T’as vraiment envie de finir avec un bras handicapé ? » Elle soupire longuement, en levant les yeux au ciel dans un sourire presque sarcastique ; il dit que son père ne peut l'obliger, mais c'est bien ce qu'il fait depuis tout ce temps. Il a de l'emprise sur elle, c'est un fait. « C'est plus compliqué qu'un simple "papa, je ne veux plus être chirurgienne"... évidemment que non, il ne va pas me laisser faire. » Et ça l'attriste, vraiment, au plus haut point. « On ne peut pas parler, avec mon père, tu le sais bien... il va réussir à me retourner la tête, et me faire croire que je divague, que j'ai pas les idées nettes, qu'il faut que je réfléchisse... il va utiliser l'accident contre moi, et j'ai pas envie. » Elle les a déjà entendu, ces paroles, alors c'est très facile de les anticiper aujourd'hui. Le père de la fratrie Cartwright n'est pas prêt à la laisser "gâcher sa vie", comme il l'a toujours dit. « ça fait des années que j'ai envie de tout laisser tomber, que ça me travaille d'arrêter la chirurgie, et il ne m'a jamais laissé le faire... et tu sais aussi bien que moi, que je n'ai pas les épaules pour l'affronter. Je n'y arrive pas. » Helen se sent triste en prononçant ces mots, tout son visage perd ce rayonnement qu'elle a cherché à feindre pour mieux faire passer la pilule de son mensonge tout à l'heure ; tout est noir, dans son esprit, à l'heure actuelle. Parce que son père est cette zone d'ombre qu'elle ne sait pas comment résoudre. « Je n'ai pas particulièrement envie de me retrouver avec un bras handicapé, non, mais je ne vois pas d'autres solutions, pour le moment... » Malgré toutes ses réflexions, c'est la seule possibilité qu'elle a trouvé pour être un minimum tranquille pour le moment. C'est bête, d'accord, mais aucune autre issue se présente dans sa tête pour fuir les exigences de son père.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
Il n’est pas suffisamment heurté par ce mensonge pour ne pas la croire quand elle prétend en être sincèrement désolée. Elle s’en est rendue coupable, ils le savent tous les deux, mais Izan ne proclame pas de sentence pour la condamner : le jugement qu’il rend est le non-lieu puisque, parmi les preuves a dispositions, il lui semble que la vérité cachée derrière ce mensonge est davantage important. ’’Oublions.’’ il l’y invite d’un geste de la main, en ayant bien conscience que sa largesse d’esprit peut surprendre, lui qui semble être incapable d’accorder son pardon sans s’y reprendre à deux fois. Il éloigne l’affront qu’elle vient de lui porter en remettant au centre de leur conversation la vraie nature du problème, même si les explications qu’elle lui donne ne parviennent pas réellement à le convaincre. Il trouve tout à fait sordide de sacrifier une partie de son corps alors qu’il suffirait simplement qu’elle donne sa démission et qu’elle parte sans se retourner ; est-ce réellement si difficile à faire ? « C'est plus compliqué qu'un simple "papa, je ne veux plus être chirurgienne"... évidemment que non, il ne va pas me laisser faire. » face à elle, il fronce légèrement les sourcils en ayant déjà les mots qui s’agglutinent sur la pointe de sa langue, sans trouver le chemin vers la sortie puisqu’elle le devance « On ne peut pas parler, avec mon père, tu le sais bien... il va réussir à me retourner la tête, et me faire croire que je divague, que j'ai pas les idées nettes, qu'il faut que je réfléchisse... il va utiliser l'accident contre moi, et j'ai pas envie. » elle parle comme une petite fille vivant encore sous la coupe de son paternel, et Izan ne sait pas tellement comment réagir face à l’emprise dont il a toujours eu vent, mais qui se matérialise concrètement devant ses yeux. ’’Hel…’’ - « ça fait des années que j'ai envie de tout laisser tomber, que ça me travaille d'arrêter la chirurgie, et il ne m'a jamais laissé le faire... et tu sais aussi bien que moi, que je n'ai pas les épaules pour l'affronter. Je n'y arrive pas. » son visage s’affaire sous l’ombre de la tristesse, et il se rapproche encore un peu d’elle pour glisser ses paumes auprès de ses joues, forçant sa figure à remonter en sa direction pour qu’elle puisse soutenir son regard, qui s’est considérablement radouci ’’Je comprends, mais tu n’es pas un pion qu’il peut déplacer comme il veut. Ta vie n’est pas destinée à flatter l’égo de ton père, tu as le droit de vouloir faire autre chose.’’ il ne sait pas s’il use des bonnes paroles pour la convaincre, ayant toujours cette impression d’être putain de maladroit avec les mots mais, devant sa détresse, il s’efforce de faire de son mieux : ’’Tu n’es plus une enfant qui doit lui obéir au doigt et à l’oeil. Tu as tes propres envies, tes propres désirs, et tu as le droit de le faire entendre.’’ sur papiers, ça semble presque trop simple, il le sait « Je n'ai pas particulièrement envie de me retrouver avec un bras handicapé, non, mais je ne vois pas d'autres solutions, pour le moment... » malgré sa tenue plus que légère, Izan l’enlace avec toute la délicatesse du monde pour ne pas heurter son bras blessé, l’entourant de ses bras comme pour la protéger des affres de cette relation tordue avec son père. Plus il entend parler de lui, plus il a envie d’assister à ses funérailles. ’’Tu peux lui dire la vérité.’’ qu’il fait entendre après quelques secondes de silence, ses lèvres échouant un baiser sur le sommet de son crâne comme pour adoucir l’idée qui doit lui paraître effrayante, il s’en doute ’’Au pire, qu’est-ce qu’il pourra faire ? Te déshériter ? C’est pas grave, t’as ton meilleur ami qui t’offre un appart’ de luxe, t’as pas besoin de lui…’’ qu’il tente de plaisanter en la serrant un peu plus contre son torse, dans ce besoin toujours vivace de la protéger, envers et contre tout.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
Sa relation avec son père, elle l'aime autant qu'elle la déteste ; c'est son paternel, l'homme qui l'a élevé, l'homme qui lui a appris tant de choses, il est censé être son modèle. A la place, c'est une relation père-fille qui n'est pas saine qui perdure entre eux, depuis toutes ces années. L'emprise qu'il a sur Helen est trop forte, elle n'a pas non plus lieu d'exister puisque la brune devrait vivre sa vie comme elle l'entend, et pas comme lui l'a décidé. Son père a déjà eu la main mise sur sa voie professionnelle, sa mère quant à elle l'oppresse toujours autant sur le côté personnelle. Tout ce temps, Helen a eu la sincère envie de se montrer comme la fille parfaite, la meilleure de la fratrie, celle qui dit oui à tout, celle qui rend fière, celle qui ne déçoit jamais. Mais c'est trop dur, elle finit par suffoquer de cette situation. Aujourd'hui, Helen a juste envie d'être elle-même, rien de plus. Mais elle ne se sent pas, elle. « Hel... Je comprends, mais tu n’es pas un pion qu’il peut déplacer comme il veut. Ta vie n’est pas destinée à flatter l’égo de ton père, tu as le droit de vouloir faire autre chose. » Elle en est consciente, mais rien n'est aussi simple avec ses parents. Elle sait, qu'elle a le droit de vouloir une autre vie, mais elle sait aussi qu'ils ne l'accepteront jamais. Ils vont être déçus, ils vont la juger, la renier, c'est sûr. « Tu n’es plus une enfant qui doit lui obéir au doigt et à l’œil. Tu as tes propres envies, tes propres désirs, et tu as le droit de le faire entendre. » Elle est touchée par les paroles censées de son meilleur ami, même si elle pense le fatidique c'est plus facile à dire qu'à faire. Elle s'en veut encore plus de lui avoir menti, de l'avoir pris pour un con alors qu'il fait tout ce dont il est capable pour la rassurer. Des fois, Helen se demande si elle le mérite vraiment, le pianiste... La chirurgienne le laisse la prendre dans ses bras, et elle se blottit tout contre son torse malgré la simple serviette qu'elle porte autour de sa taille. Elle en a besoin, de cette étreinte, de ce rapprochement, de le sentir près d'elle ; ça la rassure, même si cette situation continuera de l'oppresser pendant encore longtemps, elle en est persuadée. « Tu peux lui dire la vérité. Au pire, qu’est-ce qu’il pourra faire ? Te déshériter ? C’est pas grave, t’as ton meilleur ami qui t’offre un appart’ de luxe, t’as pas besoin de lui… » Elle tente de rire, même si cela ne résout rien de son problème, en réalité. Helen n'a pas le souhait de vivre sans ses parents, c'est un sacrifice qu'elle ne se sent pas de faire. « Je suis pas prête à m'éloigner d'eux, et à prendre le risque de les perdre... j'peux pas vivre sans eux, même s'ils me rendent malheureuse. C'est comme ça, je ne le contrôle pas. » C'est triste, mais c'est la vérité. « Et ça me tue de savoir qu'il y a plein de choses que je ne pourrais jamais leur dire... » Elle pense notamment à Yasmin, qui fait son bonheur actuellement. Elle se souvient de leur réaction, quand Alyson leur a avoué être bisexuelle. Ils continuent d'avoir un lien avec sa petite sœur, mais elle est perçue comme la Pariat de la famille... Helen n'est pas prête à endurer ce titre aux yeux de ses parents. « Par contre, à toi, je peux le dire... j'ai rencontré quelqu'un. » Va-t-il comprendre, pourquoi elle ne s'imagine pas encore avouer la nouvelle à ses parents ?
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
Il n’est pas franchement étonné de constater l’emprise du père Cartwright sur sa meilleure amie, lui-même ayant été sous le joug parental durant de longue année et, il y a fort à parier qu’il y serait encore si la mort de son petit-frère n’était pas venu donner un puissant coup de hache dans l’écorce familiale. Et puisqu’il a très bien connu la sensation d’être un pantin entre les mains de ses parents, il sait aussi que personne, à l’époque, n’aurait pu lui faire voir la vérité en face. Du moins, pas suffisamment pour qu’il puise la force et le courage de s’en défaire lui-même ; les parents, par essence, sont censés protéger leurs enfants. Aucun gamin ne devrait avoir à se protéger de ceux qui leur ont donné la vie.
