(olive #10) burning down the world to feel its heat
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Ça plus été un ordre qu’un conseil, et bien que sur le moment, le réflexe de Jo a été de crier au scandale, elle a très rapidement reconsidéré la situation en se rendant compte que sa grand-mère et Richard ne sont, en réalité, pas une priorité pour le personnel médical du St-Vincent. Alors, quand on lui a ordonné, en effet, d’aller faire un tour au centre d’accueil pour au moins prendre l’air, elle a fini par obéir, mais pas de gaieté de coeur, c’est une évidence. Le duo restait entre de très bonnes mains, et elle, elle avait besoin de s’extirper un moment de l’amas de monde, de détresse, et de peur qui règne partout autour. Sa notoriété ne l’aide en rien aujourd’hui, elle l’a mise de côté sans penser un instant à en user — tout le monde est logé à la même enseigne, elle y compris. Le temps du trajet qu’elle effectue à pied, elle se demande quand est-ce que ça s’arrêterait au juste, toutes ces merdes qui lui tombent sur la tête. Elle a fait de mauvaises choses dans sa vie, aucune qui mérite de passer une année comme elle vient de passer. On pourra l’accuser d’être trop clémente avec elle-même, elle n’en démordra pas pour autant, se connaissant assez pour savoir que non, elle ne se fait pas de cadeau : c’est beaucoup trop pour une seule personne. Cela dit, si l’inquiétude lui triture les entrailles, elle estime bien s’en sortir de son côté. Jo va bien, c’est sa grand-mère et son mari qui pâtissent le plus de cette situation, c’est eux, ainsi que tous les habitants de leur quartier, qui ont inhalé trop de fumée au point d’avoir, pendant un instant, perdu leur respiration. On lui a dit que c’est plutôt anodin en apparence. Seulement, Jo n’est pas ignare au point de passer à côté de ce genre d’infos : elle sait que la majorité des décès qui surviennent en cas d’incendie est le résultat de l’intoxication par le monoxyde de carbone. Ça frappe à retardement, ainsi Ava et Richard semblent bien aller maintenant, mais leurs poumons sont usés, tout comme le reste de leurs corps, la faute au temps qui passe, et ils resteront probablement à l’hôpital quelques jours. Elle sera là pour eux, mais en attendant, elle s’est échappée de l’enfer du St-Vincent, et s’isole un instant.
Elle sort son téléphone de la poche de son manteau pour répondre aux textos qu’elle a reçu, aspire à passer un coup de fil à Midas pour lui raconter tout en détail, sauf qu’elle réalise rapidement qu’elle n’a plus de batterie. Ça la rend folle. Elle grogne entre ses dents, jure avec moins de civilité en pensant immédiatement que, si quelque chose se passe à l’hôpital pour Ava et Richard, elle ne sera pas tenue au courant. Elle fixe son écran quelques secondes, hésite un instant plus long à faire demi tour, puis elle jette des regards à droite et à gauche en espérant trouver la réponse à la question qu’elle se pose au sujet de l’électricité et du reste. Seulement, il y a tellement de monde, même à l’extérieur, dans ce coin où elle s’est appuyée, que ça en devient oppressant. Elle sent les prémices d’une angoisse qui a eu le temps de couver durant l’attente qu’elle a accusé aux urgences. C’est là, quelque part entre sa détermination et sa force, à essayer de se frayer un chemin pour lui foutre les pires scénarios dans la tête. Stop. Elle fait bloc en jurant une autre fois — certainement pas la dernière —, repousse le mur avec ses reins lorsqu’elle se redresse d’un coup, refusant de se laisser gagner par la peur, et ancre les tennis qu’elle porte aux pieds profondément dans le sol. Elles la font se sentir bien trop petite, aujourd’hui ; elle n’a pas besoin de centimètres en plus pour s’imposer d’ordinaire, et elle n’en aura pas besoin là non plus. Ainsi, c’est physique : elle se reprend, replace les épaules de son gros manteau sur ses épaules en le resserrant sur sa poitrine, balaye sa rangée de dents du haut avec le bout de sa langue, vient flatter la longueur brune et épaisse de sa queue de cheval haute avec le bout de ses doigts, et enfin, serrant très fort son téléphone portable dans la paume de sa main, elle se donne le coup de fouet nécessaire pour entrer pour de bon dans le centre d’accueil, là où, peut-être, elle trouvera quelqu’un à qui elle pourra s’en remettre pour au moins passer un coup de fil.