En la tenant dans ses bras, Izan la serre suffisamment fort pour qu’elle imprime sa présence indéfectible, qui ne lui sera jamais enlevée. Des épreuves, ils en ont traversé ensemble, ils ont connu des éclaircies doucereuses et des obstacles terrifiants, ils ont grandi, ensemble, ils ont fauté, ensemble, mais jamais ils n’ont pu se résoudre à se perdre, à s’abandonner, à renoncer. Ce qu’il éprouve pour elle, c’est la forme d’amour la plus pure : il ne cherche rien d’autre que son bonheur, sans jamais rien attendre en retour. Pas même qu’elle coupe les ponts avec son père, même si cela lui ferait le plus grand bien ; il sera là pour ramasser les miettes, à chaque fois, après eux. « Je suis pas prête à m'éloigner d'eux, et à prendre le risque de les perdre... j'peux pas vivre sans eux, même s'ils me rendent malheureuse. C'est comme ça, je ne le contrôle pas. » - ’’Je comprends.’’ il la rassure de quelques mots, couplés à la caresse de sa main qui traverse son dos en diagonal, du haut vers le bas « Et ça me tue de savoir qu'il y a plein de choses que je ne pourrais jamais leur dire... » il ne lui fera pas l’offense de lui dire que ce ne devrait pas être le cas, parce qu’il sait qu’elle en a bien conscience, vu qu’elle le déplore. Le formuler à voix haute serait seulement remuer le couteau dans la plaie, et il n’est pas prêt à devenir un bourreau pour celle qui compte tant à ses yeux. « Par contre, à toi, je peux le dire... j'ai rencontré quelqu'un. » il est surpris de l’entendre — puisqu’on ne peut pas dire que la brune sorte beaucoup depuis l’accident, mais il l’accueille avec suffisamment d’enthousiasme pour se reculer de quelques degrés, faisant glisser ses mains sur ses épaules tandis qu’un sourire finit d’emplir ses lèvres. ’’Sérieux ?’’ il a totalement oublié qu’il a débarqué avec une colère monstre, elle est maligne, Helen ’’Comment s’appelle l’heureux élu ? Et comment tu l’as rencontré ?’’ il attend la réponse en conservant son sourire, ses paumes appuyées sur ses propres hanches.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
La vérité est que, même consciente de cette mauvaise emprise de son père sur sa vie, Helen est incapable d'affirmer être un jour capable de lui tenir tête ; malgré les regrets, les ressentiments, la colère, les déceptions et la frustration, Helen a ce sentiment ancré en elle, comme une marque au fer rouge, qu'elle ne peut pas vivre sans l'affection de ses parents. La brune est persuadée qu'une famille doit se préserver, au détriment de son bien-être, et c'est d'ailleurs pour cela qu'elle a toujours toléré Alyson ou Luke, malgré les nombreux sujets de discordes dans la fratrie Cartwright. Pourtant, aujourd'hui, Helen commence à comprendre que, depuis toutes ces années, ses ennemis, ce ne sont certainement pas son frère et sa sœur, mais simplement ses parents. La présence de sa petite sœur à l'hôpital lui a permis de commencer à faire ce petit bout de chemin dans sa tête vers une relation saine et respectueuse avec elle. La chirurgienne verra bien où cela les mène, pour le moment, elle n'est pas non plus capable d'affirmer que rien que du positif ne découlera de ça. « Sérieux ? Comment s’appelle l’heureux élu ? Et comment tu l’as rencontré ? » Helen est fière de lui annoncer ce renouveau dans sa vie amoureuse ; Izan est la personne la plus importante dans sa vie, et elle a besoin de partager ce bonheur évident avec lui. Contrairement à ses parents, le pianiste ne jugera pas le fait que l'heureux élu s'agit finalement d'une heureuse élue ; ce serait culoté de sa part, hein, n'est-ce pas. Elle a néanmoins le souhait de se montrer mystérieuse quelques secondes, pour faire taire les élans de colère de son ami, qui se sont fortement apaisés depuis tout à l'heure. S'il gronde de nouveau, elle préfère que ce soit parce qu'elle joue malicieusement avec ses nerfs, plutôt que parce qu'elle fait n'importe quoi avec ses séances de rééducation pour son bras, la brune. « Mhmm, je l'ai rencontré à l'hôpital, pendant une intervention de la police. C'est son métier. » Elle utilise très justement les mots pour ne pas annoncer tout de suite que le sexe de cette mystérieuse personne est en réalité féminin. Helen prend une pause, pour se retourner vers le dressing bien trop grand pour la quantité de vêtements qu'elle possède. Elle sait qu'elle n'a pas répondu à l'une de ses questions, mais ça ne saurait tarder. « On s'est recroisées à la soirée d'Halloween et... c'était plutôt chaud entre nous, je dois bien l'admettre. Ne t'emballe pas, je comptais t'en parler dans la voiture avant l'accident... » Elle anticipe sa surprise et sa frustration de ne pas l'avoir su plus tôt, même si en réalité, Izan allait être contente pour elle, peu importe depuis quand il a été mis au courant de la nouvelle. Helen le connait suffisamment pour savoir qu'il est prêt à jouer faussement la dramaqueen parfois. Dos à son meilleur ami, la jeune femme s'empare d'une culotte qu'elle enfile rapidement (elle a gagné en agilité, faut pas croire), ainsi qu'un legging qu'elle passe sous son peignoir, histoire de ne pas se trimballer les fesses à l'air non plus devant Izan. « Désolée mais si tu comptais récupérer ton lit à baldaquin, il faut que tu saches qu'il s'est passé des choses dedans... » Elle lui jette un regard taquin par dessus son épaule, avant de s'emparer d'un tee-shirt large, qu'elle passe au-dessus de sa tête après avoir défait son peignoir, ne laissant que son dos nu à la vue du pianiste, si celui-ci l'observe même, ce qui n'est pas sûr. Au fond, il l'a déjà vu dans des situations bien plus intimes que ça, non ? Tout comme le bas, Helen a appris à enfiler un tee-shirt sans l'aide de personne, alors elle se retourne avec ce petit sourire fier, à la fois parce qu'elle en a fait des progrès, mais aussi parce qu'elle est toujours amusée par sa précédente remarque. « Si tu veux, je peux te montrer une photo... » Qu'elle souffle, avant de remarquer que sa proposition peut être très tendancieuse et suspecte, alors qu'elle lui propose en réalité de voir le visage de cette personne qui la comble déjà beaucoup. « Pas de nous en train de... hein, j'te vois venir ! » Elle se reprend aussitôt, parce qu'elle a déjà le rouge aux joues d'imaginer qu'elle ait pu oser garder un souvenir dans son téléphone de cette belle nuit entre Yasmin et elle. Tout ça, elle le regarde dans sa tête, bien précieusement. Helen sort du dressing, lentement, ravie de faire durer ce suspense auprès d'Izan qui n'apprécie pas la frustration, elle le sait. Elle retourne dans la salle de bain, où l'attend son téléphone, puis elle revient auprès du pianiste, en prenant tout son temps pour chercher la photo. « Mhm... la voilà. » Le mystère est levé, davantage lorsqu'elle fait pivoter son smartphone vers l'hispanique, levant légèrement son bras pour qu'il arrive à sa hauteur. « Elle s'appelle Yasmin. » Inconsciemment, Helen se mordille le coeur de sa lèvre inférieure, tandis qu'elle attend assez impatiemment la réaction de son meilleur ami.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
Évidemment qu’il est heureux qu’elle ait rencontré quelqu’un, même s’il s’étonne silencieusement de la rapidité de l’évènement ; voilà quelques semaines seulement qu’elle a décidé de divorcer de Sam, alors n’est-ce pas un peu préoccupant qu’elle se projette officiellement avec quelqu’un d’autre ? Ne devrait-elle pas prendre le temps de panser correctement les blessures de sa précédente relation avant de plonger dans une autre alors que, il n’y a pas si longtemps, elle criait au monde entier qu’elle ne voulait plus entendre parler des hommes ? Il se demande tout ça, Izan, couvant toujours le besoin de la protéger et de prendre soin d’elle même s’il se garde bien l’idée de lui partager les siennes, redoutant qu’elle ne réagisse avec virulence devant les doutes qu’il pourrait émettre « Mhmm, je l'ai rencontré à l'hôpital, pendant une intervention de la police. C'est son métier. » il hoche son menton de haut en bas en poussant ses lèvres en avant dans une petite moue attentive, feignant à peine l’intérêt que cette information lui procure puisque, dans les faits, ce n’est pas ce qui lui semble le plus important « On s'est recroisées à la soirée d'Halloween et... c'était plutôt chaud entre nous, je dois bien l'admettre. Ne t'emballe pas, je comptais t'en parler dans la voiture avant l'accident... » - ’’Donc ça fait un petit moment que ça dure…’’ qu’il constate sans aigreur en guidant ses pas jusqu’au bord du lit sur lequel il s’assoit, un coude appuyé sur son genou plié afin de nicher son menton dans la paume de sa main, l’autre pendu dans le vide entre ses deux jambes faiblement espacées « Désolée mais si tu comptais récupérer ton lit à baldaquin, il faut que tu saches qu'il s'est passé des choses dedans... » pas besoin de lui dire deux fois pour qu’il se lève d’un bond du lit en fronçant le milieu de son nez, affichant malgré tout un sourire qui se veut conciliant — faut qu’il soit heureux pour celle qui se balade presque à poils devant lui, n’est-ce pas ’’On est définitivement sûrs que je te le laisse.’’ il est tellement perturbé par les deux annonces qu’il ne pense même pas à lui proposer son aide pour s’habiller, faisant désormais les cent pas dans la pièce en se demandant où poser sa carcasse ’’T’as enlevé le banc qu’il y avait dans le dressing ?’’ machinalement, il appuie ses mains sur ses hanches en regardant de gauche à droite, comme s’il cherchait à faire apparaître l’assise par une invocation silencieuse « Si tu veux, je peux te montrer une photo... » - ’’’Non, ça va aller.’’ il secoue sa main dans la vide pour décliner poliment la proposition, continuant d’afficher son éternel sourire diplomatique qui vise à ne pas lui faire perdre la face dans un moment pareil « Pas de nous en train de... hein, j'te vois venir ! » - ’’Parce que tu en as ?’’ il enfonce le clou avec malice en appuyant le haut de son dos contre le mur derrière lui, croisant ses bras contre son torse en attendant qu’elle revienne avec son téléphone, et il est tellement pressé de voir le visage de ce qu’il imagine être un homme qu’il ne relève même pas l’emploi du féminin dans « Mhm... la voilà. » lorsque l’écran se tourne en sa direction, il fronce les sourcils en courbant ses lèvres dans un sourire curieux, à mi-chemin de la grimace désabusée, et il effectue un ping-pong visuel entre le téléphone et Helen, sans trop savoir ce qu’il doit comprendre de tout ça « Elle s'appelle Yasmin. » - ’’Elle est canon,’’ il le dit sans arrière pensée, promis ’’Mais c’est qui ton mec, du coup ?’’ non, il n’a pas compris ; heureusement qu’il est pianiste et pas ingénieur, c’est clair.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
Sa rencontre avec Yasmin n'est vieille que de quatre mois, beaucoup diront que c'est trop rapide, d'autres se demanderont pourquoi elle a attendu autant de temps pour oser franchir le premier pas de ce baiser donné, quelques jours plus tôt. Au fond, l'avis des autres, Helen a envie de s'en foutre ; le plus important, n'est-ce pas son avis à elle ? et celui de Yasmin ? Les deux femmes sont les deux seules concernées dans cette relation, alors peu importe. Ce qui prime dans le coeur de la chirurgienne, c'est qu'elle se sent incroyablement chanceuse que la policière se soit intéressée, et s'intéresse à elle, alors que rien ne laissait présager qu'elle puisse aimer les femmes. Avant la soirée d'Halloween, Helen n'en savait même rien. Aujourd'hui, elle est certaine, de son attirance, mais aussi de ses sentiments à son égard puisque, oui, certains commencent déjà à s'emmêler et à emprisonner une partie de son coeur, qui lui est donc désormais entièrement dédiée. « Donc ça fait un petit moment que ça dure… » - « On peut dire ça, oui... même si je suis restée un moment à l'hôpital aussi, mais j'ai reçu sa visite très régulièrement. » Sans qu'Izan ne la croise jamais, d'ailleurs. A part quelques infirmières et médecins, personne de son entourage n'a un jour interrompu le rapprochement évident entre les deux femmes. Helen reste en tout cas mystérieuse quant à son identité, utilisant les mots à bon escient pour ne pas dévoiler tout de suite qu'il s'agit d'une femme, et qu'elle a donc totalement changé de bord, la brune. Elle poursuit, en blaguant sur le lit à baldaquin qu'elle affectionne beaucoup, au fond, et qu'elle préfère garder, si possible... « On est définitivement sûrs que je te le laisse. » - « Vraiment sûr ? Merci, t'es génial. » Qu'elle souffle, dos à lui pendant qu'elle s'habille très simplement, pour que ça ne lui prenne pas des plombes et, surtout, qu'elle puisse le faire seule. C'est un détail important pour elle, désormais... l'idée d'être une éclopée, ça va bien deux secondes (même si c'est aussi en partie de sa faute si elle n'évolue pas complètement, avec ses conneries hein). « T’as enlevé le banc qu’il y avait dans le dressing ? » Elle entend à peine sa question parce qu'elle songe à la suite de son plan, qui a pour but de continuer à faire planer le suspens, et elle lui propose alors de lui dévoiler la photo de sa belle. Evidemment, Izan comprend de travers, avec un sous-entendu coquin qu'il n'y a pas à la base, dans sa proposition, alors elle en rectifie le sens. « Parce que tu en as ? » - « Pervers » Elle plisse les yeux, avec une lueur amusée qui contredit totalement le fait qu'elle le pense, cette insulte. Helen finit enfin par lui montrer l'écran de son téléphone, sur lequel il peut enfin apercevoir la beauté, la sensualité et la perfection des traits de la femme qui possède son coeur. « Elle est canon. Mais c'est qui ton mec, du coup ? » Elle l'a remarqué, son incompréhension, mais Helen a d'abord cru à une blague, comme s'il jugeait leur compatibilité physique en alternant entre leurs deux visages. Mais non, il est vraiment en train de lui demander qui est son mec, et ça courbe ses lèvres d'un véritable sourire moqueur, cette fois. « T'es sérieux ? J'essaie de te faire comprendre que c'est elle, la personne que j'ai rencontrée. » La