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
:
Olive Sterling
les cendres du passé
ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7410 POINTS : 290
TW IN RP : Dépression TW IRL : A discuter par mp si besoin.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #c46f84 RPs EN COURS :
Aaron #3 ♡ I'm dancing in the dark with you between my arms, barefoot on the grass, listening to our favourite song. When you said you looked a mess, I whispered underneath my breath, but you heard it, darling, you look perfect tonight.
Nina ♡ Family isn't defined only by last names or by blood it's defined by commitment and by love. It means showing up when they need it most. It mens having each other's backs. It means choosing to love each other even on those days when you struggle to like each other. It means never giving up on each other.
Lucas #4 ♡ Took a while, was in denial when I first heard that you moved on quicker than I could've ever, you know that hurt swear for a while I would stare at my phone just to see your name but I don't really care how bad it hurts, when you broke me first.
Hélen #4 ♡ Feeling like a drop in the ocean that don't nobody notice maybe it's all just in your head. Feeling like you're trapped in your own skin and now your body's frozen. broken down, you've got nothing left
burning down the world to feel its heat @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
Depuis les annonces, Olive est réquisitionnée au centre d'accueil mis en place par la mairie de la ville pour tout ceux qui ont été contraints d'abandonner leur logement menacé par les flammes. Comme sûrement beaucoup de monde, c'est l'alerte générale qui a fait prendre conscience à Olive de la situation en cours. Jusque là, elle était bien trop happée par sa formation pour prendre pleinement part à l'urgence se déroulant à l'extérieur. Une fois l'information saisie, Olive ne s'est pas fait prier pour se présenter au dispensaire du Saint-Vincent. Cela lui semblait évident impossible de rester à suivre les informations à la télévision sans pouvoir intervenir. Malgré la peur lui nouant lentement les entrailles, il était important pour Olive de se rendre utile, de pouvoir être là où on aurait besoin d'elle et non dans son domicile à attendre que le pire passe sans bouger le petite doigt. Le dispensaire étant plein à craquer, les bénévoles lui ont indiqués que le centre d'accueil était à la recherche de mains supplémentaires. Lieu qu'elle n'hésita pas un seul instant à rejoindre pour le reste de la journée, et sûrement tous les prochains jours à venir. Pour Olive, c'était important d'être au cœur de l'action, elle savait que sa formation pouvait largement attendre aux vus des conditions. Et puis, elle ne pouvait clairement pas retourner chez-elle sans faire son maximum avant pour toutes les personnes présentes au centre. Ce n'était pas grand chose, le nécessaire pour les quelques jours d'horreurs à suivre, mais Olive voulait faire de son mieux pour remonter le moral des personnes touchées par les incendies. Elle s'estime chanceuse de ne pas se retrouver dans la même situation désespérée alors autant donner de son temps.
La matinée s'ajuste alors qu'Olive passe d'une personne à l'autre, s'assurant que tout le monde va bien, s'assurant qu'elle ne peut rien faire de plus que nécessaire pour venir en aide aux rescapés des flammes. Elle fait du mieux que possible pour ne négliger personne, prenant à cœur sa nouvelle fonction de bénévole, après-tout, il faut bien admettre qu'elle est douée pour ça Olive. Malgré sa timidité, elle rassure et soulage ceux qui l'entourent. Dans cet environnement, elle se sent à sa place et c'est tout ce qui compte, même si elle aurait aimé que cet événement ne se produise jamais. L'horreur est sur beaucoup de visage, beaucoup lui dise à quel point ils ont énormément perdus et ça lui brise le cœur à Olive. Bien évidement qu'elle n'a aucun moyen de changer le cours des choses, mais cela ne l'empêche d'être accablée par le résultat. Alors, elle fait du mieux que possible pour garder une bonne énergie, pour être positive et continuer à avancer sans flancher. Olive fait le tour, accueil les nouveaux venus et ainsi de suite. Chaque minute se ressemble sans la moindre pause et le centre d'accueil pousse les murs pour chaque nouvelle personne qui a besoin d'un refuge. C'est assez impressionnant de voir à quel point cet endroit regorge de monde tout d'un coup, si bien qu'il serait facile d'en perdre la tête.