chirurgienne est timide avec les mots qui officialisent leur relation, qui est toute douce, qui est respectueuse de ses traumatismes et du fait que tout ça, c'est tout nouveau pour elle avec une femme. Elle récupère l'entière possession de son téléphone, pour y observer amoureusement la photo de Yasmin ; elle se souvient parfaitement du moment où elle la lui a envoyée. « Elle est vraiment canon, oui... et encore, la photo ne lui rend pas justice... » Son corps dans son ensemble n'est pas visible, et il n'y a vraiment rien chez Yasmin qu'Helen n'aime pas ; elle est belle, toute entière. Elle relève finalement le bout de son nez de l'écran, consciente qu'elle est littéralement en train de baver devant la femme qu'elle est amenée à voir régulièrement, c'est alors qu'elle constate la surprise apparente de son meilleur ami. « Je ne m'y attendais pas vraiment, non plus... je savais pas, que je pouvais être attirée par une femme avant elle » La seule personne a être au courant de la nouvelle, c'est Pénélope, et elle ne s'y attendait pas non plus, à ça. « Je me sens bien avec elle » Et ces derniers temps, avec l'accident, c'est pas chose aisée.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
« On peut dire ça, oui... même si je suis restée un moment à l'hôpital aussi, mais j'ai reçu sa visite très régulièrement. » machinalement, il essaye de se refaire le film des visages qu’il a pu croiser dans les couloirs en rendant visite à sa meilleure amie, sans pouvoir interrompre son attention sur quelqu’un en particulier ; si Helen n’avait pas précisé que sa nouvelle conquête appartenait aux forces de l’ordre, il aurait volontiers songé que c’était un membre du personnel médical. Les sourcils légèrement froncés sous l’intrigue de l’annonce qui tarde à se concrétiser, il se questionne sur ce mystérieux inconnu dont il entend parler à peine aujourd’hui, et il mentirait s’il disait que ça ne le chahute pas un peu d’être tenu informé que maintenant, même s’il tâche de tenir la vexation à peine distance de ses émotions ; il a suffisamment crié sur Helen pour le reste de la journée, non ? Puisqu’elle le fait languir, la future ex-chirurgienne, jouant sur les mots autant que sur les effets d’une patience dont il n’est pas porteur, et qui s’élime davantage lorsqu’elle lui présente la photo d’une femme qu’il ne connaît pas, mais qu’il pense être une amie… Est-ce qu’elle essaye de le rancarder avec cette belle brune ? Il n’est pas intéressé — il n’a pas le temps et pas l’envie, alors il détourne le regard en semblant perplexe, son sourire affecté par l’incertitude que toute cette machination mystérieuse lui provoque « T'es sérieux ? J'essaie de te faire comprendre que c'est elle, la personne que j'ai rencontrée. » - ’’Hein ?’’ son sourire dégringole encore plus quand il reporte son attention sur la photo de la jeune femme, ses yeux montant et descendant sur le visage numérique comme s’il essayait de raccorder tous les fils de sa compréhension ’’T’es avec une meuf, toi ?’’ depuis quand est-elle attirée par les femmes, Helen ? Il s’apprête à lui poser la question quand, papillonnant des cils, il remarque l’expression profondément niaise de sa meilleure amie, qui contemple sa première petite-amie : à n’en pas douter, Mini-Pouce est férocement piquée ’’Elle est jolie.’’ - « Elle est vraiment canon, oui... et encore, la photo ne lui rend pas justice... » ses lèvres pincées dans une petite moue, il hoche son menton de haut en bas en l’observant d’un air attendri, véritablement heureux de constater que le bonheur semble avoir frappé à la porte de sa meilleure amie, qui mérite réellement d’être heureuse après ses déboires avec Sam et Winston « Je ne m'y attendais pas vraiment, non plus... je savais pas, que je pouvais être attirée par une femme avant elle » il hoche son menton de haut en bas d’un air compréhensif en prenant finalement place au bord du lit, se disant qu’il mérite bien de se poser deux secondes après cette annonce tonitruante ’’Bah j’avoue que je suis surpris… J’ai jamais eu l’impression que tu pouvais être attirée par une femme mais, je crois que ça ne s’explique pas vraiment non plus, et qu’il n’y a pas de règle.’’ il devient philosophe quand ça touche la sexualité, oui « Je me sens bien avec elle » il a envie de répondre « c’est bien le principal » mais, son sourire prend une teinte espiègle quand il demande, sans la quitter des yeux ’’Et alors, verdict ? Le sexe avec une femme, tu trouves ça comment ?’’ il n’a même pas l’impression d’effleurer un sujet sensible ; du temps où elle se tapait exclusivement des mecs, ce n’était tabou alors pourquoi ce serait prohibé maintenant qu’elle palpe des seins ?