Olive attend la relève près de la porte du centre, il est grand temps pour elle de faire une pause. La journée a été rude et une douche ne serait pas négligeable à ce stade. Elle fait une dernière fois le tour de sa check-list quand la porte du centre s'ouvre, laissant une silhouette prendre place. Elle inspire lentement tout en levant les yeux vers la nouvelle venue. C'est d'abord le choc qui la cloue sur place alors qu'elle peine à trouver les mots. Se levant brusquement, elle est persuadée de ne voir qu'une image de la réalité. « Jo » Pourtant, cette femme ressemble comme deux gouttes d'eau à son amie, ça ne fait aucun doute. « Qu'est-ce que tu fais là? » Le ton de la brune est inquiet, si bien qu'elle marque une pause pour ne pas acculer Jo de question grotesque, lui laissant ainsi le luxe de répondre. Olive n'arrive pas à saisir pourquoi la jeune femme se trouve ici et pas dans un endroit plus sympa. Il y a forcément quelque chose qui manque à Olive pour saisir l'importance de la venue de Jo.
i'm stronger now
Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..
:
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Jo s’est retrouvée à de maintes reprises seule devant des milliers de personnes, mais rien n’est aussi impressionnant que la cohorte de réfugiés qui se dressent dans le hall d’accueil du centre dans lequel elle vient d’entrer. Elle n’aime pas l’impression de fin du monde que ça lui laisse, c’est aussi impressionnant que malaisant, alors elle s’enferme en elle-même non sans garder la tête haute et son idée fixe. En vérité, elle ne sait même pas ce qu’elle cherche ni qui elle cherche, mais elle cherche, ses pas la menant à droite, à gauche, sans se soucier véritablement qu’on puisse se demander ce qu’elle fiche ici. Elle est même à peu près sûre que cette fois, elle n’a pas à craindre d’être reconnue, et pas uniquement parce qu’elle n’a pas tout son attirail de starlette sur le dos.
Au bout d’un moment, elle a le réflexe de sortir à nouveau son téléphone de sa poche pour en vérifier l’écran. Le peu de batterie qu’il restait encore est venu au bout de sa réserve : il s’est éteint, ça la fait carrer les mâchoires et se maudire davantage d’être sortie avec un téléphone portable à peine chargé. A sa décharge, elle a eu d’autres priorités, celles qui lui restent en tête tandis qu’elle déambule, constate, et se demande comment la ville a pu mettre aussi vite en place une organisation pareille. Peu importe. Elle continue d’avancer, sa queue de cheval haute fendant l’air sous l’énergie qu’elle déploie, et finit par entendre son prénom au travers du bourdonnement désagréable qui est moins provoqué par le nombre de personnes sur place que par son anxiété qu’elle maîtrise toutefois, et qu’elle tient à distance.