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Izan Da Silva12/2024 - appartement d’Helen
Le manque de compréhension de la part d'Izan désempare complètement la brune, qui était tellement fière de son petit manège et du suspense créé. La surprise est retombée, il n'a absolument rien compris à ses allusions et à la photo qu'elle lui a pourtant mis juste sous son nez, puisqu'il est si persuadé, son meilleur ami, qu'elle s'est amourachée d'un homme, comme pour ses précédentes relations. Au fond, Helen ne peut pas lui en vouloir d'y croire, puisque rien n'a jamais laissé présager qu'elle pourrait un jour s'intéresser à une femme, et ça fait déjà vingt ans qu'ils se connaissent. « Hein ? T'es avec une meuf, toi ? » Sa tête se balance de haut en bas, alors que son regard est naturellement attiré par la photo de Yasmin sur son smartphone ; elle ne se lasse aucunement de croiser la beauté de ses traits, qui sont encore plus somptueux quand elle est au naturel, sans maquillage ni artifice, comme sur cette photo qui la ferait presque baver. Elle se sent chanceuse, la chirurgienne, d'avoir réussi à capturer cette belle créature dans son filet grâce à l'alcool qui a coulé à flot durant la soirée d'Halloween. Envoutée par son charme indéniable, Helen ne regrette absolument pas de s'être jetée à l'eau pour saisir toutes ses chances, jusqu'à la dernière minute. « Elle est jolie. » Elle a bien du mal à détacher son regard de ce visage rassurant, qui a sorti un bon nombre de fois à la sortir d'un état de stress et d'angoisse dans cet appartement, depuis son retour ici. Elle est cette présence douce et délicate, qui apaise son coeur des peurs et des tensions, des traumatismes et des images qui occupent subitement ses pensées, quand elle le veut le moins. « Bah j’avoue que je suis surpris… J’ai jamais eu l’impression que tu pouvais être attirée par une femme mais, je crois que ça ne s’explique pas vraiment non plus, et qu’il n’y a pas de règle. » Sa conversation avec Leslie fait légèrement écho aux paroles de son meilleur ami, et ça la rassure aussi, en quelque sorte. Au départ, elle s'est sentie incertaine, puisqu'Helen s'est toujours sentie attirée par les hommes. Elle s'est demandée, plusieurs fois, s'il ne s'agissait pas d'une envie irrépressible de découverte d'autres horizons : ça ne l'est pas. Tout va au-delà de la simple attirance physique. Après des semaines à s'attacher, avec des moments simples, saupoudrés de quelques contacts doucereux, sans baiser, sans caresses évidentes comme elle a pu fortement le désirer durant la soirée à l'entrepôt désaffecté, elle sait que c'est bien plus que ça. Helen se sent bien avec elle, et ça, ça n'a pas de prix dans son coeur meurtri, qui trouve la voie de la guérison auprès de la jeune policière. « Et alors, verdict ? Le sexe avec une femme, tu trouves ça comment ? » - « Pourquoi cette question ne m'étonne pas, venant de toi... » qu'elle soupire, surtout pour temporiser sa réponse et sa gêne. Quand il s'agit de Yasmin, la chirurgienne se retrouve une timidité non-suspectée... elle qui, pourtant, n'a jamais eu aucun souci à parler de sexe. Mais elle fait face à son meilleur ami, qui ne la juge pas, et qui est suffisamment à même de comprendre ce qu'elle ressent, pour qu'elle ne se formalise pas plus que de raison sur son embarras sur le sujet : « Y en a pas encore eu, entre nous... on prend notre temps. » Ce qui veut aussi dire que, la peur de mal faire prime et qu'elle n'ose pas nécessairement faire le premier pas non plus... Et puis, a-t-elle vraiment envie que sa première fois avec Yasmin soit au détour d'une sortie au supermarché ? Pas très romantique, non ? Dans ses bras, elle rêve de romantisme, alors elle imagine que le bon moment ne s'est pas encore présenté, non ? « Vu que tu abordes le sujet, tu sais que maintenant t'es obligé de m'aiguiller sur comment m'y prendre, hein ? » Elle lui adresse ce regard mutin qui veut dire bien des choses, entre eux. Izan veut jouer au malin en essayant de l'intimider sur la question sensible, surtout dans cette situation inédite pour elle... alors, la brune accepte de jouer, aussi. « Tu vas pas laisser ta meilleure amie dans la panade ? Tu te sentirais trop mal si t'apprenais que j'ai été nulle au lit, non ? » Elle le sent déjà arriver le 'non', mais c'est aussi ça, qui l'amuse.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-trois ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, désespérément amoureux d’un homme fiancé à un autre MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #601 wellington street, bayside, une villa retapée que ses deux (enfants) chats et son frère ont investi avant lui POSTS : 1706 POINTS : 2420