Elle pivote sur ses pieds, croise le regard de princesse Disney d’Olive qu’elle n’a jamais été aussi heureuse de voir, c’est peu de le dire "Putain, Liv." Elle expire un soupir de soulagement, mais garde contenance comme d’ordinaire. Pas d’embrassades de pétasses trop fragiles, pas de sanglots indécents, juste un vrai soulagement qui libère ses poumons. Elle est inquiète, certes, elle n’est pas en panique pour autant. Si on s’en remet à elle pour les cas d’extrême urgence, c’est pour une raison. Jo sait gérer la pression, surtout quand elle pèse sur les autres. Quand elle pèse sur elle, c’est quitte ou double, mais la plupart du temps, elle reste un roc et flanche assez peu souvent, et elle ne flanchera pas là non plus. Toujours est-il que l’apparition de la jeune femme l’apaise au moins un instant "T’as ton téléphone ? T’as de la batterie ?" Ce sont les premières questions qu’elle lui pose et qui se superposent à celle, qu’elle, elle prononce en même temps, et à laquelle elle finit par répondre dans la foulée, mais sans tomber dans le pathos. Elle a autre chose à foutre que de chialer, de toute évidence "Nana et Richie sont sous surveillance à l’hôpital. Intoxication au monoxyde de carbone, ils vont bien." Elle espère. Ils allaient bien quand elle a été sommée de se tirer pour le laisser le personnel faire leur travail. Elle ne se demande pas plus que ça ce qu’Olive fout là. Elle à l’étiquette de la sauveuse collée sur le front, ça serait lui faire offense que d’imaginer qu’elle serait restée à se tourner les pouces en attendant que ça passe. Jo réitère alors, l’une de ses mains venant attraper son avant-bras pour l’ancrer dans le moment présent et attirer son attention "Ton téléphone, la batterie ? Le mien s’est éteint. Je veux joindre ton frère, lui dire que je vais bien." Pas de s’il te plaît, parce que déjà d"ordinaire, elle n’est pas très portée sur les formules de politesse, mais alors là que c’est la crise, elle ne va certainement pas s’offrir une putain de conduite ; rien à foutre de la politesse. Néanmoins, elle ajoute très vite, cherchant le regard de la brune qu’elle voit inquiète, ou du moins, plus inquiète encore que d’habitude "Toi, ça va ? T’es ici pour aider ?"
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
:
Olive Sterling
les cendres du passé
ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7410 POINTS : 290
TW IN RP : Dépression TW IRL : A discuter par mp si besoin.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #c46f84 RPs EN COURS :
Aaron #3 ♡ I'm dancing in the dark with you between my arms, barefoot on the grass, listening to our favourite song. When you said you looked a mess, I whispered underneath my breath, but you heard it, darling, you look perfect tonight.
Nina ♡ Family isn't defined only by last names or by blood it's defined by commitment and by love. It means showing up when they need it most. It mens having each other's backs. It means choosing to love each other even on those days when you struggle to like each other. It means never giving up on each other.
Lucas #4 ♡ Took a while, was in denial when I first heard that you moved on quicker than I could've ever, you know that hurt swear for a while I would stare at my phone just to see your name but I don't really care how bad it hurts, when you broke me first.
Hélen #4 ♡ Feeling like a drop in the ocean that don't nobody notice maybe it's all just in your head. Feeling like you're trapped in your own skin and now your body's frozen. broken down, you've got nothing left
burning down the world to feel its heat @Jo Carter ☆ crédit/ssoveiagifs
Le centre d’accueil est un beau bordel des allées et venues des bénévoles, des rescapés et de tous ceux qui ont décidés de se retrouver ici pour la bonne cause. Autant dire que les visages défilent à une allure folle et qu’Olive n’a pas encore eu le temps de reconnaitre tout le monde malgré le temps qu’elle passe ici. Autant dire que c’est clairement la folie et que ça ne fait qu’empirer avec les jours qui passent. Le moindre coin de la salle est emprunté par une personne. Les matelas jonchent le sol, et les gens n’hésitent pas à se serrer au maximum entre eux pour faire de la place aux nouveaux. Même si c’est la panique dehors, Olive ne peut s’empêcher de noter que c’est un moment de partage unique, même si elle aurait aimé que ce soit dans d’autres conditions. Clairement, elle ne souhaite à personne de se retrouver loin de sa demeure menacée par les flammes en plein milieu de la nuit. Ce chaos lui permet au moins de se rendre utile et de sortir le nez de ses bouquins. Parce qu’il faut dire que depuis qu’elle a décidé de reprendre sa vie en main, Olive ne sort pratiquement plus de chez-elle. Alors cette pause est malgré tout la bienvenue, et elle adore se rendre utile. C’est donc un moyen de pouvoir mettre en pause son cerveau, même si oui il faut être sur tous les fronts ici. Alors elle distribue des couvertures, inscrit les rescapés dans un registre, passe voir chacun d’entre eux pour s’assurer que tout va bien, se relayant ainsi depuis quelques jours avec d’autres bénévoles. En outre, elle s’assure que rien ne dérape, du moins en quelque sorte.
C’est cette arrivée qui la prend le plus au dépourvu, alors que pourtant ça n’arrête pas. Olive, elle se demande sans délai ce que vient faire Jo Carter dans ce trou qui ne semble clairement pas fait pour elle. Les yeux de la brune sont écarquillés si bien qu’elle met du temps à comprendre que la silhouette de son amie est bien réelle. "Putain, Liv." La tête d’Olive se penche comme pour prendre pleine conscience de ce qu’elle a en face d’elle. Alors ça pour une surprise, c’était une sacrée ! "T’as ton téléphone ? T’as de la batterie ?" Tout s'enchaîne un peu trop vite, si bien qu’Olive n’a pas le temps de répondre aux questions de Joséphine alors que les siennes se mêlent en parallèle. Le seul truc qui importe l’Australienne sur cet instant, c’est de savoir que son amie se porte bien, que tout va bien pour elle, parce qu'elle n'arrive pas à trouver une raison rationnelle à la présence de la starlette dans ce centre. "Nana et Richie sont sous surveillance à l’hôpital. Intoxication au monoxyde de carbone, ils vont bien." Les lèvres d’Olive s'écartent en O immense. Pourquoi Jo n’est pas auprès d’eux à cet instant? C’est ça qu’elle ne comprend pas tout de suite Olive, même si elle trouve sa propre question déplacée. "Ton téléphone, la batterie ? Le mien s’est éteint. Je veux joindre ton frère, lui dire que je vais bien." Elle secoue la tête se raccrochant à la réalité. « Oui, oui, bien sûr. » Olive se décale de la silhouette de son amie pour attraper sa veste derrière le comptoir. Un petit mouvement qui lui permet de marquer une pause avant de tendre l’objet à la brune. "Toi, ça va ? T’es ici pour aider ?" Oui à toutes les réponses. « Absolument oui. » Olive avale sa salive. « Tu capteras mieux dans la pièce au fond, attends. » La brune se positionne de nouveau près de Jo et l'entraîne vers un coin plus tranquille. « D’ici tu pourras téléphoner, personne ne viendra t’interrompre comme ça. » Et Olive n’ajouta pas le “et te remarquer” par la même occasion puisque Joséphine semblait avoir bien d’autres soucis que ce que sa présence pourrait faire naître dans un tel endroit. « Je reste juste là si tu as besoin.. » Même si elle n'en aurait pas besoin.
i'm stronger now
Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..
:
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12297 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Dans le bazar qui règne autour, Jo ne peut que babiller des explications concises à Olive sur qui elle vient de tomber. Elle n’a pas besoin de rentrer dans les détails pour l’instant, elle ne peut que la rassurer sommairement pour lui faire entendre que ce n’est pas si grave que ça en a l’air. Pour elle, tout du moins. Pour nana et Richard, rien n’est moins sûr. Elle voit la surprise sur le visage de la jeune femme, et en temps normal, ça l’aurait agacée de se rendre compte pour la énième fois qu’il est si facile de faire vaciller les certitudes de la cadette Sterling. Olive a une propension monstre à considérer Jo comme, et bien, un monstre, alors surement que ça lui fait un choc de se rendre compte qu’elle est autant touchée par la catastrophe que ne l’est le commun des mortels. Au fond, il n’y a rien d’étonnant. Elle vit à Brisbane, ses proches vivent à Brisbane, et d’accord elle n’a pas inventé le nucléaire, mais le calcul n’est pas difficile à faire, même pour quelqu’un comme Jo ; ça l’aurait touchée dans tous les cas, moindre mesure ou pas. Elle n’a pas le temps de se soucier de ça, de la manière dont l’image qu’elle renvoie est écornée, quand bien même elle reste surement plus solide que la majorité, déterminée et droite sur ses pieds. Ses priorités sont ailleurs, à son téléphone en l’occurence, puisqu’il ne lui est d’aucune utilité, et que cherchant à joindre Midas, ça la désespère, la fait rager intérieurement encore plus.
Elle demande de l’aide à sa soeur qui consent rapidement à lui rendre service. Dans l’intervalle, Jo s’enquiert d’elle, de son état et de sa présence, hoche la tête inlassablement en regardant autour, et resserre son manteau sur sa poitrine en ressentant un soupçon d’insécurité en voyant la masse de monde déambuler un peu partout "J’espère que ça va pas durer une éternité, ça craint." La tempête de l’an dernier a été particulièrement bien gérée par les autorités après tout, peut-être ne vaut-il mieux ne pas s’inquiéter davantage avec un exemple pareil. Elle roule ses lèvres l’une sur l’autre, entend la voix de la jeune femme qui lui propose de l’intimité ; ça fait soupirer Jo de soulagement tandis qu’elle contourne le comptoir de l’accueil pour entrer dans la pièce qu’Olive lui ouvre. Son égard est appréciable, elles ont l’habitude — aucune d’elles ne serait surprise si quelqu’un profitait de la position de faiblesse de Jo pour venir l’importuner puisque, même dans la misère, les gens sont avides de quoi exactement, elle s’en fout largement sur l’instant, concentrée sur l’écran du téléphone d’Olive "Reste, steuplaît." Pas que sa présence lui soit essentielle, mais tout est angoissant, et si elle ne l’admettra pas autant par pudeur que par fierté, c’est en prétextant avoir besoin d’elle pour déverrouiller son téléphone avant de pouvoir l’utiliser qu’elle justifie sa requête prononcée presque tout bas.
Elle va vite chercher dans les raccourcis d’appel du téléphone de la jeune femme pour presser l’entrée qui porte le nom de Midas, porte l’appareil à son oreille en demandant à sa soeur qu’elle observe sous toutes les coutures pour vérifier par elle-même que ce qu’elle lui a dit — qu’elle va bien — est vrai ; elle a l’air d’aller bien, en effet "T’as eu des nouvelles du reste de ta famille ? Ils vont bien ?" Elle n’a pas tellement le temps de patienter en espérant entendre la voix de Midas à l’autre bout du téléphone, la communication est aussitôt coupée. Ça lui fait rentrer le menton d’un coup sec, décoller l’appareil de son oreille en demandant à Olive "C’est quoi ce merdier ? Pourquoi ça fonctionne pas ?" Surement que les lignes sont saturées, ou alors, elles ont été réquisitionnées par les secours histoire de donner sa chance à tous les citoyens en danger. Jo est relativement en danger, elle ne peut prétendre autre chose. Mais entendre Midas, ça aurait eu le don de la sécuriser, alors si elle essaye de se contenir parce qu’elle sait qu’elle peut vite monter dans les tours, elle essaye surtout de rationaliser, et décide dans la foulée "Je vais lui envoyer un texto, il le recevra quand les lignes seront moins saturées, non ?" Pose-t-elle la question à Olive ? Peut-être, oui. Elle se dit que si la jeune femme est ici, c’est qu’elle a une vue d’ensemble sur les bons réflexes à adopter, sur la conduite à tenir pour ne pas faire empirer les choses. Ça lui fait penser à quelque chose qu’elle lui demande après envoyé son texto à Midas "C’est grave ?" Elle explicite vite, lui tendant de nouveau son téléphone, consciente qu’elle ne recevra pas de réponse tout de suite "Ce qui arrive à mes grands-parents ?" Richie n’est peut-être pas son "vrai" grand-père, il l’est devenu au fil des années, et elle n’a pas honte de le considérer comme tel. Puis là n’est pas la question en vérité, elle ajoute à l’intention d’Olive qu’elle regarde fixement, sentant son coeur lui tomber dans l’estomac, redoutant tout de même la réponse qu’elle pourrait lui donner "Sois honnête, j’en ai entendu d’autres." Surtout cette année.
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.