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, racisme, langage vulgaire et cru, décès et deuil d’un proche, accident de voiture, stress post-traumatique, infidélité, phase dépressive, crise de colère, traitement médicamenteux (somnifères), red flag ambulant t'as peur. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre ses parents ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir ¤ papa de deux chats, sol & luna ¤ s'est mis au skate depuis peu, nouvelle passion débloquée ¤ sa mamie est l’amour de sa vie et il est convaincu d’être son petit préféré ¤ pianiste le plus récompensé de sa génération, possède l’égo qui va avec tous les trophées ¤ jouet de ses émotionsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#15 & sms ¤ i don't wanna go but we both know this is not our time, it's time to say goodbye, until we meet again 'cause this is not the end, it will come a day when we will find our way. pianos playin' and the angels cryin' when the stars align then i'll be there. i don't care about the pain i'll walk through fire and through rain just to get closer to you, you're stuck on me like a tattoo
IZEN#13 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVASmando#1+angel#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
ALYZAN#2 ¤ je suis maître d'hôtel au restaurant d'la vie, passez commande au creux d'mon oreille j’me coupe en quatre pour mes amis. c’est garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires, je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco
SAMZAN #4 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
i'll never give up on you crédits/ helpfromthestars & annscollections @Helen Stenfield12/2024 - appartement d’Helen
tw : beauf d’Australie bonjour
Elle a franchement un air mièvre au visage, Helen. Le genre d’expression qu’il n’avait que rarement vu sur les traits de la jeune femme — excepté peut-être lorsqu’elle s’est éprise d’amour pour le chat qui vagabonde avec les siens depuis quelques semaines, et c’est suffisant pour le convaincre de la sureté de ses sentiments à l’égard de cette femme. Cela le surprend toujours, même dans l’abri de ses pensées, de songer au fait que sa meilleure amie aime une femme, mais ce n’est certainement pas lui qui trouvera de quoi formuler un quelconque reproche à ce sujet ; cette fameuse policière, qui accroche les yeux de la chirurgienne comme de la grue, semble la rendre heureuse, et c’est tout ce qui compte aux yeux du pianiste. Que sa meilleure amie soit heureuse.
Tout ce qui compte… Oui, mais pas que. Un détail retient irrémédiablement son attention, et il ne se sent pas capable de la faire taire : autrement, il ne pense pas non plus devoir la taire. Leur amitié ne connaît pas de sujet sensible ou de tabou, il en a toujours été ainsi entre eux ; ils ont ce dialogue facile, transparent, sans faux-semblant ou gêne, alors il ne se prive pas de questionner la brune au sujet de l’intimité avec une femme, qui est une nouveauté tout à fait inédite pour elle. « Pourquoi cette question ne m'étonne pas, venant de toi... » il ne s’excusera certainement pas d’être fidèle au personnage qu’il est d’ordinaire, alors il hausse simplement ses épaules sans perdre son sourire, et sans rogner sur l’interrogation qu’il a posé : il veut une réponse, et vite ’’Tu vas pas me dire que t’es devenue timide depuis que tu as joué avec un clitoris ?’’ il ne croit pas que la cyprine fait cet effet là, mais il serait bon de questionner un expert « Y en a pas encore eu, entre nous... on prend notre temps. » il la croirait volontiers si elle n’avait pas fait savoir, un peu plus tôt dans la conversation, que cette histoire durait depuis plusieurs semaines — depuis Halloween, s’il a bien compris. Fronçant légèrement les sourcils en poussant ses lèvres en avant dans une petite moue hésitante, il la dévisage avec un air de suspicion assumée, avant de dire : ’’Et vous attendez quoi ? Ça te ferait une super rééducation pour ton bras.’’ toujours là pour dispenser conseils avisés et propositions éclairées, oui, n’hésitez pas « Vu que tu abordes le sujet, tu sais que maintenant t'es obligé de m'aiguiller sur comment m'y prendre, hein ? » - ’’Sur comment faire jouir une femme ?’’ il se demande un instant si elle est sérieuse, Mini-Pouce, parce que cette question, autant dire qu’il ne l’attendait pas « Tu vas pas laisser ta meilleure amie dans la panade ? Tu te sentirais trop mal si t'apprenais que j'ai été nulle au lit, non ? » - ’’Je peux t’assurer que tu es loin d’être nulle au lit.’’ marquant une petite pause, il affute ses paupières en rajoutant : ’’Mais c’est vrai que j’ai pas de vagin donc est-ce que mon avis compte vraiment, sur ce coup là…’’ faisant mine de délibérer dans sa tête, il fait claquer sa langue sur son palais avant d’hocher son menton de haut en bas, appuyant son coude sur son genou pour la pointer de son index légèrement relevé ’’Tu sais déjà te servir de tes doigts, j’imagine ? Ce que tu fais d’habitude sur toi, tu le fais sur elle.’’ il est vraiment en train de lui donner des tips en matière de sexe ? D’ordinaire, il explique plutôt comment jouer du piano ’’Mais, surprise, t’as une langue et elle va bien l’apprécier normalement.’’ merde, il n’aurait pas dû dire « normalement » ’’Le mieux, c’est que tu la laisses faire en premier… Et ensuite, tu recopies ?’’ la technique de la triche, imparable et efficace, et il connait bien le principe parce qu'il copiait sur elle quand ils étaient à l'école et qu'il avait la flemme de réviser les contrôles. C'est donc un juste retour des choses.
i wanna hide the truth, i wanna shelter you but with the beast inside there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed. when you feel my heat, look into my eyes, don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide.